Attention, les enfants restent menacés d’injections du faux vax anticovid inefficace et dangereux !

Attention, les enfants restent menacés d’injections du faux vax anticovid inefficace et dangereux 1

Par Nicole Delépine

Malgré les révélations inattendues de Pfizer au parlement européen avouant publiquement que la transmission du virus n’a jamais été étudiée dans les essais, les mondialistes tentent rapidement de pérenniser la vente de milliards de dollars de vaccin, avant que la population ne soit complètement réveillée. On apprend que la commissaire européenne poursuivie pour manque de transparence dans les contrats avec les firmes tente de réintroduire le pass vaccinal. Course de vitesse !

En France lors du récent congrès de pédiatrie français début octobre 2022, le Pr Fischer a regretté que les petits Français aient échappé en grand nombre à l’injection toxique.

Selon le groupe Telegram, la présidente de la Société française de pédiatrie s’est dramatiquement trompée ou a volontairement menti dans le but d’encourager les injections du sérum de Pfizer sur les enfants français.2 3 Par exemple, concernant les risques d’effets secondaires, selon TF1, elle avait indiqué aux journalistes du Monde :

« Dans le cas de porteurs de maladies chroniques, le débat sur la balance bénéfices-risques chez l’enfant ne tient plus, puisque le bénéfice est largement supérieur aux effets secondaires du vaccin ». Et d’ajouter que « ces enfants ont été vaccinés sans hésitation ».

Comment pouvait-elle évaluer cette balance bénéfices-risques, alors que ces vaccinations n’ont commencé aux États-Unis que l’été dernier et que, selon Pfizer, les essais cliniques ne s’étaient faits que sur 8 souris ? 4

Et comment pouvait-elle évoquer un quelconque bénéfice alors que les enfants ne risquent presque rien du covid, et que ces faux vaccins sont incapables de protéger les injectés de la maladie et leurs contacts de la transmission ?

D’autre part, en décembre 2021, sur France-Inter (* à partir de la minute 31), elle a affirmé qu’on attendait les résultats de la pharmacovigilance américaine concernant les effets secondaires sur la tranche d’âge des 5-11 ans… alors que la France avait déjà fait injecter le sérum adulte de Pfizer sur plus de 22 490 enfants, dont plus de 4500 petits de moins de 5 ans !5

Aux USA comme en UE, les autorisations pour injecter les enfants de six mois à 5 ans viennent d’être accordées. Nous devons absolument nous opposer à la pseudo vaccination inutile et dangereuse. Combien de complications graves ou de morts pour rien ? Ou plutôt pour les bénéfices des entreprises, de leurs actionnaires et de leurs complices (médecins, journalistes et politiques corrompus) et la manipulation des populations en vue de leur réduction.

Covid : l’EMA autorise la vaccination des enfants d’au moins 6 mois avec Moderna et Pfizer (Leparisien.fr)6 7

Onze mois après avoir autorisé la vaccination pour les 5-11 ans, l’Agence européenne des médicaments (EMA) a recommandé d’étendre l’utilisation des vaccins Comirnaty (de Pfizer) et de Spikevax (de Moderna) contre le coronavirus.

Une première en Europe. Ils pourront désormais être utilisés chez les enfants âgés de 6 mois à 4 ans pour le produit de Pfizer, et pour ceux âgés de 6 mois à 5 ans pour celui de Moderna.

Un comité d’experts convoqué par l’agence américaine des médicaments avait donné son accord, en juin, à la vaccination des très jeunes enfants. En Europe, les doses des deux vaccins dans ces nouvelles tranches d’âge plus jeunes « seront plus faibles », prévient l’EMA dans un communiqué publié ce mercredi. « Chez les enfants de 6 mois à 4 ans, Comirnaty peut être administré en primo-vaccination consistant en trois doses, les deux premières doses sont administrées à trois semaines d’intervalle, suivies d’une troisième dose administrée au moins 8 semaines après la deuxième dose », explique le comité d’experts.

En ce qui concerne le vaccin de Moderna, « chez les enfants de 6 mois à 5 ans, il peut être administré en primo-vaccination consistant en deux doses à quatre semaines d’intervalle », détaillent-ils. L’EMA s’appuie sur une étude menée chez des enfants de 6 mois à 4 ans qui a montré que la réponse immunitaire à la dose la plus faible de Pfizer « était comparable à celle observée avec la dose la plus élevée chez les 16 à 25 ans ». De même pour une étude du vaccin Moderna « qui a montré que la réponse immunitaire à la dose la plus faible chez les plus jeunes était comparable à celle observée avec la dose la plus élevée chez les 18 à 25 ans ».

Des effets secondaires comparables aux adultes

Selon l’EMA les effets secondaires les plus courants pour les deux vaccins, chez les enfants âgés de 6 mois à 4 ou 5 ans, sont « comparables à ceux observés dans les groupes d’âge plus âgés ». L’EMA précise que « l’irritabilité, la somnolence, la perte d’appétit, les éruptions cutanées et la sensibilité au site d’injection sont des effets indésirables fréquents chez les enfants âgés de 6 à 23 mois avec Pfizer, tandis que l’irritabilité, les pleurs, la perte d’appétit et la somnolence étaient des effets indésirables fréquents chez les enfants âgés de 6 à 36 mois avec Moderna ». Pour les deux vaccins, les effets secondaires se dissipent plusieurs jours après la vaccination. l’EMA considère donc que « les bénéfices l’emportent sur les risques ». Ces vaccins sont jugés « efficaces pour prévenir les maladies graves, les hospitalisations et les décès associés au Covid-19 ».

Mais comment l’EMA peut-elle énoncer de pareils mensonges alors que les données de l’OMS montrent que loin de diminuer la mortalité les faux vaccins paraissent l’augmenter ?

L’EMA prévient que « conformément au plan de surveillance de la sécurité de l’UE pour les vaccins coronavirus », ces deux produits sont « étroitement surveillés » et soumis à plusieurs activités qui s’appliquent spécifiquement aux vaccins Covid-19.

Les recommandations de l’EMA seront désormais transmises à la Commission européenne, qui rendra des décisions finales applicables dans tous les États membres de l’UE, précise le communiqué. L’EMA a averti le mois dernier que la pandémie de Covid-19 était « toujours en cours » et a exhorté les pays à instaurer des programmes de rappels de vaccins avant l’hiver.

L’EMA ment en prétendant que la pandémie est toujours en cours alors qu’elle n’est responsable que de 3 % de la mortalité européenne quotidienne globale.

UNE HISTOIRE DE GROS SOUS #LesPierresCrieront

Quelques heures seulement après que le vaccin ait été ajouté au calendrier de vaccination des enfants aux USA, le tarif de la dose de vaccin #Pfizer est passé à 130 $. Prix de vente en augmentation de 500 % par rapport au prix initial de 20 $. Pfizer réalise ainsi une marge de 10 000 % sur le coût de fabrication.

« De quoi stimuler les revenus pendant des années malgré une demande plus faible. »8 9

LE PASS VACCINAL BASE SUR UN MENSONGE, ARNAQUE MONDIALE 10

Auditionnée au Parlement européen ce 10 octobre 2022, Janine Small, chargée auprès de Pfizer des marchés internationaux du laboratoire, a été interrogée par le député néerlandais Rob Roos :

« Le vaccin Covid de Pfizer a-t-il été testé sur l’arrêt de la transmission du virus avant d’être mis sur le marché ? Si non, veuillez le dire clairement. Si oui, êtes-vous prêt à partager les données avec ce comité ? Et je veux vraiment une réponse franche, oui ou non, et j’ai hâte de la recevoir. »

« Un seul but : forcer les gens »

« Savions-nous l’effet sur l’arrêt de l’immunisation [lapsus avec le mot “transmission”, ndlr] avant la mise sur le marché ? Non », a répondu Small, expliquant que Pfizer avait « vraiment dû avancer à la vitesse de la science ». Elle a ensuite mis en avant les investissements risqués — à hauteur de 2 milliards — pour la recherche et le développement du vaccin. »

En réalité Pfizer avait avancé à la vitesse du commerce pour être le premier sur le marché à proposer quelque chose sous le nom de vaccin !

Rob Roos a médiatisé cette « révélation », diffusant sur les réseaux sociaux le message suivant :

« Lors de l’audience sur le Covid, le directeur de Pfizer admet : le vaccin n’a jamais été testé sur la prévention de la transmission. “Se faire vacciner pour les autres” a toujours été un mensonge. Le seul but du passeport Covid : forcer les gens à se faire vacciner. Le monde doit savoir. Partagez cette vidéo ! »

Dans la vidéo, M. Roos ajoute : Je trouve que c’est choquant et même criminel.

En un peu plus de 24 heures, la vidéo a été vue près de 10 millions de fois sur Twitter. D’innombrables articles, vidéos et publications sur tous les réseaux sociaux ont relayé cette information dans de nombreuses langues.

Évidemment cette autorisation d’injecter les enfants de six mois à 5 ans, en plus des plus grands, désespèrent tous les citoyens protecteurs des enfants en commençant par tous ceux qui depuis deux ans et demi tentent d’avertir le peuple des dangers majeurs des injections ARNm.

