Laïcité et Religion de la Franc-maçonnerie

[Source : F∴M∴ EXPOSÉE]

« Or si nous n’avons pas réussi, c’est que nous nous sommes occupés du matériel, on a remplacé dans le fond les aristocrates par les bourgeois, c’est ce qu’il s’était passé au 19ème siècle, mais on a laissé la domination intellectuelle à l’Église catholique, qui était extrêmement puissante. Et là, ils se disent non, il faut aussi qu’on s’occupe du spirituel et des consciences. Et je dois dire qu’il y a une importance déterminante de la franc-maçonnerie dans cette affaire-là. […]

Donc ils se disent il faut inventer autre chose, le catholicisme c’est l’oppression, le protestantisme ça marche pas, et cet autre chose va s’appeler la laïcité. Mais une laïcité qui, née dans les loges, nourrie de toute cette histoire, va d’abord apparaître comme une religion laïque, ce terme est employé, « religion », contre la religion catholique. Et lorsque les républicains, fondateurs d’ailleurs de la religion laïque, vont prendre le pouvoir à travers l’école, dans le fond, ils vont, à travers les instituteurs, à travers les cours de morale laïque qui étaient publiés, à travers les programmes scolaires, et bien ils vont essayer de constituer non seulement une République matérielle, mais une République spirituelle. »

Propos tenus par Vincent Peillon, ancien ministre de l’Éducation nationale française.




Louis T. – Apprenti autiste

[Source : Télé-Québec]

Documentaire

Apprenti autiste

Enquête pour comprendre l’autisme, signée Louis T.

Présentation

Été 2015, sur la scène du ZooFest, l’humoriste Louis T vit un moment difficile. Il a l’impression de présenter un bon numéro, mais dans la salle, les spectateurs ne rient pas. Ils ne le comprennent pas. Cet échec entraîne une réflexion qui le mène à un diagnostic d’Asperger, un trouble du spectre de l’autisme. À la suite de sa sortie dans les médias, Louis T reçoit maintes questions du public. Démuni, il part à la recherche d’explications; pour lui et toutes les autres personnes atteintes.


[Source : Télé-Québec]

Apprenti autiste: penser au-delà du diagnostic

Comment vivre avec le spectre de l’autisme? Télé-Québec consacre une soirée complète à la question

« La majorité des humains possèdent une palette de 72 émotions, les Asperger comme moi n’en ressentent pas plus de sept. Sept nuances de bof, à vrai dire », confie l’humoriste.

Le mercredi 27 février prochain à 20 h, Télé-Québec diffuse le documentaire Apprenti autiste où l’humoriste Louis T présente la quête qu’il a menée pour mieux comprendre sa condition. Apprenti autiste adopte son ton et son regard: celui d’une personne autiste récemment diagnostiquée qui désire connaître les répercussions de ce syndrome sur son existence et apprendre à bien vivre avec cette réalité. Le documentaire sera suivi d’une table ronde aux Francs-tireurs, à 21 h, aux côtés de Guylaine Guay, Patricia Paquin et Sophie Prégent, toutes les trois mères d’enfants touchés par un trouble du spectre de l’autisme (TSA).

Apprenti autiste prend racine à l’été 2015, un soir où l’humoriste donne un spectacle et où le public ne rit pas. Ou presque pas. Cet événement entraîne une réflexion chez lui, qui le mène à consulter, puis, à obtenir un diagnostic d’Asperger, un trouble du spectre de l’autisme (TSA). Un an plus tard, après avoir vécu cette nouvelle situation avec ses proches, il décide d’en parler publiquement dans les médias. Immédiatement, il se met à recevoir maintes questions du public. Démuni, il part à la recherche d’explications. Pour mener à bien son enquête, il discute avec des spécialistes du TSA, des autistes de différents niveaux et leurs parents, ainsi qu’avec ses proches.

« Quand je suis sorti du bureau du Dr Giroux il y a deux ans, j’avais envie de crier sur tous les toits que j’étais Asperger. J’étais tellement heureux de pouvoir enfin expliquer pourquoi j’étais bizarre », dit-il.

Ponctué de numéros d’humour, Apprenti autiste démystifie ce trouble bien connu, mais bien peu compris. Au fil d’une quête personnelle, mais qui semble relativement détachée de lui, un trait distinctif de l’autisme, il nous offre un documentaire lumineux et informatif, qui déboulonne les mythes entourant le TSA. On y aborde, entre autres, les différentes nuances du TSA, la différence entre autisme et syndrome d’Asperger, le rôle de l’hérédité et… les avantages qu’apporte cette condition.

« Jusqu’à tout récemment, c’étaient tous les gens autour de moi qui m’apparaissaient plutôt étranges. Puis, j’ai compris que c’était moi qui étais spécial », raconte Louis T.

Télé-Québec dévoile d’ailleurs la bande-annonce d’ Apprenti autiste aujourd’hui sur son groupe Facebook Les docuvores télé-québécois : visionnez-la ici.


[Source : La Presse]

Publié le 25 février 2019 à 12h04 | Mis à jour le 26 février 2019 à 06h49

Louis T: mieux comprendre l’autisme

À 34 ans, l'humoriste Louis T a reçu... (PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE)

À 34 ans, l’humoriste Louis T a reçu un diagnostic de syndrome d’Asperger.

PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE

Sophie Allard
La Presse

Toute sa vie, l’humoriste
Louis T s’est senti bizarre sans trop savoir pourquoi. À 34 ans, il a
reçu un diagnostic: syndrome d’Asperger. Dans le documentaire Apprenti autiste,
diffusé mercredi à Télé-Québec, on assiste à sa quête pour comprendre
sa situation et déboulonner les mythes associés au trouble du spectre
de l’autisme.

Peu après avoir reçu ton diagnostic, tu l’as annoncé sur les réseaux sociaux. Tu dis que ton coming out à Tout le monde en parle a changé ta vie. De quelle façon?

Du côté personnel, le diagnostic m’a apporté un soulagement. Je compare
ce diagnostic à un coffre à outils, on m’a donné des outils pour mieux
me comprendre, je m’estime plus heureux. Du côté professionnel, j’ai
profité d’une tribune [de 1,8 million de téléspectateurs] que je n’avais
jamais eue.

On te dit souvent: «T’as pas l’air d’un autiste, Louis!» Les préjugés envers l’autisme sont-ils encore très présents?

Il y a beaucoup de méconnaissance et d’ignorance, c’est compréhensible
parce que c’est un sujet complexe. À titre personnel, j’ai passé
33 années de ma vie à essayer d’être normal et je suis devenu assez bon.
Je ne suis pas étonné aujourd’hui que les gens me disent que je n’ai
pas l’air autiste, j’ai passé la majorité de ma vie à essayer de le
masquer.

Te sens-tu submergé parfois par tous les témoignages que tu reçois?

Oui, sauf que j’assume la responsabilité de mon coming out et je connais mes limites. Les gens sont super gentils. Des monsieurs et des madames de 57 ans et 60 ans m’écrivent. Toute leur vie, ils n’ont pas compris ce qu’ils avaient et ont réussi à vivre normalement. Ils se reconnaissent en moi. Je ne suis pas expert du sujet, alors je réfère beaucoup au site autisme.qc.ca.

Te sens-tu investi d’une mission de faire le pont entre les autistes et les neurotypiques?

Sans dire que je me sens investi d’une mission, je crois que je suis en
mesure d’aider à faire le lien. J’aime dire que j’ai un pied dans la
normalité et un pied dans l’autisme. J’ai ma quête personnelle, mais mon
objectif est de faire comprendre aux gens aussi. La mission, que je
l’aie choisie ou pas, m’est tombée dessus. Voilà pourquoi j’ai accepté
de participer au documentaire.

Durant le tournage d’Apprenti autiste, y a-t-il eu des rencontres déstabilisantes?

Non, mais on est allé jouer dans mes émotions alors que je ne suis pas
particulièrement émotif dans la vie. Je me suis rendu compte que ça me
touchait beaucoup. J’ai vu des gens heureux, mais aussi fragiles et
forts à la fois. Je ne m’intéressais pas particulièrement à l’humain, ça
m’a réconcilié. Pendant trois mois, je n’ai rencontré que du bon monde.

Les confidences de ta conjointe à la caméra sont touchantes.
Elle raconte la difficulté pour vous de sortir entre amis, de souper en
tête à tête.

Ça fait de la bonne télé, hein? Ça m’a touché, même si on en avait déjà
parlé. Elle ne veut pas que les gens aient pitié pour elle, qu’ils
pensent que notre vie de couple est difficile. Je pense que ça va
rejoindre les gens, elle est authentique.

Dans le documentaire, on voit Julien qui tente d’obtenir un
emploi. Chez les personnes avec Asperger, le taux de chômage est de
40 %. Te sens-tu privilégié de connaître le succès professionnel?

Oui, tout à fait. Julien, c’est une belle rencontre. Je me suis reconnu
en lui quand j’étais jeune adulte, c’était difficile pour moi à
l’époque. J’ai eu la chance de choisir un métier atypique. Ça m’a permis
d’avoir un horaire flexible, d’avoir droit à mes excentricités. Je
regarde cheminer Julien, j’ai confiance que sa vie va s’améliorer, comme
la mienne s’est améliorée.

On sent ta mère peu à l’aise avec ta nouvelle «étiquette» d’autiste. «Il ne faut pas en abuser», dit-elle.

Je comprends la crainte de certaines personnes face à un effet de mode.
On en parle plus, donc ça donne l’impression qu’il y a de l’autisme
partout. Ce n’est pas ça. En pointant quelque chose qu’on ne connaissait
pas beaucoup, on le remarque plus dans la société. Ma mère m’a toujours
vu normal avec mes particularités et m’a toujours accepté comme ça. Le
diagnostic l’a brusquée. Je lui ai expliqué que, pour moi, ce n’était
pas une condamnation, mais un soulagement.

Qu’est-ce que tu attends de ce documentaire?

C’est comme un cours d’autisme 101. J’espère que ça va sensibiliser le
public, le rassurer. Mon souhait serait que, dans la société en général,
on s’ouvre à la différence, qu’on accepte les gens qui sortent des
normes. La différence n’est pas toujours agréable, pas toujours cute,
mais il faudrait être plus compréhensif.

Soirée sur l’autisme à Télé-Québec le mercredi 27 février

20 h: Apprenti autiste. Réalisation: Gabriel Allard-Gagnon. Productions Urbania.

21 h: Table ronde sur l’autisme aux Francs-tireurs, réunissant Guylaine Guay, Patricia Paquin et Sophie Prégent, mères d’enfants touchés par un trouble du spectre de l’autisme.

Louis T est en résidence à la Place des Arts et au Petit Théâtre de Québec avec Vérités et conséquences… sur scène, un spectacle qui reprend le ton et certains thèmes abordés dans ses capsules web.


[Source : Le Devoir]

«Apprenti autiste»: autistiquement parlant

L’équilibre entre l’intime et la science est idéal.
Photo: Télé-Québec
L’équilibre entre l’intime et la science est idéal.

Louise-Maude Rioux Soucy

23 février 2019

Louis T. a le chic pour quadriller un sujet, le décortiquant jusqu’à l’obsession dans ses capsules Vérités conséquences, méthode qui fait des merveilles dans le pénétrant documentaire Apprenti autiste.
Guidé par un souci de clarté exemplaire, l’humoriste part de son
diagnostic de syndrome d’Asperger pour sonder les mystères du trouble du
spectre de l’autisme (TSA) au moyen d’un savant mélange de faits
pointus et d’observation distanciées qui font mouche à tout coup.

À la caméra, Gabriel Allard-Gagnon tient le gouvernail avec aplomb,
se moulant à la personnalité rationnelle de son guide atypique à la
gamme émotive rappelant la palette de couleurs d’un daltonien. « Les
Asperger comme moi [ne] ressentent pas plus de sept [émotions] »,
dira-t-il. Et ils en usent mollement, se résumant souvent à « sept
nuances de bof », ajoutera-t-il. Paradoxalement, la quête de Louis T.
suscite, chez qui la partage et la regarde, de vrais transports. C’est
que derrière s’agitent des humains dont la différence prend soudain un
sens.

L’équilibre entre l’intime et la science est idéal. Pudiques, les
segments avec sa conjointe, sa mère et son fils sont touchants, idem
pour ces moments partagés avec des autistes de différents niveaux, tous
très justes. À l’autre bout du spectre, intervenants médicaux et
scientifiques éclairent sa quête avec une remarquable efficacité. Apprenti autiste offre
ainsi de la haute voltige intellectuelle sans jamais forcer, ouvrant à
une réflexion de fond qui se poursuivra immédiatement après, aux Francs-tireurs, en compagnie de Guylaine Guay, Patricia Paquin et Sophie Prégent, mères d’enfants touchés par un TSA.

Apprenti autiste

Télé-Québec, mercredi, 20 h ;
en reprise jeudi, 14 h
et le 3 mars, 20 h




Vive l’« intelligence » artificielle. Plus de 2000 morts en Australie à cause de la robotisation

[Source : Le Saker Francophone]

Vive l’« intelligence » artificielle. Plus de 2000 morts en Australie à cause de la robotisation


Et
un chinois cloué par le robot de son usine


Par SputnikNews –
Le 18 février 2019

On
estime à 2030 le nombre d’Australiens bénéficiant d’une forme
d’aide sociale ou autre qui sont morts après l’envoi de lettres
de menaces par le bureau gouvernemental chargée de payer ces aides,
lettres envoyées le plus souvent par erreur les avertissant que
leurs aides seront annulées.

Au
moins 2 030 bénéficiaires des services sociaux de base de
Centrelink, en Australie, sont décédés au cours d’une période
de deux ans après le lancement d’un programme d’automatisation
visant à corriger des écarts dans les données sur l’aide
sociale.

Selon
les rapports, après que Canberra a automatisé une grande partie de
ses services sociaux, des centaines de milliers de bénéficiaires –
en particulier ceux qui sont considérés comme psychologiquement « à
risque »
 –
ont reçu par erreur des lettres, entre juillet 2016 et octobre 2018,
exigeant de nouvelles preuves d’admissibilité aux aides sociales,
entraînant le décès de plus de 2030 personnes, selon Abc.net.au.

Le
programme Centrelink de Canberra fournit une aide sociale et de
nombreux autres services, y compris des soins de santé aux
retraités, aux Australiens autochtones, aux anciens combattants, aux
étudiants et aux familles avec de jeunes enfants, entre autres
groupes sociaux. Selon les données les plus récentes, on estime que
5,1 millions de personnes dépendent de l’un ou l’autre de ces
services.

Selon
des observateurs médicaux et gouvernementaux, les lettres générées
par la machine menacent d’interrompre le paiement, un événement
suffisamment grave pour que de nombreux bénéficiaires risquent de
se suicider.

« En
raison du fonctionnement actuel du système, les gens ne se sentent
pas en confiance ou ne se sentent pas en sécurité ou ne font pas
confiance à la personne à qui ils rendent compte pour signaler
qu’ils se sentent vulnérables ou qu’ils pourraient avoir une
mauvaise santé mentale à l’heure actuelle »
,
a déclaré la sénatrice Rachel Siewert, membre du Parti vert, citée
par Abc.net.au.

Siewert
a souligné les éléments de preuve recueillis dans le cadre d’une
enquête du Sénat qui révèlent que les avis de créances reçus
par des personnes à risque –  en particulier celles qui
sont reçues par erreur – peuvent entraîner une dépression
profonde et des pensées suicidaires.

Le
programme robotisé de Centrelink, conçu à l’origine pour
rationaliser un programme d’aide gouvernementale de grande
envergure, a plutôt eu pour effet d’imposer au bénéficiaire le
fardeau de la preuve pour les avis d’annulation émis par erreur,
car, selon les rapports, le service à la clientèle est de plus en
plus automatisé.

« Les
gens racontent se sentir stressés et anxieux avec ce système, se
sentir humiliés et être déprimés »
,
fait remarquer Siewert, ajoutant que l’utilisation d’une
interface machine « a
fait sonner une alarme en moi »
,
en raison de « la
proportion élevée de personnes vulnérables
.
Cela
devrait sonner aussi l’alarme pour le gouvernement afin qu’il
lance une enquête »
,
a-t-elle ajouté.

Le
programme Centrelink de Canberra, fait dans le but d’économiser de
l’argent, a commencé en juillet 2016 à utiliser une plate-forme
logicielle non identifiée pour faire correspondre les prestations
d’aide sociale des bénéficiaires à leurs dossiers fiscaux.

Au
fur et à mesure que le programme de la dette robotisée a été mis
en œuvre, les 20 000 lettres standard envoyées chaque année sont
devenues 20 000 lettres par semaine, qui ont souvent accablé les
bénéficiaires de demandes de renseignements supplémentaires et,
dans de nombreux cas, de données factuelles erronées.

« Robodebt
a émis des milliers d’avis de créances par erreur à l’intention
de parents, de personnes handicapées, d’étudiants et de personnes
à la recherche d’un emploi rémunéré, ce qui a eu pour effet
d’ensevelir des gens sous des dettes qu’ils ne doivent pas ou des
dettes supérieures à leurs obligations »
,
déclare le Dr Cassandra Goldie, directrice du Australian Council of
Social Service (ACOSS), cité par Abc.net.au.

« Il
s’agit d’un abus dévastateur de pouvoir de la part du
gouvernement qui a causé de graves préjudices, en particulier parmi
les personnes les plus vulnérables de notre communauté »
,
dit Mme Goldie.

Dans
de nombreux cas, ces demandes inutilement agressives de la part
d’agences de recouvrement de créances embauchées par Centrelink
auraient contribué aux suicides des bénéficiaires.

« Les
personnes souffrant de dépression grave ne gèrent pas la pression
financière »
,
déclare la mère d’une victime, qui a ajouté que dans les lettres
de recouvrement envoyées à son fils, les chiffres de la dette émise
par les robots « n’avaient
aucun sens »
,
cité par Abc.net.au.

Fin
de l’article

Et
dans le même sens :

En
chine, un robot enfonce ses clous dans un ouvrier.

Par Sputniknews –
Le 15 décembre 2018

Un
Chinois de 49 ans a été transporté d’urgence à l’hôpital
après un terrible accident dans la province du Hunan, selon un
rapport du People’s
Daily Online
.
Un
ouvrier d’usine chinois a été percé à plusieurs reprises par
des pointes de métal d’un demi-pouce (1,5 cm) de large et de 10
pouces (30 cm) de long après qu’un bras robotique lui soit tombé
dessus, a rapporté People’s
Daily Online
.
Six des tiges ont atteint son épaule droite et sa poitrine, tandis
que quatre autres ont percé d’autres parties du corps, selon un
hôpital chinois qui a traité l’ouvrier.

Il
a immédiatement été transporté d’urgence à l’hôpital, et
les médecins ont dit que l’une des pointes avait manqué une
artère de 0,04 pouce (0,1 cm). L’accident s’est produit mardi
dernier alors que l’homme travaillait de nuit.

« Ils [les clous] étaient relativement grands et il n’y avait donc aucun moyen d’insérer le patient dans l’appareil à rayons X, car les clous eux-mêmes auraient pu interférer avec les rayons X », a déclaré Wu Panfeng, professeur associé de microchirurgie de la main.

Il
est dans un état stable et est capable de bouger à nouveau son bras
droit, bien qu’il ait besoin de traitement et de physiothérapie
pour récupérer complètement.

Traduit
par Wayan, relu par Cat pour le Saker Francophone




Un important professeur de biochimie met en garde: La 5G est « l’idée la plus stupide de l’histoire du monde »

[Source : Guy Fawkes News]

Le déploiement international de la technologie sans fil de cinquième génération (5G) est en cours malgré l’opposition de plus en plus vive des scientifiques et des professionnels de la santé, qui tentent désespérément de nous avertir des dangers bien documentés de la 5G. Le gouvernement et les industries impliquées dans le déploiement de la 5G n’ont aucune préoccupation pour la sécurité publique car cette technologie promet d’être exceptionnellement rentable, tout en précipitant tout le monde dans cette technocratie émergente.

S’ajoute à la dissidence, Martin L. Pall, docteur et professeur émérite de biochimie et de sciences médicales de base à la Washington State University. Dans une étude et une présentation, il examine de plus près la technologie 5G et lance un avertissement majeur pour nous tous. « Installer des dizaines de millions d’antennes 5G sans un seul test biologique de sécurité doit correspondre à l’idée la plus stupide que quelqu’un ait jamais eu dans l’histoire du monde. » – Martin L. Pall, PhD Le rapport propose 4 explications pour lesquelles la 5G est nettement plus dangereuse que les générations précédentes de technologie sans fil, signalant: « La 5G devrait être particulièrement dangereuse pour chacune des quatre raisons suivantes:

  1. Le nombre extraordinairement élevé d’antennes prévues.
  2. La très grande quantité d’énergie qui sera utilisées pour assurer la pénétration.
  3. Les niveaux de pulsation extraordinairement élevés.
  4. Les apparentes
    interactions de haut niveau de la fréquence 5G sur des groupes chargés
    comprenant probablement les groupes chargés du capteur de tension. »

Il
commence par parler des directives de sécurité actuelles pour les
technologies 2g / 3g / 4g, en soulignant à juste titre que les
directives approuvées par le gouvernement ignorent les effets
indésirables qui se produisent à des doses ou expositions inférieures
auxdites directives. En d’autres termes, comme le souligne Pall, ils
sont aberrant en matière de sécurité.

Il
discute ensuite de huit façons dont cette technologie nuit à la santé
humaine, en s’appuyant sur une documentation scientifique exhaustive:

  1. Fertilité réduite
  2. Effets neurologiques / neuropsychiatriques
  3. Dommages à l’ADN cellulaire
  4. Apoptose – Mort cellulaire programmée
  5. Stress oxydant et dommages des radicaux libres
  6. Effets endocriniens (hormonaux)
  7. Excès de calcium intracellulaire
  8. Cancer

Dans sa conclusion, Pall n’a pas mâché ses mots pour décrire la 5G: « Le déploiement de la 5G est absolument insensé. » La présentation qui suit est particulièrement utile pour quiconque souhaite mieux comprendre de quoi il s’agit et comment le combattre.

M. Pall n’est qu’un des nombreux professionnels émettant le même avertissement, mais le déploiement progresse sans retard.

Martin Blank, du Département de physiologie et de biophysique cellulaire de l’Université de Columbia, résume ici son évaluation :

« Nous avons créé quelque chose qui nous fait du mal et cela nous échappe. Avant l’ampoule d’Edison, il y avait très peu de rayonnement électromagnétique dans notre environnement. Les niveaux actuels sont plusieurs fois supérieurs aux niveaux de base naturels et augmentent rapidement en raison de tous les nouveaux appareils émettant ce rayonnement. En termes clairs, ils endommagent les cellules vivantes de notre corps et tuent beaucoup d’entre nous prématurément. »

Dr. Marin Blank

La docteure Sharon Goldberg, médecin et professeure, commente la 5G en s’adressant au Sénat américain :

« Le rayonnement sans fil a des effets biologiques. Point final. Ce n’est plus un sujet de débat lorsque vous consultez PubMed et la littérature examinée par des pairs. Ces effets sont visibles dans toutes les formes de vie; plantes, animaux, insectes, microbes. Chez l’homme, nous avons maintenant des preuves évidentes du cancer: il n’y a pas de doute que nous avons des preuves de dommages à l’ADN, de la cardiomyopathie, précurseur de l’insuffisance cardiaque congestive, des effets neuropsychiatriques… La 5G est une application non testée d’une technologie que nous savons nuisible; nous le savons de la science. Dans les universités, on appelle cela la recherche sur des sujets humains. »

Dr. Sharon Goldber [Vidéo]


La 5G est une « guerre contre l’humanité »

Enfin, Claire Edwards, membre du personnel de l’ONU, a lancé cet avertissement fort aux membres de haut rang des Nations Unies, qualifiant la 5G de « guerre contre l’humanité »:

Source: www.wakingtimes.com
Traduction: Santé Nutrition


La vérité sur la 5G





Cas de rougeole aux États-Unis: l’Association des médecins et chirurgiens américains (AAPS) s’oppose à l’obligation vaccinale imposée par le gouvernement fédéral

[Source : Conscience du peuple]

Cas de rougeole aux États-Unis: l’Association des médecins et chirurgiens américains (AAPS) s’oppose à l’obligation vaccinale imposée par le gouvernement fédéral: quelques citations de la déclaration envoyée au Comité sénatorial de la santé (29 février 2019) ÉTONNANTES DÉCLARATIONS À LIRE, À PARTAGER ET À CONSERVER…

« L’Association des médecins et chirurgiens américains (AAPS) s’oppose fermement à toute ingérence du gouvernement fédéral dans les décisions médicales, y compris les vaccins prescrits. Après avoir été pleinement informés des risques et des avantages d’une procédure médicale, les patients ont le droit de rejeter ou d’accepter cette procédure. La réglementation de la pratique médicale est une fonction de l’État et non pas du gouvernement fédéral. La préemption gouvernementale des décisions des patients ou des parents d’accepter des médicaments ou d’autres interventions médicales constitue une grave atteinte à la liberté individuelle, à l’autonomie et aux décisions des parents en matière d’éducation des enfants. »

« Les vaccins comportent nécessairement des risques, comme l’ont reconnu la Cour suprême des États-Unis et le Congrès. Le programme d’indemnisation des traumatismes liés aux vaccins a déboursé 4 milliards de dollars de dommages et intérêts, et des obstacles importants doivent être surmontés pour obtenir une indemnisation. Les dommages peuvent être si dévastateurs que la plupart des gens préféreraient que leurs fonctions soient rétablies à des dommages-intérêts de plusieurs millions de dollars. »

« La rougeole est la menace très médiatisée utilisée pour obtenir des mandats et constitue probablement la pire menace parmi les maladies évitables par la vaccination, car elle est extrêmement contagieuse. Il y a des épidémies occasionnelles, commençant généralement par une personne infectée venant de quelque part en dehors des États-Unis. La majorité, mais en aucun cas toutes les personnes qui attrapent la rougeole n’ont pas été vaccinées. Presque tous se rétablissent complètement, avec une immunité robuste et permanente. La dernière mort par rougeole aux États-Unis a eu lieu en 2015, selon le Centers for Disease Control and Prevention(CDC). Les complications potentielles de la rougeole, notamment le décès de personnes impossibles à vacciner en raison d’un déficit immunitaire, justifient-elles la révocation des droits de tous les Américains et la création d’un précédent imposant des restrictions encore plus grandes à notre droit de donner ou de refuser le consentement à des interventions médicales? Clairement pas. »

« De nombreuses complications graves ont suivi la vaccination ROR et sont répertoriées dans la notice du fabricant, bien que le lien de causalité n’ait peut-être pas été prouvé. Selon un rapport de 2012 de la Cochrane Collaboration, «la conception et la notification des résultats d’innocuité dans les études de vaccin RRO, avant et après commercialisation, sont largement inadéquates» ( cité par le Centre national d’information sur les vaccins ). »

« La rougeole est un problème épineux et une vaccination forcée ne le réglera probablement pas. De meilleures mesures de santé publique – détection plus précoce, recherche des contacts et isolement; un vaccin plus efficace et plus sûr; ou un traitement efficace sont tous nécessaires. Pendant ce temps, ceux qui choisissent de ne pas vacciner maintenant pourraient le faire en cas d’épidémie ou être isolés. Quoi qu’il en soit, les patients immunodéprimés peuvent choisir l’isolement, car les personnes vaccinées peuvent également transmettre la rougeole même si elles ne sont pas malades. »

Questions que le Congrès doit examiner:

– Les fabricants sont pratiquement à l’abri de toute responsabilité sur leurs produits, de sorte que l’incitation à développer des produits plus sûrs est fortement réduite. Les fabricants peuvent même refuser de mettre à disposition un produit considéré comme plus sûr, tel que le vaccin monovalent contre la rougeole plutôt que le vaccin RRO (rougeole-oreillons-rubéole). Le refus du consommateur est la seule incitation à faire mieux.

– Il existe d’énormes conflits d’intérêts impliquant des relations lucratives avec des fournisseurs de vaccins.

– La recherche sur les effets indésirables possibles du vaccin est à peu près inexistante, de même que la dissidence des professionnels.

-Il existe de nombreux mécanismes théoriques d’effets indésirables des vaccins, en particulier chez les enfants en développement du cerveau et du système immunitaire. Notez les effets dévastateurs du virus Zika ou de la rubéole sur les personnes en développement, même si les adultes peuvent avoir des infections bénignes ou asymptomatiques. De nombreux vaccins contiennent des virus vivants destinés à causer une infection bénigne. Les cerveaux des enfants se développent rapidement – toute interférence avec la symphonie complexe du développement pourrait être destructive.

– Les vaccins ne sont ni sûrs à 100% ni efficaces à 100%. Ils ne constituent pas non plus le seul moyen disponible pour contrôler la propagation de la maladie.

Source:https://aapsonline.org/measles-outbreak-and-federal-vaccine-mandates/?fbclid=IwAR14tPRiZV1l6KSINFXguIacuJBr68XytbAnxGDNYhGw1q_jjiCkCH_QLBQ




Sur la République

[Source : Revue Méthode]

Les pièges du débat sur les évolutions historiques de la Res Publica

par Valérie BUGAULT

Réponse à l’article
de Jacques Sapir « Les débats sur la souveraineté révélés par les
évolutions des représentations de la Res Publica » –
http://www.revuemethode.org/m121815.html –
https://reseauinternational.net/les-debats-sur-la-souverainete-reveles-par-les-evolutions-des-representations-de-la-res-publica/#comments

Cet
article se veut un commentaire critique de l’article de Jacques Sapir
commentant un ouvrage de Madame Claudia Moatti, professeur « d’histoire
intellectuelle », qui traite de « l’évolution de la chose publique, de
la Res Publica dans le monde romain »… c’est-à-dire des interprétations
de la notion de « chose publique mais aussi des notions de légitimité et
de droit ». Le présent article ne commentera pas ledit ouvrage, que
l’auteur n’a pas lu, mais se revendique en tant que critique
constructive à la présentation de cet ouvrage faite par Jacques Sapir.Il
est en effet intéressant, et sans doute non contestable, de savoir que
le concept de « Res Publica » a subi, au temps de la Rome antique, de
sérieuses variations tant quantitatives que qualitatives.Néanmoins,
ce genre d’analyse comporte, en particulier lorsqu’elle est mise en
parallèle avec les temps républicains actuels, un biais intellectuel et
cognitif. Une telle mise en perspective historique du concept de
république a pour effet direct de tronquer les débats institutionnels en
les enkystant définitivement autour du seul concept de République,
avec, en arrière-fond, l’idée que la République instaurée en 1789 est
incontournable.Or, précisément, les Républiques du XVIIIème
siècle ne sont pas nées par hasard ou par la simple nostalgie des temps
antiques. Les Républiques du XVIIIème siècle sont nées de la volonté
d’une nouvelle caste dominante, celle de la bourgeoisie menée par les
banquiers, de prendre le pouvoir politique à un ordre ancien dominé par
l’aristocratie et le clergé.Il est ici impératif de constater
que l’ordre politique de l’Ancien Régime était donc, tout imparfait
qu’il était, fondé sur deux forces de valeur quasi égale et qui se
faisaient face ; ces deux pouvoirs agissaient comme un contre-pouvoir
l’un sur l’autre, libérant au passage un espace public libre. C’est
justement sur cet espace de liberté qu’a pu se développer la bourgeoise
commerçante et financière.

Or,
avec l’avènement des Républiques du XVIIIème siècle, la domination par,
d’une part l’aristocratie et, d’autre part, le clergé catholique, a
laissé la place, sous couvert de « bien public », à la domination de la
seule caste de la bourgeoisie, menée par les banquiers commerçants. Pour
résumer, une domination bicéphale a laissé la place à une domination
monocéphale, dont nous voyons aujourd’hui l’aboutissement. Or, cette
domination des banquiers commerçants est restée anonyme, elle s’est
hypocritement cachée derrière :1°) des institutions politiques organisées autour du principe de « mandat représentatif » ;2°)
de belles pétitions de principes telles que la revendication de la
liberté pour tous, alors qu’il s’agissait principalement de la liberté
du commerce… de la libre concurrence qui bénéficie au bien commun, en
oubliant de préciser qu’en système concurrentiel, seuls les plus forts
s’en sortent…. Alors précisément que les critères de détermination « des
plus forts » étaient fondés sur des règles, non dites, d’interprétation
extrêmement flexible : ainsi, acquérir une fortune par malversations,
assassinats et autres vilénies, n’en reste pas moins un signe que
l’auteur de ces méfaits est « le plus fort ». La liberté de laquelle
sont nées les Républiques du XVIIIème siècle fait bon cas de la morale,
de la droiture et de la Justice au profit de ce qui s’apparente
juridiquement de facto à la glorification de la « voie de fait ».

Pour
résumer, il faut constater que la liberté proclamée par les Républiques
du XVIIIème siècle se cache derrière des institutions politiques
fondées sur la prééminence des parlements dont les membres sont cooptés
par des partis politiques avant que leur élection ne soit entérinée, sur
fonds de nombreuses et très opaques tractations médiatico-politiques,
par un public pris en otage. Ce public – le peuple – étant dans
l’incapacité totale et définitive de sanctionner les actions
particulières prises par ses représentants autrement que quelques années
après les faits en votant pour d’autres individus élus dans des
conditions tout aussi fallacieuses et pernicieuses.Pour
parler clairement, les parlements, d’origine anglaise, généralement
déployés dans le monde depuis le XVIIIème siècle ne sont rien d’autres
que la vitrine présentable du fait que le pouvoir politique échoie
désormais à des « partis politiques ». Or, lesdits partis ne peuvent
vivre que s’ils sont financés, ce qui permet aisément aux puissances
d’argent d’en prendre le contrôle. Cette prise de contrôle est d’autant
plus aisée que l’accaparement généralisée des richesses, par ces mêmes
puissances d’argent, est atteinte.Ainsi, le retour à
l’analyse de la Res Publica des temps antiques ne doit pas cacher les
raisons et le contexte de la naissance des Républiques des temps
modernes ! Il est donc impératif, pour éviter toute manipulation
intellectuelle, de rappeler que si l’on peut trouver des points de
ressemblance – notamment dans la terminologie utilisée – entre la Res
Publica antique et les républiques modernes, il faut impérativement
garder à l’esprit que les raisons profondes de la réapparition, en
occident, de la République ne sont pas tant dues à la nostalgie d’un
passé glorieux et libre, plus ou moins bien interprété et réapproprié,
qu’aux contraintes de la prise de pouvoir politique par une nouvelle
caste arrivée à maturité : celle des banquiers commerçants.




Le rabbin Gabriel Hagaï : « Notre Torah est basée sur la justice, l’amour, l’humilité, l’inclusion. Tout le contraire des « valeurs » du sionisme construites sur l’orgueil, l’oppression, la haine et l’exclusion. »

[Source : UJFP]

mercredi 27 février 2019 par Rabbin Gabriel Hagai

Suite à la polémique populaire récente autour de la définition du « sionisme » – et donc de la nature de l’opposition à cette idéologie –, je pense qu’il est important d’apporter ici quelques éclaircissements (en tant que juif orthodoxe séfarade franco-israélien).

Le sionisme est un projet politique séculaire
d’origine européenne qui usurpe l’identité juive pour la transformer en
nationalisme primaire. C’est donc par définition un mouvement raciste,
exclusiviste et hégémoniste, de facto faiseur d’apartheid. C’est cette
idéologie toxique qui a donné naissance à l’État d’Israël. Or, avant
cela, les juifs n’ont jamais été nationalistes, ni par leur histoire, ni
par leur religion.

L’amalgame entre « sionisme » et « judaïsme » est souvent dû au fait
que ce premier est un mouvement nationaliste juif, s’adressant aux
juifs, et dont le but est l’établissement d’un pays juif souverain
(l’État d’Israël) parlant une langue juive (l’hébreu en l’occurrence).
Du coup, le qualifier de « judaïsme » devient séduisant pour certains.
Mais c’est complètement méconnaître l’idéologie même du sionisme dont le
but est de remplacer la Torah (c’est-à-dire l’observance des préceptes
bibliques mosaïques) par du nationalisme. Être juif, pour le sionisme,
c’est être un citoyen de l’État sioniste, pour lequel toute pratique
religieuse est superflue, voire à combattre.

Le sionisme est donc l’adversaire idéologique de la Torah (de la
religion juive). Certes, il existe un mouvement sioniste religieux,
centré autour de la pensée de R. Tsevî-Yehûda Kook (1891-1982), mais
nombreuses y sont les incohérences, les réductions et les contradictions
vis-à-vis des sources religieuses juives authentiques.

Il faut bien comprendre qu’il n’existe pas plus de lien entre le
sionisme (l’État d’Israël) et la Torah – malgré la judaïté des sionistes
– qu’entre le Ku Klux Klan et l’Église Catholique (bien que les
klanistes soient chrétiens) ou qu’entre le FLN algérien et l’islam (bien
que ses membres soient de culture arabo-musulmane). Donc, on ne peut
pas plus affirmer que l’État israélien représenterait LES juifs (tous
les juifs, et le judaïsme en plus), que le Gouvernement algérien
représenterait les musulmans ou le Texas les chrétiens.

