15/10/2022 (2022-10-15)
LA PUB pour l’injection revient sur les chaînes de télé et de radio !!!
ATTENTION DANGER !
Nous en avions parlé il y a bien longtemps dès 2021 lorsque les données du VAERS avaient rapporté des drames déjà signalés par les femmes enceintes. Mais curieusement la gent féminine soumise a continué, pour trop d’entre elles, à se laisser injecter sous de terribles et scandaleuses pressions, par ce poison terrible, tant pour elles-mêmes que pour leurs bébés.1
Ce 12 octobre 2022 sur Telegram, cette vidéo déjà connue d’un bébé qui doit souffrir… Remarquez son regard noir très éveillé, caractéristique https://t.me/c/1366813323/439694
Déjà début 2021 un rapport du VAERS signalait une tragédie : le nouveau-né d’une mère « entièrement vaccinée » meurt, ayant saigné de la bouche et du nez
Publié par Augustin Hamilton le 14/12/2021 15:17
« “Le médecin a dit qu’après la naissance du patient, il y a eu un cri. Lorsque le cordon ombilical a été coupé pour les soins au nouveau-né, le personnel infirmier a constaté que le patient présentait des symptômes de saignement buccal et nasal, et a immédiatement demandé au pédiatre de l’intuber et de lui donner de l’oxygène(.), son résultat d’examen a montré une coagulation sanguine anormale, une hémorragie pulmonaire [saignement aigu des poumons] et un dysfonctionnement cardiaque”.
Selon le rapport du VAERS (n° 1879991), ce décès est survenu à la suite d’une “exposition transplacentaire” au vaccin ARNm
Le décès du nourrisson est l’un des 52 décès signalés parmi les 30 550 événements indésirables enregistrés par le VAERS pour les enfants de moins de 17 ans au 3 décembre 2021. »
Un rapport du VAERS décrit un bébé de cinq mois qui était allaité et est décédé d’un trouble hémorragique auto-immun rare, le purpura thrombocytopénique thrombotique (PTT), après avoir développé une éruption cutanée le jour suivant la vaccination de sa mère par COVID.2
Et les informations se multiplient avec des chiffres ahurissants depuis bientôt deux ans.
L’info du jour d’octobre 2022 nous vient d’Allemagne :
« Le gynécologue-obstétricien James Thorp3 dit ce qu’il remarque chez ses patientes enceintes. Le nombre de fausses couches s’est multiplié. Il enregistre de nombreux cas d’anomalies fœtales, cardiaques en particulier.
Parfois, les anomalies entraînent un arrêt cardiaque, a expliqué Thorp. Il y a aussi de nombreux problèmes avec le placenta, qui bloquent la croissance du fœtus.
“Nous avons vu une mortalité fœtale, une croissance anormale des organes et bien plus encore”, a poursuivi le gynécologue.
Il est convaincu que de nombreux enfants souffrent de VAIDS (Vaccine Acquired Immunodeficiency Syndrome), à cause du thymus, très grand chez le fœtus (très petit chez un adulte).
Le thymus est nécessaire au premier contact du corps avec un antigène pour déclencher la réaction des cellules T. La protéine Spike du vaccin s’accumule dans le thymus, entre autres, après une vaccination Covid ».
Et les commentaires, nombreux, confirment ce que tous ceux qui veulent bien parler avouent :
« Je suis naturopathe, et que ce soit mon entourage, les clients… je constate aussi pour beaucoup de problèmes lors de grossesses, il y a beaucoup de préma[turés], de soucis médicaux sur les enfants, de malformations plus ou moins importantes, de femmes alitées ou en arrêt très tôt pour divers soucis… malheureusement ce n’est que le début »
par Van MGL
Ou encore par Patricia Chaibriant :
« les bébés qui ont reçu le vaccin sont à classer dans la catégorie “génétiquement modifiés” comme les jumelles chinoises et leur avenir est derrière eux. »4
Dès juin 2022, l’Australie qui fut pourtant un des pires covidistes de la planète avoue :
Notons sur le VAERS à la date du 30 09 2022
162 enfants de moins de 18 ans décédés.
Oui, l’allaitement par une mère vaccinée fait des risques au le bébé et on le sait depuis des mois…
Après la découverte de traces du vaccin COVID-195 dans le lait maternel de femmes ayant récemment accouché, une nouvelle analyse a révélé6 un problème préoccupant7: 648 cas d’effets secondaires et 3 décès signalés chez des nourrissons allaités dont les mères avaient reçu le vaccin COVID-19.
📌 Décès 1 « J’allaitais mon fils à l’époque. J’ai tiré mon lait dans l’heure qui a suivi l’injection. Mon fils de 5 mois a été allaité la nuit suivant la piqûre et a ensuite bu le lait pompé que j’avais obtenu le jour même de la piqûre. 11 jours plus tard, il a été retrouvé sans réaction… »8
📌 Décès 2 « La patiente9 a reçu la deuxième dose de Pfizer… son enfant de 5 mois allaité au sein a développé une éruption cutanée et dans les 24 heures, il était inconsolable, refusait de s’alimenter et avait de la fièvre… Le nourrisson a été hospitalisé mais son état a continué à décliner et il est décédé. »10
📌 Décès 3 « La mère du nourrisson a reçu la deuxième dose de Pfizer… La mère allaite activement le nourrisson. 24 heures après que la mère ait reçu la 2e dose de Pfizer, le nourrisson a présenté une bradycardie importante (baisse du rythme cardiaque), une désaturation (faible taux d’oxygène dans le sang entraînant une coloration bleue du nourrisson)… »11
Des preuves académiques existent, comme l’article du JAMA12 de la présence de l’ARNm du « vaccin » dans le lait maternel
Et en Grande-Bretagne :
Dr #Tenpenny : « …Ces injections endommagent votre cœur, vos ovaires, vos testicules et votre cerveau. Combien de personnes ont des lésions cardiaques et sont asymptomatiques ? 50% des enfants ont une myocardite mais ne présentent aucun signe. Ce n'est qu'une question de temps⤵️ pic.twitter.com/fFwvDrY6Gf
— Céline d’Arc (@pam33771) October 12, 2022
Les données VAERS américaines du 14 décembre 2020 au 1er juillet 2022, pour les enfants âgés de 6 mois à 5 ans, montrent :
- 1 941 événements indésirables,
- dont 64 cas qualifiés de graves et 3 décès signalés.
- 4 rapports de myocardite et de péricardite (inflammation du cœur).
Les CDC utilisent pourtant une définition restreinte de la « myocardite », qui exclut les cas d’arrêts cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux ischémiques et de décès dus à des problèmes cardiaques qui surviennent avant que l’on ait la possibilité de se rendre aux urgences.
- 13 rapports de troubles de la coagulation sanguine.
EN RÉSUMÉ, INJECTER UNE FEMME ENCEINTE FAIT COURIR UN GROS RISQUE À SON BÉBÉ
Ces injections sont d’autant plus injustifiées que compte tenu de leur sexe et de leur âge jeune les femmes enceintes ne risquent pratiquement rien du covid (sauf si elles souffrent de pathologie préexistante lourde mais comme les injections sont incapables de les protéger…).
APPLIQUEZ LE PRINCIPE DE PRÉCAUTION : ABSTENEZ — VOUS !
⚠ Les points de vue exprimés dans l’article ne sont pas nécessairement partagés par les (autres) auteurs et contributeurs du site Nouveau Monde.