Selon le Pr Henrion-Caude, ce qui s’est passé aux USA : DES MOUTONS DE PANURGE ?

«  Ce soir 15/15 médecins-experts ont transformé leur serment d’Hippocrate en serment d’hypocrites Sans la moindre contestation, ils ont enchaîné les “yes” au CDC pour ajouter le vax COVID au calendrier de vaccination des 5-11 ans A écouter PATHÉTICODRAMATIQUE 11

Par quelle sidération collective, ont-ils pu zapper le fait que ce vax n’empêche pas la transmission ? Que les risques pour les enfants sont dans ces produits et non dans le COVID, car ils ont une immunité naturelle ? Et que les expériences du faux vaccin au Costa Rica saturent d’enfants les hôpitaux ? »

ALEXANDRA HENRION-CAUDE EXPOSE LES ÉVÉNEMENTS RÉCENTS DU COSTA RICA

Les autorités rapportent une centaine d’enfants hospitalisés avec fermeture nationale de toutes les écoles pour virus respiratoire 12 ainsi qu’une comparaison inquiétante entre août 2021-juillet 2022 et août 2020-juillet 2021 :

  • – une baisse des naissances : -452
  • – une hausse des décès de nourrissons : +90
  • – une hausse des décès d’enfants pour mille naissances : 9,8 contre 7,5613

« Pourtant » voici la réalité du Costa Rica en matière de vaccination :

  • pour les adultes : 87 % une dose, 81 % 2 doses (50 % 3 doses, 9 % 4 doses) 14
  • Pour les jeunes : Une incitation qui a commencé dès janvier 2022 15
  • Une relance faite pour les 190 000 enfants vaccinés entre 5 et 11 ans (20/04)
  • Une arrivée massive de 300 000 doses pédiatriques Pfizer (8/09).

Une nouvelle explication pédagogique (19/09) suivi, il y a 1 semaine, d’une mise en œuvre chez les tout-petits 6mois-5ans (3/10)16.

Et commentaire terrible :

les enfants peuvent être injectés sans la nécessité d’un consentement écrit des parents au Costa Rica. Juste un adulte (n’importe lequel), un carnet de santé et une carte d’identité.17 Des réactions locales ? Alexandra Henrion nous invite à les aider

OUI ! AIDEZ-LES SVP ! un appel à solidarité internationale de médecins, car ils campent 24 h/7 jours/7 devant le Président LIEN : https://t.me/wch_org/1859 18

ET un appel à sauver les enfants aujourd’hui :

https://t.me/alexandrahenrioncaude

UNE COURSE DE VITESSE ENTRE LES MONDIALISTES QUI ACCÉLÈRENT L’AGENDA ET LE MONDE QUI SE RÉVEILLE

En UE, l’injection toxique est autorisée chez les plus de six mois en même temps que la commissaire est de plus en plus acculée en justice pour les contrats abusifs passés en secret avec Pfizer.

AINSI CRISTIAN TERHES APPELLE À LA DESTITUTION D’URSULA VAN DER LEYEN POUR CORRUPTION AGGRAVÉE

Commentaire du YouTube le 19 oct. 2022 :

La vérité va exploser dans quelques jours sur les contrats entre Pfizer et la Présidente de la commission européenne Ursula van der layen qui espèrerait un conflit nucléaire avec la Russie pour éviter de parler de la corruption la plus importante de toute l’histoire de l’humanité.

Ursula von der Leyen doit être destituée immédiatement sans condition de toutes ses fonctions comme présidente de la Commission européenne » en raison de l’enquête ouverte pour se présenter aux interrogatoires, fournir les SMS et les documents de négociations. Elle doit préparer son procès et son passeport doit lui être retirée pour éviter qu’elle s’échappe dans un paradis fiscal qui n’extrade pas. (https://www.eppo.europa.eu/en/news/on…»

le Bureau du procureur européen , l’EPPO, a lancé le 17 octobre l’eurodéputé roumain au Parlement de l’UE :

Les contrats entre Pfizer et la commission européenne aux clauses abusives et secrètes sont inacceptables :

  • Commande ferme avec paiement en avance pour 4 milliards de doses
  • Commande obligatoire non annulable d’un montant de 70 milliards dont 35 milliards « négocié » directement par un échange de SMS entre Ursula van der layen et Albert Bourla
  • Augmentation du prix de la dose de 15 à 20 EUR totalement injustifiée
  • Non responsabilité des effets secondaires de Pfizer
  • En cas de versement d’indemnité, l’Union Européenne versera seule
  • En cas de procès contre Pfizer, l’Union Européenne paiera les avocats de Pfizer
  • une probable commission estimée en milliards pour Ursula, sa famille et les fonctionnaires qui ont validé le contrat.

Cristian Terhes met en garde contre un crédit social à la chinoise en Europe (https://t.me/kompromatmedia/1434) Ursula a bel et bien mené des négociations avec son grand ami Albert Bourla (https://t.me/kompromatmedia/1486), en infraction des règles mêmes de la Commission dont elle est présidente, a relevé l’eurodéputée Virginie Joron (https://twitter.com/v_joron/status/1570339024128315393), qui a fouillé le rapport de la Cour des comptes de l’UE (https://www.eca.europa.eu/Lists/ECADocuments/).

Mais ce n’est pas tout. L’entre-soi oligarchique de Bruxelles est étonnant : Entre autres, Heiko, époux d’Ursula, est directeur médical de la biotech Orgenesis (https://fr.wikipedia.org/wiki/Orgenesis), avec le même actionnaire que Pfizer : Vanguard Group.

Demande de destitution immédiate.

Christine Cotton biostatisticienne depuis 1995, ayant pratiqué 23 ans dans l’industrie pharmaceutique insiste sur le fait que la plus grosse arnaque de l’essai Pfizer n’est pas l’absence d’étude de la transmission (car c’est USUEL), mais qu’il n’y ait PAS mesure des ANTICORPS à 3 mois post dose 2… pour ne pas montrer que ça CHUTE 19 20

CHUTE à 56 jours post DOSE 2 !

Et comme Pfizer savait que les anticorps baissaient, dès décembre 2020, ils étudiaient déjà un BOOST !?!?! comme indiqué dans l’avis de la HAS de décembre 2020.21

Donc on ne mesure pas ce qu’on ne veut pas voir, on prépare 1 BOOST et on le vend 6 mois après !

D’AUTRES VOIX S’ÉLÈVENT AU PARLEMENT EUROPÉEN

EXCLUSIF — TOUT EST BASÉ SUR UN GIGANTESQUE MENSONGE !

Christine Anderson

le 21 oct. 2022 :

« Révélation sur la réalité de la situation et sur les produits injectables expérimentaux. Christine Anderson, Député européen et membre de l’équipe d’investigation sur les contrats signés entre Ursula von der Layen et Pfizer pour 70 milliards qui permet une augmentation des prix de 15 à 150 EUR la dose. La plus grande escroquerie de l’histoire de l’humanité et un empoisonnement encouragé. À partager ! »



Partout les citoyens s’inquiètent

22

Des mamans, des collectifs, des papas s’inquiètent et se mettent en lien 23

« Nous venons de créer l’Union pour la santé et la protection des enfants24, regroupant

– collectif de santé pédiatrique
– collectif des psys
– collectif des orthophonistes
– SOS éducation
– mamans louves
– enfance et liberte

Nous sommes en lien +++ avec beaucoup de parlementaires. Pour mettre au point des actions.

Voici une nouvelle explication des raisons qui poussent les pédiatres à promouvoir les injections géniques anti-Covid sur les enfants… »

Martine Leonard [23/10/2022 15 h 54]

[Transféré de Stock infos PEC]

⬆️ Les Collectifs des Parents En Colère de France entrent en action et en appellent aux associations, collectifs, parents, grands-parents, personnels médico sociaux, enseignants ou toutes personnes soucieuses du bien-être des enfants, à se joindre à cette action nationale auprès des établissements scolaires de toute la France afin d’affirmer notre détermination de refus de l’éventuelle réitération de mesures sanitaires et notamment le port du masque.

Nous avons constaté et sommes intervenus auprès de plusieurs établissements déjà qui ont fait appliquer en leur sein différentes mesures, se basant sur un protocole, qui n’a pas de valeur juridique et contrevient à la loi.

Nous en appelons à la solidarité pour faire cesser cette maltraitance !

Cette action vise à montrer notre détermination à protéger nos enfants, la force que nous représentons dans notre union pour cette action et notre étendue sur tout le territoire français.

Nous organisons deux réunions en visioconférences les mardi 25 et mercredi 26 octobre afin de répondre à vos questions.

« Pour nos enfants et parce que de l’union de chacun de nous donnera la puissance à cette action : rejoignez-nous dès maintenant pour entrer dans l’action sur le fil Telegram dédié : https://t.me/PECACTIONMASQUES2022 ou contactez-nous ici 👉pec.collectifs.actions@proton.me »

Les enfants comptent sur nous…

Ils sont notre avenir. Protégeons-les !