Malgré tout cela, l’État d’Israël utilise plusieurs sophismes afin de
s’établir en représentant légitime et exclusif du Peuple d’Israël. La
liste est longue et fallacieuse, et je n’en aborderai ici que
quelques-uns de ses éléments.

Le point le plus important de la propagande sioniste est de
« favoriser le “retour” du Peuple juif en Terre d’Israël » ! Or, à ma
connaissance, des juifs ont de tout temps vécu en Terre Sainte. De quel
« retour » parle-t-on alors, vu que les juifs n’ont jamais rompu leur
lien à cette Terre ? Du pouvoir politique ?

De plus, ce « Peuple juif » cité ici, qui est-il ? Il me semble que
la majorité du Peuple juif ne vit justement pas en Terre Sainte. Qui
donc peut s’établir là-bas en représentant exclusif de ce peuple (et
délégitimer ainsi les autres juifs vivant ailleurs) ?

Et puis, « en Terre d’Israël » – selon quelles frontières ? La Terre
d’Israël biblique comprend aussi l’autre rive du Jourdain (la Jordanie
actuelle) jusqu’à Damas (en Syrie actuelle). Devrait-on entendre par là
qu’il faudrait également que les juifs conquièrent ces territoires afin
d’y assoir leur gouvernance ?

Un autre élément de propagande est l’utilisation ad nauseam de
l’argument sécuritaire. Exactement comme en Afrique du Sud lors de
l’Apartheid – où les Blancs étaient convaincus par la propagande de
maintenir cet état de fait, sinon les Noirs allaient tous les égorger –,
ainsi les Israéliens sont manipulés à croire que tous les Arabes
veulent leur extermination.

Pour accentuer cette démagogie, le souvenir de la Shoah est agité
sans vergogne afin de distiller la peur de l’anéantissement. L’État
sioniste garantirait la sécurité des juifs dans le monde. Or, c’est tout
le contraire qui se passe ! Le raccourci est aisé : identification
entre l’État d’Israël et les citoyens israéliens, puis entre les
Israéliens et tous les juifs. Comment empêcher cet amalgame toxique ?
Les institutions juives françaises n’aident pas à calmer la situation,
au contraire. Leur soutien inconditionnel à l’État d’Israël – et leur
fait d’assimiler l’antisionisme à l’antisémitisme –, ouvre le bal de
tous les amalgames. La communauté juive se retrouve prise en otage par
l’idéologie sioniste. Les discours s’enflamment de tous les côtés, et le
sang juif coule de par le monde.

Il est important de souligner ici que l’identité juive ne s’établit
pas vis-à-vis des aléas des persécutions (qui sont des épiphénomènes ne
nous définissant pas), mais vis-à-vis de la Torah. C’est elle qui
légitime notre histoire et notre identité en tant que peuple (ou plutôt
en tant que famille) – du coup, selon moi, un juif sans Torah, même si
cela existe de facto, n’a pas beaucoup de sens.

Car nous les juifs sommes une famille, pas une nation au sens
politique du terme. Nous sommes la « Famille de Jacob (Bêt-Ya‘aqov) »,
celle de ses descendants – à qui Dieu a donné Sa Torah par Moïse –, et à
laquelle on peut appartenir par trois moyens : 1. la filiation, 2.
l’adoption (ce qu’on appelle abusivement la « conversion ») et 3. le
mariage. C’est pour cela qu’il existe des juifs de toutes les ethnies,
fruits des mélanges entre nos populations originelles du Moyen-Orient et
les peuples qui nous ont accueillis tout au long de notre histoire.
Ainsi nos gènes sont communs avec nos sœurs et frères les Palestiniens,
qui partagent la même origine que nous.

Notre Torah est justement basée sur la justice, l’amour, l’humilité
et l’inclusion. Tout le contraire des « valeurs » du sionisme
construites sur l’orgueil, l’oppression, la haine et l’exclusion. Selon
notre Torah, on ne saurait donc établir une société saine sur
l’injustice envers ne fût-ce qu’une seule personne (fût-elle non-juive) –
a fortiori envers un peuple tout entier.

Les juifs sont donc les premières victimes de l’arnaque sioniste (la
liste est longue). Les seconds en sont les Palestiniens qui subissent
une occupation violente et un apartheid en règle – quand ils ne sont pas
purement et simplement massacrés.

Aujourd’hui, les personnes qui se disent « antisionistes » justifient
leur point de vue par un ou plusieurs des éléments suivants, parfois
antinomiques (selon Wikipédia) :

1. L’opposition idéologique de principe à l’État d’Israël ou à la
politique israélienne de manière générale, selon le point de vue
qu’Israël serait responsable de la situation et des conflits au
Moyen-Orient.

2. L’opposition à la politique de colonisation des territoires
palestiniens occupés, selon le point de vue que l’État d’Israël et
certains groupements se réclamant du sionisme y appliqueraient une
politique expansionniste dans la perpétuation du projet sioniste.

3. La condamnation de la situation des Arabes israéliens et des
Palestiniens pour lesquels certains estiment qu’ils subissent des
discriminations jugées proches de l’apartheid, voire qu’on perpètre à
leur encontre des « crimes de guerres » et ce, parce que le projet
sioniste serait par essence raciste.

4. Nonobstant la situation des populations non-juives, l’opposition
au caractère juif voulu par le sionisme de l’État d’Israël, selon le
point de vue que ce principe, qui est à la base du sionisme, ne serait
pas laïque et démocratique, mais religieux ou racial.

5. Dans le monde musulman, l’opposition à l’occupation de Jérusalem
et d’autres lieux saints de l’islam par l’État d’Israël ou par des
juifs ;

6. L’opposition à l’existence d’Israël en tant qu’état, ce qui est le
but principal du sionisme, selon le point de vue que seul un état
binational recouvrant toute l’ancienne Palestine historique serait
légitime ou pourrait apporter des solutions au conflit
israélo-palestinien, ce qui est contraire au fondement même du sionisme.

7. L’opposition au droit à l’existence même de l’État d’Israël ou
d’un état juif, souvent dénommé « Entité sioniste » dans ce contexte, et
selon le point de vue que le sionisme ne serait en rien légitime et
qu’il aurait spolié les Arabes palestiniens de leur pays.

Dans le dernier cas, cette opposition (des fois armée et violente) à
l’existence de l’État d’Israël peut même dégénérer en antisémitisme
(c.-à-d. en haine générale du juif) comme l’avait craint Habib Bourguiba
dès 1965 : « Dans le cas de la Palestine, cette haine conduit à
confondre l’antisionisme avec l’antisémitisme, ce qui engendre […] un
fanatisme qui sera dangereux le jour où il faudra négocier. » (dixit
Wikipédia)

L’expression « antisionisme » peut donc prêter à confusion, car elle
est aussi utilisée par ceux qui veulent purifier la Terre Sainte de
toute présence juive (par un massacre pur et simple de la population
israélienne) – ce qui n’est évidemment pas mon cas, ni le cas de mes
amis Palestiniens, ni celui de l’écrasante majorité des gens sains
d’esprit. Surtout que je suis plutôt un partisan de la non-violence, un
adepte de la paix et de la justice.

Une paix authentique en Terre Sainte ne sera possible que fondée sur
la justice pour tous les protagonistes, et non sur la simple absence de
violence ou sur le remplacement d’une injustice par une autre. La paix
ne se fera pas au détriment des Israéliens et au bénéfice des
Palestiniens, ou réciproquement, mais au bénéfice des deux, ensemble.

C’est pourquoi soutenir la paix c’est soutenir les deux camps – pas
les discours politiques, bien sûr, ni les gouvernements, mais les
habitants eux-mêmes –, et servir de médiateur afin qu’ils trouvent
d’eux-mêmes leur propres solutions à tous leurs problèmes. Je pense que
dès la reconnaissance par le Gouvernement israélien de ses erreurs,
l’abandon de l’occupation armée et l’octroi de leur droits aux
Palestiniens, qu’il n’y aura alors plus de problèmes (car plus de
sionisme).

Pour conclure, en tant qu’opposant à l’idéologie sioniste pour toutes
les raisons suscitées (1 à 7, entre autres), j’accepte d’être qualifié
d’« antisioniste » par défaut d’un meilleur terme.

Rabbin Gabriel Hagai

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« J’ai tiré sur le fil du mensonge et tout est venu »

[Source : Réseau International]

J’ai tiré sur le fil du mensonge et tout est venu

Auteur :Général Dominique Delawarde

J’ai tiré sur le fil du mensonge et tout est venu
philippe_de_villiers 20190313_

S’appuyant sur des documents écrits provenant des archives US déclassifiées, dont nul ne peut contester la teneur ou l’authenticité
, Philippe de Villiers vient de faire publier un livre sous le titre :
« J’ai tiré sur le fil du mensonge et tout est venu». Il y fait
apparaître le rôle «intéressé» joué par les Etats
Unis et par trois personnages «complices» Robert Schuman, Jean Monnet et
Walter Hallstein dans la construction européenne. Tout cela était déjà
connu des initiés, mais la notoriété de l’auteur et ses sources
irréfutables renforcent la crédibilité de la thèse exposée.

Je vous conseille vivement la lecture de ce livre ou, à défaut, le visionnage de la vidéo de sa présentation (18 minutes) dans l’émission de Thierry Ardisson du 9 mars dernier sur le lien suivant : https://www.dailymotion.com/video/x73ug4b


Le travail d’historien de Philippe de Villiers vient confirmer un constat quasi identique présenté en conférence par François Asselineau dès le 24 avril 2014, à la maison des mines à Paris.

À voir sur le lien suivant : https://www.upr.fr/conferences/les-origines-cachees-de-la-construction-europeenne-2/

Cette conférence étant très longue, on retrouvera les convergences avec le livre de De Villiers à partir de 1h28′.

Cette conférence de Asselineau permet de bien comprendre ce qui se
passe actuellement: par exemple le projet de Traité transatlantique, la
mainmise des grands groupes industriels et financiers sur la vie
politique, économique et sociale du continent européen, les événements
en Ukraine, l’hostilité de plus en plus manifeste de l’UE contre la
Russie et le monde musulman, la soumission à Washington et à Berlin….etc

Pour les non initiés, François Asselineau est le Président de l’Union
Populaire Républicaine, parti politique dont les effectifs sont en très
forte ascension à l’approche des élections européennes (35 000 membres
aujourd’hui). Ce parti se prononce pour la sortie de la France de l’UE
(Frexit), de l’OTAN, et de l’Euro.

Le site internet de ce parti est aujourd’hui, de loin, le plus visité de tous les sites de partis politiques français : https://www.upr.fr/actualite/france/en-depassant-le-site-de-en-marche-le-site-upr-fr-se-hisse-au-1er-rang-mondial-des-sites-de-tous-les-partis-politiques-francais-et-renforce-encore-sa-1ere-place-nationale/

les raisons cachées du désordre mondial 20190313

Enfin, dans le même ordre d’idée, un nouveau livre de Valérie Bugault va paraître le 29 mars prochain aux éditions SIGEST sous le titre : «Les raisons cachées du désordre mondial».

On y apprendra comment l’idée de démocratie a cédé le pas au chaos universel et, derrière les apparences, qui sont les réels protagonistes de la géopolitique mondiale.

Valérie Bugault fait une analyse
juridique, institutionnelle, économique et monétaire, qui considère les
évolutions historiques nationales et internationales, et permet de
saisir la réalité cachée du pouvoir actuel.

Elle propose des solutions juridiques,
institutionnelles et monétaires permettant de sortir de la nasse
civilisationnelle dans laquelle nous nous sommes collectivement
enferrés.

Bonne lecture.

Dominique Delawarde




Des scientifiques russes découvrent des bactéries qui neutralisent les déchets nucléaires

[Traduction par Stop Mensonges]

Des scientifiques russes découvrent des bactéries qui neutralisent les déchets nucléaires

Cette bactérie unique, découverte dans
un site de stockage de déchets nucléaires en Sibérie, semble prometteuse
en tant qu’outil permettant de créer une barrière naturelle contre la
propagation des radionucléides.

Des chercheurs de l’Institut Frumkin de
physico-chimie de Moscou et du Centre fédéral de recherche en
biotechnologie de l’Académie des sciences de Russie ont réussi à isoler
des micro-organismes qui peuvent être utilisés pour protéger
l’environnement environnant des déchets radioactifs liquides.

Les scientifiques ont fait cette
découverte lors d’études microbiologiques des eaux souterraines sur le
site d’enfouissement des radiations profondes de Seversky, dans la
région de Tomsk, en Sibérie, où sont stockés les déchets radioactifs
liquides du Combinat chimique sibérien, qui fournit et retraite
l’uranium faiblement enrichi en combustible nucléaire.

Leurs recherches, publiées récemment
dans Radioactive Waste, une revue scientifique russe, suggèrent que la
bactérie est capable de convertir les ions radionucléides, y compris
ceux qui se trouvent dans l’uranium et le plutonium, en formes
sédentaires, empêchant ainsi la propagation des rayonnements dangereux
dans le milieu environnant. Grâce à l’expérimentation en laboratoire,
les scientifiques ont pu mettre au point les conditions nécessaires pour
que la bactérie puisse mener à bien son travail utile.

Les chercheurs affirment que leurs
découvertes constituent une première étape dans la création d’une
barrière biogéochimique pour les radionucléides utilisés dans les sites
d’enfouissement profond contenant des déchets radioactifs liquides.

La recherche sur les outils
microbiologiques permettant de limiter les effets des déchets nucléaires
est menée depuis les années 1980, les scientifiques du monde entier
affirmant que les processus microbiens doivent être pris en compte dans
les projets d’enfouissement et de stockage des déchets nucléaires qui
peuvent autrement se décomposer sur une période de millions, voire de
milliards d’années.

Source : https://sputniknews.com/science/201810081068701682-nuclear-waste-neutralizing-bacteria/




« Arrêtons le cycle du pillage et de la récompense immorale et les structures élitistes s’effondreront » — Pr. Antony C. Sutton

[Source : Alter Info]

L’essentiel du Pr. Antony C. Sutton en versions PDF revues et corrigées par Jo Busta Lally en mars 2019

Auteur : JBL1960
Lundi 18 Mars 2019

L’essentiel du Pr. Antony C. Sutton en versions PDF revues et corrigées par Jo Busta Lally en mars 2019

Conseil aux Gilets Jaunes et ses sympathisants :

« Arrêtons le cycle du pillage et de la récompense immorale et les structures élitistes s’effondreront »

Voici la conclusion de l’ouvrage (chapitre 12) « Wall Street et la montée en puissance d’Hitler » du Pr. Antony C. Sutton,
qui se veut aussi être une conclusion sur son œuvre trilogique sur «
Wall Street » ; le tout en gardant présent à l’esprit que ceci fut écrit
par Sutton en 1977, il y a donc 42 ans !… Regardez et analysez le monde
d’aujourd’hui à la lumière de ses conclusions d’il y a plus de trente
ans… Sutton est l’exemple même de la véracité de la formule qui dit
qu’il faut connaître le passé pour comprendre le monde d’aujourd’hui et
anticiper celui de demain.

[…] Ce que l’histoire révisionniste nous apprend réellement est que notre volonté en tant que citoyens individuels à abandonner le pouvoir politique à une élite a coûté au monde environ 200 millions de vies humaines entre 1820 et 1975. Ajoutons à cela la misère non-dite des camps de concentration, des prisonniers politiques, de la suppression et de l’oppression de ceux qui essaient d’amener la vérité au grand jour.

Quand cela s’arrêtera-t-il ? Cela ne s’arrêtera pas tant que nous n’agissons pas selon un axiome très simple : que le système du pouvoir ne continue que tant que les individus veulent qu’il continue et cela continuera seulement tant que les individus essaient d’avoir quelque chose pour rien. Le jour où une majorité d’individus déclarera ou agira comme s’ils ne voulaient rien du gouvernement, déclarera qu’elle s’occupera elle-même de ses intérêts et de son bien-être, alors ce jour-là les élites du pouvoir seront finies. La tentation attractive “d’aller avec ces élites du pouvoir” est l’attraction vers le quelque chose pour le rien. C’est l’appât. L’establishment offre toujours quelque chose pour le rien : mais ce quelque chose est toujours pris à quelqu’un d’autre, soit comme impôt, taxe ou pillage et donner quelque part d’autre en échange de soutien politique.

Les crises et guerres périodiques sont utilisées pour obtenir un soutien pour des autres cycles de pillage-récompense, ce qui a pour effet de resserrer le nœud coulant autour du cou des libertés individuelles. Bien sûr nous avons également les hordes d’éponges intellectuelles, d’hommes d’affaire amoraux et de profiteurs, pour agir comme les récipients non productifs du pillage.

Arrêtons le cycle du pillage et de la récompense immorale et les structures élitistes s’effondreront. Mais pas avant qu’une majorité ne trouve le courage moral et la force intérieure de rejeter ce jeu truqué du quelque chose pour rien et de le remplacer par des associations volontaires, des communes volontaires ou des réglementations locales et des sociétés décentralisées, pour que cesse enfin le meurtre et le pillage.

Pr. Antony C. Sutton

C’est pourquoi j’ai relu les 3 PDFs essentiels que Résistance71 avait initialement traduits et que j’avais déjà mis en version PDF, ICI.

En voici donc les dernières versions revues et corrigées, car
après ce qu’il vient de se (laisser faire) hier, samedi 16 mars 2019, en
France, pendant l’Acte XVIII des Gilets Jaunes et pour discréditer le Mouvement et rien d’autre ;

Mais également en Nouvelle Zélande avec cette nouvelle tuerie de masse par un suprémaciste blanc et sur le même modèle que Breivik, et je vous recommande vivement la lecture de l’analyse par Gordon Duff de Veterans Today, qui 7 minutes après la publication a été hacké et que Résistance 71 a entièrement traduite et publiée ;

Car c’est pour toutes ces raisons qu’il est grand temps que nous arrêtions le cycle du pillage et de la récompense immorale et ainsi les structures élitistes s’effondreront, comme je l’ai moi-même argumenté dans ce billet du 4 mars dernier ► Effondrer le colonialisme par apostasie collective ou renonciation au baptême – Jo Busta Lally, mars 2019

Car la suite logique pour le peuple après cet acte XVIII que le pouvoir en place a laissé aux mains des casseurs pour perpétuer le cycle pillage/récompense, c’est La Commune et la Commune des communes comme l’avait analysé Pierre Kropotkine d’ailleurs, il y a 138 ans et que tout Gilet Jaune et sympathisant devrait lire, relire et diffuser sans aucune modération, texte qui résonne du son de la fraîcheur et de l’évidence (et qui fera l’objet d’un prochain PDF d’ailleurs sur suggestion de Résistance 71) ► Le jour d’après le 18ème round, quelle suite logique pour le peuple ?

Ou comme l’avait affirmé, plus haut, le Pr. Antony C. Sutton (pas avant qu’une) majorité ne trouve le courage moral et la force intérieure de rejeter ce jeu truqué du quelque chose pour rien et de le remplacer par des associations volontaires, des communes volontaires ou des réglementations locales et des sociétés décentralisées, pour que cesse enfin le meurtre et le pillage.

Et bien c’est le moment !

  1. L’implication de Wall Street dans la Révolution russe (Bolchévique), par le Pr. Antony C. Sutton (nouvelle version PDF de 69 pages) ;
  2. Wall Street et la montée en puissance d’Hitler, par le Pr. Antony C. Sutton (nouvelle version PDF de 56 pages) ;
  3. Le meilleur ennemi qu’on puisse acheter ; Discours du Pr. Antony Sutton à Miami Beach le 15 août 1972 (nouvelle version PDF de 14 pages)

JBL1960

Vous pouvez pousser la lecture des autres PDF dans cette page de mon blog ► https://jbl1960blog.wordpress.com/les-pdfs-realises-par-jbl1960/




La jeune militante du climat Greta Thunberg répond à ses détracteurs

[Source : Reporterre]

Auteur :Greta Thunberg

La jeune militante du climat Greta Thunberg répond à ses détracteurs

La jeune militante du climat Greta Thunberg répond à ses détracteurs

La grève de
l’école de la jeune Suédoise Greta Thunberg connaît une notoriété
internationale et lui vaut un certain nombre de critiques. Dans cette
tribune, elle défend l’honnêteté de son engagement.

Greta Thunberg est une jeune militante suédoise qui fait la grève de l’école pour alerter sur la crise climatique. Cette tribune est la traduction d’un post de sa page Facebook du 2 février 2019 dans lequel elle répond à ses détracteurs. Reporterre, dans une chronique, décrivait notamment « l’envers de ce conte de fées ».


Récemment, j’ai vu beaucoup de rumeurs circuler à mon sujet et
d’énormes quantités de haine. Ce n’est pas une surprise pour moi. Je
sais que, puisque la plupart des gens ne sont pas conscients de la
pleine signification de la crise climatique (ce qui est compréhensible
puisqu’elle n’a jamais été traitée comme une crise), une grève scolaire
pour le climat peut sembler très étrange aux gens en général.

Permettez-moi donc de clarifier certaines choses au sujet de ma grève de l’école.

En mai 2018, j’ai été l’une des lauréats d’un concours de rédaction sur l’environnement organisé par Svenska Dagbladet, un journal suédois. J’ai fait publier mon article et certaines personnes m’ont contactée, entre autres Bo Thorén, de Fossil Free Dalsland. Il appartenait à un groupe de personnes, surtout des jeunes, qui voulaient faire quelque chose au sujet de la crise climatique. J’ai eu quelques réunions téléphoniques avec d’autres militants. L’objectif était de trouver des nouveaux projets pour attirer l’attention sur la crise climatique. Bo avait quelques idées. Notamment une idée vague d’une grève scolaire (que les écoliers fassent quelque chose dans les cours d’école ou dans les salles de classe), inspirée par les étudiants de Parkland qui avaient refusé d’aller à l’école après la fusillade. J’ai aimé l’idée d’une grève scolaire. Je l’ai donc développée et j’ai essayé d’amener les autres jeunes à se joindre à moi, mais personne n’était vraiment intéressé. Ils pensaient qu’une version suédoise de la marche Zero Hour aurait des effets plus importants. J’ai donc continué à planifier la grève de l’école toute seule et après cela, je n’ai plus participé à d’autres réunions avec ce groupe.

Il n’y a personne « derrière » moi, sauf moi-même 

Quand j’ai parlé de mes projets à mes parents, ils n’ont pas été
conquis. Ils n’étaient pas favorables à une grève dans les écoles et ils
ont dit que, si je le faisais, je devais le faire toute seule et sans
leur soutien.

Le 20 août, je me suis assise devant le Parlement suédois. J’ai
distribué des tracts avec une longue liste de faits sur la crise
climatique et des explications sur les raisons de ma grève. La première
chose que j’ai faite a été d’afficher sur Twitter et Instagram ce que je
faisais et ça a vite été viral. Puis, les journalistes ont commencé à
arriver. Ingmar Rentzhog, entrepreneur suédois et homme d’affaires actif
dans le mouvement climatique, a été parmi les premiers. Il m’a parlé et
a pris des photos, qu’il a affichées sur Facebook. C’était la première
fois que je le rencontrais et que je lui parlais. Je n’avais jamais
communiqué avec lui, je ne l’avais jamais rencontré auparavant.

Beaucoup de gens aiment répandre des rumeurs disant que j’ai des gens « derrière moi » ou que je suis « payée » ou « utilisée » pour faire ce que je fais. Mais il n’y a personne « derrière »
moi, sauf moi-même. Mes parents étaient aussi éloignés que possible des
militants climatiques avant que je ne leur fasse prendre conscience de
la situation.

Je ne fais partie d’aucune organisation. Je soutiens et coopère parfois avec plusieurs ONG
qui travaillent dans les domaines du climat et de l’environnement. Mais
je suis absolument indépendante et je ne représente que moi-même. Et je
fais ce que je fais complètement gratuitement, je n’ai reçu aucune
somme d’argent ni aucune promesse de paiements futurs, sous quelque
forme que ce soit. Et personne lié à moi ou à ma famille ne l’a fait non
plus.

Et bien sûr, ça restera comme ça. Je n’ai pas rencontré un seul
militant climatique qui se batte pour le climat pour de l’argent. Cette
idée est complètement absurde. De plus, je ne voyage qu’avec la
permission de mon école et mes parents paient les billets et
l’hébergement.

Ma famille a écrit un livre sur la façon dont ma sœur Beata et moi
avons influencé la manière dont mes parents pensent et voient le monde,
surtout en ce qui concerne le climat. Et à propos de nos diagnostics.

Asperger n’est pas une maladie, c’est un don

Ce livre [1] devait paraître en mai [2018]. Mais comme il y avait un désaccord majeur avec la maison d’édition, nous avons fini par changer d’éditeur et le livre est sorti en août [2018] à la place.

Avant la sortie du livre, mes parents ont clairement indiqué que les
bénéfices qu’ils pourraient en tirer iront à huit associations
caritatives différentes travaillant dans les domaines de
l’environnement, du soutien aux enfants malades et de défense des droits
des animaux.

Eh oui, j’écris mes propres discours. Mais comme je sais que ce que
je dis va toucher beaucoup, beaucoup de gens, je demande souvent des
avis. J’ai aussi quelques scientifiques à qui je demande fréquemment de
l’aide pour exprimer certaines questions complexes. Je veux que tout
soit absolument correct afin de ne pas répandre des faits erronés, ou
des choses qui peuvent être mal comprises.

Un jeune admirateur de Greta Thunberg.

Certaines personnes se moquent de moi à cause de ma différence. Mais Asperger [2] n’est pas une maladie, c’est un don. Les gens disent aussi que, parce que j’ai Asperger, je n’aurais pas pu décider seule de me mettre dans cette position. Mais c’est exactement pour cette raison que je l’ai fait. Parce que, si j’avais été « normale » et sociable, j’aurais intégré une association, ou j’en aurais fondé une moi-même. Mais comme je ne suis pas très sociable, j’ai fait la grève de l’école à la place. J’étais tellement frustrée que rien ne soit fait pour lutter contre la crise climatique et j’avais l’impression que je devais faire quelque chose, n’importe quoi. Et, parfois, NE PAS faire les choses — comme simplement s’asseoir devant le Parlement et ne plus aller à l’école — parle bien plus fort que d’agir. Comme un murmure est parfois plus fort qu’un cri.

Il y a aussi une critique selon laquelle je « parle et écris comme un adulte ». À cela, je ne peux que répondre : ne pensez-vous pas qu’une adolescente de 16 ans puisse parler d’elle-même ? Il y a aussi des gens qui disent que je simplifie trop les choses. Par exemple, quand je dis que « la crise climatique a une réponse simple : c’est tout noir ou tout blanc », « nous devons arrêter les émissions de gaz à effet de serre » et « je veux que vous paniquiez ».
Mais je dis ça parce que c’est vrai. Oui, la crise climatique est la
question la plus complexe à laquelle nous ayons jamais été confrontés et
il va falloir tout faire pour y mettre fin. Mais la solution est
simple : nous devons mettre un terme aux émissions de gaz à effet de
serre.

Comme presque personne ne fait rien et que notre avenir même est en danger, nous pensons que nous devons continuer

C’est tout noir ou tout blanc, parce que, soit nous limitons le
réchauffement à 1,5 °C par rapport aux niveaux préindustriels, soit nous
ne le faisons pas. Soit nous atteignons un point de basculement où nous
commençons une réaction en chaîne avec des événements hors du contrôle
humain, soit nous ne le faisons pas. Soit nous continuons en tant que
civilisation, soit nous ne le faisons pas. Il n’y a pas de zones grises
quand il s’agit de survie.

Et quand je dis que je veux que vous paniquiez, je veux dire que nous
devons traiter la crise comme une crise. Lorsque votre maison est en
feu, vous ne vous asseyez pas et ne parlez pas de la façon dont vous
pourrez la reconstruire une fois que vous aurez éteint le feu. Si votre
maison est en feu, vous sortez en courant et vous vous assurez que tout
le monde soit dehors pendant que vous appelez les pompiers. Cela exige
un certain niveau de panique.

Greta Thunberg.

Il y a un autre argument contre lequel je ne peux rien faire. Et c’est le fait que je ne suis « qu’une enfant et que nous ne devrions pas écouter les enfants ».
Mais, c’est facile de répondre : il suffit de commencer à écouter la
science, solide comme le roc, à la place. Parce que si tout le monde
écoutait les scientifiques et entendait les faits que j’évoque
constamment, personne n’aurait à m’écouter ou à écouter les centaines de
milliers d’autres écoliers en grève pour le climat dans le monde. On
pourrait tous retourner à l’école.

Je ne suis qu’un messager, et pourtant je reçois toute cette haine.
Je ne dis rien de nouveau, je dis simplement ce que les scientifiques
répètent depuis des décennies. Et je suis d’accord avec cette critique :
je suis trop jeune pour faire ça. Nous, les enfants, on ne devrait pas
avoir à faire ça. Mais, comme presque personne ne fait rien et que notre
avenir même est en danger, nous pensons que nous devons continuer.

Et si vous avez d’autres préoccupations ou doutes à mon sujet, vous pouvez écouter mon exposé TED dans lequel je raconte comment mon intérêt pour le climat et l’environnement a commencé.

Et merci à tous pour votre soutien ! Ça me donne de l’espoir.




Syndrome d’Asperger : ce qu’il faut savoir pour ne plus juger

[Source : Monsieur Mondialisation]

Auteur : Marie Josée Cordeau

Syndrome d’Asperger : ce qu’il faut savoir pour ne plus juger

L’autisme
est pluriel et ses aspects assez méconnus de la population. Il en
existe des formes lourdes, d’autres plus légères. Ces dernières,
surtout, sont plus difficiles à distinguer pour les personnes non
avisées et donnent lieu à des malentendus et de mauvaises
interprétations de leurs intentions. Des réactions qui peuvent causer de
vives souffrances chez les personnes autistes. Spécialiste de
l’autisme, Marie Josée Cordeau nous décrit quelques aspects d’une forme
d’autisme nommée communément le syndrome d’Asperger.

Bien que l’autisme et le syndrome d’Asperger soient des termes de plus en plus fréquemment lus et entendus dans les médias, leur connaissance réelle demeure à un niveau embryonnaire auprès du grand public. Il est d’ailleurs très compliqué d’en donner une définition simple, englobant l’ensemble des caractéristiques autistiques. Si l’on associe le terme de maladie à l’autisme, il est plus approprié de parler d’un état d’être différent. L’autisme touche en effet toutes les sphères de vie de la personne : ses relations sociales, sa perception du monde, sa manière de communiquer et ses champs d’intérêt. L’autisme apparaît dès la naissance de l’individu et demeure avec lui tout au long de sa vie.

Tout d’abord, chaque personne autiste est différente. Les
autistes ne forment pas un groupe homogène : certaines personnes
sont introverties, timides et réservées, et d’autres extraverties,
volubiles, cherchant volontiers la compagnie des autres. Loin du cliché d’un Rain Man, demeuré la référence populaire par excellence, l’autisme est d’une grande diversité, ce qui en rend la détection et la compréhension d’autant plus complexe.
D’ailleurs, de nombreux adultes actuellement sur le spectre autistique
ignorent en faire partie. La grande majorité d’entre eux, ceux qui sont
des adultes fonctionnels, ignorent leur affiliation à l’autisme, mais se sont toujours sentis différents et décalés par rapport à leur entourage.

Des intérêts particuliers

Certains traits communs définissent cependant les personnes autistes.
En premier lieu, les autistes des intérêts dits « restreints ». Alors
que Monsieur et Madame « Tout-le-monde » ont leurs domaines de passion
mais peuvent bavarder de tous les sujets, les personnes autistes sont moins généralistes dans leurs lectures et l’utilisation de leur temps. Ils tendent à se focaliser sur un ou quelques centres d’intérêt spécifiques qu’ils tendent à approfondir jusqu’à une expertise étonnante. Ces intérêts ne sont pas non plus soumis aux modes et aux influences environnantes. Une adolescence pourrait devenir éprise de poésie du XIXème siècle ou de cinéma des années 20 même si elle est la seule à des kilomètres à la ronde à y porter intérêt.

Les individus autistes peuvent ainsi discourir durant des heures sur leur sujet de passion du moment, mais devenir plus mutiques lors de la petite conversation sociale ordinaire. Cette particularité tend à rendre les contacts sociaux plus ardus,
car la personne autiste ne naviguera pas naturellement d’un sujet à
l’autre lors d’une conversation régulière. Les difficultés à entretenir
des conversations légères sont davantage liées à un manque de maîtrise de l’usage social
qu’à une tendance volontaire à refuser le contact informel. Les
autistes ont des sujets d’intérêts très différents les uns des autres,
bien au-delà de l’image du garçonnet qui mémorise des horaires de trains
ou qui ne parle que de dinosaures durant tout l’après-midi. Certains œuvrent dans des domaines artistiques, d’autres dans l’informatique, l’ingénierie ou les sciences.
Si les activités à caractère factuel sont souvent privilégiées, la
créativité et l’imagination sont bien présentes chez la plupart des
autistes.

Des difficultés relationnelles

Là où la plupart des personnes autistes ressentent leur différence, c’est au niveau de leurs relations sociales. Se faire des amis, les conserver, entretenir les relations amicales et amoureuses sur le long terme peut devenir un défi.
Alors qu’il est inné chez la majorité des gens d’apprendre en bas âge
par essai et erreur comment entretenir ses relations sociales, l’autiste
a besoin d’un mode d’emploi clair et explicite sur les
attitudes à prendre et la manière d’aborder les gens et d’interagir
dans diverses situations. Sa manière de s’exprimer différente des
attentes sociales peut nuire au développement de relations durables. Il n’y a là pourtant aucune mauvaise volonté de leur part, mais « le naturel » est moins présent.

L’autiste n’a pas, par exemple, le réflexe de saluer ses contemporains lors d’une rencontre
ou de répondre à la question « comment ça va ? » selon l’usage entendu
voulant que tout aille bien et de retourner la politesse. Il peut même
fréquemment arriver qu’à cette question, l’autiste apporte une réponse
détaillée sur son état de santé physique, ses soucis personnels trop
intimes et donne des informations jugées socialement inadmissibles.
Cette difficulté à absorber naturellement les signes sociaux admis dans
son entourage comme étant implicites, donc jamais verbalisés, peut conduire au rejet dans les milieux scolaires ou professionnels.

Une manière alternative de communiquer

L’autiste a tendance à dire la vérité sans filtre. Ses
commentaires peuvent donc être mal perçus, considérés comme impolis,
provocateurs et inappropriés. La méconnaissance des usages sociaux
l’amène à donner des informations utiles à ses yeux,
par exemple en disant à une collègue que sa coiffure n’est pas seyante.
L’autiste passe donc, à tort, facilement pour fruste, indélicat et
arrogant. Son intention pourtant n’est pas de blesser, mais d’énoncer la
vérité ; c’est pourquoi, d’ailleurs, les autistes sont particulièrement honnêtes.
Une gestuelle ou une attitude physique inadaptée peut se remarquer
aussi chez l’autiste, qui ne sait pas toujours à quelle distance des
autres se placer dans un cercle de discussion. Il peut arriver que l’on
décèle des différences dans son intonation de voix, parfois moins
nuancée et plus monocorde ou parfois en parlant trop fort alors que son
interlocuteur se trouve à moins d’un mètre d’elle.

L’autisme expliqué aux enfants

Dans la réception de la communication, l’ironie, les double-sens, le sarcasme, peuvent ne pas être perçus par l’autiste. Il pourrait ne pas réagir à une provocation verbale en apparence évidente pour les autres ou, à l’inverse, réagir excessivement à une taquinerie innocente
en ne percevant pas l’intention véritable de son interlocuteur. Déceler
l’intention de l’autre est souvent une course d’obstacles.
L’incompréhension des intentions de l’autre peut rendre l’autiste particulièrement vulnérable aux abus, aux moqueries et à l’intimidation,
voire au harcèlement. On le présume naïf, car souvent il ne sait pas se
défendre alors que son cerveau tourne en boucle à la recherche de
toutes les hypothèses logiques et potentielles d’une interprétation au
premier degré. Sa pensée n’est pas capable de saisir immédiatement le
second degré.

L’empathie

Les autistes ne seraient, croit-on souvent, pas empathiques. Pourtant, elles sont souvent extrêmement sensibles aux injustices
et aux situations difficiles de la vie. Il n’est pas rare de confondre
l’empathie avec la sympathie et de croire que l’autiste, n’utilisant pas
les termes consolateurs espérés, n’est pas empathique à son prochain.
Beaucoup de personnes autistes, même si elles ne donnent pas une petite
tape dans le dos et ne disent pas avec un triste regard « pauvre de toi,
je te comprends tellement », ressentent profondément la détresse et le besoin d’aide de l’autre.
Parfois, le manque de réactivité provient d’une incapacité à saisir
quelles sont les réactions adéquates à démontrer et quelles sont les
attentes à combler dans la situation présentée.

D’autres fois, ce sont les conseils pratiques qui seront prodigués,
même si la personne attristée ne ressent que le besoin de parler et de
partager ses émotions. Plus encline à être rationnelle, la personne autiste peut avoir le réflexe de donner une marche à suivre pour régler le problème
énoncé au lieu de mettre ses bras autour de la personne affligée et de
se contenter d’une écoute toute simple. Cette réaction, loin d’être
la marque d’un manque d’empathie, est la réponse humaine d’un individu qui ne vous dira jamais « tout va bien aller, ne t’en fais pas ». Surtout s’il n’a pas le pouvoir justement de faire disparaître le problème. Une fois encore, l’honnêteté sans filtre prime.

autisme
Image : Blaise Dehon

L’apparence de « normalité »

Plus la personne est considérée comme étant sur la partie haute du
spectre autistique (autisme de haut niveau, syndrome d’Asperger, autisme
léger, etc.), plus son autisme paraît diffus et risque d’être oublié dans les petits gestes du quotidien.
Même avisé de l’autisme d’un proche, une tante, un ami, un grand-père
pourrait l’oublier et ne pas comprendre son mode de fonctionnement
différent.

