Ricardo Delgado : « Malgré les preuves, ils continuent de nier. »
Des milliers de personnes, certaines vivant dans la ville de Séville (Espagne) et d’autres en streaming dans le reste du monde, ont pu contempler au microscope le contenu des vaccins, gardés secrets comme n’importe quelle arme de guerre.
Cet événement a eu lieu juste au troisième anniversaire de cette période de dystopie qu’ils ont appelée pandémie, causée par un virus tueur et contagieux qui n’existe pas, pas plus que les vagues épidémiques et les variants. Et oui, à la place, des milliers d’antennes 5G irradient des corps humains innocents, victimes du grand mensonge du système, inoculés avec une substance appelée vaccin qui contient de l’oxyde de graphène réduit, un nanomatériau qui marque l’avenir de l’humanité sur son chemin vers le transhumanisme.