Covid-19 : Le Japon réhabilite le traitement à l’Ivermectine

02/09/2021 (2021-09-02)

[Source : infodujour.fr]

Robert Harneis
Robert Harneis, journaliste

Par Robert Harneis

Jusqu’à présent, elles ont été effrontées dans leur détermination à arrêter le traitement de la Covid avec des médicaments connus, sûrs, efficaces et bon marché, notamment l’hydroxychloroquine et l’Ivermectine. Que cela soit dû ou non au fait que, comme l’a remarqué la députée européenne Michèle Rivasi dans une interview de 2015, « l’industrie pharmaceutique a acheté tout le monde », il n’en reste pas moins que seuls les vaccins feront l’affaire pour Londres et Paris.

Un mépris affiché

En France, les médecins qui estiment qu’il est de leur devoir de prescrire des traitements précoces sont poursuivis. Au Royaume-Uni, ils sont ignorés. Les grands médias sont universellement silencieux sur le sujet, quand ils ne publient pas activement des articles suggérant que ces médicaments, réputés sûrs depuis des décennies, pourraient soudainement avoir des effets secondaires dangereux.

Partout, le mantra officiel est « nous avons besoin de plus de tests et de tests plus fiables ».
Le Premier ministre français, Jean Castex, a même affirmé qu’il ignorait l’existence de ces médicaments, lors d’une audition de la Commission d’enquête sur la pandémie à l’Assemblée nationale le 17 novembre 2020. Lorsque la députée alsacienne Martine Wonner a de nouveau soulevé la question le 9 février, lui et le ministre de la Santé Olivier Véran, l’ont traitée avec un mépris affiché à l’Assemblée nationale, se moquant littéralement d’elle.

En Grande-Bretagne, le Premier ministre Johnson a assuré à la Chambre des Communes le 27 janvier qu’il étudiait l’utilisation de l’Ivermectine. Pour autant que l’on puisse dire, il le fait toujours. S’il y a eu des progrès, c’est grâce au médecin et chercheur Tess Lawrie qui a fait campagne sans relâche pour attirer l’attention sur les nombreux essais ayant donné de bons résultats.

Le cirque médico-politico-médiatique

En France, 1500 médecins menés par le Dr Gérard Maudrux ont présenté un « recours gracieux » – une pétition – au ministre de la Santé, Olivier Véran, lui demandant « sur l’honneur » de déclarer clairement s’il croyait sincèrement que l’Ivermectin était inefficace, comme le prétendait l’ANSM, l’agence française du médicament. Ayant apparemment peur de répondre par l’affirmative, il a refusé de répondre, affirmant bizarrement qu’il n’était pas responsable des décisions de l’ANSM.

En dépit des preuves massives de l’efficacité de ces médicaments, dans les deux pays, le cirque médico-politico-médiatique a pu s’en tirer avec cet obscurcissement, en grande partie parce que les études justificatives provenaient généralement de pays pauvres aux moyens limités et à la réputation médicale modeste. Et ce, malgré les résultats sensationnellement bons obtenus avec l’Ivermectine dans l’État indien de l’Uttar Pradesh, qui compte 220 millions d’habitants.

Le Japon prescrit l’Ivermectine

L’OMS, l’Agence européenne des médicaments et les agences nationales ont refusé de soutenir les traitements, montrant tous les signes de « capture », comme l’appellent les économistes, par l’industrie même qu’ils sont censés réglementer.

Le 13 août, tout a changé. Le Dr Haruo Ozaki, confronté à une recrudescence des infections dans le pays, a donné une conférence de presse au cours de laquelle il a appelé à la généralisation de l’utilisation de l’Ivermectine par les médecins généralistes.

Le Japon est le premier grand pays industrialisé à soutenir l’Ivermectine sans réserve.

En situation de crise

Le Dr Ozaki a déclaré aux journalistes :

« En Afrique, nous avons comparé les pays qui prescrivent l’Ivermectine avec ceux qui n’en prescrivaient pas… Dans les pays qui donnent de l’Ivermectine, le nombre de cas est de 134,4 pour 100 000 et le nombre de décès est de 2,2 pour 100 000. Dans les pays qui n’utilisent pas l’Ivermectine, le nombre de cas est de 950,6 et le nombre de décès est de 29,3. »

Il poursuit :

« Je crois que la différence est claire. Bien sûr, on ne peut pas conclure que l’Ivermectine est efficace uniquement sur la base de ces chiffres mais quand on a tous ces éléments on ne peut pas dire que l’Ivermectine n’est absolument pas efficace, en tout cas pas moi. Nous pouvons faire d’autres études mais nous sommes dans une situation de crise. En ce qui concerne l’utilisation de l’Ivermectine, il est évidemment nécessaire d’obtenir le consentement éclairé des patients et je pense que nous sommes dans une situation où nous pouvons nous permettre de leur donner ce traitement. »

Il a également recommandé son utilisation à titre prophylactique.
Face à l’évidence du Dr Ozaki, il sera désormais très difficile pour les obscurantistes anti-traitements précoces en France ou en Angleterre de continuer à laisser mourir des gens alors que l’existence de médicaments pour les sauver a été clairement démontrée par une source médicale indéniablement réputée.

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