L’Institut Pasteur rétracte son étude bidon sur le pass sanitaire

[Source : lemediaen442.fr]

Par Jacqueline

Par de prestigieux calculs — règle de 3, certes, mais c’est pas donné à tout le monde — L’Investisseur sans costume a prouvé que l’affirmation « 78 % des nouveaux hospitalisés sont des non-vaccinés », eh bien, c’est faux. C’est pourtant l’Institut Pasteur qui l’affirme. Sauf que ses calculs sont bidonnés. Les preuves sont là. 

L’étude truquée, prépubliée en juin, a été supprimée, d’un coup de baguette magique ! Tout simplement ! Plus besoin de revue par les pairs ! (L’investisseur sans costume l’a cependant soigneusement conservée  pour ceux que ne rebute pas un texte scientifique en anglais.)

Une mise à jour l’a remplacée. Ce qui n’était que discrète falsification est devenu une arnaque bien voyante. L’Institut Pasteur, le temple de la science est devenu instrument de propagande. Ce n’est pas cela qui va changer quoi que ce soit aux décisions du gouvernement. En témoigne le Lancet Gate : 

1. On fait une étude bidon.
2. Les politiques s’en servent (Véran jette l’hydroxychloroquine à la poubelle).
3. On avoue l’arnaque.
4. Rien ne se passe : le ministère de la Santé fait comme si les conclusions restaient valables (et on échange l’hydroxychloroquine contre le Doliprane, tellement plus efficace !).

Demandez le programme !

A travers une modélisation (pas question d’observation, ça prendrait trop de temps et risquerait de ne pas donner les résultats attendus), la nouvelle étude en prépublication de Pasteur nous annonce le programme de la rentrée. 

– Une terrible cinquième vague de covid que le taux de vaccination trop faible n’arrivera pas à contrer. Il faudra donc prolonger le pass sanitairepoursuivre les gestes barrières, porter le masque en public (ça ne sert à rien, prouvent des scientifiques, donc on continuent, disent politiques et médecins de plateau).
– Une troisième dose (quand ça ne marche pas, on continue !),
– La vaccination des enfants, ce qui revient à jouer avec la survie de l’espèce. 

Aucune base scientifique ne justifie ni ces mesures ni les lieux communs sur lesquels elles reposent :

Les enfants de 0-17 ans représentent un tiers des infections

Un enfant de moins de 12 ans a autant de risque de se retrouver à l’hôpital à cause du covid que d’être frappé par la foudre. Oui, mais, selon l’Institut Pasteur, « Les enfants de 0-17 ans représentent un tiers des infections et sont responsables de près de la moitié des transmissions. » Les études de validation des vaccins s’appuient sur les cas symptomatiques. Or les moins de 12 ans n’ont pas assez de cas symptomatiques pour que aucune étude soit valide (dans l’étude en cours sur les 6 mois à 12 ans, l’échantillon n’est que de 4 500 enfants). 

Les personnes vaccinées sont bien protégées contre l’hospitalisation

Les études sur lesquelles se fondent ceux qui affirment que les non vaccinés ont 4 fois plus de risque d’attraper le virus et 2 fois plus de le transmettre, sont biaisées. L’une de ces études a porté sur des soignants (84 % de femmes actives en bonne santé). Or les femmes ont deux fois moins de risques de décéder du covid que les hommes et les personnes âgées ou les enfants ne figuraient pas dans l’échantillon observé. L’autre étude a été faite au sein des foyers (donc hors sujet à propos d’un pass sanitaire public). Pour l’analyse précise de l’arnaque aux chiffres de ces études, voir la vidéo de L’investisseur sans costume .

Il faut protéger les autres

La vaccination serait un acte altruiste.Il faudrait se faire vacciner pour protéger les autres de la contamination et du décès. Mais qui sont les autres ? Il n’y a pas d’augmentation de la mortalité des moins de 60 ans depuis le début de la crise (chiffres de l’Insee).

Ce qui n’a pas été fait

– Soigner au début de la maladie (cela a même été interdit).
– Identifier très précisément les comorbidités, ce qui aurait permis de faire de la médecine préventive.
– Encourager l’entraide : le tiers de la population française, rétabli du virus, mieux immunisé qu’avec le vaccin, aurait pu recevoir un pass pour s’occuper des personnes fragiles.

Le pass : une société des loisirs et non de l’entraide

Avec le pass, la stratégie s’est axée sur la circulation et non sur la santé, qui reste en principe de l’ordre de la décision personnelle. Avec la circulation, on est dans la sphère sociale et politique. Le pass sanitaire n’est qu’un droit aux loisirs (et au contrôle de l’État…). Rien à voir avec la protection de la santé. Il symbolise un choix entreune société de loisirs infantilisante et égoïste et une société responsable où l’on s’entraide.

Jacqueline pour Le Média en 4-4-2.