16/02/2022 (2022-02-16)
Par Tom Di Ferdinando
Traduction : Jean Bitterlin
Bienvenue à Rethinking AIDS (Reconception du SIDA) !
Nous sommes dans un processus de transition de Rethinking AIDS en Unmasking Covid and AIDS (Réévaluation du SIDA en Démasquage du Covid et du SIDA) (avec une appellation provisoire de Rethinking AIDS/Unmasking Covid).
Pour quelle raison repenser Rethinking AIDS ?
Rethinking AIDS était un prolongement du groupe originel Group for the Scientific Reappraisal of the HIV/AIDS Hypothesis (Groupe pour une Réévaluation Scientifique de l’Hypothèse VIH/SIDA), une alliance de scientifiques de niveau mondial qui par la suite comptait parmi ses membres trois lauréats du Prix Nobel et près de trois mille autres signatures.
Ce qui a rassemblé tout le monde dans les années 1980 c’étaient les assertions extrêmement discutables faites au sujet du VIH et du SIDA par des gens comme des médecins et des responsables de Santé Publique tels Robert Gallo et Anthony Fauci.
Notre scepticisme a été catalysé aux environs de 1987 par un tout nouvel article publié par le Dr Peter Duesberg qui démontrait que ce qui était appelé rétrovirus comme le « VIH » n’était ni pathogène ni cancérogène, et donc ne pouvait causer le SIDA — un article que l’industrie naissante du SIDA a publiquement répudié, mais qu’elle craignait en privé.
Fonctionnant sur le principe que leur opposition jouait selon les mêmes règles alors en vigueur, la première étape du premier groupe a été de publier un signal d’alarme, une requête à la communauté scientifique pour une réévaluation scientifique de ce qui, selon leur opinion, n’était qu’une hypothèse erronée : à savoir, qu’un présumé rétrovirus « VIH » (le « virus de l’immunodéficience humaine ») était la cause d’un présumé syndrome « SIDA » (le « syndrome de l’immunodéficience acquise »).
Ils ont résumé leur inquiétude en tout juste quatre phrases :
Il est largement admis par le grand public qu’un rétrovirus appelé VIH provoque un groupe de maladies appelé SIDA. De nombreux scientifiques biochimistes remettent maintenant cette hypothèse en question. Nous proposons qu’une réévaluation minutieuse des preuves existantes pour et contre cette hypothèse soit menée par un groupe indépendant approprié. Nous proposons en outre que des études épidémiologiques critiques soient conçues et entreprises.
Ils ont cherché à publier ce petit paragraphe dans Nature, Science, the Lancet ou le New England Journal of Medicine, les quatre principaux périodiques scientifiques dans lesquels ils étaient nombreux à avoir vu leurs articles maintes fois publiés.
Mais cette fois-ci, silence ! Personne ne publierait l’appel. Il importait peu qu’il soit soutenu par un groupe de 32 signataires légitimes, qualifiés et hautement estimés.
Alors pour quelle raison n’ont-ils pu le faire publier ?
C’est simple. Parce que le Directeur en chef de la Santé Publique d’alors, le Dr Anthony Fauci, avait déjà à cette époque cette sorte de pouvoir de veto. En tant que représentant à part entière de l’industrie des vaccins travaillant pour ce que nous savons maintenant être un front à part entière de l’industrie des vaccins (NIAID, CDC et FDA), Fauci était, tout comme il l’est maintenant, un pare-feu puissant contre le véritable examen scientifique et la véritable dissidence, c’est-à-dire un vrai ennemi à la fois de la liberté scientifique et du Premier Amendement. Vous pensez que nous exagérons ? Robert F. Kennedy Jr nous a fait à tous la faveur de nous documenter cela dans un seul livre (« Le Vrai Anthony Fauci » – dernier livre publié par Robert F. Kennedy Jr – NdT).
Le fait est que nos premières suspicions étaient exactes — il n’y avait aucune preuve scientifique crédible pour soutenir l’affirmation que le « VIH » causait le « SIDA », et 35 ans plus tard, il n’y a toujours aucune preuve. Cela peut paraître choquant d’entendre cela, mais c’est la vérité.