ESPOIR

L’État d’Alberta s’excuse auprès des non-vax et tance le WEF alors que New York doit réhabiliter ses salariés non vaccinés. 25 26

C’est au niveau local que les batailles contre la doxa officielle du Covid modifient petit à petit les rapports de force. Après la Floride, l’État d’Alberta au Canada prend une position claire contre la discrimination des non-vaccinés par la voix de sa nouvelle première ministre Danielle Smith.

Et L’Italie va réintégrer les suspendus et rembourser les amendes chez les non-vaccinés de plus de cinquante ans qui avaient résisté.27

LE MONDE SE RÉVEILLE : INFORMONS, PROTÉGEONS LES ENFANTS !





France — Protégeons les médecins poursuivis pour avoir soigné : Touche pas à mon doc

[Première diffusion sur : docteur.nicoledelepine.fr]

Par Nicole Delépine

NOUS RELAYONS CET APPEL AU BON SENS ET AU PARTAGE DE LA PÉTITION
TOUCHE PAS À MON DOC

Citoyens comprenez bien que sans liberté de soigner, il n’y a pas de médecine. Vous le vivez au quotidien depuis deux ans et demi pour l’ensemble de la population. Les petits et grands cancéreux ont été victimes depuis les années 2000 avec l’avènement des plans cancer des conséquences parfois dramatiques de la disparition du choix du traitement par le patient et par son médecin. CETTE DICTATURE SANITAIRE DOIT CESSER. Nous cotisons tous à la Sécurité Sociale. Ce n’est pas pour enrichir Big Pharma qui impose ses molécules chères et inefficaces à tous via les agences et les réunions multidisciplinaires. Si vous n’obéissez pas, votre structure n’aura plus le droit de soigner. Les « protocoles » sont le choix de la technostructure et non le meilleur traitement adapté à vous-même.

Le même principe s’applique aux médecins de ville qui vous ont soigné et préféré les traitements précoces efficaces au non-traitement via le 15, le Doliprane toxique et le Rivotril pour euthanasier les personnes âgées en EHPAD ou en hospitalisation à domicile.  Les vrais médecins fidèles à leur serment et à leurs patients sont poursuivis. Ils sont l’honneur de la médecine. Faites-le savoir et sauvons-les ainsi que les futurs patients.

Bon Sens, [21/07/2022 16:04]

Dernièrement, les Directions régionales du Service médical (DRSM, service de la « sécu ») ont transmis au Conseil de l’Ordre des médecins la liste des médecins ayant prescrit des traitements ambulatoires dans le cadre de la Covid. Suite à ce signalement, l’Ordre convoque de nombreux médecins sur l’ensemble du territoire. Pour soutenir les « Docs » qui ont tenu bon au long de cette crise, qui ont gardé la tête sur les épaules, qui ont continué à nous informer, à nous soigner. Pour protéger une médecine individualisée, adaptée à chaque patient, adaptée à chaque histoire, où chaque médecin peut agir en conscience au service du patient qui le lui demande.

Si les médecins qui ont soignés sont attaqués, qui sera là pour nous à la prochaine épidémie ?

Bienvenue sur l’espace « Touche pas à mon Doc ». Sur cet espace, vous pourrez déposer, lire et partager des témoignages de patients ou de professionnels face à la crise.

Le site, https://tpmd.fr/

Canal Télégram, https://t.me/TpmdFr

Bon Sens, [21/07/2022 16:04]
Manifeste

Les Conseils Départementaux de l’Ordre des Médecins multiplient, sur l’ensemble du territoire, les convocations de médecins suite à « des signalements des Directions Régionales du Service Médical » (DRSM). En pratique ces services de l’assurance maladie ont répertorié les prescriptions réalisées dans le cadre de la prise en charge en ville (hors hôpital) de la Covid.

À l’heure actuelle, l’épidémie reste un sujet de préoccupation, malgré les mesures déjà proposées par les Pouvoirs publiques (distanciation physique, masques, vaccins, traitements ciblés…). Il semble impensable au vu de l’évolution des connaissances sur le sujet qu’on puisse remettre en question une proposition thérapeutique supplémentaire : les traitements précoces associés au suivi rapproché et à la prévention des complications, la prise en charge des patients en ambulatoire, pour éviter au maximum les complications et les hospitalisations.

Nous sommes médecins, nous avons refusé de céder à la fatalité du « on ne peut rien faire ». Nous avons cherché, nous nous sommes questionnés et avons beaucoup échangé. Nous avons appris à connaître cette maladie. Nous avons continué à prendre soin de nos patients comme nous l’avions toujours fait dans les contextes d’épidémies virales. Nous avons continué à accueillir tous les patients. Nous les avons examinés, nous les avons rassurés, leur avons enseigné les signes d’alerte, nous les avons accompagnés tout au long de la maladie. Nous avons fait de notre mieux, en conscience. Nous avons pris la responsabilité de leur proposer les traitements les plus adaptés en accord avec les données actualisées des recherches scientifiques.

Nous sommes de simples citoyens, nous ou nos proches avons été malades. Face à la maladie, nous nous sommes sentis seuls et démunis. Nous avons parfois entendu cette phrase « on ne peut rien faire, attendez, et si vraiment cela ne va pas, faites le 15”. Puis nous avons trouvé un médecin qui a accepté de nous soigner. Parfois lorsque nous étions déjà dans un état préoccupant. Un médecin qui nous a accueilli, rassuré, accompagné. Un médecin qui nous a permis de faire face à la maladie, qui nous a redonné de l’espoir, nous a progressivement accompagné vers la guérison. Un médecin qui nous a permis de retrouver confiance dans la médecine. Nous refusons que les médecins puissent se sentir intimidés.

Si les médecins sont privés de leur indépendance professionnelle, de leur liberté de prescription, quelle sera la médecine de demain ? Une médecine de protocole, dictée par qui ? Nous serons présents aux côtés de ceux qui ont pris soin de nous, pour prendre soin d’une médecine individualisée. »

Disons aujourd’hui fermement, TOUCHE PAS À MON DOC !

Pour signer le manifeste : https://tpmd.fr/manifeste/




LIBÉREZ LES « PRISONNIERS » DES EHPADs

[Première publication sur : profession-gendarme.com]

Par Nicole Delépine

L’enfermement inhumain des personnes âgées dans les EHPADs est la démonstration la plus aboutie du déshonneur de certains humains, dès qu’on leur donne un petit pouvoir et qu’on les manipule par la peur. Alors ceux qui ont un grand pouvoir, n’en parlons pas.

Il n’y a jamais eu AUCUNE raison d’enfermer un vieillard dans sa chambre sans visites ni contact avec ses « codétenus », sans sortie dans le jardin…

Rappelons les réflexions de bon sens des comités d’éthique1 :

« Les droits de l’Homme et de la Femme s’arrêtent-ils à l’entrée de l’EHPAD ? La restriction pour les résidents des sorties de l’EHPAD est-elle légale ? …

La Constitution de notre pays garantissant la liberté d’aller et de venir, cette question ne devrait pas se poser. Une personne âgée, capable au sens de la Loi, apte à comprendre la nécessité et la pratique des gestes barrières, est et devrait rester libre de sortir de l’EHPAD

« Il est exclu de priver pendant les temps de confinement, comme observé lors de la première vague de la Covid-19, toute visite, car l’enjeu éthique recoupe celui plus médicopsychologique, à savoir l’indispensable mission de lien que l’accompagnement des familles permet de réaliser auprès des résidents âgés.. » 

Et malheureusement le silence et la poursuite de la coercition règnent encore et l’on apprend par des blessés de la vie (prisonniers ou visiteurs discriminés) qu’en octobre 2022 des « enfermés », Alzheimer de surcroît, n’ont pas le droit de voir leur proche sans masque, qu’ils ne peuvent évidemment pas reconnaître et se sentent donc abandonnés.

Ils le sont de fait, si ce n’est pas par leurs proches dont certains multiplient plaintes et lettres aux autorités diverses (ARS, directeurs, etc.), mais par la société tout entière ou presque. Après les près de 10 000 résidents d’EHPAD « euthanasiés » en mars avril 2020 sans leur consentement ni celui de leurs familles, au prétexte de quelques symptômes compatibles avec le virus2 3 4, et les multiples syndromes de glissement et décès liés à l’isolement, sans explication de l’absence de visites de leurs enfants, les autorités les ont piquousés de force.

Le consentement libre et éclairé ne fut qu’une vaste imposture dans ces circonstances, avec toutes les conséquences physiques, psychiques que l’on commence à connaitre5. Mais il est clair que les effets dits indésirables (de fait jamais désirés) ont été probablement largement sous-estimés, tant il est vrai que Robert Marchand qui à 109 ans faisait du vélo deux semaines plus tôt, décédé quelques jours plus tard d’une crise cardiaque après le pseudovax, ne pouvait être qu’une « coïncidence »6… Et que le grand nombre de ces « coïncidences » devraient interroger nos criminalistes.