Il est donc courant que les autistes, prenant conscience des attentes sociales qui leur sont étrangères, se sentent démunis. Comme l’autisme ne parait pas de l’extérieur sauf pour un œil averti et lors de circonstances particulières, la personne se voit attribuer des défauts qui n’en sont pas, puisque ses gestes et paroles sont interprétés selon les critères « standards ». On le dira capricieux s’il est incapable de faire une tâche considérée facile,
comme répondre au téléphone à la maison. On la jugera prétentieuse, car
ses sujets de conversation sont plus pointus et intellectuels et
qu’elle ne participe pas à la conversation courante. Les difficultés d’un adolescent à approcher ses camarades de classe
pourraient lui valoir la réputation d’être froid et hautain. Le
jugement est rugueux et brutal vis-à-vis de l’autiste, évalué selon des
critères ordinaires qui ne concordent pas sa façon d’être.

Intérieurement, une personne autiste peut développer des troubles anxieux,
car il lui est difficile d’interpréter le monde qui l’entoure. Sa
manière de voir le monde passe davantage par la logique et ce qui n’est
pas rationnel peut la consterner. Elle a besoin de repères et les changements de dernière minute et les imprévus peuvent venir chambouler ses plans
et créer un profond désarroi. On oublie également ses particularités
sensorielles, car souvent les bruits ambiants sont plus agressifs pour
elle. Elle peut être extrêmement sensible à la lumière vive ou au
contact de certaines matières ou au contact physique. Alors, elle devient hautement réactive à des stimuli qui généralement ne dérangent personne.
Les restaurants bondés, les centres commerciaux où elle se fait
bousculer, les lieux inconnus, tout peut la déstabiliser à tout instant.

Le grand défi est d’intégrer les autistes de tout niveau, leur permettre de demeurer elles-mêmes, de développer leur potentiel
selon leurs capacités propres et les accepter sans discrimination. Il
s’agit de cesser de les faire entrer dans un moule qui ne correspond pas
à leur forme d’être et, au contraire, les encourager à prendre leur place dans le monde en les aidant à valoriser leur potentiel d’adaptation
tout en tenant compte des limites et des besoins de chacun. Car les
autistes ont toujours été présents, sans aucun doute, à toutes les
époques de l’histoire.

– Marie Josée Cordeau


Auteure, conférencière et consultante, Marie Josée Cordeau s’est donné pour mission de faire le pont entre le mode de pensée autistique et le mode de pensée non autiste. Elle apporte sa connaissance personnelle de plus de 40 ans de vie comme autiste Asperger. Elle est également l’auteure du livre « Derrière le mur de verre ».




La vraie raison pour laquelle les globalistes sont si obsédés par l’intelligence artificielle

[Source : Le Saker Francophone]

La vraie raison pour laquelle les globalistes sont si obsédés par l’intelligence artificielle


Par Brandon Smith − Le 1er mars 2018 − Source Alt-Market.com

Il est presque impossible aujourd’hui de parcourir les nouvelles du Web ou les médias populaires sans être assailli par de vastes quantités de propagande sur l’intelligence artificielle (IA). C’est peut-être une mode pour mettre fin à toutes les modes, car l’IA est censée englober presque tous les aspects de l’existence humaine, de l’économie et de la sécurité à la philosophie et à l’art. Selon les affirmations courantes, l’IA peut faire presque tout et le faire mieux que n’importe quel être humain. Et, les choses que l’IA ne peut pas encore faire, elle sera capable de le faire un jour ou l’autre.

Chaque fois que l’establishment tente de saturer les médias d’un récit particulier, c’est habituellement dans l’intention de manipuler la perception du public d’une manière qui produit une prophétie auto-réalisatrice. En d’autres termes, il espère façonner la réalité en racontant un mensonge particulier si souvent qu’il sera accepté par les masses comme un fait au fil du temps. Il le fait avec l’idée que la globalisation est inévitable, que la science du changement climatique est « indéniable » et que l’IA est une nécessité technologique. Les globalistes ont longtemps considéré l’IA comme une sorte de Saint-Graal technologique pour la centralisation. Les Nations Unies ont adopté de nombreuses positions et même organisé des sommets sur la question, dont le sommet « IA pour Dieu » à Genève. L’ONU insinue que son intérêt premier dans l’IA est la réglementation ou l’observation de la façon dont elle est exploitée, mais l’ONU a aussi des objectifs clairs pour utiliser l’IA à son avantage. L’utilisation de l’IA comme moyen de surveiller les données de masse pour mieux instituer le « développement durable » est clairement inscrite à l’ordre du jour de l’ONU. Le FMI surfe également sur la tendance de l’IA, en tenant des discussions globales sur l’utilisation de l’IA en économie ainsi que sur les effets des algorithmes sur l’analyse économique. La principale source de développement de l’IA est depuis longtemps le DARPA. Le groupe de réflexion militaire et globaliste injecte des milliards de dollars dans cette technologie, ce qui fait de l’intelligence artificielle l’objectif sous-jacent de la plupart des travaux du DARPA. L’intelligence artificielle n’est pas seulement à l’ordre du jour des globalistes ; ils font le maximum pour sa création et sa promotion. Le désir globaliste pour la technologie n’est pas aussi simple que certains pourraient le supposer, cependant. Ils ont des raisons stratégiques, mais aussi des raisons religieuses pour placer l’IA sur un piédestal idéologique. Mais d’abord, je suppose qu’on devrait s’attaquer à l’évidence. Dans la plupart des Livres blancs rédigés par des institutions globalistes sur l’IA, l’accent est mis sur la collecte de données de masse et la surveillance. Les élites prennent soin de toujours affirmer que leurs intérêts sont axés sur le bien public. C’est pourquoi l’ONU et d’autres organismes soutiennent qu’ils devraient être les chefs de file en matière de surveillance de la collecte massive de données. C’est-à-dire qu’ils veulent nous faire croire qu’ils sont suffisamment objectifs et dignes de confiance pour gérer les règles de surveillance des données ou pour gérer les données elles-mêmes. Pour la sécurité du public, les globalistes veulent une gestion centralisée de toutes les collectes de données, ostensiblement pour nous sauver de ces mauvaises multinationales et de leur politique invasive autour de la confidentialité des données. Bien sûr, la plupart de ces entreprises sont également dirigées par des globalistes qui remplissent les bancs d’événements comme le Forum économique global (FEG) pour discuter des progrès et des avantages de l’IA. Le FEG s’est donné pour mandat de promouvoir largement l’IA et de convaincre le monde des affaires et le grand public des avantages de l’IA. Il faut prévenir les préjugés contre l’IA…

Il s’agit donc d’un autre faux
paradigme dans lequel les institutions globalistes s’opposent aux
entreprises pour ce qui est de l’utilisation de l’intelligence
artificielle. Pourtant, les entreprises et les institutions
globalistes développent à la fois l’IA et un sentiment pro-IA. Le
public, avec sa méfiance innée à l’égard de la boussole morale
des entreprises, est censé être convaincu de soutenir les réformes
réglementaires de l’ONU comme contrepoids. Mais en réalité, les
pouvoirs des entreprises n’ont pas l’intention de lutter contre
le contrôle de l’ONU, ils finiront par s’en réjouir.

C’était le but depuis le début.

L’efficacité réelle de l’IA
en tant que moyen d’aider l’humanité est discutable.
L’intelligence artificielle concerne principalement les
« algorithmes
d’apprentissage »
,
c’est-à-dire les machines programmées pour apprendre par
l’expérience. Le problème est qu’un algorithme d’apprentissage
n’est efficace qu’au niveau où les êtres humains le
programment. Autrement dit, l’apprentissage n’est pas toujours un
processus de cause à effet. Parfois, l’apprentissage est une
révélation spontanée. L’apprentissage est créatif. Et, dans
certains cas, l’apprentissage est inné.

Lorsqu’une machine est dressée
contre un humain dans un système construit sur des règles très
simples et concrètes, les machines ont tendance à prévaloir. Une
partie d’échecs, par exemple, est conçue autour de règles
strictes qui ne changent jamais. Un pion est toujours un pion et se
déplace toujours comme un pion ; un cavalier se déplace toujours
comme un cavalier. Tandis qu’il peut y avoir des moments de
créativité dans les échecs (c’est pourquoi les humains sont
encore capables à l’occasion de battre les ordinateurs au jeu),
l’existence des règles rend l’IA plus intelligente qu’elle ne
l’est.

Les systèmes humains et les systèmes
naturels sont beaucoup plus compliqués que les échecs, et les
règles ont tendance à changer, parfois sans avertissement. Comme la
physique quantique le découvre souvent, la seule chose prévisible
quand on observe l’univers et la nature est que tout est
imprévisible. Comment un algorithme ferait-il dans une partie
d’échecs où un pion pourrait soudainement évoluer pour se
déplacer comme un cavalier, sans aucun schéma prévisible
spécifique ? Pas très bien, je pense.

Et c’est là que nous entrons dans le
cœur de la façon dont l’image de l’IA est gonflée en une sorte
de demi-dieu électronique ; un faux prophète.

L’IA s’est insérée non
seulement dans les échecs, mais dans tout. La surveillance de masse
est impossible à gérer par les humains seuls ; la quantité de
données est écrasante. Ainsi, l’un des objectifs fondamentaux de
l’IA pour les globalistes devient clair — l’IA est destinée à
rationaliser la surveillance de masse et à l’automatiser. L’IA a
pour but de parcourir les médias sociaux ou le courrier électronique
à la recherche de « mots
clés »
pour
identifier les mécréants et les opposants potentiels. Elle vise
également à surveiller l’opinion du public à l’égard de
questions ou de gouvernements particuliers. L’objectif est de
mesurer et éventuellement de « prédire »
le comportement du public.

Cela devient plus difficile
lorsqu’on commence à parler d’individus. Bien que les groupes
soient plus faciles à observer et à cartographier dans leur
comportement, les individus peuvent être abrupts, volatils et
imprévisibles. La cartographie des habitudes personnelles par l’IA
est également importante aujourd’hui. Elle est plus visible dans
le monde de l’entreprise où le marketing est adapté aux habitudes
et aux intérêts des consommateurs individuels. Cela dit, les
gouvernements sont aussi très intéressés à suivre les habitudes
individuelles au point de créer des profils psychologiques pour
chaque personne sur la planète si possible. [Cela
explique la tendance à rationaliser le comportement des gens pour
simplifier la complexité des algorithmes, NdT].

Tout cela se résume à l’idée qu’un jour, l’IA sera capable d’identifier les criminels avant même qu’ils ne commettent un crime réel. En d’autres termes, l’intelligence artificielle est censée devenir l’œil « qui voit tout » et qui non seulement surveille notre comportement, mais qui lit aussi dans nos esprits comme une force pour une identification des crimes avant leur survenue.

La question n’est pas de savoir
si l’IA peut réellement nous dire qui va vers un futur criminel.
L’IA est manifestement incapable de prédire avec précision le
comportement d’une personne à un tel degré. La question est de
savoir si l’OMS est en train d’établir les normes permettant à
des IA de rechercher et d’identifier des « criminels »
potentiels. Qui fixe les règles du jeu d’échecs ? Si un
algorithme est programmé par un globaliste, alors l’IA qualifiera
les anti-globalistes de criminels potentiels ou actuels. L’IA ne
pense pas vraiment. L’IA n’exerce pas un pouvoir de choix dans
ses décisions. L’IA fait ce qu’elle est programmée pour faire.

L’obsession globaliste de l’IA,
cependant, va bien au-delà de la centralisation et du contrôle des
populations. Comme nous l’avons déjà mentionné, il y a un
facteur religieux.

Dans mon récent article « Luciferisme : un regard laïque sur un système de croyance globaliste destructeur », j’ai esquissé la philosophie fondamentale derrière le culte globaliste. Le premier principe du luciférisme est l’idée (ou l’illusion) que certaines personnes spéciales ont la capacité de devenir des « dieux ». Mais, il y a certaines conséquences de cette croyance que je n’ai pas explorées dans cet article.

Premièrement, pour devenir un dieu, il
faudrait avoir un pouvoir d’observation total. Ce qui veut dire
qu’il faudrait être capable de tout voir et de tout savoir. Un tel
but est insensé, car tout observer ne signifie pas nécessairement
qu’une personne sait tout. L’observation totale exigerait une
objectivité totale. La partialité aveugle les gens face à une
vérité exposée juste devant leurs yeux en permanence, et les
globalistes sont parmi les gens les plus partiaux et les plus
élitistes de la planète.

L’observation totalement objective
est impossible, du moins pour les humains et les algorithmes qu’ils
programment. De la physique à la psychologie, l’observateur
affecte toujours l’observé, et vice-versa. Cela dit, je pense que
les globalistes ne se soucient pas vraiment de cette réalité. Il
leur suffit de se faire passer pour des dieux par la surveillance de
masse. Ils ne sont pas réellement intéressés à atteindre
l’illumination ou l’objectivité divine.

Deuxièmement, pour devenir un
dieu, dans un sens mythologique ou biblique, il faudrait créer une
vie intelligente à partir de rien. Je crois que dans l’esprit des
lucifériens, la création de l’IA est la création d’une forme
de vie intelligente, plutôt qu’un logiciel. Bien sûr, les
lucifériens ont une notion troublée de ce qui constitue une « vie
intelligente »
.

Comme je l’ai examiné dans mon
article qui décompose et démystifie l’idéologie luciférienne,
l’existence d’archétypes psychologiques inhérents constitue la
base de la capacité humaine de choisir ou d’être créatif dans
ses choix. L’existence d’une compréhension inhérente du bien et
du mal établit le fondement de la conscience humaine et de la
boussole morale – l’« âme »
si vous voulez. Les lucifériens argumentent que rien de tout cela
n’existe réellement, en dépit de nombreuses preuves qui le
démontre. Ils soutiennent que les humains sont des ardoises vierges
— des machines qui sont programmées par leur environnement.

Pour comprendre cette idéologie ou ce
culte fondé sur la théorie de l’ardoise blanche, il faut tenir
compte du fait que les globalistes présentent souvent les traits des
sociopathes narcissiques. Les sociopathes narcissiques à part
entière représentent moins de 1 % de la population humaine
totale ; ce sont des personnes qui n’ont aucune empathie
inhérente ou qui n’ont pas les outils de personnalité normaux que
nous associerions à l’humanité.  Il ne serait pas exagéré
de dire que ces personnes ressemblent plus à des robots qu’à des
personnes.

J’ai également théorisé que le
luciférisme est une religion conçue par des sociopathes
narcissiques pour des sociopathes narcissiques. C’est une sorte
d’outil de liaison ou d’organisation pour rassembler les
sociopathes en un groupe efficace pour un bénéfice mutuel — un
club de parasites. Si cette théorie est vraie, alors elle représente
quelque chose qui est rarement ou jamais traité dans l’observation
psychologique ou anthropologique dominante ; l’existence d’une
cabale de sociopathes narcissiques conspirant ensemble pour cacher
leur identité et pour devenir des prédateurs plus efficaces.

En résumé, le luciférisme est
le système de croyances parfait pour les sociopathes narcissiques.
Ils sont, d’une certaine façon, inhumains. Ce sont des ardoises
vierges dépourvues d’humanité, et ils adoptent donc une religion
qui traite cette notion comme une « normalité ».

Il est donc logique qu’ils
considèrent une chose aussi simple et vide que l’IA comme de la
vie intelligente. Tant qu’elle peut être programmée pour agir
« de manière
autonome »
(ce
qu’ils semblent considérer comme la sensibilité), leur définition
de la vie intelligente est accomplie. Il n’y a rien d’intelligent
dans l’intelligence artificielle quand il s’agit d’actions
morales ou créatives, mais les sociopathes narcissiques n’en ont
de toute façon aucune idée.

Je laisse aux lecteurs le soin de réfléchir à cette question ; l’année dernière, un programme d’IA s’est vu confier la tâche de créer ses propres œuvres d’art. Les résultats ont fait l’objet d’une grande publicité et une partie de la production a été vendue pour plus de 400 000 $. Je vous invite à regarder cette œuvre d’art ici si vous ne l’avez pas déjà vue.

D’après ce que j’ai vu, la
réaction humaine commune à cet « art »
est que les gens reculent d’horreur. Cela ressemble à une étrange
copie d’éléments humains de l’art, mais sans l’âme.
Intuitivement, nous comprenons que l’IA n’est pas la vie ; mais
pour les globalistes, c’est la définition même de la vie,
probablement parce que l’absence d’âme de la création reflète
l’absence d’âme des créateurs. Tout comme les chrétiens
croient que l’humanité a été faite à l’image de Dieu, les
lucifériens, dans leur quête de la divinité, ont créé une
« forme de vie »
qui peut-être ironiquement leur ressemble.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




Les multiples méthodes de manipulation mentale …. une opération à l’échelle mondiale

[Source originale en anglais : Stop The Crime]

[Traduction : Stop Mensonges]

Les multiples méthodes de manipulation mentale …. une opération à l’échelle mondiale

Une vision “profane” ou matérialiste de
la télépathie s’est banalisée après la Seconde Guerre mondiale. Tout
comme de nouveaux modèles mathématiques et de nouvelles théories de la
physique ont été mis à contribution pour le développement de la bombe
atomique, de même de nouveaux outils ont été mis au point pour l’esprit
humain.

Tout comme les scientifiques de la guerre froide se sont précipités pour concevoir des moteurs de fusée et des technologies de missiles qui donneraient à leur pays la supériorité sur le champ de bataille nucléaire, les scientifiques se sont précipités pour développer des modèles toujours plus complexes et complets du cerveau humain. Ils ont littéralement commencé à voir le cerveau comme un champ de bataille mental.

Dans cette course à l’acquisition de la
“technologie” cérébrale de la guerre froide, on supposait implicitement
que l’esprit humain pouvait être mécaniquement “modélisé” ou compris
comme une construction artificielle. Le cerveau a commencé à être
considéré comme une “machine à penser” ou un ordinateur complexe qui
pouvait être analysé, décomposé en composantes et rétro-ingénierie.

Dans ce contexte, la télépathie a
commencé à être considérée comme une forme exotique de transmission par
radio mentale, seulement une des nombreuses fonctions de communication
exercées par la machine mentale.

La communication en soi n’était pas
nouvelle. Mais les techniciens ont été fascinés par la possibilité de
communiquer silencieusement et secrètement, à distance. De même, la
télépathie semblait offrir un moyen puissant de distraire et de
confondre l’ennemi, de programmer des assassins ou d’extraire de force
des informations secrètes de l’esprit d’un ennemi.

Pour parler franchement, le Pentagone a
commencé à voir la télépathie comme une arme multi-tâches puissante. La
ruée vers la “télépathie artificielle” est devenue un programme
d’armement prioritaire dans la course générale au contrôle total de
l’esprit. La télépathie artificielle ne peut être pleinement comprise en
dehors de ce contexte militaire ou du contexte historique de la guerre
froide. La recherche et le développement ont vraiment commencé comme un
programme d’armement de la guerre froide.

Les paragraphes ci-dessous donnent un
bref résumé de l’histoire de la recherche sur le contrôle de l’esprit au
cours des 50 dernières années.

Certaines des technologies étonnantes
développées au cours de cette période peuvent être trouvées dans’La
Télépathie Synthétique et les premières guerres de l’esprit’.

Nous examinerons certains des programmes
de télépathie spécifiques, et les scientifiques qui les soutiennent,
dans nos prochains articles.

– — M

L’article suivant combine des documents provenant de plusieurs sources, énumérées sous la rubrique Notes de bas de page.

La plupart des informations sont
apparues dans le résumé de David Guyatt sur l’histoire et le
développement des armes de contrôle mental, présenté pour la première
fois lors d’un symposium du CICR sur “La profession médicale et les
effets des armes”.

Les premières armes à faisceau électromagnétique
L’origine de la mise au point des armes électromagnétiques antipersonnel remonte au début du milieu des années 1940 et peut-être même plus tôt.

Japonais “Death Ray”
La référence la plus ancienne, à ma connaissance, se trouvait dans le U.S. Strategic Bombing Survey (Pacific Survey, Military Analysis Division, Volume 63) qui passait en revue les efforts de recherche et développement japonais sur un “rayon mortel”. Bien qu’elle n’ait pas atteint le stade de l’application pratique, la recherche a été jugée suffisamment prometteuse pour justifier des dépenses de 2 millions de yens pendant les années 1940-1945.

Résumant les efforts japonais, les
scientifiques alliés ont conclu qu’un appareil à rayons pourrait être
développé qui pourrait tuer des êtres humains non protégés à une
distance de 5 à 10 milles. Des études ont démontré, par exemple, que les
moteurs d’automobiles pouvaient être arrêtés par des vagues accordées
dès 1943. (1)

Il est donc raisonnable de supposer que cette technique est disponible depuis de nombreuses années.

Expériences nazies dans la manipulation de l’esprit
Les expériences de modification du comportement et de manipulation mentale ont un passé beaucoup plus macabre. Les médecins nazis du camp de concentration de Dachau ont mené des expériences involontaires avec l’hypnose et la narco-hypnose en utilisant la mescaline comme drogue sur les détenus. D’autres recherches ont été menées à Auschwitz, à l’aide d’une gamme de produits chimiques, dont divers barbituriques et dérivés de la morphine. Bon nombre de ces expériences se sont révélées fatales.

Projet CHATRE
Après la fin de la guerre, la U.S. Naval Technical Mission a été chargée d’obtenir du matériel industriel et scientifique pertinent qui avait été produit par le Troisième Reich et qui pourrait être utile aux intérêts américains. Après un long rapport, la Marine a lancé le projet CHATTER en 1947.

Projet PAPERCLIP
Bon nombre des scientifiques et médecins nazis qui ont mené des expériences hideuses ont ensuite été recrutés par l’armée américaine et ont travaillé à Heidelberg avant d’être secrètement transférés aux États-Unis dans le cadre du projet PAPERCLIP.

Sous la direction du Dr Hubertus
Strughold, 34 anciens scientifiques nazis ont accepté des contrats
“Paperclip”, autorisés par les chefs d’état-major interarmées, et ont
été mis au travail à la base aérienne Randolph de San Antonio, Texas.

Projet Moonstruck, 1952, CIA :
Implants électroniques dans le cerveau et les dents
Ciblage : Longue portée Implantés pendant l’intervention chirurgicale ou subrepticement pendant l’abduction
Gamme de fréquence : Implants d’émetteur-récepteur HF – ELF
But : Suivi, contrôle de l’esprit et du comportement, conditionnement, programmation, opérations secrètes.
Base fonctionnelle : Stimulation électronique du cerveau, E.S.B.

Premiers programmes Narco-Hypnose
En 1953, la CIA, l’U.S. Navy et le U.S. Army Chemical Corps menaient leurs propres programmes de narco-hypnose sur des victimes réticentes, notamment des prisonniers, des malades mentaux, des étrangers, des minorités ethniques et des personnes considérées comme déviantes sexuelles. (2)

Pour un compte rendu plus complet des expériences nazies, voir Resonance
No 29 novembre 1995, publié par le Bioelectromagnetic Special Interest
Group of American Mensa Ltd. et tiré d’une série d’articles publiés par
le Napa Sentinel, 1991 par Harry Martin et David Caul.

Projet MK-ULTRA, 1953, CIA :
Médicaments, électronique et électrochocs
Ciblage : Fréquences à courte portée : VHF HF UHF modulé à l’émission et à la réception ELF : Production locale
Objet : Comportement de programmation, création de mentalités “cyborg”.
Effets : transe narcoleptique, programmation par suggestion
Sous-projets : Beaucoup.
Pseudonyme : Projet Artichaut
Base fonctionnelle : Dissolution électronique de la mémoire, E.D.O.M.

Projet Orion, 1958, U.S.A.F :
Drogues, hypnose et ESB
Ciblage : À courte portée, en personne
Fréquences : Modulation ELF
Transmission et réception : Radar, micro-ondes, modulé aux fréquences ELF
But : Débriefing et programmation du personnel de sécurité de haut niveau, assurer la sécurité et la loyauté du personnel.
Pseudonyme : “Dreamland”

MK-DELTA, 1960, CIA :
Programmation subliminale électromagnétique affinée
Ciblage : Longue portée
Fréquences : VHF HF UHF Modulé UHF à ELF
Transmission et réception : Antennes de télévision, antennes radio, lignes électriques, ressorts de matelas, modulation sur câblage 60 Hz.
Objectif : comportement de programmation et attitudes de la population en général
Effets : fatigue, sautes d’humeur, dysfonctionnement comportemental et criminalité sociale, sautes d’humeur.
Pseudonyme : “Sommeil profond”, R.H.I.C.

MKULTRA
Ce n’est qu’au milieu ou à la fin des années 1970 que le public américain a pris connaissance d’une série de programmes jusque-là secrets qui avaient été menés au cours des deux décennies précédentes par la communauté militaire et du renseignement. (3)

Principalement axés sur la
narco-hypnose, ces vastes programmes clandestins portaient les titres
MKULTRA, MKDELTA, MKNAOMI, MKSEARCH (MK signifiant Mind Kontrol),
BLUEBIRD, ARTICHOKE et CHATTER.

L’objectif principal de ces programmes
et des programmes associés était le développement d’un assassin
“programmable” fiable. Les objectifs secondaires étaient le
développement d’une méthode de contrôle citoyen. (4)

M. Jose Delgado
Le travail secret du Dr Jose Delgado, orienté vers la création d’une société “psychocivilisée” à l’aide d’un “stimoceiver”, était particulièrement pertinent. (5)

Le travail de Delgado a été déterminant,
et ses expériences sur les humains et les animaux ont démontré que la
stimulation électronique peut exciter des émotions extrêmes comme la
rage, la luxure et la fatigue.

Dans son article “Intracerebral Radio Stimulation and recording in Completely Free Patients”, Delgado l’a observé :

“La stimulation radio sur différents
points de l’amygdale et de l’hippocampe chez les quatre patients a
produit une variété d’effets, y compris des sensations agréables, de
l’exaltation, une concentration profonde, des sentiments bizarres, une
super relaxation (un précurseur essentiel de l’hypnose profonde), des
visions colorées et d’autres réactions”.

En ce qui concerne la citation des
“visions colorées”, il est raisonnable de conclure qu’il faisait
référence aux hallucinations – un effet auquel font allusion un certain
nombre de soi-disant “victimes”. (7)

Dr John C. Lilly
Le Dr John C. Lilly (10 ans), à qui le directeur de l’Institut national de la santé mentale a demandé d’informer la CIA, le FBI, la NSA et les services de renseignement militaire sur son travail en utilisant des électrodes pour stimuler, directement, les centres de plaisir et de douleur du cerveau.

Lilly a dit qu’il avait refusé la
demande. Cependant, comme il l’indique dans son livre, il a continué à
faire un travail ” utile ” pour l’appareil de sécurité nationale.

Pour ce qui est du calendrier, c’est intéressant, car ces événements ont eu lieu en 1953.

Première utilisation d’ordinateurs pour communiquer avec le cerveau
Dès 1969, Delgado avait prédit qu’un jour arriverait bientôt où un ordinateur serait capable d’établir une communication radio bidirectionnelle avec le cerveau – un événement qui s’est produit pour la première fois en 1974.

Lawrence Pinneo, neurophysiologiste et
ingénieur en électronique travaillant pour le Stanford Research
Institute (un important entrepreneur militaire),

“a développé un système informatique
capable de lire l’esprit d’une personne. Il a corrélé les ondes
cérébrales sur un électroencéphalographe avec des commandes spécifiques.
Il y a vingt ans, l’ordinateur répondait par un point sur un écran de
télévision. De nos jours, il pourrait être l’entrée d’un stimulateur
(ESB) à un stade avancé en utilisant des radiofréquences.” (8)

Les docteurs Sharp et Frey développent le “Microwave Hearing”
Les Drs Joseph Sharp et Allen Frey ont fait l’expérience des micro-ondes en cherchant à transmettre les mots parlés directement dans le cortex audio au moyen d’un analogue micro-ondes pulsé de la vibration sonore du locuteur. En effet, les travaux de Frey dans ce domaine, qui remontent à 1960, ont donné naissance à ce que l’on appelle “l’effet Frey”, plus communément appelé “l’audition par micro-ondes”. (19)

Au Pentagone, cette capacité est maintenant connue sous le nom de “télépathie artificielle”. (20)

Note 20 – Voir le Dr Robert Becker qui a
déclaré : “Un tel dispositif a des applications évidentes dans les
opérations secrètes destinées à rendre une cible folle avec des “voix”
ou à donner des instructions non détectées à un assassin programmé”.

Le Dr Ross Adey expérimente le contrôle électromagnétique des états émotionnels
Dans son travail de pionnier, le Dr Ross Adey a déterminé que les états émotionnels et le comportement peuvent être influencés à distance simplement en plaçant un sujet dans un champ électromagnétique.

En dirigeant une fréquence porteuse pour
stimuler le cerveau et en utilisant une modulation d’amplitude pour
façonner l’onde afin d’imiter une fréquence EEG désirée, il a pu imposer
à ses sujets un rythme thêta de 4,5 CPS.

Adey et d’autres ont compilé une bibliothèque complète de fréquences et
de taux de pulsation qui peuvent affecter l’esprit et le système
nerveux. (21)

Adey induit un flux de calcium dans les
tissus cérébraux avec des champs de faible puissance (une base pour la
CIA et les “armes de confusion” de l’armée) et a fait des expériences
comportementales avec des radars modulés aux rythmes de
l’électroencéphalogramme (EEG).

Il est à juste titre préoccupé par les
expositions environnementales entre 1 et 30 Hz (cycles par seconde),
soit sous forme de basse fréquence, soit sous forme de modulation
d’amplitude sur micro-ondes ou radiofréquence, car elles peuvent
interagir physiologiquement avec le cerveau même à très faible densité
de puissance.

Les expériences du Dr Ewen Cameron en programmation mentale
D’autres études, menées par le Dr Ewen Cameron et financées par l’ICA, visaient à effacer la mémoire et à imposer de nouvelles personnalités aux patients réticents.

Cameron a découvert que le traitement
par électrochocs causait l’amnésie. Il a mis sur pied un programme qu’il
a appelé “de-patterning” qui a eu pour effet d’effacer la mémoire des
patients sélectionnés. D’autres travaux ont révélé que les sujets
pouvaient être transformés en une machine virtuelle vierge (Tabula
Rasa), puis reprogrammés avec une technique qu’il appelait “conduite
psychique”.

L’amère indignation du public, une fois
son travail révélé (à la suite des perquisitions de la FOIA), a été
telle que Cameron a été contraint de prendre sa retraite en disgrâce.

Opération PANDORA
De 1965 à 1970, la Defense Advanced Projects Research Agency (DARPA), financée à hauteur de 70-80% par l’armée, a lancé l’opération PANDORA pour étudier les effets sanitaires et psychologiques des micro-ondes de faible intensité par rapport au “signal de Moscou” enregistré à l’ambassade américaine à Moscou.

Au départ, il y avait une certaine
confusion quant à savoir si le signal était une tentative d’activer des
dispositifs d’écoute ou à d’autres fins. On soupçonnait que
l’irradiation par micro-ondes était utilisée comme système de contrôle
mental.

Des agents de l’ICA ont demandé à des
scientifiques participant à des recherches sur les micro-ondes si les
micro-ondes émises à distance par des humains pouvaient affecter le
cerveau et modifier le comportement.

Milton Zarat, qui a entrepris d’analyser la littérature soviétique sur les micro-ondes pour la CIA, a écrit :

“Pour les irradiations non thermiques,
ils pensent que le champ électromagnétique induit par l’environnement
micro-ondes affecte la membrane cellulaire, ce qui entraîne une
augmentation de l’excitabilité ou de l’excitation des cellules
nerveuses.

En cas d’exposition répétée ou continue, l’excitabilité accrue conduit à un état d’épuisement des cellules du cortex cérébral.”

Ce projet semble avoir été assez vaste
et comprenait des études (financées par la marine américaine) démontrant
comment provoquer des crises cardiaques, créer des fuites dans la
barrière hémato-encéphalique et provoquer des hallucinations auditives.

Malgré les tentatives visant à rendre le
programme Pandora invisible à l’examen, les documents déposés à la FOIA
ont révélé des notes de service de Richard Cesaro, directeur de la
DARPA, qui ont confirmé que l’objectif initial du programme était de ”
découvrir si un signal micro-ondes soigneusement contrôlé pouvait
contrôler l’esprit “.

Cesaro a insisté pour que ces études soient faites “pour des applications potentielles d’armes”. (12)

La recherche sur le contrôle mental de l’EM devient noire
À la suite d’un immense tollé public, le Congrès a interdit la poursuite des recherches et exigé que ces projets soient abandonnés dans tous les domaines.

Mais comme l’ancien agent de la CIA
Victor Marchetti l’a révélé plus tard, les programmes sont simplement
devenus plus secrets avec un haut élément de ” déni ” intégré, et que la
CIA prétend le contraire est une histoire de couverture. (13)

Malgré le fait qu’un grand nombre des
projets susmentionnés tournaient autour de l’utilisation de stupéfiants
et d’hallucinogènes, les projets ARTICHOKE, PANDORA et CHATTER
démontrent clairement que la “psychoélectronique” était une priorité
absolue.

En effet, l’informateur anonyme de
l’auteur John Marks (connu sous le nom humoristique de “Deep Trance”) a
déclaré qu’à partir de 1963, la recherche sur le contrôle mental mettait
fortement l’accent sur l’électronique.

1974 : Le Dr J.F. Scapitz expérimente l’hypnose à distance
En 1974, le Dr J. F. Scapitz a déposé un plan pour explorer l’interaction des signaux radio et de l’hypnose.

C’est ce qu’il a dit,

“Dans cette enquête, il sera démontré
que la parole des hypnotiseurs peut être transmise par énergie
électromagnétique modulée directement dans les parties subconscientes du
cerveau humain – c’est-à-dire sans utiliser aucun dispositif technique
pour recevoir ou transcoder les messages et sans que la personne exposée
à une telle influence ait la possibilité de contrôler consciemment les
informations entrées.

Le travail de Schapitz a été financé par
le DoD. Malgré les dépôts de la FOIA, son travail n’a jamais été rendu
disponible. Il est également intéressant de noter la date de 1974, qui
reflète presque exactement la période où l’URSS a commencé son propre
programme qui a abouti à “Acoustic Psycho-correction technology”].

1976 : Les Soviétiques utilisent les transmissions ELF comme arme de contrôle de l’esprit
Le 4 juillet 1976, sept émetteurs géants en Ukraine, alimentés par l’installation nucléaire de Tchernobyl, ont pompé une fréquence radio de 100 mégawatts à l’ouest, qui contenait une fréquence de contrôle mental ELF de 10 Hz.

Selon un scientifique américain, le Dr
Andrija Puharich, MD, les impulsions soviétiques ont couvert les
fréquences du cerveau humain.

Avec un Dr Bob Beck, il a prouvé que les
transmissions soviétiques étaient une arme. Il a découvert qu’une
fréquence de 6,65 Hz provoquerait une dépression et qu’une fréquence de
11 Hz provoquerait un comportement maniaque et émeutier. Les
transmissions pourraient en effet entraîner le cerveau humain, et donc
induire des modifications de comportement de sorte que les populations
puissent être contrôlées en masse par les transmissions ELF.

Plus important encore, il a découvert
qu’un signal ELF pouvait causer le cancer en appuyant simplement sur un
interrupteur. Pour ce faire, il a modifié la fonction des transferts
d’ARN afin que les séquences d’acides aminés soient brouillées et
produisent des protéines non naturelles.

Pour en savoir plus, je recommande “Mind Control World Control ! Par Jim Keith.

1981 : Eldon Byrd développe des dispositifs EM pour le contrôle des émeutes
Le scientifique Eldon Byrd, qui travaillait pour le Bureau des armes de surface de la marine, a été chargé en 1981 de mettre au point des dispositifs électromagnétiques à des fins de lutte antiémeute, d’opérations clandestines et de prise d’otages. (11)

Dans le contexte d’une controverse sur
les dangers pour la reproduction des opérateurs de terminaux d’affichage
vidéo (VDT), il a écrit sur les altérations des fonctions cérébrales
des animaux exposés à des champs de faible intensité.

Descendance d’animaux exposés,

“a montré une dégradation drastique de
l’intelligence plus tard dans la vie… n’a pas pu apprendre des tâches
faciles…. indiquant des dommages très précis et irréversibles au système
nerveux central du foetus.”

L’exposition des opérateurs VDT à des
champs faibles a entraîné des fausses couches et des malformations
congénitales (avec des signes de lésions du système nerveux central sur
le fœtus). Byrd a également écrit des expériences où le comportement des
animaux était contrôlé par l’exposition à de faibles champs
électromagnétiques.

“À une certaine fréquence et intensité de puissance, ils pourraient faire ronronner l’animal, se coucher et se retourner.”

