08/08/2023 (2023-08-08)
[Source : aubedigitale.com]
Par Frank Bergman
L’Union européenne (UE) a apporté son soutien au projet radical du cofondateur de Microsoft, Bill Gates, de « lutter contre le réchauffement climatique » en bloquant la lumière du soleil pour faire baisser la température sur Terre.
L’UE se joindra à un effort international mondialiste visant à examiner l’efficacité du plan.
Les gouvernements de plusieurs pays se joignent à des agences bureaucratiques non élues pour déterminer si une intervention à grande échelle telle que la déviation des rayons du soleil ou la modification des schémas météorologiques de la Terre sont des options viables pour « lutter contre le changement climatique ».
Comme Slay News l’a précédemment rapporté, Bill Gates défend depuis longtemps le projet de lutte contre le « réchauffement climatique » en recourant à la géo-ingénierie expérimentale pour bloquer le soleil.
L’idée, défendue par Bill Gates et le milliardaire gauchiste George Soros, consiste à injecter des nuages blancs artificiels dans l’atmosphère afin de réfléchir la lumière du soleil loin de la surface de la planète.
Ce projet radical permettrait d’abaisser la température de la planète et de « lutter contre le réchauffement climatique ».
Soros prétend que cette technologie contribuera à empêcher la fonte des calottes glaciaires.
Selon lui, la fonte des calottes glaciaires du Groenland, en particulier, pourrait condamner la civilisation humaine.
« Notre civilisation risque de s’effondrer en raison de l’avancée inexorable du changement climatique », a déclaré Soros.
« La fonte de la calotte glaciaire du Groenland augmenterait le niveau des océans de sept mètres. »
« Cela menace la survie de notre civilisation », a-t-il affirmé.
La méthode préconisée par Bill Gates consiste à augmenter les concentrations d’aérosols dans la stratosphère afin de réfléchir le rayonnement solaire loin de la Terre.
Bill Gates a financé un important projet à Harvard utilisant des ballons pour déployer des aérosols.
Ce projet a toutefois été interrompu à la suite d’une levée de boucliers de la part de l’opinion publique.
Selon un projet de document consulté par Bloomberg, l’Union européenne évalue les conséquences du « réchauffement climatique » sur la sécurité, notamment le risque que la pénurie d’eau ou de nourriture ne déclenche des conflits et des migrations.
Une partie de cette évaluation comprend l’étude des dangers potentiels de la réingénierie de l’atmosphère.
« Ces technologies présentent de nouveaux risques pour les personnes et les écosystèmes, mais elles pourraient également accroître les déséquilibres de pouvoir entre les nations, déclencher des conflits et soulever une myriade de questions éthiques, juridiques, politiques et de gouvernance », selon le document, qui est susceptible d’être modifié.
En se lançant dans ces recherches, l’Union européenne se trouve au cœur du débat sur la question de savoir si la géo-ingénierie du climat est une bonne science ou si elle n’est qu’une distraction de science-fiction.
Ces projets de géo-ingénierie ont des conséquences potentiellement dangereuses pour la planète et son atmosphère.
L’Union européenne souhaiterait que des discussions internationales aient lieu sur l’élaboration de règles applicables à ce secteur naissant.
« L’UE soutiendra les efforts internationaux visant à évaluer de manière exhaustive les risques et les incertitudes liés aux interventions sur le climat, y compris la modification du rayonnement solaire », selon le document.
Ces interventions à grande échelle sont apparues parallèlement aux progrès scientifiques et à la crainte croissante que les pays ne dépassent l’objectif de l’agenda vert, qui est de limiter le réchauffement de la planète à 1,5 degré Celsius.
Le blocage des rayons du soleil est désormais fréquemment présenté comme un moyen de lutter contre ce qu’on appelle la « crise climatique ».
Les critiques mettent toutefois en garde contre les effets secondaires imprévus de plans aussi radicaux, tels que l’altération de régimes pluviométriques vitaux ou un refroidissement excessif de la Terre qui entraînerait une ère glaciaire.
Certains scientifiques ont appelé à la conclusion d’un accord international de non-utilisation de ces solutions.
D’autres experts, quant à eux, affirment que les rapports faisant état d’une « crise climatique » sont un canular destiné à attiser la peur du public dans le but d’augmenter les impôts et de restreindre les libertés.
Comme Slay News l’a déjà rapporté, le célèbre écologiste Patrick Moore, cofondateur de Greenpeace, avertit le public que le discours contre le dioxyde de carbone est une escroquerie.
Moore, écologiste et militant écologiste depuis plus de 50 ans, affirme que l’augmentation du taux de dioxyde de carbone dans l’atmosphère est bénéfique.
Selon lui, les affirmations selon lesquelles le changement climatique est « causé par l’homme » sont de la « propagande » qu’il qualifie de « dangereuse ».
Les commentaires de Moore, un expert de premier plan en matière d’environnementalisme, vont directement à l’encontre de l’agenda vert mis en avant par l’administration de Biden et les groupes mondialistes tels que l’Organisation des Nations unies (ONU) et le Forum économique mondial (FEM).
Selon Moore, l’environnementalisme a été détourné et le mouvement a « abandonné la science et la logique au profit de l’émotion et du sensationnel ».
« Lorsque Greenpeace a commencé, nous avions une forte orientation humanitaire, pour sauver la civilisation de la destruction par une guerre nucléaire totale », a déclaré Moore.
Au fil des ans, la « paix » de Greenpeace s’est progressivement perdue et mon organisation, comme une grande partie du mouvement écologiste, a dérivé vers la conviction que les humains sont les ennemis de la Terre.
Traduction de Slay News par Aube Digitale
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