Aujourd’hui alors que l’épidémie est terminée depuis belle lurette7 et que la plupart des pays même les plus covidistes8 abandonnent les mesures coercitives et les injections, en France, on veut nous faire croire à une nouvelle vague… Nouvelle vague de délire alimentée par des tests (dont même le CDC a reconnu la non-spécificité)9, « masque » des drames sociaux, grèves, pénuries qui se jouent dans notre pays. Alors si on pouvait dévier l’attention…

Un correspondant fait le point du jour mettant en évidence les chiffres réels. https://covid.irsan.eu : situation le 15 octobre 202210 : pas d’épidémie, que du vent médiatique.

Nos aînés, comme nos enfants et tous les citoyens doivent être libres de leur mouvement, de leurs sorties dehors dans le jardin ou au restaurant, et dans l’établissement lui-même entre résidents. À ce que je sache, on ne retire pas les droits civiques lorsqu’on entre en EHPAD ! Qui se permet, encore aujourd’hui de maltraiter nos aînés ?

Voici ce témoignage reçu d’un proche d’un résident EHPAD, accrochez-vous

Je suis Marie

Par Ity le dimanche 10 octobre 2021, 22:22

De nombreux mois maintenant
Que je vis dans cette résidence
Où le temps passe lentement
Entre le vide et le silence

Trois ans passés déjà qu’on m’y a remisée
Dans cet endroit nouveau qu’on appelle foyer
Trois longues, pénibles et monotones années
Passées loin de chez moi, perdue, déracinée

Les jours pareils, je les regarde passer
Par ma fenêtre, je vois le vent souffler
Le soleil tant aimé ne me réchauffe même plus
Derrière ces murs livides, tout n’est que superflu

Mes journées sont longues, ennuyeuses à pleurer
Pas de lecture, de jeux, juste un écran télé
Que je regarde d’un œil sans même m’intéresser
Quand je patiente assise entre déjeuner et dîner

Et puis il y a ces jours un petit peu animés
Quand j’aperçois la bouille de l’un d’mes bien-aimés
Mon regard est tout de suite rallumé, éclairé
Et sur mes lèvres soudain un sourire est posé

Il y a mes enfants fidèles et réguliers
Et les petits-enfants un peu plus espacés
Tous ces moments précieux me réchauffent le cœur
Dans cet endroit bien glauque envahi de froideur

Les accolades et les petits baisers
Font de ces visites moments privilégiés
Et même si là-haut, du mal à me rappeler
Mes familiers se lassent jamais de répéter

Puis un jour, les voilà se présentant masqués
Leur beau sourire d’un tissu habillé
Plus que nos yeux pour quelques émotions
Quand leurs visages avaient avant tant d’expressions

Je n’ai jamais compris pourquoi cette mascarade
Enfermée seule ici hors de cette parade
Pourquoi mes proches ne veulent plus m’embrasser
Quand mes années commencent pourtant à s’décompter

Mais qu’ont-ils donc tous bien pu faire
De mon monde où il faisait bon vivre
Est-ce vraiment à ce point devenu un enfer
Où plus personne n’a de chance de survivre

Alors on m’a parlé d’un très méchant virus
Tueur impitoyable, contagieux et bien plus
Qu’il s’attaquait à tous et spécialement au vieux
Que c’était en prison que je serai le mieux

Puis les visites fréquentes sont devenues bien rares
Mes enfants mes chéris m’avaient-ils oubliée
Plus le bruit de leurs pas arrivant dans l’couloir
Et cette porte verte désespérément fermée

Et c’est bien une prison que l’on m’a imposée
Avec interdiction de voir mes bien-aimés
Avec même privation de toute liberté
Quand nos repas de groupe nous sont même retirés

Enfermée dans cette chambre à longueur de journée
Quelle était donc ma faute pour y être condamnée
Exemplaire toute ma vie désormais en prison
Même la moindre visite se heurtait à un non !

Et sans le moindre mot de mes geôliers en blouse
Je ne savais même pas qu’ils refoulaient mes proches
Les jours si longs sans eux me refilaient le blues
Et dans ma tête en boucle, les idées les plus moches

Puis vint l’heure du parloir à des heures encadrées
Derrière ces murs de verre comme en maison d’arrêt
Pourquoi ne plus pouvoir toucher mes fils mes filles
Quand c’est tout ce qu’il reste d’une vie qui s’effile

Mais qu’y avait-il donc à redouter comme ça
Était-ce l’hécatombe narrée dans les médias
Même mon écran monotone ne parlait que de ça
Des chiffres en tous sens et des morts à tout va

Je ne comprenais plus ce qu’il s’passait dehors
Pourquoi vivre recluse abandonnée de tous
Qu’avais-je donc commis pour mériter tel sort
Pour finir ma vie, bannie que l’on repousse

Et puis on m’a piquée à multiples reprises
Pour mon bien parait-il, pour ma santé fragile
J’ai subi tout ce cirque sans aucune maîtrise
Avec l’accord éclairé de mes enfants serviles

Les vieux comme cobayes, c’est tellement plus pratique
Même si dans nos entrailles, ça semble si sadique
Pourquoi n’pas nous laisser finir nos vies en paix
N’avons rien demandé sauf dignité, respect

Et puis les jours passant, mon souffle devenu court
Mes jambes lourdes maintenant, serrées dans mes collants
Mes forces disparaissant, plus faible de jour en jour
C’était bien leur poison qui me tuait lentement

J’ai continué ainsi sans la moindre complainte
À l’image de ma vie, femme discrète et simple
Mais jusqu’à l’épuisement, l’inéluctable malaise
Quand la mort vous attire au bord de la falaise

Je ne me relèverai pas de ce terrible coup
Embolie pulmonaire, ma vie ne vaut plus rien
Je vais finir mes jours, épuisée, presque à bout
Aujourd’hui plus qu’hier, dépérir vers la fin

On me dit qu’aujourd’hui pour me rendre visite
Il faut être classé comme aux heures les plus sombres
Mais moi j’en connais un qui quand l’Histoire hésite
Ne cédera jamais à une nation qui sombre

Mais qui sont donc ces gens pour me priver de lui
Que sont devenues nos lois dans une telle folie
Faudra-t-il sortir d’ici les 2 pieds en avant
Pour qu’il puisse à nouveau me serrer tendrement

On m’a privée des sourires en cette fin de vie
De la chaleur des miens en cette fin d’chemin
Des bisous, des câlins, d’la famille, des amis
Quand chaque heure qui passe menace le lendemain

Moi qui croyais en dieu, je ne crois plus personne
De ces sombres années, je veux que mon glas sonne
Je n’ai donc plus la force de continuer ici
N’importe où mais ailleurs, sera le paradis

C’est donc ainsi ici que l’on chérit nos aïeux
Avec tant de mépris, parfois même sans adieux
J’avais rêvé finir, entourée par les miens
Non pas au cri d’Je suis Marie[*], détruite de chagrin…

[*] Note du rédacteur de ce témoignage terrible traduisant le vécu de tant de nos aînés : 
Au nom de tous les prisonniers de nos EHPADs, de ces victimes, de ces sans-voix, de ces sacrifiés de la folie humaine et contre tous les suiveurs bien plus coupables que les meneurs. 11.
Si ce texte vous a plu et/ou surtout touché, partagez-le au plus grand nombre pour lancer un mouvement de libération de nos aïeux qui méritent bien mieux qu’un emprisonnement indigne privés de la chaleur de leurs proches pour finir leurs jours !

Alors comme en janvier 2015 lorsque la folie s’est déchaînée sur notre pays et que le peuple a réagi, aujourd’hui ce peuple doit se réveiller. Il est temps de crier « Je suis Marie » !12

Ce témoignage doit nous faire honte à tous, car nous avons échoué à réveiller la population et laisser mourir tant d’aînés dans l’indifférence générale, quasi absolue. Les quelques articles que nous avons écrits 13 14 et bien d’autres auteurs, 15 pour transmettre les cris des patients hospitalisés, isolés, abandonnés, interdits d’accompagnement à l’approche de la mort, et de nos aînés devenus prisonniers, en pire, car privés du droit à la promenade journalière des vrais prisonniers, sont tombés dans le silence et le fonds du puits de l’égoïsme intégral.

Cette indifférence n’a d’égale que celle concernant les soignants et pompiers suspendus, sans salaire depuis plus d’un an, sans droit au RSA, ni allocation chômage, et dont certains se sont suicidés16 ou sont devenus SDF. 17

Nous n’avons pas su trouver les mots et espérons que cet appel de Marie résonnera au fond du cœur de chacun, car la libération de ceux qui ont survécu et sont encore enfermés est une Urgence !

Transférez le poème de Marie à tous les députés, sénateurs qu’ils votent une loi de libération s’il faut en arriver là. La loi d’aout 2218 supprimant les mesures coercitives aurait dû les libérer, mais un funeste décret a autorisé les établissements de soins à imposer le masque s’ils le souhaitent.

Au nom de quelle justification médicale, de quelle compétence alors que le masque est démontré être inefficace et dangereux 19 20 21 22

LA BANALITÉ DU MAL

De façon plus générale, il est temps de réfléchir à nouveau à ces concepts oubliés et pourtant si présents, la banalité du mal, si bien explicitée (mais si longtemps incomprise) par Hannah Arendt qu’il est urgent de relire.