Induction du sommeil à basse fréquence
De 1980 à 1983, Eldon Byrd a dirigé le projet d’armes électromagnétiques non létales du Marine Corps. Il a effectué la plupart de ses recherches à l’Institut de recherche en radiobiologie des Forces armées à Bethesda, Md.

“Nous étudiions l’activité électrique dans le cerveau et la façon de l’influencer “, dit-il.

Byrd, spécialiste du génie médical et
des effets biologiques, a financé de petits projets de recherche, dont
un article d’Obolensky sur les armes à vortex.

Il a mené des expériences sur des
animaux – et même sur lui-même – pour voir si les ondes cérébrales
allaient se synchroniser avec les ondes qui les frappaient de
l’extérieur. (Il a trouvé qu’ils le feraient, mais l’effet a été de
courte durée.)

En utilisant des rayonnements
électromagnétiques de très basse fréquence – des ondes bien en dessous
des fréquences radio du spectre électromagnétique – il a découvert qu’il
pouvait induire le cerveau à libérer des substances chimiques
régulatrices du comportement.

“Nous pourrions endormir les animaux”,
dit-il, en les frappant avec ces fréquences. “Nous avons des cerveaux de
poussins – in vitro – qui déversent 80 pour cent des opioïdes naturels
dans leur cerveau “, dit Byrd.

Il a même mené un petit projet qui
utilisait des champs magnétiques pour faire libérer de l’histamine par
certaines cellules du cerveau de rats.

Chez l’homme, cela provoquerait
instantanément des symptômes de grippe et produirait des nausées. “Ces
champs étaient extrêmement faibles. Ils étaient indétectables “, dit
Byrd.

“Les effets étaient non létaux et
réversibles. Vous pourriez désactiver temporairement une personne “,
émet l’hypothèse de Byrd. “Ça aurait été comme un pistolet paralysant.”

Byrd n’a jamais testé son matériel sur
le terrain, et son programme, prévu pour quatre ans, a apparemment été
fermé après deux ans, dit-il.

“Le travail était vraiment remarquable”, grommelle-t-il. “Nous aurions eu une arme en un an.”

Byrd dit qu’on lui a dit que son travail
ne serait pas classé, “à moins que ça marche.” Parce que ça a marché,
il soupçonne que le programme est “devenu noir”.

D’autres scientifiques racontent des
histoires similaires de recherches sur les rayonnements
électromagnétiques devenant top secret une fois les résultats obtenus.
Il y a des indices que ce travail se poursuit.

En 1995, l’assemblée annuelle des
généraux quatre étoiles de l’U.S. Air Force – appelés CORONA – a examiné
plus de 1 000 projets potentiels. L’un s’appelait “Dormir
l’ennemi/Garder l’ennemi du sommeil”. Il s’agissait d’explorer
l’”acoustique”, les “micro-ondes” et la “manipulation des ondes
cérébrales” pour modifier les habitudes de sommeil.

Il s’agissait de l’un des trois seuls projets approuvés aux fins de l’enquête initiale.

PHOENIX II, 1983, U.S.A.F, NSA :
Emplacement : Montauk, Long Island Ciblage électronique multidirectionnel de groupes de population sélectionnés
Ciblage : Portée moyenne
Fréquences : Radar, micro-ondes. EHF UHF modulé UHF
Le pouvoir : Gigawatt à Terawatt
Objet : Chargement de grilles terrestres, sonombulcence planétaire pour éviter l’activité géologique, création de séismes en des points spécifiques, programmation de population pour les individus sensibilisés.
Pseudonyme : “Arc-en-ciel”, ZAP

TRIDENT, 1989, ONR, NSA :
Ciblage électronique dirigé d’individus ou de populations
Ciblage : Grands groupes de population rassemblés
Affichage : Hélicoptères noirs volant en formation triade de trois
Puissance : 100 000 watts
Fréquence : UHF
Objet : Gestion de grands groupes et contrôle du comportement, contrôle des émeutes
Agences alliées : FEMA
Pseudonyme : “Black Triad” A.E.M.C.A.

Mankind Research Unlimited
Une obscure société du district de Columbia appelée Mankind Research Unlimited (MRU) et sa filiale en propriété exclusive, Systems Consultants Inc. (SCI), a exploité un certain nombre de contrats classifiés dans les domaines du renseignement, du gouvernement et du Pentagone, se spécialisant, entre autres, dans les domaines suivants :

“résolution de problèmes dans les
domaines de la guerre électronique du renseignement, de la technologie
des capteurs et de leurs applications.” (14)

La “capacité et l’expérience” de l’UFM
est divisée en quatre domaines. Il s’agit notamment de la “biophysique –
Effets biologiques des champs magnétiques”, de la “Recherche en
dynamique des magnétofluides”, de l’”Electro-Hydro-Dynamique planétaire”
et des “Efforts géopathologiques sur les organismes vivants”. Ce
dernier se concentre sur l’induction de la maladie en modifiant la
nature magnétique de la géographie.

Étaient également à l’étude
“Biocybernetics, Psychodynamic Experiments in Telepathy”, “Errors in
Human Perception”, “Biologically Generated Fields”, “Metapsychiatry and
the Ultraconscious Mind” (qui se rapporte à des expériences de contrôle
télépathique du mental), “Behavioral Neuropsychiatry”, “Analysis and
Measurement of Human Subjective States” et “Human inconscious Behavioral
Patterns”.

Employant d’anciens officiers de l’OSS,
de la CIA et du renseignement militaire, l’entreprise fait également
appel aux services de médecins et de psychologues renommés, dont E.
Stanton Maxey, Stanley R. Dean Berthold, Eric Schwarz et de nombreux
autres.

La MRU énumère dans ses capacités d’entreprise le “contrôle du cerveau et de l’esprit”. (15)

1989 Programme de CNN sur les armes de SE
En 1989, CNN a diffusé une émission sur les armes électromagnétiques et a présenté un document du gouvernement américain qui présentait un plan d’urgence pour l’utilisation d’armes électromagnétiques contre les “terroristes”.

Avant l’émission, un ingénieur médical
du Département de la défense a publié un article affirmant que dans le
contexte du conditionnement, des micro-ondes et d’autres modalités
avaient été régulièrement utilisées contre les Palestiniens.

RF MEDIA, 1990, CIA :
Suggestion et programmation subliminales électroniques et multidirectionnelles
Emplacement : Boulder, Colorado (emplacement du nœud principal de téléphonie cellulaire, nœud de synchronisation de la télévision nationale)
Ciblage : population nationale des États-Unis
Fréquences : ULF VHF HF Modulation de phase HF
Le pouvoir : Gigawatts
Mise en œuvre : Télévision et radiocommunications, les signaux “vidéodromes
But : Programmation et déclenchement du désir comportemental, subversion des capacités psychiques de la population, traitement préparatoire au contrôle électromagnétique de masse.
Pseudonyme : “Buzz Saw” E.E.M.M.C.

TOUR, 1990, CIA, NSA :
Programmation subliminale électronique et suggestions pour la traversée du pays

Ciblage : Population de masse, intervalles de courte portée, cumulatifs de longue portée

Fréquences : Micro-ondes, EHF SHF SHF

Méthodologie : Système de téléphonie cellulaire, modulation ELF

Objet : Programmation par résonance neuronale et informations codées

Effet : Dégénérescence neurale, modification de la résonance de l’ADN, suppression psychique

Pseudonyme : “Cloches de mariage

1992 : Le Major Edward Dames et le projet GRILL-FLAME
Le major Edward Dames, qui travaillait jusqu’en 1992 pour la Defense Intelligence Agency du Pentagone, a longtemps fait partie de l’opération GRILL-FLAME, un programme hautement confidentiel qui mettait l’accent sur certaines des possibilités les plus étranges de collecte de renseignements et d’interrogation à distance.

Connu sous le nom de ” téléspectateurs à
distance “, le personnel de GRILL-FLAME possédait une capacité
psychique marquée qui lui permettait d’utiliser des cibles désignées ”
pénétrantes ” et de recueillir des renseignements importants sur des
personnages importants.

Le programme fonctionnait avec deux
équipes : l’une travaillait dans les installations top secrètes de la
NSA à Fort George Meade dans le Maryland, et l’autre au SRI. Les
résultats sont jugés exemplaires.

Après la débâcle d’Oliver North, le
secrétaire à la Défense a officiellement mis fin à GRILL-FLAME,
craignant une mauvaise publicité si le programme devait être connu du
public.

Les principaux membres du projet – y
compris Dames – se sont immédiatement réinstallés dans l’entreprise
privée Psi-Tech, nouvellement créée, et continuent leur travail jusqu’à
ce jour, travaillant sous contrat avec le gouvernement.

Dans le cadre de son travail, Dames a
été (et demeure) proche de nombreuses personnalités et partisans des
armes électromagnétiques antipersonnel, en particulier celles qui
opèrent dans le domaine neurologique.

Dans le cadre du programme “The Other
Side” de NBC, Dames a déclaré que “le gouvernement américain dispose
d’un appareil électronique qui pourrait implanter des pensées dans les
gens”. Il a refusé de faire d’autres commentaires.

L’émission a été diffusée en avril 1995.

1993 Rapport de “Acoustic Psycho-correction”
En 1993, Defense News a annoncé que le gouvernement russe discutait avec ses homologues américains du transfert d’informations techniques et d’équipements connus sous le nom de “Acoustic Psycho-correction”.

Les Russes ont prétendu que cet appareil impliquait,

“la transmission de commandes
spécifiques par des bandes de bruit statique ou blanc dans le
subconscient humain sans perturber les autres fonctions
intellectuelles.”

Selon les experts, les démonstrations de
cet équipement ont montré des résultats “encourageants” “après une
exposition de moins d’une minute” et ont produit “la capacité de
modifier le comportement sur des sujets volontaires et non volontaires”.

L’article poursuit en expliquant que
“les logiciels et le matériel associés au programme de psychocorrection
(sic) pourraient être achetés pour aussi peu que 80 000 $ US”.

Les Russes ont poursuivi en disant cela,

“L’opinion mondiale n’est pas prête à faire face aux problèmes que pose la possibilité d’un accès direct à l’esprit humain.”

La psycho-correction acoustique remonte
au milieu des années 1970 et peut être utilisée pour ” réprimer les
émeutes, contrôler les dissidents, démoraliser ou désactiver les forces
adverses et améliorer la performance des équipes d’opérations spéciales
amies “. (18)

Janet Morris, du Global Strategy
Council, un groupe de réflexion établi à Washington par l’ancien
directeur adjoint de la CIA, Ray Cline, a fait part d’une préoccupation
américaine au sujet de cet appareil. Morris a noté que “les troupes au
sol risquent d’être exposées à des bruits de conduction osseuse qui ne
peuvent être compensés par des bouchons d’oreilles ou d’autres
équipements de protection”.

Au cours des derniers mois, j’ai
rencontré et discuté des efforts de recherche russes, avec un contact
qui s’était rendu en Russie plus tôt cette année. Il a, à son tour,
rencontré un certain nombre de scientifiques russes qui connaissent bien
ce domaine.

J’ai peu de doutes que l’article de Defense News cité plus haut soit fondamentalement exact.

Rapport de 1994 sur les armes “moins meurtrières
Le numéro d’avril 1994 de Scientific American publiait un article intitulé “Bang ! You’re Alive” qui décrit brièvement certains des arsenaux connus d’armes “Less Than Lethal” actuellement disponibles.

Il s’agit notamment de fusils laser et
de générateurs d’infrasons à basse fréquence suffisamment puissants pour
déclencher des nausées ou de la diarrhée.

Steve Aftergood de la Federation of
American Scientists (FAS) a noté que les armes non létales ont été liées
à des dispositifs de “contrôle mental” et que trois des plus éminents
défenseurs de la non létalité partagent un intérêt pour les phénomènes
psychiques. (23)

De l’avis de beaucoup, ces programmes et
d’autres programmes connexes ont été placés sous la bannière des armes
non létales, aussi appelées “moins que létales”, qui sont maintenant
promulguées en rapport avec la doctrine des conflits de faible
intensité, un concept de guerre au XXIe siècle.

Il est clair que bon nombre de ces
programmes du Pentagone et des programmes connexes de transport de lots
brisés fonctionnent selon une classification élevée. D’autres
considèrent que de nombreux programmes “noirs” similaires ou connexes
sont financés par les vastes ressources actuellement disponibles dans le
cadre de la politique américaine de lutte contre la drogue, dont le
budget de l’exercice 1995 est de 13,2 milliards de dollars. (25)

Le 21 juillet 1994, le ministre de la
défense William J. Perry a publié un mémorandum sur les armes non
létales, dans lequel il présentait une liste de tâches prioritaires pour
l’utilisation de ces technologies. Le deuxième sur la liste était le
“contrôle de la foule”. Un pauvre cinquième d’entre eux a déclaré :
“Désactiver ou détruire des armes ou des processus de mise au point ou
de fabrication d’armes, y compris des armes soupçonnées d’être des armes
de destruction massive”.

Il est donc clair que la non-létalité est fondamentalement considérée comme antipersonnel plutôt qu’anti-matériel.

En juillet 1996, le Spotlight, un
journal américain de droite à large diffusion, a rapporté que des
sources bien placées du DoD avaient confirmé un contrat classifié du
Pentagone pour le développement de ” générateurs électromagnétiques de
grande puissance qui interfèrent avec les ondes cérébrales humaines “.
L’article cite le protocole d’entente daté de 1994 entre le procureur
général Janet Reno et le secrétaire à la Défense William Perry pour le
transfert des armes LTL au secteur de l’application de la loi.

Un budget de moins de 50 millions de dollars a été mis à disposition pour le financement de programmes “noirs” associés.

M. Emery Horvath, professeur de physique
à l’Université Harvard, a déclaré à propos du générateur qui interfère
avec les ondes cérébrales humaines,

“Entre les mains des techniciens du
gouvernement, il peut être utilisé pour désorienter des foules entières
ou pour manipuler des individus en vue d’actes autodestructeurs. C’est
une arme terrifiante.” (26)

Dans un document de 1993 de l’U.S. Air
Command and Staff College intitulé Non Lethal Technology and Air Power,
les auteurs Jonathan W. Klaaren (USAF) et Maj.

Ronald S. Mitchell (USAF) a décrit
certaines armes NLT. Il s’agit notamment des “ondes acoustiques” (sons
pulsés/atténués de haute intensité, infrasons (très basse fréquence) et
polysons (volume élevé, distrayant) ainsi que des micro-ondes de grande
puissance (HPM) qui ont la capacité de dissuader ou d’incapaciter les
êtres humains.

Ces armes et d’autres armes classifiées
sont actuellement transmises aux services de détection et de répression
nationaux, comme l’a montré le Colloque international sur la technologie
organisé en 1995 par l’ONDCP (Office of National Drug Control Policy)
et intitulé “Counter-Drug Law Enforcement : Applied Technology for
Improved Operational Effectiveness”, qui décrivait la “Transition des
technologies militaires de pointe vers l’environnement d’application de
la loi civile”.

Certains observateurs craignent que
l’industrie naissante des stupéfiants ne soit une “couverture” idéale
pour le “transit” des technologies non létales à des fins de politique
intérieure.

Reste à savoir s’il s’agit simplement d’une crainte “orwellienne” mal placée. (27)

Des armes de cette nature ont-elles été mises au point et testées sur le terrain ?
en juger par le nombre de personnes et de groupes qui déposent des plaintes de harcèlement, la réponse semble être ” oui “.

Kim Besley, du Greenham Common Women’s
Peace Camp, a compilé un catalogue assez complet des effets qui ont
résulté des signaux de basse fréquence émanant de la base commune de
Greenham, apparemment destinés aux femmes manifestantes.

Il s’agit notamment de vertiges, de
saignements rétiniens, de brûlures au visage (même la nuit), de nausées,
de troubles du sommeil, de palpitations, de perte de concentration, de
perte de mémoire, de désorientation, de maux de tête sévères, de
paralysies temporaires, de troubles de la coordination vocale,
d’irritabilité et de panique dans des situations non paniques. Des
effets identiques et similaires ont été rapportés ailleurs et semblent
être assez courants chez les soi-disant “victimes”.

Bon nombre de ces symptômes ont été
associés dans la littérature médicale à l’exposition aux micro-ondes et
surtout à des expositions de faible intensité ou non thermiques. (22)
Ceux-ci ont été passés en revue par le Dr Robert Becker, deux fois
nominé pour le prix Nobel, et un spécialiste des effets EM.

Son rapport confirme que les symptômes reflètent ceux auxquels il s’attendrait si des armes à micro-ondes avaient été déployées.

HAARP, 1995, CIA, NSA, ONR :
Induction par résonance électromagnétique et contrôle de la population de masse
Emplacement : Gakona, Alaska
Fréquences : VHF VHF UHF à résonance à verrouillage de phase atmosphérique
Potentiel : Modification du code de l’ADN dans la population et modification du comportement de masse
Le pouvoir : Gamme de Giga watts à Tera watts
Fréquences réfléchissantes décroissantes : Environ 1,1 GHz, fréquence de résonance de l’ADN humain, verrouillage de phase du système cellulaire

PROJET CLEAN SWEEP, 1997, 1998, CIA, NSA, ONR :
Induction par résonance électromagnétique et contrôle de la population de masse
Emplacement : À l’échelle nationale
Fréquences : Longueurs d’ondes émotionnelles, collecte de données à l’aide de sondes héliportées à la suite d’événements médiatiques – rediffusion afin de re-stimuler les niveaux émotionnels de la population pour recréer des scénarios d’événements.
Réf : LE#108, Mars 1998
Potentiel : Modification du comportement de masse
Le pouvoir : Inconnue. Éventuellement rediffusion sur les fréquences du réseau GWEN ou de la tour de téléphonie cellulaire, coordonnée à partir de NBS au Colorado.

Jack Verona et le projet SLEEPING BEAUTY
Parmi les projets en cours, mentionnons SLEEPING BEAUTY, qui vise l’utilisation sur le champ de bataille d’armes électromagnétiques modifiant l’esprit. Ce projet est dirigé par Jack Verona, un officier haut placé de la Defense Intelligence Agency (DIA). Le Dr Michael Persinger, de l’Université Laurentienne, travaille également au projet.

Projet MONARCH
D’autres sources ont révélé un projet intitulé MONARCH qui, supposément, est orienté vers la création délibérée d’un trouble grave de la personnalité multiple. (24)

SOURCES

  • Guyatt, David G. Synopsis prepared for the ICRC Symposium The Medical Profession and the Effects of Weapons in « Government Mind Control »
  • Keeler, Anna « Remote Mind Control Technology » Reprinted from Secret and Suppressed: Banned Ideas and Hidden History (Portland, OR: Feral House, 1993)
  • Leading Edge International Research Group « Major Electromagnetic Mind Control Projects »
  • Pasternak, Douglas « Wonder Weapons: The Pentagon’s quest for nonlethal arms is amazing, but is it smart? »
  • U.S. News and World Report, 7 July 1997 in « Government Mind Control »



Que pouvons-nous apprendre sur l’effondrement en regardant le Moyen Âge ?

[Source : Le Saker Francophone]

Que pouvons-nous apprendre sur l’effondrement en regardant le Moyen Âge ?

Le grand défi du goulot d’étranglement de Sénèque

Par Ugo Bardi – Le 3 mars 2019 – Source CassandraLegacy

L’idée qu’un effondrement attend notre civilisation semble gagner du terrain, même si elle n’a pas atteint le débat dans les médias. Mais aucune civilisation avant la nôtre n’a échappé à l’effondrement, il est donc logique de penser que l’entité que nous appelons « Occident » va s’effondrer, durement, dans l’avenir. Puis, comme cela est arrivé aux Romains il y a longtemps, nous allons entrer dans un nouveau monde. Qu’est-ce que ce sera ? Est-ce que ça ressemblera au Moyen Âge ? Peut-être, mais qu’était exactement le Moyen Âge ? Il se peut bien que ce soit loin d’être l’âge de la barbarie que le nom d’« âge des ténèbres » semble impliquer. Le Moyen Âge a été plus une période d’adaptation intelligente à des ressources rares. Alors, pouvons-nous apprendre de nos ancêtres médiévaux comment gérer le déclin à venir ?

Lorsque les mines d’or et d’argent du nord de l’Espagne furent épuisées, à un moment du IIe siècle après J.-C., l’Empire romain perdit son principal atout : sa monnaie, l’argent utilisé pour payer les troupes, la bureaucratie, la cour, les nobles et tout le reste. Car sans argent, il n’y avait rien qui pouvait maintenir l’Empire soudé. Après le grand crash financier du IIIe siècle après J.-C., l’Empire romain d’occident s’est évanoui dans une galaxie de micro-états et de royaumes. Au 5e siècle, l’Europe entrait officiellement dans la période que nous appelons le Moyen Âge et cela allait durer environ un millénaire.

Aujourd’hui, nous avons tendance à considérer le Moyen Âge comme une période de barbarie et de superstition, un âge vraiment sombre de chasses aux sorcières et de guerres de religion. Mais sommes-nous sûrs qu’il en était ainsi ? En fait, le Moyen Âge a été une période d’adaptation intelligente au manque de ressources, une société qui pourrait anticiper ce que nous verrons peut-être dans notre avenir.

Tout d’abord, les peuples du Moyen Âge ont été confrontés au problème du manque de monnaie. Sans monnaie, il ne peut y avoir de commerce, il ne peut y avoir de gouvernement, et l’économie est réduite aux échanges locaux, ce qui est très inefficace. La monnaie romaine était basée sur l’or et l’argent, mais les mines finirent inondées [jusqu’à l’invention de la machine à vapeur et les pompes, NdT] et abandonnées, le métal précieux de l’Empire était soit parti en Chine [déjà, NdT], soit  enseveli à la suite d’une phase mortelle de déflation. Il n’y avait aucun moyen de redémarrer avec un système monétaire basé sur le métal.

Ici, nous voyons la première invention intelligente des gens du Moyen Âge : ils ont créé une monnaie virtuelle basée sur des reliques. Les reliques n’avaient pas besoin d’or ou d’argent, il s’agissait surtout d’ossements humains que l’Église, agissant comme une banque, garantissait avoir appartenu à un saint homme du passé. Cela a assuré la rareté et la valeur de la monnaie basée sur les reliques. Les reliques ont également résolu un problème fondamental : la convertibilité. Toute monnaie, pour être utile, doit pouvoir être changée en marchandises d’une sorte ou d’une autre. L’économie s’étant effondrée, il y avait peu de biens à acheter avec n’importe quelle devise. Mais les reliques pourraient être rachetées en termes de santé physique et spirituelle personnelle. Cela rendait les gens désireux de les avoir autant, peut-être plus, que d’être à la recherche d’or et d’argent.

Si les reliques ont résolu le problème de la monnaie, une économie a aussi besoin de routes, les marchandises doivent être transportées. Nous savons que le système romain de routes militaires s’est en grande partie effondré au Ve siècle, comme nous le raconte Namatianus dans son De Reditu Suo. Et, avec la disparition de l’État romain, il n’y avait plus de ressources ni de besoins militaires pour l’entretien des routes. Nous avons ici une autre invention astucieuse du Moyen Âge : les pèlerinages. Les gens voyagaient dans toute l’Europe et même plus loin pour vénérer les reliques les plus précieuses conservées dans les églises et les monastères. On disait que les pèlerinages étaient bons pour la santé spirituelle et le bien-être d’une personne, mais qu’ils permettaient aussi une forme d’économie non monétarisée. Les pèlerins avaient besoin de nourriture et d’abris, et cela a généré tout un système de soutien pour les voyageurs, les monastères, les hôtels, les abris, etc. Les seigneurs locaux ont été encouragés à entretenir les routes qui traversaient leurs domaines, toujours pour le prestige qu’ils pouvaient acquérir en favorisant les pèlerinages et la circulation des marchandises.

Alors, bien sûr, le commerce peut prendre la forme d’un pèlerinage, mais si les gens voyagent et échangent des choses, ils ont besoin de se parler entre eux. Ici, nous avons un autre succès du Moyen-Âge : les gens de l’époque ont réussi à maintenir le latin en tant que « lingua franca » européenne. Ce n’était pas la langue de tout le monde, mais un moine irlandais pouvait converser en latin avec un moine sicilien. Cela a empêché l’Europe de devenir un Babel de langues ingérable (toute référence à l’état actuel de l’Union européenne est intentionnelle). Le latin maintient les communications ouvertes et permet non seulement le commerce, mais aussi les relations diplomatiques entre les différents États et les micro-États.

Garder le latin, bien sûr, c’est garder les codes du droit romain et, par conséquent, maintenir l’État de droit, l’une des plus grandes conquêtes de la civilisation romaine. Ah… mais vous pensez à la chasse aux sorcières, n’est-ce pas ? Les gens du Moyen Âge consacraient-ils tout leur temps à brûler de pauvres femmes ? Non, cela fait partie de la mauvaise presse autour du Moyen Âge. Les sorcières n’ont pas été brûlées au Moyen Âge. Regardez les données d’un article récent de Leeson et Russ. Vous voyez que les procès et les exécutions de sorcières étaient pratiquement inexistants au Moyen Âge. L’idée a surgit à un moment donné vers la fin du 15ème siècle. L’apogée se situe au début du XVIIe siècle – l’époque de la chasse aux sorcières était la soi-disant et, oh, si civilisée « Renaissance ».

L’utilisation du latin comme lingua franca, mais aussi comme langue sacrée, visait à créer un corps d’intellectuels européens, faisant partie d’un réseau de monastères, tous gérés par l’Église romaine, et qui maintenait vivant le savoir qui avait été recueilli pendant l’Antiquité classique. Mais ne brûlait-on pas des livres au Moyen Âge ? Eh bien, non. Brûler des livres n’était pas une affaire particulièrement médiévale – vous pouvez voir dans l’article de Wikipedia sur le sujet que brûler des livres est surtout une affaire moderne. De plus, les livres écrits à la main coûtaient si cher que personne de sain d’esprit n’aurait voulu s’engager à les brûler.

Enfin, le Moyen Âge a vu un effort pour contrôler la violence de l’armée. À l’époque romaine, les soldats se battaient parce qu’ils étaient payés, ce qui permettait au gouvernement de contrôler étroitement l’armée. Mais, avec la disparition de la monnaie, les armées ont commencé à se battre pour piller, créant toutes sortes de catastrophes. L’une des tentatives pour les contrôler fut la création d’ordres militaires de moines guerriers. Au début du christianisme, l’idée a pris la forme de la milice du Parabalanoi. Ils se sont avérés indisciplinés et violents, entre autres choses, ils auraient tué l’intellectuelle païenne Hypathie en 415 de notre ère. Ils ont été dissous et ont disparu de l’histoire après le 6ème siècle environ. Plus tard, des ordres militaires ont été créés à la fin du Moyen Âge et employés principalement pour les Croisades, après l’an 1000. Les Chevaliers Teutoniques, les Templiers, les Chevaliers de l’ordre des Hospitaliers, et plusieurs autres, se sont avérés peu efficaces en tant que force de combat et difficiles à contrôler également. C’était une bonne tentative, mais celle-ci a échoué.

Enfin, la société médiévale a essayé de réduire l’oppression des pauvres et des gens comme Saint-Benoît et Saint-François d’Assise ont clairement indiqué que la richesse matérielle n’était pas le seul but à poursuivre. Le Moyen Âge n’a jamais été un paradis prolétarien, mais l’inégalité était probablement plus faible qu’elle ne l’est dans notre société actuelle. C’était aussi une époque où l’égalité entre les sexes était bien meilleure qu’à l’époque romaine.

Puis, bien sûr, nous savons comment cela s’est terminé : avec la grande expansion économique qui a suivi la peste noire en Europe, la monnaie est revenue avec la découverte de nouvelles mines d’argent en Europe de l’Est : le culte médiéval des reliques est devenu une superstition amusante. Désormais, les armées pouvaient être payées de nouveau avec de la monnaie métallique et envoyées à la conquête du monde que les nouveaux galions européens étaient en train de découvrir. L’invention de l’imprimerie a créé les langues nationales et mis fin à jamais au rôle du latin en tant que langue internationale. Les langues nationales ont également créé des États-nations, des entités agressives et puissantes qui dominent encore aujourd’hui l’Europe. Et cela a créé le monde d’aujourd’hui : agressif, violent, destructeur, insoutenable, et se précipitant à la vitesse la plus rapide possible vers sa propre destruction – l’effondrement de Sénèque de notre civilisation.

Qu’en est-il de notre avenir : peut-on imaginer un retour à quelque chose de semblable au Moyen Âge, le « Nouveau Moyen Âge » ? Il s’agit d’un concept largement débattu, souvent perçu en termes fortement négatifs parce que les gens voient encore le Moyen Âge historique comme un « âge sombre ». Plus que cela, la plupart des gens aujourd’hui semblent trouver inconcevable qu’une société complexe puisse exister à l’avenir sans combustibles fossiles. De ce point de vue, tout ce qui sortirait de l’effondrement à venir serait quelque chose comme « des paysans gouvernés par des brigands » ou, pire encore, un nouveau monde Olduvai de chasseurs et de cueilleurs affamés, voire l’extinction totale de l’humanité.

Peut-être. Mais il se peut aussi que cette attitude pessimiste soit tout aussi erronée que l’incapacité des Romains à concevoir une société quelconque sans Rome comme capitale d’un empire. Rutilius Namatianus a écrit quelque chose comme ça dans son De Reditu, au début du 5ème siècle après JC. Mais il avait tort, l’exemple du Moyen Âge nous dit qu’il est possible de garder une civilisation sophistiquée malgré le manque de ressources matérielles disponibles.

Il est probable que l’ancien monde ne puisse plus être sauvé, et probablement qu’il ne mérite pas de l’être. Mais, même sans les abondantes ressources minérales que nous avons utilisées pour créer notre situation actuelle, nous pourrions sortir du goulet d’étranglement de Sénèque et construire une société durable basée sur au moins une partie des connaissances scientifiques et littéraires actuelles en utilisant des énergies renouvelables et grâce à une gestion prudente des ressources minérales restantes de la Terre – exploiter nos ruines pourrait aussi aider, tout comme les peuples médiévaux l’ont fait pour les ruines romaines.

Nous ne pouvons pas dire si nos descendants seront capables de créer un tel monde, mais ils auront une meilleure chance si nous les aidons. Cela signifie qu’il faut semer les graines d’une infrastructure d’énergie renouvelable basée sur des ressources durables, et commencer à le faire avant que le changement climatique ne détruise tout. Nous pouvons le faire, mais nous devons commencer maintenant.

Après avoir écrit ce post, je viens de découvrir un post de 2013 sur « American Conservative » sur le monachisme chrétien qui a été commenté aujourd’hui même par Alastair Crooke. Il semble que l’idée que nous pouvons apprendre quelque chose du Moyen Âge se répand.

Ugo Bardi

Lien

Le texte d’Alastair Crooke a été traduit et commenté par dedefensa.

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




Quelles nations s’effondreront, et lesquelles prospèreront dans les 25 prochaines années ?

[Source : Le Saker Francophone]

Quelles nations s’effondreront, et lesquelles prospèreront dans les 25 prochaines années ?


L’adaptabilité et la flexibilité sont les traits fondamentaux qui assureront la survie des nations à l’avenir.


Par Charles Hugh Smith − Le 21 mai 2019 − Source Of Two Minds

Qu’est-ce qui distinguera les nombreux pays qui s’effondreront et ceux qui survivront – où même prospèreront – dans les vingt-cinq prochaines années, alors que la stabilité disparaît autour d’elles ? Comme je l’explique dans mon récent livre Pathfinding our Destiny : Preventing the Final Fall of Our Democratic Republic (Éclaireurs de notre destin : pour empêcher la chute finale de notre république démocratique), les facteurs qui auront de l’importance ne sont pas nécessairement culturels ou financiers. Travailler beaucoup et être en bonne santé  ne suffira pas à protéger un pays de l’effilochement.

Voici les facteurs importants pendant les 25 prochaines années :

*1. La capacité à survivre à l’affrontement avec le changement non-linéaire, qui est brutal, imprédictible et systémique, à l’opposé du changement linéaire, qui est graduel, prédictible et limité par nature.

Aucun des systèmes politiques courants n’est assez décentralisé et adaptatif pour survivre à l’ère non-linéaire dans laquelle nous entrons. Comme je l’expliquais dans What If Politics Can’t Fix What’s Broke ? (Que se passe-t-il si la politique ne peut plus réparer ce qui est cassé ?), les politiques fondées sur le compromis centralisé et progressif de même que les ajustements décidés par le haut sont absolument inadéquates pour traiter les perturbations non-linéaires.

*2. Les nations qui ne pourront pas se débarrasser de leurs élites sclérosées chuteront, mais celles qui auront assez de volonté politique pour les jeter par-dessus bord auront les moyens de survivre et même, de prospérer alors que le statu quo s’effondre autour d’elles.

Comme nous le savons tous, le problème est que des élites
parasitaires dirigent les hiérarchies centralisées de la politique et de
la richesse, et elles s’accrocheront au pouvoir même si le pays
qu’elles dirigent s’effondre.
La démesure, la suffisance et
l’avidité de ces élites parasitaires ne connaît pas de limites ; l’idée
que les structures politiques et financières qu’elles dominent ne
survivront pas n’existe tout simplement pas pour elles, à l’exception
des quelques-uns qui construisent des abris lointains et retranchés
pourvus de pistes d’atterrissage etc.

Malheureusement pour ceux-là, ils n’échapperont pas à l’imagerie par
satellite et par drone, ou aux paroles indiscrètes de leurs employés, de
leurs sous-traitants etc.

Au moment où la population prendra conscience de la précarité du statu quo, il sera trop tard pour effectuer des changements efficaces en se débarrassant des élites parasitaires.
De la même manière que Rome était trop épuisée pour résister à la fin,
les structures de gestion d’un contexte stable seront trop affaiblies
pour s’adapter avec assez de rapidité pour survivre.

*3. La centralisation de la richesse, du pouvoir et de l’administration a été la « solution » pendant des siècles, voire des millénaires. Nous approchons d’un Pic de centralisation et donc d’un échec systémique de la centralisation comme « solution » à tous les problèmes.

L’unique solution durable sera une radicale décentralisation du capital, du pouvoir politique et du contrôle des ressources.
La seule raison pour laquelle les élites parasitaires règnent sans
partage, c’est que la richesse et le pouvoir sont concentrés à l’extrême
dans quelques mains. Alors que les systèmes politiques et financiers
échoueront et se disloqueront, des solutions totalement extérieures aux
hiérarchies centralisées émergeront… si la population est libre de les
adopter.

*4. Ces solutions rendront obsolètes les structures actuelles centralisées. Toutes les réformes échoueront car les élites parasitaires ne rendront jamais leur contrôle sur le pouvoir. Le dénouement consistera donc en un effondrement complet des structures politiques et financières centralisées ainsi que des élites parasitaires qui les contrôlent.

*5. L’adaptabilité et la flexibilité seront les traits fondamentaux qui assureront la survie à l’avenir.

Les seules structures adaptables et assez flexibles pour réagir
rapidement et efficacement pour survivre sont les réseaux décentralisés –
non-hiérarchiques, distribués plutôt que centralisés ; auto-organisés
plutôt qu’organisés par en haut.

20 ans avant que Rome implose, peu des « citoyens de premier plan » anticipaient l’effondrement. Et ce qui était vrai alors l’est encore pour nos élites parasitaires. Un effondrement semble réellement « impossible »
dans l’état d’esprit actuel : on ne peut même pas concevoir que ce qui
fonctionne maintenant s’arrête un jour de fonctionner. Mais une
suffisance aveugle basée sur la croyance d’une stabilité éternelle
n’arrête pas l’usure et la rouille, et n’empêchera pas non plus
l’effondrement.

Comme Américain, j’espère que mes concitoyens finiront par comprendre
cette alternative simple et profonde : ou nous supportons la domination
de nos nombreuses élites parasitaires, ou nous jetons par-dessus bord
les structures centralisées dont les élites parasitaires ont besoin pour
imposer leur domination.

Charles Hugh Smith

Traduit par Michel pour le Saker Francophone




Un neurochirurgien de Harvard confirme que la vie après la mort existe

[Source : Les moutons rebelles]

Un neurochirurgien de Harvard confirme que la vie après la mort existe

Avons-nous une âme? Y a-t-il une vie après la mort? Depuis les
débuts de l’histoire, la vie après la mort a été expérimentée par
d’innombrables personnes qui sont revenues raconter leur histoire. Le
compte-rendu le plus remarquable est celui vécu de première main par le
neurochirurgien (pendant 25 ans) formé à Harvard, le Dr Eben
Alexander. Ceci n’est pas juste une de ces histoires de l’au-delà qui
peut être balayée d’un revers de main comme si c’était une
hallucination. Avant d’examiner les détails de son expérience de
l’au-delà et à quel point ils défient toute explication scientifique,
explorons un peu son récit.
Avant son expérience, il ne croyait pas en l’existence d’un esprit non
physique. Ayant fait ses études dans le cadre de la médecine
universitaire occidentale, et ses collègues médecins profondément
investis dans une perspective matérielle de l’univers, il pensait que
l’idée d’une âme était bizarre. Comme la plupart des « sceptiques », il
croyait que les histoires de l’au-delà étaient des hallucinations ou des
produits de l’imagination humaine.

