Il faut bannir les traitements médicaux et chirurgicaux de transition chez les mineurs

Par Nicole et Gérard Delépine

Les bloqueurs de puberté ne sont pas anodins et la chirurgie est mutilante et irréversible

Un article de Lucas ROJOUAN, publié le 27 mai dans Ouest France, minimise les risques des bloqueurs de puberté donnés chez les enfants en malaise d’identité sexuelle.

On ne peut pas reprocher à un journaliste politique et sociétal de méconnaître des problèmes médicaux, mais on peut s’étonner des lacunes de son enquête qui ne cite aucun des rapports officiels britannique1, suédois2, finlandais3 4, français5 et des plus de 20 états américains qui ont conduit ces pays à interdire les traitements médicaux chez les mineurs en malaise d’identité sexuelle6, ni les nombreux livres qui étudient en détail ces traitements, références bibliographiques à l’appui7 8.

Il est par exemple stupéfiant qu’il prétende que les « travaux Annelou de Vries font référence sur ces traitements »hormonaux (!) sans qu’il ne s’interroge sur les compétences en hormonothérapie d’une psychiatre et sans qu’il précise qu’il s’agit d’une militante historique affirmée des transformations de genre dont elle vit professionnellement depuis des décennies.

Dans son article, Lucas ROJOUAN paraît victime de sa confiance aveugle en l’Agence France-Presse qui affiche constamment une attitude plus militante qu’objective sur le problème. Notre tribune vise donc à combler les lacunes d’un exposé superficiel, partisan et peu sourcé.

Les bloqueurs de puberté constituent un traitement expérimental de la dysphorie de genre

Les bloqueurs de puberté sont des analogues de l’hormone entraînant la libération de gonadotrophines (GnRH) et visent à suspendre l’apparition et le développement des caractères sexuels secondaires (poitrine, voix, pilosité) relevant du sexe auquel le mineur ne s’identifie pas. Aucun essai randomisé n’a jusqu’ici évalué l’utilité, ni la toxicité des bloqueurs de puberté dans cette indication qui se singularise par sa durée du traitement et sa prescription pour une non-maladie.

C’est pour cette raison qu’ils n’ont pas d’autorisation de mise sur le marché pour traiter les enfants en confusion d’identité sexuelle. Les médecins qui prescrivent ces traitements en dehors de toute autorisation de mise sur le marché engagent leur responsabilité personnelle et s’exposent, en cas de complications, à des plaintes en justice au cours desquelles il leur serait difficile de prétendre avoir convenablement évalué et informé des risques de ce traitement à moyen et long terme.

Johan, suédois traité à l’hôpital Karolinska regrette ses deux années d’hormonothérapie9 :

« On n’aurait jamais dû m’autoriser à faire ça, mon père était très agressif. Beaucoup de violence, de négligence, avec des abus sexuels quand j’étais petit. J’ai réalisé que la dysphorie de genre était une manière de m’échapper d’un corps, qui, je le pensais, m’avait trahi enfant. C’était aussi une forme d’automutilation de faire ça à mon corps, mais c’était inconscient. Le personnel de la clinique savait pour mon enfance… ça aurait dû être un “drapeau rouge”. Parce que maintenant la transition est un traumatisme de plus. Dans mon cas, mes seins ont poussé. Ça ne s’efface pas ».

Keira Bell, Anglaise traitée à la clinique Tavistok, a porté plainte contre l’établissement pour information insuffisante :

« Après une série de conversations superficielles avec des travailleurs sociaux, j’ai été mis sous antipubertaires à 16 ans. Un an plus tard, je recevais des injections de testostérone. À 20 ans, j’ai subi une double mastectomie…En grandissant, j’ai reconnu que la dysphorie de genre était un symptôme de ma misère globale, et non sa cause. Cinq ans après avoir commencé ma transition médicale pour devenir un homme, j’ai entamé le processus de détransition.Les conséquences de ce qui m’est arrivé ont été profondes : une possible infertilité, la perte de mes seins et l’impossibilité d’allaiter, des organes génitaux atrophiés, une voix définitivement altérée, une pilosité faciale… Lorsque j’ai été vu à la clinique de Tavistock, j’avais tellement de problèmes qu’il était réconfortant de penser que je n’en avais qu’un seul à résoudre : j’étais un homme dans un corps de femme. Mais c’était le travail des professionnels de prendre en compte toutes mes comorbidités, pas seulement d’affirmer mon espoir naïf que tout pourrait être résolu avec des hormones et une intervention chirurgicale. »

C’est pour ces motifs que la Finlande10 11, la Grande-Bretagne12 13 et la Suède14 15, pays pionniers de ces traitements, ont, après enquêtes officielles, décidé de les réserver uniquement aux essais médicaux convenablement conçus et suivis. La Norvège est en train de les imiter16 comme le veulent d’ailleurs les sénateurs républicains qui viennent d’adopter, ce mardi 28 mai, un texte de loi visant à encadrer les transitions de genre avant la majorité17.

Les bloqueurs de puberté et les autres traitements ne diminuent pas le risque de suicide18

Le taux considérable de suicides est la principale menace qui pèse sur les personnes transgenres.

En Grande-Bretagne l’étude de Bailey19 portant sur 889 trans révèle une prévalence à vie de 84 % d’idées suicidaires et de 48 % de tentatives de suicide. En Ontario, au cours d’une seule année, 35,1 % des trans ont sérieusement envisagé de se suicider et 11,2 % sont passés à l’acte20. En Thaïlande21, sur 411 LGBT, 39 % des participants à l’enquête ont déclaré avoir eu des idées suicidaires au cours de leur vie, 19,0 % des idées suicidaires au cours des 12 derniers mois et 13,1 % des tentatives de suicide au cours de leur vie. L’étude nord-américaine d’Austin22 indique que 82 % des personnes transgenres ont ressenti des envies de suicide et 40 % ont tenté de se suicider, la tendance suicidaire étant plus élevée chez les jeunes. Le projet Trevor23 étudiant le vécu de près 35 000 LGBTQ Américains âgés de 13 à 24 ans confirme ces taux exorbitants de suicide.

Globalement les transsexuels souffrent d’une tendance suicidaire 4 à 6 fois24 25 26 plus élevée que les autres minorités sexuelles (homosexuels, lesbiennes et bisexuels) et 10 à 20 fois plus forte que les hétérosexuels. Environ deux tiers des suicides observés se produisent chez des personnes encore sous traitement actif (phase diagnostique, hormonale ou chirurgicale)27 qui paraissent donc incapables de les prévenir.

Le lobby trans genre affirme que le stress de minorité et les discriminations dont souffrent les trans en seraient les causes, mais un tel taux de suicide ne s’observe heureusement pas chez les autres minorités sexuelles (gays, lesbiennes, bi), tout autant soumis au stress de minorité et discriminées.

Les avocats des traitements médicaux prétendent qu’ils permettraient de diminuer le risque de suicide des adolescents en crise d’identité sexuelle, mais les séries publiées n’en apportent aucune preuve28 et certaines affirment le contraire29 . Jay Greene, comparant les taux de suicide selon la politique des différents états américains30 conclut ainsi :

« Abaisser les barrières juridiques pour permettre aux mineurs de subir plus facilement des interventions médicales transsexuelles sans le consentement de leurs parents ne réduit pas les taux de suicide. En fait, cela conduit probablement à des taux de suicide plus élevés chez les jeunes dans les États qui adoptent ces changements. »

Une étude suédoise du Karolinska31 et une étude américaine32 rappellent qu’après changement chirurgical de sexe, les personnes transsexuelles présentent des risques de mortalité, de comportement suicidaire et de morbidité psychiatrique considérablement plus élevés que la population générale. Elles démontrent que le changement de sexe, bien qu’il atténue souvent le ressenti de la dysphorie de genre, ne suffit pas à la traiter et que des soins psychiatriques et somatiques sont indispensables.

S’affirmer trans et subir des traitements de changement de sexe mène au suicide dans 40 % des cas !

Les bloqueurs de puberté exposent à des complications

Les médecins qui prescrivent des traitements hormonaux pour transsexualisme publient très rarement leurs résultats médicaux, ce qui rend difficile l’évaluation objective des effets secondaires. Quatre cliniques américaines, pratiquant les transitions de genre, qui avaient reçu 7 millions de dollars en 2015 pour examiner les effets des bloqueurs et des traitements hormonaux sur les jeunes transgenres, affirmaient en 2022 que les résultats seraient bientôt disponibles. Mais en 2024 on les attend toujours ! Heureusement quelques rares publications lèvent le voile.

Les bloqueurs de puberté diminuent les niveaux d’hormone lutéinisante et d’hormone folliculostimulante, abaissant ainsi les niveaux de testostérone jusqu’à la castration. Ces modifications hormonales exposent à des événements indésirables, notamment des troubles cardiovasculaires, une déminéralisation33 34 35 des fractures osseuses36, un dysfonctionnement métabolique37 prédisposant au diabète38 et une altération de la fonction cognitive, car la puberté représente une période développementale pendant laquelle ont lieu d’importants changements au niveau de la réactivité émotionnelle, la motivation, l’apparence physique, les processus psychologiques et les interactions sociales39.

Les avocats des bloqueurs de puberté prétendent que leur action serait totalement réversible et ne menacerait pas la fertilité future de ceux qui en prennent. Mais cette affirmation, très incertaine, est entre autres, contredite par une étude de la Mayo Clinic, publiée fin mars 202440, constatant que les bloqueurs de puberté peuvent provoquer des problèmes de fertilité « irréversibles » chez les garçons qui avaient pris des bloqueurs de puberté pendant une période allant de 3 à 52 mois. D’ailleurs la majorité des auteurs qui ont étudié le problème conseillent l’utilisation de techniques de préservation de la fertilité41 42 43 44.

Une enquête menée au Portugal chez des personnes transgenres, qui suivaient ou avaient suivi une thérapie hormonale pendant au moins une année ininterrompue, a révélé que 89 % d’entre elles ont eu des effets secondaires. Tous sexes confondus, plus de la moitié se plaint des troubles émotionnels et 10 % éprouvent des maux de tête récurrents. 66 % des hommes en voie de féminisation auraient une perte de libido, 15 % éprouvent des nausées, et 15 % sont en proie à des démangeaisons (exanthème). Chez les femmes qui se masculinisent 52,9 % souffrent d’acné, 38 % de perte de cheveux et 25 % de douleurs pelviennes. Les traitements hormonaux combinés (estrogène and cyprotérone acétate) visant à féminiser les hommes sont suivis par une multiplication par 45 des thrombophlébites, hyperprolactinémie (*400-fois)45, poussées dépressives (15 fois), et une élévation des enzymes hépatiques46. Les androgènes donnés pour masculiniser les femmes de naissances sont associés avec une prise de poids de plus de 17,2 % et d’acné (12,3 %).

Comme tout traitement actif, les bloqueurs de puberté exposent à des complications. Ils doivent pour cette raison n’être administrés que par des équipes médicales non partisanes qui suivent soigneusement leurs patients et publient leurs résultats à moyen et long terme.

Vouloir protéger les mineurs n’est pas transphobe !

La transphobie est l’expression d’une hostilité à l’égard des transsexuels et peut se manifester par des violences physiques, verbales et des comportements discriminatoires. Depuis que la transphobie a été déclarée délictueuse, toute expression d’une opinion qui déplaît aux extrémistes trans est qualifiée par eux de transphobe pour empêcher tout débat démocratique.

Mais critiquer l’idéologie trans, sa propagande permanente dans les médias, le comportement quasi sectaire de certains extrémistes qui conseillent aux adolescents de couper les relations avec leur famille, ou vouloir protéger les mineurs des risques des traitements qu’elle prône, n’est pas transphobe. Les mineurs en questionnement d’identité sexuelle ne doivent devenir les victimes de propagandistes extrémistes, de médecins, de chirurgiens et de laboratoires pharmaceutiques qui profitent de leur mal être.

Anaïs Perrin-Prevelle, coprésidente de l’association OUTrans, est très représentative de l’outrance habituelle de leurs propos. Elle qualifie le projet de loi des républicains de « texte criminel » que les traitements médicaux, incapables de diminuer le risque de suicide des trans exposent à des complications diverses.

Elle prétend de plus que « cette loi ferait de la France le pire pays d’Europe en termes de législation sur le sujet, au niveau des États américains les plus restrictifs » alors que le projet de loi ne ferait qu’aligner la législation française sur l’évolution de celles des pays nordiques et de la Grande-Bretagne et reste infiniment plus permissive que celles de nombreux états américains (Alabama, Arkansas, Florida, Georgia, Iowa, Kentucky, Mississippi, Oklahoma, South Dakota, Tennessee, Texas, Utah…) dont certains érigent en crime le fait pour un médecin d’administrer des traitements médicaux pour transformation sexuelle à des mineurs47.

Le projet de loi qui se discute actuellement veut simplement protéger les mineurs d’une idéologie qui les entraîne vers une communauté au comportement quasi sectaire, qui encourage à prendre des traitements expérimentaux, à sacrifier leur fertilité et à subir des mutilations sexuelles aboutissant aux tentatives de suicide de 40 % de ses membres.

Les bloqueurs de puberté et les traitements hormonaux pour les adolescents en malaise d’identité sexuelle sont expérimentaux. Ils devraient par conséquent être délivrés uniquement lors d’essais médicamenteux qui permettraient d’évaluer objectivement leur éventuelle utilité et leurs complications permettant de définir leurs indications. Mais serait-ce bien éthique ?





Une vie au service des patients

[Source : JSF – TV]

La santé ça s’apprend.
Une émission du Dr Tal Schaller.
Invitée : Dr Nicole Delépine, pédiatre, oncologue, ancien chef de service de cancérologie pédiatrique à l’assistance publique-hôpitaux de Paris.

Médecin hospitalier à temps plein, elle s’est battue, depuis plus de 30 ans avec son équipe, pour améliorer les prises en charge des malades atteints de cancer en privilégiant la médecine individualisée, c’est-à-dire en tenant compte à chaque moment du traitement de la réponse de la tumeur mais aussi de la réaction de l’organisme aux drogues avec adaptation de posologie en temps réel des chimiothérapies.

La fermeture brutale de son unité en août 2014 par des procédés policiers et coercitifs racontés dans son dernier livre, et au mépris de l’accord contractuel entre l’assistance publique et le ministère signé en 2004 et jamais remis en cause est le prélude symbolique à la destruction du système de santé. Elle continue par des conférences et contributions écrites à mobiliser pour la liberté de soigner et d’être soigné.

Elle est l’auteur d’une centaine d’articles originaux et a présenté de nombreuses communications dans les congrès internationaux. Les résultats de ses travaux ont été confirmés à l’étranger et inspirent des protocoles thérapeutiques internationaux.






Dysphorie de genre & transmania : aspects médicaux/sociétaux

[Source : Tribune Libre]

Pour Tribune Libre, le 16 mai 2024, Stéphanie Reynaud s’entretient avec le Docteur Nicole Delépine, pédiatre, oncologue et ancienne cheffe du service d’oncologie pédiatrique de l’hôpital de Garches : elle décrit tous les aspects médicaux et sociétaux de la dysphorie (ou angoisse) de genre et du passage à l’acte qu’est le changement de genre. Elle met en garde face aux conséquences irréversibles de cette transition de genre qui passe par des opérations très lourdes, des traitements médicaux à vie, le phénomène d’isolement social, de malaise post-transition, les risques vitaux liés tels qu’une mortalité accrue ou un taux de suicide élevé.

⮕ Pour consulter le site officiel du Docteur Nicole Delépine :
https://www.nicoledelepine.fr/bibliographie-nicoledelepine.php

⮕ Pour commander le livre « Dysphorie de genre » du Docteur Nicole Delépine chez Fauves Éditions :
https://www.fauves-editions.fr/livre-dysphorie_de_genre_nicole_delepine_gerard_delepine-9791030205008-78359.html




Le combat est efficace : la censure des médecins donneurs d’alerte est retoquée (discrètement !) en passant du fameux article 4 à l’article 12

Par les Drs Nicole et Gérard Delépine

Les seuls combats perdus d’avance sont ceux qu’on ne livre pas !

La loi Darmanin sur les dérives sectaires voulait criminaliser tout discours critiquant le discours officiel sur les maladies et les mesures et traitements prônés par le gouvernement afin de pouvoir nous imposer plus facilement des mesures supprimant nos libertés ou des traitements peu efficaces sous prétexte sanitaire.

L’article 4 prévoyait ainsi :

« Est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende la provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique »… « Lorsque la provocation prévue aux deux premiers alinéas a été suivie d’effets, les peines sont portées à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende. »

Devant les risques d’atteinte à la liberté d’expression évoqués par le Conseil d’État, les sénateurs ont fortement amendé la première version du texte1 que les députés de la majorité ont rétabli immédiatement par un vote obtenu dans des conditions discutables. Heureusement les pétitions et innombrables lettres adressées aux élus ont finalement convaincu ceux-ci de la nécessité de préserver la liberté scientifique et les médecins et chercheurs donneurs d’alerte, et de réécrire le texte en un article devenu « 12 ».

Cette victoire montre une fois de plus que le combat paie ainsi que l’expose l’analyse de juristes 2 transcrite ci-dessous dans son intégralité.

« Bref commentaire de l’ex-article 4 devenu article 12 relatif au délit de provocation à l’abandon/abstention de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique présenté comme bénéfique pour la santé en l’état des connaissances médicales ».

L’article 12, désormais en vigueur dans la loi n° 2024-420 du 10 mai 2024 visant à renforcer la lutte contre les dérives sectaires et à améliorer l’accompagnement des victimes, qui aurait pu être réprimé avec les dispositions existantes du Code pénal, vient donc créer un nouveau délit, plus précis, et spécifique aux dérives sectaires.

Initialement, le projet de la majorité et de la secrétaire d’État à la citoyenneté et à la Ville, Sabrina Agresti-Roubache, était d’amalgamer le complotisme (très largement entendu jusqu’à l’esprit critique) aux dérives sectaires et de le réprimer de la même façon, profitant de la difficulté de délimiter la frontière entre la mise en danger d’une personne par un gourou et la liberté d’expression d’un thérapeute. Les dérives sectaires constituaient un prétexte habile pour créer, dans une optique de contrôle de la parole, un délit nouveau à même de faire condamner toute forme d’expression qui serait sortie ou qui serait allée à l’encontre du narratif scientifique officiel dans l’optique d’une future pandémie. Ainsi, sous prétexte de protection des citoyens, on risquait d’attenter aux libertés.

Il faut dire que la rédaction initiale de ce nouveau délit était très maladroite, notamment avec sa formule « en l’état des connaissances médicales » qui a fait couler beaucoup d’encre. En effet, ce n’est pas au juge de déterminer « l’état de la science » en matière de médecine, ni au législateur de permettre au gouvernement et au juge de déterminer un standard scientifique, encore moins de fixer la science, qui est évolutive par définition et peut soulever de vives controverses selon les sujets. Si cet « état de la science » était choquant dans la version initiale au regard de la liberté d’opinion et d’expression, il devient — à défaut de le supprimer — plus logique et cohérent dans la version finale promulguée, puisque cet « état de la science » tel qu’il est fixé à un moment donné d’appréciation d’une emprise sectaire effective, permet justement au droit de qualifier et de venir saisir cette emprise.

En toute hypothèse, il est toujours dangereux de déléguer au scientifique la responsabilité de déterminer une partie de l’état du droit et d’imposer au juge de faire de la science ou de s’improviser médecin. Ce texte revêtait un aspect fortement téléologique et poursuivait un objectif dissimulé. Le Conseil d’État avait rendu un avis frileux sur le projet et avait proposé de supprimer ce délit. Les parlementaires ont donc bien senti la manœuvre maligne du gouvernement — tant sur le fond que sur la forme — et la séparation des pouvoirs a joué son rôle — ce dont il faut se féliciter en l’espèce — pour « retirer le venin initial de la loi ».

Rappelons qu’après que la commission des lois du Sénat l’eut supprimé, cet article 4 a été rétabli en commission à l’Assemblée qui l’a rejeté en séance à 8 voix près. Il a été ensuite réintroduit et voté in extremis dans le cadre de la demande d’une nouvelle délibération nocturne. La Commission mixte paritaire n’ayant pu mettre d’accord les chambres, le gouvernement a finalement donné le dernier mot à l’Assemblée qui avait voté l’article, en vertu de l’article 45, alinéa 4 de la Constitution.

Nous sommes donc partis d’une loi utilisant le prétexte d’un nouveau délit sectaire pour réprimer tout lanceur d’alerte en matière scientifique et médicale, à une loi ramenée par le législateur, à son objectif initial : empêcher les dérives sectaires — et elles seules. Le travail législatif a donc permis de venir « verrouiller » une disposition particulièrement équivoque en la limitant à l’objet spécifique du texte qui lui servait de support. Le législateur a donc cantonné les dispositions proposées aux seules et strictes emprises de nature sectaire réelles, en venant tout simplement préciser l’article 4 initial — devenu article 12 — de quelques amendements. Et c’est cette précision qui a permis de rendre ce texte moins dangereux pour les libertés fondamentales (garanties par la Constitution), notamment la liberté d’expression, liberté d’opinion et de communication, au droit au respect de la vie privée et à l’indépendance des enseignants-chercheurs.

En effet, pour retirer le venin initial du texte, paradoxalement rien n’en a vraiment été retiré. Au contraire, le législateur est surtout venu ajouter des dispositions. Trois ajouts légistiques ont permis d’annihiler la finalité première de ce texte : D’abord, le texte initial ne précisait pas comment pouvaient se caractériser la « provocation » à l’abstention/abandon de suivre un traitement médical. Qu’à cela ne tienne, le législateur est venu apporter ces précisions nécessaires à un délit grave afin que les autorités administratives puis le juge soient mieux guidés dans sa mise en œuvre répressive — et surtout, que ce délit ne soit pas suffisamment flou pour donner à un gouvernement un jour le prétexte abusif de poursuites vexatoires à l’encontre d’un potentiel lanceur d’alerte ou même d’une personne qui aurait pu constater ou critiquer un peu trop vite au goût de cet exécutif, les effets néfastes d’un médicament… Mais surtout, ces ajouts ont levé l’épée de Damoclès que la formule « en l’état des connaissances médicales » avait suspendue sur le travail des médecins-cliniciens/chercheurs en médecine (puisque l’emploi du terme « médical » montre que ce délit ne visait pas l’intégralité des scientifiques, mais uniquement ceux ayant un lien au monde médical, révélant ainsi, au prétexte de lutter contre les dérives sectaires, le besoin du gouvernement de contrôler totalement ce secteur, déjà fortement administré). Rassurons donc les chercheurs du domaine médical et clinicien : en l’état actuel du droit, un médecin-clinicien/chercheur qui publie ses résultats ou analyses scientifiquement démontrés et/ou qui commente scientifiquement une étude publiée, dans un sens ou dans un autre, ne pourra en aucun cas constituer une « provocation » à l’abandon/abstention d’un soin ou d’un traitement.

Nous allons ici expliquer précisément pourquoi. L’honneur est sauf, le bon sens aussi : nos scientifiques gardent donc, fort heureusement, leur liberté d’expression et les médecins cliniciens et chercheurs dans le domaine médical ne constituent pas une sous-catégorie de citoyens, que ce délit serait venu amputer de leur liberté d’expression par rapport à l’ensemble des autres chercheurs — et constituant par la même une discrimination inacceptable dans le domaine de la recherche scientifique. Il faut donc se féliciter de la précision apportée par les parlementaires pour verrouiller l’article, car on se demande comment la version initiale aurait pu passer le contrôle du Conseil constitutionnel avec une telle rupture d’égalité au regard du principe de l’indépendance des enseignants-chercheurs.

Désormais, il faudra donc réunir trois éléments constitutifs cumulatifs pour commettre l’infraction :

1. Elle s’appliquera uniquement sur une personne atteinte d’une pathologie. Il faudra établir une pathologie initiale et déterminer précisément cette pathologie.

2. Il faudra des « pressions » ou des « manœuvres » ;

3. Mais surtout, il faudra que ces pressions ou ces manœuvres soient « réitérées », autrement dit, répétées. Une simple demande ou une intervention unique ne suffira donc pas à qualifier le délit. Ce qui signifie que le fait d’exprimer ses doutes dans un livre ou dans un article de presse sur un traitement ou une mesure d’ordre prophylactique décidée par un gouvernement ne rentrera pas dans la caractérisation de ce délit : en effet, il n’y a pas de manœuvres, ni de pressions sur une personne, encore moins réitérées. Pour des raisons de sécurité juridique au regard du risque pénal qui peut devenir fort en certaines périodes « troubles », nous recommandons néanmoins de mentionner lors de l’expression de ses doutes, que de tels doutent n’engagent personne et que le point de vue est personnel, ce qui permettra d’exclure tout élément intentionnel de la pression ou manœuvre.

Ensuite, le législateur est venu ajouter une nouvelle précision relative à cette « provocation » à l’abandon/abstention d’un traitement : si les circonstances de la commission « permettent d’établir la volonté libre et éclairée de la personne, eu égard notamment à la délivrance d’une information claire et complète quant aux conséquences pour la santé », alors, le délit n’est plus constitué. On voit là la recherche de précision du législateur : l’expression claire du consentement libre et éclairé exclut par définition toute emprise. Il démontre une volonté, une intention excluant toute entreprise de domination ou de soumission psychologique. Et la meilleure façon de démontrer que l’on n’est pas dans un schéma d’emprise de type sectaire — et donc d’écarter l’application de ce délit — consiste donc en une démarche de transparence totale, à savoir une « information claire et complète quant aux conséquences pour la santé ». En effet, les manœuvres d’emprises, notamment sectaires, s’appuient souvent sur une information parcellaire, lacunaire ou précaire, voire carrément fausse. Une telle précision est ainsi à saluer en ce qu’elle se focalise sur une lutte efficace et réelle contre toute forme de dérive sectaire, plutôt que de permettre de restreindre les libertés fondamentales des personnes qui exerceraient leur libre esprit critique en toute bonne foi.

Ainsi, le simple conseil bienveillant et de bonne foi à un proche ne peut plus relever de ce texte, car l’élément intentionnel visant à tromper ou dissimuler doit être rapporté pour caractériser le délit. Plus encore, le législateur ne manque pas de venir rappeler que toutes formes de sujétions psychologiques ou physiques qui seraient établies ne manqueraient pas d’opérer résurgence des dispositions du texte. Ces sujétions sont définies plus loin dans le Code pénal comme des « pressions graves ou réitérées ou de techniques propres à altérer son jugement et ayant pour effet de causer une altération grave de sa santé physique ou mentale ou de conduire cette personne à un acte ou à une abstention qui lui sont gravement préjudiciables ». Le législateur a donc eu à cœur de mettre le texte à promulguer en cohérence avec le reste du Code pénal. Ici encore, il faut saluer cette recherche de mise en cohérence, d’ordre, de logique et d’intelligibilité générale de notre système juridique. La première rédaction, dans son but initial, aurait finalement pu conduire à de nombreuses incompréhensions et incertitudes, aux limites de la mise en cause du principe de sûreté — à savoir le droit de ne pas être arrêté arbitrairement (art. 7 DDHC) pour toutes sortes d’expressions légitimes au regard d’une doxa gouvernementale soudainement établie ou d’un état de la science parfois arbitrairement déterminé.

Enfin, afin d’être sûr de retirer tout le venin de la disposition et qu’elle ne puisse jamais servir aux fins initiales pour lesquelles elle était prévue, le législateur est venu empêcher son application aux lanceurs d’alertes. Bien entendu, il s’agit de l’hypothèse du lanceur d’alerte tel que défini et reconnu par la loi dite « Sapin 2 » relative à la transparence, la lutte contre la corruption et la modernisation de la vie économique du 9 décembre 2016, dans les articles 6 à 16 de son Chapitre II qui a, pour la première fois en France, introduit un statut du lanceur d’alerte et des dispositions relatives à sa protection. La définition du lanceur d’alerte (art. 6) devient dès lors fondamentale pour comprendre la limite du délit de provocation à l’abandon/abstention d’un traitement. Au sens de la loi Sapin 2, un lanceur d’alerte est « une personne physique qui révèle ou signale, de manière désintéressée et de bonne foi, un crime ou un délit, une violation grave et manifeste d’un engagement international régulièrement ratifié ou approuvé par la France, d’un acte unilatéral d’une organisation internationale pris sur le fondement d’un tel engagement, de la loi ou du règlement, ou une menace ou un préjudice graves pour l’intérêt général, dont elle a eu personnellement connaissance ».

Le lanceur d’alerte, ainsi exclu de ce nouveau délit, se définit donc par trois critères cumulatifs : 1. Il signale, au regard de ses connaissances, une atteinte grave à la loi ou au droit international ou un préjudice grave à l’intérêt général ; 2. Il opère ce signalement de façon désintéressée ET de bonne foi ; 3. Cette révélation ou ce signalement n’est pas couvert par le secret de la défense nationale, le secret médical ou le secret professionnel entre l’avocat et son client. Ainsi, dès lors que ces trois critères sont réunis, il ne peut plus y avoir de provocation à l’abandon/abstention d’un traitement. * * * L’on voit bien que la version finale permet de préserver l’État de droit avec le respect de nos libertés les plus fondamentales, mais aussi la cohérence de notre ordre public. Les précisions légistiques ou de rédaction apportées par la phase parlementaire de l’itinéraire législatif, ont permis d’éviter de tomber dans un arbitraire particulièrement préjudiciable au rôle du juge, mais aussi — et surtout — au rôle du scientifique dans la société.

La remise en cohérence de ce texte permet de montrer le rôle protecteur de l’État de droit face à tout risque d’arbitraire, mais aussi l’importance de la séparation des pouvoirs (article 16 DDHC) et du rôle parlementaire lorsqu’il apparaît que l’exécutif se trompe ou pire, que sa vision de l’intérêt général puisse ne pas toujours être motivé par les objectifs les plus louables au regard de la préservation des libertés. La Constitution a donc joué son rôle définitoire de garde-fou des décisions liberticides des gouvernants dans l’intérêt des gouvernés et a permis aux universités et à la recherche de conserver leur indépendance et la liberté inhérente à toute forme de progrès.

G. H., Professeur de droit public à l’université, J.-L. D., Juriste, Me J. — P. JOSEPH, Avocat.

Continuons la lutte pour le respect de nos libertés fondamentales si durement conquises par nos ancêtres. Vivons dans le respect de leur mémoire et pour l’avenir de nos enfants. Vivons comme le rappelait si élégamment Victor HUGO en 1853 dans Les Châtiments3 :

Ceux qui vivent ce sont ceux qui luttent
Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent ; ce sont
Ceux dont un dessein ferme emplit l’âme et le front,
Ceux qui d’un haut destin gravissent l’âpre cime,
Ceux qui marchent pensifs, épris d’un but sublime,
Ayant devant les yeux sans cesse, nuit et jour,
Ou quelque saint labeur ou quelque grand amour.
C’est le prophète saint prosterné devant l’arche,
C’est le travailleur, pâtre, ouvrier, patriarche,
Ceux dont le cœur est bon, ceux dont les jours sont pleins.
Ceux-là vivent, Seigneur ! les autres, je les plains.
Car de son vague ennui le néant les enivre,
Car le plus lourd fardeau, c’est d’exister sans vivre.
Inutiles, épars, ils traînent ici-bas
Le sombre accablement d’être en ne pensant pas.
Ils s’appellent vulgus, plebs, la tourbe, la foule.
Ils sont ce qui murmure, applaudit, siffle, coule,
Bat des mains, foule aux pieds, bâille, dit oui, dit non,
N’a jamais de figure et n’a jamais de nom ;
Troupeau qui va, revient, juge, absout, délibère,
Détruit, prêt à Marat comme prêt à Tibère,
Foule triste, joyeuse, habits dorés, bras nus,
Pêle-mêle, et poussée aux gouffres inconnus.
Ils sont les passants froids sans but, sans nœud, sans âge ;
Le bas du genre humain qui s’écroule en nuage ;
Ceux qu’on ne connaît pas, ceux qu’on ne compte pas,
Ceux qui perdent les mots, les volontés, les pas.
L’ombre obscure autour d’eux se prolonge et recule
Ils n’ont du plein midi qu’un lointain crépuscule,
Car, jetant au hasard les cris, les voix, le bruit,
Ils errent près du bord sinistre de la nuit.
Quoi ! ne point aimer ! suivre une morne carrière
Sans un songe en avant, sans un deuil en arrière,
Quoi ! marcher devant soi sans savoir où l’on va,
Rire de Jupiter sans croire à Jéhovah,
Regarder sans respect l’astre, la fleur, la femme,
Toujours vouloir le corps, ne jamais chercher l’âme,
Pour de vains résultats faire de vains efforts,
N’attendre rien d’en haut ! ciel ! oublier les morts !
Oh non, je ne suis point de ceux-là ! grands, prospères,
Fiers, puissants, ou cachés dans d’immondes repaires,
Je les fuis, et je crains leurs sentiers détestés
Et j’aimerais mieux être, ô fourmis des cités,
Tourbe, foule, hommes faux, cœurs morts, races déchues,
Un arbre dans les bois qu’une âme en vos cohues !





Transgenrisme : les journalistes intègres sur la présentation des chiffres et les enjeux sociétaux de cette démarche ?

[Publication initiale : francesoir.fr]

Par Nicole Delépine

Dans deux articles successifs, le journal le Monde semble oublier les valeurs journalistiques qui ont jadis fait sa notoriété et se transformer en propagandiste trans, ignorant les faits avérés et les risques sociétaux constatés d’une telle propagande.

Ce petit article tient à rétablir la réalité des faits pour informer et aider ceux qui souffrent de dystrophie de genre, qui ne sont que de malheureuses victimes de ceux qui vivent à leurs dépens : laboratoires pharmaceutiques, médecins qui leur prescrivent à vie des hormones toxiques, chirurgiens qui les opèrent, et influenceurs responsables d’une emprise de type sectaire. Un véritable consentement éclairé est nécessaire à ces traitements invasifs et mutilants et ne semble pas être fourni dans la majorité des cas.1 2 C’est sur ces points que nous tentons d’informer les familles et candidats potentiels comme médecin et chirurgien dans notre petit livre « dysphorie de genre ».

En France, les trans genres constituent une infime minorité. L’ignorer c’est mentir

Dans un article intitulé pompeusement « Mineurs transgenres et hormonothérapie : ce que dit la science » publié le 29 mars 2024, il est écrit :

« En France, il n’existe aucune donnée sur le nombre de jeunes concernés par la transidentité ».

Pourtant, on ne peut ignorer les chiffres officiels du rapport gouvernemental sur le sujet et ceux de l’assurance maladie qui publie le nombre de demandes de prise en charge pour ALD dystrophie de genre (ALD 31) et celui des interventions de chirurgie trans ? Manque de curiosité ou d’efficacité dans les recherches ? Volonté de ne pas savoir ou désinformation volontaire ?

Les traitements d’affirmation de genre sont coûteux et l’obtention de sa prise en charge à 100 % par l’Assurance Maladie nécessite une demande. La demande de prise en charge des traitements constitue donc la première démarche que font tous ceux qui désirent les subir.

Selon la Caisse Nationale d’Assurance Maladie il y a eu 3 000 demandes de prise en charge pour ALD « dystrophie de genre » en 20213, et 462 demandes de prise en charge chirurgicale en 2020 pour un nombre global de trans déclarés en France de 9 000.

L’incidence annuelle de la trans-identité déclarée, tous âges confondus, est donc de 0,004 5 % en France (3 000/67 millions) et sa prévalence de 0,01 % dont une très petite minorité concerne les jeunes. Alors pourquoi la journaliste du Monde prétend qu’on ne dispose pas de données officielles en France et cite-t-elle la prévalence des transgenres au Canada (1 %) ou aux USA (0,5 %), surestimant donc considérablement la réalité française actuelle ?

En 2024, beaucoup d’adolescents français sont mal dans leur peau notamment depuis les confinements, mais il n’y a toujours qu’une infime minorité d’entre eux, souvent mal informés des inconvénients des traitements qu’on leur propose, qui s’exposent aux traitements hormonaux à vie ou acceptent des interventions chirurgicales mutilantes. Et rendre cette minorité trop visible ne lui rend malheureusement pas service, bien au contraire.

Mais au-delà de l’erreur colossale du journaliste sur l’incidence des trans en France, il faut souligner ses oublis ou mensonges par omission : sur les conséquences de cette « sur représentation » des trans, des droits dérogatoires actuels des trans et des limitations récemment imposées aux traitements trans des mineurs par la très grande majorité des pays du monde.

La surreprésentation médiatique des extrémistes trans nuit à leur cause

Les médias subventionnés, comme Le Monde, accordent aux trans une place disproportionnée4 par rapport à leur incidence réelle, croyant que leur plus grande visibilité serait susceptible de faciliter leur inclusion5 6 7 8.

Cette propagande pro trans s’exprime dans tous ces médias comme une véritable transmania9. Tout feuilleton télévisuel doit montrer des personnages LGBTQ+ pour bénéficier de la complaisance de l’Arcom10 et des diffuseurs des chaînes. Aux USA, en 2022, GLAAD11 comptabilisait 637 personnages LGBTQ+ à la télévision et sur les plateformes US12 soit 11,9 % des personnages, alors que les trans n’y rassemblent qu’environ 0,5 % de la population.

Cette surreprésentation considérable des trans s’accompagne de campagnes de harcèlement organisées par les extrémistes trans contre leurs opposants qu’ils traitent de TERF13 et de manifestations violentes pour empêcher tout débat contradictoire sur la théorie du genre et les résultats à long terme des transitions de genre chez les mineurs14 15.

La surreprésentation médiatique et la censure violente qu’exercent des extrémistes trans sur le débat démocratique nuisent en réalité beaucoup à leur communauté et constituent un des moteurs de l’augmentation des actes agressifs contre les minorités sexuelles.

En France de 2016 à 2021, le nombre de crimes ou délits anti-LGBT+ enregistrés par les services de police et de gendarmerie a doublé (+104 %). L’enquête Cadre de vie et sécurité a estimé que les violences à caractère anti-LGBT+ touchent 7 000 personnes chaque année, les menaces 25 000 et les injures 160 000. En Grande-Bretagne, le « Washington Post » a rapporté que le nombre d’incidents liés à la transphobie est passé de 75 en 2013 à 428 en 2021.

« Pour vivre heureux, vivons cachés » estiment les nombreux homosexuels et trans qui n’aspirent qu’à une vie tranquille et s’estiment instrumentalisés, contre leur volonté, en « icônes » par les militants extrémistes trans.

Les conséquences des droits dérogatoires des trans

En se victimisant, et en accusant la société de leur mal être, les extrémistes trans ont obtenu des droits dérogatoires comme la reconnaissance de leur transidentité sur simple affirmation sans devoir entreprendre un quelconque traitement pour se mettre en accord avec leur désir.

Mais aussi d’exiger de leurs camarades de classe qu’ils les appellent du prénom de leur choix tout en interdisant au professeur d’expliquer le problème du genre aux autres élèves. Cette recommandation officielle est souvent responsable de problèmes psychologiques chez ces derniers.

Les droits des femmes trans de pénétrer dans les vestiaires, les toilettes des femmes, partager leurs prisons mettent la sécurité des femmes de naissance en danger. En prison plusieurs cas de viols de femmes de naissance par des femmes trans (nées hommes et non opérées) ont été rapportés aux USA, Canada16 et Grande-Bretagne17 et pousse ces pays à ne plus considérer pour le choix des prisons que le sexe de naissance.

Le droit de concourir dans les épreuves sportives de haut niveau contre les femmes de naissance, contraire à l’équité sportive, a privé beaucoup de championnes de titres et médailles qu’elles méritaient. L’injustice des résultats observés, la fronde médiatique et les procès intentés par les femmes de naissance ont finalement convaincu la plupart des fédérations sportives internationales à exclure les femmes trans des compétitions féminines pour privilégier l’équité à l’inclusivité.

Le droit des trans d’accuser de transphobie ceux qui énoncent des faits biologiques.

Un étudiant canadien a été exclu de son école puis arrêté par la police18 pour avoir dit « il n’y a que deux sexes ». Mais là aussi l’idéologie se heurte à la réalité et le Premier ministre britannique, Rishi Sunak a rappelé, au congrès du Parti conservateur du 4 octobre 2023 :

« Un homme est un homme et une femme est une femme…C’est juste du bon sens. »

« Nous ne devrions pas nous laisser intimider par la croyance que les gens peuvent avoir que le sexe de leur choix. »

L’absence de données probantes que les hormones diminueraient véritablement les symptômes de dysphorie, de dépression, d’anxiété et les idées suicidaires chez les jeunes (40 % des trans), qu’elles exposent à des complications médicales en particulier cardiovasculaires19 et que les trans traités souffrent d’une mortalité double de celle de la population générale20 a incité de nombreux pays européens pionniers des transitions de genre (Suède, Norvège, Finlande, Danemark et Angleterre), à imposer des restrictions d’âge aux traitements médicaux.

Les excès des extrémistes trans ont entraîné le vote de lois restreignant les droits des minorités sexuelles dans la très grande majorité des pays du monde et/ou interdisant les traitements trans affirmatifs chez les mineurs aux USA21 22 23, en Russie24 en Afrique25 ou en Chine. En France, après le communiqué de l’Académie de médecine alertant sur les risques des traitements trans affirmatifs chez les mineurs26, un rapport sénatorial27 propose d’interdire tout traitement actif de transition aux mineurs suivant l’exemple des pays précédemment cités.

Il est triste de constater que Le Monde préfère diffuser des informations erronées plutôt que d’exposer plus globalement l’évolution mondiale actuelle de la question.

Les trans genres sont des victimes qu’il faut comprendre pour les aider

L’adolescence est pour beaucoup une période difficile, car il faut intégrer le processus de changement complexe de son corps qu’entraîne la puberté. C’est une expérience très gênante et inconfortable.

Ce malaise fréquent a été considérablement amplifié par les confinements qui ont entraîné la rupture des relations amicales et amoureuses à un moment où ils étaient particulièrement importants. Et lorsqu’un gourou internet attribue ce mal être au genre il risque d’être cru et de diriger l’ado vers des traitements et une communauté qui piège l’individu dans une nasse communautaire, ou sa complexité comme sa culture sont réduites à un fonctionnalisme d’appartenance dont les formes deviennent progressivement sectaires.

Il faut savoir que la majorité des adolescents qui croient souffrir de dysphorie verront cette souffrance disparaître après leur puberté28 29 30, et que cette dystrophie apparente exprime dans 70 à 80 % des cas une pathologie psychiatrique sous-jacente en particulier autisme, anxiété ou dépression, ou un vécu de traumatisme dont la méconnaissance empêcherait un traitement adapté.

L’enfant dysphorique est en proie à la confusion ou à la détresse. Les parents doivent s’efforcer d’entendre, d’écouter, de poser des questions et d’en savoir plus sur ce que dit l’enfant.

Devant un enfant qui croit souffrir d’une dystrophie de genre « Il est très important que les parents ne réagissent pas d’une manière terriblement négative ou en portant un jugement, même s’ils ont l’impression sur le moment que c’est de la folie et que cela n’a aucun sens », conseille la psychiatre Miriam Grossman31 32 :

« Il faut lui dire que vous comprenez qu’il traverse une période difficile, que c’est quelque chose d’important pour lui, que c’est quelque chose de sérieux, et que vous allez en apprendre le plus possible à ce sujet ».

Il faut faire preuve d’amour et de soutien, sans pour autant être d’accord avec ce que dit votre enfant : qu’il est du sexe opposé, ou que vous allez utiliser le nouveau nom et les nouveaux prénoms… Il est important que l’enfant et l’adulte comprennent qu’il est possible d’avoir une relation aimante même s’il y a de gros désaccords.

Le chemin pour sortir l’enfant de sa confusion sexuelle peut être long, allant de plusieurs mois à quelques années, mais dans tous les cas le soutien sans faille de la famille est essentiel.




De l’euthanasie à l’aide à mourir, on supprime les mots, mais pas l’acte tabou, ni la crainte d’un glissement éthique majeur

Par Nicole Delépine

« Mal nommer un objet c’est ajouter au malheur du monde », jugeait Camus. C’est nier notre Humanité.

Comment ne pas citer Camus devant ce trait de crayon sur le vrai sujet de l’euthanasie pour faire passer cette loi contraire au serment d’Hippocrate, auxquelles s’opposent les soignants depuis si longtemps, et dont des modèles de compréhension, de négociations, de complaisance même, avec les lois Léonetti successives ont été jusqu’à légaliser la sédation profonde irréversible, plus que discutable. Elles auraient dû clore le débat !

Mais l’approche des élections européennes mal parties pour Renaissance conduit le pouvoir à saisir n’importe quel prétexte, aussi sordide soit-il, pour détourner l’attention des vrais enjeux que sont la sortie de l’UE, le Frexit et l’envoie de nos enfants en Ukraine comme soldat dans un conflit qui ne nous concerne pas. La ficelle est grosse, mais marche habituellement. Rajoutons que les préoccupations morbides du président et de son entourage, leurs rêves de société de pulsion de mort dont témoigne la constitutionnalisation de l’avortement, coïncident avec ses enjeux électoraux.

Le débat de la fin de vie, soulevé à nouveau par ce projet de loi sur l’« aide à mourir » a été exploré largement depuis deux décennies et traité dans la législation française, par les lois Leonetti et Claeys-Léonetti.1

La loi Leonetti

La loi Leonetti a été votée en avril 2005, soit près de vingt ans. Cette loi encadre les conditions de fin de vie et interdit l’« acharnement thérapeutique ». Elle affirme également le droit au soulagement de la souffrance, même au risque d’abréger la vie.

Elle dispose que les actes médicaux « ne doivent pas être poursuivis par une obstination déraisonnable » et « lorsqu’ils apparaissent inutiles, disproportionnés ou n’ayant d’autre effet que le seul maintien artificiel de la vie, ils peuvent être suspendus ou ne pas être entrepris ». Cette mesure peut s’effectuer soit à la demande du patient, s’il est en état de manifester sa volonté, soit sur décision du médecin dans le cadre d’une procédure collégiale qui permettra de prendre l’avis de tous, y compris celui du patient dans le cas où il a laissé des directives anticipées ou désigné une « personne de confiance » pour informer de ce choix. Ces dispositions sont non contraignantes pour les médecins.

Une nouvelle fois, on utilise l’euthanasie pour détourner l’attention, et au passage ajouter au mal-être des soignants.

« À peine dévoilé, le projet de loi portant sur la fin de vie présente déjà des obstacles. » C’est en tout cas ce qu’affirme Jean Leonetti, coauteur de la loi Claeys-Leonetti sur la fin de vie adoptée en 2016. « On va avoir d’énormes difficultés dans l’application de la loi », a déclaré le maire d’Antibes sur France Culture, le 11 mars 2024.

Des propos qui interviennent au lendemain de l’annonce par Emmanuel Macron, dans un entretien aux journaux La Croix et Libération, des grands contours du projet de loi, qui s’appuie sur l’avis du Comité consultatif national d’éthique (CCNE) et sur les travaux de la convention citoyenne qui s’est prononcée en avril dernier. Le texte « ouvre la possibilité de demander une aide à mourir sous certaines conditions strictes », à savoir être majeur, atteint d’une maladie incurable, mais capable d’un discernement plein et entier, a dévoilé le chef de l’État. L’examen du projet de loi débutera à l’Assemblée nationale le 27 mai, a annoncé lundi Gabriel Attal ».2

La fin de vie n’autorise pas le « en même temps ».

Emmanuel Macron, dans un entretien à La Croix et Libération, a détaillé les contours de la future loi visant à donner la possibilité de mourir aux malades en fin de vie. » Soucieux de ne pas déplaire à ceux qui sont opposés à l’euthanasie, notamment la majorité des soignants les responsables religieux, il joue sur les mots, et entretient des confusions qui brouillent la manière dont ce projet peut être compris par les citoyens ».3

Mais ne nous y trompons pas, l’accélération du départ de cette terre des anciens ou de grands malades culpabilisés de leur « présence coûteuse, et de leur inutilité », est dans le viseur.

Cela avait commencé nettement dans les années 90 avec la volonté (déjà) de réduire les dépenses de santé, en particulier chez les retraités4.

Et c’est dans les années 2000 que des pédiatres cancérologues ont commencé à euthanasier des enfants en fin de vie (selon leurs critères et leurs protocoles thérapeutiques), en expliquant aux parents dans le désespoir que ce serait le mieux pour leur petit patient.5

Ils ont aussi commencé à inculquer des notions de mort aux adolescents et enfants cancéreux en leur faisant rencontrer en début de traitement et peu après la révélation du diagnostic d’autres enfants plus proches de l’issue fatale et qui allaient leur expliquer que tout allait bien se passer, psychologues aidant à cette manipulation (y compris pour des maladies curables, mais pour ces médecins cancer était égal à décès).

« Changement de paradigme de la pratique médicale au XXIe siècle. Modification consciente par les décideurs de la pratique par ex en cancérologie et subrepticement de façon autocrate et antidémocratique, sans débat de société.

Le plan cancer introduit clairement une “Acculturation” FAISANT PASSER DE LA MÉDECINE INDIVIDUELLE A UNE MÉDECINE DE GROUPE. ACCULTURATION DÉCIDÉE DE FAÇON UNILATÉRALE AUTORITAIRE ET SILENCIEUSE les créateurs du plan cancer (quelques personnes de fait) et leurs soutiens politiques ont introduit un CHANGEMENT MAJEUR dans nos pratiques médicales et dans nos objectifs : Le malade n’est plus l’objectif central et l’intérêt du groupe prédomine.

Ceci est contraire au code de Nuremberg et à la déclaration d’Helsinki y compris dans sa dernière version qui stipule que “la recherche ne doit jamais passer avant l’intérêt du patient.” »

La grande période Rivotril d’avril 2020 initiée par le Premier ministre Édouard Philippe sous prétexte de plandémie organisée6, et son décret honteux a vidé les EHPAD et amélioré les finances des caisses de retraite. Ce décret est toujours valable et certains médecins continuent d’y recourir7.

Mais cela ne suffit certainement pas à une équipe mondialiste soumise au projet de dépopulation. L’accumulation des projets mortifères comme l’injection expérimentale à grande échelle d’un produit dangereux, la constitutionnalisation de l’IVG, la faible répression de l’usage de drogues toxiques, comme les morphiniques responsables chaque année aux USA de plus de morts que la guerre du Vietnam, la pénurie organisée de médicaments, la casse programmée du système de santé qui aboutit à plus de 200 morts aux urgences en deux mois, et la suppression rapide de plus de cent services de soins palliatifs en peu de temps, en sont quelques exemples.

Il est clair que contrairement aux mensonges médiatiques répétés, un malade qui souffre atrocement et sans espoir d’amélioration peut, en 2024, être soulagé, voire de façon définitive, s’il choisit la sédation irréversible autorisée dans la dernière version de la loi Leonetti-Clayes. Mort désirée autorisée par la loi. Que leur faut-il de plus, sinon une grande propagande médiatique, pour recruter plus de candidats, comme pour l’avortement et sa constitutionnalisation ? Le régime de retraite y gagnera, mais certainement pas notre Humanité.

Les soignants sont encore vent debout contre cet élargissement et cette publicité pour cette mort dite assistée.8 Comme nous l’avons écrit à de multiples reprises depuis les années 2000, le médecin, l’infirmier ne peuvent à la fois soigner et tuer !9 Imaginez votre propre regard si le soignant qui entre dans votre chambre avec une seringue ou des comprimés vous dit « ça va aller, tout va bien se passer… » sans que vous sachiez s’il vient vous soigner ou vous achever. C’est absolument impossible, inacceptable pour notre relation soignant-soigné dont le pilier doit déjà être la confiance absolue.

Sans parler des dérives inéluctables dont nombreux d’entre nous ont parlé. 10

Qu’ils embauchent des bourreaux bureaucrates extérieurs au monde médical s’ils y tiennent, mais jamais des soignants ! Et quand on ne comprend pas, il faut chercher l’argent ! Ne l’aurait-on pas trouvé ? Au moins aux USA 11 :

Le sénateur américain de Floride Marco Rubio, rejoint dans sa démarche par les sénateurs Ted Cruz, J.D. Vance, Josh Hawley et Mike Braun, a envoyé une lettre aux laboratoires Pfizer pour demander des explications sur les subventions que ceux-ci auraient accordées à Dying with Dignity Canada (« Mourir dans la dignité Canada », DWDC). Cette association fait la promotion du suicide assisté et de l’euthanasie et le sénateur s’intéresse à la question dans la mesure où Pfizer a reçu des millions de dollars de la part du contribuable américain.

« Un rapport récent a révélé l’aide financière apportée par Pfizer à l’organisation qui milite notamment pour l’accès des mineurs de plus de 12 ans à l’euthanasie, alors que le Canada compte déjà près de 50 000 victimes de cette forme d’assassinat légal depuis sa dépénalisation en 2016, et que sa fréquence ne cesse de croître » indique le site reinformation.tv.

Même des macronistes comme l’ancien ministre de la Santé rechignent : « Ne faites pas de l’acte de tuer un acte médical », a rétorqué l’ancien ministre de la Santé François Braun dans les colonnes de l’hebdomadaire Valeurs Actuelles :

« On ne peut effectivement pas se cacher derrière la sémantique. On parle de mort. Quelles que soient les circonvolutions, à la fin, il s’agira de donner ou non la mort », martèle l’ancien ministre, qui juge cette initiative « prématurée ».

À ses yeux, « tout l’enjeu » se décline prioritairement autour des soins palliatifs.

Du fait notamment d’une répartition inégale des structures spécialisées sur le territoire et de soignants en nombre insuffisant, seuls 30 % des patients qui en auraient besoin ont accès à des soins palliatifs en France, selon laSFAP Société française d’accompagnement et de soins palliatifs. Constat similaire du côté de la Cour des comptes. Dans son rapport remis en juillet 2023, la juridiction écrit que les besoins estimés de soins palliatifs « ne seraient couverts qu’à hauteur de 50 % ». De quoi faire dire à la controversée Convention citoyenne sur la fin de vie que le pays, confronté à un vieillissement de sa population n’est toujours « pas à la hauteur des enjeux », se prononçant donc pour leur renforcement en vue d’une meilleure égalité d’accès en application de la loi Claeys-Leonetti ».

« Une logique extrêmement dangereuse »

C’est pourquoi « il ne faudrait, à aucun moment, faire évoluer la loi sur la fin de vie parce qu’on est défaillant au niveau des soins palliatifs », tient à faire valoir le médecin urgentiste : « Il y aurait un vrai risque de dérive en effet de se décharger du développement de ces soins parce qu’on autoriserait le suicide assisté ».

François Braun, qui explique voir depuis des décennies « la mort sous toutes ses formes » dans le cadre de son activité, rappelle que rares sont les patients ne revenant pas sur leur décision de se donner la mort une fois pris en charge par une unité de soins palliatifs, dont le rôle est justement « d’atténuer les souffrances ».

« C’est là-dessus que le politique doit porter tous ses efforts, car c’est là-dessus que les soignants exercent pleinement leur rôle. »

« La médecine, ce n’est pas la société. Si cette dernière veut légaliser le suicide assisté ou l’euthanasie, j’ai envie de leur dire, faites-le, mais sans nous! Laissez-nous en dehors de tout cela. Arrêtons de tout légiférer, surtout sur des questions aussi périlleuses, et faisons confiance aux médecins. Que la société évolue comme elle l’entend, mais de grâce, écoutez les soignants. Écoutez leurs arguments. Ne faites pas de l’acte de tuer un acte médical»

Treize organisations professionnelles et sociétés savantes représentant 800 000 soignants ont signé en février 202312 un texte proclamant d’une seule voix leur refus de participer à une « aide active à mourir ». Elles expliquaient en quoi leur métier est « incompatible avec la pratique d’une mort médicalement administrée » et un projet de loi qui constituerait « un glissement éthique majeur » venant tout bonnement « bouleverser la définition du soin ».

Un appel qui sonne comme un avertissement au chef de l’État

Injecter une substance létale à un patient serait « un glissement éthique majeur » qui viendrait « bouleverser la définition du soin » et « fragiliser des équipes », alertent ces soignants dans une réflexion éthique d’une vingtaine de pages.

Dans ce document, ils ont choisi de se confronter aux conséquences concrètes du suicide assisté et de l’euthanasie sur leur métier, pour comprendre ce qu’ils seraient susceptibles d’accepter ou non.

« La crainte de transformer le sens de notre métier »

N’oublions pas l’écrivain Michel Houellebecq qui met en garde notre civilisation contre cette dérive majeure13 14

« Alors que la convention citoyenne sur la fin de vie vient de rendre les conclusions de ses travaux, Le Figaro, publie en exclusivité la version française de la tribune écrite par l’auteur de Soumission pour le magazine américain Harper’s.

Commençons par un bref paragraphe méchant. Guy Debord a choisi le suicide à l’ancienne. Jean-Luc Godard — “le plus con des Suisses pro-chinois”, pour reprendre l’amusante formule situationniste — s’est tourné vers le suicide assisté. Le prochain provocateur de génie optera, n’en doutons pas, pour une euthanasie médicalisée. Comme on dit, le niveau baisse ».

J’ai personnellement exercé cette vocation avec bonheur pendant près de 50 ans pour sauver des vies et soulager les malades, et non pour les tuer. Je respecte le serment d’Hippocrate qui stipule :

« Je ne remettrai à personne du poison, si on m’en demande, ni ne prendrai l’initiative d’une pareille suggestion ».

L’accepter c’est rompre le contrat moral fondamental qui lie le médecin à son malade et constitue le fondement du lien de confiance qui les lie.

Que la société accepte que certains recourent au suicide assisté, c’est son problème, mais en aucun cas elle ne peut demander aux médecins de le faire, car c’est totalement contraire à leur nature. Les soignants ne peuvent devenir ainsi des bourreaux officiels.





Chantecler : « C’est la nuit qu’il est beau de croire à la lumière. »
Luttons contre la société de pulsion de mort (avortement et euthanasie) !

Par Nicole Delepine, pédiatre

Qu’est-ce qui a pris à nos parlementaires de relégiférer sur l’avortement, intervention que l’on peut comprendre, voire admettre dans certaines circonstances, mais ne jamais en faire un acte de fierté comme trop l’ont dit, clamé et fêté en ce tragique 4 mars 2023 ?

De fait, acte de tuer en opposition tant morale que juridique au statut de personne humaine du fœtus ? Comment est-ce possible ? Comment alors que toutes les discussions sur le procès Palmade et le décès du bébé in utero de la mère blessée revient dans les médias1, comment la population peut-elle assimiler à la fois qu’une mère puisse tuer volontairement son fœtus et en même temps qu’on puisse poursuivre en justice pour meurtre du fœtus ?

Le « en même temps présidentiel » a-t-il converti les esprits ?

ET nous sommes nombreux à ressentir de la douleur, de la tristesse, voir du désespoir qu’il faut combattre, pour notre société, nos enfants et petits-enfants. Société qui s’est tue sur le meurtre des vieillards en EHPAD autorisé, voire recommandé par le décret E. Philippe2 en mars 2020, par Rivotril, pratique toujours autorisée de fait.

La grande publicité, propagande pour l’euthanasie va revenir en boomerang alors que depuis plus de vingt ans les discussions parlementaires, soignantes l’ont repoussé en raison de tous ses dangers. Société de mort qui ose faire semblant de regretter la baisse de la natalité, mais met en place tous les ingrédients de sa propre déchéance.

De l’embryon sans défense au vieillard en EHPAD, ne sombrons pas dans une société qui perd les repères de l’humanité (dégénérée, satanique disent certains), et défendons l’Homme dans toute sa grandeur et son extraordinaire originalité unique.

L’union de pensée entre ceux qui croient au ciel et ceux qui n’y croient pas que je retrouve au fil de nos conversations me fait irrésistiblement penser à ce poème d’ARAGON dans des temps de totalitarisme nazi où l’Humanité était menacée. Tous les humains peuvent s’unir quelles que soient leurs croyances, et nul ne le dit mieux qu’Aragon :

La Rose et le Réséda

Celui qui croyait au ciel
Celui qui n’y croyait pas
Tous deux adoraient la belle (*)
Prisonnière des soldats
Lequel montait à l’échelle
Et lequel guettait en bas
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n’y croyait pas
Qu’importe comment s’appelle
Cette clarté sur leur pas
Que l’un fut de la chapelle
Et l’autre s’y dérobât
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n’y croyait pas
Tous les deux étaient fidèles
Des lèvres du cœur des bras
Et tous les deux disaient qu’elle
Vive et qui vivra verra
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n’y croyait pas
Quand les blés sont sous la grêle
Fou qui fait le délicat
Fou qui songe à ses querelles
Au cœur du commun combat
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n’y croyait pas
Du haut de la citadelle
La sentinelle tira
Par deux fois et l’un chancelle
L’autre tombe qui mourra
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n’y croyait pas
Ils sont en prison Lequel
À le plus triste grabat
Lequel plus que l’autre gèle
Lequel préfère les rats
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n’y croyait pas
Un rebelle est un rebelle
Deux sanglots font un seul glas
Et quand vient l’aube cruelle
Passent de vie à trépas
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n’y croyait pas
Répétant le nom de celle
Qu’aucun des deux ne trompa
Et leur sang rouge ruisselle
Même couleur même éclat
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n’y croyait pas
Il coule il coule il se mêle
À la terre qu’il aima
Pour qu’à la saison nouvelle
Mûrisse un raisin muscat
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n’y croyait pas
L’un court et l’autre a des ailes
De Bretagne ou du Jura
Et framboise ou mirabelle
Le grillon rechantera
Dites flûte ou violoncelle
Le double amour qui brûla
L’alouette et l’hirondelle
La rose et le réséda.

Louis Aragon (1897-1982) Recueil : La Diane française (1944).3

* La France.

La constitutionnalisation de l’avortement au moins jusqu’à quatorze semaines qui vient d’être votée dans l’allégresse à Versailles avec la réunion du Sénat et de l’assemblée horrifie autant certains croyants que nombre d’athées.

Il ne s’agit pas ici d’un plaidoyer contre l’avortement sur lequel nous avons exprimé notre position sur ses justifications et ses limites, conduisant à demander l’alignement sur la loi Weil de 1975 et contre la tentation de faire dire à cette loi ce qu’elle ne dit pas.4 Mais cette banalisation d’un acte lourd ne peut rester sans réponse. L’être humain en devenir a aussi « ses droits » y compris dans le Code pénal…

Oui, cette situation qui impose le sauvetage d’enfants à naître m’a immédiatement faire revenir à la mémoire ce magnifique poème de Louis Aragon que nous récitions dans notre jeunesse, unissant tous les hommes de la Terre quelles que soient leurs croyances, ouvrant sur l’espérance d’un monde meilleur, enfin humain. Et j’eus forte envie de l’adresser aux journalistes tels Pascal Praud qui admettait que des catholiques puissent être gênés, mais pas les autres. Mais non Mr Praud, on peut être athées (comme nous le sommes) et ne pas supporter de défoncer un crâne de bébé sous prétexte que la mère a changé d’avis trop tardivement. Et après s’être épanchés des jours entiers sur la suppression de la peine de mort par Badinter, comment passer sous silence les meurtres d’êtres sensibles sous prétexte que cachés dans le ventre de leur mère. Notre société n’en a-t-elle pas assez de la compassion à géométrie variable, du SDF dormant dans sa voiture alors que le migrant est logé à l’ibis ? Un peu de cohérence dans nos choix ne ferait pas de mal.

Plus de sept décennies après la fin de la Seconde Guerre mondiale, l’échec est patent. On parle de tuer des enfants in utero, sans anesthésie, oubliant qu’à douze semaines le cœur bat, des mimiques apparaissent sur le visage déjà formé du petit d’homme témoignant pour le moins de ressenti… Rappelez-vous votre main sur le ventre de la maman qui commence à ressentir des soubresauts et à communiquer avec le petit être qui croit dans son corps. N’eût-il pas été possible d’en discuter sereinement sans que soit taboue l’idée que ce geste de tuer devrait rester exceptionnel et non quasiment imposé à tant de jeunes femmes en souffrance ? Alors que les usines à bébés ukrainiennes pour riches occidentaux en mal d’enfants sont maintenant de notoriété publique, pourrait-on imaginer quelques minutes de cesser de prendre les bébés pour des objets disponibles à vendre ou à jeter ?

LE CRÉNEAU DE LA DOULEUR DANS LES SOINS

Dans la deuxième partie du vingtième siècle, la douleur était le nouveau créneau pour créer des postes, pour faire semblant d’humanité à l’hôpital, etc..

La souffrance tant devenue l’obsession des médecins depuis les années 90 avec création des services de soins palliatifs, des généralisations de l’usage des morphiniques larga manu, des anesthésiants hilarants pour une ponction lombaire de l’enfant, etc.5 n’existerait donc pas pour les fœtus ? Tant d’échographies6 ont pourtant banalisé les gestes des bébés in utero… Les premières « photos » du bébé gardées soigneusement par les jeunes parents ont transformé la prise de conscience de la vie fœtale du bébé que l’on voit bouger, téter son pouce, changer de position, etc..

L’haptonomie7 a en son temps transformé le contact du père avec le bébé fait comprendre l’importance des relations mère, père, enfant y compris pendant la grossesse.

« Lhaptonomie s’est développée à partir du constat de l’importance du rôle de l’affectivité dans les rapports humains, en particulier dans le développement psychique et affectif de l’enfant.

Cette qualité des relations et des interactions entre père, mère et enfant, s’exprime par un contact tactile respectueux et tendre.

L’haptonomie permet la maturation et l’épanouissement de l’être en devenir, ce que confirment les développements actuels des neurosciences et des sciences du comportement. »

Le néerlandais Frans Veldman (1921-2010) a développé l’haptonomie qu’il appelle « science de l’affectivité » (il aimait citer Paracelse : « l’art du soin est l’amour »).

L’haptonomie est surtout connue pour l’accompagnement de la grossesse et de la parentalité qui favorise la maturation des liens affectifs entre le père, la mère et l’enfant. Elle a néanmoins d’autres applications à tous les âges et en particulier en fin de vie.

À l’ère du déni, la société de la culture de mort fait place à l’humanisation des soins et de la société

Mourir aux urgences se banalise…

La bienveillance poussée parfois à l’extrême dans les services hospitaliers s’est dissoute en quelques années en même temps qu’ont disparu les médecins cliniciens et que les bureaucrates comptent bien faire disparaître la médecin humaine au bénéfice de l’intelligence dite artificielle, des télécabines de consultation et de la disparition de l’examen clinique conduisant à la méconnaissance d’une tumeur que la main ou le doigt aurait pu dépister ou d’un trouble neurologique, etc..

L’avortement d’un bébé présenté comme un objet par les parlementaires et les médias

En effet, comment entendre les commentaires des médias ou des politiques heureux de leur « victoire » sans précédent 8 applaudissant plusieurs minutes après la lecture du vote ?

Combien d’entre les votants ont-ils eu la curiosité de regarder la vidéo d’un avortement à quatorze semaines filmé par un gynécologue coutumier de la pratique et qui l’a abandonnée depuis ?

Ignorent-ils le discours de Simone Veil loi devant l’Assemblée nationale, le 26 novembre 1974 ?

« Je le dis avec toute ma conviction : l’avortement doit rester l’exception, l’ultime recours pour des situations sans issue. Mais comment le tolérer sans qu’il perde ce caractère d’exception, sans que la société paraisse l’encourager ?

Je voudrais tout d’abord vous faire partager une conviction de femme — je m’excuse de le faire devant cette Assemblée presque exclusivement composée d’hommes : aucune femme ne recourt de gaieté de cœur à l’avortement. Il suffit d’écouter les femmes.

C’est toujours un drame et cela restera toujours un drame.

C’est pourquoi, si le projet qui vous est présenté tient compte de la situation de fait existante, s’il admet la possibilité d’une interruption de grossesse, c’est pour la contrôler et, autant que possible, en dissuader la femme. »

Inclure le droit à l’avortement dans la constitution c’est le sanctifier et trahir totalement l’esprit de la loi Veil9 dont l’article 110 précisait clairement :

« La loi garantit le respect de tout être humain dès le commencement de la vie. Il ne saurait être porté atteinte à ce principe qu’en cas de nécessité et selon les conditions définies par la présente loi. »

Quand vous ne comprenez pas quelque chose, cherchez l’argent : en septembre 2023, l’UE a autorisé la commercialisation des gamètes embryons et fœtus humains.

Nous sommes officiellement devenus des objets commercialisables

11

Aux USA en 2015 le prix « des organes vendus entre 30 et 100 $ »12

Les enragés de l’inscription de l’avortement dans la constitution se réfèrent à Simone Veil. Mais relisons la loi : Article 13

« En aucun cas l’interruption volontaire de la grossesse ne doit constituer un moyen de régulation des naissances. À cet effet, le Gouvernement prendra toutes les mesures nécessaires pour développer l’information la plus large possible sur la régulation des naissances, notamment par la création généralisée, dans les centres de protection maternelle et infantile, de centres de planification ou d’éducation familiale et par l’utilisation de tous les moyens d’information. »

Et les phrases de Simone Veil rapportées par Philippe de Villiers qui l’a bien connue :

« “Relisez ma loi, Philippe, l’article 1 garantit le respect de tout être humain dès le commencement de la vie, il ne peut être porté atteinte à ce principe qu’en cas de nécessité”. Cela veut dire que l’embryon est un enfant. 2/ “Ne vous inquiétez pas, le cadre est conditionnel, définitif et immuable. C’est 10 semaines, il y a un délai de réflexion, etc..”

Tout cela a sauté. C’est désormais 14 semaines : la boîte crânienne de l’enfant à naître est écrasée. Au nom de la liberté d’expression, il faut qu’il y ait une voix qui dise “Oui, c’est la tristesse”. Comme souvent, hélas, je suis en avance sur l’humeur publique, mais j’ai le devoir de vous dire ce que je viens de vous dire parce que c’est notre avenir qui est en jeu : il faut défendre la vie. »

Voir l’émission complète :

La France est le premier pays au monde à inscrire dans sa loi fondamentale, parmi les valeurs suprêmes, le droit à l’avortement. Les conséquences sont vertigineuses. C’est la fin de la clause de conscience pour les médecins et le personnel de santé. C’est un viol de conviction intime, c’est la fin du serment d’Hippocrate : « Tu ne tueras pas. » C’est la fin de la liberté d’expression.

En 50 ans, on sera passé de la dépénalisation de l’#avortement à la pénalisation de la parole de vie. Toute parole, toute action, pour défendre l’enfant à naître ou pour contredire la #Constitution, c’est-à-dire l’avortement, sera passible d’une peine judiciaire. C’est la porte ouverte à la dérive eugéniste : en fonction du génome, est éliminé le plus faible. C’est le passeport de toutes les transgressions : la vie n’est plus un absolu. C’est la course à l’abîme d’une civilisation en perdition, c’est la déshumanisation progressive du monde par l’effacement programmé du visage de l’Homme. (Voir l’émission complète dans la vidéo ci-dessus.)

Il ne s’agit à l’évidence pas du droit des femmes, mais bien d’une manœuvre politique dans le cadre d’une tendance à une société mortifère.

Contrairement à ce que le vote large au Parlement pourrait faire croire, l’unanimité de la nation n’est pas évidente. De très nombreuses réactions sont exprimées sur les réseaux.

Combien de votants, de militants pour cette loi savent-ils à quoi ressemble un bébé de douze semaines ?

La machine @CaroleD87859768 Fin de la clause de conscience. Certains ne choisiront plus gynécologie obstétrique à cause de cela, surtout avec l’IMA jusqu’à 9 mois. Celles qui pleuraient de joie à l’annonce de l’inscription de l’IVG dans la Constitution viendront se plaindre du manque de spécialistes.





NON à la guerre contre la Russie qui n’est pas notre ennemie

Par Nicole Delépine

En 1991, La France sous Mitterrand avait demandé que l’OTAN, « ce machin » selon de Gaulle, ne s’étende pas à l’est. Mais Sarkozy partisan d’un nouvel ordre mondial sous influence américaine a proposé l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN malgré l’opposition des Russes. Hollande et Meckel dans les accords de Minsk en 2015 s’étaient portés garants de la clause refusant l’entrée de l’Ukraine dans l’OTAN. Ils ont récemment avoué avoir signé ces accords sans intention de les faire respecter pour donner à l’Ukraine le temps de s’armer. Et les journalistes donnent encore la parole à ces personnes qui ne respectent pas la parole donnée.

Dans mon jeune temps, on criait « faites l’amour, pas la guerre » slogan de la révolte colorée de 1968 soufflée par la CIA. Et depuis rien ne va plus, les pouvoirs successifs ont sacrifié les services publics, l’école, le système de santé, etc., et transformé les citoyens en bêtes à consommation passive, assistées et dépourvues de pensée autonome, « le pain et les jeux ». Le refus des résultats du référendum de 2005 par Sarkozy a achevé d’éloigner les Français de la politique.

Depuis quarante ans, les tenants du nouvel ordre mondial tentent d’imposer leurs fantasmes inexplicables, tuer le monde et l’humanité après avoir fait défiler les jeunes « pour sauver la planète » en oubliant l’espèce humaine.

Les gens normaux sont unanimes : on marche sur la tête et on développe une société de mort… Sans famille, sans enfant nos dirigeants rêvent d’une apocalypse qu’ils déclencheraient : un feu nucléaire qui aurait rendu jaloux Néron.

Alors après la diffusion d’injections expérimentales à ARN scandaleusement présentées comme des vaccins, susceptibles de modifier le patrimoine génétique humain, après le sacrifice des vieillards et handicapés sous Rivotril, les morts qui se multiplient aux urgences lors d’attentes interminables, puis la glorification de l’avortement par son inscription dans la constitution, on passe à la volonté e légaliser l’euthanasie pourtant déjà largement répandue.. la société de la mort vers laquelle nous emmènent nos dirigeants si on les laisse faire

Il ne manquait que la guerre pour supprimer les survivants de ces attaques multiples. La guerre du rêve de Macron contre tous, y compris ses alliés européens et américains qui trouvent que cela dépasse leurs volontés. Tous les dirigeants ne sont tout de même pas Néron.

ALORS OUI, REFUSONS AVEC LA GRANDE MAJORITÉ DES FRANÇAIS ET DES CITOYENS EUROPÉENS D’ENTRER DANS UNE GUERRE AVEC LA RUSSIE !

LA GUERRE UKRAINE RUSSIE NE CONCERNE PAS Les intérêts vitaux de la France.

NOUS RESPECTONS LA CULTURE RUSSE ET NE VOYONS AUCUNE PREUVE DES MENACES ALLÉGUÉES PAR LE CHEF DE L’ÉTAT.

Les USA ont implanté douze bases secrètes de la CIA en Ukraine depuis 2014.

Si on envoie des troupes au sol et si on livre des missiles longue portée dont la cible ne peut qu’être que Moscou la guerre se rapprocherait et nous menacerait d’un holocauste nucléaire.

La guerre n’est ni inévitable ni utile

Refusons totalement une guerre qui ne nous concerne pas et œuvrons pour la paix

La plupart d’entre nous n’ont pas connu les horreurs de la guerre et cela pourrait expliquer les déclarations très imprudentes d’un président trop jeune pour avoir connu celles-ci, ni d’ailleurs la pratique du service militaire.

J’ai vécu la période de la guerre d’Algérie et mes parents m’ont raconté leur expérience toute proche de la Seconde Guerre mondiale. Les privations, la faim, les deuils et l’angoisse permanente du lendemain empêchant de se construire un avenir et les années de FFI de mon père au barrage de l’Aigle.

LA GUERRE N’EST PAS UN ROMAN NI UNE ABSTRACTION, MAIS l’HORREUR

L’Ukraine ne fait partie ni de l’UE ni de l’OTAN et n’a jamais été notre alliée.

Lors de la Seconde Guerre mondiale, ceux qu’elle honore aujourd’hui comme les héros de son indépendance, comme Stepan Bandera, s’étaient enrôlés dans les troupes SS et ont largement participé aux massacres des juifs à Babi Yar et de Polonais en Volhynie

La Russie a été notre alliée lors des deux guerres mondiales et, lors de la dernière, a permis la défaite des nazies qui lui a coûté des millions de morts.

L’Ukraine n’est pas le modèle de démocratie, de liberté, ni de transparence que les médias tentent de nous faire croire.

Selon l’ONG Transparency International l’Ukraine reste l’un des pays les plus corrompus d’Europe au 116 ᵉ rang sur 180 au niveau, mondial.

La gravité de cette corruption constitue l’un des obstacles majeurs à sa demande d’intégrer l’UE. Le dernier épisode connu, révélé le 21 janvier 2024 par l’hebdomadaire Zerkalo Nedeli, concernait la surfacturation massive de produits alimentaires destinés à l’armée à travers une société-écran, l’escroquerie atteindrait la somme de 330 millions de dollars.

En tant qu’état le conflit Russie-Ukraine ne nous concerne pas même si notre compassion pour les peuples russe et ukrainien nous incite à tout faire pour que les combats cessent le plus vite possible.

Le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes est aujourd’hui considéré comme l’un des droits les plus fondamentaux dans l’ordre juridique international

Dans la charte des Nations Unies, chapitre 1, article 1 alinéa 2 :

« Les buts des Nations Unies sont les suivants : Maintenir la paix et la sécurité internationales et à cette fin… Développer entre les nations des relations amicales fondées sur le respect du principe de l’égalité de droits des peuples et de leur droit à disposer d’eux-mêmes, et prendre toutes autres mesures propres à consolider la paix du monde… »

L’intégrité territoriale d’un État repose sur le désir des gens de vivre dans ce même État. C’est en application de ce principe que le Kosovo a été séparé de la Serbie alors qu’il constituait pour la majorité des Serbes le cœur historique de leur nation.

La résistance opiniâtre qu’opposent les populations russophones du Donbass à la violence militaire que déploie l’Ukraine pour leur imposer son contrôle montre clairement que leur volonté n’est pas de vivre sous le joug du gouvernement de Kiev.

L’application de la charte onusienne justifierait des référendums sous contrôle international, mais l’Ukraine l’a toujours refusé. Réclamons l’application du droit des peuples de Crimée et du Donbass à disposer d’eux-mêmes selon la chartre de l’ONU.

Nous pouvions tenter d’éviter la poursuite de cette guerre et nous aurions dû le faire !

Nous aurions dû tout faire pour éviter de nous impliquer dans cette guerre et nous devons tout faire pour qu’elle s’arrête le plus vite possible.

Pour aider les peuples ukrainien et russe, nous aurions dû rester neutres et nous conduire comme un intermédiaire de paix comme nous l’avons fait avec succès lors de la guerre Russie-Géorgie de 2008.

Les Accords de Minsk du 5 septembre 2014 (Minsk 1) puis du 11 février 2015 (Minsk 2) constituaient une solution crédible pour un règlement pacifique de la guerre dans le Donbass. NOUS AURIONS DÛ LES FAIRE RESPECTER !

Ils prévoyaient : la décentralisation du pouvoir en Ukraine par un amendement à sa Constitution avec l’adoption par l’Ukraine d’un statut spécial de certaines parties des régions de Donetsk et Luhansk leur accordant la liberté linguistique, le droit, pour les autorités locales des ORDLO, de nommer procureurs et juges, de constituer des « unités de police du peuple », et d’avoir une « coopération transfrontières avec des districts de la Fédération de Russie ».

La France, l’Allemagne et l’OSCE qui ont supervisé les négociations de Minsk et en étaient les garants, mais ils n’ont pas incité l’Ukraine à appliquer les accords, tandis que les USA la poussaient à l’intransigeance conduisant inéluctablement à la reprise de la guerre.

Jacques Baud a ainsi conclu son livre : « Si la France avait fait son travail, il n’y aurait pas eu de guerre ! »

La politique pro Zelenski d’E. Macron nous a déjà coûté trop cher.

Cette politique va-t-en-guerre de nos dirigeants, loin de favoriser la paix, prolonge inutilement la guerre et les souffrances des belligérants et a participé à ruiner la France et les Français.

Ruine de nos entreprises en Russie : fin 2021, la France et la Russie avaient affiché un volume d’échanges économiques supérieur à ce qu’il était avant l’introduction des sanctions en 2014. Parmi ses concurrents européens la France, premier employeur étranger en Russie se distinguait comme étant la seule de ces nations à enregistrer, une balance commerciale excédentaire avec la Russie. Le retrait de Russie décidé par la Commission européenne a entraîné pour toutes ces entreprises la perte sèche de leurs investissements. Ainsi Renault a reçu 1 rouble pour la vente de ses 2,2 milliards euros d’actifs. La perte des investissements, des activités en Russie et des bénéfices futurs aggrave le déficit de notre balance commerciale.

Appauvrissement des Français : la prolongation des sanctions de l’UE a déjà entraîné aux Français des privations considérables : forte inflation, augmentation du prix des énergies obligeant certains à grelotter dans leur logement cet hiver, destruction de notre agriculture par les importations ukrainiennes de blé et de poulet, milliards d’argent magique envoyés en Ukraine alors qu’il n’y a presque rien pour les agriculteurs, l’hôpital, la police, la justice…

Et E. Macron voudrait maintenant nous imposer l’impôt du sang en envoyant nos enfants combattre pour un conflit de frontière qui ne nous concerne pas !

Les déclarations récentes d’E. Macron isolent la France mettent en danger nos soldats et les futurs conscrits

Lors de la conférence internationale de soutien à l’Ukraine, Emmanuel Macron a évoqué la possibilité d’envoyer des troupes au sol en Ukraine :

« Nous ferons tout ce qu’il faut pour que la Russie ne puisse pas gagner cette guerre »

« Rien ne doit être exclu tout est possible si c’est utile pour atteindre notre objectif ».

Dans le cas de la France, les forces opérationnelles immédiatement mobilisables, celles de l’armée de terre comprennent 130 000 hommes et femmes, dont plus de 25 000 réservistes globalement très mal armés et non préparés à une guerre de haute intensité. Pour rassembler un nombre suffisant d’hommes, il faudrait recourir à la mobilisation qui exposerait nos jeunes, ignorants du maniement des armes depuis l’abandon du service militaire, à des soldats russes entraînés et mieux armés ; une boucherie prévisible !

E. Macron semble ignorer l’état de nos armées et qu’une menace, pour être utile, doit être crédible.

Tous nos alliés, européens comme américains, se sont d’ailleurs tous démarqués de la France en refusant la participation de troupes au conflit Macron contribue par ses déclarations irrationnelles à isoler la France..

La déclaration dangereuse d’E. Macron sur notre dissuasion nucléaire

En novembre 2022 Emmanuel Macron a redéfini la mission de nos forces nucléaires :

« Aujourd’hui plus encore qu’hier, les intérêts vitaux de la France ont une dimension européenne. Nos forces nucléaires contribuent donc par leur existence propre à la sécurité de la France et de l’Europe », sous-entendant ainsi qu’elle pourrait être utilisée en de dehors de toute menace directe contre le territoire national.

En détournant la mission de notre force de dissuasion créée par C. De Gaulle comme ultime arme de sauvegarde de l’indépendance et de l’intégrité nationales, il brade notre indépendance pour tenter de s’ériger en sauveteur de l’UE qu’il voudrait tant diriger.

Mais menacer sans raison vitale la Russie qui possède une force nucléaire très supérieure à la nôtre met en danger l’ensemble de notre population !

Comme l’ensemble des oppositions et 90 % des Français, nous sommes totalement opposés aux folles propositions d’E. Macron qui mettent en danger nos soldats et notre population dans un conflit qui ne concerne pas les intérêts du pays.

Exigeons de redevenir neutres pour aider à la résolution pacifique du conflit dans le respect de la charte de l’ONU et du droit des peuples à disposer d’eux même.

En réalité, E. Macron et de nombreux dirigeants occidentaux veulent nous imposer la guerre pour sauver leur nouvel ordre mondial !!!

BATTONS-NOUS POUR LA PAIX !


Bonjour à tous,

Voici une proposition de modèle de mail à adresser avant mardi 12 mars à vos parlementaires à modifier à votre convenance

L’heure est grave et nous avons besoin de la mobilisation de tous.  MERCI POUR TOUS ET EN PARTICULIER POUR NOS JEUNES

À l’attention de Mr  le député / Mme la députée / Mr le sénateur / Mme la sénatrice: (nom , prénom ) « Les 12 et 13 mars, vous devez dire NON à la guerre contre la Russie ! »

Message proposé :

[Monsieur le député / Madame la députée / Monsieur le sénateur / Madame la sénatrice,]

Face au tollé provoqué par ses propos n’excluant pas la possibilité d’envoyer des troupes françaises au sol en Ukraine, nous conduisant ainsi à entrer en guerre contre la Russie, le Président Macron a été contraint d’accepter un débat sur « notre soutien à l’Ukraine », suivi d’un vote à l’Assemblée nationale et au Sénat, ces 12 et 13 mars.

Ces jours-là, nous, citoyens français, attendons de vous une réponse claire et majoritaire, allant au-delà des querelles partisanes : « Le temps de négocier la paix est arrivé. » Nous n’avons aucun intérêt à participer directement à un conflit qui n’implique pas nos intérêts vitaux et que nous n’avons pas les moyens de mener.

Seul un rejet franc et massif, exprimé par vous sur cette question gravissime, permettra de sortir ce Président, trop jeune pour avoir connu la guerre, du déni de réalité où il se trouve :

• sur l’ampleur de la défaite et le nombre effrayant de morts, dans cette Ukraine poussée par l’Occident à se battre contre la Russie ;

• sur l’incapacité où se trouvent la France et les économies occidentales désindustrialisées et financiarisées, de fournir à l’Ukraine l’effort militaire nécessaire pour poursuivre la guerre, et encore moins pour combattre la Russie ;

• sur les capacités de notre armée à faire face à une guerre de haute intensité : « Nous tiendrions 20 jours pas plus ! », affirment nos militaires ;

• sur la menace existentielle que pose à la Russie une Ukraine traitée comme membre de l’OTAN, en vertu d’accords bilatéraux avec la France, le Royaume-Uni, l’Allemagne et d’autres, incluant des clauses secrètes. La paix est indivisible, il faut tenir compte des garanties de sécurité réclamées par la Russie autant que par l’Ukraine.

Emmanuel Macron se pose en chef d’une croisade pouvant conduire à une IIIe guerre mondiale, lui qui n’a aucune expérience d’un service militaire, lui qui a déjà embourbé nos armées dans des missions mal définies en Afrique, contribuant à faire chasser notre pays de ce continent. Allons-nous tolérer qu’un homme qui n’a pas été capable de résoudre les problèmes entre Français, Gilets jaunes et agriculteurs, nous conduise à une nouvelle boucherie en Europe et dans le monde ?

Le déni de réalité est une maladie. Confrontons M. Macron à la réalité : alors que les Etats-Unis n’ont plus de munitions à fournir à l’Ukraine, que l’Europe n’en a pas non plus, que nos économies sont exsangues et nos populations appauvries, le moment est venu de faire taire les armes et d’ouvrir les négociations de paix.

J’espère que vous saurez soutenir à l’Assemblée nationale ou au Sénat les propositions qui iront dans ce sens.

Je vous prie d’agréer, [Monsieur le député, Madame la député, Monsieur le sénateur, Madame la sénatrice], l’expression de ma haute considération.

Mr ( prénom , nom )

( code postal , ville )

M. L.




L’éducation sexuelle inflige un traumatisme aux enfants

[Source : Epoch Times France.
Voir le descriptif dans Éducation sexuelle : « L’infiltration pédophile se fait sous nos yeux »]




Les risques et dérives de la transition de genre dans la jeunesse




Le problème de l’inscription de l’avortement dans la Constitution française

Pourquoi inscrire le droit à l’avortement1 dans la Constitution2 inquiète-t-il tant de citoyens ?
Contribution à une nécessaire réflexion3

Par Dr Nicole Delépine, pédiatre, cancérologue

Jeune femme à l’époque de la loi Veil, j’avais, ainsi que la plupart d’entre nous, trouvé normale cette loi pesée et bien encadrée4 qui tentait d’éviter les avortements sauvages à l’aiguille à tricoter5 et les voyages à l’étranger des plus fortunées d’entre elles, Pays-Bas, etc. Mme Simone Veil, même si sa démarche n’était pas dénuée d’ambitions politiques, l’avait présentée intelligemment.

À l’heure du débat sur l’inscription de l’IVG dans la Constitution (afin de graver ce droit dans le marbre comme si on ne pouvait pas modifier une constitution, la preuve) chacun tente de faire parler Mme Veil. Simone Veil « se retournerait dans sa tombe » à cette idée.

Le discours prononcé en 1974 à l’Assemblée nationale par la ministre de la Santé défendait la légalisation de l’avortement, mais tout en nuances.

« Cette loi prévoyait un équilibre, entre la liberté de la femme à procéder à une IVG, mais aussi le respect de la vie de l’enfant à naître », développe Olivier Marleix, qui affirme relire l’allocution de Simone Veil chaque année.

« C’est l’un des discours les plus intelligents qu’on ait prononcés à l’Assemblée nationale, dont le but était de maintenir cet équilibre », souligne-t-il, craignant que l’introduction de l’IVG dans la Constitution ne vienne le « casser ».6

À la tribune de l’Assemblée nationale ce 26 novembre 1974, Simone Veil défendit le projet de loi sur l’IVG7, devant un hémicycle composé à 95 % d’hommes :

« Je le dis avec toute ma conviction : l’avortement doit rester l’exception, l’ultime recours pour des situations sans issue. »

« Mais comment tolérer [l’avortement] sans qu’il perde ce caractère d’exception, sans que la société paraisse l’encourager ? Je voudrais tout d’abord vous faire partager une conviction de femme — je m’excuse de le faire devant cette assemblée presque exclusivement composée d’hommes : aucune femme ne recourt de gaieté de cœur à l’avortement. Il suffit d’écouter les femmes. »

« Personne ne peut éprouver une satisfaction profonde à défendre un tel texte8— le meilleur possible à mon avis — sur un tel sujet. »

« Personne n’a jamais contesté, et le ministre de la Santé moins que quiconque, que l’avortement soit un échec quand il n’est pas un drame »,dit encore Simone Veil.

« Mais nous ne pouvons plus fermer les yeux sur les 300 000 avortements qui, chaque année, mutilent les femmes de ce pays, bafouent nos lois et qui humilient ou traumatisent celles qui y ont recours. »

Elle redoutait une instrumentalisation de ses propos.

Il semble bien que le président G D’Estaing l’ait fortement poussée à la présenter elle-même et que ce fut une décision fort difficile. Quoi qu’il en soit dans la réalité, elle ne s’exprima plus sur ce sujet lors des différentes modifications de sa loi.9

On pourrait ici discuter de l’allongement de l’avortement volontaire de grossesse jusqu’à 14 semaines avec médiatisation d’un geste supposé banal, sans conséquence, ni pour l’être humain en croissance, ni pour sa mère qui va bientôt le sentir bouger en ce début de deuxième trimestre10.

Le fœtus de 14 semaines en images

Sans être contre le principe de l’avortement, ayant connu les périodes antérieures et les souffrances des générations précédentes, il semble que néanmoins les candidates à cette technique de sauvetage d’une situation difficile pourraient être pleinement informées de ses réalités cliniques. Or les extrémistes pro avortement considèrent volontiers comme délit d’entrave et ce qui ne constituent que des informations indispensables à un consentement éclairé et que Planning familial11 cache, semble-t-il, aux femmes en détresse qui le consulte pour avortement tardif. Combien d’infirmières de bloc opératoire ont sombré dans la dépression à la suite de ces traumatismes successifs qu’elles avaient acceptés au début et qui progressivement leur sont devenus insupportables ?

La loi de mars 202212 a renforcé « les droits » de la femme à l’avortement jusqu’à 14 semaines. Comme dans les lois précédentes, il faut remarquer que les droits du fœtus sont complètement passés sous silence, alors que toutes les mères ont connu les humeurs de leur petit bébé encore à l’intérieur de leur ventre, ses goûts prononcés pour telle ou telle musique, telle position de la maman, etc. Il est clair que vouloir introduire la notion de mère porteuse dans nos civilisations (GPA) impose de nier les rapports étroits entre deux êtres humains dont l’un n’est pas encore juridiquement « né ».

La marchandisation du corps de la femme et du bébé impose de s’éloigner de l’humanité du fœtus et du nouveau-né qu’on arrache à sa mère de fait à la naissance. Comment accepter qu’il pense, qu’il souffre ? Y compris lors des méthodes abortives parfois épouvantables qui devraient alerter les associations de défense des animaux pour venir défendre aussi ces petits qu’on tue, afin d’interdire ce massacre du vivant. N’oublions pas que les organes fœtaux sont récupérés pour recherche ou commerces (vaccins en particulier) qui exigent du « matériel » vivant.

Pourquoi cet allongement ? « Le texte allonge de deux semaines le délai légal pour avoir recours à l’IVG, qui est ainsi porté de 12 à 14 semaines de grossesse. Il suit l’une des préconisations formulées par les députées Marie-Noëlle Battistel et Cécile Muschotti dans leur rapport sur l’accès à l’interruption volontaire de grossesse. Ce rapport, remis en septembre 2020, constate que des femmes sont encore concernées par le dépassement du délai de 12 semaines. Au moins 2 000 patientes seraient contraintes chaque année de se rendre à l’étranger pour cette raison (notamment en Espagne, au Royaume-Uni et aux Pays-Bas). Des situations personnelles complexes et la fermeture d’établissements de santé pratiquant l’avortement expliquent en partie ces départs vers l’étranger. »

Cette loi a supprimé le délai de réflexion de deux jours, imposé afin de confirmer une demande d’avortement après un entretien psychosocial. Comment est-ce possible ? Si vous achetez un objet, vous avez toujours un délai de réflexion, mais pour un enfant, ce n’est pas nécessaire. Heureusement la clause de conscience des médecins n’a pas encore été supprimée.

Méthodes d’avortement autorisées

Il existe deux méthodes pour interrompre la grossesse : médicamenteuse ou instrumentale.13

Jusqu’à la 7e semaine de grossesse, soit 9 semaines après le début des dernières règles, vous avez le choix entre les deux méthodes. Au-delà et jusqu’à la 14e semaine de grossesse, soit 16 semaines après le 1er jour des dernières règles, la méthode instrumentale est privilégiée. Les techniques chirurgicales ne sont pas faciles à trouver dans la littérature médicale pour les exposer.

Ce qui est en cause aujourd’hui est l’inscription dans la constitution de l’IVG.

Comme le diable siège souvent dans les détails, il sera fondamental de vérifier que l’inscription dans la constitution de l’IVG ne constitue pas le moyen d’autoriser l’IMG sans limite de temps. Cela reviendrait à permettre de tuer les fœtus jusqu’à l’âge de la naissance, comme cela est actuellement autorisé au Canada14 et dans certains états des USA15 16 suscitant en retour des réactions anti-IVG allant de la limitation du délai autorisé jusqu’à l’interdiction totale17.

L’extension sans limites de l’autorisation d’avorter jusqu’au terme naturel d’une grossesse aboutissant de fait à la légalisation de l’infanticide et sa facilitation18 nous paraît inadmissible et sûrement méconnue des militantes de ce « nouveau droit » et probablement de journalistes éventuellement bien intentionnés qui font le tour de leurs collègues femmes pour justifier leurs positions pro constitution.

Retourne-t-on vers d’autres civilisations qui ne respectent pas le droit à la vie ? Qu’en penser à travers le regard de l’histoire de l’avortement à travers les siècles ?

L’INFANTICIDE est un crime très ancien. Il a existé chez tous les peuples et a grandement évolué.

Dans le droit romain, ce crime était passible de la peine de mort. Dans le droit germanique, il n’était pas considéré comme une infraction particulière. Parfois même, le chef de famille avait le droit de vie et de mort sur sa progéniture.

En France

L’avortement et l’infanticide ne semblent considérés comme des crimes en France qu’à partir de la fin du Moyen Âge.

« En mars 1556, le décret d’Henri II marque le combat contre l’infanticide. Les femmes qui cachent leurs grossesses s’avèrent présumées avoir prémédité leur crime.
La loi du 21 novembre 1901 a aboli la présomption de préméditation. Autrement dit, la femme enceinte avait l’obligation de déclarer sa grossesse. L’Église a toujours proscrit l’infanticide et l’avortement.
Déclarée coupable, la femme se trouve alors “punie de mort et dernier supplice”. Plusieurs ordonnances ont été prises sous Henri III afin que les femmes déclarent leurs grossesses.
Sous le règne de Louis XVI, la présomption d’innocence marque la crainte de condamner un non-coupable.
Sous le règne de Napoléon Iᵉʳ, les rédacteurs du Code Pénal de 1810, la peine capitale se rétablit pour cette infraction à l’article 302.
Cette peine s’appliquera jusqu’au début de la Troisième République. Et la peine ensuite commuée en travaux forcés à perpétuité pour la mère. »

Certaines cultures la tolèrent parfois.

« Dans certaines cultures un enfant s’avère considéré comme être humain qu’à partir d’une cérémonie particulière. Avant cette cérémonie l’enfant ne paraît pas alors considéré comme un être humain. Donc tuer cet enfant ne semble pas considéré comme un infanticide. Certaines tribus comme chez les Yanomami au Brésil, avortement et infanticide se trouvent confondus. En effet, la grossesse non désirée autorise de tuer l’enfant après l’accouchement ».

L’évolution du regard sur l’infanticide dans nos sociétés

y aurait-il un retour à une certaine forme de barbarie qu’on espérait dépassée ? Comme la banalisation des viols de femmes âgées ne semble pas scandaliser tant de monde, ni l’euthanasie des vieillards en EHPAD sous injection ministérielle en début de Covid, ni la promesse d’une loi sur l’euthanasie dans les prochains mois promise par G Attal dans son discours du 30 janvier 2024 à l’assemblée. Cette loi retoquée plusieurs fois dans les années précédentes bénéficiera-t-elle de la mode du 49-3 ?

L’individualisme forcené développé depuis l’après-guerre est-il responsable de cette reviviscence de pratiques ancestrales de certaines ethnies ?

Le sacrifice des enfants — à travers toutes les contraintes sociales qu’on leur impose, multiplication des vaccinations, embrigadement à l’école, perte progressive de la liberté de choisir, de penser, de décider — relève -t-il de la même logique ?

Comment de l’interdiction de l’avortement jusque dans les années 75 en est-on arrivé en moins de cinquante ans à l’autorisation facilitée de tuer des nouveau-nés dans le monde aseptisé de l’hôpital, où l’homme déguisé en robot ne devient plus qu’un outil sacrifié à la mode progressiste ?

L’IMG

De fait l’interruption médicale de grossesse (IMG) était pratiquée en France depuis une quarantaine d’années dans le silence des blocs opératoires en cas de mise en danger de la mère ou du bébé, à tout moment de la grossesse et personne ne contestait, ni ne conteste cette indication proprement médicale.

« Deux circonstances permettaient de justifier une interruption médicale de grossesse en vertu de l’ancien article L. 2213-1 du code de la santé publique : une forte probabilité que l’enfant à naître soit atteint d’une affection d’une particulière gravité reconnue comme incurable au moment du diagnostic ou un péril grave pour la santé de la femme. »19

IMG jusqu’à neuf mois de grossesse pour les personnes « en détresse psychosociale »

Ce qui inquiète actuellement est le passage d’un geste pesé, réfléchi, médical, à un geste qui serait facilement accordé sur un diagnostic nécessairement difficile et relatif : « détresse psychologique » entré dans les textes juridiques.

Si les juristes et soignants en faveur de cette extension à l’avortement jurent leur grand dieu que les avortements du deuxième et troisième trimestre ne sont faits qu’en cas de danger réel pour la mère ou l’enfant à naître, les études publiées attestent d’une situation plus fréquente : mère en bonne santé, enfant sans risque particulier.

Le 1er août 2020, les critères concernant l’état de santé de la femme enceinte, qui déterminent l’autorisation d’avoir recours à l’IMG, ont été élargis : la « détresse psycho-sociale » y est désormais incluse. Un critère que certains gynécologues prenaient déjà en compte, mais qui était peu connu par l’ensemble du corps obstétricien et les patientes.

Le Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF) s’était positionné en faveur de cette proposition de loi dans un communiqué en date du 11 octobre 2019, assurant que sur le terrain :

« L’IMG d’indication maternelle implique une prise en compte des causes psychosociale. [La détresse psychosociale] concerne des femmes en situation de danger personnel, de violences, de difficultés psychologiques majeures ou d’extrême précarité, rendant impossible la poursuite de leur grossesse alors même qu’elles dépassent le délai légal de l’IVG de 14 semaines d’aménorrhée. Ces situations rendent compte d’une bonne part des déplacements à l’étranger pour interruption de grossesse, néfastes pour la santé, onéreux, voire inaccessibles pour certaines femmes. »

Interviewée par AFP Factuel, la psychologue clinicienne Erika Teissiere, qui a travaillé au sein d’équipes pluridisciplinaires en charge d’approuver ou non les demandes d’IMG, indique :

« Les causes psycho-sociales peuvent être des troubles psychiatriques graves, des cas d’inceste ou de viol ayant mené à une grossesse, des cas de déficience intellectuelle ou des cas de précarité sociale grave. »

Cette loi20 a eu pour but d’uniformiser les pratiques autour de l’IMG. N’est — ce pas aussi de la banaliser tant les critères de « détresse psychosociale » peuvent être interprétés de façon variable ?

« Le nombre d’IVG a augmenté en 2022 avec 234 300 IVG enregistrées, soit 17 000 IVG de plus qu’en 2021. C’est le plus haut niveau depuis 1990. Le taux de recours à l’IVG tend à augmenter, dans un contexte où le nombre de femmes en âge de procréer baisse. Il s’établit à 15,5 IVG pour 1000 femmes âgées de 15 à 49 ans en France. Le ratio d’avortement (rapport entre le nombre d’IVG et le nombre de naissances) se stabilise à 0,32 en 2022, contre 0,30 en 2021.

La part d’IVG tardives concernées par l’allongement du délai légal de recours à l’IVG serait inférieure à 1,5 % de l’ensemble des IVG. La méthode médicamenteuse en 2022 représente 78 % de l’ensemble des IVG réalisées (contre 68 % en 2019 et 31 % en 2000). La méthode instrumentale concerne donc 22 % des IVG. Sur 22 % d’IVG instrumentales, seules 18 % ont lieu après 12 SA ».21

La thèse 22 récente soutenue le 14 déc. 2023 sur « l’IVG après 14 semaines d’aménorrhée, quelles perspectives en France ? Étude du modèle néerlandais » est particulièrement instructive sur plusieurs points que nous relaterons ici.

« En France, avec le premier allongement du délai de recours à l’IVG en 2001 de nombreux gynécologues obstétriciens et médecins impliqués dans l’orthogénie23 se sont opposés à cette réforme.

Leurs arguments contre cette proposition étaient les suivants :

— La nécessité d’une technique différente, un geste plus long et compliqué nécessitant des compétences que de nombreux vacataires médecins généralistes n’ont pas, ainsi qu’un plateau technique dont beaucoup de centres d’IVG ne bénéficient pas

— Un geste plus éprouvant, la nécessité de fractionner le fœtus rend le geste plus difficile psychologiquement et pourrait entraîner un désengagement de certains professionnels en orthogénie. Le risque de dérive eugénique avec une inquiétude émergente vis-à-vis de l’empiètement du délai d’IVG sur le champ du diagnostic anténatal ».

Il semble que la vision du produit de l’IVG pouvait entraîner une répercussion chez certains membres du personnel. D’après ce même travail, concentrer les IVG tardives dans quelques centres risquerait d’entraîner une lassitude chez les soignants.

Le nombre d’IVG a augmenté en 2022 avec 234 300 IVG enregistrées, soit 17 000 IVG de plus qu’en 2021. C’est le plus haut niveau depuis 1990. Le taux de recours à l’IVG tend à augmenter, dans un contexte où le nombre de femmes en âge de procréer baisse. Il s’établit à 15,5 IVG pour 1000 femmes âgées de 15 à 49 ans en France. Le ratio d’avortement (rapport entre le nombre d’IVG et le nombre de naissances) se stabilise à 0,32 en 2022, contre 0,30 en 2021. »24

Le REVHO25 propose un protocole de dilatation et évacuation pour la réalisation des IVG entre 14 et 16 SA. La préparation cervicale est réalisée à l’aide de 200 mg de mifépristone 36 à 48 h avant le geste, suivie de la prise per os ou jugale de 400 µg de misoprostol 2 à 3 heures avant le geste. La dilatation du col s’effectue au bloc opératoire avec l’aide de bougies. L’évacuation débute par une aspiration intra-utérine associée à une extraction du trophoblaste se présentant à l’orifice externe du col. L’introduction de la pince de Mcclintock se fera sous échographie jusqu’à évacuation du matériel restant (les morceaux du fœtus). Le geste se termine par une aspiration et une échographie de contrôle de vacuité ».

Les avortements tardifs du deuxième et troisième trimestre de la grossesse

Traditionnellement les avortements tardifs seraient pratiqués dans le cas de « graves anomalies fœtales » ou pour « sauver la vie de la femme ». De fait les études de la littérature relatée dans la thèse citent que depuis des décennies :

« La plupart des avortements tardifs sont électifs, pratiqués sur des femmes en bonne santé avec des fœtus en bonne santé, et pour les mêmes raisons invoquées par les femmes ayant subi un avortement au premier trimestre ».

« L’Institut Guttmacher a fourni un certain nombre de rapports sur deux décennies qui ont identifié les raisons pour lesquelles les femmes choisissent l’avortement, et ils ont systématiquement signalé que la procréation interférerait avec leur éducation, leur travail et leur capacité à prendre soin des personnes à charge existantes ; serait un fardeau financier ; et perturberait les relations entre partenaires. »

Une étude plus récente de Guttmacher26 sur l’avortement après 20 semaines de gestation conclut que les femmes cherchant à avorter tardivement ne le faisaient pas pour des raisons d’anomalie fœtale ou de danger pour leur vie.

L’étude concluait que les femmes qui demandaient un avortement tardif étaient plus jeunes et plus susceptibles d’être au chômage que celles qui cherchaient à avorter plus tôt. 4 On estime qu’environ 1 % de tous les avortements aux États-Unis sont pratiqués après 20 semaines, soit environ 10 000 à 15 000 par an. (..) les avortements aux États-Unis sont désormais pratiqués à la demande et rarement pour des raisons réellement médicales

Un auteur prémonitoire sur l’avortement a prédit les événements d’aujourd’hui avec une prévoyance remarquable : la « rhétorique de la nécessité médicale » est une stratégie erronée, car « ce n’est pas la preuve empirique de ce qui est ou n’est pas médicalement nécessaire qui est important », mais plutôt « qui possède la capacité d’interpréter la nécessité dans des contextes politiques clés. 27

Vu sous cet angle, il est possible de voir les récentes législations de New York et de Virginie comme un signal selon lequel la politique, et non la science, est l’influence la plus puissante sur les questions et la législation sur l’avortement ».

Cet éclairage est important, car le sujet traité ici de l’importance ou non, des dangers et des motivations des défenseurs de la constitutionnalisation du droit à l’IVG (ou de la liberté selon les juristes) semble bien en France une discussion essentiellement politique. Nous souhaitons ici apporter les éléments médicaux le plus souvent inconnus des militants pro IVG et bien souvent aussi de leurs opposants, espérant ainsi ramener sur un plan médical un sujet qui par nature l’est fortement (I Médicale G), les implications sur la santé de la femme ne pouvant être balayée d’un revers de main. Quant au fœtus et à ses propres droits, ceci devrait faire l’objet d’une ample réflexion, elle aussi trop souvent négligée.

Nos deux thésardes font à ce sujet des réflexions fort pertinentes :

« Nos organisations médicales, de santé publique et scientifiques sont devenues politisées. Les conseils indépendants que nous pourrions raisonnablement attendre de la communauté scientifique sur ces énigmes conséquentes en matière de politique de santé sont absents — les preuves ont été remplacées par le plaidoyer ».

Elles parlent à juste raison de « gouffre scientifique » entre différents groupes de professionnels. Pour certains « une approbation peu subtile de l’avortement sur demande sans aucune restriction considérations de nécessité médicale pour chaque avortement » pendant que d’autres maintiennent que « les avortements tardifs ne sont “jamais nécessaires” » et que la nouvelle sous-spécialité n’est qu’une « tentative d’augmenter le nombre de gynécologues obstétriciens certifiés et formés pour pratiquer des avortements tardifs. »

Quelles sont les motivations des femmes pour ces avortements tardifs ?

Selon l’Institut Guttmacher28, les raisons les plus fréquemment évoquées : (1) ne pas se rendre compte qu’on est enceinte (71 %), (2) difficulté à prendre des dispositions pour un avortement (48 %), (3) la peur d’en parler aux parents ou à un partenaire (33 %) et (4) le sentiment qu’il faut plus de temps pour prendre la décision (24 %). Les anomalies fœtales ont été identifiées comme étant prises en compte dans seulement 2 % de toutes les décisions d’avortement tardif.

Selon la bibliographie de la thèse :

« l’ambivalence décisionnelle est souvent caractéristiquedes femmes qui subissent un avortement au cours du 2e trimestre et au-delà29. De plus, les femmes qui obtiennent un avortement au deuxième trimestre ont signalé un soutien social plus déficient et plus d’énergie dépensée pour évaluer les ressources disponibles pour les aider à garder un enfant par rapport aux femmes qui obtiennent un avortement au premier trimestre [14, 15]. La recherche suggère que 30 % des femmes qui retardent un avortement au-delà de 16 semaines ont peur d’informer leurs proches de leur grossesse [11]. Comparées aux femmes qui avortent plus tôt, les femmes qui avortent tardivement sont plus susceptibles d’éprouver un attachement plus fort au fœtus, d’avoir plus d’objections morales ou religieuses à l’avortement et d’accepter un avortement basé sur les souhaits des autres ».

Toutes ces données laissent penser que la qualité de l’accompagnement que peuvent trouver les femmes qui se posent la question de l’avortement est capitale. Est-il meilleur aux Pays-Bas qui ont le taux le plus faible d’avortements, alors que ce fut le pays d’Europe où sa légalisation fut la plus précoce ?

Bien que les conséquences d’un avortement soient régulièrement minorées par la propagande des militants de la dépopulation, il est clair qu’il existe dans un certain nombre de cas des symptômes du trouble de stress post-traumatique. Les preuves empiriques d’un lien entre l’avortement au premier trimestre et les symptômes du SPT se sont accumulées ces dernières années30 .

En fait, 12 à 20 % des femmes ayant des antécédents d’avortement répondent à tous les critères de diagnostic du STRESS post-traumatique, pourcentage non négligeable.

« Bien qu’aucune étude antérieure n’ait été publiée comparant la santé mentale des femmes subissant un avortement précoce et tardif, les preuves examinées ci-dessus sont suffisantes pour émettre l’hypothèse que les avortements survenant au cours du 2e trimestre et au cours du 3e trimestre seraient associés à des niveaux plus élevés de symptomatologie du syndrome post-traumatique qu’en cas d’avortements au 1er trimestre ».

Nous n’aborderons pas ici la problématique de ce qu’est un être humain, et à partir de quand, ce qui nécessiterait un long débat et bien évidemment l’absence de conclusion. Nous avons juste ici voulu aborder la question de l’avortement en général, et singulièrement après le premier trimestre afin de montrer que le sujet est complexe humainement et médicalement et qu’il importe de ne pas le traiter comme au bar du café du commerce afin de peser les conséquences sur les vies qui seront impactées.

La thèse citée a le mérite de peser les différents aspects et de montrer comment la politique s’incruste dans un débat médical, éthique et philosophique où elle n’a pas sa place. Citons les derniers mots de ce travail qui ouvre sur d’autres à propos de la différence entre embryon et fœtus viable :

« toutes les décisions morales sont basées sur des conventions et donc la distinction entre un nouveau-né et un fœtus peut également être considérée comme une convention. Or, biologiquement parlant, la différence est factuelle : les premiers ont atteint le stade de la vie indépendante, les seconds non.

Pour cette raison, nous pensons que lorsque la viabilité est atteinte, le fœtus ou le nouveau-né devient un membre, bien qu’encore très fragile, de la société humaine. Biologiquement, et donc éthiquement, il n’y a aucune “incertitude” et — à notre avis — il n’est pas nécessaire de mener une quelconque enquête philosophique pour savoir si un nouveau-né est effectivement membre de la société humaine.

Tous les points de vue métaphysiques sur ce qui définit un “humain” ont leurs mérites et leurs inconvénients et nous espérons qu’ils resteront partie intégrante d’un débat animé sans fin définitive.

Mais aussi intéressant que puisse être le débat sur la “définition de l’être humain” d’un point de vue métaphysique, si l’on applique déductivement des solutions toutes faites à ce débat séculaire dans le cadre d’un critère conséquentialiste moral étroit, on invite tout profane qui s’intéresse à la solution à ce débat pour décider qui peut vivre et qui peut mourir, que ce soit dans une attitude “conservatrice” ou “progressiste”, comme celle adoptée par G&M31.

À cet égard, il vaut mieux adopter l’attitude sceptique de Diogène, ne pas connaître la réponse et chercher les humains en plein jour sur la place de la ville, avec une lanterne allumée dans une main et sans armes dans l’autre. ».


1 L’avortement est la perte d’un embryon ou d’un fœtus lors d’une grossesse. Il peut être spontané, c’est-à-dire se produire sans avoir été recherché (problème de santé, génétique, etc), ou provoqué et donc volontaire.

2 Proposition de loi droit à IVG dans la constitution | vie-publique.fr

3 Essentiel (senat.fr)

4 La loi du 17 janvier 1975 relative à l’interruption volontaire de grossesse, dite loi Veil, est une loi encadrant une dépénalisation de l’avortement en France. Elle a été préparée par Simone Veil, ministre de la Santé sous la présidence de Valéry Giscard d’Estaing.
La loi est promulguée le 17 janvier 1975, pour 5 ans à titre expérimental. Texte sous licence CC-BY-SA France
Titre : Loi n° 75-17 du 17 janvier 1975 relative à l’interruption volontaire de la grossesse Type : Loi ordinaire

5 Il est probable que ma grand-mère en était décédée à 36 ans d’une septicémie fulminant avec jaunisse, e laissant ma mère à jamais orpheline et blessée de la perte de sa maman à 12 ans en 1930, et en pleurant encore à l’évocation de ce drame dans ses 80 ans. Je fus donc très tôt sensibilisée à cette autorisation.

6 Simone Veil « contre » l’inscription de l’IVG dans la Constitution ? Ce n’est pas si simple que ça (yahoo.com) suite au débat à l’assemblée le 30 janvier 24 pendant que Paris est déjà bloqué par les milliers de tracteurs qui tentent de défendre l’agriculture française contre sa mort programmée par Bruxelles et les gouvernements successifs dont l’actuel. Certains voient à juste raison l’utilisation de ce « gadget parlementaire » un détournement de la grave politique actuelle, l’avortement n’étant aucunement menacé en France, et / ou la désastreuse habitude de copier notre agenda législatif sur les problèmes américains.

7 Simone Veil et l’IVG : extrait du discours marquant de l’ancienne ministre à l’Assemblée (lemonde.fr)

8 En 1982, l’interruption volontaire de grossesse est remboursée par la sécurité sociale avec la loi Roudy. Onze ans plus tard, le délit d’entrave à l’IVG est créé. La loi du 2 mars 2022 a porté à 14 semaines le délai de recours à l’IVG et la suppression du délai de réflexion d’une semaine.

9 Son petit-fils Aurélien Veil, cité dans cet article de La Croix, avait été interrogé sur la question par la revue jésuite Études, en novembre 2018 : « Je sais qu’elle pensait qu’il s’agissait d’une loi grave, et qu’il fallait la faire évoluer avec la gravité qui s’y attachait ». « Je pense qu’elle était circonspecte face à certaines évolutions, sans avoir des éléments tangibles pour l’affirmer. Je crois qu’elle redoutait toute forme d’instrumentalisation de ses propos, ajoutait-il. Aussi, elle a fait le choix de se taire. » Un choix du silence que certains devraient peut-être respecter. Ibid 3

10 Julie Martory : L’équipe PasseportSanté juin 2020
En cette 14e semaine de grossesse, la taille du bébé de 16 semaines d’aménorrhée, est de 14 cm et son poids de 110 g. Sa croissance va désormais prendre un rythme très rapide. En une semaine seulement, il aura quasiment doublé son poids. Tous ses principaux organes sont en place et commencent à fonctionner, individuellement pour commencer, puis au fil des semaines, de façon coordonnée. Lorsque le fœtus a 14 semaines, son apparence se rapproche de plus en plus de celle d’un petit homme, tant au niveau de la position que des proportions des différentes parties de son anatomie. Son corps n’est plus courbé comme un petit haricot : sa tête est droite et ses jambes sont désormais plus longues que les bras. L’intestin commence à réintégrer l’abdomen.
Son visage s’humanise avec de petites mimiques : il fronce les sourcils, tournent les yeux. L’ossification de son squelette se poursuit. Il alterne des périodes de veille et de sommeil. Et lorsqu’il est éveillé, il bouge de plus en plus, pliant les bras et les jambes, serrant les poings. Le cœur du fœtus de 16 SA est parfaitement formé, il se contracte et se dilate, envoyant le sang dans les veines qui parcourent son corps.

11 Autrefois protecteur des femmes dans ma jeunesse et devenu un soutien militant des « progressistes », subventionné et plus préoccupé de l’homme enceint que du fœtus souffrant lors d’un geste chirurgical. Ne fait-il pas disparaitre le mot même de « femme » les remplaçant par individu porteur d’utérus pour ne pas traumatiser les quelques hommes « enceints », hommes trans de fait et donc génétiquement féminins. Disparition de la notion de femme ! Où sont passées les vraies féministes ?

12 Loi 2 mars 2022 renforcer droit à avortement délai porté à 14 semaines | vie-publique.fr

13 L’IVG étape par étape | ivg.gouv.fr

14 HÉLOÏSE ARCHAMBAULT Un hôpital de Montréal a dû appeler la police 15 mars 2023 https://www.journaldemontreal.com/2023/03/15/avortement-tardif-un-hopital-oblige-dappeler-la-police-en-raison-de-militants-anti-choix-agressifs

15 Comme à New York, dans le Colorado ou en Californie

16 7,6 % sont effectuées entre 14 et 20 semaines, et 1,3 % après 21 semaines mais quelques médecins acceptent de les pratiquer jusqu’à la 36semaine dans les états qui l’autorisent https://www.lemonde.fr/international/article/2019/05/16/avortement-en-chiffres-les-paradoxes-de-la-societe-americaine_5462604_3210.html

17 Comme Le Texas, la Louisiane ou encore le Mississippi..

18 Est le meurtre d’un enfant, souvent celui d’un nouveau-né. Ce crime est défini à l’article 221-4 al1, 3 et 4 t e r du code pénal. Aujourd’hui, ce crime n’est plus la dénomination d’une infraction pénale. Il est désormais considéré comme un meurtre ou assassinat d’un mineur de moins de 15 ans. Ce meurtre est passible de la réclusion criminelle à perpétuité.
Selon l’article 55 du code civil, le nouveau-né est l’enfant au moment de l’accouchement jusqu’à la date de déclaration aux registres de l’état civil. Autrement dit, un enfant est considéré « nouveau-né » dans les cinq jours de l’accouchement.
Le néonaticide est l’homicide commis sur un enfant dans ses 24 premières heures de vie. Le fillicide (du latin, « filius » qui signifie « fils ») est l’homicide commis par un père ou une mère sur son enfant.
Infanticide — avocat infanticide – pénaliste infanticide. (cabinetaci.com)

19 Loi de bioéthique : l’interruption médicale de grossesse évolue — Civil | Dalloz Actualité (dalloz-actualite.fr)

20 LOI n° 2021-1017 du 2 août 2021 relative à la bioéthique (1) — Légifrance (legifrance.gouv.fr)

21 THÈSE pour le DIPLÔME D’ÉTAT DE DOCTEUR EN MÉDECINE Qualification en Médecine Générale 2022-2023
« L’IVG après 14 semaines d’aménorrhée, quelles perspectives en France ? Étude du modèle néerlandais »
LEFEVRE Clarisse et GEMEAU DE LAMARLIERE Léa.

22 Ibid 14

23 En pratique l’orthogénie est la science des différents moyens de contraception et des méthodes d’interruption volontaire de grossesse.

24 l’IVG est prise en charge à 100 % par l’assurance maladie depuis le 31 mars 2013, ainsi que tous les actes nécessaires et entourant une IVG depuis le 1er avril 2016. La facturation, quels que soient la méthode et le lieu de réalisation, est actuellement encadrée par l’arrêté du 26 février 2016 relatif aux forfaits afférents à l’IVG. – Pour une IVG médicamenteuse réalisée en ville, le forfait fixé est de 183,57 € (sans la réalisation de l’échographie) à 188,81 € (avec la réalisation de l’échographie). L’IVG médicamenteuse en établissement de santé (hôpital, clinique) est remboursée par l’Assurance Maladie à 100 % sur la base d’un tarif forfaitaire fixé à 282,91 euros. L’IVG instrumentale est remboursée par l’Assurance Maladie à 100 % sur la base d’un tarif forfaitaire variable (de 500,14 euros à 644,71 euros) en fonction de l’établissement de santé (hôpital ou clinique), du type d’anesthésie (locale ou générale) et de la durée de l’hospitalisation.

25 Site pour les professionnels de santé en Ile de France pour l’IVG

26 USA : Alabama, un désert d’avortement [Internet]. Arte ; 2023. Disponible sur :
https://www.arte.tv/fr/videos/110785-000-A/usa-alabama-un-desert-d-avortement/

27 Basttitel, Muschotti MN Cécile. Rapport d’information sur l’accès à l’interruption de grossesse [Internet]. [cité 1 nov 2023]. Report No. : 3343. Disponible sur :
https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/rapports/ega/l15b3343_rapport-information

28 Accès à l’avortement [Internet]. HCE ; 2017 [cité 1 nov 2023]. Disponible sur :
https://www.haut-conseilegalite.
https://gouv.fr/IMG/pdf/hce_bilan_mise_en_oeuvre_recos_ivg_2017_01_17_vf-2.pdf

29 Idem

30 références citées dans la thèse. ibid 14
Wet afbreking zwangerschap [Internet]. Disponible sur :
https://wetten.overheid.nl/BWBR0003396/2023-01-01. De Proost L, Verweij EJT, Ismaili M’hamdi H, Reiss IKM, Steegers EAP, Geurtzen R, et al. The Edge of Perinatal Viability: Understanding the Dutch Position. Front Pediatr. 1 févr 2021;9:634290.
Séance au Sénat [Internet]. 2001 [cité 1 nov 2023]. Disponible sur :
https://www.senat.fr/seances/s200103/s20010327/sc20010327030.html
Buret N. Evaluation des répercussions de la loi de juillet 2001 concernant l’allongement du délai d’IVG de 12 à 14 SA. 2003.
Deroche, Rossignol C Laurence. Proposition de loi pour renforcer le droit à l’avortement [Internet].
Disponible sur : https://www.senat.fr/lessentiel/ppl20-023_1.pdf

31 « Avortement après la naissance : pourquoi le bébé devrait-il vivre ? » Giubilini & Minerva (G&M) avancent des arguments moraux en faveur d’une légalisation de l’infanticide pour des raisons sociales, le qualifiant d’« avortement après la naissance ». (mars 2012),




Diviser pour régner entre jeunes et boomers pour faire avaler la société de la mort

Par Nicole et Gérard Delépine

On entend trop souvent affirmer que le confinement aurait eu pour but de protéger les boomers et qu’ils l’auraient demandé… Il faut être encore dupe de la propagande covidiste du gouvernement pour répéter pareille fadaise, car rien n’est moins contraire aux faits.

Les boomers n’ont été ni instigateurs, ni bénéficiaires du confinement, ni de l’ensemble des mesures liberticides se multipliant de façon exponentielle depuis une dizaine d’années. Ces mesures appliquent des recommandations mortifères de Davos (euthanasie, abandon des malades par casse du système de santé, constitutionnalisation du droit de tuer par l’infanticide — avortement jusqu’à neuf mois —, destruction de l’école, des services publics, et de faire disparaître l’agriculture française, etc.).

« Les jeunes ne sont pas sacrifiés pour les vieux, mais pour la finance mondiale. » Nous l’expliquions déjà en 20201.

« La dernière version de la propagande médiatique qui envahit les esprits même cultivés et intelligents est que la génération des jeunes aurait été sacrifiée pour sauver les boomers. Comment ont-ils réussi à intégrer dans trop de jeunes cerveaux ce mensonge monstrueux ?

Les vieux n’ont aucunement été protégés pendant cette année 2020 par le gouvernement qui a fait prescrire une grande ration de Rivotril pour euthanasier les vieux en EHPAD en cachette pendant que les visites y étaient interdites.

Arriver à faire croire aux jeunes et moins jeunes que cette privation de liberté avait pour but de protéger les aînés est une prouesse de communication des gouvernements mondialistes et des médias corrompus dont la propagande est fort efficace ».

Corruption de la médecine et des revues médicales

Grâce à l’article totalement mensonger du Lancet Gate, le traitement par hydroxychloroquine qui aurait évité la grande majorité des hospitalisations et des morts a été calomnié, puis interdit.

Ce scandale témoigne une fois de plus de la corruption en médecine qui a toujours existé, mais s’est développé de façon industrielle depuis les années 80, à l’âge où les boomers étaient dans la force de l’âge. Ne la découvrir que maintenant, et l’attribuant en partie à la « panique » des boomers qui ne voudraient pas mourir et feraient développer en ce sens tous les vaccins possibles et inimaginables relèvent de la naïveté, de l’ignorance, et de l’efficacité de manipulation par le pouvoir dont l’intérêt est de « diviser pour régner ». La dernière illustration de cette tradition manipulatoire est la démonstration devant une botte de paille de notre tout neuf premier ministre tentant de diviser les agriculteurs. Et aujourd’hui encore qui dirige ? Un jeune homme de 33 ans, pas vraiment un boomer, plutôt un petit-fils de boomer…

Un certain nombre de jeunes ou moins jeunes qui ont découvert la médecine à l’occasion du covid se trompent complètement sur les causes de la corruption en médecine, et sur la responsabilité des « sentiments » de peur de la mort d’une génération, celle des boomers à qui les médias imputent les dérives de la prise en charge du covid.

On voit bien là la manipulation de pseudo résistants qui ne voient qu’un aspect du problème et n’ont pas abordé la destruction systématique du système de santé qui a commencé avec l’ère Thatcher Mitterrand en 1983 à une époque où nos fameux boomers qui étaient alors dans la force de l’âge et dont un certain nombre d’entre eux, une petite minorité, ont pris le pouvoir. Ils sont à l’origine du désastre actuel, le restant de la population étant coupable de leur « soumission intellectuelle » qui a conduit au « déni de tyrannie »2.

Pour certains égarés, les boomers qui arriveraient à l’âge de la mort auraient corrompu la médecine en privilégiant les médicaments, les préventions, les vaccins contre toutes les maladies et auraient contribué à faire développer une médecine robotisée. Erreur totale : si le pouvoir a présenté le confinement comme un moyen de protéger les vieux en isolant aussi les jeunes et en fermant les écoles, les naïfs qui peuvent encore faire ce genre d’affirmation ont oublié la précipitation du gouvernement d’Édouard Philippe pour publier le décret Rivotril fin mars 2020, qui a permis et poussé les infirmiers et médecins à injecter un produit mortel à tout vieillard ou handicapé qui osait avoir une quinte de toux3.

Ce sont les générations post boomer qui ont défendu et imposé le confinement !

Les médias ont délivré une information anxiogène, voire catastrophique, alimentée en permanence par la peur de la pandémie. Parmi les plus actifs des propagandistes de la peur et du confinement, on distingue Karine Lacombe4 (50 ans), Yazdan Yazdanpanah (56 ans) et Timsit (62 ans) dont aucun ne peut être qualifié de boomer.

C’est un président de 43 ans qui a décidé de nous enfermer à domicile, nous imposer le masque, des couvre-feux, de prendre nos cafés debout, les pass et les injections anti-covid qualifiées mensongèrement de vaccins. Et c’est Édouard Philippe (51 ans) le soi-disant candidat préféré des Français qui a signé le décret pour faire administrer du Rivotril aux boomers afin de les euthanasier, cosigné par Olivier Véran jeune ministre (de 41 ans)5.

Et parmi les opposants les plus précoces et les plus déterminés à ces mesures liberticides médicalement stupides, on remarque beaucoup de boomers (dont nous-mêmes dès les premiers jours de mars 2020)6 7.

La responsabilité du confinement incombe aux moins de 60 ans et n’avait aucunement pour but réel de protéger les boomers, mais bien d’en éliminer les plus fragiles réglant dans la foulée une partie du « problème des retraites ».

Les boomers n’ont pas bénéficié du confinement qui en a tué beaucoup

La base traditionnelle de la prévention des maladies infectieuses transmissible est la séparation des malades des biens portants le temps nécessaire à ce que les premiers ne soient plus contagieux8 ; c’est la mesure appelée quarantaine d’après la durée (40 jours) d’isolement adopté empiriquement contre la transmission de la peste.

Le confinement a au contraire, volontairement et consciemment enfermé ensemble les personnes saines et les malades augmentant ainsi fortement le risque de transmission.

Cette aberration a été dénoncée d’emblée et ce n’est pas par ignorance que les dirigeants ont imposé cette absurdité.

Cela a été confirmé par la comparaison des courbes des contaminations en Belgique (confinée) et aux pays bas (non confinés)

En France, le confinement, l’interdiction de traitements précoces, l’impossibilité ou plutôt l’interdiction d’évacuer les malades âgés à l’hôpital et les difficultés, faute de moyens de les isoler dans les EHPAD a abouti à des pics de contaminations dans les lieux de vie des plus fragiles expliquant les pics de mortalités observés (en l’absence de traitement précoce autorisé).

Cette catastrophe du confinement était parfaitement prévisible depuis l’expérience du confinement de Marseille en 1720 qui a entraîné la mort de la moitié de la population confinée sans aucunement protéger les populations de Provence ni d’Italie !

Nous l’avions d’ailleurs rappelé dès le 4e jour du confinement 9 10 sans que les médias traditionnels ni Google ne reprennent l’information qui a été soigneusement occultée. Après 3 ans de recul, on constate que globalement ce sont les pays qui ont imposé les confinements les plus sévères qui ont le plus souffert du covid.

En France le confinement a multiplié les contaminations et a interdit les visites de leurs proches à leurs parents hospitalisés, alors que de telles visites constituent souvent le seul moyen de les motiver à vivre. Qui a imposé cet apartheid mortifère inhumain des vieux, non pas les boomers (tous plus de 70 ans) dans une volonté de suicide, mais les générations suivantes !

Le témoignage de ce fils est déchirant :

« Ma mère a 97 ans, elle vit seule chez elle et est autonome, mais le confinement est une maltraitance psychologique majeure pour les personnes dans sa situation. Si je comprends bien les recommandations officielles, je n’ai pas le droit de me rendre auprès d’elle pour lui prêter temporairement assistance. »11

Et cet autre : Hedwig, 79 ans, a été verbalisée pour avoir « stationné » à la fenêtre de la chambre de l’EHPAD de Graulhet (Tarn) où est hébergé Jean-Jacques, son mari de 93 ans. Chaque jour, Hedwig remplissait son attestation, cochait la case « assistance à personne vulnérable » et venait devant la fenêtre de plain-pied de sa chambre, 5 ou 10 minutes, pour que son mari puisse la voir. Munie d’une ardoise, elle lui adressait des petits messages à travers la vitre. Dans son fauteuil, Jean-Jacques qui ne peut pas bouger ne risquait pas d’ouvrir, mais il savait qu’Hedwig était là. Mais jeudi dernier, deux gendarmes ont interpellé Hedwig devant la fenêtre, l’ont verbalisée et renvoyée chez elle.

« Ils lui ont dit qu’elle n’avait pas le droit de stationner là et qu’elle le savait bien ».12

Et encore : Le 4 avril 2020, Patrice Dupas a été verbalisé alors qu’il souhaitait rendre visite à son père mourant. Son père est décédé quelques jours plus tard sans qu’il ait pu le voir. Comment peut-on avoir imaginé et accepté une telle inhumanité ?

Qui a osé poursuivre jusqu’à ce jour certaines restrictions en EHPAD13 et même à l’hôpital, alors que l’on sait la bénignité de ce virus aujourd’hui moins pathogène que la grippe saisonnière ? La torture des personnes âgées en EHPAD se poursuit sans l’ombre d’une explication sanitaire valable — interdiction de visites sans masques, pression pour des injections complémentaires dont l’inefficacité est maintenant évidente.

15 juillet 2022, il y avait 22 446 décès liés au coronavirus aux Pays-Bas qui ont refusé le confinement pour une population de 18 millions (1247/M) contre plus de 150 000 en France pour une population de 67 millions (2238/M) malgré les deux confinements que le gouvernement Macron nous a imposés 80 % de plus !

Ceux qui prétendent actuellement que ce sont les boomers qui ont demandé le confinement et qu’ils en auraient bénéficié reprennent en fait la désinformation du gouvernement qui essaie d’accuser les victimes des mesures ignobles et contraires à la science qu’il a imposées, victimes des confinements qui ont souffert des mortalités les plus élevées. Le but évident est de diviser les générations.

QUI A RAPIDEMENT INFORME QU’IL EXISTAIT UN TRAITEMENT SIMPLE ET EFFICACE DE LA PSEUDO PESTE ANNONCÉE PAR LE CROQUE MORT DU SOIR ?

Le Pr Raoult, Boomer lui aussi, a rapidement annoncé l’existence d’un traitement simple et efficace que les autorités, jeune président et jeunes ministres se sont empressés de calomnier et d’interdire ! La comparaison des données de l’OMS relatives aux mortalités observées en France (chloroquine interdite) et en Algérie (traitement Raoult conseillé) pays dont la proportion de personnes à risque (les plus de 65 ans) est semblable montre que nous aurions pu éviter plus de 120 000 morts par ce traitement.

Qui a imposé aux Français dans le silence quasi général l’injection expérimentale sous pression, restriction et avec l’accord voire l’aide de jeunes progressistes, écologistes, députés LFI, renaissance, etc.

LE POUVOIR, LES BOOMERS ET LEURS SUCCESSEURS

Il ne faut pas confondre la génération des boomers avec quelques milliardaires qui ont confisqué le pouvoir et distribué à leurs affidés. Chacun peut découvrir le système des Young leaders anglo-saxons14 et maintenant aussi chinois15 qui a permis depuis une quarantaine d’années de se repasser le pouvoir et les milliards, et les paradis fiscaux entre puissants choisis et convertis (ou conditionnés via les surveillances de leurs vies, cf. scandale Epstein). Il suffit d’examiner le profil de nous dirigeants, quasiment tous choisis par le WEF et Young leaders.

LES BOOMERS ET LA TÉLÉVISION

Quant aux boomers qui ont voté E Macron, ne sont-ils pas les victimes de la propagande permanente qui règne sur les médias officiels ? Qui possède ces médias ? Huit milliardaires. Qui se soumet à ces patrons si ce n’est nos journalistes fort bien rémunérés dont certains très jeunes et de bonne famille16 et qui obéissent au doigt et à l’œil pour intoxiquer les vieillards handicapés des EHPAD ou des résidences seniors qui sont installés devant la télévision toute la journée et gobent leur leçon du jour.
Quel âge ont les journalistes vedettes de nos journaux télévisés ?

ET qui a élu le président actuel et la chambre de nos députés soumis qui acceptent la vingtaine de 49 -3 d’affilée ? Certes certains boomers bien travaillés au corps par l’intoxication télévisée, mais aussi la majeure partie des cadres supérieurs, ingénieurs, enseignants et d’autres qui ont cru à la technologie, et au président des start-ups qui allait changer le monde.

LES VÉRITABLES RESPONSABILITÉS DES BOOMERS DATENT DE L’EUPHORIE DE L’APRÈS-GUERRE ET DES DÉCISIONS ERRONÉES QU’ILS ONT ACCEPTÉES

Il ne s’agit pas ici de nier ni exonérer les responsabilités des baby-boomers dans l’état actuel du monde occidental et singulièrement de la France, mais plutôt de remettre les choses dans l’ordre en lieu et place de cette simplification affligeante.

Les baby-boomers sont nés dans l’euphorie de la victoire sur le nazisme et l’abondance apparente fournie par le plan Marshall qui a astucieusement mis en place la colonisation de la France et de l’Europe par les États-Unis. Celui-ci s’est doté rapidement d’un instrument mortifère, la communauté européenne suivie de la création de l’UNION Européenne, basée sur les travaux des collaborateurs d’Hitler et de la construction du Reich.

Ils sont nés dans l’euphorie de la naissance de la sécurité sociale appliquant les programmes politiques de la résistance pour garantir à chaque français la protection sociale en cas de maladie et de chômage (cadeau aux classes populaires pour éviter une révolution rouge).

Ils ont découvert la machine à laver, le frigidaire et le plein emploi, même dans des conditions souvent difficiles de temps de travail (48 heures par semaine) et de distance… Grands et petits bonheurs après les drames et restrictions de la longue guerre.

Ils ont eu bien des torts et des responsabilités dans l’évolution de notre monde occidental actuellement en voie d’effondrement, après la sape insidieuse de ses principes. Cette génération s’est fait copieusement manipuler par la machine industrielle dénoncée par Mary Holland17 dans son discours à l’ONU en 2016 contre l’obligation vaccinale et la violation du code de Nuremberg.

Notre responsabilité à nous boomers est immense, mais absolument pas là où certains la voient, et n’est pas liée à la panique de la mort qu’à cet âge on a su, normalement, dominer.

Les boomers en état de penser, de parler, de transmettre, d’enseigner s’efforcent de tenter de mettre en garde les jeunes générations contre les dangers actuels du totalitarisme qu’ils reconnaissent comme le pendant du vécu de leurs parents pendant la période ayant précédé leur naissance 1870-1950.18

Les boomers ont voulu donner à leurs enfants une vie meilleure que la leur et ils y sont globalement parvenus. Leur tort principal de ne pas leur avoir enseigné qu’il fallait pour cela qu’ils travaillent et que les libertés ne durent que tant qu’on se bat pour elles. Cette éducation trop cool et permissive sous l’influence américaine, via les réformes de 1968, a peut-être facilité l’acceptation des confinements par les générations plus jeunes, mais les a conduits globalement dans une société du tout « tout de suite » et du prédigéré et du recul devant l’effort.

Les boomers aveuglés par les bons sentiments et les apparentes facilités du nouveau monde d’après-guerre ont la lourde responsabilité d’avoir laissé détruire l’école, que la génération des cinquantenaires actuels n’a pas su dénoncer ni réparer.19 Ils n’ont pas mesuré l’importance de l’influence des réseaux sociaux dans la vie des jeunes générations matraquées par la publicité intrusive et diffuse, leur faisant presque croire que la pseudo intelligence artificielle pourra tout remplacer du médecin à l’enseignant et même à l’élève pour rendre ses devoirs.

Les boomers et leurs enfants ont laissé l’UE détruire l’Europe sous les ordres des USA. Ils ont tout de même voté contre la Constitution européenne en 2005, mais, trahis par le président Sarkozy en 2007, ils se sont soumis à ce coup d’État insidieux asservissant progressivement toutes les professions jusqu’alors libres : destruction de l’éthique médicale et du système de santé, du métier d’agriculteur et de l’agriculture par des normes souvent absurdes et des contrôles incessants20, destruction de tous nos services publics, police, mairies en imposant partout internet comme seul interlocuteur, entraînant la désertification des campagnes au profit d’un entassement dans les villes de plus en plus invivables (le rêve du WEF d’imposer les villes de 15 min déjà repoussées par de nombreuses municipalités et citoyens en voie d’éveil).

Les boomers et leurs enfants ont laissé manipuler les plus jeunes par l’école soumise au programme du wokisme, prônant l’écologie punitive, l’éducation sexuelle à l’école intégrant la théorie du genre, et les miracles attendus de l’immigration, tous plans inclus dans les ordres du WEF et des Young leaders intronisés chaque année depuis 1970. Tous nos dirigeants jeunes en sont issus, de Gabriel Attal notre Premier ministre, à l’actuelle ministre de l’Éducation nationale et des Sports, Amélie Oudéa-Castéra.

Ce ne sont pas les boomers qui ont voulu les confinements qui ont ruiné la classe moyenne, mais les mondialistes et leurs complices rémunérés pour imposer les pseudo vaccins et multiplié les fortunes des milliardaires.

Prétendre qu’ils auraient été les instigateurs d’une mesure symbolique qui leur a été aussi néfaste, vise en fait à éluder la responsabilité des décideurs pour l’ensemble des mesures liberticides de la période de plandémie. Cette idée qui court montre l’aveuglement qui persiste de toute une population soumise et dans le déni, dont d’autres manifestations sont encore répandues comme la négation du nombre énorme des effets indésirables des injections ARNm et même du rôle pourtant indéniable de ce pseudovaccin dans l’explosion des turbocancers.

L’urgence n’est pas de séparer, diviser, opposer les générations, mais bien de sortir ensemble du déni de tyrannie et de la soumission généralisée qui a permis la destruction de notre monde et de tenter de le reconstruire ensemble pour l’avenir de nos petits-enfants et arrière-petits-enfants.





Pour échapper au totalitarisme écologique, il faut quitter l’UE !

Par le Dr Gérard Delépine

Chaque jour une nouvelle directive écologique de l’UE rogne nos libertés, nous rend la vie plus difficile, nous appauvrit. Quelques exemples.

La crise du logement fortement aggravée par l’UE et les mesures écologiques

La population française de souche n’augmente plus depuis déjà plusieurs années. La crise du logement que nous subissons est donc principalement due à l’afflux d’étrangers, souvent illégaux, que les écologistes et l’UE nous interdisent de refuser sous peine de 20000 euros par migrant1.

De plus les exigences des verts qui interdisent la location de ce qu’ils appellent passoires thermiques2 et qui exigent des travaux extrêmement coûteux, souvent peu efficaces, ont déjà retiré du parc locatif plusieurs centaines de milliers de logements bon marché en attendant d’en exclure plusieurs millions dans les prochaines années, si leur plan diabolique se réalise…Et comme les taux d’emprunts élevés et l’alourdissement important de la fiscalité sur les propriétés3 découragent déjà les investisseurs potentiels, la crise ne peut que s’amplifier…

La promesse écologique d’octroyer des logements faciles à chauffer se transforme progressivement en disparition de logement abordable. L’objectif des verts serait-il de transformer les pauvres en SDF pour leur bilan carbone bien meilleur ?

Les verts chassent les voitures des pauvres des centres-ville

Pour diminuer la pollution des villes, les élus verts font une guerre sans merci aux automobilistes. Après avoir fermé les voies sur berge, limité la vitesse de circulation à 30 Kms/H et rétréci la plupart des boulevards à une seule voie de circulation automobile, ils créent les zones à faible émission qui excluent des villes les voitures des classes moyennes. Mais, la circulation à basse vitesse dans des embouteillages permanents fait que malgré la baisse des émissions de polluants la concentration d’ozone n’a pas diminué dans l’air de Paris.

Pour travailler, les classes moyennes, contraintes de se loger en banlieue doivent supporter des transports en commun peu fréquents, souvent en panne, bondés, chers où l’insécurité règne en particulier pour les femmes. Aujourd’hui, 25 % des agressions et 40 % des vols non violents commis en Île-de-France se déroulent dans les transports en commun et on estime que 6 % des Franciliens ont déjà été victimes de l’un ou de l’autre pendant un trajet4.

Les écologistes préfèrent les punaises de lit et les rats aux pauvres !

La mairie de Paris finance des études et des entreprises de communication pour faire accepter la cohabitation avec les rats présentés comme nos semblables prêts à nous embrasser (les fameux surmulots) !

À Strasbourg, la majorité municipale défend une « régulation douce, non létale de ces animaux » qu’elle refuse d’appeler nuisibles. Caroline Zorn, coprésidente du groupe Strasbourg écologiste précise « je trouve même plutôt ça enthousiasmant qu’on utilise ce mot liminaire ».

Le mythe écologique de la mobilité électrique non polluante

Une propagande intense et des subventions colossales prélevées sur nos impôts incitent à convertir les véhicules thermiques en véhicules électriques sous prétexte d’une moindre empreinte carbone et d’une moindre pollution. Mais les calculs des écologiques ne tiennent pas compte des coûts sociaux et environnementaux de l’extraction des métaux rares nécessaires pour les batteries, ni des problèmes de leur recyclage fortement émetteur de CO2, ni des dégâts de la fabrication de la voiture en Chine, ni des graves nuisances générées par des centrales électriques au charbon qui ont été réactivées pour satisfaire à la demande après l’interdiction du gaz naturel russe.

Dans les pays qui ont généralisé avant nous les voitures électriques, beaucoup d’entre elles sont abandonnées dans d’immenses cimetières comme en Chine5

et certaines compagnies de location américaines les boudent 6.

La diminution des émissions de carbone grâce à la motorisation électrique dépend essentiellement de la manière dont l’électricité est produite. En Pologne la part du charbon dans la production d’électricité a avoisiné 80% en 2021 rendant actuellement l’utilisation d’une voiture électrique plus polluante que celle d’une voiture thermique à l’inverse de ce qu’on observe en Suède ou en Finlande où la production d’électricité repose sur des énergies renouvelables. Donc, avant de se féliciter de rouler grâce à l’électricité, il est prudent de vérifier comment il est produit et si la production possible sera suffisante.

Les taxes sur l’énergie menacent l’existence de nombreuses professions

Sous l’impulsion de l’UE et des écologistes, les taxes sur les énergies ne cessent d’augmenter sous des prétextes divers (combler le déficit créé par le « quoiqu’il en coûte », diminuer la pollution, soutenir l’Ukraine en refusant le gaz naturel russe…). Le prix de revient d’un litre de diésel avoisine les 80 centimes, mais il est vendu 2 euros (150% de taxes !). En France le coût moyen de l’électricité nucléaire qui représente 70% de notre consommation est de 0,04950€ le kWh. Le prix du kWh TTC pour les particuliers de 0.2276 € en janvier passera à 0,2516€ en février 2024 soit 400% de plus que son prix de revient.

Cette explosion des coûts met en péril de nombreuses professions qui consomment beaucoup d’énergie (boulangers, verriers, chauffeurs, taxi, pêcheurs7, agriculteurs…) dont les clients ne peuvent assumer pareilles augmentations. Il faut d’urgence limiter les taxes pour ces professions exposées.

Le tsunami des normes écologistes de l’UE et les contrôles tuent l’agriculture

Les écologistes de l’UE créent chaque jour de nouvelles normes qui noient les agriculteurs sous des monceaux de paperasse et des contrôles incessants qui les détournent de leurs champs près de la moitié de leur temps de travail8.

Le 28 février 2023, le ministre de l’Agriculture, Marc Fesneau a déclaré que la France, engagée dans une trajectoire européenne de neutralité carbone à l’horizon 2050, compte baisser de 46 % les émissions agricoles nationales, mais en réalité c’est la disparition de l’agriculture française qu’il prépare.

L’UE impose aux agriculteurs 14 normes pour les haies et leur dit quand les tailler. En cas d’infraction elle les menace jusqu’à trois ans d’emprisonnement et 150.000 euros d’amende, sans compter des suppressions des aides de la PAC, soit beaucoup plus que de nombreux délits pourtant plus graves tels que les vols, les violences aggravées, le port d’armes, l’agression sexuelle…

La politique pro Ukraine de l’UE aggrave l’impact des mesures précédentes

La volonté de l’UE et des dirigeants français d’aider l’Ukraine a ouvert en grand le marché agricole à des produits (comme le poulet industriel ou le blé) qui ne suivent pas les normes de l’UE imposées à nos agriculteurs.

Et les milliards qui permettraient de soulager la misère de nos agriculteurs sont envoyés en Ukraine où ils alimentent une corruption endémique.

Ils veulent faire disparaître nos animaux familiers et ceux qui nous nourrissent

Les vaches dont « les rots menaceraient la planète » sont menacées par les directives européennes qui veulent en diminuer le nombre de près de 50% pour nous forcer à consommer le lait de Nouvelle-Zélande 9 et la viande d’Amérique du Sud 10. Cette directive a déjà été appliquée en Irlande et aux Pays-Bas suscitant des manifestations et la création d’un parti pro agricole qui a fait basculer la majorité gouvernementale aux dernières élections néerlandaises.

Les chiens11 et les chats sont accusés de constituer des « catastrophes » pour la biodiversité et le climat12 13. Ils rejetteraient l’équivalent carbone de plus de 13 millions de voitures. Le gouvernement écolo d’Australie a investi 7,6 millions de dollars australiens dans Elixer3, un robot tueur de chat guidé par intelligence artificielle14 pour lutter contre la prolifération des félins sauvages. Et 5 députés européens veulent instituer une taxe de 100 euros par chien, taxe déjà en vigueur (pour un moindre montant) à Gérone en Espagne.

Il est stupéfiant de constater que les écologistes découvrent les lois de la nature et en particulier que tous les animaux supérieurs sont des carnivores qui ne peuvent vivent qu’aux dépens des espèces plus petites et que les herbivores sont les prédateurs des espèces végétales qu’ils dévorent.

Ils veulent interdire aux chasseurs de chasser

Les chasseurs représentent pour les écologistes le diable15 qu’il faut interdire pour protéger la vie animale. Depuis lors, les sangliers ont été multipliés par 20; ils causent chaque année 20 000 à 30 000 accidents de la route16 et rôdent dans les villes françaises, se nourrissent dans les poubelles17 obligeant à des battues administratives qui se déroulent parfois mal18.

Si on se soumet à leur dictature, les verts nous interdiront de boire du café !

Selon les chiffres de l’institut Carbone 4, l’empreinte carbone par personne en France est de 2,35 tonnes : 920 kg pour la viande, 450 kg pour les boissons, 390 kg pour le lait et les fromages, 240 kg pour les fruits et légumes, 230 kg dans la catégorie « autres » et 120 kg pour le poisson.

Et parmi les boissons, le café dont l’impact en matière de gaz à effet de serre serait de 5 kg de CO2/kg de café. Les écologistes menacent donc notre boisson matinale et voudraient nous imposer à la place des tisanes locales.

Des objectifs UE écologiques très peu plausibles et qui ne servent à rien

Dans le monde la France ne participe que pour moins de 1% du rejet de CO2 très loin derrière la Chine (33%) et les USA (12,6%) et l’Inde (7%) qui ne diminuent pas leurs émissions même lorsqu’ils signent les accords du GIEC.

La majorité des pays émergents fait des promesses pour recevoir nos subventions climat, mais ils ne pourront pas les respecter sans risque de troubles sociaux graves, car sortir de l’extrême pauvreté leurs populations constitue un objectif prioritaire totalement contradictoire avec les mesures de réductions énergétiques que nous prenons.

L’objectif écologique de l’UE est d’obtenir une diminution des émissions de CO2 d’ « au moins 55 % d’ici à 2030 »19. Ce qui représente plus du double de la réduction annuelle moyenne réalisée entre 1990 et 202020. Il n’est donc guère crédible malgré les méthodes totalitaires employées.

De même, la part des énergies renouvelables dans la consommation finale brute d’énergie de l’Europe n’a, depuis 2005, augmenté que de 0,8 % par an; il faudrait tripler ce taux pour atteindre l’objectif prévu de 45% d’énergies renouvelables ce qui paraît irréalisable compte tenu de la désaffection croissante pour les éoliennes https://x.com/Georges73922577/status/1751143592612024343?s=20

et les panneaux solaires achetés en Chine.

Et même si l’UE y parvenait cela ne représenterait qu’une diminution de 0,5% du total mondial alors que les gros émetteurs continuent d’augmenter leurs émissions rendant cette minime réduction européenne totalement inopérante.

L’UE et les écologistes nous imposent des contraintes majeures qui pourrissent nos modes de vie, créent du chômage et de la misère sans le moindre espoir plausible d’obtenir la moindre diminution des rejets mondiaux de CO2  .

Rappelons à cette occasion que le rôle nocif du CO² est loin d’être démontré. Citons par exemple le député européen roumain :

Au Parlement européen, l’eurodéputé roumain Cristian Terheș dément complètement le canular du « réchauffement climatique provoqué par l’homme » :

« Le CO2 est un gaz qui représente actuellement 0,041 % de l’atmosphère totale. Malgré ce faible pourcentage, depuis des décennies, des campagnes sont menées pour faire croire que le CO2 produit par l’homme est la cause du changement climatique. » « Les solutions proposées pour lutter contre le changement climatique sont des impôts plus élevés et davantage de contrôle de l’État, ainsi que moins de droits et d’options pour les citoyens… Évidemment, l’objectif déclaré est de changer nos comportements, alors que la lutte contre le changement climatique n’est qu’un prétexte pour le faire. »
Source : https://www.youtube.com/watch?v=PIvw0_kPCw4

@wide_awake_news
 : https://t.me/realwideawakemedia

Pour échapper au totalitarisme écologique, il faut quitter l’UE et sortir de la servitude intellectuelle qui pourrit nos sociétés21





« Un transgenre est une personne qu’on rend malade et dépendante à vie »

[Source : Stella Kamnga]

Si la transition de genre a toujours existé chez les adultes, l’irruption du phénomène de dysphorie de genre chez les enfants et les adolescents appelle à une extrême vigilance. Comment admettre, en effet, qu’un mineur, qui n’est pas assez mature pour voter ou avoir des relations sexuelles, puisse consentir à des traitements qui supprimeront sa fertilité et modifieront son corps de manière irréversible ?

Quelles sont les conséquences médicales des hormones, et quelles en sont les conséquences psychologiques et psychiatriques ? Pourquoi une prise en charge totale des traitements et opérations alors que l’OMS déclare que la dysphorie de genre n’est plus classée parmi les maladies ? Pourquoi la détransition reste-t-elle un phénomène tabou ? Comment le transgenrisme est-il entré dans le débat politique ? Autant de questions et de réponses pour éclairer les risques et les dérives de la transition de genre chez les mineurs.




Allemagne : pourquoi Scholtz n’a pas d’argent pour ses agriculteurs

Par Nicole Delépine

Les agriculteurs allemands ont décortiqué le budget de leur pays en cherchant à comprendre pourquoi on ne voulait pas baisser leurs taxes.

Si leurs chiffres sont justes, nos cheveux se dressent sur nos têtes. Les Allemands comme le français en ont assez de nourrir la terre entière quand deux agriculteurs français se suicident chaque jour et que leur revenu moyen est de l’ordre de 350 euros par mois, c’est-à-dire beaucoup moins que les étrangers venus illégalement en France.

Selon @BPartisans
Le 21 JANVIER 2024 :

Allemagne Les agriculteurs de Saxe ont calculé combien d’argent le gouvernement dépense à des fins étranges pendant la crise. Bien entendu, les Allemands fournissent cette information en se demandant pourquoi Scholz n’a pas d’argent pour les agriculteurs.

  • 28 milliards — pour la guerre et le financement des agences gouvernementales de l’Ukraine
  • 10 milliards d’euros pour la croissance des énergies vertes en Inde
  • 4 Milliards d’euros pour l’énergie verte en Afrique
  • 781 millions d’euros — pour le développement de la Syrie
  • 579 millions d’euros — pour le développement de l’Inde
  • 473 millions d’euros — pour le développement de la Chine
  • 392 millions d’euros — pour le développement de l’Éthiopie
  • 375 millions d’euros — pour le développement de la Turquie
  • 354 millions d’euros — pour le développement de l’Indonésie
  • 350 millions d’euros pour l’Irak
  • 345 millions d’euros pour la Jordanie
  • 327 millions d’euros — pour le développement de l’Afghanistan et d’autres pays
  • 87 millions d’euros pour la généralisation de l’assurance maladie en Tanzanie
  • 120 millions d’euros pour étendre l’utilisation des sources d’énergie renouvelable dans le réseau électrique du Pakistan
  • 94 millions d’euros — pour les réformes de la politique financière et climatique de la Zambie
  • 200 millions d’euros — pour mettre en œuvre les objectifs climatiques nationaux de la Colombie 184 millions d’euros pour la transformation verte, la réforme administrative et la lutte contre la corruption en Serbie
  • 40 millions d’euros pour les ménages dans le besoin afin d’atténuer la montée en flèche des coûts en Moldavie
  • 315 millions d’euros pour les bus et les pistes cyclables au Pérou
  • 640 millions d’euros pour des projets climatiques et les énergies renouvelables au Nigeria
  • 44 millions d’euros — pour la Palestine
  • 170 millions d’euros pour une transition énergétique socialement juste au Sénégal
  • 80 millions d’euros, notamment pour la production de produits de football en coton biologique en Inde
  • 100 millions d’euros, notamment pour l’éducation sexuelle au Mozambique

Nous répétons. Scholz dépense 100 millions d’euros pour l’éducation sexuelle au Mozambique.

Apparemment, il ne s’agit pas d’une idiotie, mais d’un sabotage délibéré de l’économie allemande. Des stratagèmes de corruption et des pots-de-vin aux décideurs ne peuvent pas non plus être exclus.

https://www.lindependant.fr/2024/01/19/blocus-des-agriculteurs-en-occitanie-si-gabriel-attal-ne-vient-pas-nous-voir-on-ira-le-chercher-a-matignon-en-tracteur-11706183.php




Danger de l’éducation sexuelle incluant la théorie du genre

[Publication initiale : docteur.nicoledelepine.fr]

[Illustration : les messages de Booba ont disparu de X, mais il en reste des traces.]

Par Nicole Delépine

Dysphorie de genre et enfance sacrifiée — DIJON — 13 JANVIER 2024
(PowerPoint. Ci-dessous, l’équivalent du diaporama en PDF 🙂

Merci à Réaction19 et ReinfoBourgogne pour cette conférence à 4 mains qui nous a permis de parler à nouveau du danger qui guette tous les enfants français de la maternelle au collège via les séances obligatoires d’éducation sexuelle, incluant la théorie du genre, puisqu’il s’agit de lutter contre les « stéréotypes » c’est-à-dire contre l’évidence de bon sens qu’il existe deux sexes depuis des millénaires.

INFORMEZ VOS PROCHES VOS ASSOCIATIONS VOS AMIS ET RELATIONS.

ON NE PEUT PAS LAISSER CASSER LES CERVEAUX DES ENFANTS PAR DES DISCOURS ET DES IMAGES PROCHES DE LA PÉDOPHILIE.

Distribuez des tracts comme ceux ci-dessous surtout à ceux qui ne fréquentent pas les réseaux sociaux et peuvent ignorer ces horreurs MERCI A TOUS. PROTÉGEZ NOS ENFANTS.

Ces violences psychiques entraînent des stress traumatiques peu curables et compromettent l’avenir des enfants soumis à ces « séances d’éducation sexuelle ».




STOP INJECTIONS POISONS, ET SINGULIÈREMENT CHEZ LES ENFANTS !

Par les Drs Gérard et Nicole Delépine

Il faut interdire les pseudovaccins covid chez l’enfant (et toute la population) inutiles et toxiques. Examen des faits au 15/12/2023.

Les seuls à se réjouir de la distribution du poison :

Il faut le redire encore et encore, car le ministre continue à faire une publicité mensongère largement diffusée (via nos impôts !). Craignons encore que l’argument d’autorité ne soit toxique et parfois fatal à trop de petits en influençant leurs parents !

Un beau cadeau de Noel : leur éviter les injections, poisons de degré très important et avec un long terme inconnu.

Et pourtant le ministère de la Santé, toutes les agences gouvernementales, l’Académie de médecine et les médias continuent de recommander les pseudo-vaccins anti-covid aux enfants de 6 mois à 4 ans. Ils continuent de prétendre qu’ils seraient utiles, efficaces et sûrs.

Mais que nous enseignent les données publiées par l’OMS sur les risques médicaux que la maladie fait courir aux enfants et sur l’efficacité des vaccins pour empêcher les contaminations et prévenir les formes graves ?

Le covid représente-t-il une menace réelle pour les enfants sains ?

L’infection Covid 19 n’est pas dangereuse pour l’enfant sain. Les enfants sont plus rarement infectés que les adultes ; ils ne font habituellement que des formes asymptomatiques et ne constituent pas un facteur notable de transmission du virus. Cela a été constamment démontré dans tous les articles médicaux, rappelé par la société française de pédiatrie, la presse internationale et l’OMS.