Le comportement de trop de soignants dans les Ehpad ou instituts d’handicapés, de médecins obéissants à la doctrine du non-soin imposé par le gouvernement pour la première fois depuis Hippocrate, soit 2500 ans, de citoyens ordinaires vis-à-vis de leurs familles ou dans les supermarchés envers une personne non soumise, qui porte la muselière sous le menton, nous a plongés en moins d’un an dans l’univers kafkaïen des descriptions de Primo Levi.23





De la déshumanisation à la soumission : l’horreur du massacre de Lola qu’il faudrait taire, comme celles d’autres victimes, dont celles de l’injection forcée, si vite oubliées

[photo :
Bouquet de fleurs et message de condoléances à la famille :
« Repose en paix Lola, courage pour la famille »,
le 17 octobre 2022, devant l’immeuble à Paris 19e où vivait Lola, 12 ans,
trois jours après la découverte de son corps dans une malle. © AFP]

Par Nicole Delépine

Pour Lola et tous ces enfants morts de la déliquescence de notre société disloquée, chaotique1

ET L’INSULTE MÉDIATIQUE INSUPPORTABLE À CES MORTS2 3: « FAUT-IL EN PARLER ? »

En hommage à Lola monstrueusement assassinée et considérée comme objet abandonné dans une valise, tentons de protéger les enfants partout dans le monde et singulièrement chez nous, de la sauvagerie qui se développe rapidement sous toutes ses formes, de la plus sanglante, à la maltraitance institutionnelle, soi-disant sanitaire (masques, tests PCR, etc.) et injections morbides et inefficaces anticovid menant parfois à la mort pour un pass ou une inscription au sport…

Les enfants ne sont pas des objets

Ce monde où les humains sont devenus cobayes, objets d’une expérience à échelle mondiale, où leurs vies comptent si peu dans l’inconscient collectif, qu’on peut retrouver une petite fille dans une valise sans que des millions de personnes se lèvent tout de suite en une immense procession silencieuse près de la rue Manin et du parc des Buttes Chaumont…

La violation d’un sanctuaire, l’enfance sacrée

Oui, je ne peux qu’associer la souffrance la plus extrême des parents de Lola à celles des parents de tous ces sacrifiés du covid, de la honteuse manipulation des peuples et de leur abominable soumission à la doxa de la tv et autres médias collabos jusqu’aux journaux féminins et télévisuels.

Ils nient l’horreur du supplice de Lola, la banalisent jusqu’à se demander « s’il faut en parler » et tentent de transformer son martyr en « faits divers ». Les mêmes nient aussi les conséquences tragiques des injections géniques quitte à discuter sur le nombre de décès déclaré par les agences… (En tout état de cause, un médicament préventif ne devrait pas en entraîner UN SEUL).

D’autres, dans le déni absolu de l’horreur indicible, tentent d’utiliser le martyr de Lola pour combattre des « ennemis politiques ». Mais le principal ennemi actuel n’est-il pas notre inconscience collective de la dégradation de notre société qui discoure des heures pour une gifle ou un ordre d’aller dans sa chambre à un enfant, et laissent évoluer la folie collective, nourrie chaque jour par les intégrismes de tout poil, l’islamisme, le covidisme, mais aussi les verts de plus en plus bruns silencieux tant pour Lola que pour les pseudovaccins tueurs.

Oui les tueurs sont dérangés psychiquement, mais a-t-on jamais vu un assassin « normal » ? La réticence trop répandue à honorer le martyr de Samuel Paty est une démonstration supplémentaire de la soumission à la déchéance sociale.

L’horreur indicible du meurtre subi par Lola est inimaginable et dire qu’on « comprend les parents » est une marque de compassion louable, mais à distance de la réalité tant c’est impossible. Les parents des enfants cancéreux que nous avons soigné sans toujours leur sauver la vie savent ce qu’est ce parcours cruel, ce long chemin qui leur enlève leur enfant et ne peuvent jamais oublier. Peuvent-ils même se reconstruire un jour dans le souvenir de l’enfant disparu et la certitude de l’avoir accompagné avec tout l’amour du monde ?

Comment les parents de Lola obligés de subir cette épreuve en une nuit pourront-ils revivre un jour, et de même les parents obéissants ayant fait injecter leur enfant ? Est-ce seulement envisageable ?

Que dire de plus que les autres « Humains » qui ont déjà rendu hommage à Lola, comment décrire l’indicible douleur à cette annonce et la difficulté, voire l’impossibilité de regarder la photo de cette magnifique petite fille privée de vie au seuil de son adolescence. Un dessin hommage de @bloglaurel (merci à vous Laurel). Nous manquons de mots devant l’indicible.

La soumission globale à l’ensauvagement général incorpore ces injections tueuses dans notre société malade. Chaque jour de nouveaux appels à stopper ce délire tueur4. Chaque jour de nouveaux appels à rétablir l’autorité et la sécurité.

Rappelons les décès de nombreux adolescents (sportifs pour un grand nombre) via quelques exemples récoltés sur Telegram. Ne les oublions pas, ces victimes d’une société soumise, aveugle, obéissante. Le massacre des innocents des sociétés anciennes nous sidère à nouveau.

UNE ÉPIDÉMIE DE COÏNCIDENCES CHEZ LES ENFANTS/ADOLESCENTS, [01/07/2022 23:47]5
CLASSIFICATION DU MODE DE DÉCÈS COMME NATUREL, ACCIDENTEL, HOMICIDE OU INDÉTERMINÉ

Comment pourrait-il y avoir entraves à enquête ?

« 1- Les tristes annonces des décès des enfants et adolescents sont publiées dans la rubrique « faits divers ».
2- La publication est rapidement archivée.
3- Le fact checker déclare l’absence de lien de causalité, sans enquête, sur le principe de l’opinion.
4- Des autopsies sont refusées si la mort de l’enfant semble de cause naturelle.
5- Production de Faux certificat de décès ou parcellaire.
6- La police pourrait porter des accusations criminelles dans les cas où elle croit qu’il y a eu un acte répréhensible, mais lorsqu’un enfant meurt dans des circonstances qui ne semblent pas être un homicide, il est extrêmement rare que cela se produise. En dehors du cadre de l’homicide il est rare qu’il y ait enquête.
7- Si un enquêteur décide tout de même de mener une enquête, il est sanctionné. »

https://www.cbc.ca/news/canada/ottawa/helen-grus-suspended-ottawa-police-vaccine-status-1.6398984

Donc, les enfants meurent tranquillement dans leur sommeil, sur le terrain ou de causes inconnues…. et personne ne cherchent !?6

UNE ÉPIDÉMIE DE COÏNCIDENCES CHEZ LES ENFANTS/ADOLESCENTS, [01/07/2022 23:54]

Groupe destiné à recenser les effets secondaires graves à très graves, médiatisés sur les enfants et adolescents :

15/05/2022 deux soignantes sauvent un nourrisson dans le TGV
https://www.letelegramme.fr/bretagne/deux-soignantes-sauvent-un-nourrisson-dans-le-tgv-entre-paris-et-brest-15-05-2022-13028256.php

16/05/2022 Une fillette de 15 mois décède
https://www.lavoixdunord.fr/1180165/article/2022-05-16/sebourg-helicoptere-intervient-enfant-decedee-220516

28/05/2022 Un adolescent en urgence absolue après un arrêt cardiaque
https://www.ladepeche.fr/2022/05/28/haute-garonne-un-adolescent-heliporte-en-urgence-absolue-apres-un-arret-cardiaque-10323544.php

29/05/2022 Une adolescente fait un malaise
https://www.ledauphine.com/faits-divers-justice/2022/05/29/l-adolescente-fait-un-malaise-lors-d-une-randonnee

02/06/22 Une collégienne de 12 ans dans un état grave après un malaise cardiaque à la piscine
https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/arthez-de-bearn-une-collegienne-de-12-ans-dans-un-etat-grave-apres-un-malaise-cardiaque-a-la-piscine-1654184880

15/05/2022 une fillette manque de se noyer dans une piscine son père la ranime grâce aux pompiers
https://www.ledauphine.com/faits-divers-justice/2022/05/15/une-fillette-manque-de-se-noyer-dans-une-piscine-son-pere-la-ranime-grace-aux-pompiers

08/05/2022 Un enfant de 11 ans meurt d’une chute accidentelle
https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/un-enfant-de-11-ans-meurt-d-une-chute-accidentelle-aux-martres-d-artiere-1651997543

30/04/2022 un adolescent de 15 ans décède après un malaise cardiaque lors d’un entraînement de foot https://www.vosgesmatin.fr/faits-divers-justice/2022/04/30/contrexeville-un-adolescent-de-15-ans-decede-des-suites-d-un-malaise-cardiaque-lors-d-un-entrainement-de-foot

09/10/2021 Un adolescent de 17 ans est décédé brutalement au cours d’une séance de sport.
https://www.dna.fr/faits-divers-justice/2021/10/09/un-lyceen-meurt-brutalement-durant-le-cours-de-sport

10/02/2022 Jakob Simard, 12 ans, doit la vie à la rapidité d’exécution d’un professeur d’éducation physique, à la présence d’un défibrillateur à la polyvalente des Quatre-Vents et à l’efficacité des ambulanciers.… https://www.letoiledulac.com/actualite/la-rapidite-dexecution-a-sauve-jakob/

20/01/2022 Un élève de 13 ans a été victime d’un malaise cardiaque,
https://www.ladepeche.fr/2022/01/20/montauban-lado-reanime-par-les-secours-en-plein-college-10058647.php

02/12/2021 La mort subite du jeune sportif de 13 ans
https://www.larepubliquedespyrenees.fr/pyrenees-atlantiques/pau/la-mort-subite-du-jeune-sportif-au-coeur-des-preoccupations-du-comite-64-de-rugby-7198956.php

05/05/2022 Près de Lyon : L’enfant de 11 ans, victime d’un malaise cardiaque mardi matin alors qu’il se trouvait à l’école, est décédé.
https://www.lyonmag.com/article/122795/pres-de-lyon-l-enfant-victime-d-un-malaise-cardiaque-a-l-ecole-est-decede

Des articles se retrouvent souvent dans la rubrique « faits divers », dans les journaux locaux et sont vite cachés dans les archives.