Le Dr Alexander a changé d’avis après avoir été dans le coma pendant 7 jours à la suite d’une méningite bactérienne sévère. Pendant son coma, il a fait l’expérience d’un voyage intense dans ce qu’il savait être l’au-delà, en visitant des espaces célestes et d’autres moins paradisiaques.

Après être revenu dans son corps et avoir vécu une guérison
miraculeuse contre toute attente, il a écrit le best-seller du New-York
Times « La Preuve du Paradis » (Proof of Heaven). Ce que le Dr.
Alexander confirme, c’est que notre vie ici ne serait qu’un test pour
aider nos âmes à évoluer et à croître, et que la façon dont nous y
parvenons c’est de nous comporter avec amour et compassion. Voici
quelques autres remarques surprenantes qu’il a faites:

vie-apres-la-mort2

– L’expérience de l’au-delà était si « réelle » et vaste que
l’expérience de la vie en tant qu’un humain sur Terre semblait un rêve
artificiel en comparaison.

Le tissu de l’au-delà était de l’AMOUR pur. L’amour
dominait l’au-delà à un tel degré que la présence globale du mal était
infiniment minuscule. Si vous souhaitez connaître l’Univers, connaissez
l’Amour.

– Dans l’au-delà, toute communication était télépathique. Il n’y avait pas besoin de mots parlés, ni
même de la séparation entre le moi et tout ce qui se passe autour de
nous. Toutes les questions que vous posiez dans votre esprit obtenaient
immédiatement une réponse télépathique aussi.

vie-apres-la-mort4

Quand on lui demande ce qu’il veut que tout le monde sache sur le domaine spirituel, il répond toujours que vous êtes infiniment précieux et aimé plus que vous ne pouvez l’imaginer.  Vous
êtes toujours en sécurité. Vous n’êtes jamais seul. L’amour
inconditionnel et parfait et Dieu ne néglige pas une seule âme.

« L’amour est, sans aucun doute, la base de tout. Pas une sorte
d’amour abstrait, insondable, mais l’amour quotidien que tout le monde
connaît, celui que l’on ressent en regardant notre conjoint(e) ou nos
enfants, ou même nos animaux. Dans sa forme la plus pure et la plus
puissante, cet amour n’est ni jaloux, ni égoïste, mais inconditionnel.

Telle est la réalité des réalités, la vérité des vérités
incompréhensible et magnifique qui vit et respire au coeur de tout ce
qui existe ou existera jamais, et il n’est absolument pas possible de
comprendre ce que nous sommes ou qui nous sommes si nous ne connaissons
pas cette vérité et si nous ne la ressentons pas profondément dans nos
corps et dans toutes nos actions. »
Parlons maintenant crédibilité une minute. Qu’est-ce qui rend cette
expérience tellement plus significative que d’autres récits d’expérience
de mort imminente (EMI)? Le néocortex d’Eben était complètement hors
d’état de fonctionner pendant la durée de son coma dû à sa grave
méningite bactérienne, il n’y a donc aucune explication scientifique
éclairant ce qu’il a vécu. En fait, il réfute 9 explications
scientifiques éventuelles dans son livre.

vie-apres-la-mort3

Explorer les explications naturalistes

Examinons 5 explications potentielles qu’il décrit à l’annexe B de
« La Preuve du Paradi ». Quelques-unes de ses explications ne pourraient
nous être d’aucun secours, n’étant pas familiers avec la terminologie
neuroscientifique. Voici donc les explications les plus courantes qu’il
réfute, extraites de son livre.

1. Ce serait un « programme du tronc cérébral
primitif pour soulager la douleur et la souffrance.  (« argument
évolutionniste » – peut-être comme un vestige de stratégies telles que
faire le mort des mammifères inférieurs?). Ceci n’explique pas la nature
abondante et richement interactive des souvenirs.

2. La remontée déformée de souvenirs de parties plus
profondes du système limbique (par exemple, l’amygdale latérale) qui
est suffisamment protégé par des enveloppes successives de
l’inflammation méningée, survenant, elle, principalement à la surface du
cerveau. Ceci n’explique pas la nature abondante et richement
interactive des souvenirs.

3. Une décharge de DMT. La DMT, un agoniste de la
sérotonine survenant naturellement provoque des hallucinations et un
état de rêve. Je suis personnellement familier des expériences de
drogues liées aux agonistes de la sérotonine (LSD) de mes années
d’adolescence, au début des années 1970. Je n’ai eu aucune expérience
personnelle avec la DMT, mais j’ai vu des patients sous son influence.
La riche ultra-réalité que j’ai vécue, exigerait les capacités auditives
et visuelles du néocortex comme régions réceptrices du cerveau pour y
générer une expérience audiovisuelle tellement riche, telle que je l’ai
vécue dans mon coma. Le coma prolongé en raison de la méningite
bactérienne avait gravement endommagé mon néocortex, qui est la zone où
la totalité de la sérotonine, à partir des noyaux du raphé dans mon
tronc cérébral (ou la DMT, agoniste de la sérotonine) aurait eu des
effets sur les expériences visuelles ou auditives. Mais mon cortex était
éteint, et la DMT n’aurait pas eu de place dans le cerveau pour agir.

DMT

4. Un phénomène de redémarrage – une accumulation
aléatoire de souvenirs bizarres et épars venant de vieux souvenirs dans
le néocortex endommagé, ce qui pourrait se produire avec le retour du
cortex dans la conscience après une panne prolongée de l’ensemble du
système, comme dans ma méningite. Surtout étant donné les subtilités de
mes souvenirs élaborés, cela semble hautement improbable.

5. La génération de souvenirs insolites par une voie
visuelle archaïque passant par le mésencéphale, utilisée abondamment
chez les oiseaux mais rarement détectée chez les humains. Ce phénomène
peut être mis en évidence chez les humains aveugles au niveau du cortex,
du fait du cortex occipital. Cela ne fournit aucune explication
concernant l’ultra-réalité dont j’ai pu témoigner et n’explique pas non
plus le fait que les expériences visuelles et auditives étaient aussi
interreliées.

Son compte-rendu d’EMI se présente comme le récit le plus crédible de tous les temps, et du fait de son contexte de formation scientifique matérialiste, nous avons de bonnes raisons de croire qu’il a réellement expérimenté une rencontre saisissante avec quelque chose au-delà de ce monde.




La Vérité Cachée de la Lune : La Clé de certains mystères… [?]

[Source : Les moutons enragés]

[Auteur : Voltigeur]

[NdNM : si l’hypothèse d’une lune creuse ou artificielle, mais dotée d’une atmosphère peut être supportée par quelques arguments factuels, un élément visuel en forme d’onde de certaines vidéos relatives à la Lune est probablement plus simplement justifié par un simple phénomène de défaut de balayage vertical. En effet, la prétendue onde qui parcourrait la Lune sur la base de telles vidéos est toujours horizontale, dans le sens habituel du balayage, mais n’apparaît jamais en oblique ou verticalement.]

La Vérité Cachée de la Lune : La Clé de certains mystères…

Je vous soumets le contenu d’une vidéo au sujet de notre Lune, développé par Silvano Trotta proposée par « XX », (il a certainement la crainte d’être moqué puisqu’il ne désire pas que son pseudo soit cité) qui a été interpellé par le crash de la sonde israélienne Beresheet sur la Lune. (Cette sonde est le projet d’une organisation privée et pas un programme spatial national). J’ai regardé cette vidéo (postée le 6 avr. 2019) qui donne pas mal de sources officielles, faites en autant et donnez votre avis sur ce qui est démontré/affirmé dans cette vidéo. C’est conspi et mystérieux à souhait, mais peut-être aurez vous d’autres arguments qui réfuteront en bloc ces assertions. J’hésite entre loufoque, salmigondis, farfelu, conspirationniste et…., ça pourrait être vrai!! Oui mais alors, ça pose encore plus de questions, que ça n’apporte de réponses car, s’il est vrai que depuis l’expérience US, personne n’est retourné sur notre Séléné, il y a aussi le coût faramineux en prendre en compte par ces temps de crise pour rester logique et, au delà du « reste ». J’espère que « XX » va avoir pas mal d’avis sur cette vidéo. Volti

******

Auteur Silvano Trotta. Les sources sont au dessous de la vidéo sur Youtube

Si vous vous intéressez à l’ufologie, aux anciennes civilisations, à nos origines, à la Bible, voici une émission qui va vous montrer ce que l’on nous cache de la Lune depuis plus d’un siècle. Or la Lune est la clé de nombreux mystères liés à tout cela… Bon Voyage !Lire la suite




Les cellulaires endommagent l’ADN radicalement plus que les lignes à haute tension

[Source : La maison du 21e siècle]

Auteur : André Fauteux

Les cellulaires endommagent l’ADN radicalement plus que les lignes à haute tension

ADN fragmenté de cellules ovariennes de drosophile exposée aux ondes GSM 900 MHz. © Dimitris Panagopoulos

Une nouvelle étude très importante¹ résume les mécanismes impliqués dans les dommages à l’ADN causés indirectement par le rayonnement des téléphones portables. Il démontre que la variabilité extrême de l’intensité et de la forme d’onde des signaux de communication sans fil (radiofréquences de type micro-ondes) est à l’origine des effets biologiques observés. Les ondes  déclenchent l’ouverture des canaux ioniques à voltage variable des membranes cellulaires qui deviennent surchargées en calcium. Ces membranes s’ouvrent et se referment chaque fois que survient un changement supérieur à 30 % dans leur tension. Tous les effets cellulaires physiologiques sont initiés par les changements de concentrations ioniques médiés par le déclenchement de canaux ioniques.

L’auteur Dimitris Panagopoulos a révisé les études effectuées par son groupe de recherche, de 2006 à 2016, et comparant les dommages génétiques causés par six différents types de champs électromagnétiques (CEM) sur les œufs de la mouche à fruits (ou du vinaigre) Drosophila melanogaster. Elle a permis de constater que les CEM des téléphones cellulaires sont plus dommageables que d’autres types de CEM, y compris les champs magnétiques des lignes électriques. Ils provoquent une plus grande fragmentation de l’ADN et étaient significativement plus bioactifs, même à des durées d’exposition beaucoup plus courtes.

Les rayonnements
des téléphones portables se sont même avérés encore plus dommageables
que des agents chimiques cytotoxiques (nocifs pour les cellules). Alors
que ces agents chimiques ne causaient des dommages qu’à certains stades
du développement de l’œuf, il a été constaté que les radiations des
téléphones portables provoquaient des dommages à TOUS les stades du
développement de l’œuf et des mutations de l’ADN héréditaires qui
pouvaient être transmises à la génération suivante.

Les résultats étaient statistiquement significatifs :
• Il y avait 35,77 % plus de dommages à l’ADN causés par l’exposition à
la fréquence de téléphonie cellulaire GSM 1800 mégahertz (MHz) au bout
de 36 minutes par rapport aux œufs non exposés (valeur-p <0,0005 réfutant la probabilité que cela soit le fruit du hasard),
• et 50,16% plus de dommages à l’ADN ont résulté d’une exposition à la
fréquence GSM 900 MHz en 36 minutes par rapport aux œufs non exposés (p
<0,0002);
• en revanche, seulement les auteurs n’ont observé que
7,5% (p <0,001) de dommages à l’ADN suite à une exposition de 120
heures à des champs magnétiques 60 Hz comparables à ceux de lignes
électriques.

Même si toutes les sources de champs
électromagnétiques étudiées dans les études étaient non ionisantes et ne
pouvaient donc pas causer de dommages directs à l’ADN, ceux-ci étaient
causés par la libération dans les cellules de radicaux libres oxydants
ou d’enzymes hydrolytiques comme les déoxyribonucléases. 

L’étude a révélé que les paramètres physiques les plus importants des CEM à l’origine de la bioactivité sont :
1) la polarisation (en combinaison avec la cohérence spatio-temporelle),
2) les composants d’extrêmement basses fréquences ELF (pulsation, modulation, etc.),
3) l’intensité du champ/rayonnement,
4) la durée d’exposition,
5) la variabilité du champ.

Le
paramètre crucial de la bioactivité intense semble être la variabilité
extrême des signaux polarisés, principalement due aux grands changements
d’intensité imprévisibles. Ceci s’applique à toutes les formes de
communication sans fil à micro-ondes, y compris les 2e, 3e et 4e générations de téléphones cellulaires, les téléphones sans fil DECT et le Wi-Fi.

Selon
Panagopoulos, les résultats de ces études sont applicables aux
mammifères, y compris les humains, car « toutes les cellules des
insectes (y compris Drosophila) et des mammifères (y compris
les humains) ont le même type de membranes cellulaires, regorgent de
milliards d’ions libres identiques comme le calcium (Ca + 2), le
potassium (K +), le sodium (Na +), etc., déclenchant et accompagnant
tous les événements cellulaires, et présentant les mêmes types
d’organites intracellulaires, comme les mitochondries, les ribosomes, le
réticulum endoplasmique, le noyau contenant l’ADN génomique de la
cellule avec la même structure de base, etc. Ces similitudes au niveau
cellulaire entre tous les animaux sont plus fondamentales que les
différences de volume, de masse, de forme, de fonctions macroscopiques,
d’intelligence, etc., puisque tous les effets sur la santé sont initiés
au niveau cellulaire. Il est donc raisonnable de supposer qu’un effet
cellulaire provoqué par les CEM sur la drosophile (par exemple, des
dommages à l’ADN) peut également se produire dans l’organisme humain. »

L’importance
de la variabilité de l’exposition implique la nécessité de définir des
normes de sécurité pour les expositions aux champs électromagnétiques
non seulement en fonction des composantes de fréquence et des valeurs
d’intensité moyenne (ce qui est actuellement le cas aux États-Unis et
dans d’autres pays), mais également en fonction de l’intensité maximale
et minimale, des variations de fréquence, onde pulsée ou continue,
modulation et polarisation.

Texte adapté d’un commentaire provenant d’une source scientifique qui préfère demeurer anonyme.

  1. Comparing
    DNA damage induced by mobile telephony and other types of man-made
    electromagnetic fields, Dimitris J. Panagopoulos, Mutation
    Research-Reviews in Mutation Research, 11 mars 2019.



Gollnisch fait ses adieux au Parlement européen en y dénonçant la « dynamique perverse et luciférienne » qui y règne

[Source : Média-Presse Info]

Gollnisch fait ses adieux au Parlement européen en y dénonçant la « dynamique perverse et luciférienne » qui y règne

Laissé pour compte par Marine Le Pen qui
n’en a plus voulu sur sa liste pour les élections européennes du 26 mai
prochain, Bruno Gollnisch a fait ses adieux au Parlement européen.

Non sans un dernier discours dénonçant la « dynamique de groupe perverse, prométhéenne, luciférienne » qui s’est développée dans cette institution européenne.

Au cours des 30 années que j’ai passées dans ce parlement, j’ai vu se développer une dynamique de groupe perverse, prométhéenne, luciférienne, telle que la majorité de nos collègues s’est crue apte à donner au monde entier des principes qu’ils proclament mais ne suivent guère.

— Bruno Gollnisch (@brunogollnisch) 17 avril 2019




Docteur Richard Moskowitz, médecin depuis plus de 50 ans: L’hystérie actuelle au sujet de la rougeole ne repose nullement sur la science ; il s’agit de « scientisme », d’une foi quasi religieuse dans les vaccins

[Source : Initiative Citoyenne]

Docteur Richard Moskowitz, médecin depuis plus de 50 ans: L’hystérie
actuelle au sujet de la rougeole ne repose nullement sur la science ;
il s’agit de « scientisme », d’une foi quasi religieuse dans les vaccins

Brian Shilhavy, Health Impact News,  12 mars 2019

Le Dr Richard Moskowitz, médecin de famille depuis plus d'un demi siècle
Le Dr Richard Moskowitz, médecin de famille depuis plus d’un demi siècle

Le
Dr Richard Moskowitz est médecin depuis 1967. Il a fait ses études à
Harvard en sciences biochimiques et a reçu son diplôme de médecin à
l’Université de New-York en 1963. Après avoir fait un graduat en
philosophie à l’Université du Colorado, il a effectué un stage à
l’hôpital St. Anthony de Denver.

En
2015, lorsque la première hystérie au sujet de la rougeole a éclaté
dans les médias, le Dr Moskowitz a eu la gentillesse de nous autoriser à
publier son article : The Case against immunizations qui
reste l’un de ses écrits les plus brillants sur le sujet que nous ayions
jamais publié. Pour réaliser ce travail, le Dr Moskowitz s’est, bien
entendu, appuyé sur ses connaissances du sujet comme sur des décennies
de pratique de la médecine clinique.

Le
Dr Moskowitz vient de rédiger un autre article sur le thème des
« Epidémies de rougeole » en 2019, ainsi que sur le récent appel à une
vaccination obligatoire.

Il y expose le sophisme selon lequel « la science est bien établie » en matière de rougeole et de vaccins.

« Contrairement à ce que l’on nous a dit, la science est bien loin d’être établie sur l’efficacité des vaccins.

Ces
suppositions ne relèvent pas de la science, mais essentiellement du
scientisme, d’une foi quasi religieuse caractérisée par son dogmatisme
et  par l’étouffement de la pensée critique, du doute, du questionnement
par rapport aux vérités prétendument établies.  La véritable science a
bien d’autres exigences ! Tout ceci fait comprendre pourquoi les médias
s’abstiennent de signaler les dommages et les décès dus aux vaccins. »

Ces épidémies de rougeole : des pensées hors saison

Par le Dr Richard Moskowitz, M.D.

Alliance pour la protection de la Recherche

Extraits :

Avant
que l’hystérie actuelle au sujet de la rougeole ne dégénère encore
plus, un brin de bon sens pourrait nous aider à réfléchir plus
attentivement avant de nous dépêcher de prendre des mesures qui ne
fonctionneront pas et feront vraiment des dégâts.

Refuser
un traitement médical non souhaité est un droit fondamental que toutes
les nations civilisées ont juré de respecter, à la seule exception
possible d’une menace grave et imminente pour la santé publique. Les
quelques épidémies de rougeole localisées qui ne dépassent souvent pas
quelques dizaines ou centaines de cas ne correspondent pas en fait à ce
critère.

Toutes
ces épidémies sont typiques de celles qui se sont produites depuis
l’introduction du vaccin. D’autres épidémies semblables continueront
sans doute de se produire, même si la campagne bien financée de
l’industrie du médicament parvenait à vacciner tout le monde.

Pourtant,
le Département de la santé de l’Etat de Washington a déclaré une
urgence de santé publique sur cette base. Plusieurs autres Etats
envisagent de faire la même chose, et les médias se sont associés avec
enthousiasme à cette politique comme les éditoriaux du New-York Times,
du Boston Globe et autres grands magazines. Les stations radio comme les
émissions débats sur NPR, toutes bien intentionnées, mais propageant
sans cesse des peurs alarmistes et des exagérations, comme s’il
s’agissait de vérités bien établies. Ces médias citent souvent des cas
d’épidémies modestes comme justification suffisante pour éliminer les
exemptions aux vaccinations pour croyance personnelle, et qui ont encore
cours dans divers Etats.

Une
violation flagrante du Premier amendement et l’exemple le plus récent
et le plus inquiétant est la pression exercée par le Congrès sur
Facebook et autres médias sociaux pour censurer les publications qui
osent susciter des questions ou des doutes sur les vaccins, ainsi que
sur l’obligation vaccinale.

D’un
autre côté des politiciens et des journalistes n’ont rien fait de plus
que de croire les informations que des médecins et des autorités de
santé publique leur communiquent.

Malheureusement,
ce qui leur est communiqué ne relève pas seulement d’une mauvaise
éthique, mais aussi d’une mauvaise science, basée sur des hypothèses
totalement contredites par la recherche actuelle, tout en violant les
droits de l’homme les plus fondamentaux, ainsi que les valeurs morales
qui nous sont chères.

Souvent
supposées aller de soi sans même avoir besoin d’être énoncées, encore
moins prouvées, leurs hypothèses fondamentales sont en réalité deux
postulats qui s’appuient l’un sur l’autre pour les soutenir, à savoir 1)
que ces petites épidémies de rougeole et autres maladies infectieuses
contre lesquelles nous vaccinons sont en fait initiées et propagées par
des individus non vaccinés, et 2) que les vaccins sont, non seulement
miraculeusement sûrs, mais également uniformément efficaces pour
immuniser les personnes; de sorte que seules les personnes non vaccinées
restent susceptibles et donc capables de transmettre ces maladies à
d’autres.

Mais
il n’est pas possible d’avoir les deux à la fois. Car si ces postulats
étaient tout à fait vrais, si l’immunité conférée par le vaccin
antirougeoleux était vraiment comparable à l’immunité absolue et
permanente résultant de la maladie et de son rétablissement, les
non-vaccinés ne constitueraient une menace pour personne d’autre
qu’eux-mêmes, sur la base d’un libre choix de leur part ; de sorte que
ceux qui prennent le vaccin n’auraient absolument rien à craindre.

Inversement,
si les personnes vaccinées risquent effectivement de contracter la
maladie à partir de personnes non vaccinées, c’est que le vaccin est
manifestement inefficace au point que tout ce qu’il offre ne peut
constituer une immunité réelle ou authentiquement efficace.

Quoi
qu’il en soit, il existe de nombreuses preuves scientifiques solides
selon lesquelles ces deux hypothèses sont tout simplement fausses.

La
grande majorité des cas de rougeole, d’oreillons et d’autres maladies
que l’on prétend pouvoir être prévenues par un vaccin, au cours
d’épidémies passées ou récentes, ont été, dans 75 à 95% des cas,
observées chez des personnes vaccinées. Une étude récente sur la
rougeole en Chine, où plus de 99% de la population fut vaccinée en
fonction d’une loi rendant cette vaccination obligatoire a néanmoins
permis d’observer plus de 700 épidémies localisées, et ce, en une seule
année, pour un total de près de 26 000 cas.

Il
en va à peu près de même pour les éclosions récentes d’oreillons aux
États-Unis, où 95 à 100% des cas ont été trouvés chez des vaccinés.

Ainsi,
même si toutes les exemptions non médicales étaient éliminées et que
pratiquement tout le monde était vacciné, comme le nécessiteraient les
nouvelles lois proposées, des épidémies similaires continueraient sans
doute de se produire.

En
d’autres termes, la prétendue immunité conférée par les vaccins est une
astuce, une contrefaçon de la réalité et «l’immunité collective»,
objectif justifiant les obligations, généralement lié à un taux de
vaccination de 95% ou plus dans le cas de la rougeole, constitue une
chimère, des vœux pieux que la vaccination ne peut tout simplement pas
atteindre, contrairement à la maladie naturelle. Les experts de la santé
publique savent depuis longtemps que les épidémies de grande ampleur ne
se produisent plus lorsqu’au moins 80% de la population a été atteinte
par la maladie et en a guéri. C’est cela, et seulement cela, qu’est
l’immunité de groupe. S’attendre à ce que le vaccin atteigne un niveau
encore plus élevé, sans épidémie, est un pur fantasme et contraire de la
science pure et dure.

En
outre, des scientifiques ont également démontré que les personnes
vaccinées à partir de virus vivants, tels que la rougeole, les
oreillons, la rubéole, la varicelle, le rotavirus, la poliomyélite orale
et certaines versions de la grippe, les «répandaient» régulièrement
dans leur entourage et étaient donc contagieuses  pendant plusieurs
semaines.

En
ce qui concerne la réapparition de la coqueluche ces dernières années,
par exemple, de nombreuses études ont montré que les épidémies de plus
en plus importantes et fréquentes de la maladie étaient également
transmises par des individus vaccinés, même si la bactérie n’était plus
vivante, en partie par sélection naturelle de souches résistantes aux
vaccins, comme cela a été documenté dans le cas d’autres vaccins non
vivants (HiB, pneumocoques et, éventuellement, poliomyélite injectable).

« En
bref, la volonté de vacciner autant de personnes que possible et
l’intimidation et la colère contre les parents qui choisissent de ne pas
vacciner qui vont de pair, sont non seulement cruels et peu réalistes,
mais contribuent également à créer et à propager les maladies que les
vaccins ont été conçus pour éradiquer. »

Plutôt
que de simplement accepter le fait que les vaccins ont, au mieux, une
efficacité partielle et limitée, nous permettons au CDC et à l’industrie
du médicament de jouer sur nos craintes au point de transformer ces
épidémies localisées de rougeole en un semblant redoutable de menace
imminente, une urgence de santé publique, constituant une menace
sérieuse pour la société, justifiant la vaccination forcée de tous, même
contre la volonté des intéressés si nécessaire, et annulant ainsi tous
les codes et traités auxquels nous avions souscrit: le Code des droits
de l’homme de Nuremberg et la Déclaration d’Helsinki régissant la
recherche biomédicale, qui insistent tous deux sur le droit de chaque
patient et de chaque sujet de donner son consentement éclairé à toutes
les procédures médicales et chirurgicales, en interdisent explicitement
leur administration par la force.

La science n’est pas définitivement établie une fois pour toutes

Contrairement
à ce qu’on nous dit, la science est loin d’avoir dit son dernier mot
sur l’efficacité des vaccins. Cela serait déjà suffisant pour effacer le
mythe selon lequel la vaccination obligatoire serait nécessaire.

Mais ce n’est pas la seule raison, ni même la plus importante.

La sécurité des vaccins est encore très loin d’être établie, pour le dire gentiment et pour de très bonnes raisons.

En
premier lieu, de nombreuses études ont montré que les enfants qui
contractent des infections fébriles aiguës telles que la rougeole, les
oreillons, la rubéole, la varicelle et la grippe et guérissent dans la
suite sont beaucoup moins susceptibles de développer des maladies
auto-immunes chroniques et un cancer au cours de leur vie que les
enfants simplement vaccinés contre ces maladies.

D’autres
études encore relient les risques de décès, d’hospitalisation et
d’autres réactions indésirables graves, non pas à un vaccin ou à des
vaccins en particulier, mais plutôt au nombre total de vaccins
administrés, à la fois simultanément ou au cours de la vie du patient.

En
d’autres termes, ces terribles résultats ne peuvent pas simplement être
considérés comme des bizarreries individuelles, qui ne seraient
spécifiques qu’à certains individus hypersensibles, mais semblent plutôt
être liés à la nature même du processus de vaccination.

Ces
résultats sont déjà plus que suffisants pour remettre en question,
voire discréditer, le respect presque universel accordé au concept de
vaccination, sans parler du chèque en blanc qui permet et même incite
l’industrie pharmaceutique à développer, commercialiser et finalement
imposer de plus en plus de vaccins, partant du principe que les vaccins
sont sans danger et efficaces dans tous les domaines, qu’ils économisent
d’énormes sommes d’argent grâce à la non-prise en charge des patients
atteints de ces maladies, et qu’il est donc correct, voire souhaitable,
d’empiler autant de doses de nombreux vaccins différents qu’il est
possible de commercialiser, souvent sans autre raison que celle de
disposer de la capacité technique pour les fabriquer.

C’est
la même hypothèse qui permet à l’industrie pharmaceutique d’organiser
ses propres études d’innocuité sans véritable contrôle placebo des
individus non vaccinés. Cette façon de procéder limite les effets
indésirables à ceux qui sont examinés quelques heures ou quelques jours
après la vaccination, excluant ainsi automatiquement les maladies
chroniques qui pourraient survenir dans la suite; cela donne à
l’enquêteur principal le pouvoir illimité de déterminer si une réaction
indésirable rapportée est liée ou non à un vaccin, selon des critères
jamais spécifiés; et cela permet au CDC d’insister sur le fait que les
vaccins sont uniformément sûrs et efficaces sans mener leurs propres
études indépendantes, même si le Congrès a légiféré et la Cour suprême a
confirmé que les vaccins sont «inévitablement dangereux», afin
de protéger les fabricants de toute responsabilité par rapport aux décès
et aux dommages qu’ils provoquent, une « faveur » gratuite jamais
accordée à aucune autre industrie.

En bref, ces hypothèses ne relèvent pas de la science, mais simplement du scientisme, une religion qui prétend parler au nom de la science et qui se caractérise par un dogmatisme, qui étouffe l’esprit critique, le questionnement et le doute par rapport à des vérités prétendument établies. La véritable science est en droit d’exiger beaucoup plus. Tout ceci explique pourquoi les médias s’abstiennent de signaler les décès ou les dommages dus aux vaccins sans avoir à s’interroger, et pourquoi la plupart des médecins offrent à leurs enfants les mêmes vaccins que ceux qu’ils administrent à leurs patients.

Ce
qui m’amène à mon dernier point, à savoir que si la vaccination et les
vaccins étaient effectivement sûrs et efficaces dans leur ensemble,
alors les milliers de parents qui croient sincèrement que leurs enfants
sont décédés après avoir été vaccinés ou ont eu la santé endommagée par
les vaccins et doivent vivre chaque jour de leur vie avec cette terrible
réalité, sont soit de fieffés menteurs, ignorants ou stupides, et
méritent donc peut-être même que leurs histoires soient ignorées et
rejetées d’emblée par la communauté médicale, les médias et le grand
public !

Pourtant,
leurs souffrances, quelle qu’en soit la cause, appellent à tout le
moins à de la prudence, de la retenue et à une simple compassion pour le
point de vue de ceux dont l’expérience vécue est si tragiquement
différente de celle de tous ceux qui ont le privilège d’ignorer ou de se
montrer insensibles à  tous ces drames.

En
tant que médecin de famille qui a soigné bon nombre de ces enfants au
fil des ans, je peux affirmer avec une certitude absolue que la grande
majorité de ces parents ne sont en aucun cas des «anti-vaccins»
ignorants, crédules ou hostiles à la science.

Bien
au contraire, ils sont souvent bien éduqués, bien informés et ont
généralement consacré leur vie à percer le mystère de ce qui est
vraiment arrivé à leurs enfants et ne demandent plus qu’une seule chose,
c’est que les vaccins soient rendus aussi sûrs que possible, sur la
base d’une enquête minutieuse menée par des scientifiques indépendants de l’industrie du médicament.

Après
plus de cinquante ans passés « dans les tranchées », je puis également
attester que le sens instinctif et pratique de parents attentionnés est
souvent un guide beaucoup plus précis et plus fiable sur les causes des
tragédies qu’ils ont subies que des déclarations savantes qui les
prémuniraient contre le besoin de prendre réellement en compte les
détails de leur expérience vécue.

Enfin,
le respect généralisé et presque universel accordé à la vaccination,
fondé sur le catéchisme selon lequel les vaccins sont non seulement sûrs
et efficaces, mais également parmi les réalisations suprêmes de la
médecine moderne, m’a poussé à écrire. J’étais animé d’un réel
pressentiment, comme du sens de l’urgence, à un moment critique de notre
histoire, alors que les droits des patients de refuser un traitement
médical non souhaité ont depuis toujours été considérés comme sacrés. Il
en va de même pour le droit des parents de pouvoir prendre des
décisions au nom de leurs enfants. Ces droits sont aujourd’hui, comme
jamais, remis en question !

Je
me sentirais bien récompensé si mes paroles, mon raisonnement, la
tristesse, la peur et l’indignation que je ressens depuis longtemps à ce
sujet pouvaient favoriser un débat sain et permettraient de faire
davantage avancer le travail scientifique rigoureux qui reste à faire.

Source: Vaccine Impact

Voir aussi:

Audition du Dr Moss s’indignant du ramdam sur la rougeole et de l’omerta sur les 127 décès après ce vaccin…

Aveux
et conscience que l’autisme peut être lié aux vaccins (c’est d’ailleurs
en toutes lettres dans la notice du vaccin Tripedia contre diphtérie,
tétanos, coqueluche)

Les plans mondiaux de vaccination sont pilotés par l’OMS d’où la panique bien concertée et organisée en même temps dans tous les pays, par exemple sur la rougeole




« Je suis gendarme et j’ai décidé de parler… »

[Source : Collectif National pour la Souveraineté et la Justice Sociale]

Je suis gendarme et j’ai décidé de parler…

Dans les jours qui viennent de s’écouler, des gradés de la police
ou de la gendarmerie ont pris publiquement la parole. Alors que le
colonel de gendarmerie Michael Di Meo a par exemple reconnu en termes
pesés l’existence « de violences policières » contre les GJ, le
directeur de la police nationale Eric Morvan n’a pas tardé de justifier
l’action des CRS contre les manifestants. La troupe elle, par discipline
forcée a gardé jusque là le silence. Pour une des toutes premières
fois, nous publions ici l’ITV que nous a adressée un simple gendarme qui
porte l’uniforme depuis plus de 17 ans. Comme il nous l’a demandé, nous
avons évidemment décidé de respecter totalement son anonymat, pour lui
éviter les foudres d’une hiérarchie qui n’accepte pas que la parole
puisse prendre la liberté de s’exprimer. 

Ce témoignage que j’ai recueilli me ramène en partie au travail
que j’avais effectué pour mon documentaire « dans le secret du Burn
out » avant le mouvement des Gilets jaunes, maladie qui touche plus
qu’on ne le pense des membres des forces de l’ordre. Le rôle que le
pouvoir fait jouer aux forces de polices, toutes catégories confondues,
n’est pas pour soigner un corps profondément malade. Ce témoignage nous
plonge au coeur du mouvement social des Gilets jaunes qui secoue le
pays. Il est question de souveraineté, de relation entre « forces de
l’ordre » et peuple, de Nation et de son avenir…

Jacques Cotta

1/ Vous êtes gendarme. Quel est votre grade? Pouvez vous retracer rapidement votre carrière?

Mon grade est gendarme de carrière. Je suis dans l’institution depuis 17 ans. D’abord en tant que gendarme adjoint puis en tant que sous-officier au grade de gendarme. Je suis passé par des unités très différentes. Des unités spécialisées, des unités de maintien de l’ordre, des unités d’interventions, des unités d’investigations. Je préfère ne pas nommer les unités car ayant un parcours atypique, il est facile à retracer. Ce que je peux dire c’est que cet éventail large m’a permis d’avoir une vision d’ensemble de l’arme dans laquelle je sers.

2/ Pourquoi êtes vous entré dans la gendarmerie?

Je ne vais pas être très original mais je suis devenu gendarme pour
protéger mes concitoyens. J’avais l’envie de servir l’intérêt général,
d’ajouter ma pierre à l’édifice, d’aider mon prochain. 

3/ Vous désirez témoigner dans la situation actuelle. Pour quelle raison? Est-ce facile? Pourquoi voulez vous demeurer anonyme?

Aujourd’hui, je veux apporter mon témoignage pour peut-être provoquer
une prise de conscience de l’opinion publique. Ce qui se passe à mon
sens est un dévoiement de la profession. Profession qui est financée par
l’argent du contribuable et qui ne sert pas toujours les intérêts des
français ou qui la sert mal. Profession qui souffre d’une hiérarchie qui
n’écoute plus, sclérosée, assise dans ses certitudes. Cette hiérarchie
tue ses propres hommes et femmes par son inertie, sa malveillance, sa
violence morale. Bien sûr, il ne s’agit pas de stigmatiser, certains
sont de bons chefs. Mais ceux qui font le mal le font en toute impunité,
c’est intolérable.

Après avoir subie une situation de dénigrements, de calomnies et de
harcèlement, j’ai beaucoup réfléchi au sens de mon engagement. J’ai
dressé un bilan de toutes ces années et de ce que j’y avais vu. J’ai
commencé à m’intéresser de près au nombre vertigineux de gendarmes qui
mettaient fins à leur jour et j’ai étendu à la police. J’ai pris contact
avec des associations (l’AFAR présidé par monsieur MORRA Paul,
lieutenant de gendarmerie victime également, madame BARCOUDA Margareth
dirige l’association Stop-Burn out qui se bat contre la maltraitance au
travail…), des victimes comme moi (Madame Besbiss SEAADE qui a sorti un
livre par exemple), monsieur CARTERON Frédéric (ancien magistrat qui
aujourd’hui défend la cause des gendarmes après le suicide de son ami le
major TESAN en septembre 2018. Monsieur TESAN a laissé une lettre
ouverte dénonçant sa hiérarchie), monsieur GUILLAUMONT Ronald président
de Profession-gendarme (retraité de la gendarmerie qui tient un décompte
pour le moins funeste sur le nombre de suicidé). 

J’ai lu et me suis renseigné. J’ai découvert que je n’étais pas seul.
Quid de Myriam SAKHRI morte en 2011 où l’enquête et le comportement de
la justice se sont révélées être pour le moins suspect. Quid de ce
gendarme à Matignon qui se suicide en octobre ou novembre 2018. Suicide
intervenant bizarrement après une lettre collective de la part de ces
mêmes gendarmes de Matignon dénonçant de graves problèmes au travail en
août 2018 et consultable sur internet. Quid de ce rapport émis par
messieurs BOUTANT (PS) et GROSDIDIER (LR) en juillet 2018 dénonçant un
profond malaise chez les forces de l’ordre. Et cela n’est que la partie
visible si je puis dire. J’ai été ulcéré par tout ce que j’ai découvert.
Et ce silence médiatique, de certains syndicats policiers, des deux
associations professionnels nationales des militaires en gendarmerie,
des politiques… Silence qui ne peut être autre chose que complice de ces
dérives. Il faut que les forces de l’ordre acquièrent une sérénité dans
leur quotidien, une cohérence dans leurs missions, une efficacité pour
la population, une écoute réel (et pas un simulacre) de la base, de ceux
qui sont sur le terrain.

