29/01/2024 (2024-01-27)
[Source : kla.tv]
L’alimentation a déjà été utilisée comme une arme, un levier des dirigeants pour contrôler la population. C’est encore plus vrai aujourd’hui ! Si l’agriculture traditionnelle doit être supprimée, si les aliments sont contaminés par des ARNm, si les animaux de ferme sont vaccinés avec des ARNm, si les aliments naturels sont remplacés par des aliments synthétiques et si l’eau est liée au paiement numérique, alors c’est une déclaration de guerre de l’Agenda 2030 contre l’Humanité !
[NDLR Il semble que la question de l’ARNm soit un leurre destiné à éviter la prise de conscience de la nanotechnologie vaccinale à base de graphène et dont la finalité serait la transhumanisation de l’Homme.
Voir notamment :
►La convergence bionumérique
►Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos
►Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique
►Selon selon le Pr Ian Akyildiz les ARNm des vaxins sont en réalité des nanomachines programmées à petite échelle
►Le VACCIN COVID comme boîte à outils pour fabriquer l’homme que vous serez demain
►Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
►Le contrôle humain grâce à la technologie vaccinale]
Transcription
Actuellement, les protestations des agriculteurs allemands, mais aussi européens sont sur toutes les lèvres. L’émission Kla.tv en allemand « La lutte pour la survie des paysans » [https://www.kla.tv/27879], diffusée récemment, résume parfaitement le fait que les mesures de réduction des dépenses du gouvernement ne sont que la goutte d’eau qui a fait déborder le vase de l’oppression des paysans.
D’autres émissions aborderont la question de savoir dans quelle mesure les agriculteurs ont été instrumentalisés ou non par les protestations et pourquoi ils sont présentés sous un mauvais jour par les médias grand public. Alors, consultez régulièrement Kla.tv !
Le fait est que :
L’ONU, l’OMS et le FEM ont déclaré la guerre aux agriculteurs et aux produits alimentaires traditionnels. Leur Agenda 2030, comme Kla.tv l’a déjà signalé dans plusieurs émissions, s’attaque également aux agriculteurs en particulier.
Voici une brève reprise de l’émission « Agenda 2030 : Étiquetage frauduleux. Comment l’ONU entraîne le monde dans l’abîme » https://www.kla.tv/19023
L’objectif 2 de l’Agenda 2030 prévoit selon ses dires d’éliminer la faim, d’assurer la sécurité alimentaire, d’améliorer la nutrition et de promouvoir une agriculture durable. Cependant, l’agriculture naturelle à petite échelle est en train d’être détruite, alors que dans le même temps, les multinationales contrôlent de plus en plus la production alimentaire mondiale par le biais de l’agriculture industrielle, du génie génétique et des produits agrochimiques.
La situation des paysans, qui sont les piliers de notre société, est déplorable, mais ce n’est pas un hasard, comme vous pourrez le constater dans la suite de l’émission. Plus précisément, le sort des paysans est très étroitement lié à celui de nous tous :
Un résumé de l’essai « L’arme alimentaire », de l’écrivain et journaliste indépendant allemand Tom-Oliver Regenauer, montre comment l’alimentation, base de l’existence, a déjà été utilisée dans l’histoire, et l’est encore aujourd’hui, comme arme contre l’Humanité :
En décembre 1974, Henry Kissinger a rédigé un document stratégique secret pour le « Conseil de sécurité nationale » des États-Unis. Il portait le titre bureaucratiquement lourd d’« Implications de la croissance démographique mondiale pour la sécurité des États-Unis et les intérêts outre-mer ». La stratégie esquissée par Kissinger est devenue la ligne politique officielle du président Gerald Ford en 1975.
« La croissance démographique aura de graves répercussions sur les besoins alimentaires », lit-on. C’est pourquoi l’aide alimentaire aux pays en développement devra peut-être être liée à des programmes de stérilisation obligatoires ou à des quotas de réduction de la population, conclut Kissinger.
Ce raisonnement conduit le géostratège, qui travaille pour l’influent clan Rockefeller, à la conclusion amorale que dans un tel scénario, l’alimentation devient un « instrument de puissance nationale » efficace. Il déclare que l’alimentation est une arme. Cependant, ce n’est pas une idée nouvelle.
Qu’il s’agisse d’un siège au Moyen-Âge ou de l’inflation actuelle, l’alimentation est une arme depuis la nuit des temps. Un levier utilisé par les dirigeants pour contrôler la population. Mais avec les vaccins à ARNm pour les animaux d’élevage, les spores génétiquement modifiées pour optimiser les chaînes d’approvisionnement mondiales et les paiements CBDC pour l’eau, la lutte pour la survie atteint un autre niveau.
Exemples de l’histoire passée :
Il y a 3 000 ans, les Grecs assiégeaient déjà Troie pour l’affamer.
En Irlande, près d’un million de personnes, soit douze pour cent de la population irlandaise, sont mortes suite à la grande famine de 1845-1849. La cause première n’était pas de mauvaises récoltes ou un nouveau type de pourriture de la pomme de terre, mais la politique du gouvernement britannique de l’époque, corrompue par la haute finance et certains groupes d’intérêts.
La puissance coloniale britannique est également responsable de la mort de quatre millions d’Indiens lors de la famine au Bengale en 1943.
C’est ce que révèle une étude de scientifiques indiens qui ont analysé les périodes de sécheresse des 150 dernières années.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, le siège de Leningrad, qui a duré 500 jours, a fait plus d’un million de morts, plus que les bombardements de Hambourg, Dresde, Tokyo, Hiroshima et Nagasaki réunis.
Joseph Staline a également utilisé son pouvoir pour mettre à genoux la « République socialiste soviétique d’Ukraine » par le biais de pénuries alimentaires. « L’Holodomor », nom donné à la famine des années 1930, considérée par certains comme un génocide, a coûté la vie à trois ou quatre millions de personnes. Le cannibalisme n’était pas rare.
Sous Mao Zedong, au moins 24 millions de personnes sont mortes de faim entre 1958 et 1962. Sa devise était la suivante : « Il vaut mieux laisser mourir la moitié des gens pour que l’autre moitié puisse manger à sa faim. »
Développements actuels :
Compte tenu de cet historique, il serait presque naïf de supposer que l’alimentation ne sera pas utilisée comme arme au 21e siècle. Toutefois, ce n’est pas par le siège ou la destruction de la flotte adverse, mais par une rupture avec les usages, la pénurie artificielle, la contamination par des substances toxiques, des additifs biotechnologiques, des matières premières génétiquement modifiées, etc.
Le nombre de personnes gravement menacées par la faim a doublé dans le monde depuis la déclaration de l’état de pandémie. Les confinements dus au Covid et les pertes de récoltes dues à la guerre en Ukraine ont entraîné des pénuries massives et des ruptures d’approvisionnement, beaucoup de choses sont devenues très chères, des exploitations familiales et des petites entreprises ont fait faillite. Les agriculteurs subissent une telle pression en raison de « l’économie verte », de l’agenda zéro CO₂, qu’ils ne peuvent pas faire face aux obligations et aux coûts croissants et descendent dans la rue en désespoir de cause. Marc Rutte [Premier ministre néerlandais] a même sorti le matériel militaire contre les révoltes paysannes !
Toute l’industrie alimentaire doit être transformée et les aliments naturels doivent être de plus en plus remplacés par des aliments artificiels. L’exemple le plus célèbre est la viande produite en laboratoire. Depuis de nombreuses années, Bill Gates, devenu le plus grand propriétaire foncier des États-Unis, et Google Ventures [une société de capital-risque] font preuve d’un grand dynamisme dans ce domaine.
Parallèlement, Gates investit beaucoup d’argent dans la recherche et la modification du microbiome, un écosystème complexe composé de bactéries, de champignons, d’archéobactéries et de virus qui, sous le terme général de « flore intestinale », contrôle de manière déterminante les processus digestifs et exerce une grande influence sur le développement mental et physique d’un enfant, en particulier au cours de sa première année de vie. [Référence à l’interview de HeikoSchöning « Covid 2.0 : nouvelle attaque terroriste avec des bactéries !? » https://www.kla.tv/27963] « C’est ce que veut Gates — qui ne cesse d’exprimer ses préoccupations en matière de “surpopulation” — écoutez ! — Aider les enfants des pays en voie de développement !!! »
On peut se sentir encore plus mal à l’aise si on considère que dans un avenir proche, les aliments seront livrés avec de l’ARNm ou de l’ARN ajouté. Ceux qui tirent profit des grandes sociétés pharmaceutiques, comme Bill Gates, annoncent depuis longtemps leur intention de distribuer ces substances expérimentales et nocives dans les aliments, afin de les faire parvenir aux personnes qui ont refusé l’injection antiCOVID. [Émission d’Ivo Sasek, Banane vaccin, salade d’ARNm & plus : Vaccination forcée inconsciente par les aliments ?! » https://www.kla.tv/26139]
Des entreprises comme Bayer et BioNTech travaillent depuis plus de six ans sur des vaccins à ARNm pour le bétail. Le scientifique et co-inventeur de la technologie ARNm artificielle, Robert W. Malone, a souligné à ce propos qu’il y a encore moins de transparence en médecine vétérinaire qu’en médecine humaine en ce qui concerne les procédures de test et d’autorisation. En d’autres termes, le risque pour l’utilisateur final est peut-être encore plus grand que dans le cas des injections COVID. Le gouvernement canadien propose même sur son site web un aperçu détaillé des produits à base d’ARN et d’ADN utilisés dans le pays. Au moins une poignée d’entre eux sont déjà utilisés à grande échelle. Les vaccins basés sur le génie génétique sont donc déjà utilisés, malgré toutes les affirmations contraires. Ils sont simplement commercialisés sous d’autres labels.
