Et la grippe aviaire continue de sévir…

29/05/2024 (2024-05-29)

[Source : off-guardian.org]

Par Kit Knightly — 28 mai 2024 (mise à jour le 29 mai pour inclure les nouvelles concernant l’abattage des poulets dans l’Iowa)

L’histoire de la grippe aviaire évolue sans cesse, alors je me suis dit qu’il était temps de faire une mise à jour.
Vous savez… pour vous tenir au courant de la situation des poulets.

En avril dernier, on parlait de la grippe aviaire qui passait des oiseaux au bétail, puis du bétail à l’homme, et de la nécessité d’arrêter de manger de la viande rouge.

[Voir « La grippe aviaire est de retour… alors ne mangez plus de bœuf ! »]

Les choses ont évolué depuis. Le mois de mai a été très chargé pour les observateurs de la grippe aviaire.

Le 9 mai, on apprenait que 70 personnes au Colorado étaient « surveillées » pour la maladie à la suite d’une « exposition potentielle », mais aucun détail sur la nature exacte ou la méthode d’exposition n’a été divulgué.

Le 21 mai, un autre travailleur du secteur de la volaille, cette fois dans le Michigan, est devenu le deuxième cas officiel aux États-Unis.

Une ferme d’élevage d’œufs de l’Iowa va abattre plus de 4 millions de volailles après la détection d’un seul cas. Près de 100 millions d’oiseaux ont été abattus depuis le début de l’épidémie en 2022.

On craint à présent que la grippe aviaire ne se soit propagée à l’approvisionnement alimentaire, après qu’elle a été détectée chez une « vache laitière condamnée ».

Il y a quatre jours, Forbes a fait état d’une « nouvelle étude » affirmant que « boire du lait infecté pourrait propager la maladie ». De son côté NPR avertit que « les tests limités laissent des questions de sécurité sans réponse » en ce qui concerne le lait cru non pasteurisé.

Mais il n’y a pas que les poulets et les vaches qui doivent nous inquiéter.

The Atlantic s’inquiète des porcs, Katherine Wu les qualifiant d’« hôtes de la grippe aviaire dont nous devrions nous préoccuper ».

Aujourd’hui même, le Telegraph a rapporté qu’une « légère évolution » de la souche de grippe H5N1 lui a permis de « s’adapter aux hôtes mammifères ».

Un écologiste a déclaré à phys.org que les infections chez les vaches laitières n’étaient que « la partie émergée de l’iceberg » et que des mammifères étaient infectés dans le monde entier.

La maladie se propage également en dehors de l’Amérique. Le troisième cas humain dans le monde serait celui d’un enfant australien récemment rentré d’un voyage en Inde, tandis que deux fermes de l’État de Victoria ont signalé des cas d’une souche différente.

Naturellement, la Chine suit le mouvement en signalant aujourd’hui son propre décès dû à une troisième souche de grippe aviaire.

Voilà donc le problème qui progresse à un rythme raisonnable. Où en est la solution ?

Un article paru dans MedicalXPress examine les « considérations éthiques » relatives à diverses interventions contre la grippe aviaire.

De nouveaux vaccins — pour les poulets et les humains — sont en cours de développement avec une efficacité comparable à celle de la Covid. Le vaccin pour l’Homme est bien sûr basé sur l’ARNm.

Reuters rapporte que les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Union européenne et le Canada « prennent des mesures pour acquérir ou fabriquer des vaccins contre la grippe aviaire H5N1 ». Certains pays envisagent déjà d’obliger tous les travailleurs des élevages de volailles à se faire vacciner dès que le vaccin sera disponible.

Comme vous pouvez le constater, les choses évoluent très rapidement — presque toutes ces informations datent des trois ou quatre derniers jours.

Dans mon récent article, j’avais prédit que la grippe aviaire serait la principale candidate à la « prochaine pandémie », et il semble bien que ce soit ce vers quoi nous nous dirigeons.

[Voir Grippe aviaire, censure et vaccins en 100 jours : 7 prédictions pour la prochaine pandémie]

La bonne nouvelle, c’est que les cas humains ont fait grimper en flèche la valeur des actions de Moderna et de BioTech.

N’est-ce pas sympathique ?

Bien sûr, ce n’est rien comparé aux richesses qui commenceront à affluer [chez Big Pharma] lorsque les nouveaux vaccins contre la grippe aviaire seront approuvés d’urgence.

[Note de Joseph : tant que l’hypothèse virale n’est pas suffisamment reconnue comme relevant de pseudoscience, les mondialistes pourront nous refaire des « plandémies » à volonté, et la prochaine, voulue par Bill Gates pour 2025, risque en effet d’être prétendument due à la grippe aviaire.]

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Un commentaire

  1. Ils préparent les injections mortelles d’un côté, et la famine régionale puis mondial de l’autre,ces Gargamel de malheur veulent vraiment la mort du plus grand nombre possible.

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