C’est pour tout cela que je témoigne. C’est évidemment très dur car
je sais que je m’expose, même sous le couvert de l’anonymat. Il m’arrive
d’avoir peur. Je suis perdu et ne sais pas si je resterai dans la
gendarmerie. Si je révèle mon identité, je ferai l’objet de sanctions,
de nouvelles brimades. Voyez ce qu’ils ont fait à monsieur LANGLOIS
Alexandre président du syndicat Vigi-police. Il dénonce des faits on ne
peut plus grave. Ils ont cherché à lui nuire par tous les moyens. Leur
arsenal est vaste et je ne veux pas que ma famille souffre de tout cela
encore plus.

4/ On parle d’un malaise dans les forces de l’ordre. De
quoi s’agit-il et est-ce que ça pourrait entrer dans ce qui motive les
GJ?  Il y a eu des vagues de suicides dans la police et la gendarmerie.
Comment réagit-on, dans la troupe comme dans le commandement? On parle
souvent de « déséquilibrés » et de « problèmes personnels ». Est-ce à
votre avis en relation avec ce qui se passe dans le pays?

Il s’agit de pratiques qui nuisent aux métiers, à la sécurité du
pays, des personnes et des biens. Ces pratiques sont dénoncées par des
lanceurs d’alertes. Elles sont de plusieurs ordres, illogiques,
immorales, illégales entre autre.

Cela peut bien sûr avoir un lien avec le mouvement des gilets jaunes.
Ils réclament plus de justice dans plusieurs domaines, plus de
démocratie avec leur « mot à dire » plus souvent, plus d’égalité dans la
répartition de richesse ou dans le traitement des personnes dans la vie
judiciaire, sociale, économique. Aujourd’hui, je suis bien obligé de
constater qu’un dossier concernant un officier, un préfet, un élu mis en
cause ne sera pas traité avec les même égards qu’un ouvrier, un
employé. Les enquêtes seront bâclées voire pas faite du tout.  Les
officiers et commissaires sont aux ordres des politiques et cela pose
donc un problème d’indépendance quand le moment vient d’enquêter sur un
député par exemple. Ou aussi quand la police ou la gendarmerie enquête
sur elle-même (IGGN ou IGPN). Elle ne saurait être juge et partie à la
fois, il y a un conflit d’intérêt. Les gardes à vue illégales sur les
GJ, les interdictions préventives de manifester, les GJ refoulées aux
gares, tout cela est le fait de politiques qui répercutent directement
sur les hiérarchies des forces de l’ordre. Tout cela est sans contrôle.
Le système français est archaïque et dans l’armée, nous avons des
décennies de retard. Toutes les incohérences du terrain sont connues. Si
nous écoutions la base je le répète, nous aurions l’impression d’être
valorisé (nous les militaires) et la sécurité s’en trouverait être de
meilleur qualité.

Les suicides sont un sujet tabou dans les rangs. Les gens en parlent
très peu mais il faut dire aussi qu’ils ignorent aussi le nombre pour
beaucoup. Quant au commandement, ceux que j’ai pu croiser à de rares
exceptions sont obsédés par leur avancement, leur carrière. Chacun doit
marcher au pas au risque de subir les foudres de commandants
tyranniques. 

Des raisons personnelles, ça doit arriver parfois ou même un mélange
des deux, « boulot » et « maison ». En psychologie, j’ai appris qu’un
gendarme qui se tue avec son arme de service dans les locaux de travail,
cela s’appelle une signature.

Dans mon témoignage, vous avez pu voir que j’ai soulevé un certain
nombre de problème dans l’unité où je me trouve. Les réponses face à
tout cela et au fait que je ne me sois pas laissé faire ont été par
exemple de me refuser l’inscription à la formation OPJ, de faire échouer
une permutation pour me rapprocher de ma femme, d’écrire un rapport
mensonger sur moi (me fermant ainsi beaucoup de porte pour la suite de
ma carrière), de faire écrire un collègue car il avait eu une
conversation privée avec moi lors de mon arrêt maladie et de bien
vouloir rapporter le contenu de notre échange, etc etc.

Les forces de l’ordre sont surmenées, manquent de moyens, de
matériels. Ce sont les mêmes unités qui « ramassent ». Les casseurs sont
connus depuis bien longtemps (bien avant les GJ). La justice fait de la
réponse pénale à géométrie variable. On évite de s’attaquer aux vraies
problèmes pour acheter la paix sociale. Leurs vies de familles sont sur
la brèche, ils subissent une pression énorme. Les missions ne sont pas
les missions premières d’un gendarme. Les raisons sont nombreuses.

5/ Parlons de la situation actuelle marquée par le
mouvement des GJ. Est-ce qu’on en parle dans la gendarmerie? Comment
vit-on le terrain? Tous sont-ils identiques (gendarmes, CRS, BAC, etc…)

Je suis en arrêt depuis le mois de septembre 2018 et je ne suis plus
sur le terrain depuis que les GJ ont commencé leur mouvement. Je pense
qu’on en parle oui, à la machine à café, en patrouille, au bureau, c’est
sûr. 

J’ai quand même beaucoup de collègues au téléphone. Les réactions
sont très variées sur le sujet. Il y a beaucoup de rejet (« on les
attend les GJ », « ils nous emmerdent ») car les esprits sont formatés.
La prise de conscience sera très dure chez nous pour comprendre que les
GJ sont le peuple et qu’ils se battent aussi pour nous. Il y en a qui
s’en rende compte mais l’embrigadement, la peur prédomine. Je connais
moins bien la police mais en gendarmerie ceux qui pratiquent le maintien
de l’ordre sont les gendarmes mobiles. Ils sont composés à 80 % de
jeunes gens entre 20 et 30 ans sortis d’école et avec l’esprit très
malléable, c’est bien sûr fait exprès. En brigade territoriale, la
conscience est plus élevée, mais restent la pression et la peur.

Je le répète, le système de peur est énorme car la hiérarchie a un
poids gigantesque et elle est sans contrôle. Aujourd’hui, je suis en
difficulté, et ils m’assèchent financièrement (perte de prime),
m’obligent à aller voir le médecin « militaire », l’assistante sociale
« militaire », je perds mon logement de fonction. Cela fonctionne en
vase clos, c’est très bien réglé.

6/ Des bruits font état de demande faite à la gendarmerie
de tirer sur la foule si nécessaire. Est-ce que ça vous semble
plausible? En avez vous entendu parler? Si oui, pouvez vous donner des
précisions?

S’il s’agit de tirer à balle réelles, je ne sais pas. Plausible ? Si
nos dirigeants sentent que la situation leur échappe, je pense que c’est
un scénario envisageable. Ils montent doucement mais surement dans la
graduation de la réponse. Ils essayent de garder l’opinion publique avec
eux en matraquant d’images de destructions ou dégradations de biens.

Je n’en ai pas entendu parler. Je pense forcément
qu’individuellement, hormis un cas de légitime défense, chacun aurait
une décision à prendre. Je pense que les forces de l’ordre rallieraient
le peuple, mais ça n’engage que moi.

7/ Toute révolution a vu pour que ça marche la police,
l’armée, la gendarmerie « tourner crosse en l’air comme on dit », se
ranger contre les ordres parfois du côté du peuple. Croyez vous qu’il
serait possible que les forces de l’ordre désobéissent aujourd’hui en
france?

Dans nos rangs nous sommes divisés. Très divisés. Depuis notre entrée
en école on fonctionne avec une bipolarité. On nous assène de
fraternité, de cohésion, de camaraderie. Et en même temps, on nous
incite à être meilleur que le collègue, avec la prime au mérite, la
notation, les classements d’écoles, de formation. J’ai pu échanger avec
monsieur CHOUARD Etienne lors d’une conférence. Il pense que si le
nombre (le peuple) est dehors, les forces de l’ordre tomberont les
casques. Je pense qu’il a raison mais la vraie question c’est comment
obtenir ce nombre et de combien de personnes a t-on besoin ? Ou alors
comme je le disais, l’ordre de tirer sur la foule pourrait être
l’élément déclencheur. Mais aujourd’hui nous sommes encore loin de ce
qui s’est passé en Algérie. Au fond de moi, j’espère que l’on s’unira
aux GJ. 

8/ Gendarme et GJ, c’est possible?

Publiquement, la réponse est non. Je suis GJ. Un gendarme n’a pas la possibilité d’exprimer ses opinions religieuses, partisanes, politiques ou d’associations publiquement. Dans mon cas si je le faisais, cela leur donnerait un motif de plus pour me mettre aux bancs des accusés (devoir de réserve que monsieur LANGLOIS remet en cause d’ailleurs, car il dit qu’il n’a pas de fondement légal contrairement au secret professionnel. Lui est policier et nous militaires, je ne sais pas si cela fait une différence) et engager d’autres mesures contre moi (disciplinaires par exemple). Dans le secret, il y en a quand même. Je participe à des assemblées constituantes depuis quelques semaines avec des GJ. Je leur ai dit qu’un changement du système, oui, mais un changement du système militaire/policier est très important pour l’après, si’l y en a un.




Un Israélien emprisonné car il refuse de faire son service militaire et d’opprimer les Palestiniens

[Source : La Gazette du Citoyen]

Un Israélien emprisonné car il refuse de faire son service militaire et d’opprimer les Palestiniens

Ci-dessous la déclaration de Roman Levin, un jeune Israélien de 19 ans qui vient d’être incarcéré pour la deuxième fois car il refuse de continuer à faire son service militaire. Il ne veut plus cautionner l’occupation et participer à l’oppression des Palestiniens :

Roman Levin
Roman Levin

« Je
m’appelle Roman Levin, j’ai 19 ans et j’habite à Bat Yam. J’ai servi
dans l’armée pendant plus d’un an et je refuse de continuer à servir.
Mon refus est un acte de protestation et de solidarité contre
l’occupation de la Cisjordanie qui dure depuis plus de 50 ans et le
blocus de la bande de Gaza. Lorsque j’ai rendu visite à mes parents en
Ukraine, j’ai été confronté à une attitude de dédain envers les juifs
et, en Israël, j’ai également été confronté à un mépris arrogant envers
notre origine et notre culture étrangère. Par conséquent, ma solidarité
avec le peuple palestinien opprimé s’est accrue. Il y a une guerre
civile en Ukraine et lorsque j’ai rendu visite à ma famille il y a
quelques mois, j’ai parlé à des soldats qui ne savaient pas ce pour quoi
ils se battaient et mourraient au front. J’étais proche de leur état
d’esprit, parce que je suis fondamentalement en désaccord avec la
politique du militarisme israélien, dont la tâche principale est de
maintenir le régime d’occupation. Ceci, à son tour, m’a incité à
réfléchir plus sérieusement à mon service dans l’armée israélienne.

Je refuse de participer davantage à l’oppression du peuple palestinien. Dans les territoires occupés, de nouvelles colonies de peuplement sont en construction, tandis qu’une politique d’expropriation de terres et de destruction de maisons est menée à l’encontre des Palestiniens. Depuis 2006, Israël a détruit plus de 2000 maisons palestiniennes. En outre, la liberté de mouvement des Palestiniens est extrêmement limitée, à la fois dans leur pays d’origine et quand ils le quittent. Le passeport palestinien occupe une des places les plus basses à l’échelle mondiale et la population de la bande de Gaza est totalement privée de ce droit.

J’étais
conducteur de camion [dans l’armée] et une grande partie du temps, je
devais me rendre sur place. Quand j’ai été enrôlé, j’ai pensé que
l’armée servait les intérêts des citoyens israéliens, mais après avoir
servi dans les territoires occupés, il m’a semblé que la présence de
l’armée israélienne là-bas et les tirs contre les manifestants à la
frontière avec la bande de Gaza ne sert ni mes intérêts ni ceux du reste
des travailleurs israéliens. La loi sur la nationalité n’a fait que
renforcer cette conviction. Je suis parvenu à la conclusion qu’il est
impossible de soutenir le droit des Palestiniens à l’autodétermination
nationale tout en servant dans l’armée impérialiste qui leur enlève ce
droit.

D’un
point de vue purement économique, il serait plus avantageux pour moi et
ma famille de terminer mon service militaire, car j’obtiendrais alors
des avantages, de l’argent et un permis de conduire pour poids-lourds
semi-remorques qui me permettrait de trouver un travail bien rémunéré,
mais la majorité de la population palestinienne des territoires occupés
et de Gaza n’a aucune possibilité de ce genre. Année après année, la
mainmise sur le peuple palestinien se resserre de plus en plus.

Dans
le même temps, le fossé entre les riches et les pauvres se creuse
également en Israël. Et ceci est justifié aux ouvriers israéliens par
les fonctionnaires bourgeois par le prétexte de menace militaire!!! Et
au lieu de financer en priorité la médecine, l’éducation et les
retraites, Israël dépense environ 70 milliards de dollars par an pour le
budget militaire.

En
quête de profit, la classe dirigeante israélienne vend secrètement des
armes à des régimes répressifs tels que l’Azerbaïdjan, le Sud-Soudan et
le Rwanda. Et aussi le pouvoir réactionnaire indien, qui réprime le
mouvement de guérilla paysanne avec ces mêmes armes. Ces dernières
années, 49% de toutes les armes vendues par Israël l’ont été aux
bellicistes indiens.

Le
service militaire, en raison du rôle oppressif de l’armée israélienne,
fait rempart à ce que les bourgeois israéliens craignent le plus,
c’est-à-dire l’union les travailleurs juifs et arabes dans la lutte
contre la guerre, le pouvoir du capital et l’oppression nationale. Ce
n’est que par la complicité et la solidarité prolétarienne avec les
travailleurs arabes et avec d’autres groupes opprimés, tels que les
citoyens de la CEI, d’Éthiopie et les Juifs de l’Est, qu’un nouvel
avenir meilleur peut être gagné sans guerres ni oppression ou
exploitation.

Roman Levin »

Lien de la déclaration en anglais:

https://web.facebook.com/London.Solidarity.Israeli.Conscientious.Objectors/photos/a.273536819801336/582408582247490/?type=3&theater




En marche vers la dictature numérique…

[Source : ROSEMAR]

En marche vers la dictature numérique…

En marche vers la dictature numérique...

Désormais,
vous serez tous notés, vos comportements seront observés, étudiés dans
toutes sortes de domaines… situation financière, habitudes de
consommation, carrière professionnelle, comportement sur les réseaux
sociaux.

Vous
serez sans cesse surveillés par des caméras intelligentes, à
reconnaissance faciale, capables de mettre une identité sur un visage.

Non, ce n’est pas un film de science-fiction : en Chine, c’est déjà une réalité.

Et
les Chinois l’acceptent, comme le montre un reportage diffusé lors du
journal de 20 heures, sur France 2, le mercredi 24 avril.

« Je trouve que c’est bien d’être noté, dans une société, il faut qu’il y ait des règles… », affirme un jeune Chinois.

« Ces notes nous obligent à bien nous comporter », déclare un autre Chinois.

Une
jeune Chinoise commente aussi : « Cela peut vous paraître effrayant,
mais en Chine, c’est comme ça, on a l’habitude… de toutes façons, on
n’a pas le choix. »

Il y aura, ainsi, de bons et de mauvais citoyens, grâce au rassemblement de centaines de données.

Critiquer
le gouvernement sur internet sera sanctionné par une mauvaise note,
mais des louanges adressées au parti augmenteront le crédit social.

A
la clé, des récompenses : réductions sur les services publics, gratuité
dans les bibliothèques, et en cas de manquements, des sanctions : pas
d’accès au crédit, impossibilité de voyager, de créer une entreprise,
d’acheter un appartement.

Un système de contrôle de tous les citoyens qu’on peut qualifier de dictature numérique…

C’est terrifiant… alors, bien sûr, cela se passe en Chine, un pays où la liberté d’expression est muselée.

Mais, on perçoit bien tous les dangers de cette surveillance des citoyens qui se fait par le biais d’internet.

Même, chez nous, en France, toutes nos communications sont enregistrées, surveillées.

On nous impose des systèmes comme le compteur Linky qui enregistre toutes sortes de données personnelles.

Les assistants vocaux se multiplient : Alexa
et d’autres assistants vocaux, comme Google Home, Siri de Apple,
permettront à tout un chacun de passer commande pour toutes sortes de
produits, et notamment dans le domaine alimentaire.

Le fonctionnement d’Alexa repose aussi sur une importante et inquiétante récolte de données personnelles.

 Pourra-t-on encore protéger notre vie privée et notre anonymat ? 

Saura-t-on résister à ce déferlement de technologies du numérique ??

Source :https://www.francetvinfo.fr/monde/chine/chine-les-citoyens-notes-par-l-etat_3413265.html

En marche vers la dictature numérique...

[Voir aussi : En route vers la dictature numérique du Big Data ?]




Un camouflet de douze millions

[Source : Michel Onfray]

UN CAMOUFLET DE DOUZE MILLIONS

Le
Grand Débat de Macron, qui a duré six mois, a coûté 12 millions
d’euros. Il avait été précédé par une annonce pour une fois tenue: ce
débat aura lieu, avait-il été dit, mais le cap ne changera pas. Pour une
fois qu’un président de la République honore sa parole, saluons son
honnêteté. Ce prétendu débat avec des interlocuteurs choisis et triés
sur le volet par les préfectures a bien eu lieu; il a généré des
dizaines d’heures de monologues que les chaines d’informations ont
diffusé et commenté avec gourmandise, idem avec les quotidiens et les
magazines qui s’en sont repu; aucune instance de régulation genre
Conseil Supérieur de l’Audiovisuel n’a imaginé une seule seconde que ce
temps de parole devrait entrer dans le décompte du temps alloué aux
partis lors de la campagne pour les élections européennes. Ce président
qui avait stigmatisé les présidence bavardes de ses prédécesseurs est en
train de les enfoncer comme jamais.

Tout ce barnum qui a éloigné
le président de la République de son bureau de travail pendant de
longues semaines a eu lieu et, après deux longues heures d’un
interminable monologue narcissique présenté comme une conférence de
presse à même de faire un bilan de ces six mois, nous en avons désormais
bien la certitude: rien ne va changer, la direction est la bonne, il
faut continuer dans ce sens, et même accélérer le rythme. Le principe
étant que, si l’Europe (mot tabou pendant ces deux heures: normal, c’est
le mot du seul enjeu véritable…) déçoit c’est parce qu’il n’y a pas
assez d’Europe, dès lors il faut plus d’Europe encore. C’est aussi malin
qu’un cancérologue qui dirait à son patient souffrant de sa maladie
qu’il lui faudrait plus de cancer encore pour aller mieux…

J’ai
annoncé la chose et je l’ai écrite plusieurs fois, c’était facile de
savoir que les choses se passeraient ainsi. Tout le monde peut désormais
le savoir: le Grand (sic) Débat était une affaire d’enfumage pour
calmer ceux des gilets-jaunes qui ont cru à cette opération de
communication. Je le répète: dans le cadre étroit de l’Etat
maastrichtien, Macron n’a pas d’autre choix que de maintenir le cap. Il
le maintient. Junker peut lui envoyer des roses rouges.

Cette
conférence de presse, c’était en fait le chef de la France d’en haut qui
parlait aux domestiques de la France d’en haut pour leur dire que cette
même France d’en haut n’avait rien à craindre: le cap maastrichtien
allait être maintenu. Les gilets_jaunes disent-ils depuis des semaines
que pareille direction conduit aux vortex marins? Leur cas est vite
expédié par le jeune homme: « ce ne sera pas une réponse aux
gilets-jaunes, mais à tous les Français » -ce qui donne, traduit dans la
langue qui pourrait être celle de la meuf Ndiaye propulsée porte parole
du gouvernement, probablement pour son style fleuri  et son art de la
synthèse: « Virez moi ces gueux, je n’ai rien à dire à ces connards,
passons aux choses sérieuses. » Le plus honnête eut été de s’exprimer
ainsi.

En effet, dès les premières minutes, les gilets-jaunes
ont été habillés par le président de la République avec ses crachats
habituels: homophobes, racistes, antisémites, complotistes, etc. Les
médias ont abondamment délayé ces vomissures depuis une demie année, on
connaît désormais très bien ces insultes qui passent pour un
argumentaire -c’est ainsi que cet homme à la pensée complexe se repose
de trop penser et de penser trop haut.

Moins de cinq minutes
après le début de cette sotie -la sotie est une « farce satirique et
allégorique du Moyen Âge, jouée par des acteurs en costume de bouffon »- ,
les gilets-jaunes pouvaient éteindre leur télévision, cette soirée ne
serait pas la leur. Pendant des semaines ils ont demandé un orage
civique; Macron leur a offert une rosée médiatique et ce fut un pissat
de colibri.

« Nous sommes avant tout les enfants des Lumières »,
a-t-il asséné, probablement après avoir pompé dans le Lagarde &
Michard -lui ou la Meuf. A l’écouter, rien n’était moins sûr… Tout dans
son intervention était brumeux et fumeux, fuligineux et vaporeux, en un
mot: ennuyeux. Rien de la drôlerie ironique de Voltaire, rien de la
profonde légèreté de Diderot, rien de la radicalité de Rousseau, rien de
la pensée élégante de Montesquieu, rien de l’espièglerie de La Mettrie,
rien de la profonde humanité d’Helvétius, rien de la puissance de
d’Holbach. De Lumières, il n’y en eut point, juste une veilleuse de nuit
au pied du lit. Un colibri vous dis-je. Lui qui, après avoir professé
jadis que la culture française n’existait pas, a changé de bord, et ça
n’est pas la première fois, en parlant de « cet art un peu particulier
d’être français ». Pour le coup, ce soir-là comme tant d’autres, il n’a
pas été un bien grand Français!

Il se peut qu’armé de cette
loupiotte il n’ait pas vu grand chose pendant son marathon dans la
France rurale. Mais il fit bonne figure et eut toutefois un air inspiré,
comme madame Trogneux le lui a probablement appris en jouant « Les
Fourberies de Scapin » au lycée des jésuites d’Amiens, un air profond,
comme il est dit dans les didascalies des pièces de théâtre du genre:
« Ici on aura l’air grave. » Après avoir ménagé un silence pendant lequel
il devait compter mentalement les secondes « une, deux, trois -il a
repris la parole et confessé ces propos d’un converti : il a vu
« l’épaisseur de la vie des gens ». Tudieu! Le bougre est devenu président
de la République alors qu’il ignorait tout de l’épaisseur de la vie des
gens! Quel talent ce Scapin qui a eu besoin d’un tour de France à douze
millions d’euros pour apprendre ce qu’il aurait dû savoir depuis bien
plus longtemps que ça -disons: juste après son stage de l’ENA…

Après
la conversion de Claudel derrière un pilier de Notre-Dame, il faut
désormais compter avec la conversion de Macron aux pieds d’un pommier de
Bourguignotte en Normandie! Il a vu « la France profonde » comme l’auteur
du « Partage de minuit » avait vu dieu. Même si cette apparition parait
plus modeste, elle mérite d’être marquée d’une pierre blanche. Gageons
qu’il en sortira une purification existentielle -c’est du moins ce qui a
été annoncé par l’impétrant.

Mais, dans ce tour de France par un
seul enfant, Emmanuel Macron n’a pas vu de gilets-jaunes. S’il ne les a
pas vus, il ne les a pas entendus non plus -il n’entend que les propos
racistes, les propos homophobes, les propos antisémites, etc, que lui
rapportent, au choix, le philosophe Castaner, ou le ministre de
l’Intérieur BHL, sinon le comédien Luc Ferry ou le penseur François
Berléand. Mais ce peut-être aussi Alain Sloterdijk ou Peter Badiou, je
ne sais plus, les ennemis des gilets-jaunes ne manquent pas…

Macron
n’entend pas les gilets-jaunes, mais il leur répond quand même: vous
vouliez le référendum d’initiative citoyenne? Vous ne l’aurez pas bandes
de paltoquets! A la place, (il y a des mois que j’annonce que la chose
sera ainsi notifiée…), vous aurez l’élargissement du référendum
d’initiative partagée. Quèsaco? Un référendum par lequel on demande aux
parlementaires, dont les gilets-jaunes veulent faire l’économie, qu’ils
en envisagent la pertinence, la validité, la justesse, l’opportunité,
puis de décider, ou pas, de l’examiner au parlement, avant de le jeter à
la poubelle! Le tout est de savoir s’il sera envoyé à la déchetterie
avant ou après l’examen au parlement. Avec ce genre de dispositif, pas
de crainte: aucun sujet de société ne sera confié aux gueux, seuls leurs
représentants pourront continuer à les trahir. Peine de mort,
avortement, contraception, immigration: laissez tout ça aux gens sérieux
bande de crétins. 

Vous vouliez la démocratie directe? Vous ne
l’aurez pas bande de foutriquets! Et Macron de flatter les élus dans le
sens du poil en leur disant qu’une nouvelle décentralisation leur
donnerait plus de pouvoir. On a vu il y a peu que le chef de l’Etat a
décidé de faire servir des petits déjeuners à un euro dans les écoles de
certaines communes tout en laissant aux maires le soin de payer la plus
grosse part, après qu’il leur ait supprimé les rentrées d’argent comme
les taxes d’habitation. Voilà le genre de pouvoir qu’on va donner aux
élus qui vont s’amuser en campagne à trouver de l’argent pour payer les
réformes décidées à Paris par Macron, le tout avec une caisse qu’il a
pris soin de vider au préalable! Vous en vouliez de la démocratie
directe? En voilà…

Vous vouliez la reconnaissance du vote blanc?
Vous ne l’aurez pas bande de freluquets! Voter c’est élire monsieur
Machin ou madame Bidule pour agir en votre nom et place, pas « monsieur
Blanc » a dit le président de la République qui a dû pour ce bon mot
récolter le jus de cervelle d’une cinquantaine d’énarques mis à la tâche
pendant six mois pour obtenir ce seul petit effet.

Vous vouliez
le vote obligatoire? Vous ne l’aurez pas bandes de demeurés! Pour la
bonne et simple raison que c’est impossible de faire payer une amende à
ceux qui ne se déplaceraient pas, qui seraient si nombreux, et qui
trouveraient ainsi une occasion facile de passer pour des rebelles.

Vous
vouliez la retraite à soixante ans? Vous ne l’aurez pas bande
d’attardés! Ce fut un sommet de rouerie politicienne, de sophistique et
de rhétorique où il fut dit par Macron qu’il ne toucherait pas aux 35
heures ni à l’âge légal du départ à la retraite, mais, mais, mais: que
ceux qui s’évertueraient à partir à soixante ans tout de même n’auraient
pas une retraite pleine, c’est-à-dire n’auraient quasi rien. A quoi il a
ajouté qu’il faudrait travailler plus pour gagner plus, le tout à
négocier par branche dans les entreprises. Ce qui donnait immédiatement
cette contre-vérité dans un bandeau passant de BFMTV: « Emmanuel Macron
ne veut pas revenir sur les 35 heures, ni sur l’âge légal du départ à la
retraite »- pour être juste, une suite aurait du préciser: « mais vous
travaillerez quand même plus longtemps ». Des millions de français sont
au chômage, mais la solution pour lutter contre c’est de faire
travailler plus longtemps ceux qui travaillent affirme le Président:
« c’est du bon sens » a-t-il même dit! Il me semble que le bons sens
serait de partager le travail pour alléger ceux qui en ont trop et
souffrent de maladies professionnelles, en même temps que de pourvoir
ceux qui n’en ont pas et souffrent de leur inexistence sociale.

Vous
vouliez restaurer l’impôt sur la fortune? Vous ne l’aurez pas bande de
gougnafiers! Cet impôt fait fuir les riches et appauvrit le pays! « On a
besoin de riches, sinon qui exploitera les pauvres », aurait presque pu
dire le président de la République s’il avait décidé de nous livrer le
fond de sa pensée ce soir-là. Que dit d’autre sa foireuse théorie du
ruissellement?

Vous vouliez un système de retraite solidaire
socialisé? Vous ne l’aurez pas bandes d’argoulets! Bien au contraire,
vous allez vous la payer avec un système de points, par capitalisation.
Si vous n’en avez pas les moyens, vous n’en aurez pas, c’est tout
simple. C’est une version en marche du fameux « salaud de pauvres! ».

Vous
vouliez la proportionnelle intégrale? Vous ne l’aurez pas bande de
tarés! Vous en aurez un peu, suffisamment, mais pas trop, assez pour
vous leurrer, mais pas trop pour nous empêcher de vous gruger. La chose
est voulue par le président de la République et, comme il faut bien
paraître gaullien de temps en temps, en vertu du principe que le
président préside et que le gouvernement gouverne -Macron confie en
passant qu’il a relu Michel Debré, quelle conscience professionnelle!-,
le Premier ministre verra pour l’intendance… Les ciseaux du ministre de
l’Intérieur reprendront du service et les circonscriptions seront
taillées pour bien partager le gâteau entre maastrichtiens de droite et
maastrichtiens de gauche. 

Vous vouliez une Constituante? Vous ne
l’aurez pas bande de paumés! En lieu et place d’une autre assemblée, on
garde la même et on la dégraisse un peu en réduisant le nombre d’élus.
De combien demandera une journaliste? Le chef évacuera la question de
l’impertinente en disant que sa valetaille gouvernementale verrait ces
choses-là plus tard et en son temps.

Vous vouliez la fin de
l’ENA? Vous ne l’aurez pas bande de décérébrés! Mais, on annonce quand
même que vous l’aurez pour mieux la maintenir: en gros, on garde les
locaux, on garde le personnel, donc les enseignants, dès lors je vois
mal dès lors comment ils pourraient y enseigner autre chose et autrement
que ce qui s’y trouve déjà enseigné, mais l’ENA changera de nom parce
qu’on va la refonder!  Abracadabra…

Pour le reste des
revendications des gilets-jaunes, il n’en fut pas du tout question!
Rappelons en quelques unes: loger les SDF; modifier l’impôt; y
assujettir les GAFA; augmenter le SMIC; mener une politique en faveur
des petits commerces en ville ou dans les bourgs; supprimer les taxes
sur les carburants; interdire les délocalisations pour protéger
l’industrie française; en finir avec le travail détaché; lisser les
systèmes de sécurité sociale; limiter le nombre des contrats à durée
déterminée et augmenter le nombre des contrats à durée indéterminée;
activer une réelle politique d’intégration des immigrés; mettre fin aux
politiques d’austérité indexées sur le remboursement de la dette;
limiter le salaire maximum; encadrer les prix des loyers; interdire la
vente des biens nationaux; accorder des moyens à la police, à la
gendarmerie, à l’armée, à la justice;  payer ou récupérer les heures
supplémentaires effectuées par les forces de l’ordre;  réinstaurer un
prix public convenable du gaz et de l’électricité; maintenir les
services publics en activité; couper les indemnités présidentielles à
vie – toutes choses auxquelles je souscris. Le silence du chef de l’Etat
sur ces questions dit tout: vous n’aurez rien!

Quand fut venu le
temps des questions, alors qu’on lui demandait si cette conférence de
presse annonçait un nouvel acte dans sa politique, il a vrillé de la
bouche, frisé des yeux, on a bien vu qu’il a retenu son une idée parce
probablement trop provocatrice; il s’est contenté de récuser le mot
-qu’il utilisera quand même plus tard…-, avant de dire qu’il était
préempté par les gilets-jaunes dans leur « gymnastique »- coup de pied de
l’âne…

Ensuite, dernière allusion aux gilets-jaunes, il fit
savoir qu’ils pouvaient bien continuer à brandir des pancartes
« longtemps » et que ça ne l’émouvait pas -on avait bien compris…

Puis,
conclusion dans la conclusion, la métaphore de la cathédrale détruite
et à rebâtir fut convoquée. La Meuf a dû  trouver que rameuter
l’incendie,  c’était bon pour l’image. Pour un peu, Macron nous aurait
dit que, via Notre-Dame de Paris, la vierge Marie elle-même irait voter
pour sa liste aux prochaines élections européennes. Son staff n’a pas
osé aller jusque là, mais il s’en est fallu de peu…

Ce fut donc
un très grand discours de campagne pour un candidat qui aspire à devenir
président de la République. Mais il faudrait peut-être que quelqu’un
dise à ce jeune homme -la Meuf peut-être?- que, président de la
République, il l’est déjà depuis deux ans et qu’il serait temps qu’il
s’en aperçoive. Le temps est passé du verbe, des mots, des paroles, de
la rhétorique, de la logorrhée, de la verbigération. Six mois de
monologues avec les moyens pharaoniques de la République pour un coût de
12 millions d’euros, c’est un camouflet pour les gilets-jaunes qui aura
décidément coûté bien cher. Or, les camouflets restent rarement sans
réponses. Leçon élémentaire d’éthologie. 

Michel Onfray




France et démocratie : le peuple souverain est interdit (I)

[Source : Mondialisation.ca]

France et démocratie : le peuple souverain est interdit

Première partie

Par Jean-Yves Jézéquel Mondialisation.ca, 26 avril 2019

Après l’allocution de Macron, ce jeudi 25 avril 2019, ce qu’on savait
déjà a été confirmé: hors de question de changer de cap, pour la simple
raison que seuls les élus qui « représentent » le peuple savent ce qui
est bien pour lui; ce qu’ils font est bien et ils vont continuer à faire
ce qu’ils font, en accélérant même le mouvement!

« Je ne veux pas affaiblir la démocratie représentative », martelait Macron, car elle est bonne (« pour nous autres les élus de l’oligarchie qui s’est emparée du Pouvoir en dépouillant le peuple de sa souveraineté constitutionnelle, grâce au système du suffrage universel qui m’a permis personnellement d’être élu président avec 28% des voix de tous ceux qui sont inscrits sur les listes électorales »)… (Cf., article « Le résultat final des fausses élections présidentielles françaises, 8 mai 2017, in www.mondialisation.ca)

Il n’est donc pas question d’admettre le RIC en toutes matières
inscrit dans une Nouvelle Constitution! Car cela équivaudrait à scier la
branche sur laquelle je suis assis, moi Macron et tous les « élus » du
système représentatif. 

L’oligarchie s’est emparée du Pouvoir et le conserve grâce à la magie
des élections qui sont faites pour dépouiller les électeurs de leur
statut de citoyens. Il est donc hors de question d’envisager même de
loin un RIC dans une Constitution qui serait écrite par une Assemblée
Constituante mise en ordre de marche par la vertu d’un tirage au sort!

L’hécatombe sociale n’est qu’un « détail de l’histoire »; la horde de
« ceux qui ne sont rien », cette « foule haineuse » peut crever dans la
rue, d’ailleurs on va l’aider à crever en augmentant les prix de tout
ce qui peut être augmenté et en durcissant le massacre policier qui
éventuellement en viendra finalement à tirer sur les « séditieux » à
coups de balles réelles pour qu’on en finisse…

Le peuple souverain est interdit. L’oligarchie a fait en sorte qu’il
soit réduit au silence en permanence, même au moment où il vote, car le
suffrage universel n’est qu’un leurre qui a magnifiquement bien
fonctionné depuis le début de la République.

Aujourd’hui, grâce à la logique perpétuelle de la galère pour 80% des
Français et leur situation de survie établie à perpétuité, ils se sont
rendus compte qu’ils étaient infantilisés, dépouillés de leur
responsabilité citoyenne, priés de la fermer en subissant les lois
liberticides que des « élus représentants » produisent en fonction de
leur privilèges et de ceux des sponsors constitués en  lobbies
appartenant au monde des grandes fortunes qui s’arrangent pour les
placer au Pouvoir afin d’en faire des débiteurs reconnaissants! 

Le peuple s’est réveillé et il a réalisé, il a pris conscience qu’il
se trouvait dans une situation anachronique; il est sorti de l’effet
hypnotique provoqué par le discours mensonger sur la « rengaine
démocratique des élections »; il a échappé à l’envoûtement, il a rompu
le sortilège; il a réalisé qu’on l’avait magistralement trompé depuis la
dérive postrévolutionnaire…

La vérité est désormais sur la table et l’oligarchie comprend à son
tour que son règne sans partage, comme son profit sans limite sur le dos
des dominés, s’est achevé. L’heure est désormais à la résistance
acharnée de l’État mafieux, racketteur, voleur, pilleur, profiteur,
exploiteur, esclavagiste… Le durcissement est inévitable puisque le
peuple ne veut plus se faire tondre abusivement par une caste de
prédateurs qui fait son beurre depuis si longtemps sur son dos.

Le discours manipulateur habituel veut faire croire à chaque instant que la France est un pays  « démocratique ».
La France n’est pas « démocratique », certes, elle avait, car ce n’est
plus le cas, aménagé des « libertés publiques », à ne pas confondre avec
la « démocratie ». En réalité, ce qui avait été donné au peuple
français, c’était le pouvoir de désigner des maîtres, parmi des gens
qu’il ne choisissait jamais, qui de plus étaient au service d’une
idéologie politique de parti. Avec cela, le peuple n’avait jamais les
moyens de sanctionner une trahison des « élus représentants » entre deux
élections. 

Ce sont donc les hommes au Pouvoir qui écrivent les règles du
Pouvoir: une aberration spectaculaire que nous subissons depuis des
lustres sans avoir réagi à cette aberration anti démocratique qui abuse
en permanence de notre docilité légendaire de moutons bien dressés à la
soumission.