La bénignité du covid chez l’enfant est d’ailleurs illustrée par ce graphique de Santé Publique France :

Le covid menace moins les enfants que la grippe saisonnière contre laquelle la Haute Autorité de Santé n’avait jamais conseillé de vacciner les enfants jusqu’à cette année1. Cette recommandation antigrippale, fort mal justifiée, reconnaît d’ailleurs « l’absence de données de bonne qualité sur l’efficacité de la vaccination sur les hospitalisations ou les décès notamment chez les enfants âgés de moins de 2 ans ». La Haute Autorité de Santé n’hésite donc pas à conseiller un traitement en ne sachant pas vraiment s’il est efficace !

Les pseudo-vaccins Covid ne protègent pas des formes graves ni de la mort

Les essais randomisés n’ont pas recherché ni prouvé significativement un effet des injections sur les formes graves et les décès. Mais les données de l’OMS sur les populations vaccinées démentent les affirmations des agences françaises et prouvent que la généralisation des injections n’a pas permis de diminuer la mortalité attribuée au covid. La courbe de la mortalité mondiale n’a en effet pas été infléchie par les pseudo-vaccins administrés aux populations à risque :

En France, en septembre 2022, la quasi-totalité des personnes à risque étaient vaccinées contre le covid ; cela ne les a pas protégées des formes graves ni de la mort.

Le gouvernement, les agences sanitaires et les médias français ont prétendu que seuls les non injectés mourraient. Mais la saisine de l’autorité de la transparence pour obtenir les données brutes de mortalité par statut vaccinal s’est vue répondre « de telles données n’existent pas ». Comment peut-on encore croire les affirmations gouvernementales basées sur l’absence de données ? D’autant que la comparaison des mortalités covid observées dans les pays riches (les plus vaccinés) et les pays africains pauvres (peu ou non vaccinés) montrent que ce sont les pays apôtres du tout vaccin qui souffrent des mortalités les plus fortes.

Un risque de formes graves quasi nul chez l’enfant, des pseudo vaccins incapables de prévenir les formes graves… Comment peut-on imaginer qu’un enfant pourrait espérer le moindre bénéfice personnel de cette injection ?

Les enfants porteurs du sars-cov-2 ne constituent pas des vecteurs notables de transmission

Les articles médicaux publiés dans les grandes revues, les enquêtes épidémiologiques réalisées en France et à l’étranger, la Société Française de Pédiatrie, la presse internationale et l’OMS affirment tous que les enfants sont contaminés par les adultes et ne transmettent guère le virus.

L’expérience personnelle de chacun de covid transmis autour de soi par des vaccinés et les données de l’OMS démontrent que les vaccins sont incapables d’empêcher les transmissions.

Les personnes fragiles ne peuvent donc espérer aucun bénéfice de l’injection aux enfants de produits n’empêchant pas les transmissions !

Vacciner son enfant contre le covid l’expose à de multiples complications

Aucun traitement actif n’est exempt de complications, mais les risques des injections covid sont particulièrement élevés déjà à court et moyen terme et le futur reste encore plus flou et inquiétant.2

Les myocardites

Les atteintes cardiaques du cœur survenant brutalement chez l’enfant en bonne santé étaient devenues exceptionnelles depuis la disparition du rhumatisme articulaire aigu grâce au traitement par pénicilline des angines à streptocoque.

Mais depuis les vaccinations des enfants, les myocardites réapparaissent, ainsi que l’ont signalé les médecins israéliens dès octobre 20213.

Les analyses aux USA ont confirmé que le nombre de cas observés après vaccin covid dépassait le nombre attendu de cas dans le groupe d’âge des 16-24 ans : 32 fois plus de myocardites qu’escompté chez les garçons de 12-17 ans, 27 fois plus chez les 18-24 ans4. Ces cas s’observent principalement chez les hommes et se développent peu de temps après l’administration de la 2e dose5.

L’étude du ministère de la Santé d’Israël, pays avec l’un des taux de vaccination les plus élevés au monde, évalue le risque de myocardite après avoir reçu la 2e dose de vaccin entre 1 sur 3 000 et 1 sur 6 000 chez les hommes de 16 ans à 24 ans et 1 sur 120 000 chez les hommes de moins de 30 ans.

Une étude stratifiée du VAERS montre que le risque de myocardite avec troponine élevée chez les adolescents de 12 à 17 ans après vaccin est de 2,6 à 6,1 fois plus élevé que le risque d’hospitalisation à 120 jours pour la maladie Covid en août aux USA.

Le CDC estime le risque d’accidents cardiaques nécessitant une hospitalisation à 62 par million d’injections chez les garçons de 12 à 15 ans et à 94 cas/million chez les 15-17 ans.

En se limitant aux seuls effets cardiaques (myocardites et péricardites en particulier), on peut conclure que la vaccination contre la Covid-19 chez les adolescents américains en bonne santé est plus dangereuse que le risque de la maladie elle-même.

La myocardite aiguë est l’une des causes de mort subite à l’effort chez les sportifs et les médecins et cardiologues recommandent de ne pas effectuer d’efforts physiques intenses dans la semaine qui suit la vaccination. Comme les myocardites sont aggravées par l’effort, elles sont fortement soupçonnées d’être responsables de nombreuses pertes de connaissance et de morts brutales des sportifs.

L’agence de presse allemande a dressé une liste de 75 athlètes européens décédés « soudainement » au cours des 5 derniers mois depuis qu’ils ont été complètement vaccinés. F-Dagoury, meilleur plongeur en apnée du monde, a souffert d’une myocardite et d’une péricardite 40 jours après sa deuxième dose Pfizer. Le plongeur a consulté un cardiologue qui lui a dit que c’était un effet secondaire courant du Pfizer.

Non, avant les injections covid les crises cardiaques qui tombent du ciel n’étaient pas habituelles chez les jeunes qui jouaient au foot dans la cour. Nous avons tous des enfants à l’école ou des petits-enfants. Combien de fois par le passé récent (avant la mascarade Covid), avez-vous entendu parler de décès brutal au cours d’un cours d’éducation physique selon le vieux terme ? Jamais ! Cessez de croire aux balivernes tragiques de journalistes corrompus ou ayant perdu tout bon sens depuis la coronafolie. Si vous avez des vaccinés autour de vous, surveillez leur cœur en particulier par des dosages sanguins de D-dimères et CPK MB et des consultations cardiologiques.

D’autres complications moins dramatiques affectent les performances des sportifs en affectant particulièrement le métabolisme anaérobie particulièrement utile lors des épreuves de haut niveau. Les Belges ont été les premiers à remarquer une baisse de 10 à 20 % des performances de leurs footballeurs6 7 particulièrement dans les dernières minutes du match, souvent les plus cruciales pour le résultat final. Depuis, de nombreux athlètes ont dû déclarer forfait à des compétitions pour lesquelles ils s’étaient préparés, ou interrompre leur saison sportive (Jérémy Chardy, Antoine Méchin ou Christophe Lemaitre…). On peut même se demander si les performances exceptionnelles actuelles de Djokovic ne seraient pas en partie facilitées par le fait qu’il a opiniâtrement refusé cette vaccination Covid que ses concurrents ont été contraints d’accepter pour pouvoir continuer à jouer durant la crise covid.

Des troubles neurologiques post vaccinaux divers ont été recensés par l’OMS. Au 29 juin 2021, 1,256 « polyneuropathies aigues » ont été signalés (422 États-Unis, 387 UK, 328 Europe [40 France) et 119 ailleurs). Les paralysies faciales8 et syndromes de Guillain Barré post vaccinaux initialement observés en Inde et en Angleterre9 10 et en Australie 11 marqués par des paralysies d’étendue et de gravité variable pouvant entraîner la mort.

Selon l’Agence américaine du médicament (FDA), le vaccin Janssen de Johnson & Johnson serait lié à un « risque accru » de développer le syndrome de Guillain Barré12. Il s’agit d’un effet secondaire rare, mais possible observé chez 100 personnes sur près de 12,5 millions de doses administrées du vaccin Johnson & Johnson. Sur les 100 cas, 95 étaient graves nécessitant une hospitalisation d’urgence.

Cette complication a été également reconnue par l’agence européenne du médicament dont Le Comité d’évaluation des risques en matière de pharmacovigilance de l’EMA a conclu « qu’une relation causale entre Vaxzevria et le syndrome de Guillain-Barré est considérée au moins comme une possibilité raisonnable »13. Ajoutant : « Le syndrome de Guillain-Barré devrait donc être ajouté aux informations sur le produit en tant qu’effet secondaire de Vaxzevria ».

Au Pérou, dont plus de 85 % de la population est vaccinée, l’explosion récente des cas de Guillain Barré a même fait déclarer l’état d’urgence sanitaire !

Risques de myocardite, de paralysie, et toute autre complication neurologique cognitive, thrombocytopénie, hémorragie cérébrale, etc.. Nous avons récemment insisté sur l’épidémie de turbocancers14 qui n’épargnent pas les enfants. Chez ces derniers on verra surtout des leucémies et lymphomes et surtout des tumeurs cérébrales d’évolution rapide et résistantes à tout traitement. Pourra-t-on longtemps à parler de coïncidence ?

Quel parent censé pourrait faire courir de tels risques à son enfant pour un vaccin qui ne peut lui apporter aucun bénéfice personnel, ni protéger les personnes fragiles qu’il côtoie ? Juste par obéissance ou déni ?

Les preuves de la dangerosité et de l’inefficacité s’accumulent15, mais nos ministres successifs dans le déni continuent de recommander le poison au prix d’énormes mensonges et de dégâts dans la population. Ne réalisent-ils même pas qu’ils se mettent eux-mêmes en danger au moins juridique (car ne sont pas forcément réellement injectés16) comme le ministre italien sous le coup d’une enquête judiciaire ?17

NE VACCINEZ PAS VOS ENFANTS, ils vous en seront reconnaissants.





L’idéologie contre la science et la médecine

[Source : Chaîne officielle TVL]

Nicole Delépine est pédiatre et oncologue en retraite, Gérard Delépine est chirurgien orthopédiste et oncologue en retraite. Après une vie professionnelle marquée par un engagement total au service des malades et tout particulièrement des enfants, ils poursuivent inlassablement leur mission pour alerter le plus grand nombre sur les dangers qui menacent tous les pans de la santé publique.

Leur dernier ouvrage, Dysphorie de genre, publié aux Éditions Fauves, (disponible ici 📖 https://boutiquetvl.fr/notre-selection/nicole-et-gerard-delepine-dysphorie-de-genre) n’échappe pas à la règle. Il est un manuel pour comprendre, décrypter et résister à la propagande woke qui contamine les écoles et déboussole les enfants jusqu’à leur nuire dans leur être profond.

À l’heure du relativisme, de la corruption généralisée, des études tronquées et caviardées, d’une science idéologisée et d’une médecine mise en coupe réglée par l’État, ils publient un livre édifiant sur les ravages de la promotion de la dysphorie de genre.

Nicole Delépine et Gérard Delépine expliquent combien le seul souci fondamental d’un bon médecin doit être la prise en charge du patient dans sa singularité, dans une atmosphère de confiance totale, seul principe lui permettant ensuite de donner son consentement éclairé.




Turbos cancer et surmortalité mondiale : ne vous faites plus ou pas injecter !

Le point le 18 décembre 2023

Par Nicole Delepine

Les autorités françaises continuent à inciter la population à se faire injecter les pseudovaccins anticovid, éventuellement associées au vaccin contre la grippe (ce qui aggrave le risque d’AVC) y compris chez les enfants. Aberrant (aucun risque du Covid et très faible risque de la grippe).

Ils n’hésitent pas à falsifier les résultats actuels en France et à nier les effets dévastateurs des injections démontrés dans de nombreux autres pays. Ils reprennent ainsi le vieux mythe du temps de Tchernobyl : « grâce à nos frontières qui existent encore pour nous protéger des virus et des complications des vaccins, pas de problème ».

Ne pouvant plus nier les multiples accidents cardiaques ni l’augmentation de la mortalité constatés chez nos proches ou amis, l’inénarrable Libération prétend qu’ils seraient liés au vilain virus qui tuerait à retardement et même peut être au « port du masque tombé en désuétude » ! Mais n’espérez pas que les injections qui ont été incapables de vous protéger hier vous protégeraient demain. Elles sont déjà responsables de nombreuses victimes par le monde, et il n’est pas nécessaire d’en rajouter !

Il semble donc opportun de rappeler à tous, y compris ceux qui croient que la plandémie covid 1 est terminée, que le risque de ces injections expérimentales est élevé à moyen terme et encore impossible à estimer à long terme.

En effet, après l’apparition des accidents cardiaques y compris brutaux, puis des atteintes neurologiques, des troubles des règles et de la fertilité et des turbocancers depuis quelques mois, chacun doit s’inquiéter et surtout éviter de s’injecter à nouveau ou de faire injecter les enfants ou les personnes âgées qui nous font confiance. L’apparition de dissonances cognitives plus tardive fait craindre que nous ne soyons pas au bout de nos découvertes post-poison.

En attendant, un seul mot d’ordre devrait inonder la planète à la suite des spécialistes comme Alexandra Henrion Caude2, Robert Malone ou le Dr Makis pour n’en citer que trois mondialement connus :

STOP AU POISON PARTOUT DANS LE MONDE !

Ainsi les turbocancers que nous évoquions il y a déjà deux ans se sont multipliés depuis quelques mois par centaines laissant craindre une explosion de cancers à distance des injections.

Voici par exemple la distribution des cancers au Royaume-Uni rapporté par le cancérologue William Makis3 :

Alors Pfizer veut nous rassurer et certainement aussi améliorer ses perspectives de ventes : il achète les labos fabriquant les remèdes contre le cancer. Ainsi Makis, le 14 décembre 2023 dans un nouvel article, met en exergue l’acquisition par Pfizer de la firme Seagen pour 43 milliards de dollars pour une petite entreprise de médicaments contre le cancer qui gagne à peine 2 milliards de dollars par an. Cherchez la raison. D’autant que Pfizer émettra également 31 milliards de dollars de dette pour l’acquérir.

Que se cache-t-il dans ces détails si ce n’est le fait que les vaccins anticovid provoquent de nombreux turbocancers, ce qui permettra, Pfizer l’espère, de traiter les maladies qu’on a créées ?

Dans la description de Makis 5 principaux cancers apparaissant chez les injectés à l’ARNm

  • Des lymphomes de différents types,
  • Des cancers du cerveau (surtout glioblastomes)
  • Des cancers du sein surtout triples négatifs avancés (stade 3 ou 4)
  • Des cancers du poumon le plus souvent stade 4 d’emblée
  • Mais aussi des leucémies graves, des mélanomes stade 4, des sarcomes (stade 3 et 4), des cancers du testicule et ovaire, de progression rapide et des cancers du rein (stade 4)

La nouvelle acquisition de Pfizer permettra de traiter deux de ces cancers et Bourla le PDG annonce, au cours d’une tournée publicitaire, que 33 % des gens auront un cancer. C’est un bon commerçant et il continue ses pronostics morbides, tout en vantant l’efficacité de ses futurs produits ciblés et sa capacité grâce à son réseau mondial de « disposer de moyens rapides de finir les essais cliniques ! » Pourquoi a-t-il besoin de tant d’antipoison si ce n’est qu’il SAIT ce qu’ils ont fait ?4

Ces nouveaux traitements seraient « des missiles » contre le cancer. Et quoi encore ? En tous cas tout est bien planifié. Un bien portant n’est pas un client, alors les rendre malades puis produire des médicaments pour guérir des maladies induites par les poisons et ainsi de suite, le rêve de tout patron d’entreprise de médicaments.

Malheureusement, nous ne pouvons actuellement que constater la surmortalité démontrée depuis 2021 dans de nombreux pays plus transparents que le nôtre. Cette surmortalité, toutes causes confondues, est probablement liée en grande partie aux complications du poison injecté, car ce sont les pays les plus injectés qui ont la surmortalité la plus forte.

Voici quelques tableaux d’information afin de vous faire votre propre opinion :

Sources :
@felicittina #Surmortalité @HMDatabase continue à produire ces chiffres de surmortalité sans qu’aucun des grands instituts qui l’ont créée (Berkeley, Max Planck, @InedFr il ne semble s’en intriguer. On y trouve pourtant les plus prestigieux démographes…]

Sur l’ensemble des 26 pays, la surmortalité « post-ARNm » représente 2,4 fois celle constatée précédemment :

Et ça continue :

Les chiffres sont malheureusement très parlants et BFM Tv est encore actuellement en train de nier les effets secondaires du poison-vaccin.

Écoutez pour conclure la dernière interview de Didier Raoult :





Guide de survie pour sauver Noël 2023 ?

Libé publie un guide de survie pour sauver Noël du Covid… quelle blague !

Par Nicole Delépine

Dans un article récent publié par Libération et intitulé « Recrudescence du Covid : un guide de survie pour sauver Noël 2023 »le médecin et écrivain Christian Lehmann essaie de réveiller la peur en agitant le fantôme du Covid qui menacerait les fêtes de Noël et donne « la solution » : le port du masque…  

Pour démontrer la gravité du danger Covid immédiat, il ne donne pas de chiffres actualisés de malades ou de morts, mais insiste sur l’augmentation des variants dans les eaux usées, de tests positifs (dont la non-spécificité est établie [1]) et de celle des consultations pour suspicion de Covid 

A-t-il eu le temps de consulter les données officielles actuelles de l’OMS qui l’auraient rassuré sur les incidences et mortalités actuelles extrêmement faibles du Covid ? Nous les lui rappelons.

Le Covid a déserté la France depuis près de 12 mois

Les chiffres officiels de l’OMS, rapportés et mis en courbe par l’université John Hopkins, que l’on peut obtenir à sur ourworldindata.org montrent, qu’en France, le nombre de cas quotidiens de Covid est proche de zéro depuis presque un an !

Le docteur Lehmann a-t-il pu ignorer ces chiffres et cette courbe qui démentent totalement toute recrudescence du Covid en France ?

D’autant que depuis le 30 juin, le Covid-19 a été ajouté à la liste des maladies à déclaration obligatoire en France et qu’on ne peut donc plus prétendre que « les malades sont ignorés ».

Libé aurait-il oublié que la charte des journalistes [2] impose de vérifier les informations auprès de sources indiscutables avant publication ?

De plus, selon les statistiques officielles de l’OMS que l’on peut consulter en français, la mortalité attribuée au Covid est inférieure à 0,000001 depuis plus de six mois :  

Le docteur Lehmann et Libération publient donc un guide de survie contre un virus qui ne rend plus malade et ne tue plus en France ! 

Lors de l’épidémie de grippe asiatique de 1957, le gouvernement considérait qu’elle « ne justifiait pas d’inquiétude particulière » et exhortait les Français à « ne pas ajouter l’hystérie à la maladie » pour ne pas en aggraver les conséquences. 

Aujourd’hui, cet article mensonger de Libération vise à créer une hystérie pour une maladie qui n’existe plus !

Contre les virus, le port du masque ne sert à rien

Lorsqu’on souffre d’une infection bactérienne respiratoire (comme la tuberculose ou la pneumonie), porter un masque diminue le risque de la disséminer. 

Mais, aucune étude n’a jusqu’ici démontré que le masque pouvait protéger contre les virus dans le monde réel.

Pour la grippe, les très nombreuses études sur le sujet, dont plusieurs essais prospectifs randomisés, n’ont pas permis de démontrer que le port généralisé du masque pourrait interrompre la transmission des virus grippaux [références 3 à 22]. La revue exhaustive de la littérature réalisée par la fondation Cochrane [23] confirme l’inefficacité des masques pour réduire la transmission des virus respiratoires et conseille des interventions simples et peu coûteuses, comme l’hygiène des mains [24]. 

Il en est de même pour le Covid où les masques chirurgicaux (en papier et non étanches) ne protègent pas le personnel soignant [25 à 31]. Cette inefficacité des masques contre la transmission du Covid est d’ailleurs confirmée par le seul essai randomisé publié sur le sujet [32].

Actuellement, alors que l’épidémie a quasiment disparu en France, pourquoi faire une telle publicité en faveur du port du masque ? Le port du masque ne constitue qu’un signal d’obéissance, de soumission aux prétendus experts des médias et aux autorités représentées par le ministre de la Santé qui a prétendu le dimanche 27 août 2023 [33] que «  le port du masque doit devenir ‘banal’, parce qu’il est vital ». Aurélien Rousseau et ses conseillers paraissent, eux aussi, ignorer la littérature médicale…

Ceux qui croient à l’efficacité du masque contre les virus devraient se demander pourquoi les grandes pandémies virales (grippe, covid) naissent, croissent et se diffusent toujours d’abord dans les pays les plus adeptes du masque. 

Contre le Covid, les traitements précoces sont efficaces

Notre expérience personnelle de plus d’une quarantaine de malades nous a montré que les ceux-ci, traités dès le début de la maladie par le protocole Raoult ou l’Ivermectine, voyaient leurs symptômes disparaître en deux à trois jours.

L’efficacité du protocole Raoult a été confirmée par les autorités sanitaires des pays qui en ont fait usage (Algérie, Sénégal, Côte d’Ivoire) et par la comparaison des mortalités par million d’habitants publiée par l’OMS de pays comme la France ou la Tunisie qui l’ont refusé et les autres :

De même, l’efficacité de l’ivermectine a été démontrée par plus d’une dizaine d’études randomisées, principalement effectuées dans les pays pauvres [34 à 38]. Le cas de l’inde est d’ailleurs très démonstratif :

Mortalités comparées Europe, France et Inde :

comparatif europe inde

Si vous craignez le Covid, plutôt que d’acheter des masques inefficaces, conservez dans votre pharmacie des antibiotiques, de la chloroquine ou de l’ivermectine. 

Dans son article de Libération, le docteur Lehmann a menti sur la prétendue menace Covid actuelle et sur l’efficacité des masques, mais aussi par omission en ne citant pas les traitements précoces.

Ne craignez plus les prophètes de malheur

Qui n’hésitent pas à mentir pour vous pousser à porter des masques et à vous faire administrer des pseudo-vaccins inefficaces et dangereux. Profitez des fêtes de Noël et embrassez ceux qui vous sont chers.

Et, si une nouvelle épidémie survenait, utilisez les traitements que vous avez mis en réserve.

Nicole Delépine est l’ancienne chef du service d’oncologie pédiatrique de l’hôpital de Garches.


Références :

[1] chez les personnes asymptomatiques la positivité annonce une maladie dans moins de 3% des cas. Les autres sont des faux positifs

[2] Chartes des journalistes https://cdjm.org/les-chartes/

[3] Suess T, Remschmidt C, Schink SB, et al. The role of facemasks and hand hygiene in the prevention of influenza transmission in households: results from a cluster randomised trial; Berlin,Germany, 2009-2011. BMC Infect Dis. 2012;12(1):1-16.

[4] Barasheed O, Almasri N, Badahdah AM, et al. Booy on behalf of the Hajj Research Team. Pilot randomised controlled trial to testeffectiveness of facemasks in preventing influenza-like illness transmission among Australian Hajj pilgrims in 2011. Infect Disord Drug Targets. 2014;14(2):110-116.

[5] Aiello AE, Perez V, Coulborn RM, Davis BM, Uddin M, Monto AS. Facemasks, hand hygiene, and influenza among young adults: a randomized intervention trial. PLoS One. 2012;7(1):e29744.

[6] MacIntyre CR, Cauchemez S, Dwyer DE, et al. Face mask use and control of respiratory virus transmission in households. Emerg Infect Dis. 2009;15(2):233.

[7] MacIntyre CR, Zhang Y, Chughtai AA, et al. Cluster randomised controlled trial to examine medical mask use as source control forpeople with respiratory illness. BMJ Open. 2016;6(12).

[8] Cowling BJ, Chan KH, Fang VJ, et al. Facemasks and hand hygiene to prevent influenza transmission in households: a cluster randomized trial. Ann Intern Med. 2009;151(7):437-44

[9] Cowling BJ, Fung RO, Cheng CK, et al. Preliminary findings of a randomized trial of non-pharmaceutical interventions to preventinfluenza transmission in households. PLoS One. 2008;3(5): e2101.

[10] Larson EL, Ferng YH, Wong-McLoughlin J, Wang S, Haber M,Morse SS. Impact of non-pharmaceutical interventions on URIsand influenza in crowded, urban households. Public Health Rep.2010;125(2):178-191

[11] Simmerman JM, Suntarattiwong P, Levy J, et al. Findings from a household randomized controlled trial of hand washing and face masks to reduce influenza transmission in Bangkok, Thailand.Influenza Other Respir Viruses. 2011;5(4):256-267.

[12] Jacobs JL, Ohde S, Takahashi O, Tokuda Y, Omata F, Fukui T. Use of surgical face masks to reduce the incidence of thecommon cold among health care workers in Japan: a randomized controlled trial. Am J Infect Control. 2009;37(5):417-419.

[13] Long Y, Hu T, Liu L, et al. Effectiveness of N95 respirators versus

surgical masks against influenza: a systematic review and metaanalysis. J Evid Based Med. 2020;13(2):93-101.

[14] Cowling BJ, Zhou YDKM, Ip DKM, Leung GM, Aiello AE. Face masks to prevent transmission of influenza virus: a systematicreview. Epidemiol Infect. 2010;138(4):449-456.

[15] bin-Reza F, Lopez Chavarrias V, Nicoll A, Chamberland ME. The use of masks and respirators to prevent transmission of influenza:a systematic review of the scientific evidence. Influenza Other Respir Viruses. 2012;6(4):257-267.

[16] Smith JD, MacDougall CC, Johnstone J, Copes RA, Schwartz B, Garber GE. Effectiveness of N95 respirators versus surgical masks in protecting health care workers from acute respiratory infection: a

systematic review and meta-analysis. CMAJ. 2016;188(8):567-574.

[17] Offeddu V, Yung CF, Low MSF, Tam CC. Effectiveness of masks and respirators against respiratory infections in healthcare workers: a systematic review and meta-analysis. Clin Infect Dis. 2017;65(11):1934-1942.

[18] Radonovich LJ, Simberkoff MS, Bessesen MT, et al. N95 respirators

vs medical masks for preventing influenza among health care personnel: a randomized clinical trial. JAMA. 2019;322(9):824-833

[19] Aiello AE, Murray GF, Perez V, Coulborn RM, Davis BM, Uddin M, Shay DK, Waterman SH, Monto AS. Mask use, hand hygiene, and seasonal influenza-like illness among young adults: a randomized intervention trial. J Infect Dis. 2010 Feb 15;201(4):491-8. doi: 10.1086/650396. PMID: 20088690.

[20] Xiao J, Shiu EYC, Gao H, Wong JY, Fong MW, Ryu S, Cowling BJ. Nonpharmaceutical Measures for Pandemic Influenza in Nonhealthcare Settings-Personal Protective and Environmental Measures. Emerg Infect Dis. 2020 May;26(5):967-975. doi: 10.3201/eid2605.190994. Epub 2020 May 17. PMID: 32027586; PMCID: PMC7181938.

[21] Lee LY, Lam EP, Chan CK, Chan SY, Chiu MK, Chong WH, Chu KW, Hon MS, Kwan LK, Tsang KL, Tsoi SL, Wu CW. Practice and technique of using face mask amongst adults in the community: a cross-sectional descriptive study. BMC Public Health. 2020 Jun 16;20(1):948. doi: 10.1186/s12889-020-09087-5. PMID: 32546228; PMCID: PMC7296904.

[22]Haworth E, Barasheed O, Memish ZA, Rashid H, Booy R. Prevention of influenza at Hajj: applications for mass gatherings. J R Soc Med. 2013 Jun;106(6):215-23. doi: 10.1258/jrsm.2012.120170. PMID: 23761581; PMCID: PMC3705423.

[23] Jefferson T, Dooley L, Ferroni E, Al-Ansary LA, van Driel ML, Bawazeer GA, Jones MA, Hoffmann TC, Clark J, Beller EM, Glasziou PP, Conly JM. Physical interventions to interrupt or reduce the spread of respiratory viruses. Cochrane Database Syst Rev. 2023 Jan 30;1(1):CD006207. doi: 10.1002/14651858.CD006207.pub6. PMID: 36715243; PMCID: PMC9885521.

[24] Jefferson T, Del Mar CB, Dooley L et al. Interventions physiques pour interrompre ou réduire la propagation des virus respiratoires . Système de base de données Cochrane Rév. 2011 ; 6 :CD006207. [

[25] Greenhalgh T Schmid MB Czypionka T, et al. . Masques faciaux pour le public pendant la crise du covid-19 . BMJ 2020 ; 369 : m1435.

[26] Chu DK Akl EA Duda S, et al. . Distanciation physique, masques faciaux et protection des yeux pour prévenir la transmission de personne à personne du SRAS-CoV-2 et du COVID-19 : une revue systématique et une méta-analyse . Lancet 2020 ; 395 : 1973-1987.

[27] Howard J Huang A Li Z, et al. . Un examen des preuves des masques faciaux contre COVID-19 . Proc Natl Acad Sci USA 2021 ; 118 :e2014564118.

[28] Mahase E. Covid-19 : quelles preuves pour les masques en tissu ? BMJ 2020 ; 369 :m1422.

[29] Bartoszko JJ Farooqi MAM Alhazzani W, et al. . Masques médicaux vs respirateurs N95 pour la prévention du COVID-19 chez les travailleurs de la santé : une revue systématique et une méta-analyse d’essais randomisés . Grippe autres virus respiratoires 2020 ; 14 :365-373.

[30] Wang J Pan L Tang S, et al. . Utilisation du masque pendant COVID-19 : une stratégie ajustée en fonction des risques . Environ Pollution 2020 ; 266 : 115099

[31] Hsiao TC Chuang HC Griffith SM, et al. . COVID-19 : le point de vue d’un aérosol de l’expiration à la transmission au mécanisme viral . Aérosol Air Qual Res 2020 ; 20 :905-910.

[32] Henning Bundgaard, DMSc, Johan Skov Bundgaard, BSc and all Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask Wearers A Randomized Controlled Trial Annals of Internal Medicine18 November 2020 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33205991/

[33] dans l’émission « L’événement du dimanche LCI »

[34] Waheed M Shoumann, Abdelmonem Awad Hegazy, Ashraf E. Sileem Use of Ivermectin as a Potential Chemoprophylaxis for COVID-19 in Egypt: A Randomised Clinical Trial Medicine, Environmental Science Journal of Clinical and Diagnostic Research 2021

[35] Kory P, Meduri GU, Varon J, Iglesias J, Marik PE. Review of the Emerging Evidence Demonstrating the Efficacy of Ivermectin in the Prophylaxis and Treatment of COVID-19. Am J Ther. 2021 Apr 22;28(3):e299-e318.

[36] Kerr L, Baldi F, Lobo R, Assagra WL, Proença FC, Chamie JJ, Hibberd JA, Kory P, Cadegiani FA. Regular Use of Ivermectin as Prophylaxis for COVID-19 Led Up to a 92% Reduction in COVID-19 Mortality Rate in a Dose-Response Manner: Results of a Prospective Observational Study of a Strictly Controlled Population of 88,012 Subjects. Cureus. 2022 Aug 31;14(8):e28624. doi: 10.7759/cureus.28624. PMID: 36196304; PMCID: PMC9525042.

[37] Azeez TA, Lakoh S, Adeleke AA, Balogun OT, Olanipekun BJ, Olusola FI. Chemoprophylaxis against COVID-19 among health-care workers using Ivermectin in low- and middle-income countries: A systematic review and meta-analysis. Indian J Pharmacol. 2021 Nov-Dec;53(6):493-498. doi: 10.4103/ijp.ijp_117_21. PMID: 34975139; PMCID: PMC8764977.

[38] Chahla RE, Medina Ruiz L, Ortega ES, Morales Rn MF, Barreiro F, George A, Mancilla Rn C, D’ Amato Rn S, Barrenechea G, Goroso DG, Peral de Bruno M. Intensive Treatment With Ivermectin and Iota-Carrageenan as Pre-exposure Prophylaxis for COVID-19 in Health Care Workers From Tucuman, Argentina. Am J Ther. 2021 Aug 16;28(5):e601-e604. doi: 10.1097/MJT.0000000000001433. PMID: 34491960; PMCID: PMC8415509.




Les Français doutent du Gardasil, le refusent largement : il faut continuer à informer !