Avance rapide d’environ 40 ans jusqu’au « Covid-19 », et que trouve-t-on ? Les mêmes tactiques alarmistes, les mêmes contradictions, les mêmes fausses prédictions, les mêmes tests bidons, la même approche de traitement mortel, tout cela, mais sur un plan plus mondial, plus coordonné et même plus socialement destructeur. Et le général qui mène la charge ? Anthony Fauci.
Une fonction essentielle du nouveau Rethinking AIDS/Unmasking Covid (Réévaluation du SIDA/Démasquage du Covid — NdT) est d’exposer à la vue de tous, cette relation profonde entre le « Covid-19 » et le « VIH/SIDA ». En tant que tout premiers « dissidents du SIDA », nous sommes les mieux équipés pour mener la tâche. Mais cette fois-ci c’est différent.
Dans les années 1980, nous nous sentions obligés, sur le plan scientifique, de donner à Fauci et à ses collègues le bénéfice du doute, c’est-à-dire de supposer que lui-même et les partisans de l’hypothèse VIH/SIDA avaient tout simplement commis une erreur scientifique majeure. Cependant, le fait qu’avec le « Covid-19 » ils aient fait exactement la même erreur, mais sur une échelle multipliée par mille, signifie que ni (l’hypothèse) « VIH/SIDA » ni (l’hypothèse) « Corona/covid » ne sont des erreurs ; elles sont hautement organisées et ce sont des pièces de théâtre complètement préméditées.
Le but de la science est la vérité. Le but de la commercialisation est la vente. Le SIDA et le Covid n’ont pas été découverts, ils ont été vendus, avant tout par la peur et par les mensonges par omission. Leur fonction était de garantir des contrats gouvernementaux lucratifs pour les projets de l’industrie du médicament et des « vaccins » de Fauci. Et ses efforts sont liés à d’encore plus grands projets du Forum Économique Mondial et de l’Organisation Mondiale de la Santé. Pour cette raison le « Covid » s’est porté davantage du domaine du marketing médical vers le domaine de l’ingénierie sociale. Mais on parlera de cela plus tard.
L’arme la plus populaire aujourd’hui, utilisée par les ennemis de la vérité pour réduire au silence ceux qui signalent les faits évidents et les contradictions sans fin, est l’affirmation qu’ils « se fient aux données scientifiques ». C’est la toute nouvelle arme pour monter les gens les uns contre les autres et pour détourner leur attention des vrais sociopathes qui les ont, au départ, fait se battre les uns contre les autres. Et c’est si facile de prouver que cette affirmation est fausse.
Une pierre angulaire de la science est de susciter la contestation, d’embrasser les points de vue opposés et de chercher à prouver la fausseté de son hypothèse. Se cachant derrière la bannière de la « science », les dirigeants de Big Tech par exemple se targuent ouvertement de la manière dont ils censurent et évincent des médias sociaux ceux qui disent des choses contraires aux diktats du CDC, de la FDA, d’Anthony Fauci et de Bill Gates. Mais ça, ce n’est pas de la science. Alors la prochaine fois que quelqu’un vous dit « nous nous fondons sur des données scientifiques » ou vous accuse en disant « Ce n’est pas ce que dit la science » ou « Vous ne croyez pas en la science », dites-leur qu’ils mentent, parce que vous ne pouvez pas embrasser la science et en même temps être un partisan de la censure.
Pour que ce sujet complexe reste simple, nous allons souligner les trois principaux éléphants dans le salon covidien : 1) Le « virus in silico » (les virus sont « fabriqués » à partir de bribes trouvées et qui sont réarrangées à l’aide de programmes informatiques qui « bouchent » les interstices manquants — NdT), 2) les effets potentiellement mortels des « confinements », et 3) la grande expérience de l’industrie des « vaccins » à ARNm à laquelle l’Humanité a accepté de se soumettre sans esprit critique. Si vous comprenez la signification et les conséquences de ces trois choses, vous aurez une solide connaissance du tableau d’ensemble hors duquel ces trois phénomènes ont émergé.
Pour terminer, et pour avoir un meilleur aperçu des changements des nouveaux objectifs, de la portée et de la fonction de RA/UCA, lisez l’introduction de la conférence de 2020 produite par un de nos membres, intitulée Covid : Le Nouveau SIDA. Et, à ce deuxième lien vous trouverez une analyse qui incite à la réflexion sur comment une arnaque de l’amplitude de celle du Covid a pu prendre une telle ampleur et pris racine en premier lieu dans le psychisme de gens prétendument libres — des gens qui se battront jusqu’à la mort pour protéger leurs libertés face à un fasciste déclaré, mais qui se prosterneront, se dégonfleront, se soumettront et abandonneront avec joie ces mêmes libertés face à un fasciste caché.