04/03/22 Une petite fille de 9 ans est morte ce vendredi matin dans la cour de récréation
https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/nice-deces-d-une-fillette-de-9-ans-dans-la-cour-de-son-ecole-apres-un-malaise-cardiaque-1646393276

25/02/2022 Le bébé décédé à Troyes n’avait pas bu d’alcool et n’avait pas été secoué
https://www.20minutes.fr/faits_divers/3242235-20220225-troyes-non-ce-bebe-n-est-pas-decede-apres-avoir-absorbe-de-l-alcool-ou-ete-secoue

17/02/2022 Un adolescent se plaint de maux de tête, il meurt quelques heures après d’une hémorragie cérébrale
https://www.public.fr/News/Un-adolescent-se-plaint-de-maux-de-tete-il-meurt-quelques-heures-apres-d-une-hemorragie-cerebrale-1700012

11/02/22 Drame un adolescent de 16 ans est décédé après une chute à ski
https://www.lejsl.com/faits-divers-justice/2022/02/12/un-ado-decede-apres-une-chute-sur-une-piste-de-ski

12/02/2022 Doublement vacciné au Pfizer, décès d’un collégien de 16 ans sous respirateur artificiel
https://www.zinfos-moris.com/Covid-19-Doublement-vaccine-au-Pfizer-deces-d-un-collegien-de-16-ans-sous-respirateur-artificiel_a27915.html

05/11/2021 Un garçon de 16 ans fait un malaise cardiaque après le vaccin contre le Covid-19.
https://lopinion.com/articles/actualite/10480_toulouse-un-garcon-de-16-ans-fait-un-malaise-cardiaque-apres-le-vaccin-contre-le-covid-19

UN POINT COMMUN ENTRE LA TRAGÉDIE DE LOLA ET CES ENFANTS « MORTS DE COÏNCIDENCE » :
ILS NOUS EXPLIQUENT QU’IL NE FAUT PAS EN PARLER

ALORS, PARLONS-EN !





Avec Roland Gori, relancer la pensée vers de nouvelles utopies

Par Nicole Delépine

En écho à l’appel des appels de Roland Gori, ici une suggestion pour le lire, l’écouter, puis penser, et aller mieux.

Roland Gori1, comme d’autres veilleurs, est-il l’équivalent du canari dans les mines qui guettait le danger comme il le raconte ? L’écouter fait toujours du bien, car il nous rappelle déjà la nécessité pour soi-même et son équilibre de penser, de lire, de réfléchir et ensuite de confronter ses idées avec d’autres. Et si l’on est en désaccord avec certaines positions, qu’importe, l’essentiel est de discuter avec les autres, avec soi-même, de redevenir humain et non machine obéissante et soumise.

Écoutez cette vidéo de 2020 sur son livre : «  et si l’effondrement avait déjà eu lieu »2

Prenez le temps, il sera gagné !

Et si l’effondrement avait déjà eu lieu : l’étrange défaite de nos croyances3

S’adapter à l’époque, à ses rythmes et mutations, s’impose comme un impératif dans nos sociétés contemporaines.

Dans ces adaptations sociétales, néolibéralisme et scientisme œuvrent au service d’une idéologie du progrès qui semble sans limites. Pris dans une logique du court terme faisant abstraction du temps et de l’espace, le sujet contemporain se trouve contraint à l’adaptabilité, entravé dans sa capacité à penser, à projeter, à créer…

Les crises écologiques et sanitaires actuelles interrogent tout particulièrement ce rapport au monde et à l’humain. S’y associent des discours sur l’effondrement qui ne sont pas sans effet.

Dans son ouvrage intitulé : « Et si l’effondrement avait déjà eu lieu ? L’étrange défaite de nos croyances », Roland Gori nous invite à appréhender et penser l’effondrement, dans une nécessaire articulation entre passé, présent et futur. Relancer la pensée… vers de nouvelles utopies…

Et je dirai pour chacun d’entre nous… Prenons le temps de lire, d’écouter, de réfléchir, il ne sera pas perdu… Sans oublier de lire « la fabrique des imposteurs ».

Appréhendons l’univers de Roland Gori à travers quelques interviews.

Roland Gori : « Il faut rêver le monde pour pouvoir le transformer »4

De « l’Appel des appels » en 20095, à son dernier ouvrage, Un monde sans esprit. La fabrique des terrorismes, en passant par La dignité de penser, La folie évaluation (Les nouvelles fabriques de la servitude) ou L’individu ingouvernable, Roland Gori, apporte sa contribution à l’agora politique.

Question : Vous avez récemment affirmé que plus personne ne croit que le libéralisme puisse réduire les inégalités. Est-ce à dire que le libéralisme est moribond et que la question du « progrès social » par exemple va pouvoir être posée dans de nouvelles conditions ?

R. G. :

« Depuis le début, le libéralisme fait fausse route sur sa conception de l’Homme, il fait l’impasse sur le besoin de reconnaissance sociale, symbolique. Après l’effondrement du Mur de Berlin et l’effondrement du discours révolutionnaire, il y a eu une autoroute pour l’ultralibéralisme ou le néo-libéralisme qui, aujourd’hui, est en train de se discréditer.

Le discours sous la forme du néo-libéralisme des années 1980-1990 n’est plus crédible et on aboutit à une crise qui rappelle la phrase de Gramsci, « Le vieux monde se meurt, le nouveau monde tarde à apparaître, et dans ce clair-obscur surgissent les monstres ».

Toutes les affaires qui sortent aujourd’hui mettent en évidence l’état d’un système qui se révèle hypocrite. On fait l’impasse sur le besoin de partager une expérience sensible, une certaine conception de la liberté.

La crise des valeurs libérales de la fin du XIXe siècle a débouché sur la Première Guerre mondiale, dans l’entre-deux-guerres, elle a débouché sur l’émergence de partis totalitaires, qui n’ont pas tenu leurs promesses par rapport à des populations humiliées. On voit comment ces partis ont récolté toutes les colères, les frustrations.

Aujourd’hui, on assiste à l’émergence de nouveaux fruits de cette crise avec Daech, Al-Qaïda, mais aussi le regain des nationalismes avec Trump, le Brexit d’une certaine façon, la montée de l’extrême droite en Autriche, certains gouvernements d’Europe centrale. Nous ne sommes pas dans une situation identique à celle des années 30, mais cela lui ressemble étrangement. D’où l’urgence de proposer une autre conception philosophique, une autre conception de la vie en société. On peut parier sur le progrès social, sur d’autres manières de travailler, de vivre ensemble.

La révolution numérique peut être une chance pour se parler, pour innover, même s’il y a aussi un risque de confiscation du monde, du savoir-faire et du savoir de l’artisan et de l’ouvrier, par le mode d’emploi de la machine.

C’est la raison pour laquelle nous avons décidé de lancer le « Manifeste des oeuvriers » avec le journaliste Charles Silvestre et le musicien Bernard Lubat. Il s’agit de restituer cette dimension d’œuvre alors que le travail est taylorisé, même chez les médecins, les infirmières, les enseignants, les magistrats où les activités sont de plus en plus semblables à des actes standardisés.

: Vous avez été l’initiateur de « l’Appel des appels » il y a huit ans. Quel chemin a été parcouru depuis selon vous ?

“Aujourd’hui, on voit bien avec « Nuit debout » et les tentatives de culture alternative qu’il y a un peu partout une remise en cause de cette civilisation néo-libérale qui, de mon point de vue, est à l’agonie, Macron relevant de la bulle politique spéculative. Il y a un discrédit du modèle, on y croit de moins en moins. L’échec du gouvernement a été de continuer avec un logiciel à peu près identique. En somme, on veut nous obliger à être pratiquants alors que nous ne sommes plus croyants (…)

L’idéologie libérale a réussi à dévaloriser le mot même d’utopie. Est-ce que ce n’est pas la source du problème ?