Par Dr Delépine

Le gardasil n’a jamais démontré son utilité contre les cancers du col ou de l’anus, qui se développent lentement sur des décennies. Son efficacité contre les infections à papillomavirus (HPV) n’a que peu d’intérêt contre une contamination qui guérit spontanément chez 90 % des gens. Ses potentielles complications (perte de la fertilité, accidents neurologiques, etc.) et son énorme coût financier plaident pour un abandon de cette vaccination et surtout un renoncement à toute obligation et/ou pression sur les familles.

Mise à jour :

Gardasil 2023-24: Alertes et Responsabilités

(…)

Depuis le début de la campagne généralisée avec le Gardasil-9, des associations et des médecins alertent les parents, les personnels de l’éducation nationale, les personnels et organismes de santé et leurs Ministères de tutelle, ainsi que les élus sur un grave manque d’informations claires et loyales concernant ce vaccin et ses conséquences:

Quelle est l’efficacité connue de ce vaccin Gardasil-9 contre le cancer du col de l’utérus ?
Quels sont ses bénéfices en regard des risques possibles d’effets secondaires graves, voire de décès, comme cela est indiqué dans la notice américaine du vaccin ou encore d’après les notifications dans les bases de pharmacovigilance ?
N’est-il pas légalement obligatoire d’informer chaque parent de ces risques ?  
Le déroulement de la campagne dans les collèges respecte-t-il cette obligation d’informer les parents de façon appropriée  (notamment sur les pertes de connaissances et autres conséquences indésirables possibles ) ?
Des consignes de surveillance et de sécurité suffisantes en « per injection » sont-elles respectées pour les collégiens ?
Ces questions et de nombreuses autres se posent. Certaines ne sont pas nouvelles et font suite au travail d’associations de victimes et de médecins de terrain qui informent et alertent depuis plus de 15 ans. Dans de nombreux pays, les données des registres des cancers sont publiques et permettent d’analyser s’il y a un bénéfice réel à vacciner en masse des enfants et jeunes adultes.

Devant le silence assourdissant des médias officiels et des autorités de santé, nous avons essayé de répondre à une quinzaine de questions afin que tous les parents puissent s’informer de façon libre et éclairée et ainsi puissent exercer, en toute connaissance de cause, leur consentement ou leur refus que l’on vaccine leur enfant en milieu scolaire. (…)

Depuis le coup de Jarnac, où le président s’est transformé en représentant de commerce du Gardasil, toutes les agences de l’État, les médias et même la sécurité sociale font la propagande de ce vaccin en n’hésitant pas à mentir, sans limites.

L’une des « désinformations » les plus diffusées par ces propagandistes concerne l’Australie où ils prétendent : en Australie, le succès de la campagne de vaccination contre les HPV, associée au dépistage du cancer du col de l’utérus, ouvre la perspective d’une éradication du cancer du col de l’utérus d’ici une quinzaine d’années.

Pour vérifier qu’il s’agit d’une fake news, il suffit d’interroger l’agence sanitaire australienne en demandant sur internet « https://www.canceraustralia.gov.au/cancer-types/cervical-cancer/statistics » et en précisant comme langue « français ». On obtient alors le nombre de cancers du col (942 en 2022 contre 727 en 2006) et la courbe d’incidence de ce cancer qui montre que depuis la vaccination, l’incidence des cancers invasifs du col de l’utérus n’a plus baissé depuis la vaccination alors qu’elle avait diminué de plus de 50 % à l’ère du dépistage seul entre 1987 et 2006 (de 14,2 à 7,1).

Et surtout dans le groupe d’âge le plus vacciné on observe une augmentation d’incidence de 15 % entre 2006 (7,9/100 000) et 2019 (9,1), dernière date analysée par groupe d’âge en décembre 2023.

Comment tous ces médias et agences peuvent-ils être aussi ignorants ?

Mentent-ils volontairement ?

Et ils diffusent bien d’autres fausses informations sur d’autres pays pour faire croire à l’efficacité anticancéreuse du Gardasil, alors que les faits publiés par les agences officielles et les registres du cancer démontrent le contraire.

Le Royaume-Uni a été le second pays à généraliser la vaccination des jeunes filles à l’école en 2008. Un article mensonger récent mélangeant allègrement vrais cancers invasifs et dysplasies bénignes, très largement diffusé par les médias, proclame fièrement : « vaccin anti-HPV: quasi-élimination du cancer du col utérin en Angleterre ». Mais fin 2022, l’agence officielle « Cancer research UK » (CRUK) affirme sur son site : « dans la dernière décennie, l’incidence du cancer du col est restée stable » et annonce une incidence standardisée de cancer invasif de 9,6/100 000 (supérieure de 50 % au taux français actuel) ainsi que l’illustre ce graphique.

L’analyse par groupe d’âge objective une diminution franche d’incidence chez les femmes âgées, non vaccinées qui ont globalement poursuivi le dépistage cytologique.

À l’opposé, le groupe des 25-34 ans, le plus vacciné, souffre d’une augmentation d’incidence des cancers invasifs passée de 16/100 000 en 2007 à 19/100 000 en 2016 – 2018, dernière période publiée.

Cette inefficacité anticancéreuse du Gardasil est également observée dans les pays scandinaves. Elle est dénoncée depuis maintenant plus de cinq ans.1

En Suède, grâce au dépistage cytologique une diminution de 66 % de l’incidence standardisée des cancers invasifs avait été observée de 24/100 000 (en 1965) à 8/100 000 (en 2011). La généralisation de la vaccination à l’école, au contraire, a été suivie d’une augmentation de l’incidence standardisée globale des cancers invasifs de 7 en 2006 – 2009 à 11,5 en 2014–2015 (p <0.03),et même 13 en 2021 y compris dans le groupe d’âge le plus vacciné celui des 25-34 ans.

En Norvège, la vaccination scolaire a été commencée en automne 2009 pour les Norvégiennes. Contrairement aux articles écrits par des auteurs trop liés aux labos, qui claironnent les bénéfices supposés de la vaccination anti HPV, la consultation du registre norvégien du cancer2 montre que l’incidence standardisée sur l’ensemble de la population de ce cancer est passée de 12,1/100 000 en 2007-2011 à 13,5 en 2017-2021 et surtout qu’elle a augmenté de 30 % dans le groupe de femmes les plus vaccinées.

En Finlande même phénomène

Globalement, dans tous les pays qui l’ont instauré, la vaccination anti-HPV s’est révélée efficace sur les souches de virus visées, les verrues et les dysplasies cytologiques, mais avec 16 ans de recul s’est jusqu’ici révélée inefficace sur les cancers invasifs.

Même si elle était totalement efficace contre le cancer et sans danger la vaccination anti hpv ne serait pas justifiée !

En particulier chez les garçons où le cancer anal est rarissime (350 cas annuels en France d’après l’INSERM3), bénéficie de traitements efficaces et ne touche dans la quasi-totalité des cas que des homosexuels passifs et surtout lorsqu’ils sont atteints du SIDA.

Cette vaccination inefficace contre le cancer expose de plus à des complications !

Les brûlures cutanées dont ont tout récemment souffert 7 élèves d’Agde

Et Le décès d’un collégien à Nantes vient de rappeler qu’aucune vaccination ni qu’aucun médicament n’est dénué de risque4. Cette mort après Gardasil n’est pas unique : fin décembre 2019, aux USA le VAERS recensait 523 décès et une quantité d’effets secondaires qui ont motivé plus de 100 plaintes en justice aux USA et des manifestations dans de nombreux pays.

L’inefficacité du Gardasil contre les cancers, voire sa nocivité paradoxale et ses nombreuses complications dont certaines très graves témoignent d’une balance avantage/risque franchement défavorable qui justifie d’arrêter cette vaccination, et au minimum de ne pas l’imposer via des campagnes scolaires et de laisser à chaque famille le loisir d’en discuter avec son médecin personnel afin d’obtenir une information claire et objective d’où un possible consentement éclairé.

Mais depuis la crise covid durant laquelle nos gouvernants, toutes leurs agences et les médias ont menti sans arrêt pour nous imposer des injections expérimentales qualifiées abusivement de vaccins dont chacun a pu constater autour de soi l’inefficacité et la toxicité, les Français sont devenus moins crédules. Ils se renseignent au lieu de se précipiter lorsqu’on leur annonce qu’un vaccin est nécessaire, sûr et efficace.

Et les informations que les résistants, les collectifs de parents, soignants, etc. ont su transmettre autour d’eux ont été efficaces : au 31 octobre 2023, après deux mois de campagne de vaccination scolaire, seulement 20 000 collégiens (2,5 % de la population ciblée) ont été vaccinés en France.

Ce n’est qu’un début, continuons sans relâche le combat contre la propagande mensongère du Gardasil, car l’information via des conférences, mais surtout des tracts distribués individuellement à la sortie des écoles, des marchés, des magasins est efficace ! Ne nous décourageons pas, car la campagne mensongère continue comme en témoignent des invitations à des conférences par les officiels pour tenter d’imposer ce vaccin inutile aux enfants.





Santé — C’est l’état qui décide pour vous !

Avec Claire Severac et Nicole Delépine

[Source : Jacques Buffet]

Nous vous proposons de revoir cette vidéo de 2015, qui prédit ce que nous vivons aujourd’hui [28 mars 2020]. Rappelons que le croque-mort qui nous présente tous les soirs sur les chaînes mainstream le bilan de la journée était entre 2013 et 2015 le conseiller sanitaire de cette Marysol Touraine, et qu’il n’a pas quitté le ministère de la Santé depuis.




Contre la censure prévue en médecine sous couvert de loi relative aux dérives sectaires

Lettre ouverte des docteurs Delépine au ministre et aux parlementaires




France — Un témoignage qui contredit le discours mainstream concernant le drame de Crépol

[Source : breizh-info.com]

Pierre d’Herbais, que nos lecteurs ont déjà pu lire sur Breizh-INfo.com, a rencontré un jeune patriote qui était à Romans-sur-Isère samedi dernier. Avec son témoignage, il veut remettre l’histoire à l’endroit et démonter les mensonges de la presse mainstream.

Depuis quelques jours, une partie de la presse mainstream salit à la fois Thomas (en déformant la réalité du drame de Crépol et en cherchant toutes les excuses du monde à des racailles venues armées dans un bal de village), tout en vomissant sur « l’ultra droite », en réalité sur des manifestants dont le seul « crime » est de dénoncer ce meurtre… et tous les autres.

Crédit photo : DR

[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Surmortalité confirmée depuis les campagnes d’injection expérimentale anticovid

Par Nicole Delepine

Œuvrons ensemble pour l’interdiction générale mondiale de l’injection expérimentale covid19 ! URGENT

La surmortalité confirmée dans tous les pays vaccinés devrait calmer les ardeurs de la poursuite de cette pseudo vaccination meurtrière et appeler à son interdiction mondiale.

Chacun doit protéger ses proches par l’information objective, interdire le harcèlement des personnes âgées en EHPAD pour qu’ils acceptent l’injection (celle couplée avec la grippe est encore plus génératrice d’AVC).

Nos élus devraient assumer leur devoir de représentants du peuple en exigeant pour le moins un moratoire. Pourquoi ce silence général devant la nouvelle qui devrait revenir chaque jour sur nos écrans TV ? Rappelez-vous le bruit répétitif d’un décès à la suite d’un essai clinique d’un médicament, essai qui était immédiatement stoppé.

Et depuis le vax anticovid expérimental des millions d’effets secondaires, dont un quart grave, et des milliers de morts dans le monde en rapport direct avec l’injection, sans que cette interdiction de poursuivre ne tombe. Il est clair qu’il n’est plus question de santé des peuples.

Pour ceux qui n’arrivent pas à accepter ce dur état des choses, voici les résultats résumés sur X par DR Hippocrate. Ces schémas ne devraient plus permettre d’ignorer cette surmortalité post injection expérimentale, y compris chez les jeunes. Ce sont des faits avérés et non des opinions. Pourquoi les nier ou les ignorer ?

Cette surmortalité post vaccinale s’observe aussi chez les personnes âgées alors que les injections, si elles étaient efficaces et non toxiques auraient dû stopper la surmortalité observée lors de la première année de la crise covid :

Il est de plus incompréhensible de continuer à recommander ces injections délétères alors que les données de l’OMS, mises en graphique par le département de l’université d’Harvard, démontrent la fin de l’épidémie depuis février 2022.

Virginie Joron députée européenne, a commenté la réponse de la Commissaire qui a signé les contrats d’achats vaccins Covid.
https://europarl.europa.eu/doceo/document/P-9-2023-002470-ASW_EN.html

Dans cette réponse, figure un élément important que les médecins devraient regarder de plus près avant de faire des injections (Les avocats en charge de dossier de victimes devraient aussi s’en servir) : « Ce n’est que dans des cas très exceptionnels que des décès ont été signalés causés par le vaccin. Un exemple est la “thrombose avec syndrome de thrombocytopénie” avec les vaccins vecteurs adénoviraux COVID-19 pour lesquels des mises en garde et des contre-indications ont été incluses dans les informations sur le produit afin d’informer les professionnels de la santé et les patients et de réduire le risque de conséquences indésirables. » Quid donc de la thrombose avec syndrome de thrombocytopenie ? « Le syndrome de thrombose-thrombocytopénie (TTS) est un problème de santé grave impliquant des caillots sanguins (thrombose) et un faible taux de plaquettes (thrombocytopénie). Lorsque des rapports de TTS après la vaccination avec des vaccins contre la COVID-19 à vecteurs viraux ont été révélés en 2021, le TTS est devenu une priorité de l’enquête menée au Canada et dans le monde. »1

Au début des premières injections, j’avais interrogé l’association Amapti. Évidemment, ils avaient répondu comme la majorité des médecins qu’ils n’en savaient rien, mais que le rapport bénéfice-risque était en faveur de l’injection Covid. Qu’en est-il aujourd’hui ? Pourquoi l’@EMA_News ne suspend pas ces autorisations qui entraînent la mort ?2

De « societies of actuaries » Exam Results | SOA

L’excès de mortalité chez les jeunes se confirment en 2023

Même la France avare de la publication de ses résultats ne peut plus nier une surmortalité en 2022

Docteur Hippocrate a reposté
@tatiann69922625

Incroyable qu’il y ait encore des médecins qui ne savent pas que les ARNm de Pfizer & Moderna endommagent le système immunitaire et que chaque injection supplémentaire provoque davantage de dégâts immunitaires Prouvé par la Cleveland Clinic !
https://medrxiv.org/content/10.1101/2022.12.17.22283625v1.full.pdf 19 nov.

Laisserez-vous encore injecter vos proches, ainés dans les EHPAD harcelés par les encadrants, vos enfants ou vous — même, ou bien est-ce suicidaire ou encore finalement le syndrome de Stockholm ?

D’autant que les aveux de l’agence européenne du médicament viennent de confirmer OFFICIELLEMENT que les injections visant à éviter les contaminations entre personnes n’avaient jamais été démontrées efficaces. Relisez la lettre de l’EMA aux parlementaires européens3. 4

Quant aux effets néfastes reconnus ils sont de plus en plus nombreux.

Selon la journaliste Annette Gartland from Changing Times 21 novembre 2023
WHO database lists more than 5.23 million reports of adverse reactions after Covid vaccination

La VigiBase de l’Organisation mondiale de la santé répertorie désormais 5 239 635 rapports d’événements indésirables à la suite de la vaccination contre le Covid, dont 25 881 décès (répertoriés sous « Troubles généraux et conditions au site d’administration »).

Il existe une liste distincte, dans la même catégorie, de 2 296 rapports de mort subite, ainsi que 486 rapports de mort subite d’origine cardiaque, 202 rapports de mort cérébrale, 174 rapports de mort cardiaque, 20 rapports de décès prématuré d’un bébé et 15 rapports de décès néonatal., huit rapports de syndrome de mort subite du nourrisson, six rapports de « mort clinique » et trois rapports de « mort subite inexpliquée par épilepsie ».

UNE SEULE CONCLUSION : INTERDICTION MONDIALE ET IMMEDIATE DES INJECTIONS ANTICOVID A ARNm ET DE TOUT VACCIN BASE SUR LA TECHNOLOGIE ARNm





Dysphorie de genre

[Source : espace de respiration]






Derrière les transitions de genre : les intérêts de Big Pharma

[Source : Tocsin]

Avec Gérard et Nicole Delépine, respectivement chirurgien orthopédique, oncologue et pédiatre, oncologue.

Émission qui porte bien son nom TOCSIN qui nous a permis de partager notre tristesse et nos inquiétudes pour tous ces jeunes embarqués dans une transition sans en connaître le terrible parcours qui les mènera du paradis promis ou espéré à l’enfer quotidien, du bien portant au malade chronique devant prendre des médicaments tous les jours et subir les inconvénients de la chirurgie pratiquée pour ceux qui auront franchi ces étapes…

INFORMEZ LES JEUNES DE VOS CONNAISSANCES VOUS SAUVEREZ QUELQUES GAMINS D’UNE VIE GÂCHÉE.

Nicole Delépine




Dysphorie de genre enseignée à l’école dans le cadre de l’éducation sexuelle : de gros risques pour les enfants

INFORMONS-LES !

Nous sommes heureux de vous annoncer la parution imminente de notre nouveau livre consacré aux explications de ce qu’on entend par dysphorie de genre et surtout aux conséquences des traitements médicaux et chirurgicaux aux enfants mineurs avec toutes les séquelles à long terme qu’ils engendrent et dont ils ne sont que très peu avertis quand ils entrent dans une démarche de transition tellement « à la mode » et favorisée par les réseaux.
Bref ce petit livre d’un pédiatre et d’un chirurgien pour aider les parents, enfants et adolescents, enseignants et soignants, et tout citoyen intéressé à y voir plus clair, de façon simple.

Le livre devrait être disponible dès le 31 octobre 2023 dans toutes les bonnes librairies dans lesquelles vous pouvez le commander dès maintenant, ou sur les plateformes en ligne telles Amazon ou Fnac ou les libraires associées dès début de semaine prochaine

Bonne lecture et à votre disposition pour répondre aux questions que vous suggéreraient ce livre et lire vos commentaires et propositions pour aider les enfants.

Bien à vous,

Nicole et Gerard Delépine

Si la transition de genre a toujours existé chez les adultes, l’irruption du phénomène de dysphorie de genre chez les enfants et les adolescents appelle à une extrême vigilance. Comment admettre, en effet, qu’un mineur, qui n’est pas assez mature pour voter ou avoir des relations sexuelles, puisse consentir à des traitements qui supprimeront sa fertilité et modifieront son corps de manière irréversible ?

Quelles sont les conséquences médicales des hormones, et quelles en sont les conséquences psychologiques et psychiatriques ? Pourquoi une prise en charge totale des traitements et opérations alors que l’OMS déclare que la dysphorie de genre n’est plus classée parmi les maladies ? Pourquoi la détransition reste-t-elle un phénomène tabou ? Comment le transgenrisme est-il entré dans le débat politique ? Autant de questions et de réponses pour éclairer les risques et les dérives de la transition de genre chez les mineurs.




La dérive totalitaire contre les enfants

[Source : infovaccin.fr]

La LNPLV ouvre au public l’accès du séminaire de référence sur les enfants dans la dérive totalitaire actuelle, expliqué de manière accessible par des experts : confinements, trahison des adultes, masques, vaccins, sexualisation..

L’association, bien qu’était loin d’avoir pu couvrir les frais occasionnés par l’événement, ouvre à tous le contenu de cet événement, qui pour nous est d’utilité publique.

Vous y trouverez en effet, explicité de manière sourcée et accessible aux profanes, l’ensemble des éléments pour comprendre et expliquer les problèmes dont les enfant sont victimes, et donner des pistes pour y remédier.

Tout parent ou professionnel devrait être conscient du contenu de ce colloque, et son contenu est une synthèse utile et de l’avis général, d’une qualité exceptionnelle.

Présentation de l’événement et des intervenants

Accès au replay

Partie 1, Intoduction, Karine Baillieu et Ariane Bilheran

Partie 2, Régis Brunod et Amandine Lafargue

Partie 3, Senta Depuydt et Nicole Delépine

Partie 4, Cécile Maïchak, Karina Terki et Virginie de Araujo-Recchia

Conférences de Presse

Interviews autour de l’Evénement

Merci à tous ceux qui ont soutenu et permis cet événement, et à tous ceux qui ont agi ou vont agir.




La propagande pour les trans par les « progressistes » leur nuit lourdement

Par les Drs Gérard et Nicole Delépine

La plupart des riches ont compris qu’ils ne doivent pas étaler leurs richesses pour ne pas exciter la convoitise des pauvres. Mais certains trans ignorent les avantages de la discrétion et s’étonnent de l’augmentation des actes transphobes depuis qu’ils affichent partout leur « fierté » et qu’elle s’adresse de surcroît aux enfants. Espérons que la modération future de leur affichage facilitera leur acceptation comme ont su le faire, avant eux, la plupart des homosexuels depuis des décennies. Faudrait-il que les progressistes idéologues, dont certains actuellement au pouvoir, cessent de les utiliser.

Faut-il être « d’extrême-droaaate » pour refuser qu’on soumette de jeunes enfants à des spectacles incompréhensibles pour leur âge et choquants, traumatisants pour leur psychisme, risquant d’être perturbés à long terme ? Tous ces donneurs de leçons ont-ils pesé ce qu’est l’éducation d’un bébé, puis d’un enfant et même d’un adolescent dont la sexualité selon tous les auteurs ont affirmé la phase silencieuse de la sexualité jusqu’aux débuts de la puberté ?

Les Français respectent les convictions politiques, religieuses et mœurs de chacun à condition qu’ils restent essentiellement dans la sphère privée et laissent de côté les enfants. « laissez nos enfants tranquilles » réclament des associations de parents, collectifs de tous pays du Canada et USA aux pays africains en passant par la France.

La multiplication des revendications trans via des manifestations de plus en plus gênantes (enfant fouettant un trans à quatre pattes quasiment nu) et la diffusion rapide des messages chez les enfants, couplées aux déclarations du ministre de l’éducation nationale « l’éducation sexuelle à l’école est ma priorité » ont entraîné une prise de conscience depuis quelques mois en France de faits dénoncés dans l’indifférence depuis plusieurs années1.2

« L’Éducation nationale entend aborder les stéréotypes de genre dès la maternelle, avec la même neutralité que les chercheurs qui cherchent à donner au genre un statut théorique dénué d’idéologie au sein des sciences humaines. Le ministre de l’Éducation nationale a expliqué que l’enseignement de la théorie du genre à l’école permettrait de lutter contre les discriminations, les violences sexuelles et sexistes, les LGBT phobies et d’atteindre une meilleure égalité entre filles et garçons. »3

Le ministre est-il sincère ou naïf ? En tous les cas, c’est l’inverse qui arrive évidemment.

L’organisation de collectifs régionaux afin de lutter contre les exhibitions de drag queen par exemple dans des jardins d’enfants ou dans des spectacles scolaires se développe rapidement : « laissez les enfants tranquilles ».

L’augmentation des actes transphobes est le revers de leur plus grande visibilité imposée partout

Depuis quelques années on assiste à une propagande permanente en faveur des minorités (dont les minorités sexuelles) dont certains membres sont persuadés que leur visibilité croissante leur permettra d’être mieux acceptés. Les médias aux ordres des politiques « progressistes » donc de la gauche au pouvoir imposent les figures trans à toute occasion, films, feuilletons, spot publicitaires, sujets des émissions d’échanges, comme si les trans (personnes respectables comme individus) représentaient une large communauté alors qu’ils ne sont que quelques milliers en France (0,03 à 0,1 % de la population selon le rapport de Dr Hervé PICARD et Simon JUTANT en janvier 2022), et que leurs problèmes ne résument pas les énormes sujets d’inquiétude des Français : (retraites, pouvoir d’achat, niveau scolaire, chômage, sécurité, immigration, etc.. ). La propagande trans est utilisée pour détourner l’attention de la population des vrais problèmes « parlez-moi d’autre chose »…

Pour l’essayiste Éric Naulleau, invité du « Figaro La Nuit », la pensée progressiste s’organise « autour de la figure du transsexuel ». « Le transsexuel et la drag queen sont passées de figures marginales à des figures presque centrales de l’imaginaire progressiste », relève-t-il. (tweet du 21 06 23). Adoption par la gauche des pires travers du capitalisme. On change de corps comme de forfait téléphonique. La vie liquide.

« Le transsexuel est devenu la grande idole du wokisme » vieux travers du progressisme de vouloir faire de la marge, le centre (d’où la fascination de la gauche pour les délinquants, exemple de Battisti).4

En les instrumentalisant pour des visées politiques et leur idéologie, les progressistes nuisent aux trans.

Les TRANS victimes de leur utilisation manipulatrice par les militants dits « progressistes »

Depuis que leur propagande se généralise, les actes, manifestations et les lois anti-trans se multiplient dans la plupart des pays du monde où elle a été active.

En France entre 2016 et 2022, les actes anti-LGBT+ ont connu une augmentation significative : +129 % pour les crimes et délits, et +115 % pour les contraventions. En 2018, le ministère de l’Intérieur avait recensé 1 380 infractions à caractère homophobe ou transphobe (soit une augmentation de 33 % par rapport à 2017). En 2019, 1 870 cas « C’est une hausse tendancielle et progressive, qu’on observe depuis trois ans ». En 2022, avec plus de 4000 faits le nombre de déclarations augmente en particulier pour les actes transphobes constituant « le revers de la plus grande visibilité des personnes trans »

Les guerres de religion nous ont appris que la tolérance sociétale pour les minorités va de pair avec leur discrétion publique et une pratique cantonnée à la sphère privée. On ne peut que conseiller aux trans sexuels d’adopter une pratique semblable pour être mieux inclus. Ils devraient résister aux politiques qui tentent de les utiliser.

Les associations féministes et homosexuelles se désolidarisent des manœuvres des extrémistes trans

De violentes polémiques dans le mouvement féministe mettent en lumière tensions et désaccords sur l’identité de genre. Ainsi le mouvement féministe #NousToutes cesse de relayer le décompte des féminicides conjugaux, car le collectif « Féminicides par compagnon ou ex » est accusé d’avoir tenu des propos transphobes, car il critiquait « les aspects toxiques » de la « masculinité antérieure » de certaines femmes transgenres.

Les féministes effacées

« Lisa », membre du groupe, précise « Ce n’est pas de la transphobie, c’est une réalité scientifique que les femmes trans étaient des hommes avant » et accusent les extrémistes trans de faire passer les personnes trans avant les femmes et d’invisibiliser ces dernières !

Des militantes féministes rapportent des faits de violence exercés par les extrémistes trans. « On a reçu des œufs dans le visage, on a été frappé parce qu’on tient cette position de dire qu’être une femme n’est pas un sentiment, c’est une réalité biologique matérielle », témoigne Marguerite Stern, créatrice des Collages contre les féminicides. Nos opposants nous qualifient d’« anti-trans », et détournent totalement notre pensée. Ils reposent sur des interprétations erronées de notre discours, nous qualifiant « d’essentialistes » et nous associant à l’extrême-droite, dans le but de compromettre notre réputation plutôt que de répondre à nos arguments.

« Nous ne sommes pas anti-trans, nous sommes pro-femmes. De la même façon que critiquer l’islam n’est pas islamophobe, critiquer l’idéologie transgenriste n’a rien de transphobe. Être transphobe, c’est le fait de discriminer ou d’appeler à la haine des personnes trans. Tel n’est pas notre cas. Dire que les femmes sont des femelles adultes humaines est incompatible avec l’essentialisme : c’est ce qu’on appelle philosophiquement du matérialisme. Nous disons que les femmes sont des femelles et qu’il n’y a pas de distinction entre les deux. Pour nous le mot femme décrit la sexuation ; le féminisme vise à ce que les spécificités biologiques des femmes soient reconnues dans la société. Nous ne résumons pas les femmes à leurs corps, mais disons que ce corps est ce qui permet de les définir. »

En Grande-Bretagne, certaines féministes traditionnelles, rebaptisées « Terfs » pour « Trans-Exclusionary Radical Feminists » (féminisme excluant les femmes trans), adoptent cette même position et se battent pour conserver l’indexation de la catégorie femme sur le sexe biologique, afin de « combattre efficacement le patriarcat »

J.K.Rowling, qui en fait partie est harcelée par les extrémistes trans depuis qu’elle s’est moquée du titre d’un article de devex.com : « Créer un monde post-Covid plus égalitaire pour les personnes ayant leurs règles ». « Cela avait un nom autrefois. Aidez-moi. Fummes ? Fommes ? Fammes ? », avait réagi l’auteur femme, « refusant de s’incliner devant un mouvement trans qui cause un tort aux luttes féministes en cherchant à effacer le mot « femme » en tant que classe politique et biologique, et en « offrant une couverture à ses prédateurs ».

Aux USA, l’association « Gays Against Groomers » est une coalition d’homosexuels qui s’opposent à la tendance récente d’endoctriner et de sexualiser les enfants sous le couvert de « LGBTQIA+ » et dénonce les pratiques « destructrices » de certains mouvements trans extrémistes qui utilisent la communauté LGBT comme bouclier pour encourager la « mutilation », la « stérilisation » et l’« endoctrinement » des mineurs.

David Leatherwood a expliqué le 21 février 2023 devant le Comité de la santé et des services sociaux de la Chambre des représentants de la Floride que la communauté LGBT a obtenu une certaine tolérance et acceptation dans la société américaine, mais que cette avancée est remise en question par des extrémistes trans qui portent préjudice aux gays.

Dans les compétitions sportives, l’équité prime maintenant sur l’inclusivité

Le sexe est déterminé dès la fécondation par la loterie génétique qui attribue à l’embryon deux chromosomes sexuels soit XX (caryotype féminin) ou la paire XY (caryotype masculin). Le caryotype dirige l’élaboration du phénotype, ensemble des caractères anatomiques, morphologiques, physiologiques et éthologiques des individus. À l’adolescence la sécrétion des hormones accentue chez l’individu de sexe masculin, les développements squelettique et musculaire conduisant à une différence de force physique entre hommes et femmes, l’élargissement des épaules, un poids moyen plus élevé et une différence de taille moyenne d’environ 10 %.

Cette musculation plus développée chez l’homme post pubertaire explique des performances sportives supérieures. La comparaison des records mondiaux des hommes et des femmes dans différentes disciplines l’illustre avec une différence moyenne de 10 % à 20 % en faveur des hommes : lancer de javelot (94 m/72 m), 50 m nage libre (46/51 s), sprint de 100 m (9”58/10”49), lancer de poids (23,37/22,63), course de 200 mètres (19,19 sec/21,34 sec), lever de poids (488 kg/332KG), marathon (2 h 1 min 9 s/2 h 14 min 4 s)…

Ces différences démentent l’idéologie du genre qui voudrait nous faire croire que le sexe serait un « construit social » qu’on peut changer selon son bon plaisir ou son « sentiment ». Elles imposent de séparer hommes et femmes lors des compétitions sportives de haut niveau.

Lorsque les personnes ayant fait leur puberté comme homme ont obtenu le droit de concourir avec les femmes en se déclarant femmes trans, elles ont bénéficié d’un avantage important en termes de performances, même si leur taux de testostérone était bas, l’ensemble des caractéristiques corporelles génétiques et acquises étant toujours présent.

L’exemple d’Halba Diouf qui, en se « déclarant » femme, est passé de la 980e place nationale à la 58e place mondiale est démonstratif. Mais aussi les cas de Valentina Petrillo, née Fabrizio, qui a remporté une course de 200 m pour femmes, du leveur de poids Laurel Hubbard, de la nageuse Liz Thomas…

L’inclusion des hommes trans (nées femmes) dans les compétitions masculines ne soulève pas de problème d’équité, vu les possibilités réelles inférieures des hommes trans nées femmes. De fait, les hommes trans ne veulent guère y participer.

Marguerite Stern, militante a résumé la question dans une tribune de Marianne :

« Sous couvert de lutte contre les discriminations, les différents amendements concernant l’identité de genre sont un crachat jeté au visage des femmes, car si j’en comprends bien le sens, ils sous-tendent la possibilité que sur simple déclaration des individus de sexe masculin puissent participer à des compétitions sportives féminines. ».

De nombreuses autres militantes féministes perçoivent l’intégration des personnes transgenres dans les espaces réservées aux femmes comme une nouvelle forme de l’oppression masculine systémique et de l’« invisibilisation des femmes ».