Alors que le travail de bon nombre des premiers dissidents du SIDA était catalysé par le remarquable travail scientifique et le leadership spirituel du Dr Peter Duesberg, la « partie Covid » actuelle est catalysée et poussée même plus loin, quoique d’une manière très différente, par le remarquable travail d’une autre signataire du groupe des premiers signataires, la Dr Eleni Papadopoulos-Eleopoulos. En tant que leader du Groupe de Perth, son travail — effectué simultanément, mais de manière indépendante du travail du Dr Duesberg — affirmait également que le « VIH » ne pouvait pas provoquer le SIDA. Non parce qu’il était inoffensif, mais parce que personne n’a jamais suivi les protocoles standards pour l’isolation et la purification pour prouver son existence même. Pas de « VIH » signifie pas de protéines « VIH » pas d’ARN ou d’anticorps, et par conséquent pas de test significatif.
Le Dr Stefan Lanka a même donné à ce problème encore plus de contexte en indiquant de façon critique les défauts rédhibitoires dans les fondements de la virologie même — le vrai talon d’Achille scientifique de toutes les affirmations au sujet du « SIDA infectieux » et du « Covid infectieux ». Mais on parlera également de cela plus tard.
Il y a un dernier éléphant dans le salon Covid qui mérite une mention spéciale. Il s’agit de l’impact dévastateur qu’ont eu depuis 1984 le Dr Fauci et l’Industrie pharmaceutique et des Vaccins sur la santé et le bien-être du public en général. Comme le souligne avec éloquence Kennedy, le travail de Fauci était de déterminer les causes et les mesures préventives à la fois pour les maladies chroniques et les maladies infectieuses. Non seulement ces maladies ont augmenté de manière spectaculaire sous la direction de Fauci — rien que la maladie chronique chez les enfants était de 6 % au début de son mandat, et en 2006 elle était à 54 % — il est parvenu à transformer les institutions fédérales de santé et de sûreté d’organismes de santé publique en « incubateurs » de l’industrie du vaccin et des médicaments.
Quand est-ce que tout cela finira et qui va l’arrêter ? La chose la plus remarquable au sujet de la Santé Publique c’est qu’il s’agit de la seule discipline — et Fauci le seul personnage public — qui peut se vanter de 50 années persistantes d’échec lamentable et de toujours prétendre au « succès » et à l’ordonnancement des financements (Le Dr Fauci a un budget annuel de 6 milliards de dollars qui sont bien entendu dirigés vers les instituts de recherche orthodoxes — NdT).
Nous préparons un nouveau site Internet, qui sera bientôt actif, qui se concentrera sur cette relation SIDA-Covid, ses implications sociales, économiques et médicales, ainsi que sur les fondements scientifiques de la virologie. Par-dessus tout, nous examinerons les attaques physiques et psychologiques sur la liberté qui ont permis à des sociopathes de l’industrie de Santé Publique de faire des ravages sur le reste du monde pendant tant de décennies. Nous vous présenterons la preuve que l’Establishment SIDA/Covid ne veut pas que vous voyiez, et nous vous permettrons de faire votre propre opinion.
C’est comme avoir affaire à toute brute destructrice. La cabale SIDA/Covid et la machinerie mondiale sont reliées non seulement pour prospérer sur notre ignorance, mais plus important encore sur notre docilité. Avec les préservatifs, les masques, la distanciation sociale et les injections expérimentales, les confinements, les fermetures de commerce, les passeports vaccinaux et les obligations à durée indéterminée — tous pour promouvoir le changement de nom de la « grippe » — nous avons permis à un État centralisé de prendre la responsabilité de notre santé et de nos systèmes immunitaires. Notre docilité, et le libre abandon de la responsabilité de nos corps, de notre santé et de nos libertés individuelles est le vrai virus qui détruit le tissu social de notre société de moins en moins libre.
Tom Di Ferdinando
Président de Réévaluation du SIDA/Démasquage du Covid
Traduction Jean Bitterlin le 15.02.2022
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