La décantation

Par Lucien Samir Oulahbib

La manipulation scientiste-hygiéniste-affairiste actuelle ayant échoué (les dizaines de millions de morts ne sont pas au rendez-vous malgré le refus de remettre les compteurs annuels à zéro et malgré la jungle féroce des manips statistiques), cette forfaiture dévoile bien comment ce carcan fait office de camisole de force étouffant les esprits libres, mais aussi les corps sevrés en drogues mentales et expérimentales diverses ; sans que ceux-ci ne se demandent un seul instant comment se fait-il qu’il soit encore possible d’accepter de se les faire injecter tous les six mois, et pour les autres à chaque instant (drogue médiatique), alors que pour les vaccins « classiques » (réactionnaires ?) il suffisait d’un rappel tous les dix ans ou alors une fois pour toutes ?…

Pourquoi tant d’injections pour un virus « syndémique » au sens de ne toucher que la partie fragilisée de la population par une génétique et un vieillissement donnés et des modes de vie sédentaires peu favorables à dynamiser une immunité naturelle ?

Ne serait-ce pas parce que ce serait cette dernière qui a été désignée commeétant le but de cette manip triptyque (scientiste-hygiéniste-affairiste) ? Ainsi, par « crainte de voir l’immunité diminuer », clame hypocritement la prothèse holographique faisant office de Premier Ministre en France, le piétinement minutieux forcené paranoïaque des libertés fondamentales est désormais acté comme salvateur, impliquant prolongement des inepties et autres incuries.

En fait et plus généralement le hiatus grandissant entre une réalité annihilant toutes les exponentielles — confondant fantasmes statistiques et historicité des épidémies aux courbes fonctionnant toujours en cloche et jamais en hausse infinie — montre bien que nous sommes gouvernés à la fois par des monstres qui sont en même temps des Lilliputiens.

Tempête dans un verre d’eau ?…

Les peuples ont cependant du mal à l’admettre, tant ils ont été en effet hypnotisés durant bientôt deux ans — ce qui laisse des traces — surtout lorsque la perception est affadie, le cerveau embrumé, un QI sans doute réduit à la portion congrue, les consciences ayant perdu leur âme depuis longtemps (soit cette capacité de clairvoyance instantanée), réduites à n’être que des vitrines encore « vivantes », des hublots de viandes trouées, tatouées que les Maîtres/ses S.M viennent dompter quand cela leur chante via les flux électro-symboliques quadrillant la planète Terre.

Nous sommes de nouveau en pleinemétaphysique des fluides, d’aucuns parlant même de « fluidité de genre ». Ainsi une minorité autoproclamée par définition (les M.S.M : Maîtres/ses Sado-Maso des M.M ou médias mainstream), mais ayant l’aval des Puissants globalistes (et leur manip triptyque) vient en effet reconstruire en grand la République de Salò, tant ils sont tous (les Puissants globalistes et leurs Outils M.S.M) désireux de « faire l’Histoire » et non pas seulement la lire au coin du saladier de coke tout en se faisant fourrer par la « diversité » (comme le conseillait déjà Henri Miller dans Tropique du Cancer, sans oublier Edouard Nabe de l’autre côté du courant thélémite, mais tendance Drumont voyant par exemple dans les origines de la Première Guerre mondiale un complot juif). Aussi tentent-ils par tous les moyens de malaxer à distance et dans les alcôves (payées également par l’argent public) nos corps et esprits afin d’assouvir leur désir ultra-narcissique de psychopathes invétérés visant à nous transformer en tains de leur miroir afin de nous demander inlassablement « qui est la plus belle » traquant alors nos « Blanche-Neige » pour leseffacer.

Pour les contrer il nous faut déc(h)anter. Arrêter de les citer, d’en parler, de s’étonner en employant leurs mots. Ce sont, tous, des suppôts néo-léninistes affairistes, Nouvelle Milice en action agissant pour le compte de La Secte Globale.

Et il faut en effet faire respecter les dénivellements du champ de bataille actuel : comme leurs prothèses intellectuelles et manuelles tentent de nous attirer avec des artefacts langagiers, il ne faut surtout pas employer leur vocabulaire, ne pas leur répondre là où elles le désirent, mais par contre les attaquer sans relâche frontalement et en quinconce, sans oublier les pièges à l’ancienne, mais aussi l’artillerie longue distance dont le martèlement incessant devrait à terme déblayer le terrain pour les bombardements lourds à venir prélude à l’assaut : sans pitié (ou alors celle de King Kong).