« C’est un mot traité de manière péjorative, non pas comme une fiction romanesque. Il y a une interdiction de rêver. Or, si un homme ne peut pas rêver, il crève. Il faut rêver le monde pour pouvoir le transformer. Je crois qu’un des mérites de la ligne de Pierre Laurent est d’inviter à des débats pour construire des projets. Il faut remettre l’utopie au cœur du discours politique. »

[NDLR : à propos d’utopies,
voir Manifeste pour un nouveau monde]

Réflexions de Jalil Bennani — extraits

L’effondrement dont il s’agit dans cet ouvrage6 est celui de nos catégories de pensée et de notre rapport au temps, du lien entre passé, présent et futur. (..) Il nous montre avec une grande érudition, en s’appuyant sur de nombreux exemples historiques, que les crises résultent d’une rencontre entre un événement et des conditions sociales. Il dénonce avec force l’impréparation de nos sociétés face à un facteur environnemental.

… « l’idée de catastrophe, la catégorie de l’effondrement, constituent le retour du refoulé qui se glisse dans le discours d’une civilisation de l’instant, l’irruption d’une temporalité que l’on veut méconnaître à la hauteur de l’oubli de la mort ». Les causes des catastrophes sont bien les inégalités sociales, l’atteinte à la dignité humaine, la dérégulation de la planète, la course à la rentabilité, les exigences toujours plus grandes de productivité et d’utilitarisme.

Parmi les questions qui m’ont fortement interpellé dans ce livre, je retiens celle relative à « l’homme machine ». Tout au long de ses recherches, Roland Gori a été fasciné par le texte de Tausk7, « La genèse de la machine à influencer au cours de la schizophrénie ».

La construction délirante est la véritable machine qui persécute le schizophrène et elle est isomorphe au corps, plus précisément au fantôme d’une totalité du corps à même de contenir et de donner un sens à ses cénesthopathies. J’avais dans les années quatre-vingt montré dans mon ouvrage Le corps suspect, à quel point l’ouvrier, dont le destin était brisé à la suite d’un accident du travail, s’exprimait comme si son corps était une machine.

La subjectivité est cachée et profondément réprimée. Le patient en appelle à une solution technique.

Ce corps sans plaisir interroge l’imaginaire du corps médical qui a montré bien des résistances aux notions freudiennes. Un corps auquel il n’a été demandé que d’être corps-machine a accepté ce contrat. En cela, il a rejoint la machine industrielle et la machine médicale.

Une machine objectivante et normalisante.8

Robert Linhart a vécu cette expérience en devenant ouvrier spécialisé dans l’usine Citroën de la Porte de Choisy à Paris, en 1968. Il a fait partie des centaines de militants intellectuels qui s’embauchaient dans les usines. Il raconte les rythmes, les méthodes de surveillance et de répression. L’auteur rapporte qu’il n’a jamais autant perçu le sens du mot « économie ». Économie de gestes, de paroles, de désirs. Il faut s’être frotté à cette réalité matérielle pour prendre conscience de sa dureté, des souffrances, des risques et de la mise à disposition du corps au profit de la machine.

Roland Gori rappelle bien dans son ouvrage le « spectre » qui hante nos sociétés, la situation des plus pauvres, des plus vulnérables parmi lesquels figurent les migrants. Ils « viennent de notre futur pour hanter notre présent », écrit-il. Sa réflexion sur le temps s’avère ici essentielle : ‘Penser la catastrophe supposerait que nous puissions changer notre rapport au temps.  Nous sommes aujourd’hui dans un paradoxe : en même temps que l’on nous enjoint de penser à l’avenir, nous nous trouvons contraints par « l’actualisme technique » de la civilisation des machines. Il dénonce « la religion positiviste » qui vient au service de l’industrie et dont nous sommes les héritiers : « C’est sur les ruines de cette révolution symbolique avec ses exigences de productivité, d’utilitarisme, de positivisme et d’efficacité louant la force et la raison instrumentale que se profilent les risques d’effondrement ».

Roland Gori relève très justement que le sujet de la psychanalyse a « besoin des normes de son époque pour pouvoir se les réapproprier et les trahir ». Comme l’artiste, le psychanalyste est témoin et acteur de son époque.9

… L’art, comme la vie, est une réparation par les émotions qu’il produit et des juxtapositions des images, des représentations, des installations… Alors que dans les cultures occidentales modernes, la réparation vise à revenir à l’état original, dans les cultures extra-occidentales traditionnelles la réparation procède de l’inverse. Roland Gori écrit très justement : « La vie moderne est une invitation à effacer les traces ». Cacher, masquer la suture d’un objet réparé est une prétention à revenir à l’identique, ce qui est impossible ou pure illusion…

Roland Gori articule avec brio les notions d’individuel et de collectif, en évitant toute confusion entre l’agent social et le sujet de la psychanalyse.

Et la référence à Winnicott apporte un étayage essentiel à l’ouvrage : « Le traumatisme a bien eu lieu, mais à un moment où, pour une raison ou pour une autre, le patient n’était pas en mesure de l’éprouver… à ce moment de son histoire, il n’avait pas la possibilité d’intégrer le traumatisme qui surgissait », la crainte de l’effondrement devenant alors une tentative de donner au traumatisme une existence psychique et sociale.

(…) Le traumatique est déjà là, avant qu’un événement ne lui permette de se révéler. Roland Gori s’appuie sur Winnicott pour poser cette hypothèse : les effondrements que nous craignons voir advenir dans le futur ou le présent ont déjà eu lieu. Ce qui s’est effondré c’est notre cadre mental, symbolique, psychique pour penser le monde, pour nous penser, ce qui justifie le sous-titre de l’ouvrage L’étrange défaite de nos croyances.

Et si l’effondrement avait déjà eu lieu est un ouvrage fort, psychanalytique, philosophique, sociologique, politique. L’auteur, initiateur de l’Appel des appels, un collectif national « pour résister à la destruction volontaire de tout ce qui tisse le lien social », nous invite à une réflexion riche et incontournable pour inventer de nouvelles catégories de pensée, repenser notre rapport au temps, le lien entre passé, présent et futur, nos oublis, nos croyances.

Sandre Evrard nous livre une autre approche de la pensée de Roland Gori et son analyse de la gestion de la crise du Covid :

« Face à des pouvoirs qui vident le peuple de sa dimension politique, il faut la rétablir » – Le Comptoir 10

Le Comptoir : Vous avez longtemps traité de la question de l’importance du rapport au patient, du dialogue et des affects mis à mal par un type de modernité asséchante et scientiste. Est-ce que ces mesures autoritaires prises pour lutter contre la covid-19 ne viennent pas justement mettre en place une biopolitique qui renforce la négation du citoyen en tant que sujet — et partant porte atteinte à la démocratie, qui est certes un ordre politique, mais aussi quelque chose qui s’ancre dans les mœurs de l’individu ?

Roland Gori :

Notre modernité accroît une hégémonie culturelle, celle de la rationalité instrumentale qui tend à exploiter les individus et le vivant comme un stock d’énergie à exploiter à l’infini.

D’où les problèmes actuels dont on ne dit pas suffisamment quelle part est la nôtre dans l’émergence des épidémies par nos modes de vie et nos industries qui modifient notre biotope. Nous sommes prisonniers de valeurs et d’un système de pensée qui datent du début des sociétés thermo-industrielles. Ces astres morts continuent à nous éclairer et les normes qu’ils prescrivent contribuent à la catastrophe dans laquelle nous nous trouvons.

Alors, plutôt que de remettre en cause ces normes dont le système de pensée s’effondre, les pouvoirs préfèrent gérer la crise sanitaire avec les moyens traditionnels de la biopolitique des populations.(..).

Mais le problème demeure, d’abord parce que cette prise en charge concerne le court terme et méconnaît que nous sommes actuellement dans ce que l’on appelle une « transition épidémique », c’est-à-dire une transition culturelle qui s’accompagne toujours de l’émergence des épidémies. Ensuite, au lieu de mobiliser les communautés, les peuples, pour lutter contre la pandémie, les pouvoirs politiques gèrent bureaucratiquement et algorithmiquement les populations avec l’arsenal des moyens de la santé publique, de l’épidémiologie et des nouvelles technologies.

C’est la même langue technocratique qui tend à se mondialiser avec des dialectes différents selon les pays et les régimes politiques. Il n’y a pas de représentants des sciences sociales et humaines dans les Conseils de crise, ce qui est significatif d’un déni du caractère social, culturel et psychologique de la crise.

Ce qui passe à la trappe dans cette approche de la pandémie, c’est le sujet singulier du colloque médical comme le concept de peuple, un peuple souverain de ses responsabilités politiques et sociales, un sujet responsable et solidaire.

À la place vous avez la notion de population qui fait de chaque individu un « segment de population statistique » et du peuple une « collection de catégories statistiques » dépourvue de toute dimension politique. Là est la vraie atteinte à la démocratie et pas dans les « gestes barrières », il faut prendre un peu de recul.

« L’extension sociale de la médecine appelée à jouer un rôle de contrôle et de normalisation ne doit pas être confondue avec les services véritables que ses savoirs et ses pratiques rendent. »

À cette défaite de la solidarité sociale et de la responsabilité subjective s’ajoute la notion d’opinion publique, notion qui témoigne de la dégénérescence des concepts et des moyens de penser le collectif.

