Comment les médias ont perverti nos âmes…

04/06/2021 (2021-06-04)

[Source : zonefr.com]

Eric Montana

Par Eric Montana

.

Pour faire face à la désinformation et à la manipulation de l’opinion publique par les médias mainstream, Mediazone va proposer dans quelques semaines, un tour d’horizon hebdomadaire de l’information traitée par ces organes de propagande, pour permettre aux citoyens trop confiants d’appréhender la réalité médiatique avec un regard neuf.

Nous le ferons en vidéo-streaming sur Rumble et sur VK qui sont les dernières plateformes où la censure ne s’abat pas comme sur Facebook ou Youtube trop impliqués et trop compromis dans l’opération Covid.

Cette opération Covid a permis de prendre conscience que le monde dans lequel on nous fait vivre ou survivre est une matrice viciée où la démocratie n’est qu’une illusion, la classe politique dans son ensemble surtout préoccupée par ses propres intérêts, ses avantages et ses privilèges, les médias censés nous informer sont surtout des outils de manipulation et de conditionnement, la médecine surtout composée de prescripteurs de médicaments plutôt que par de vrais médecins soignants, l’industrie agro-alimentaire prospère grâce aux colorants, aux adjuvants, aux conservateurs et autres produits chimiques faisant de nous des gens en mauvaise santé, l’industrie pharmaceutique nous achève à petits feux, l’Éducation Nationale ne produit plus que des esprits formatés pour devenir de simples outils de production de richesses au profit de l’élite, les loisirs et le divertissement servent surtout à nous dépraver le corps et l’esprit et la boucle est bouclée.

Au fond quand on examine la vie quotidienne d’un être humain dans le monde capitaliste, elle se résume à peu de choses : manger, dormir, travailler quand on a la chance d’avoir un emploi, puis remplir le reste du temps du mieux qu’on peut en allant au restaurant, au concert, en boite, au cinéma ou en week-end à Deauville quand on a un peu de moyens.

Les jours passent, ils se ressemblent tous, ils sont souvent tristes et monotones et pour compenser le vide que l’on ressent à l’intérieur de soi, on utilise l’alcool pour s’enivrer, la fumette pour s’évader ou les tranquillisants pour éviter de regarder la réalité en face… En gros et en résumé, voilà comment on vit sa vie aujourd’hui… On en fait vite le tour…

Et c’est ainsi que beaucoup bossent pour rembourser le crédit sur la maison, la voiture, le frigo, la machine à laver, la télé pensant que c’est dans un semblant de confort matériel qu’on trouve le bonheur. La consommation devient le rite hebdomadaire, les courses dans les grandes surfaces et l’ivresse de s’extasier devant tout ce qu’on ne peut pas s’offrir mais qui devient source de désirs…

La vie passe comme un souffle et on se retrouve à 60 ans en se disant : « Mais qu’ai-je fait de ma vie ? Tout ça pour ça ? »

Et oui, on rêvait d’une autre vie, on rêvait de voyager, on rêvait de découvrir le monde, on rêvait d’apprendre et se cultiver, on rêvait d’entreprendre et de réaliser, on rêvait d’un bonheur idyllique et on ne l’a jamais trouvé. On passe d’une femme ou d’un homme à un autre, espérant qu’on trouvera toujours mieux pour finalement tomber sur toujours pire…

Nous passons à côté de la vraie vie, à côté de l’essentiel sans s’en rendre compte parce que nos cerveaux sont embrumés, pollués par la superficialité, déconnectés de la réalité. Et tous ensemble, nous finissons par fabriquer une société humaine déjantée, violente, pervertie loin, très loin des vraies valeurs de la vie. Nous devenons des bateaux ivres au milieu des tempêtes, incapables de nous diriger car nous n’avons pas de boussole, même plus la boussole spirituelle, celle qui permet de savoir avec précision quand on fait le bien et quand on fait le mal.

Le monde dans lequel on nous fait vivre produit bien plus de gens malheureux qu’heureux. Tout est dévoyé. L’amour devient un objet de consommation courante dont on se lasse pour une raison ou pour une autre, les valeurs qui régnaient au sein de la famille sont remplacées par la mode que nous inflige la télé réalité, chacun pour soi et Dieu pour tous et les vaches seront bien gardées.

