10/10/2023 (2023-10-10)
[Source : Kla.tv]
Il y a quelques décennies, la Chine était un pays agricole totalement appauvri et en retard au niveau technologique. En l’espace d’une trentaine d’années seulement, elle est en train de devenir une puissance mondiale de premier rang du point de vue économique, technologique et militaire. Pour bien situer cette ascension fulgurante de la République populaire de Chine, il est important d’examiner de plus près sa naissance et son développement. En effet, ce qu’on ne lit pas dans les livres d’histoire officiels ni même dans les médias grand public sur l’histoire de la République populaire de Chine, ce serait que, selon des journalistes d’investigation renommés, elle est indissociable de trois noms : Rothschild, Rockefeller et les Skull & Bones. Suivez-nous maintenant dans un voyage aventureux à travers l’histoire de la Chine, au cours duquel il apparaîtra clairement que la Chine a été délibérément construite comme un instrument du nouvel ordre mondial et qu’elle constitue un avant-goût du système de domination mondiale planifié.
I.) Regard sur ceux qui tirent les ficelles dans l’ombre :
Skull & Bones est une très puissante organisation secrète occulte américaine, fondée à l’instigation de Lord Rothschild et financée par Rockefeller et d’autres banquiers de Wall Street. Selon Alexandra Robbins, une journaliste américaine, Skull & Bones a réussi à infiltrer presque toutes les grandes institutions scientifiques et politiques ainsi que les institutions financières, médiatiques et gouvernementales des États-Unis. Skull & Bones forme également le cercle interne du Council on Foreign Relations (CFR), également initié par Rothschild et financé par Rockefeller. Le CFR est le think tank américain le plus influent du siècle dernier, il a par exemple fourni à lui seul neuf présidents des États-Unis, dont l’actuel président Joe Biden.
Dans ses recherches Alexandra Robbins est arrivée à la conclusion suivante : l’objectif de Skull & Bones, et par conséquent des Rockefeller et des Rothschild, est de construire un nouvel ordre mondial dans lequel les libertés individuelles sont réduites et où tout le pouvoir est concentré dans les mains d’une petite élite.
II.) La naissance de la République populaire de Chine sous Mao Tsé-toung :
Dans le but d’établir un nouvel ordre mondial, Skull & Bones a fondé en Chine, au début du 20e siècle, une série d’écoles et d’hôpitaux qui ont donné naissance à l’actuelle Yale-China Association, connue sous le nom de « Yale-in-China ». Ils ont été financés par Rothschild et, plus tard, par la Fondation Rockefeller. Cette œuvre prétendument caritative poursuivait cependant en arrière-plan des objectifs totalement différents. Jonathan Spence, professeur d’histoire chinoise, a été le premier à découvrir les liens étroits entre Mao et Yale. Enfin, en 1972, le journal Yale Daily News a rapporté ce qui suit à ce sujet : « Yale a aidé de nombreux jeunes hommes dans leur ascension politique vers le pouvoir. Lors de la promotion de 1919, Yale-in-China a aidé, en plus des 1 000 leaders masculins…, un jeune homme du nom de Mao Tsé-toung » et « Sans le soutien de Yale, Mao Tsé-toung ne serait jamais passé de l’inconnu au pouvoir ! »
Lors de ses recherches, le journaliste d’investigation Alexander Schnarf est donc arrivé à la conclusion que de toute évidence Yale-in-China travaillait en secret à l’émergence d’un État communiste.
L’intervention de Skull & Bones dans la guerre civile chinoise (1927-1949), au cours de laquelle le Kuomintang nationaliste et le Parti communiste chinois de Mao Tsé-toung se disputaient la direction politique de la Chine, est également significative de leur influence et de leur approche subtile. Le conflit s’est terminé par la victoire des communistes sur le Kuomintang. Selon le Professeur Antony C. Sutton, chercheur et historien cette victoire a été remportée principalement grâce au fait que le général américain et franc-maçon George C. Marshall a discrètement désarmé les forces armées nationalistes qu’ils soutenaient initialement, en cessant de leur fournir des munitions en 1946. Le supérieur de Marshall était le secrétaire à la guerre Henry L. Stimson, un membre de Skull & Bones !