Martina Navratilova, militante de la première heure des droits des homosexuels, a aussi déclaré :

« Je suis heureuse de m’adresser à une personne transgenre de la manière qu’elle le souhaite, mais je n’aimerais pas avoir à concourir contre elle. Ce ne serait pas juste ».

Accepter l’inclusion des hommes qui s’affirment femmes dans les compétitions sportives féminines lèse gravement le respect de l’égalité femmes/hommes et l’équité générale, et les droits des sportives de haut niveau qui ont beaucoup travaillé pour y parvenir.  

Le 23 mars 2023, le président de la Fédération Internationale d’athlétisme (WA), Sébastian Coe, a annoncé l’exclusion des compétitions nationales et internationales des athlètes transgenres « qui ont connu une puberté masculine ». Sebastian Coe a expliqué vouloir privilégier « l’équité à l’inclusion » « Ma responsabilité est de protéger l’intégrité du sport féminin ».

Dans les compétitions sportives de haut niveau, l’équité pour les femmes prime maintenant sur l’inclusivité des trans.

Et pour ne pas brimer les trans qui veulent concourir, certaines fédérations sportives ont proposé d’organiser, en parallèle avec les compétitions féminines et masculines des compétitions ouvertes ou les trans pourront se mesurer aux cis. Pourquoi pas !

Dans les écoles

En France, comme dans de nombreux pays occidentaux la loi permet aux élèves trans de se faire appeler par le prénom qu’ils désirent sans même l’autorisation des parents. La circulaire de Jean-Michel Blanquer, parue au Bulletin officiel du 30 septembre 2021 demande aux enseignants de l’école maternelle jusqu’au lycée (premier et second degré), « d’écouter, accompagner et protéger les enfants transgenres ou qui s’interrogent sur leur identité de genre ». Elle ajoute qu’il est également pleinement envisageable d’accepter les élèves trans dans les vestiaires, dortoirs et autres équipements genrés, selon l’identité de genre de l’élève, y compris avant qu’il ait pu effectuer des changements sur son état civil ou suivi des traitements [elle prescrit donc d’admettre les hommes qui se prétendent femmes dans les vestiaires et dortoirs et toilettes des filles !]. Et le ministre de l’éducation actuel déclare en 2022, priorité nationale l’éducation sexuelle à l’école dès la maternelle et sous prétexte de « lutter contre les discriminations » et autorise des associations trans à faire leur propagande à l’école et à présenter aux enfants des spectacles de drag queens.

Lorsque l’école, socle de nos institutions, demande aux enseignants d’« accompagner » la démarche de transition des élèves, elle se fourvoie. Elle n’est ni dans son rôle ni dans sa mission. La démarche du Ministère a le tort d’imposer aux enfants qui ne peuvent pas en appréhender tous les aspects, un débat de société concernant les adultes et de fracturer inutilement la société et pire le cerveau des jeunes enfants soumis à propagande inintelligible pour leur degré de maturation.

En avril 2023, un atelier organisé par l’association OUTrans a fait scandale à l’École alsacienne de Paris. Selon le Figaro les intervenants, transsexuels, ont « accusé les enfants d’être transphobes » pour avoir protesté contre l’affirmation selon laquelle des hommes peuvent être « enceints ». Ils auraient de plus affirmé aux enfants que « si un adolescent n’est pas bien dans sa peau, c’est qu’il est peut-être trans » ou encore que « dire qu’il y a seulement deux sexes, c’est une représentation datée et c’est faux ».

Le Syndicat de la famille — a appelé au retrait immédiat des subventions publiques versées à OUTrans et HandsAway, et réclame que « ces associations ne puissent plus jamais intervenir dans les écoles, collèges et lycées. »

Le département d’île et Vilaine et la Région Bretagne ont subventionné une sortie scolaire pour faire assister, le 20 mars 2023, des enfants de l’école Jean Rostand de Rennes à « fille ou garçon », un spectacle vantant les transformations sexuelles, gaspillant ainsi impôts et temps scolaire pour propager une théorie qui menace gravement l’équilibre psychologique des enfants.

Plus récemment la volonté de projeter Tomboy film de 2011 retraçant l’histoire d’une petite fille de 10 ans, Laure, qui se fait passer pour un garçon auprès d’élèves de sixième du Séminaire des jeunes de Walbourg, a tourné à l’affrontement entre parents et direction.

Déprogrammé à la suite de plaintes de parents puis de l’évêché puis reprogrammé ; les parents en colère n’ont eu que la possibilité de garder leur enfant chez eux.

Et la pression du ministère étonne et scandalise :

Cf. bd Voltaire :

«les drags se présentent aux enfants sous une forme hypersexualisée, Monsieur Escots ne pourrait le nier. Par ailleurs, 60 000 euros de subventions ont été versés en deux ans au Girofard (un collectif de plusieurs associations LGBTI+). Le Girofard est un lieu d’accueil, de rencontre et d’échanges qui veut promouvoir la santé et le bien-être des personnes LGBT, mais aussi dénoncer toutes les discriminations et promouvoir la culture LGBT, par l’organisation, entre autres, de la Marche des fiertés de Bordeaux.»5

Pour les enfants, la difficulté réside dans la nature très partisane de l’information donnée, mais surtout dans leur difficulté à comprendre et évaluer ces informations et à concevoir la portée de décisions qui feront d’eux des patients prenant des médicaments à vie et sacrifiant leur fertilité avec des mutilations irréversibles de leur corps (émasculation, hystérectomie, ovariectomie).

Comme pédiatre, nous avons appris qu’après la petite enfance et la découverte des différences entre le corps du petit garçon et celui de la petite fille, venait une période dite de latence pendant laquelle les problèmes de sexe ne sont pas à l’ordre du jour, entre environ trois et douze ans. Et voilà que selon le bon vouloir de quelques activistes trans parvenus aux postes de responsabilité, ou de leurs affidés intéressés ou convaincus, il faudrait perturber cette période de construction silencieuse ?

En Amérique du Nord (USA et Canada) de nombreuses manifestations de parents ont régulièrement lieu pour protester et empêcher la propagande trans dans les écoles qu’essaient d’imposer les autorités.

Certains trans réclament « des toilettes non genrées » permettant aux garçons qui se déclarent filles d’accompagner aux toilettes les filles aux dépens de la sécurité sexuelle de ces dernières. Et si une adolescente dit qu’elle ne veut pas d’hommes trans dans les toilettes de filles, elle se fait traiter de transphobe ! Pourtant le fait de s’affirmer femmes trans n’empêche pas les pulsions de viol ni le passage à l’acte comme l’a montré l’écossais « e » Isla Bryson. Combien faudra-t-il recenser de viols pour que ce risque soit pris en compte et que la sécurité de l’immense majorité des jeunes filles prime sur les désirs d’une infime minorité de trans qui se sent mal dans leur peau et se prétend traumatisée de devoir aller aux toilettes de leur sexe biologique ?

Dans les prisons

En France, d’après le ministère de la Justice, il y aurait une trentaine de personnes transgenres sur plus de72000 détenus (0,04 %). Elles doivent faire face à de nombreuses difficultés : placées à l’isolement, des relations tendues avec les surveillants, un accès difficile aux médecins. En 2021 Dominique Simonnot a déclaré :

« En cas d’incarcération, les personnes transgenres sont plus vulnérables que le reste des détenusinvitant à “adapter le principe général d’égal respect de la dignité à la situation particulière de ces personnes”. »

Mais l’inclusivité des femmes trans dans les prisons pour femmes a révélé ses limites dans les pays voisins qui avaient opté pour ce choix avant la France.

Au Danemark, la Haute Cour a estimé que la présence d’une détenue trans qui a fait modifier son état civil d’homme à femme pendant son incarcération pour un viol aggravé doit purger sa peine dans un établissement pour hommes. Son séjour dans une prison pour femmes « poserait un risque de sécurité non insignifiant pour les femmes détenues » et que le fait qu’elle soit « fouillée nue par des hommes » et doive « fournir un échantillon d’urine » sous la surveillance d’hommes n’enfreignait pas la loi sur l’exécution des peines, car la référence au genre dans la loi doit être « comprise en tant que sexe biologique. »

En Écosse, la loi écossaise Gender Recognition Reform Bill, votée fin 2022, permet de faciliter l’acquisition par des personnes trans d’un certificat de reconnaissance de genre établissant que leur genre « n’est pas celui qui [leur] a été assigné à la naissance. » Avant son adoption elle avait été combattue par beaucoup d’associations féministes qui craignaient qu’elle soit détournée par des prédateurs sexuels se déclarant femmes pour mieux approcher les femmes dans les espaces qui leur sont réservés — vestiaires, refuges, toilettes, prisons. L’incarcération temporaire de femmes trans condamnées pour viol dans des établissements pour femmes a suscité l’indignation dans la population et la classe politique écossaise et britannique obligeant les autorités à décider qu’elles purgeraient leur peine dans une prison pour hommes.

Une fois de plus, la sécurité de la majorité prime progressivement sur les désirs d’une infime minorité surreprésentée chez nos dirigeants ou du moins dans leurs décisions.

Pour les entreprises, la propagande pro trans se révèle souvent contre-productive

Aux USA, certaines entreprises grand public ont cru que la promotion transgenre augmenterait leur clientèle et s’en sont mordu les doigts.

Un des premiers exemples est celui de la bière Budweiser dont l’entreprise a lancé le 1er avril 2023 une campagne publicitaire avec une influenceuse transgenre Mulvaney déguisé(e) en Audrey Hepburn tenant une cannette à son effigie annonçant sur Instagram sa collaboration avec la marque Budweiser, pour promouvoir la Bud Light.

Après cette campagne de publicité, sur les réseaux sociaux, des insultes contre la marque ont fusé, des internautes se sont filmés en train de détruire des bières Budweiser, des packs de bières ont été détruits en masse et le Kid Rock dans une vidéo publiée le 4 avril 2023 a fusillé des packs entiers de Bud Light avec une mitraillette. Dans le mois qui a suivi cette campagne de publicité, les ventes de Bud Light ont chuté entre 11 et 26 %, Bud Light a perdu en mai sa place de leader des ventes aux États-Unis et son cours en bourse a chuté de 11 %.

La capitalisation boursière d’Anheuser-Busch, groupe gérant de Budweiser, est passée de 132,06 milliards de dollars à 108,96 milliards de dollars entre le 3 avril et le 2 juin 2023. La société mère de Bud Light a finalement préféré revendre la marque à ses fondateurs d’origine.

En juin 2023, mois des fiertés LGBT+, la société Target a sorti une collection aux couleurs arc-en-ciel qui a fortement déplu à sa clientèle. Celle-ci a boycotté l’enseigne, causant la chute brutale des ventes et provoquant l’arrêt de la commercialisation en ligne. Cette déroute commerciale a été suivie d’une chute drastique de la valorisation boursière de Target de 72,52 milliards de dollars à 58,61 milliards6 de dollars entre le 1er mai et le 10 juin 2023.

Netflix et Disney multiplient les projets avec des personnages trans en espérant ainsi augmenter leur audience et leur rapporter de l’argent. Si ce n’est pas le cas, voir même l’inverse, ils annuleront les films teintés de propagande trans.

Ce « pinkwashing » à visée mercantile pourrait être catastrophique sur le plan commercial et boursier si les opposants boycottent régulièrement les entreprises qui le pratiquent.

Dans de très nombreux pays, la propagande trans sans limites, suscite des lois finalement défavorables à leur communauté

En réponse à la propagande trans croissante de nombreux états américains (Floride, Texas, Oklahoma, Kansas, Missouri, Tennessee, Kentucky, Virginie occidentale…) ont récemment voté des lois, interdisant d’avoir une pièce d’identité avec un nom et sexe différent de celui de la naissance, d’aller dans des toilettes qui ne correspondent pas à leur genre de naissance, toute propagande trans à l’école et refusant la prise en charge par l’état des frais des traitements pour transformations sexuelles. À partir de septembre 2023, la Floride et le Texas interdiront de prescrire des médicaments bloquant les hormones ou d’effectuer des actes de chirurgie pour modifier la sexualité de toute personne de moins de 18 ans.

En Europe, les états scandinaves et la Grande-Bretagne, longtemps pionniers de la théorie du genre et des transformations trans faciles, ont fortement limité l’accès aux traitements destinés à la modification médicamenteuse et/ou chirurgicale sexuelle pour les mineurs. En février 2023, la Suède a décidé de bloquer la thérapie hormonale pour les personnes de moins de 18 ans, sauf dans de rares cas.

En Russie, le parlement a interdit la promotion de relations sexuelles non traditionnelles chez les jeunes, et vient d’interdire la chirurgie de modification sexuelle, sauf pour les enfants atteints d’anomalies congénitales.

À Singapour les magazines ont l’interdiction de promouvoir les « modes de vie alternatifs » ; le permis de publication du magazine Vogue lui a été retiré pour « avoir fait la promotion de familles non traditionnelles » et le Premier ministre a annoncé une prochaine modification de la constitution afin de « sauvegarder l’institution du mariage, union d’un homme et d’une femme. »

En Turquie, les manifestations des transsexuels sont interdites et certains manifestants qui ne respectaient pas l’interdiction ont été arrêtés.

Au Liban en 2022 une tentative de gay pride a été empêchée par des opposants et le Premier ministre le ministère de l’Intérieur a ordonné aux forces de sécurité de « prendre immédiatement les mesures nécessaires pour empêcher tout type de célébration, de réunion ou de rassemblement » de personnes de la communauté LGBT, car « le prétexte de la liberté d’expression ne suffit pas à justifier la promotion de ces activités contraires aux principes divins ».

En Afrique, la propagande trans a exacerbé l’intolérance envers ce groupe avec le vote à l’unanimité d’une loi ougandaise punissant jusqu’à dix ans de prison pour toute personne se livrant à des actes homosexuels ou se revendiquant comme LGBTQ+.

Le Cameroun vient de déclarer persona non grata Jean-Marc Berthon, nommé en octobre 2022 ambassadeur français pour les droits des personnes LGBT qui avait annoncé son arrivée à Yaoundé. Le ministre Lejeune Mbella Mbella a rappelé à cette occasion que « la position du gouvernement sur la question de définition du genre, de l’orientation et de l’identité sexuelle est claire et dénuée de tout débat au Cameroun » et que la promotion de la théorie du genre est « qualifiée de crime de droit commun ».

La généralisation de la propagande pour la théorie du genre et la promotion outrancière de la transsexualité dans les écoles, dans les films subventionnés (avec quota obligatoire de représentants des minorités sexuelles) entraînent partout des clivages violents dans l’opinion et suscitent dans de nombreux pays des lois nocives pour la majorité des trans. Les extrémistes trans devraient méditer le vieux proverbe « pour vivre heureux, vivons cachés » et laisser vivre tranquillement tous les citoyens, minorités et autres y compris trans, leurs outrances aboutissant à des violences jusqu’ici inconnues chez des homosexuels, lesbiennes ou trans qui avaient choisi de vivre leur vie, à l’abri de la propagande.

Et d’ailleurs, écoutons la parole d’une drag queen :7

« Pourquoi voudriez-vous confier vos enfants à des personnes qui font des performances sexuelles pour adultes, et qui pour la plupart se droguent backstage [dans les coulisses] ».

Enfin une Drag Queen honnête et courageuse !

« Sexualiser les enfants fait partie de l’agenda 2030. Envoyez nos dirigeants se faire foutre ». Tweet du Dr. Anastasia Maria Loupis 12 06 23 :





Conférence Dr Nicole Delépine : STOP au sabotage de l’école et à la sexualisation de l’enseignement

[Source : Salim Laïbi]

Conférence du Dr Nicole Delépine réalisée à Paris le 1er juillet dernier avec les Drs Gérard Delépine, J.-M. Sabatier, Alexandra Henrion-Caude ainsi que Salim Laïbi. Il sera question dans cette intervention de la dangereuse dérive de l’Éducation nationale, de l’école publique, qui perd le nord, qui ne remplit plus sa mission d’instruction publique auprès des nouvelles générations. C’est un véritable sabotage du pilier central de toute civilisation, l’enseignement des enfants, avec une chute spectaculaire du niveau scolaire et du classement international de l’école française. Et comme ce n’est pas suffisant, il fallait que les autorités politiques introduisent dans cette école en perdition l’enseignement de la sexualité aux plus jeunes ! Le Dr Nicole Delépine de sensibiliser la population sur le danger de cette dérive en l’informant et en la poussant à réagir. Merci de partager l’info puis la vidéo au plus grand nombre.

[Voir aussi :
Günther Anders et L’Obsolescence de l’homme
Gunther Anders et le virus de la télévision
Jean-Paul Brighelli sur l’école : de la fabrique du crétin au consommateur semi-illettré
Le déclin de l’intelligence et l’appauvrissement du langage
L’inculture organisée dès les années 60 et la tragédie de l’ignorance généralisée
Profs, parents, élèves, unissez-vous !]

https://youtu.be/Mf2XmJTSzJw



Ce n’est pas à l’État d’éduquer nos enfants ! Réactualisons l’autorité parentale

Par Nicole Delépine

Le rôle de l’éducation nationale est d’instruire les enfants, de leur apprendre à lire, compter, leur enseigner l’histoire, la géographie, les sciences et la morale en développant leur esprit critique et le goût du dialogue et le doute fertile.

Celui des familles est d’éduquer leurs enfants selon leurs valeurs philosophiques et religieuses propres dans le respect des autres. C’est ce qu’a récemment rappelé1 le maire de Nice (Christian Estrosi), comme bien d’autres.

Tout être humain est unique, tout être humain est différent. Il l’est dès la naissance du fait de la loterie chromosomique. Il enrichit sa singularité par l’éducation que lui procure sa famille et les expériences de sa vie.

Mais l’État veut uniformiser les enfants et les transformer en robots obéissants. Depuis des décennies, il empêche les familles d’exercer pleinement leur autorité éducative en obligeant les enfants à aller à l’école dès 3 ans, en décrédibilisant les valeurs familiales, en sapant l’autorité des pères, en rappelant sans cesse aux enfants leurs droits2 sans leur rappeler leurs devoirs et en les endoctrinant à l’école, que ce soit sur le réchauffement climatique [ou autre chose].

L’éducation sexuelle chez les plus jeunes, sous prétexte de faciliter l’inclusion d’infimes minorités sexuelles comme les trans (0,2 % de la population)…

L’État et les médias qu’il subventionne ont constamment dénigré et nié le rôle éducatif des pères que notre système politico-socio-judiciaire a transformé en spectateurs impuissants de la faillite de l’école et de la disparition des repères moraux. Le nombre de familles monoparentales a explosé, et cette situation grève les finances publiques par l’explosion du nombre de demandes de prestations sociales de mère supposée isolée, et aggrave la carence éducative et morale ambiante.

Mais en sapant l’autorité nécessaire à l’éducation, on crée des barbares qui brûlent écoles, bibliothèques et mairies.

« Deux claques et au lit »

(Hugues Moutouh préfet de l’Hérault)3

Bruno Beschizza, maire d’Aulnay-sous-Bois, se montre plutôt d’accord avec la « méthode »4 :

« Je suis moi-même papa de cinq enfants. Demain, pour une gifle, je suis convaincu que dans la bien-pensance ambiante, il y aura un voisin qui portera plainte contre moi pour maltraitance. Hier, on a critiqué un préfet qui a osé dire “deux baffes et tu rentres à la maison”. Je pense qu’il faut revenir à cela. Les papas étaient absents. J’ai des mamans qui me disaient : “Monsieur le maire, on a vu des images d’un papa qui est descendu, a mis son gosse dans le coffre, on rêve de pouvoir faire ça”. »

« On a tellement décrédibilisé et critiqué, l’autorité, la notion de famille même.

Aujourd’hui, le papa ne descend plus parce qu’il ne se considère même plus comme papa. La maman, elle vous dit : “Mais comment je fais ?”. Le prof, il dit : “Je ne peux plus engueuler mon élève parce que sinon, les parents vont venir et peut-être entamer une procédure contre moi”. Dans ces conditions, aucune loi ne peut être intégrée, sauf celle du plus fort.

Pour un parent, poser un interdit cohérent nécessite de souhaiter avoir un enfant aimable pour les personnes extérieures à la famille et qui ait envie d’être un citoyen, mais aussi d’accepter de ne pas être aimé temporairement par son enfant. À notre époque, les interdits ne sont plus “portés” par le groupe social, beaucoup de parents ne prennent plus en compte que le regard des autres qui souligne que “ça ne se fait pas”, qui aidait les parents à réguler les comportements de leurs enfants. D’autant que beaucoup de médias tournent systématiquement en dérision toute tentative de rétablissement des interdits nécessaires. »

Il est pourtant devenu indispensable de relégitimer un principe d’autorité très ferme à tous les niveaux (dans la famille, à l’école, envers la police, etc.) pour améliorer notre fonctionnement collectif et empêcher la perte de toute notion de « bien commun ».

Pour cela il faut reconnaître la légitimité du rôle éducatif des pères et leur autorité naturelle pour transmettre à leurs enfants les repères et les limites indispensables à la vie harmonieuse pour tous dans une société démocratique.

Sans apprentissage du bien commun par les enfants, on aboutit aux explosions nihilistes que nous devons affronter inutilement. La crise que nous venons de subir n’est pas uniquement liée à un conflit de civilisation entre Algériens d’origine et Français de souche : les jeunes de nos banlieues qui séjournent en Algérie où l’éducation des parents n’est pas entravée par les lois et qui s’y comportent comme en France sont rapidement rappelés à la raison par leurs proches.

Il faut rétablir l’autorité éducatrice des parents pour ne pas être contraint à utiliser la force de la police ou de l’armée comme derniers remparts de la démocratie.





Pourquoi demander une autopsie après le décès d’une personne vaccinée avec un « vaccin » à ARN messager anti-COVID-19 ?

Document à publier largement afin que les juristes puissent s’en servir si besoin.

Merci

Jean-Luc Duhamel




Contrairement aux assertions du Vidal, les enfants ne contaminent pas et ne transmettent toujours pas le covid-19 !

Par Nicole et Gérard Delépine

Dis-moi qui te paye et je te dirai qui tu es (lettre ouverte Acrimed de 1999)1

Enfants innocents du covid2 : vérité démontrée depuis 2020 ! Probablement pour pousser les parents à faire injecter les pseudo vaccins covid, injections expérimentales aux enfants fort lucratives, Stéphane Korsia-Meffre les accuse à tort dans le Vidal 2023, guide familial vendu à des centaines de milliers d’exemplaires et jouissant depuis plus de cent ans d’une réputation de probité et fiabilité.

Dans un temps pas si ancien, le gros livre rouge qui trônait sur tous les bureaux de consultation, « le Vidal » constituait la base de référence rapide servant à vérifier une indication d’un médicament, une posologie, des effets secondaires en cas d’association avec d’autres substances prescrites3. Bref un gros aide-mémoire pratique et fiable. Que s’est-il passé ? La concurrence avec Internet l’a-t-il poussé à se renouveler et à devenir un livre comme un autre publiant à propos de drogues disponibles des analyses plus ou moins sérieuses et commerciales ? Et comme les grandes revues médicales si réputées devenues otages et esclaves de l’industrie pharmaceutique4, le Vidal de nos jeunes années a-t-il plongé dans la vase actuelle ? Quelle tristesse !

Dans un article de juin 2023 du Vidal, Stéphane Korsia-Meffre se fait le chantre d’un article maori, très politisé et très peu factuel, accusant à tort les enfants d’être « les principaux responsables de l’épidémie covid ». Ce mantra répété pendant plus de deux ans pour convaincre les parents de faire injecter leurs enfants revient-il à la mode, bien que l’épidémie ait disparu de l’aveu même de l’OMS ?

Mais pourquoi cet auteur nie-t-il toutes les données de la littérature internationale unanime, sur le caractère exceptionnel, rarissime et non démontré de fait des contaminations par les enfants ? Ce plaidoyer serait-il la conséquence de son activité de conseil auprès de l’industrie pharmaceutique et des vendeurs des pseudo vaccins covid ? Et n’entend-il pas les cris des familles endeuillées qui arpentent de nombreuses villes, portrait à la main de leurs proches pour tenter de sortir du déni les milliers d’effets secondaires graves survenus dans tous les pays du monde, et qui à eux seuls, quel que soit leur nombre exact, devraient faire interdire cette substance inutile et trop souvent toxique aux effets à moyen et long terme encore inconnus ?

Dans cette mise au point factuelle et sourcée, nous analyserons les données qu’il met en exergue avant de rappeler celles de la littérature qui unanimement innocentent les enfants.

Les articles cités dans le Vidal ne démontrent en rien la responsabilité des enfants

L’article maori, dont le but paraît être de critiquer la politique sanitaire néo-zélandaise accusée de laxiste, montre seulement que les enfants de ce pays et les personnels des écoles ont été très largement contaminés par Omicron.

Il ne s’agit pas d’une étude épidémiologique réelle des malades de covid-19, mais d’un dépistage massif basé sur des tests PCR dont l’absence de fiabilité et de spécificité est unanimement reconnue chez les personnes asymptomatiques5.

De plus, le taux élevé de contaminations dans la population lors de la période étudiée rend très incertaine la détermination des cas index.

Il prétend sans modération que « conformément aux études internationales, l’éducation est une profession à haut risque dans la pandémie ». Pourtant la quasi-totalité des publications internationales affirment le contraire, que ce soit en France où l’Institut Pasteur explique que « les professeurs des écoles et instituteurs comme profession les moins à risque »6, en Écosse7, en Angleterre8, en Suède9, dans le Vermont10, aux USA11, en Allemagne1213

De plus les descriptions de foyers de cas dans les écoles qu’il avance comme argument de contamination par les enfants précisent presque toutes que la source de la contamination présumée est un adulte.

Toute la littérature sérieuse innocente les enfants du covid

Au risque de rabâcher, nous rappellerons à monsieur Stéphane Korsia-Meffre que toutes les études épidémiologiques sérieuses ont montré que les enfants ne constituaient pas un maillon significatif des transmissions du Covid.

Plus de 20 études épidémiologiques dans plus de dix pays ont recherché opiniâtrement des contaminations à partir d’enfants de moins de 18 ans : aucune n’a pu mettre en évidence un seul exemple réellement probant.

— L’étude de Santé Publique France 14 est très démonstrative. L’enfant des Contamines a été en contact, alors qu’il était malade, avec 172 personnes, dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club. Il n’a contaminé personne, même pas les deux autres enfants de sa fratrie.

— L’étude de l’institut Pasteur 15 sur les écoles primaires de Crépy-en-Valois a porté sur 1340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Parmi 510 élèves de six écoles primaires, ils ont identifié trois enfants de trois établissements différents qui étaient infectés au moment où les écoles étaient encore ouvertes. Aucun de ces trois enfants n’a contaminé quiconque, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.

— L’étude Coville, du groupe Activ (Association clinique et thérapeutique infantile du Val-de-Marne) dirigé par le professeur Robert Cohen, vice-président de la Société française de pédiatrie, a porté sur 600 enfants, de la naissance à l’âge de 15 ans permet de conclure que : « sans histoire de Covid parental, l’enfant n’a rien. »

L’analyse de ces trois études françaises et leurs homologues étrangères ont amené Christèle Gras-Le Guen, vice-présidente de la société française de pédiatrie, et Régis Hankard a déclaré lors d’une interview16 : « La Covid-19 n’est définitivement pas une maladie pédiatrique ».

Et Benjamin Lee et William V. Raszka confirment dans la grande revue pédiatrique américaine 17: transmission du COVID-19 et enfants : « l’enfant n’est pas à blâmer. »

— Aux Pays-Bas18, les enfants âgés de 0 à 17 ans ne représentent que 1,3 % de tous les patients déclarés avec COVID-19, bien qu’ils représentent 20,7 % de la population. Il n’y a pas de rapport d’enfants décédés du COVID-19. Une étude des ménages aux Pays-Bas a rapporté des données sur 116 enfants de 1 à 16 ans et les résultats préliminaires ont montré que rien n’indique que les enfants de moins de 12 ans aient été les premiers infectés de la famille.

— En Irlande19 , aucun cas de contamination scolaire n’a été détecté après analyse de 125 à 475 contacts de 3 cas détectés chez des élèves de 10 à 15 ans avant la fermeture des écoles le 12 mars 2020.

— En Australie, l’étude du National Centre for Immunisation Research and Surveillance (NCIRS), du 26 avril 2020, a analysé la transmission du virus dans les écoles et les garderies de Nouvelle-Galles du Sud entre mars et mi-avril. Celle-ci indique que les enfants ne risquent pas de se transmettre le Covid-19 entre eux ou de contaminer les adultes. 9 élèves et 9 membres du personnel infectés par le SRAS-CoV-2 dans 15 écoles ont eu des contacts étroits avec un total de 735 élèves et 128 membres du personnel. Seules 2 infections secondaires ont été identifiées, 1 élève du primaire a été potentiellement infecté par un membre du personnel.

La réouverture des écoles s’est d’ailleurs révélée sans risque pour les enfants

En Grande-Bretagne 20 à la reprise des activités scolaires moins de 0,01 % des écoles maternelles et primaires d’Angleterre ont rapporté des cas de coronavirus et aucun enfant n’a eu besoin de traitement hospitalier. Le rapport de Public Health England comptabilise 198 cas confirmés de coronavirus — 70 chez les enfants et 128 chez le personnel. Le médecin-chef anglais Chris Whitty a conclu que les risques pour la santé étaient « incroyablement petits »21.

En Suède22, de nombreuses écoles sont restées ouvertes pendant la pandémie, permettant d’évaluer l’impact la poursuite des activités scolaires sur l’incidence de la maladie en pédiatrie. L’incidence cumulée des hospitalisations avec diagnostic de COVID-19 chez les enfants scolarisés était de 9 pour 100 000 enfants, versus 230/100 000 hospitalisés et à 99/100 000 décès dus au COVID-19 parmi la population adulte de Stockholm (n ≈ 1,84 million) au cours de la même période. « Cela montre que la poursuite des activités scolaires n’a pas aggravé l’évolution de la pandémie pour les enfants en Suède, par rapport aux pays ayant des mesures de verrouillage strictes. ».

Au Danemark23 la réouverture des écoles n’a été suivie d’aucune contamination d’enfant à enfant. Llan Randrup Thomsen, virologue à l’Université de Copenhague a déclaré : « la plupart des analyses de cas avérés indiquent que même si les enfants sont infectés, ils ne sont pas gravement malades et ils ne transmettent pas non plus la maladie ».

En Allemagne, selon Sandra Scheeres, principale responsable de l’éducation de la ville, les statistiques montrent que les écoles de Berlin ne sont pas les sources du virus. « Les infections arrivent généralement dans l’école depuis l’extérieur »24.

L’Espagne, classée 10e sur 30 sur la liste des pays de l’OCDE qui ont manqué le moins de jours de classe en 2020, n’a pas non plus observé de reprise de l’épidémie lors de la reprise des cours25.

De même en Italie, à Florence26, à Singapour27

Alors pourquoi Stéphane Korsia-Meffre affirme-t-il de telles contre-vérités ? Les vétérinaires ignorent-ils les bases de données de médecine humaine comme Pubmed ? Surtout quel est le but de cette information fausse qui ne peut qu’inquiéter les familles alors que le virus covid-19 a quasiment disparu (moins de 5000 cas quotidiens et moins de 50 morts par jour attribués au covid pour 447 millions de personnes en UE).

Pourquoi le Vidal accepte-t-il de publier de telles désinformations, alors qu’il se présente comme un outil d’information fiable : « Le Vidal de la famille vous apporte l’information la plus fiable : celle des professionnels de santé mise à la portée de tous. Le Vidal de la famille répond, au quotidien, à vos questions. »

Le Vidal ne serait donc pas le site fiable qu’il prétend être : « Neutre et fiable, la base de données VIDAL est agréée par la Haute Autorité de Santé (HAS). Les Recos VIDAL et l’actualité sur les produits de santé sont publiées avec la même rigueur.11 mai 2023. »

Rappelons encore une fois que les enfants sont innocents du covid. Le massacre des innocents n’a pas sauvé nos aînés. Il faut refuser l’injection expérimentale contre cette pathologie qui ne tue pas les moins de cinquante ans et ne donne au pire chez les petits qu’un petit épisode grippal.

En résumé, les enfants ne contaminent pas, ne risquent rien du covid. Il ne faut pas les injecter.