Les médias ont une lourde responsabilité dans la dégénérescence de l’humanité. Ils sont le mensonge érigé en vérité, le vice érigé en vertu, la corruption des esprits est banalisée, l’adultère encouragé, la légèreté célébrée, la perversion partagée et nous croyons être des gens civilisés…

Si j’osais, je dirais que la télévision est l’arme la plus sophistiquée du Diable et ses serviteurs, une armée de démons…

Ce décryptage de l’actualité médiatique aura pour objectif de déshabiller cette perversion pour la faire apparaître dans toute sa laideur. Car comme pour un homme ou pour une femme, ce n’est pas l’apparence ou la beauté physique qui définit la qualité d’un être humain, mais la profondeur, la droiture et la noblesse de son âme…

En projetant sur nous sa propre image, la télévision a perverti nos âmes…
Il est temps d’en prendre conscience et de guérir…

image_pdfPDF A4image_printImprimer

⚠ Les points de vue exprimés dans l’article ne sont pas nécessairement partagés par les (autres) auteurs et contributeurs du site Nouveau Monde.

(2 commentaires)

  1. L’homme surtout occidental a perdu le sens de sa nature divine. Les religions ne pouvant ou ne voulant pas s’adapter à notre époque de fin de cycle tout en retrouvant leurs valeurs traditionnelles en portent une lourde responsabilité, en premier l’Eglise de Rome voire l’Islam.
    Lorsque l’homme retrouvera sa nature spirituelle, le véritable sens de l’Amour, lorsqu’il aura réalisé qu’il y a plus grand que son ego, y compris en lui-même, les problèmes actuels trouveront vite leur solution.
    Un choc révélateur sera peut être nécessaire, par exemple une létalité catastrophique annoncée, conséquence à plus ou moins long terme de la « vaccination » intensive subie par des millions de moutayes (contraction de mouton et cobaye).

  2. « Comment les médias ont perverti nos âmes… »
    Et si on prenait le problème par son commencement !
    La question est donc : comment et pourquoi notre « âme » peut-elle être si faible ?
    « Homme de la Terre, en vérité, nul n’est ton ami ni ton ennemi plus que toi-même ! »
    À l’Ecole Pythagoricienne, on enseignait l’unité de la nature féminine, dont le principe de vie ne se divise jamais : c’était le nombre 1. Et la dualité de la nature masculine dont le principe de vie se divise en deux parties : l’une pour être conservée et l’autre pour être donnée à la génération : d’où le nombre 2.
    L’unité féminine était appelée la Monade, parce que la femme est l’être indivisé, d’où le mot individu.
    La dualité masculine était la dyade. En latin, on disait homo duplex pour désigner la contrariété du cœur et de la raison, la duplicité (le double), suprême mystère de l’existence de l’homme.
    Ce grand mystère, c’est la loi des sexes.
    « Je ne pourrais entrer dans la discussion du fameux symbole de Pythagore, un-deux, sans dépasser de beaucoup les bornes que je me suis prescrites, écrit dans une note Antoine Fabre d’Olivet ; qu’il me suffise de dire que, comme il désignait Dieu par 1 et la matière (l’homme) par 2, il exprimait l’Univers par le nombre 12 qui résulte de la réunion des deux autres : un, deux, « en, duo » (« Bi-Un », Bien). C’est le même symbole de Fo-hi, si célèbre parmi les Chinois, exprimé par une ligne entière — 1 (Yang) et une ligne brisée – – 2 (Ying) ».
    C’est là l’origine du système duodécimal qui fut généralisé dans les temps anciens et appliqué à la division de l’année, des heures du jour, des signes du zodiaque, des achats à la douzaine, etc..
    Mais le symbolisme des nombres fut profané, comme tout ce qui était secret, et les hommes instituèrent un autre système en donnant aux chiffres d’autres significations. Ils firent de « 1 » le symbole mâle et de « 0 », qui précède la numération, le symbole féminin. Et alors leur union fut 10, que l’on prit pour base du système décimal, qui remplaça le système duodécimal primitif, quand l’homme prit la direction du monde. Dans ce système, la femme fut représentée par un signe qui signifie rien, et mise après celui qui représente l’homme. Elle fut, dès lors, personne, après avoir été les trois personnes formant la triade sacrée, les Avasthases divines : Mère-Sœur-Fille.
    La suite de la réponse : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/psychologieetloidessexes.html

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *