21/09/2022 (2022-09-21)
La guerre a été déclarée. Mais, bien sûr, deux faces de Janus sont au feu, l’une officielle en UE à l’ONU s’inquiétant « d’impérialisme et de colonialisme », voire de « corruption », en Hongrie (on croit rêver lorsque l’on songe aux conditions d’acquisition des injections Spike-C-19) l’autre montrant son réel visage tordu par le mépris totalitaire au Parlement européen, sommant ce même pays de se soumettre aux injections comportementalistes de la néo-charia verte (immigration forcée, queer domination) sous peine de se voir débranché des subsides de ladite Solidarité européenne.
Pendant ce temps, l’État profond US accélère les préparatifs de la IIIe guerre mondiale en livrant bientôt selon certaines sources des missiles à très longue portée aux nervis néonazis installés à Kiev afin de pouvoir toucher la Russie même. Le tout sur fond de pénuries, coupures, rationnements, bref la guerre dans toute son horreur.
Alors que le respect des accords de Minsk 2 et leur ajustement à Istanbul (refusé par le Royaume-Uni au nom des USA) auraient pu sauver la mise.
Pendant ce temps également, on fait croire que l’inflation et la pénurie énergétique proviennent de Poutine alors que la première est là depuis 2008 (en sourdine amoindrie par le Q. E., mais éclatant aujourd’hui au grand jour) et que la seconde a été provoquée bien en amont par le refus d’ouvrir Nord Stream II (fomenté par l’état profond US avec l’aval de Trump en 2019), donc avant même l’affrontement de 2022 avec Kiev, tandis que les sanctions empêchant Moscou d’utiliser ses avoirs en dollars et en euros ont d’autre part fait le reste, comme l’obligation de payer en roubles dans ce cas…
Le mépris glacial et sanguinaire de la Secte est en fait tel qu’elle est persuadée que Poutine est lui aussi adepte du sadomasochisme acceptant de se faire payer en devises dont il ne pourrait se servir…
Tout est de cet acabit. Les pays vassaux peuvent être ainsi sous perfusion financière si et seulement si ils acceptent l’application des « valeurs » dominantes « trans » élargies à tout : genre, frontière, climat, démographie, santé ; remodelage forcené fait par des forcenés en vue de créer une race nouvelle (à l’instar du nazisme canal historique) débarrassée de ces oripeaux « sionistes, libéraux, cis-genres, blancs, frontiéristes ».
Et comme la “vieille Russie” refuse de se faire ainsi transférer et transfuser (à l’instar du Royaume-Uni d’un Churchill refusant l’appel au “djihad” aryen du “cousin” germain made in Hitler admiratif de l’islam), tout est bon désormais pour lui rendre gorge (depuis 2013, précédant les jeux de Sotchi en 2014 avec l’affrontement Obama-Poutine sur la propagande LGBT), d’où la nécessité depuis cette date (les affrontements en Ukraine commencent en 2014 avec le coup d’État à Kiev) de lui rendre gorge en utilisant les idiots utiles du relativisme gauchiste recyclé dans la pan-idéologie “trans”.
Les guerres sont certes pilotées par des « intérêts », mais ces derniers sont à la fois matériels et immatériels, et le fait par exemple d’empêcher l’approvisionnement de l’UE par du gaz russe n’est pas seulement une manœuvre géopolitique d’empêcher un rapprochement économique avec la Russie en pleine restructuration depuis 2000, mais aussi une manœuvre géosymbolique (voir Dogma printemps/été 2020) visant à ce que ne s’installe pas à nouveau à l’Est un contre-modèle s’opposant à l’idéologie totale du « trans » travaillée par le « sans, cent » derridien patrie, genre, « je fêlé » foucaldo-deleuzien… du déconstructionnisme néo-léniniste désormais cheval de Troie de la Secte SHA en compagnie de l’islam canal historique d’Eurabia.
Il s’agit d’une sorte de « groupe témoin » qu’il faut supprimer coûte que coûte (« éradiquer » tout « virus ») alors que, comble du paradoxe, il pérennise ces valeurs ancestrales occidentales arrivées mondialement à stance, mais que les nouvelles « valeurs » actuellement en vogue dans cette espèce de post-progressisme « trans » veulent dé (cons) truire avec leur universalisme à la fois doux et belliqueux (hard, soft, smart power) semblable à celui qui prévaut encore avec l’islam et promulgué naguère par certains envahisseurs mongols, espagnols, anglo-saxons, puis sur le tard français et germains.
Mais comme cela résiste (les « sanctions » ne se sont pas mondialisées), rien de tel qu’une WW III pour y arriver… Et il y a aussi cette démesure esthétique du devenir artiste façon Blanchot revisitant le mythe d’Orphée (il faut tuer Eurydice) et dépassée par Stockhausen ou comment jouir étant le dernier homme (der letzte Mensch) ?… D’un futur Who’s who intersidéral.
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