Les médias restent silencieux alors qu’une étude des NIH révèle que le COVID long pourrait ne pas exister

01/06/2022 (2022-06-01)

[Source : aubedigitale.com]

Par JADE

Une nouvelle étude des National Institutes of Health (NIH) soulève des questions sur le « Covid long », suggérant que les personnes qui prétendent souffrir du « Covid long » des mois, voire des années après l’infection par Covid, souffrent probablement d’anxiété.

L’étude des NIH a révélé qu’il n’y avait aucune preuve d’une infection à long terme par le COVID-19 chez les patients qui se trouvaient à six semaines ou plus de l’apparition des symptômes, même si ces patients déclaraient souffrir d’un « Covid long ». En outre, l’étude a révélé que les personnes qui ont déclaré souffrir d’une infection à COVID-19 de longue durée étaient de manière disproportionnée des femmes et des personnes ayant des antécédents de troubles de l’anxiété.

« Les études exploratoires n’ont trouvé aucune preuve d’infection virale persistante, d’auto-immunité ou d’activation immunitaire anormale chez les participants atteints de Covid long », ont conclu les auteurs. « Les résultats anormaux à l’examen physique et aux tests de diagnostic étaient rares ».

Le Daily Caller rapporte : L’étude a recruté 189 personnes présentant des cas de COVID-19 documentés en laboratoire, qui se trouvaient à au moins six semaines de l’apparition des symptômes, et 120 participants témoins qui ont été testés négatifs pour les anticorps COVID-19. Cinquante-cinq pour cent des personnes qui avaient été infectées ont signalé des symptômes correspondant au PASC (COVID long), tandis que 13 % du groupe témoin ont signalé des symptômes de PASC. Les personnes qui présentaient des symptômes de Covid long ont fait état d’une qualité de vie inférieure lors de tests standardisés.

Les participants ont subi un examen physique, des tests de laboratoire et des questionnaires, des tests cognitifs et une évaluation cardio-pulmonaire. Les chercheurs ont conclu qu’il n’y avait pas de cause identifiable des symptômes du Covid long dans la plupart des cas. Les auteurs ont noté certaines limites, notamment le fait que la plupart des participants ne présentaient que des cas légers de COVID-19 et que le taux de symptômes de Covid long pourrait être augmenté du fait que les personnes présentant des symptômes étaient plus motivées pour s’inscrire à l’étude.

La publication de ces résultats a relancé le débat sur la question de savoir si le COVID-19 est une affection physique légitime, ou plus souvent un trouble psychologique qui persiste après la guérison du virus. La recherche clinique sur le sujet est mitigée. Certains alarmistes ont invoqué le Covid long pour justifier l’imposition de politiques telles que l’obligation de porter un masque ou de se faire vacciner.

[NDLR : cependant, les symptômes attribués à ce soi-disant « Covid long » recoupent certains des effets des ondes électromagnétiques sur la santé et celles-ci peuvent aussi produire de l’anxiété.
Voir notamment :
Plus de 2 000 études documentaient les effets nocifs des ondes avant 1972]

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Un commentaire

  1. Ils n’ont pas l’intention de laisser passer la vérité même si les informations proviennent de sources officielles outre-Atlantique. De même ils ne parlent jamais des chiffres affolants du VAERS (ni européens) sur les effets secondaires et aussi du rapport Pfizer dont les pages démontrent que ces injections sont non seulement nocives, mais que les autorités médicales le savaient et qu’ils ont tout de même autorisé la commercialisation de ces produits dangereux.
    Non, ils préfèrent faire peur avec les maladies de singes ou de la tomate!
    https://crowdbunker.com/v/2XQXFuSoDc

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