Les « vaccins auto-disséminés », des vaccins qui se propagent eux-mêmes, devraient aussi bientôt être utilisés. Dans ce cas, les vaccins ne sont administrés qu’à quelques porteurs qui servent de multiplicateurs et transmettent l’information génétique au reste de la population concernée par différentes voies de transmission.
De plus, à l’avenir, des spores génétiquement modifiées [Bioengineered Spores] seront utilisées pour contrôler les chaînes d’approvisionnement mondiales. Les microbes seront utilisés comme dispositifs de suivi [TrackingDevices]. Chaque aliment devrait à l’avenir pouvoir être tracé depuis le champ jusqu’à la fourchette dans la bouche. Les données sont converties en ADN, qui est ensuite introduit dans des micro-organismes. Ces micro-organismes peuvent être transférés à tout produit agricole. Qu’il s’agisse de bœuf ou de porc, de légumes, de fruits ou de céréales. Ce « code-barres ADN », comme l’entreprise appelle cette prétendue innovation, ne peut être détruit ni par la chaleur ou le froid, ni par le lavage et le hachage du produit. De plus, le produit contient des toxines qui, à faible dose, sont toutefois considérées comme — écoutez ! — « généralement inoffensives » !
Toutes ces évolutions dans le domaine de l’alimentation font de l’organisme humain un champ de bataille ! Car l’alimentation peut et va être utilisée comme une arme. Un instrument de domination de quelques-uns en arrière-plan ! Il est évident que l’UE est elle aussi un suppôt de ces dominants, car elle s’engage pour la « régulation » de l’élevage privé et veut rendre de plus en plus difficile l’autoproduction de denrées alimentaires. Au Nigeria, on est même allé plus loin. Après les Bahamas, ce pays africain est le deuxième qui a introduit la monnaie électronique de la banque centrale, la CBDC. Désormais, seules les personnes qui scannent leur code QR ou RFID CBDC peuvent obtenir de l’eau au Nigeria. Il est donc fort possible que ceux qui s’insurgent contre le gouvernement sur leurs profils de médias sociaux liés au compte de la banque centrale seront bientôt assoiffés ou mourront.
Une parenthèse de Kla.tv : l’objectif 6 de l’Agenda 2030 prévoit, selon ses dires, de garantir la disponibilité et la gestion durable de l’eau et de l’assainissement pour tous. On constate que 90 % de l’eau dans le monde est contrôlée par une série de multinationales qui en font de plus en plus un produit de luxe et empêchent toute autosuffisance et indépendance des populations.
Il est intéressant de noter que le symbole utilisé pour l’Agenda 2030 est le même que celui utilisé pour le « Great Reset » prôné par le FEM. Mais il ne faut pas s’attendre à une amélioration de la situation mondiale de la part d’une élite autoproclamée comme le Forum économique mondial. Bien au contraire, leur Nouvel Ordre Mondial n’est rien d’autre que l’enrichissement personnel et la folie du contrôle de quelques oligarques financiers aux dépens de la collectivité.
Au vu de ces développements, cette réduction de l’Humanité, planifiée de longue date, doit être révélée au public. Vous trouverez la version originale et intégrale, en allemand, de l’essai de Tom-Oliver Regenauer, sur le site : [https://www.regenauer.press/blog-search?searchTerm=nahrung%20als%20waffe]
Diffusez également cette émission le plus largement possible ! Et revenez régulièrement sur Kla.tv pour ne pas manquer la suite. Kla.tv restera à l’écoute afin d’apporter plus de lumière sur les corrélations apparemment complexes de ce sujet.
de wou./abu.
Sources/Liens :
Essai original non abrégé de Tom-Oliver Regenauer :
https://www.regenauer.press/blog-search?searchTerm=nahrung%20als%20waffe
Document stratégique de Henry Kissinger de 1974 :
https://pdf.usaid.gov/pdf_docs/pcaab500.pdf
La lutte pour la survie des paysans :
https://www.kla.tv/27879
Agenda 2030 : Étiquetage frauduleux :
https://www.kla.tv/19023
⚠ Les points de vue exprimés dans l’article ne sont pas nécessairement partagés par les (autres) auteurs et contributeurs du site Nouveau Monde.