Les presque 30 années de règne de Mao Tsé-toung qui suivirent se transformèrent en un règne de terreur sans précédent. Avec des campagnes politiques telles que le « Grand Bond en avant » et la « Révolution culturelle », Mao a imposé par la contrainte une transformation de l’économie et de la société chinoises. La « révolution culturelle » avait pour but de détruire les anciennes coutumes, modes de pensée, habitudes, — en fait la culture chinoise et visait surtout les couches les plus âgées et les plus éduquées de la Chine, ce qui a coûté la vie à 2 à 5 millions de personnes. Le « Grand Bond en avant » devait permettre de rattraper le retard sur les pays occidentaux industrialisés et de raccourcir la période de transition vers le communisme. Malgré la grande famine qui en a résulté, Mao a imposé ses objectifs d’une main de fer. Selon Alexander Schnarf, les méthodes de répression pratiquées étaient d’une brutalité sans précédent. Les critiques ont été poursuivis sans relâche et des milliers de personnes ont été systématiquement torturées et assassinées. Même les enfants auraient été tués, broyés et utilisés comme engrais.
L’historien néerlandais Frank Dikötter estime qu’au moins 45 millions de personnes sont mortes rien que pendant la Grande Famine de Chine (1959 à 1961). Selon les estimations des scientifiques, la politique totalitaire et inhumaine de Mao a coûté la vie à 80 millions de personnes au total.
La politique de Mao était simple : quiconque ne respectait pas les règles était assassiné. Cela a conduit à une société dans laquelle toute critique était littéralement muselée. Ce qui restait n’était plus qu’une masse apeurée et soumise.
Le point de vue totalement différent de David Rockefeller est effrayant. Il a qualifié ce contrôle total et cette oppression du peuple « d’expérience sociale » ! Rockefeller a déclaré textuellement : « L’expérience sociale en Chine sous la direction du président Mao est l’une des plus importantes et des plus réussies de l’histoire de l’humanité. » Lorsqu’on connaît les objectifs poursuivis par la fondation Rockefeller en Chine, cette affirmation devient extrêmement pertinente. Selon les journalistes d’investigation Alexander Schnarf et Tilman Knechtel, la fondation considérait la Chine comme un immense laboratoire où l’on étudiait la meilleure façon de contrôler et de gérer une société, afin de pouvoir ensuite reproduire cela dans le monde entier ! Le fait que Rockefeller ait fait l’éloge des crimes de Mao suggère que ce dernier avait manifestement répondu à ses attentes et que cette « expérience sociale » avait été menée à bien à la plus grande satisfaction de Rockefeller.
Comme nous le verrons au point suivant, ce n’était toutefois que la première manœuvre de Rockefeller, Rothschild et consorts.
III.) L’émergence de la Chine comme puissance mondiale
Après Mao, c’est Deng Xiaoping qui a dirigé de facto le destin de la Chine jusqu’en 1997. Il est entré dans l’histoire comme le grand réformateur qui a initié l’ouverture de la Chine et son ascension en tant que puissance économique et mondiale. Mais cela ne s’est pas fait tout seul et n’a pas été un miracle économique. Le coup d’envoi de cette évolution a été la rencontre orchestrée par Henry Kissinger en 1972 entre le président américain Nixon et Mao Tsé-toung. Sous le prétexte que la Chine devait être construite comme un contrepoids à l’URSS, de l’argent et des technologies occidentales ont commencé à affluer vers la Chine, ce qui a marqué le début de son ascension. Or, il faut savoir que Nixon et Kissinger étaient ou sont membres du CFR et que Kissinger est en outre étroitement lié aux Rothschild et aux Rockefeller [www.kla.tv/26153]. Par conséquent, ces derniers ont usé de toute leur influence pour favoriser l’ascension de la Chine tout en y renforçant leur position dominante. En 1982, Rothschild a pris le contrôle de la banque centrale de Chine et donc de sa politique monétaire. La Chase Manhattan Bank de Rockefeller est devenue le représentant officiel de la Banque de Chine aux États-Unis et a ouvert les vannes de l’afflux d’argent vers la Chine. Cet argent a été largement utilisé pour financer des instituts de recherche et de développement, ce qui a entraîné une fuite du savoir-faire occidental vers la Chine. Les groupes qui se sont engagés de cette manière en Chine sont également, pour la plupart, étroitement liés au CFR. Il s’agit des entreprises dites « Fortune 500 », comme par exemple Ford, General Motors, IBM et Microsoft. Parmi elles, 157 se sont installées en Chine, dont 53 y ont même établi leur siège social. Concernant cette évolution, le professeur Antony C. Sutton, scientifique renommé de l’Institut Hoover de l’Université de Stanford, écrivait déjà en 1986 : « Vers l’an 2000, la Chine communiste sera une superpuissance construite avec la technologie et l’expertise américaines » ! — construite par Rothschild, Rockefeller et Skull & Bones !
IV.) La Chine, un outil fiable pour les mondialistes
Comme Rothschild et Rockefeller sont tous deux profondément impliqués dans la franc-maçonnerie, il n’est pas surprenant que cela ait également laissé des traces en Chine. Grâce à des révélations comme celles du franc-maçon italien de haut rang Gioele Magaldi, on sait que Deng Xiaoping a été initié à la franc-maçonnerie et est devenu membre de la super-loge « THREE EYES ». Celle-ci avait été fondée par David Rockefeller, Henry Kissinger et le conseiller à la Sécurité nationale des États-Unis, Zbigniew Brzeziński [www.kla.tv/10603 (en allemand)], et a longtemps été la super-loge la plus puissante et celle qui donnait le ton au niveau mondial. Deng Xiaoping, quant à lui, a initié d’autres hauts responsables du parti communiste chinois à la franc-maçonnerie. Cela a eu pour conséquence que depuis 1980, selon Gioele Magaldi, tous les présidents du parti, y compris l’actuel président de la République chinoise Xi Jinping, sont membres des super-loges qui coordonnent les francs-maçons de haut niveau. Ils poursuivent eux aussi l’établissement d’un « gouvernement mondial unique », ce qui a permis à Rothschild et Rockefeller de s’assurer que la Chine reste un outil fiable pour leurs plans mondialistes.
V.) La Chine : un fer de lance de la globalisation
Mais la Chine n’est pas seulement un outil quelconque, elle est devenue de plus en plus le fer de lance des Rothschild, Rockefeller et Skull & Bones, qui aspirent manifestement à un nouvel ordre mondial de contrôle et de surveillance totaux. En voici quelques exemples :
Avec sa politique de confinement sévère pendant la crise du Covid, la Chine a joué un rôle essentiel dans l’effondrement de l’économie mondiale, générant ainsi des profits colossaux pour quelques super-riches.
Avec la Russie, la Chine est le grand partisan de la mise en place d’un nouveau système financier et monétaire mondial sous le contrôle du FMI.
La Chine est à l’avant-garde mondiale tant pour la suppression de l’argent liquide que pour l’introduction de la monnaie numérique de banque centrale CBDC. Elle est ainsi à la pointe de ce projet mondial, coordonné et financé par la BRI, Banque des règlements internationaux.
Avec son système de crédit social, la Chine est un pionnier et un modèle pour le Great Reset souhaité par Klaus Schwab et le Forum économique mondial (FEM). Ce système est un système de surveillance de masse à l’aide de l’intelligence artificielle et donc le perfectionnement du système de domination forcée mis en place par Mao. Le comportement et la fiabilité de chaque individu, mais aussi des entreprises et des organisations, y sont constamment surveillés et évalués. En récompensant le bon comportement dans l’intérêt des gouvernants et en punissant tout écart de conduite, il impose à chacun de fonctionner à 100 % dans l’intérêt des dirigeants. Le premier système de crédit social en Europe a depuis déjà été introduit à Bologne (en Italie) et la Commission européenne prépare également l’introduction de ce système de contrôle et d’éducation.
Tout indique donc qu’après le succès de leur « expérience sociale » en Chine, Rockefeller, Rothschild et consorts veulent désormais l’étendre au monde entier et poser ainsi les bases d’une dictature mondiale. Lors du Davos d’été 2023 du Forum Économique Mondial, le Premier ministre chinois Li Qiang a également laissé entendre comment cela devrait se faire. Il a souligné que la « sécurité » devait être considérée comme le sujet le plus important dans la hiérarchie des priorités ! Peu avant, Klaus Schwab, le père du Great Reset, avait fait la déclaration suivante, très révélatrice, en faisant l’éloge des « acquis » du Parti communiste chinois devant Li Qiang :
« Nous sommes impatients d’apprendre de votre vision de la Chine et du monde. »
Est-ce un hasard si les gens sont amenés à accepter des interventions de plus en plus profondes de l’État en raison d’une peur systématiquement entretenue par la politique et les médias ?
N’est-ce pas la peur du Covid, du terrorisme, de la menace d’une catastrophe écologique et climatique imminente, etc., qui fait abandonner petit à petit les acquis de notre société démocratique et libérale pour les échanger contre une apparente sécurité ? Est-ce de cette façon qu’on veut maintenant nous faire avaler le système de crédit social carbone prévu par l’UE ?
Il faut stopper les plans de cette petite élite qui, dans l’ombre, dirige sournoisement le destin du monde et qui veut maintenant mettre en place son système de crédit social dans le monde entier ! Aidez-nous et diffusez cette émission. Souhaitez-vous en outre contribuer vous-même, en tant que collaborateur bénévole de Kla.TV, à mettre en lumière une telle injustice ? Alors inscrivez-vous à l’adresse suivante : www.kla.tv/vernetzung.
Sources / Liens :
Le pacte Russie-Chine et la conspiration Marx-Rothschild
www.kla.tv/26499
Les 100 ans d’Henry Kissinger – Stratège mondial et criminel de guerre ?
www.kla.tv/26153
[Source : Ciel Voilé]
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