Ce régime anti démocratique se nomme le « gouvernement
représentatif », celui que Macron veut à tout prix préserver, protéger,
surtout pas « affaiblir »! Ce que nous réclamons désormais c’est un
« gouvernement participatif »; nous voulons contrôler les lois,
contrôler les choix et décisions engageant le peuple tout entier,
contrôler les élus, contrôler les finances, contrôler les projets,
contrôler la vie politique de la Nation…

Dans son discours du 7 septembre 1789, Sieyès disait que :

« Les citoyens qui élisent des représentants,
renoncent (…) à faire eux-mêmes la loi; ils n’ont pas de volonté
particulière à imposer. S’ils dictaient des volontés, la France ne
serait plus cet État représentatif; ce serait un État démocratique. Le
peuple, je le répète, dans un pays qui n’est pas une démocratie – et la
France ne saurait l’être – le peuple ne peut parler, ne peut agir que
par ses représentants. »

Le « gouvernement représentatif » est  une
imposture et relève de cette idée sous-jacente qu’un homme influent
comme Voltaire véhiculait habituellement par ses nombreux écrits : « Une société bien organisée est celle où le petit nombre fait travailler le grand nombre, est nourri par lui, et le gouverne. »

A partir du moment où le grand nombre travaille, gagne son pain à la
sueur de son front, ce n’est pas le petit nombre qui le nourrit, c’est
le peuple qui se nourrit lui-même grâce à son travail. Si le grand
nombre est obligé de passer par la grille étroite du petit nombre pour
avoir le droit de travailler, cela s’appelle l’organisation de
l’exploitation, c’est une injustice, une tyrannie, un abus, une
perversion qui explique pourquoi le Pouvoir est en soi pervers, puisque
le petit nombre s’octroie le droit et une « légitimité » arbitraire à
gouverner le grand nombre, sous prétexte « de bonne organisation »!

Qui a donné au petit nombre ce droit de s’approprier la gouvernance du grand nombre? Personne, sinon lui-même.

Le Grec Aristote disait : « Les élections sont aristocratiques et
non démocratiques: elles introduisent un élément de choix délibéré, de
sélection des « meilleurs » citoyens au sens de aristoï, au lieu du
gouvernement par le peuple tout entier. »
(Aristote, Politique, livre IV)

C’est pourquoi, nous devrons dès que possible abolir les élections
qui sont une supercherie. Avec le RIC en toutes matières, les élections
deviennent inutiles. Pour confier à certains d’entre nous la charge de
l’accomplissement des tâches au service de tous et des intérêts du bien
commun, il faut utiliser le tirage au sort.

Montesquieu avait écrit : « Le suffrage par le sort est de la
nature de la démocratie; le suffrage par choix – d’un candidat – est de
celle de l’aristocratie. »
(Montesquieu, De l’esprit des Lois, 1748)

Il est évident que les pauvres étant les plus nombreux, le tirage au
sort donnerait le pouvoir aux citoyens les plus pauvres, alors que les
élections ont forcément toujours donné le pouvoir aux plus riches. C’est
le tirage au sort qui garantit au peuple qu’il restera souverain. Pour
en venir à une pratique habituelle du tirage au sort, il est clair que
nous ne pouvons compter que sur nous-mêmes, les riches ne pouvant pas
scier la branche sur laquelle ils sont assis. Or, les gens normalement
constitués, les humbles, ceux qui ont un vrai savoir, les modestes, les
plus pauvres, les plus honnêtes aussi, parce que les plus conscients,
ceux-là ne veulent pas du pouvoir. Celui qui est juste et vrai n’a pas
du tout envie de s’emparer du pouvoir puisque le pouvoir – qui a en soi
la particularité d’être à « prendre », d’être « envié », d’être objet de
convoitise – ne peut être que pervers et ne peut qu’attirer les pervers
comme les mouches sont attirées par la merde!

Celui qui présente sa candidature pour être élu, est un pervers qui
s’ignore. Le pouvoir qui se veut est un pouvoir illégitime. Le pouvoir
qui s’exerce au nom d’un collectif humain par l’obligation d’un tirage
au sort ne peut être conçu que comme un service des intérêts du bien
commun excluant tout profit personnel et toute ambition personnelle:
c’est une charge et un sacrifice de soi pour le bien commun.

Celui qui est vraiment juste, c’est celui qui se gouverne lui-même et
sachant à quel point cela est exigent se garde bien de vouloir
gouverner les autres. Chacun peut dès lors comprendre à quel point ceux
qui veulent être élus pour gouverner les autres sont les pires d’entre
nous et la garantie du désastre assuré.

Ce sont les plus riches, les grandes puissances financières, les
grandes fortunes, les grandes entreprises du CAC40, les milliardaires
possédant tous les instruments de contrôle de l’opinion publique,
l’incarnation du capitalisme sauvage parasitaire de la société, qui se
sont emparés du pouvoir d’écrire les Constitutions et donc les lois qui
en découlent. Les élections sont entièrement manipulées par cette
ploutocratie dominante. C’est cette caste de riches qui nous impose ses
« représentants », sa « monnaie unique », ses « lois » toujours en sa
faveur… Pour eux, l’élection est le moyen efficace de conserver le
pouvoir ad vitam aeternam et de s’assurer que la production du droit
leur sera favorable. Ce sont les « élus » qui ont fait un jour le choix
« irréversible » de l’élection, car cela garantissait que le pouvoir
serait exclusivement entre leurs mains. Ceux qui sont élus, vont
défendre des intérêts particuliers puisqu’ils se savent redevables de
ceux qui ont tout fait pour les placer à cet endroit! 

Si le peuple abolissait les élections et reprenait en mains sa
souveraineté politique, c’est le capitalisme sauvage parasitaire
financier qui disparaîtrait massivement en tant que tel ou qui serait
radicalement « subverti ». L’élection produisant un système de
domination du grand nombre par le petit nombre, il est évident que ce
petit nombre est la condition sine qua non à l’existence même du
capitalisme sauvage, seul instrument d’esclavage capable de dominer le
grand nombre. Les élections paralysent les gouvernés et offre
gracieusement le pouvoir aux pires gouvernants.

Ce que disait Robespierre dans un discours à la Convention Nationale,
le 17 pluviôse an II, 5 février 1794, était assez juste sur le sujet : « La
démocratie est un état où le peuple souverain, guidé par des lois qui
sont son ouvrage, fait par lui-même tout ce qu’il peut bien faire, et
par des délégués tout ce qu’il ne peut faire lui-même. »

C’est le citoyen qui produit lui-même les lois auxquelles il consent à
obéir. Les électeurs ne sont pas les citoyens car ils sont justement,
par le processus électoral, dépossédés du contrôle qu’ils devraient
exercer sur les intérêts du bien commun et qui les fait citoyens:
l’élection est en soi une infantilisation.

La psychologie comportementaliste a depuis longtemps démontré que
lorsqu’on donne à une personne qui ne recherche pas à dominer les autres
une vraie responsabilité en lui faisant confiance, elle se montre
pratiquement toujours à la hauteur de la confiance et de la tâche qu’on
lui a confiée. L’élection ne favorise pas le souci du bien commun, mais
celui de répondre aux impératifs idéologiques du parti qui a placé le
candidat dans la posture d’être son représentant. L’élection implique la
stratégie du mensonge: c’est celui qui mentira le mieux qui sera élu.
Il faut mentir pour être élu, mentir pour appliquer une politique qui ne
peut pas être le seul souci du bien commun, mentir à la fin du mandat
pour être réélu. Le principe de l’élection c’est celui du mensonge
permanent: on en a eu un exemple particulièrement frappant dans l’élu
François Hollande… Le coefficient de probabilité démontre en soi que le
tirage au sort écarte d’office les escrocs, les salauds, les menteurs,
les tyrans, les ordures que nous voyons installés au pouvoir et qui nous
maltraitent sans discontinuer à longueur de générations.

Un élu, une fois élu a carte blanche et fait ce qu’il veut: il se
croit le « meilleur » puisqu’il a été « élu » entre plusieurs candidats
au pouvoir. L’élection produit des maîtres dominant des électeurs
dominés. Le tirage au sort produit des égaux. Nous constatons depuis
bien longtemps, à quel point « l’Assemblée Nationale représentative »
n’est absolument pas représentative du corps social de la France.
Pourtant c’est cela que Macron veut à tout prix préserver, éviter
« d’affaiblir »!

Celui qui est tiré au sort pour exercer un service au profit du seul
bien commun reste sous le contrôle de l’ensemble des citoyens puisque
ceux-ci sont tous concernés par le tirage au sort.

De plus, le tirage au sort entraîne avec lui la rotation dans les
charges, l’impossibilité du cumul des mandats, interdit une
professionnalisation de la politique, respecte l’égalité et ferme la
porte aux partis, aux sectes politiques, aux castes de profiteurs. Ceux
qui recherchent le pouvoir ne peuvent pas avoir en eux la passion du
bien commun, mais l’obsession d’un objectif idéologique pour une
satisfaction personnelle égocentrique.

Le tirage au sort dispose d’emblée la personne à se mettre au service de l’intérêt général.

Nous comprenons maintenant pourquoi les élections donnent
systématiquement la gouvernance à une oligarchie, à la caste des riches
qui veille sur la pérennité de son pouvoir, liant ainsi le capitalisme
sauvage à la position de dominant pour être prédominant, alors que le
tirage au sort donne la gouvernance aux gens humbles de la démocratie.

Ainsi, la Constitution écrite par le peuple, doit limiter les
pouvoirs par le contrôle du RIC en toutes matières. Si les hommes au
pouvoir écrivent eux-mêmes les règles du pouvoir, c’est-à-dire, la
Constitution, pratique qui est devenue courante depuis longtemps et qui
enlève à la Constitution toute sa valeur constitutionnelle, alors on
peut être assuré que ceux qui sont au pouvoir vont édifier leur
puissance sur l’impuissance du peuple. Ils vont prévoir tout ce qu’il
faut pour avoir tous les droits en obligeant le peuple à se taire et à
obéir.

La priorité absolue pour nous désormais, c’est le tirage au sort
d’une Assemblée Constituante, sans l’avis de personne actuellement au
pouvoir. Le peuple doit prendre en mains cette initiative et organiser
ce tirage au sort. Puis, l’Assemblée Constituante se mettra au travail.
Lorsqu’une nouvelle Constitution aura été donnée à la France par les
Français, ils déposeront tous les « élus » et passeront à une nouvelle
forme de gouvernance qui n’aura plus rien à voir avec la monarchie
absolue républicaine que nous connaissons. Si le Pouvoir en place ne
veut pas se plier à la volonté du peuple, alors il sera déposé par la
force.

Les « élus » actuels sont le problème des Français puisqu’ils
dominent les « électeurs » en s’imposant à eux, en refusant de les
écouter, d’écouter leurs doléances et leur revendications légitimes. Ils
sont persuadés qu’ils incarnent ce qui est bien et bon pour le peuple
et ne veulent pas changer de cap, comme ils ne veulent pas non plus
donner une souveraineté aux citoyens qui pourraient dès lors les
contrôler… Puisque les « élus » confisquent le pouvoir constituant du
peuple, la solution ne peut pas venir du problème: la solution est du
côté des citoyens qui sont les seuls à pouvoir changer quelque chose à
cette situation anti démocratique actuelle. La démocratie est dans le
contrôle que peut exercer le peuple sur les gouvernants « tirés au
sort ». Si les gouvernés peuvent rigoureusement contrôler en permanence
les gouvernants, alors on est en démocratie. 

Nous devons retrouver le statut de « citoyens constituants », comme au Venezuela qui est un exemple de démocratie participative.

C’est encore Montesquieu qui disait: « C’est une loi fondamentale de la démocratie que le peuple fasse les lois. » (Montesquieu, De l’esprit des lois, 1748, livre 2, Ch. 2)

Nous devons comprendre, par conséquent, que les Députés du peuple, ne
peuvent pas être des « représentants », mais ils ne sont que des
« commissaires ». Ils sont là pour faire le travail législatif
qu’ensuite le peuple devra ratifier ou pas. Une loi, n’étant pas
ratifiée par le vote du peuple, est nulle et sans valeur. Personne ne
doit tenir compte de cette loi qui doit être dès lors éliminée. 

Tout citoyen a le devoir de contrôler la légitimité de ce qui lui est
demandé par un gouvernant; il doit vérifier si ce qui lui est demandé
est conforme à la Constitution; c’est lui qui est l’arbitre de l’État
auquel il ne doit jamais être soumis. Le citoyen a le devoir de vérifier
le bien fondé d’un comportement des gouvernants s’il le trouve suspect.
Si une décision des gouvernants met en péril les libertés publiques,
ces gouvernants doivent être directement sanctionnés et révoqués.

Dans son discours du 29 juillet 1792, Maximilien Robespierre, disait : « … Le peuple est opprimé toutes les fois que ses mandataires sont absolument indépendants de lui. »

Dans une démocratie, le sort distribue les charges, le magistrat rend
compte de ses actes, les décisions sont contrôlées par le peuple.

Dans son discours du jeudi 25 avril dernier, Macron, repris en chœur
par ses partisans, répétait que le mécontentement des Français provenait
de ce que ses réformes galopantes n’allaient pas assez vite! La
macronie qui avait joyeusement éborgné les Gilets-jaunes reprochait au
peuple d’être aveugle. La pratique perpétuelle du Pouvoir est celle
d’ôter les yeux à ceux qui veulent voir ou qui posent le regard sur ce
qui ne doit pas être vu, puis leur reproche ensuite d’être des aveugles,
de ne pas voir et de ne pas comprendre ce qu’il fait en toute
connaissance de cause; car, le Pouvoir possède la connaissance, il sait
d’un savoir quasi transcendant, alors que le citoyen est ignare, il ne
sait rien et ne sait pas quel est son véritable bien! Il doit donc se
taire et se soumettre en faisant le deuil de sa souveraineté au profit
d’une souveraineté théocratique, puisqu’elle se réfère à une
transcendance du pouvoir. Macron a expliqué, dans ses réponses aux
journalistes, à quel point les gens ne comprenaient pas ses paroles qui
sont toujours d’un très haut niveau et d’une subtilité telle que sa
pensée juste et infaillible est incomprise par un peuple mentalement
« retardé »! Ce Pouvoir est un aveugle de naissance qui disserte sur les
couleurs sans se rendre compte de sa sottise…

Maintenant que nous sommes fixés sur la voie sans issue de la
macronie dans son ensemble, il s’agit de s’organiser. Or, s’organiser
c’est agir d’après une perception commune. Nous devons avoir une
perception partagée de la situation. Une masse de gens déterminés à agir
ensemble, n’a plus rien à voir avec une masse de gens sans volonté
commune. Toute insurrection, quel que soit le lieu où elle se déroule,
lance un signe bien au-delà d’elle-même, elle envoie un signal aux
autres peuples; le sous-sol mental de l’inconscient collectif humain
relie tous les peuples entre eux et les rend forts de cette force
provenant de l’esprit. Nous verrons ce que nous pouvons faire de cette
force.

Jean-Yves Jézéquel

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Jean-Yves Jézéquel, Mondialisation.ca, 2019




Juan Branco, Ruffin, etc : les stratégies pour canaliser les Gilets Jaunes

[Source : Réseau International]

Juan Branco, Ruffin, etc : les stratégies pour canaliser les Gilets Jaunes

Quand le rebelle Juan Branco appelait à
renverser la souveraineté syrienne avec BHL, Harlem Désir et autre
Dominique Sopo depuis le site de BHL : https://laregledujeu.org/2011/05/25/5795/s-o-s-syrie/

Xavier Moreau et Pierre-Antoine
Plaquevent nous exposent la manière dont le régime est en train de
préparer une opposition contrôlée et une possible alternative pour
l’après Macron.

L’émergence d’un Juan Branco ou auparavant d’un François Ruffin mais aussi celle de certains médias pseudo-dissidents constituent autant de stratégies que le système est en train de déployer afin de fragmenter le mouvement des Gilets Jaunes et de l’orienter vers l’impasse des thématiques de l’ultra-gauche et de la sixième république.

source : https://www.youtube.com/watch?time_continue=6&v=za0DAhNzk4Y




Les Gilets Jaunes sont-ils des fous à écarter, ou la chance de la France ?

[Source : Le blog de Chantal Dupille]

Par eva R-sistons

Les Gilets Jaunes sont-ils des fous à écarter, comme le Système le pense, ou la chance de la France ?

par chantal dupille dite eva R-sistons

Effrayant
Nouvel Ordre Mondial, hyper technique, inhumain, barbare ! Chaque jour
il s’étend un peu plus, partout, jusque dans les moindres recoins, même
reculés, même dans un hameau loin de tout.

Ayant
pressenti que la France allait sombrer dans la dictature, pour le
plaisir du CRIF et le dégoût entre autres, des intellectuels, je l’ai
quittée voici quatre ans, juste après le crime d’Etat contre Charlie
Hebdo. Et j’ai choisi dans un pays hispanique, un hameau à l’ancienne,
sans Internet mais avec des bergers, des éleveurs, des agriculteurs – et
la solidarité : « Nous sommes une grande famille », me dit une voisine
lors de mon arrivée.

En
face de chez moi, un couple, un fils de 26 ans et à côté, la grand-mère
et son autre fils. Bref, cinq personnes. Pour moi, ils sont un modèle
pour le village – et pour tous ! Solidarité familiale, évidemment, mais
aussi autonomie presque complète: Chasse, culture, bois, vin,
artisanat… Lorsque j’ai montré mes mains désormais rugueuses avec les
travaux locaux, le père a cherché un flacon d’huile d’olives pour les
adoucir – également fabriquée par eux ! Bref, autonomie et solidarité.
Exactement ce que le Système déteste, lui qui a vu lors des deux
guerres mondiales, les ruraux survivre sur leurs terres ! Et qui
désormais, fait tout pour agglomérer les gens dans de grandes villes et
mieux, dans des mégapoles où chacun se replie sur soi et dépend de la
grande distribution.

Bref, joli hameau, perle de plus en plus rare. Mais….

Les
fêtes, il y en a, dans ce village ! Or déjà elles puent le Nouvel Ordre
Mondial qui se faufile et s’incruste sur toutes les terres, même celles
qui perpétuent la vie d’antan ! Les enfants ne célèbrent-ils pas
Halloween, fête divertissante ou plutôt satanique, bourrée de squelettes
et rendant culte au diable ? Et quel bal ? Comme hier, sur la place du
village, populaire avec tangos, pasodobles, valses, rock… bref tous
les styles, musique intense, variée, chaleureuse et locale, ambiance
guinguette, sourire et bonne humeur, couples qui dansent… vraie fête
!  Non, le bal de nos aiëux est enterré ! Celui-là est décadent, soirée
techno, sons électroniques, mix modernes, chacun s’agitant seul, de son
côté, sans partenaire..

Le bal du Nouvel Ordre Mondial, sans qu’on s’en aperçoive, conduit peu à peu à une société sans musique, individualiste, sans genre, où chacun se trémousse comme s’il était seul…  donc fragile
! Bref, musique ou plutôt bruit mondialiste sans particularismes, sans
âme, individualisme forcené, et genre unique : Il n’y a plus d’homme qui
invite une femme à danser, mais des êtres comme sans genre, menant au monde unisexe, égoïste, et sans identité.
Le Nouvel Ordre Mondial c’est une société sans famille ni procréation
naturelle, avec une seule nation, une religion, une race, un genre
unique, une pensée unique, etc…, et robotisée, où tout sera
artificiel, même l’intelligence ! Et gare à ceux qui ne se conforment pas à cette situation, dans le monde entier. Ils seront catalogués comme anormaux, voire malades à « redresser » ! 

Quid de la France ? 

La France est perdue, souillée, amputée, dénaturée, et même brûlée, sous la conduite de la mafia mondialiste ; On lui fait croire qu’il n’y a pas d’alternative au globalisme, à l’UE, à l’ultra-libéralisme-libertaire.
Et ceux qui se révoltent contre cette société toujours plus
inégalitaire et féroce, sont discrédités, accusés d’être des extrémistes
de droite ou de gauche, des fascistes, des casseurs, des homophobes,
des conspirationnistes, des racistes et même d’être antisémites si
quelques insultes fusent. Demain des malades mentaux, peut-être ? « La
prochaine épithète risque d’être : « des fous ». Ce n’est pas pure
spéculation. Car savez-vous que de nouveaux troubles sont inventés pour
dissimuler que c’est le système qui est malade ? Une liste est
régulièrement établie, classant les troubles mentaux, par les
Etats-Unis, reprise par l’OMS, l’Union européenne et donc par les pays
de l’Union. Les hôpitaux psychiatriques, les professionnels de la santé
mentale sont tenus de l’utiliser. Nombre d’entre eux dénoncent la «
normalisation » du « normal » et la tendance qui ne cesse de se
développer à classifier des comportements sociaux parmi les maladies
mentales nécessitant donc d’être « corrigés » par des traitements,
notamment médicamenteux… Car pour ces imbibés au néolibéralisme, c’est
toujours l’individu qui dysfonctionne, jamais le système idéologique et
politique… »
(1)

Il
apparaît clairement que tous doivent s’adapter à ce que les
mondialistes ont préparé, individualisme forcené, hommes et femmes
égaux, interchangeables, puis genre unique, individu-marché,
individu-productiviste, individu-consommateur, individu compétitif,
rentable, ultra performant, flexible, voué à son manager.. et surtout
docile, soumis !  Et pour mieux soumettre, on isole l’individu de la
famille (par exemple à l’école, on inculque à l’enfant le goût du sexe,
des expériences multiples, même déviantes), d’un partenaire comme dans
le bal « moderne » du hameau désuet (des citoyens isolés sont plus faciles à soumettre),
d’un groupe (surtout s’il est combatif), des lieux et des projets
collectifs !  Pire que tout : Ceux qui réfléchissent, critiquent,
s’opposent, sont stigmatisés, discrédités, mis à l’écart, voire
psychiatrisés (et il y a de plus d’hospitalisations sans consentement
!), éliminés de la « scène sociale », du circuit « normal » ! Alors que
c’est la société, qui est malade ! Mais elle est aveugle !

Les
Gilets Jaunes, opposés au Système qui broie, spolie, dénature, détruit,
sont de plus en plus dénigrés, diffamés, calomniés, malmenés… par le
régime macron, comme par les merdias. Parmi eux, il y a des personnes
qui souffrent de l’isolement, des retraités, des chômeurs, des
célibataires, des divorcés, des veufs, ou des personnes handicapées
socialement ou physiquement. Or en se retrouvant sur les ronds-points,
par exemple, ils ont noué des contacts, découvert la solidarité et l’action de groupe, et ils vivent de plus en plus la force du collectif.
Des meneurs se lèvent, les plus politisés partagent des idées, des
causes, des engagements : Liberté, égalité, fraternité, en actes !
Seuls, isolés, c’est la désunion, la faiblesse, l’inefficacité. Mais
l’union fait la force ! Couplée à de justes idées de changements, cette
union vitalise la France qui sous la coupe de prédateurs en col blanc,
perd son identité et ses atouts.

Le
Système ne supporte pas qu’on s’oppose à lui. Et lorsque les
mécontents, les victimes, se regroupent, par milliers, par millions,
c’est une vague qui peut l’emporter ! Seuls les Gilets Jaunes, lucides,
déterminés, courageux, prêts même à risquer leur vie, peuvent
aujourd’hui sauver la France, pas les Partis politiques ou les
Syndicats. Alors soutenons-les, rejoignons ces formidables résistants,
et TOUS UNIS, affrontons victorieusement les malades qui gouvernent la
France ! Les Gilets Jaunes sont la chance de notre pays.

Chantal Dupille dite eva R-sistons

(1) La camisole pour les Gilets Jaunes ! Par Andrée Hemet, membre du Conseil national du Parti de la démondialisation. http://www.pardem.org/actualite/luttes/945-la-camisole-pour-les-gilets-jaunes

Les Gilets Jaunes sont-ils des fous à écarter, ou la chance de la France ?



Mise au point – GOPÉs : L’UE impose ses lois !..

[Source : Les moutons enragés]

Contrairement à ce qui est affirmé par les médias subventionnés, ce qui est présenté comme des « recommandations non contraignantes  » par la Commission Européennes, sont bien des obligations . Les explications par Charles-Henri Gallois et Lauriane Mollier.

Proposé par Phillippe A.

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Volti


Source UPR TV

Charles-Henri Gallois et Lauriane Mollier (de la chaîne youTube Vue
autrement), démontrent que les grandes orientations des politiques
économiques que publie la commission européenne chaque année, sont bien
des directives OBLIGATOIRES qui sont imposées à la France sous peine de
sanctions.

✅ L’Union européenne est une dictature qui s’autoproclame démocratie.

UPR TV

Le plus : La preuve avec cet article de l’Express :

La France peut-elle s’opposer à la privatisation de ses barrages hydroélectriques ?

La Commission européenne a mis en demeure la France d’ouvrir ses barrages à des concurrents d’EDF. Des députés sont vent debout contre cette idée.




La force de l’existence

[Source : Carnets d’un promeneur]

Les temps sont difficiles pour les patriotes actifs des
deux côtés de l’Atlantique. En effet, le rouleau compresseur des
diverses chartes onusiennes et la pression des grandes multinationales
font en sorte que les prérogatives des états nationaux se réduisent,
chaque jour, en peau de chagrin. Il y a péril en la demeure et c’est le
cas de le dire.

Par Patrice-Hans Perrier

L’historien Dominique Venner s’épanche longuement dans son essai, intitulé « Un samouraï d’Occident »,
sur les causes du déclin de l’Europe et de la civilisation
helléno-chrétienne. D’après lui, l’inéluctable déclin de notre
civilisation serait dû, d’entrée de jeu, à la perte de ce qui
constituait la substantifique moelle de notre éthos collectif. La
charpente de nos mœurs et de nos valeurs spirituelles aurait été
endommagée par une sorte de suicide collectif : un phénomène s’appuyant,
non seulement sur l’hubris débridée de nos élites, mais tout autant sur
l’effondrement d’une sagesse populaire qui puisait à une tradition
plurimillénaire. Nous aurions perdu les bornes qui contenaient les
menaces qui s’appesantissent sur nos sociétés déboussolées au moment de
composer ces quelques lignes.

La perte des repères de la nature

Reprenant les préceptes exposés dans L’Homme et la technique,
d’Oswald Spengler, l’historien Venner fustige la fuite en avant d’une
technicité automotrice, laissée à elle-même sans contrepartie humaine.
Ainsi, selon Spengler, « la pensée faustienne commence à ressentir la
nausée des machines ». Prenant appui sur les observations du grand
philosophe Martin Heidegger,
Dominique Venner dénonce cette « métaphysique de l’illimité » qui
repousse toujours plus loin les bornes de la technique, mais aussi de
l’éthique. Le délire techniciste qui déferle sur notre époque aura
contribué à faire sauter les digues des antiques préceptes qui guidaient
nos sociétés depuis la nuit des temps.

Les anciens nous auraient légué, toujours selon Venner, « … l’idée de
« cosmos », l’idée que l’univers n’est pas un chaos, mais qu’il est au
contraire soumis à l’ordre et à l’harmonie ». Et, de résumer la pensée
principielle d’Homère qui pose les préceptes d’une vie bonne : « la nature comme socle, l’excellence comme but, la beauté comme horizon
». L’hubris de nos dirigeants, la décadence des mœurs et l’univers
concentrationnaire de nos cités délabrées seraient les conséquences de
l’effritement de l’antique sagesse. De la perte des bornes qui fondaient
nos rapports en société et la culture comme lit de la mémoire de la
cité. Les digues de la sagesse ayant été rompues, nous errons à travers
nos cités dévastées tels des ilotes privés d’un droit de cité qui n’est
plus qu’une chimère en l’espèce.

La métaphysique de l’illimité

Dominique Venner n’est pas le seul à dénoncer cette « métaphysique de
l’illimité » qui prend appui sur l’idée que l’homme serait, à l’instar
des dieux, un démiurge capable de manipuler les propriétés de la nature.
Charles Taylor, ancien professeur de philosophie à l’Université McGill de Montréal, dans un petit essai intitulé Grandeur et misère de la modernité,
remet en cause cette « culture contemporaine de l’authenticité » qui
dériverait d’un idéalisme pathologique. Ce dernier estime que nos élites
s’enferment, de plus en plus, dans un véritable onanisme intellectuel
et spirituel. Ainsi, la quête de « l’authenticité » procéderait d’un
idéalisme qui s’enferme dans ses présupposés, refusant toute forme de
dialogue au final. Tout cela le pousse à affirmer que « les modes les
plus égocentriques et « narcissiques » de la culture contemporaine sont
manifestement intenables ».

Et, c’est par un extraordinaire effet de retournement que les
occidentaux nés après la Seconde Guerre mondiale se sont comportés telle
une génération spontanée, faignant d’ignorer le legs de leurs
prédécesseurs. Combattant les effets délétères d’une révolution
industrielle métamorphosée en nécrose financière, les adeptes de la
contre-culture ont fini par se réfugier dans une sorte de prostration
mortifère. Les épigones de ce que certains nomment le « marxisme
culturel » ont accaparé le temps de parole sur les ondes, sur Internet
et partout sur la place publique des débats d’idées. De fait, il n’y a
plus de débats possibles puisque l’hubris de ces nouvelles élites
autoproclamées fait en sorte de transformer leurs contradicteurs en
opposants politiques, voire en délinquants.

Les idiots utiles du grand capital apatride

L’idéalisme des pionniers de la contre-culture s’est transformé en
fanatisme militant, capable de neutraliser toute forme de contestation
au nom de la pureté de son combat apologétique. Manifestement incapables
d’identifier le substratum de leurs luttes politiques, les nouveaux
épigones de cette gauche de pacotille livrent une lutte sans merci à
tous ceux qui osent s’opposer à la volonté de puissance des « forces du
progrès » et de « l’esprit des lumières ». Sans même réaliser l’ironie
de la chose, ces nouveaux guerriers de la rectitude politique mettent
l’essentiel de leurs énergies au service des forces du grand capital
apatride.

On assiste à un arraisonnement de la contestation qui, l’instant d’un
retournement symbolique, s’est métamorphosé en police de la raison
d’État. Parce que la nouvelle raison d’État se pare des vertus des «
droits de l’homme », de la « protection de l’environnement » ou des «
miracles du progrès » pour que rien ne puisse se mettre en travers de sa
marche inexorable. Tout doit aller plus vite, sans que l’on puisse se
poser de question, afin que les sédiments de l’ancienne morale, des
antiques traditions de nos aïeux ou de nos repères identitaires soient
emportés par les flots d’un changement de paradigme qui ne se nomme pas.
Véritable ventriloque, ce grand vent de changement souffle sur les
fondations d’une cité prétendument concentrationnaire, tout cela en
ayant la prétention de vouloir libérer l’humanité de ses chaînes. Voilà
la supercherie en l’état des lieux.

Une génération spontanée coupée de ses racines

Charles Taylor pose un regard d’une grande acuité sur ce « nouveau
conformisme » des générations de l’après-guerre. Cette génération
spontanée, refusant d’assumer sa dette envers les ancêtres, s’imagine
dans la peau d’un démiurge mû par une force automotrice. Rien ne doit
entraver sa volonté de puissance, déguisée en désir de libération.
Chacun se croit « original », unique en son genre et libre d’agir à sa
guise dans un contexte où les forces du marché ont remplacé les antiques
lois de la cité. Taylor se met dans la peau des nouveaux protagonistes
de la contre-culture actuelle : « non seulement je ne dois pas modeler
ma vie sur les exigences du conformisme extérieur, mais je ne peux même
pas trouver de modèle de vie à l’extérieur. Je ne peux le trouver qu’en
moi ».

Véritable égocentrisme morbide, cet individualisme forcené se travestit à la manière d’un caméléon qui capte l’air du temps afin de se donner de la contenance et d’être en mesure de tromper ses adversaires. Parce que cette quête factice d’authenticité n’est qu’une parure qui cache l’appât du gain et la soif de reconnaissance de cette génération spontanée incapable d’arrimer ses désirs au socle de l’antique sagesse populaire. Conservateur lucide, tel un Jean-Claude Michéa, Charles Taylor n’hésite pas à faire référence aux intuitions géniales d’un Karl Marx mal compris en fin de compte. Les forces du marché, prises d’un emballement que rien ne semble capable d’arrêter actuellement, emportent toutes les digues, les bornes, qui fondaient nos cités pérennes.

Le capitalisme sauvage annonce la société liquide

Écoutons Charles Taylor : « On a parlé d’une perte de résonance, de
profondeur, ou de richesse dans l’environnement humain. Il y a près de
cent cinquante ans, Marx faisait observer dans le Manifeste du parti communiste
que le développement capitaliste avait pour conséquence « de dissoudre
dans l’air tout ce qui est solide » : cela veut dire que les objets
solides, durables et souvent significatifs qui nous servaient par le
passé, sont mis de côté au profit des marchandises de pacotille et des
objets jetables dont nous nous entourons maintenant. Albert Borgman
parle du « paradigme de l’instrument », par lequel nous nous retirons
de plus en plus d’une relation complexe à l’égard de notre environnement
et exigeons plutôt des produits conçus pour un usage limité ».

Et, nous pourrions poursuivre le raisonnement de Taylor en observant
les effets négatifs de cette « raison instrumentale » qui se déploie à
travers le nouveau militantisme des zélotes de l’intégrisme
libéral-libertaire. Rien ne doit entraver la liberté des marchés puisque
tout s’équivaut dans l’espace libertaire du « chacun pour soi ». Le
multiculturalisme, véritable doctrine d’état déployée au sein des
anciennes colonies du Dominion britannique, représente une matrice
anti-citoyenne qui favorise l’érection d’une multitude de ghettos
ethno-confessionnels, sortes de nations artificielles qui minent la paix
sociale de l’intérieur.

Les patriotes cloués au pilori

La cité, qui fondait sa légitimité sur la mémoire des ancêtres et la
Geste du Héros, est détricotée au gré d’une sorte de guerre civile
larvée mettant en scène la lutte de tous contre tous. Tributaire de la
logique de marché, cette guerre civile en devenir prend une ampleur
difficile à contenir puisque les héritiers du génos, ou legs
des pères fondateurs sont privés du « droit de cité ». Ainsi, les
protagonistes d’un conservatisme qui se réclame de la mémoire
collective, du respect d’un patrimoine national ou d’une tradition
immémoriale sont-ils accusés de faire corps avec un vil fascisme, sorte
de maladie de l’âme qui contaminerait tous ceux qui refusent de se
conformer au libéralisme ambiant.

Du haut de leurs chaires universitaires et médiatiques, les censeurs
de la rectitude politique, déguisés en intellectuels, lancent des fatwas contre les patriotes qui récusent la nouvelle doxa et refusent d’adopter la nouvelle Magna Carta
mondialiste. De puissants réseaux d’« influenceurs » se déploient sur
Internet et ailleurs afin de stigmatiser, diffamer et menacer les
quelques téméraires qui osent sortir des clous et poussent le culot
jusqu’à remettre en question les canons de l’heure. In fine, les milices
antifas et d’autres escadrons punitifs vont se mettre en marche afin de
repérer et d’agresser les contrevenants. C’est l’annihilation qui est
visée en fin de compte : pour que la pureté de la pensée unique soit
préservée. Comble de la folie humaine, cette nouvelle inquisition
libérale-libertaire ne réalise pas que ses propres procédés pourraient
bien être utilisés contre elle-même. Parce que la « main invisible du
marché » finira, tôt ou tard, par liquider ses idiots utiles. La «
marche du progrès » va ainsi : nulle mémoire ne saurait être tolérée
dans le cadre du process de la marchandise, véritable Léviathan qui se
mord la queue.

Un lien instructif :




Le point de bascule : les Gilets jaunes sont en train de gagner, et ensuite ?

[Source : Le Saker Francophone]

Par David Studdert − Le 29 avril 2019 − Source Off-Guardian.org

Le week-end dernier [samedi 27 avril, NdT], l’Acte
XXIII a marqué un tournant décisif dans la bataille que se livrent les
Gilets jaunes et l’État français depuis cinq mois. L’incendie de
Notre-Dame a mis en lumière un changement stratégique de l’opinion
publique qui s’est produit au cours de l’hiver, et toutes les évolutions
sont à l’avantage des Gilets jaunes. Tandis que les glaciaux mois
d’hiver et leur grisaille menaçante nous ont seulement permis
d’apercevoir deux parties égales s’affrontant dans la semi-obscurité,
l’avènement du printemps et sa lumière claire révèle comment les Gilets
rassemblent des forces de réserves  dans toute la France, et comment,
maintenant, ils progressent lentement à Paris aussi. Le spectacle de la
police française cernant Notre-Dame et refusant son accès à sa propre
population illustre d’ailleurs de façon frappante ce que l’État cherche à
nier. Après tout, ce genre de monuments est l’incarnation par laquelle
les États démontrent leur lien avec la population, leur légitimité et
leur puissance.

L’État néo-libéral est en cours d’effondrement et Macron sera son
agneau sacrificiel. À ce rythme, il pourra s’estimer chanceux de tenir
encore deux mois. Son traitement maladroit de l’incendie de Notre-Dame a
scandalisé et enragé de nouvelles parties de la population française.
En effet, tout au long des cinq mois de protestation, et malgré la
muraille permanente de propagande médiatique, les sondages d’opinion ne
cessent de montrer une sympathie et un soutien indéfectibles envers les
Gilets jaunes.

