À la fin du mois de juin, des chefs de gouvernement du monde entier se sont réunis à Paris à l’occasion du Sommet pour un nouveau pacte financier mondial. Parmi les participants figuraient le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, la secrétaire au Trésor américain, Janet Yellen, la directrice générale du FMI, Kristalina Georgieva, et le président de la Banque mondiale, Ajay Banga.
L’objectif supposé du sommet était de trouver des solutions financières pour lutter contre la pauvreté tout en réduisant les « émissions qui réchauffent la planète ». Comme pour tous les événements liés au changement climatique, la discussion à Paris s’est inévitablement orientée vers la centralisation internationale du pouvoir et la formation d’un consortium mondial pour résoudre les problèmes que, selon eux, les nations souveraines ne peuvent ou ne veulent pas résoudre.
Les banques centrales et les institutions financières mondiales sont soudain plus préoccupées par la taxation du carbone et le réchauffement climatique que par la stagflation et la détérioration de l’économie. Probablement parce que c’était le but recherché depuis le début.
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