Rapport d’enquête d’un groupe d’officiers de réserve sur la pandémie de COVID-19 et ses liens avec le SARS-CoV-2 et d’autres facteurs

07/09/2020 (2020-09-07)

[Source : Guy Boulianne]

Un de mes lecteurs m’a transmis un document intitulé : « Rapport d’enquête d’un groupe d’officiers de réserve sur la pandémie de COVID-19 et ses liens avec le SARS-CoV-2 et d’autres facteurs » en date du 13 mai 2020. Je me permet donc de le partager avec vous. Il s’agit d’un document de synthèse pédagogique et d’information à usage interne et à diffusion restreinte.

Association Professionnelle Gendarmerie (logo)

En effet, des cadres de réserve en France ont enquêté pendant 50 jours pour clarifier les problématiques liées à la « pandémie » de 2020. Le Rapport rendu a été interdit de diffusion pour l’instant. Toutefois, devant l’urgence et la gravité des faits, ils ont choisi de le communiquer tout de même à la société civile. Nous avons donc entre les mains la version « grand public » expurgée des références au Groupe et des sigles de l’Unité.

Le groupe d’enquête met en garde contre une désinformation qui semble entourer ce dossier, sur lequel beaucoup d’avis sont divergents — notamment entre les « autorités » et les praticiens de terrain.

Toutefois, les éléments semblant former consensus ont été relevés et synthétisés, afin de constituer une bibliothèque de connaissances de nature à aider le lecteur à renforcer son système immunitaire et son hygiène de vie, face à un virus qui n’a rien d’ordinaire. Une évidence cependant : ce virus, s’il existe, n’a rien de naturel ni d’accidentel.

Le groupe d’enquête a relevé des incohérences qui ont débouché sur la mise en évidence d’une corruption manifeste et d’intentions contraires au bien public, culminant avec des intentions criminelles et génocidaires, et la mise en place d’un état totalitaire, qui sont rapportées dans les conclusions.

Que soit ici remercié le groupe d’enquête, composée de cadres de réserve qui, durant cinquante jours, ont enquêté sans relâche pour y voir plus clair dans la « pandémie de Covid-19 » et ont livré leurs conclusions – toutes recoupées et sourcées -. L’analyse livrée est parfois très éloignées de la thèse officielle. Il a fallu aux enquêteurs faire un choix – à la fois difficile et courageux – entre la servilité d’une posture conventionnelle et sans risques, se bornant au discours officiel, et la loyauté due à des populations civiles touchées au cœur et souvent désinformées par certaines institutions qui se sont avéré inféodées à l’Ordre Marchand. Cette fois encore, les réservistes seront aux côtés de la Nation.

Ligne 01

MISE À JOUR (27 août 2020) : Madame Claire Edwards m’a personnellement écrit : « Cher Guy. Je viens de finir la traduction en anglais du rapport fait par des officiers français. Si vous voulez poster le document sur votre site, je serais reconnaissante. » Vous pouvez donc télécharger ce rapport, traduit en anglais sous le titre « Investigative Report on the Covid-19 pandemic and its relationship tu Sars-Cov-2 and Other Factors ». Claire Edwards, BA Hons, MA, a travaillé pour les Nations Unies en tant que rédactrice et formatrice en écriture interculturelle de 1999 à 2017. Depuis mai 2018, elle collabore avec Arthur Firstenberg pour la publication de l’Appel international pour arrêter la 5G sur Terre et dans l’espace (www.5gspaceappeal.org). Claire a mis en garde le Secrétaire général des Nations Unies contre les dangers de la 5G lors d’une réunion avec le personnel des Nations Unies en mai 2018, appelant à une cessation de son déploiement dans les lieux d’affectation des Nations Unies.


«Le “virus” sur lequel nous avons enquêté ne serait dans les faits qu’une partie d’une vaste opération combinant armes biologiques et armes à radiations, soutenue par une opération d’enfumage et de diversion, orchestrée par une OMS notoirement corrompue ayant contribué à jeter la confusion dans les rangs des soignants, et dont les indications et les recommandations se situent factuellement à l’exact opposé des observations et des préconisations des urgentistes de terrain.»

— Groupe d’enquête (officiers de réserve en France)

Rapport complet disponible ici :

ou sur le blogue :

RAPPORT_D_ENQUETE_mise_a_jour_13_mai.pdf


[Source : Fulford]

Conclusions tirées du rapport
  • Des incohérences évidentes et des lacunes inexplicables invalident la théorie officielle
  • La gestion de la « crise » sanitaire semble n’avoir servi que de prétexte à une mainmise totalitaire généralisée
  • Des machinations totalitaires : intention d’imposer une cryptomonnaie mondiale, un vaccin avec des nanopuces et une puce électronique sous-cutanée
  • Il règne une énorme corruption au sein de l’OMS et ses intentions sont inavouables
  • La 5G est impliquée dans le Covid-19, avec des radiations électromagnétiques d’un potentiel élevé :
  • Le pouvoir pathogène du virus, ou de la bactérie Prevotella qui a causé le choc cytokinique
  • La similarité entre les dégâts pulmonaires observés par tous les médecins urgentistes et les dommages causés par l’usage d’une arme électromagnétique (plus des migraines permanentes, de l’épuisement, des sensations de brûlure dans les poumons et une perte de sensations olfactives et gustatives, également cités comme symptômes du COVID-19)
  • De nombreuses antennes ont été installées en profitant du confinement, sans tenir compte du « principe de précaution », malgré les dangers mis en évidence par ailleurs, en particulier pour entraver des traitements médicaux
  • Le « Covid-19 » est une guerre biologique et électromagnétique soutenue par une énorme opération de faux-semblants destinée à semer la confusion dans les rangs du personnel médical et hospitalier
  • Le « Covid-19 » pourrait servir de préparation à une opération à plus grande échelle combinée à une diversion pour dissimuler des tests à grande échelle d’armes 5G à des fins criminelles qui restent à élucider
  • Des installations 5G, à la fois terrestres et aériennes (les satellites en orbite basse du projet StarLink d’Elon Musk), font évidemment partie de ce projet de « guerre totale »
  • Le Dr. Jeremy K. Raines, un ingénieur qui fait autorité en matière de champs électromagnétiques, rapporte que les signaux sont utilisés par le corps humain pour réguler ses processus, et prévient que des signaux électromagnétiques externes peuvent sérieusement interférer avec ces processus.
  • Aucune enquête n’a été menée sur la réaction de la Terre à l’utilisation massive de technologie 5G malgré le fait qu’il a été établi que les activités industrielles (activités minières, extraction de pétrole ou de gaz naturel, géothermie) peuvent provoquer des séismes
  • Des séismes inhabituels ont eu lieu en France et des municipalités ont été déclarées en état d’urgence

⚠ Les points de vue exprimés dans l’article ne sont pas nécessairement partagés par les (autres) auteurs et contributeurs du site Nouveau Monde.