Misère des intello-journaleux en France
La rage démesurée de faux philosophes et écrivaillons journaleux, Enthoven et Cohen (qu’aurait rendue impuissant un Pasteur) contre le « professeur en microbiologie et spécialiste des maladies infectieuses » Didier Raoult (ne parlons pas de leurs figurants faisant office de perroquets ici et là), la rage indirecte aux ordres d’un Plenel envers également ce dernier (quitte à sacrifier un Mucchielli pourtant de leur camp), le satisfecit bonhomme (en apparence), mais aux ordres d’un Viard vantard, sans oublier divers « canards » qu’ils soient « enchaînés » ou « libérés », enfin la rage entrée d’une Salomé contre « l’extrême droite » et devant laquelle il faudrait faire « barrage », tous ces… refusent de voir que lorsque cet édifice se construit, il peut « en même temps » être sabordé par ceux-là mêmes qui en vilipendent les effets tout en escamotant habilement (leurs sophismes ont pignon sur rue) le fait qu’ils font aussi parties des causes de son implosion… Vieil adage.
Ce qui frappe aussi c’est leur apolitisme, chose certes étonnante (en apparence du moins), tant ils véhiculent la « mauvaise anthropologie » dont parlent à juste titre la psychologue Marie-Noëlle Dupont et l’anthropologue de la santé Jean-Dominique Michel, celle qui présuppose que la biologie, la psychologie, la politique ne sont « que » des « constructions sociales » pouvant alors être changées à sa guise ; écartant ainsi et vivement le fait que nous soyons des « animaux politiques » et que donc notre biologie (le Bios) n’est pas seulement de la chimie et de la physique combinées, pas plus qu’un « système » entièrement programmé à la manière close d’un logiciel serait le plus autonome comme il est vanté aujourd’hui à l’ère de ChatGPT…
En tant qu’animal politique nous sommes bien plus en effet que la somme de nos parties conditionnées sous vide… Nous marquons un territoire, objets et sujets. Et la jalousie, cette ardeur lancinante à justifier que nous ne vivons pas en vain, peut être permanente si elle n’est pas affinée vers un dépassement de soi visant à s’enrichir plutôt qu’à s’amoindrir dans le mesquin, aiguillon servant ainsi à l’émulation plutôt que la seule envie, ce souci narcissique de soi comme cela se voit dans ces déchaînements disproportionnés permanents contre tous ceux qui ont osé rappeler que le consentement éclairé ne concerne pas seulement la sexualité, mais aussi la santé — ce qui n’est toujours pas le cas à l’heure où la manipulation des données reste de vigueur : quid par exemple du mea-culpa du compère de Cohen, ce Véran vorace refusant de déglutir cette étude frauduleuse du Lancet qui aurait dû être attaquée en justice par les Autorités ad hoc pour avoir mis ainsi à mal la santé de millions de patients et ce de par le monde… ?