Dans la vive lumière du printemps, il est clair que la stratégie
hivernale de Macron, constituée par le Grand débat national, n’a montré
aucun accomplissement de la part du gouvernement et, ce qui est
peut-être encore plus révélateur, a révélé l’incapacité de Macron
d’évoluer ou de changer de cap. Un fonctionnaire anonyme aurait
déclaré : « Mitterrand leur a accordé une semaine de congé supplémentaire, mais Macron n’arrive à rien ». À
ce qu’il semble, il est tout simplement incapable, sous quelque forme
que ce soit, de communiquer avec les GJs et le peuple français. Ses
discours répétés, ses insultes décontractées et son manque d’empathie,
en font l’un des meilleurs outils de recrutement des GJs.

Ses récentes prises de parole poursuivent cette tendance. Sa promesse
de reconstruire la cathédrale en cinq ans a été accueillie avec mépris (« Ce n’est pas une ligne de chemin de fer »,
a fait remarquer un commentateur), tandis que son appel aux dons à
l’échelle planétaire, un geste typique de cabotin, a irrité et agacé les
traditionalistes. En effet, comme on l’a largement rapporté, son
soutien aux dons de plusieurs milliardaires, a simplement fourni
davantage de bâtons pour que les GJs le battent, lui et l’État.

Même son discours à grand spectacle a été annulé au moment où la
cathédrale a brûlé. Et quel a alors été le point central de son
discours ? Un gel des fermetures d’hôpitaux et d’écoles, l’indexation
des retraites sur l’inflation et la fermeture de l’ENA, cette école qui
produit l’élite politique et civile du pays. Tous ces points, et en
particulier le dernier, ont été considérés comme tardifs et totalement
hors de propos. Car aucun n’apporte quelque chose à mettre sur la table
de repas ou n’aide les gens à tenir jusqu’à la fin du mois sans argent.
Comme je l’ai noté dans des articles précédents, c’est du Macron
typique, et cela révèle simplement comment son autorité personnelle est
en train de s’évanouir, et assez étrangement, à quel point ses mots ne
pèsent plus sur le débat.

Et surtout, Macron est coupable d’être l’un de ces gens intelligents – stupides de la classe moyenne 1,
le genre dont le néo-libéralisme adore nous pourvoir sous toutes sortes
de formes : administrateurs ; rédacteurs en chef pantouflant dans des
médias officiels ; chefs d’administrations ; conseillers ; politiciens,
etc. Il est brillant, il présente bien, il a de l’ambition, il peut
parler sans s’arrêter sur des sujets pendant des heures mais en fait,
pour toutes ces raisons, chacun de ses discours ne fait que jeter de
l’huile sur les flammes. S’ajoute son incapacité à transmettre la
moindre empathie et son manque apparent de compréhension pour ce qui
concerne à la fois la politique et l’histoire nationale : l’ensemble
révèle qu’il n’est qu’un messager des riches et des puissants. Encore
une fois, aucun de ces points n’échappe à la population française.

De toute évidence, Macron préfère de loin les sommets internationaux
aux rencontres avec son propre peuple et, en vérité, ses rêves d’avenir,
qui sont tout ce qu’il a, sont aussi banals que ceux de Marinetti.

Tout cela est devenu une évidence au cours du Grand débat national.
Il était présenté comme un moment d’écoute mais les photos montrent que
Macron n’était pas venu pour écouter : il était venu pour faire
la leçon, et les manches retroussées de sa chemise le faisaient
ressembler à un galopin inexpérimenté et sans profondeur. Comme chef de
l’État, ça ne fonctionne pas, et personne ne peut croire que le peuple
français s’est fait embobiner par une telle absurdité.

Donc, Macron est fini et il sera bientôt parti, mais une question
reste : où se dirige cette révolte à partir de maintenant ? Car la
manière dont le départ de Macron aura lieu, combien de temps il prendra
et qui le remplacera, déterminera l’étape suivante. Malheureusement,
dans le contexte de l’État français néo-libéral, la destitution de
Macron n’apportera aucune solution. D’abord parce que, dans l’immédiat,
il n’existe aucun candidat alternatif acceptable aux yeux des GJs au
sein des cercles dirigeants. Deuxièmement, parce qu’il est de plus en
plus évident que le néo-libéralisme, en tant que forme de gouvernance,
ne peut réussir que dans un contexte de crédit abondant. Avec la hausse
des prix immobiliers (non comptés dans l’inflation…), c’est sa seule
méthode pour générer de la richesse parmi toutes les classes sociales.
Tout simplement, les dirigeants ne veulent pas ou ne peuvent rien donner
au peuple.

La destitution du Préfet de police de Paris ainsi que les appels du
gouvernement à une plus grande violence policière et à la multiplication
des armes de répression ne font que confirmer l’impasse dans laquelle
l’État néo-libéral et sa classe bureaucratique sont empêtrés. Cette
impasse nous déprime et nous réprime tous, mais aussi, dans le contexte
dogmatique actuel, elle est impossible à dépasser. Car violence et
exclusion sont tout ce que l’État contemporain laisse derrière lui.

Et les Gilets jaunes dans tout ça ? Eh bien, ils sont partout
présents. Chaque semaine, Facebook regorge de soirées en ligne, où les
films, les discussions et l’apprentissage sont abondants. Quand ils ne
manifestent pas, ils discutent. 2.
Et, malgré le travail quotidien, il n’y a aucun signe que le peuple de
France abandonne le mouvement. Il y a encore des gens sur le rond-point
près de chez moi, chaque week-end, comme ils sont venus chaque week-end
de ce qui a été un hiver froid et désolé, et ils sont une petite partie
de ce qui se passe sur vingt autres ronds-points occupés dans le Gers et
à travers toute la France. Récemment, les gens du groupe qui occupe mon
rond-point ont distribué un dépliant expliquant qu’il leur était
difficile de continuer chaque week-end et que d’autres devaient venir
les aider. Selon les sections locales, cela a provoqué un afflux de
nouvelles recrues. « Nous le faisons pour vous » est leur
slogan quand ils tendent leurs tracts aux automobilistes qui semblent
presque tous amicaux et attentifs. C’est tout à fait normal : tous sont
riverains.

Certains commentateurs libéraux persistent à présenter les GJs comme
des Oliver Twist mendiants, réclamant une place à la table de leurs
maîtres. Ces mêmes commentateurs aiment évoquer une révolte de la
périphérie contre le centre. J’ai déjà éclairci ce point dans mes
articles précédents : c’est l’inverse qui est la vérité. En effet les
GJs démontrent de hauts niveaux de conscience politique. Visiblement,
leur enthousiasme pour les débats sur la violence, sur le socialisme et
sur leurs revendications est sans fin. Même après cinq mois, ces débats
sont encore gérés en ligne avec tolérance et en respectant la diversité
des opinions.

De plus, d’un point de vue stratégique, les Gilets ont déjà montré
leur capacité à stopper les activités dans toutes les grandes villes
françaises. À Toulouse, Marseille, Bordeaux, Lyon, on a vu de grandes
manifestations persistantes combinées à des vagues d’arrestations
massives.

Parallèlement, des centres régionaux plus modestes comme Tarbes, dans
le Sud-ouest, continuent d’accueillir leurs propres manifestations
hebdomadaires, et cela se reproduit dans des villes semblables partout
en France. Ajoutez une rage contre les forces de l’ordre, en particulier
la Police nationale, et un sentiment d’unité et de détermination parmi
les GJs. Évidemment, la plupart de ces traits échappent à l’élite
urbaine et aux médias officiels, préoccupés par les dénombrements de
manifestants et les forces de l’ordre déployées. Pourtant, même à Paris,
il y a des preuves indiscutables d’un soutien croissant au mouvement,
les gens étant de plus en plus prêts à sortir pour manifester, et à
exprimer leur sympathie dans les interviews des médias.

Cela rétrécit considérablement la marge de manœuvre de l’État. Car
pour résumer, sa main invisible est devenue visible. Et on l’a
clairement vue quand le gouvernement, dans une tentative brève et
brutale, a cherché à accuser les GJs de l’incendie de Notre-Dame. Ces
accusations hystériques se sont rapidement tues.

Lentement, doucement, cette bataille se transforme pour l’État
néo-libéral en une lutte à mort. Nous pouvons donc, au cours des
prochains mois, nous attendre à ce que le gouvernement aggrave sa
violence de sa réponse aux manifestations, se lance dans des
arrestations à domicile, filtre davantage d’itinéraires ferroviaires et
de monuments parisiens et finalement mène diverses opérations sous faux
drapeau, de manière à diviser le mouvement et à faire germer un conflit
inter-communautaire.

Du côté des GJs, le sentiment qu’ils sont en train de vaincre ne fera
qu’accroître leur détermination. Si je peux me permettre une
prédiction, cela finira par davantage de manifestations, peut-être en
décidant de sortir du cadre du week-end, ainsi qu’à des blocages, plus
vastes et plus longs, des chemins de fer et des autoroutes. Le mot
français pour « demonstration » est manifestation. C’est
un mot adéquat dans ce cas, parce que dans tous les sens et dans toutes
leurs actions les GJs manifestent leur unité, leur vision pour la
France et leur implication dans cette vision.

La dernière semaine a été une semaine propice pour ceux qui croient
que le néo-libéralisme est un piège, incapable de fournir la partie la
plus importante d’une vie sensée, ou tout simplement de prendre en
compte la sophistication croissante de la sphère sociale et la prise de
conscience des citoyens. La panacée simpliste du néolibéralisme est
incapable de faire face aux énormes problèmes auxquels nous sommes
confrontés en tant qu’espèce : cette vérité simple devient
progressivement évidente.

En fin de compte, cette semaine, les Gilets jaunes et l’Extinction Rebellion à Londres, 3 ont montré que, malgré la surveillance massive, la violence d’une police militarisée et l’appareil de propagande d’État, les populations développent en ce moment de nouvelles méthodes et de nouvelles visions capables de surmonter ces obstacles et qu’enfin, après cette interminable décennie de stagnation, elles nous feront progresser de manière positive, ouverte et efficace.

David Studdert

Traduit par Stünzi pour le Saker francophone

Notes

  1. Pour éclaircir ce concept paradoxal, voir cette courte vidéo de Charles Gave ici, NdT
  2. Voir cette vidéo d’Arnaud Upinsky ici, NdT
  3. Voir l’instructif recadrage opéré sur l’Extinction Rebellion par les lecteurs dans les commentaires de l’article original, NdT



Géoingénierie : Un expert révèle que les Chemtrails sont bien réels




Le KGB et le projet ISIS

[Source : Nouvel Ordre Mondial]

La momie d’un ancien astronaute découverte par le KGB (Vidéo)

L’histoire présentée a besoin d’un préambule: Il y a très peu
d’information sur internet et à la télévision. Le seul documentaire
existant qui a été diffusé sur les chaînes américaines a été celui de la
chaîne Sci-Fi en 1998, du nom de “Les dossiers top secrets sur les abductions par le KGB”. Il est donc très difficile de trouver d’autres preuves qui pourraient confirmer la véracité du rapport que vous allez lire.

L’unique opinion émanant d’une autorité a été fournie par la
télévision américaine au moment de la transmission de l’épisode, d’après
l’équipe d’experts qui avaient confirmé l’authenticité du film.

La chaîne américaine a diffusé le documentaire une seule et unique fois,
il n’y a pas d’autres copies disponibles à part celles, grand merci au
passage, qui avaient été enregistrées sur des cassettes VHS par des
enthousiastes.

Le film présente une expédition secrète du KGB en Egypte du nom de “Projet Isis”,
dans laquelle les services de renseignements soviétiques ont découvert
l’existence de ce qui apparaît être une momie extraterrestre. Avant de
filmer, le film n’a jamais présenté les structures externes secrètes
découvertes par les émissaires du KGB.

Est-ce un canular élaboré, et très coûteux de ce fait, ou bien la “tombe d’un visiteur” qui révolutionnera notre compréhension des commencements de la civilisation humaine ?

La vidéo commence par les révélations de Viktor Ivanovich, un
neurologue et astrophysicien Russe embauché par le Kremlin en tant que
conseiller scientifique pour le développement des systèmes avancés de
propulsion.

Tandis qu’il s’adresse à Sci-Fi, Ivanovich avait eu accès à certaines
archives du KGB, dont certaines contiennent les écrits d’une expédition
en 1961, du nom de “Projet Isis”, dans lesquels il déclare que
des traces d’une connaissance et technologie de l’Ancienne Egypte
pourraient être utilisées à des fins militaires.

L’équipe chargé de la mission comprenait des égyptologues de
l’Académie Soviétique des Sciences, dont un certain Herman Alekseen, des
experts militaires spécialisés dans les produits chimiques et la
radioactivité, quelques astronomes, dont Vladimir Yuri et Sami Sharaf,
le secrétaire de Gamel Abdel Nasser, le deuxième président de la
République d’Egypte.

Si nous considérons la période historique dans laquelle l’expédition a
supposément eu lieu, il ne fait aucun doute qu’il y a eu un axe
politique entre l’Egypte et l’Union Soviétique. Depuis le conflit en
1956, quand Israël a envahi le territoire Egyptien, suite à la crise du
Canal de Suez, l’Union Soviétique s’est mise du côté de l’Egypte. Il est
estimé que quand le projet Isis a commencé, les militaires soviétiques
présents en Egypte étaient du nombre de 20,000.

L’expédition a été organisée après la découvert très chanceuse de la
tombe mystérieux par deux bédouins dans l’une des pyramides de Gizeh.
Les deux victimes, après être entrés dans la tombe, sont tombés malades
et ont été hospitalisés d’urgence. Quand les agents du KGB et des
renseignements égyptiens les ont interrogés, ils ont répété qu’ils
avaient trouvé le “Dieu Visiteur”.

Dés lors, le “Projet Isis” est devenu hautement prioritaire et tous
les efforts ont été organisés pour trouver et analyse la tombe
découverte par les deux bédouins de fond en comble. L’expédition a été
organisée conjointement avec les deux pays dans le secret le plus total,
de peur que la CIA, les services secrets américains, ne soient
conscients de la découverte.

D’après le rapport détenu par Ivanovichk, les Soviétiques ont
découvert que la tombe était remplie d’artefacts. Ainsi nous lisons dans
une note adressée à un officier de haut rang du KGB:

According to the report document held by Ivanovich, the Soviets found
the tomb full of artifacts. Thus we read in a note addressed to a
senior officer of the KGB:

Qui est suivie par la liste suivante d’informations:

Lieu: non révélé; 15 boîtes remplies d’artefacts; 1 corps partiellement momifié; Un sarcophage, 8 échantillons hiéroglyphiques.

Dans le rapport préparé par l’un des premiers scientifiques à être entrés dans la tombe on peut lire ce qui suit:

“Lors de mon inspection des murs nous avons découvert une force
étrange qui nous repoussait et qui semblait provenir des murs. Nous
n’avons pas trouvé d’explication scientifique rationnelle.

Finalement, dans le e rapport préparé par l’un des cryptographes, qui
ont participé au décodage partiel des gravures inscrites sur les murs,
on peut constater la prophétie du “retour du dieu ailé” qui y est révélée.

Mais la découverte la plus surprenante concerne la momie. La momie
semblait faire plus de 2 mètres de haut, ce qui est nettement supérieur à
la taille moyenne des habitants de l’ancienne Egypte.

Les analyses au carbone 14 conduites par le biologiste moléculaire
Boris Timoyev ont révélé que le corps est vieux de 12,000 ans, des
milliers d’années avant l’entrée en jeu des dynasties Égyptiennes. Qui
aurait-pu bien être le propriétaire du corps contenu dans le sarcophage?

D’après l’égyptologue expert en mythologie, une famille de dieux est
descendue des étoiles pour se poser en Egypte. Ils ont enseigné leur
connaissance et leur sagesse. Plus tard, quand leur travail s’est
achevé, ils ont quitté la terre pour retourner aux cieux, à l’exception
d’Osiris, qui est resté et qui avait pour mission de protéger et
perpétuer la connaissance ancestrale.

Le dieu Osiris était à bord d’une “barque céleste” quand il est descendu des cieux. Était-ce un OVNI?

Osiris a apporté la civilisation aux hommes, a enseigné l’art de
cultiver la terre et de produire du vin, et était adoré par son peuple.
Après sa mort, il a été momifié et enterré dans un lieu secret.

Un groupe de scientifiques qui se sont basés sur cet ancien mythe,
quelques temps après la découverte de la tombe du visiteur, les
programmeurs informatiques, les docteurs et autres académiciens se sont
rassemblés pour discuter de l’ampleur de l’événement. Le groupe était
convaincu que le corps dans le cercueil était celui de la momie
d’Osiris, le dieu extraterrestre. Le groupe a adopté le nom de “partisans”, un mouvement religieux san frontière, dédié à la vénération des “visiteurs des étoiles.”

Le Kremlin s’est occupé de cette affaire d’une façon plus
pragmatique. A l’époque de la Guerre Froide, il aurait été très utile si
ce genre de technologie extraterrestre invincible serait tombé aux
mains des Russes. En outre, les scientifiques russes ont commencé à se
poser de sérieuses questions quant à la véritable utilité des pyramides,
à savoir, si elles avaient été créées pour un but spécifique. Certaines
de ces hypothèses présupposaient l’existence de machines extrêmement
puissantes capables d’accumuler les énergies du cosmos ou des sortes de
transmetteurs interstellaires.

Le KGB et le rendez-vous avez l’ancien astronaute.

Ce qui a attiré l’attention de Sci-Fi était le film qui a été obtenu
par la chaîne américaine grâce à la mafia russe via un intermédiaire.

Le film qui a été obtenu, et qui sort tout droit des archives du KGB,
présente des images top secrètes du sarcophage et de “l’hôte” ou
visiteur. Les experts de Sci-Fi ont garanti l’authenticité de ce film.

La vidéo en noir et blanc présente un grand nombre de soldats et
d’officiers qui entrent dans la chambre funéraire égyptienne sans
masques à gaz. Lors de l’ouverture du sarcophage, vous pouvez voir un
nuage de gaz toxique envahir la chambre et la réaction des soldats est
imminente, ils ont de plus en plus de mal à respirer et craignent pour
leur vie tandis qu’ils regardent hébétés, la momie contenue dans le
cercueil de pierre.

Plus tard, la zone semble avoir été aménagée pour faciliter de plus
amples recherches scientifiques. Désormais les soldats portent des
combinaisons spéciales protectrices.

Quelle valeur pouvons-nous attribuer à cette vidéo cassette ? Est-ce
une gigantesque farce faite sur la base des révélations de Ivanovich ?
Il ne fait aucun doute que la vidéo corrobore les propos contenus dans
les documents de Ivanovich. Ceci, selon certains, est une preuve
supplémentaire de la véracité du film.

“Il ne fait aucun doute que le petit groupe de scientifiques et
d’experts militaires russes ont découvert une tombe en Egypte en 1961,”
a dit Ivanovich. “Mais
dans les documents, il n’y a aucunes mentions de ce qui a été
exactement découvert à l’intérieur du sarcophage. C’est uniquement en
passant en revu les sources des officiels de haut niveau du KGB que nous
avons découvert les restes d’une créature extraterrestre qui est mort
10,000 ans avant la naissance du Christ.”

Si les informations révélées par le Dr. Ivanovich sont avérés, nous
devons totalement reconsidérer le schéma de l’évolution de la
civilisation humaine. De nombreuses informations révèlent constamment
que par le passé, mère la Terre a vu naître et partir d’innombrables
civilisations sophistiquées qui surpassent de loin l’imagination des
gens de notre époque moderne.

En plus, peu importe ce que les gens en disent, la connaissance de
l’Egypte Antique et la construction des grandes pyramides de Gizeh
restent un mystère. “La question fondamentale en rapport avec
l’Egypte est de comprendre comme une telle civilisation avancée, au
paroxysme de son développement vers 2500 avant JC, a disparu de la
surface de la Terre,”
a dit Roselyn McNaughton de l’Institut d’Egyptologie.

“Toutes les autres anciennes civilisations ont expérimenté un
développement progressif dans la forme de leurs architectures et de sa
technologie sur plusieurs centaines, voire des milliers d’années. Cela
n’est pas le cas pour l’Egypte. Une société totalement développée a
surgi de nulle part dans le désert.”

Source: Before It’s News, 4 juillet 2015




Un remède pour le cancer supprimé depuis 80 ans : Ils finissent par admettre que Royal Rife avait raison

[Source : Prepare for Change]

(La crainte de germes de maladies détruits par Rays, affirmation d’un scientifique S.D.)

Une personne n’entend pas le son seulement par les oreilles; elle entend le son à travers tous les pores de son corps. Il imprègne tout l’être, et selon son influence particulière, il ralentit ou accélère le rythme de la circulation sanguine, il réveille ou apaise le système nerveux. Il éveille une personne à de plus grandes passions ou il l’apaise en lui apportant la paix. Selon le son et son influence, un certain effet est produit. Le son devient visible sous forme de rayonnement. Cela montre que la même énergie qui va sous forme de son avant d’être visible est absorbée par le corps physique. De cette façon, le corps physique récupère et se charge d’un nouveau magnétisme.

– Musicien soufi, mystique et guérisseur, Hazrat Inayat Khan

TOUT VIBRE. ABSOLUMENT TOUT.

Notre
réalité est telle que les fréquences ont sur nous un effet beaucoup
plus profond qu’on ne l’avait cru auparavant. Cette réalité ne peut plus
être ignorée.

(Sous-titres disponibles en français : Cliquez SS; si ce n’est pas en français : allez dans Paramètres et cliquez Sous-titres et pour changer la langue cliquez Généré automatiquement, vous aurez un vaste choix de langue)

Bien que l’on nous dise constamment que nous sommes à la fine pointe de la technologie, il y en a qui viennent d’être présentées au public comme étant “nouvelles” alors qu’elles ne sont pas du tout. Elles sont simplement réprimées depuis des décennies. Des choses comme les “nouveaux” bandeaux de Neuro numériques qui envoient des fréquences électromagnétiques spécifiques dans la tête d’une personne pour le “changement” de son humeur, par exemple.

Ces
dernières années, il est également apparu que les fréquences peuvent
guérir des maladies y compris le cancer. Le professeur et chercheur
Anthony Holland a même donné une conférence Tedx sur “Briser le cancer
avec des fréquences résonantes” il y a quelques années, discutant de la
capacité à détruire les cellules cancéreuses et les super bugs mortels
comme le SARM avec des champs électriques oscillants pulsés… non pas que
vous en ayez entendu parler aux nouvelles du soir ou quoi que ce soit
d’autre.

(Sous-titres disponibles en français : Cliquez SS; si ce n’est pas en français : allez dans Paramètres et cliquez Sous-titres et pour changer la langue cliquez Généré automatiquement, vous aurez un vaste choix de langue)

Comme
quelqu’un l’a fait remarquer dans les commentaires, des phrases comme
“Ils n’avaient rien vu de tel. Il semble qu’il s’agisse d’un phénomène
nouveau”, a fait en sorte que ceux qui connaissent la suppression
organisée de ces technologies depuis au moins les années 1930 veulent se
cogner la tête contre un mur.


VOICI LE DR ROYAL RAYMOND RIFE.

Dr.
Rife a été présenté, par ceux qui l’ont personnellement connu et ont
travaillé avec lui, comme d’un génie. Scientifique et inventeur à partir
des années 1920, Rife a commencé à construire un microscope grand et
complexe capable d’agrandir des objets 31 000 fois (contre peut-être
1700 fois sur des microscopes standard dans les années 1930 et 1940). En
1940, Rife avait un appareil de deux pieds de haut pesant 200 livres
qui comprenait quelque 5 682 pièces qui lui permettait de voir les virus
et les bactéries d’une façon qu’aucun autre scientifique n’avait.

Grâce
à ce travail, Rife compris que tous les êtres vivants, y compris les
bactéries et les virus, ont leur propre fréquence ou oscillation. Tout
comme une note musicale spécifique peut briser un verre de vin si elle
est chantée à la fréquence de résonance du verre, on a découvert que les
fréquences pourraient également être utilisées pour détruire les agents
pathogènes.

Alors qu’il continuait d’isoler les virus et les
bactéries et de localiser leurs fréquences de destruction, Rife affirma
qu’il avait découvert le virus responsable du cancer.

En utilisant la résonance, ou ce qu’il appela le “taux d’oscillation mortelle” du virus, il le tua. Encore et encore et encore.

Rife
effectua des centaines d’expériences sur des tumeurs chez des rats
délibérément infectés par ce virus cancéreux isolé avant même d’utiliser
ses fréquences cancérigènes mortelles chez les humains. En 1934, il
testa son appareil sur 16 patients atteints d’un cancer en phase
terminale. Sur 16, tous, sauf deux, ont été considérés comme
officiellement guéris en seulement trois mois. De son traitement, Rife
écrira plus tard :

“Avec le traitement par
instrument de fréquence, aucun tissu n’est détruit, aucune douleur
n’est ressentie, aucun bruit n’est audible et aucune sensation n’est
perçue. Un tube s’allume et 3 minutes plus tard, le traitement est
terminé. Le virus ou les bactéries sont détruits et le corps se rétablit
alors naturellement de l’effet toxique du virus ou des bactéries.
Plusieurs maladies peuvent être traitées simultanément.”

Un article du LA Times décrit la méthode pour le public en juin 1940.

(MERVEILLE TECHNOLOGIQUE – Raymond Rife avec son tout nouveau développé microscope

Un microscope géant pourrait révéler les secrets du monde des bactéries

Des scientifiques de San Diego ont mis au point un instrument complexe permettant de magnifier les objets 31 000 fois.

San
Diego, le 23 juin – Les virus, dit-il, survenant dans le cancer; grâce
au microscope géant et complexe, Rife insiste, il les désintègre; il
invente et construit de telles ondes radios.)

“Pour
les organismes trop petits pour être tachés, un ingénieux système
d’éclairage est utilisé. Ce système utilise la théorie de Rife selon
laquelle les organismes réagissent à certaines longueurs d’onde, une
théorie qu’il mène à son terme en bombardant les germes de la maladie
avec des ondes radio qui sont “accordées” à ces tueurs d’hommes minute.
Et le virus qui apparaît pour les cancers s’est désintégré sous ces
ondes radio.”

Rife a été salué dans les
communautés scientifique et médicale pour ses découvertes. En 1937, Rife
avait fondé avec plusieurs collègues une entreprise appelée Beam Ray et
14 de ses machines furent fabriquées.

Que s’est-il passé ?
Pourquoi ces machines ne se trouvent-elles pas dans tous les hôpitaux et
centres de traitement du cancer dans le monde d’aujourd’hui ?

En termes simples, le seul cancer que Rife ne pouvait pas sembler tuer était l’avidité.

COMMENT LE REMÈDE DU CANCER A ÉTÉ SUPPRIMÉ

Morris Fishbein

Une
opposition puissante contre les intérêts directs dans la médecine
allopathique (pharmaceutique et chirurgicale), le “traitement” du cancer
encore infantile appelé chimiothérapie et des professionnels de la
santé liés à la Fondation Rockefeller (avec son programme de contrôle de
la population basé sur l’eugénisme profondément enraciné) s’assuraient
que les machines de Rife ne soient jamais disponibles au grand public.

Morris Fishbein, directeur de l’Association Médicale Américaine (AMA) est décrit par Bob Wallace sur LewRockwell.com comme un “artiste ébranlé” déterminé à détruire les inventeurs en médecine naturopathique qu’il ne pouvait pas racheter :

“Fishbein
a envoyé un avocat pour tenter de racheter Rife. Rife a refusé. Bien
que personne ne connaisse les termes exacts de l’offre, elle était
probablement semblable à celle faite à Harry Hoxsey pour son remède contre le cancer de la peau (Fishbein, en cour, a dû admettre avoir travaillé sur le cancer de la peau).

Fishbein
et ses associés recevraient tous les profits pendant neuf ans et Hoxsey
ne recevrait rien. Puis, s’ils étaient convaincus que cela
fonctionnait, Hoxsey commencerait à recevoir 10% des profits. Lorsque
Hoxsey refusa, Fishbein se servi de ses relations politiques pour faire
arrêter Hoxsey 125 fois en 16 mois. Les accusations (basées sur la
pratique sans permis) ont toujours été rejetées hors cour mais Fishbein
harcela Hoxsey pendant 25 ans. La seule bonne nouvelle, c’est que le
scandale forca Fishbein à démissionner.

Fishbein offrit ensuite à
Phil Hoyland, un investisseur dans Beam Ray et un ingénieur électricien
qui avait aidé à construire les instruments de fréquence, une assistance
juridique pour tenter de voler l’entreprise à Rife et aux autres
investisseurs. Un procès suivit.”

Ce procès était le
début de la fin de Rife et de ses machines. Incapable de résister aux
attaques contre son personnage et l’œuvre de sa vie au tribunal, Rife
s’écroule et se tourne vers l’alcoolisme (malgré le fait qu’il finit par
gagner sa cause). Les frais de justice l’ont ruiné et sa société Beam
Ray fit faillite.

Fishbein continua d’exercer le pouvoir de l’AMA
pour empêcher toute autre enquête scientifique appropriée sur les
revendications de Rife ou de sa machine. Les médecins qui avaient
précédemment soutenu Rife et son travail furent soudainement silencieux.
Arthur Kendall, l’un des associés de Rife, se retira soudainement au
Mexique avec un “don” d’un quart de million de dollars. D’autres
médecins reçurent des subventions importantes et les honneurs de l’AMA
leur permirent de fermer la bouche et de recommencer à prescrire des
produits pharmaceutiques. D’importantes revues médicales, principalement
financées par les recettes publicitaires de la Grande Pharma,
refusèrent de publier les travaux de quiconque impliquant les théories
de Rife ou ses machines.

Le laboratoire de Rife a également été
cambriolé et la documentation de son travail, y compris des
photographies et même des morceaux de ses microscopes, fut volée et
vandalisée. Puis, dans ce qui était trop de coïncidence pour un film
hollywoodien, le laboratoire Burnett Lab de plusieurs millions de
dollars fut incendié et détruit au moment même où ses scientifiques
étaient sur le point de corroborer les conclusions de Rife.

Le laboratoire Burnett brûlé

La
police confisqua illégalement le reste des recherches de Rife… et c’est
tout. Fishbein entrerait dans l’histoire avec une prestigieuse carrière
médicale sur le thème de “l’exposition de charlatans” (ou,
alternativement, d’ennemis financiers du modèle de médecine chimique et
chirurgicale de Big Pharma).

Ce n’était pas seulement Fishbein. Il
y eu un effort coordonné pour s’assurer que les autres médecins
n’essayaient pas de suivre les traces de Rife.

Le Dr Cornelius P.
Rhoads, oncologue, ancien de l’Institut Rockefeller et chef du service
de guerre chimique au cours des deux dernières années de la Seconde
Guerre mondiale, passa deux décennies de 1939 à 1959 à la tête du
Memorial Sloan Kettering – le principal défenseur de la chimiothérapie
au pays – où Rhoads contribua à façonner le nouveau “traitement” du
cancer par chimiothérapie. Il empêcha également d’autres médecins
d’essayer même de reproduire le travail de Rife, tirant des ficelles
pour obtenir le financement de la recherche annulé pour ceux qui
essayèrent.

Rhoads empêcha non seulement  le Dr Irene Diller
d’annoncer la découverte du micro-organisme cancéreux à l’Académie des
sciences de New York en 1950 mais, rendit Dr Caspe avec une mauvaise
enquête de l’IRS et ses fonds de laboratoire furent annulé après qu’elle
ait annoncé une découverte similaire à Rome trois ans plus tard.

Les Rhoads, il faut le souligner, entreraient aussi dans l’histoire comme meurtriers potentiels.

Dans
les années 1930, alors que Rhoads était à Porto Rico pour la
Rockefeller’s Anemia Commission, après une nuit d’ivresse où il retrouva
sa voiture vandalisée, il écrivit
une confession raciste et dégoûtante à un collègue à propos de deux
meurtres et tentatives de meurtre pour injection de cancer sur des
personnes :

“Ils [les Portoricains] sont sans aucun doute la race
d’hommes la plus sale, la plus paresseuse, la plus dégénérée et la plus
espiègle qui ait jamais habité cette sphère. Ça vous rend malade
d’habiter la même île avec eux. Ils sont encore plus bas que les
Italiens. Ce dont l’île a besoin, ce n’est pas d’un travail de santé
publique mais d’un raz-de-marée ou de quelque chose pour exterminer
totalement la population. Elle pourrait alors être habitable. J’ai fait
de mon mieux pour faire avancer le processus d’extermination en tuant 8
personnes et en transplantant le cancer dans plusieurs autres. La
question de la prise en compte du bien-être des patients ne joue aucun
rôle ici – en fait, tous les médecins se réjouissent des abus et de la
torture des sujets malheureux.”

Au moins 13 personnes sont mortes sous les “soins” de Rhoads à Porto Rico.

Le
cabinet de relations publiques Rockefeller est sorti plus tard pour
dire que Rhoads écrivat simplement une lettre “fantastique et ludique”
pour son propre plaisir, une pièce satirique. Token investigations, y
compris une initiée par le Rockefeller Institute, affirma qu’il n’y
avait aucune preuve que Rhoads ait abusé ou négligé ses patients.
Formulation intéressante.

En ce qui concerne l’histoire, vous
pouvez croire que la lettre de Rhoads n’a pas été mise en évidence dans
sa biographie autrement illustre comme pionnier de la chimiothérapie.

ET AUJOURD’HUI ?

Combien de personnes sont mortes inutilement d’un
cancer qui aurait pu être guéri rapidement, sans douleur et à peu de
frais par la technologie Rife dans les années qui se sont écoulées
depuis que ses recherches ont été supprimées ? C’est une pensée
horrible.

Ma mère a failli mourir d’un cancer. Ils lui ont
administré des traitements de chimiothérapie éprouvants ainsi qu’un
traitement dont elle a découvert par la suite qu’il ne correspondait
même pas au type de cancer dont elle avait été diagnostiquée. En fin de
compte, son système immunitaire a été complètement détruit mais son
cancer est en rémission. Les médecins lui ont dit qu’il reviendrait
probablement dans cinq à dix ans.

CE. N’EST PAS. UN REMEDE.

La
raison pour laquelle la personne moyenne croit encore qu’une
chimiothérapie dangereuse et toxique “guérit” le cancer aujourd’hui est
liée à la même force cupide derrière la raison pour laquelle la majorité
des gens continuent de faire le plein d’essence dans leur voiture
malgré le fait que des solutions de rechange beaucoup plus efficaces,
peu coûteuses et respectueuses de l’environnement existent depuis des
décennies, mais ont été supprimées jusqu’à récemment.

La cupidité,
cependant, ne peut pas garder la vérité cachée de l’humanité pour
toujours… surtout ces vérités qui sont si fondamentalement évidentes.

On
est en 2017. Depuis combien d’années les gens donnent-ils de l’argent à
la recherche sur le cancer et font-ils de la “course pour la guérison”
sans même un coup d’œil au système de médecine allopathique sur la cause
?

Bien que discrètement, nous avons maintenant des chercheurs qui
sortent du bois pour vérifier le pouvoir des fréquences de résonance
pour tuer les virus et les bactéries et même guérir des maladies
potentiellement mortelles dont le cancer. Deux médecins en 2014 ont
publié un article dans Global Advances in Health and Medicine (Avancées
mondiales dans la santé et la médecine) intitulé “Le rythme de vie
en tant que symphonie de motifs oscillatoires : l’énergie
électromagnétique et la vibration sonore modulent l’expression génique
pour la signalisation biologique et la guérison
“. Ils y ont conclu :

Par
conséquent, non seulement les produits chimiques mais aussi les
énergies physiques comme les CEM et les vibrations sonores, nos
émotions, nos pensées, nos croyances et la façon dont nous développons
nos intentions et nos rythmes de vie peuvent transformer en profondeur
notre expression génique au niveau cellulaire. Cette découverte peut
révéler des chances inattendues de développer des processus
d’auto-guérison basés sur une utilisation accrue de ce potentiel humain
remarquable…

Le paradigme qui émerge ici passe d’un
point de vue purement biochimique basé uniquement sur les concepts
physiques de transfert d’énergie et de momentum et leurs implications
dans un paradigme holistique basé sur l’information. Bien qu’un murmure
puisse être plus grave que des mots criés, la science peut maintenant
découvrir les principes de base d’une biologie informationnelle plus
subtile dans laquelle des comportements de signalisation spécifiques
peuvent apporter le pouvoir de guérison.

Le pouvoir de guérison.

Après
plus de 70 ans, nous savons tous à quel point le modèle Big Pharma qui
consiste à nous remplir de produits chimiques et à arracher nos organes
vitaux, nous a bien servis… Ce ne sont pas des “remèdes”. Ce système ne
guérit pas.

Ce n’est qu’une question de temps avant que les
milieux médicaux et scientifiques ne soient forcés d’admettre que Rife
avait raison ou qu’ils ne perdent les derniers morceaux de crédibilité
qu’ils ont dans un monde où il est devenu trop évident que nous avons
été délibérément pris en otage dans une bulle technologique… à notre
détriment.

Sources et Ressources :

http://wakingtimesmedia.com/cancer-cure-suppressed-80-years-theyre-finally-admitting-royal-rife-right/?utm_source=Waking+Times+Newsletter&utm_campaign=cf8800589f-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email&utm_term=0_25f1e048c1-cf8800589f-54394837

Traduction Lucy Pitt.