Cette façon de faire appel aux experts pour justifier tout et son contraire, ces discours contradictoires, mais surtout ces appels au civisme et ces consignes comme « se laver les mains » ou « bien aérer la fenêtre »… Sans parler de ces lois qui semblent impossibles à respecter – et poussent ainsi à leur irrespect. Ne peut-on pas parler ici d’infantilisation ? Le cas échéant, quelles pourraient être les conséquences d’une telle infantilisation ?

… Depuis le XIXe siècle, l’hygiène publique joue deux rôles au moins qu’il ne faut surtout pas confondre. D’une part elle tend à éviter aux humains de tomber malades grâce à un dépistage et à une prévention des facteurs de risques des maladies.

Et, d’autre part elle tend à se transformer en « bible » des conduites, en « orthographe » des comportements en « pathologisant » les moindres des anomalies de comportement.

La notion « molle » de « troubles du comportement » arrive à point nommé pour séquestrer le plus de monde possible dans des dispositifs de contrôle et de normalisation des citoyens.

La néo-psychiatrie est devenue une hygiène du corps social en vue de contrôler et de normaliser, ce n’est pas la même chose que de dépister les facteurs de risques des épidémies et les moyens de s’en protéger. Ce serait une grave erreur. L’extension sociale de la médecine appelée à jouer un rôle de contrôle et de normalisation ne doit pas être confondue avec les services véritables que ses savoirs et ses pratiques rendent, au contraire.

Le politique s’est réduit toujours davantage à une « conduite de conduites » rationalisées en vue d’une production économique et industrielle, un « déblocage épistémologique » comme dit Michel Foucault, qui a permis à la médecine d’étendre à l’infini son pouvoir et son champ de compétence en se mettant au service des pouvoirs. C’est cette « médicalisation de l’existence » que Michel Foucault appelle biopolitique, bio-histoire, somatocratie, dans son essai Naissance de la biopolitique. Cet usage social des savoirs médicaux ne doit pas être confondu avec les découvertes et les soins des praticiens.

« Cette médicalisation du politique et cette politisation du champ de la santé expliquent la dramaturgie de l’“expertise” à laquelle les “experts” se sont livrés au moment de la pandémie. »

L’impression d’infantilisation dont vous parlez est davantage une réaction morale qu’une action politique à la perversion sociale et politique des savoirs médicaux. Ce serait se tromper de cible que de s’en prendre aux mesures sanitaires plutôt qu’au pouvoir en place. Bien au contraire les savoirs médico-biologiques peuvent contribuer à la résistance politique en interrogeant les pouvoirs sur leurs choix décisionnels : pourquoi laisser les grandes surfaces ouvertes et fermer les lieux culturels ? Pourquoi entasser les gens dans des transports en commun et fermer les amphithéâtres ? Pourquoi avoir externalisé la fabrication du matériel sanitaire (masques, tests, respirateurs, médicaments…) en faisant prévaloir les intérêts privés sur le Bien Public ?

L’hygiène publique a aussi, dès la fin du XIXe siècle, servi les intérêts du peuple en obligeant les puissants à reconnaître le rôle des facteurs environnementaux dans la fabrique de maladies (professionnelles en particulier ou le mal-logement).

Cette médicalisation du politique et cette politisation du champ de la santé expliquent la dramaturgie de l’« expertise » à laquelle les « experts » se sont livrés au moment de la pandémie. Ils n’étaient plus savants, mais « experts » et se sont trouvés associés à la crise d’autorité des politiques. Politiques et experts ont ainsi pris les vices de la « société du spectacle » pour reprendre le concept de Guy Debord. Les informations que les politiques et les scientifiques nous ont offertes se sont transformées en « marchandises » vendues à l’opinion publique à la cantonade des réseaux sociaux et des médias afin d’en capter des parts de marché.

Vous avez beaucoup travaillé sur la question de la normalisation des comportements notamment par l’usage abusif de la raison scientifique, mais aussi par celui des statistiques. Que vous inspire cette façon de faire la politique gouvernée par les statistiques et les modèles ? Peut-on voir là aussi une façon de « nous faire taire » pour reprendre vos mots, de fabriquer du consentement et de l’adhésion, car ce qui a été fait serait fait « pour notre bien » ?

Depuis le début du libéralisme, les pouvoirs politiques ont joué sur deux leviers pour conduire la conduite des citoyens : l’économie et l’opinion au nom desquelles ils rationalisent les comportements et fabriquent des habitus, au sens de Pierre Bourdieu, des schémas de pensée et d’action. La rationalité technoscientifique et les statistiques (qui signifient étymologiquement « en rapport à l’État ») sont au premier plan dans cette manière de gouverner au sein d’un univers désacralisé, désenchanté. De fait, les prescriptions d’hygiène publique apparaissent comme un ensemble de règles établies et codifiées par le savoir médical et scientifique qui sert à réguler socialement la société et à conformer les comportements par une soumission sociale librement consentie, car scientifiquement incontournable. C’est le nouage diabolique qui s’est alors historiquement établi entre le capitalisme (néo)— libéral et les savoirs et les pratiques biopolitiques.

… Il s’agit pour les citoyens de se réapproprier une démocratie confisquée par la technocratie et la propagande de la com’ qui fait de l’information une marchandise. Il faut donc décider, mais pas décider dans un individualisme de masse assassin et suicidaire, non, décider démocratiquement par plus de science, plus de parole et plus de responsabilité.

Face à des pouvoirs qui vident le peuple de sa dimension politique, il faut la rétablir. La population c’est le peuple moins la politique, un capital humain sans humanité, il faut rétablir l’humanité.

L’opinion publique, c’est le peuple transformé en marchandise, transformé en consommateurs, il faut remettre du politique et dénoncer un pouvoir qui prend ses décisions aux sondages d’opinion !

… La résistance à cette normalisation sociale insidieuse, à cette infantilisation, elle passe par la restitution de la vérité en sciences et en politique, vérité adultérée par le capitalisme néolibéral. Face aux virus et aux épidémies, c’est la fraternité et la solidarité qui prévalent. On ne s’en sortira pas autrement, car nous entrons dans une ère de turbulences, une période de « transition épidémique » dont la pandémie de covid-19 est la sentinelle.11


1 Roland Gori est psychanalyste et professeur émérite de psychopathologie à l’université d’Aix Marseille.

« Un monde sans esprit. La fabrique du terrorisme », « L’individu ingouvernable », « La dignité de penser », « La santé totalitaire, essai sur la médicalisation de l’existence ».

Engagé dans les débats d’actualité de notre société, il plaide notamment pour « des sciences encore humaines » et s’oppose aux « dérives du scientisme » notamment en psychiatrie et plus largement à « l’instrumentalisation de l’humain ».

2 Roland Gori, Et si l’effondrement avait déjà eu lieu. L’étrange défaite de nos croyances, Les liens qui libèrent, été 2020, 304 pages, 20 €, ISBN : 979-10-209-0864-3.

3 Vendredi 29 janvier : Visioconférence de Roland Gori autour de son dernier livre (appeldesappels.org)

4 LA MARSEILLAISE / MARSEILLE / 13/02/2017 | et Jean-François Arnichand

« Politis », n° 1438, du 26 janvier au 1er février 2017.

5 L’Appel des Appels

Nous, professionnels du soin, du travail social, de la justice, de l’éducation, de la recherche, de l’information, de la culture et de tous les secteurs dédiés au bien public, avons décidé de nous constituer en collectif national pour résister à la destruction volontaire et systématique de tout ce qui tisse le lien social.

Réunis sous le nom d’Appel des appels, nous affirmons la nécessité de nous réapproprier une liberté de parole et de pensée bafouée par une société du mépris.

6 [Chronique] Roland Gori, Et si l’effondrement avait déjà eu lieu, par Jalil Bennani (appeldesappels.org)

7

8 Lire l’ouvrage L’établi de Robert Linhart bouleversant qui raconte ce que représente, pour un Français ou un immigré, d’être ouvrier dans une grande entreprise parisienne. Il montre de manière étincelante le rapport que les hommes entretiennent entre eux par l’intermédiaire des objets, ce que Marx appelait les rapports de production.

9 Lire Kader Attia, un artiste de son temps qui a reçu le Prix Marcel Duchamp en 2016. Ses recherches socioculturelles l’ont conduit à la notion de réparation, un concept qu’il a développé philosophiquement dans ses écrits et symboliquement dans son œuvre.

10 PAR GALAAD WILGOS LE 18 MARS 2022

11 Voir aussi Podcast de France Inter où Roland Gori affirme que « le Progrès est un mirage » et une « doctrine de paresseux »

Tribune de Roland Gori dans L’Humanité : « Je suis en colère »

“Attention au relâchement” : l’infantilisation de masse comme stratégie politique, sur la revue Frustration

Roland Gori et Marie José Del Volgo, 2005, La santé totalitaire. Essai sur la médicalisation de l’existence, Paris, Flammarion, 2008.

R. Gori, De la société d’imposture au courage de la vérité, Conférence à Bordeaux, Colloque 24 février 2021.

Max Weber, 1904-1905, L’éthique protestante et l’esprit du capitalisme, Paris, Pocket, 1991.




Femmes enceintes, enfants allaités : l’injection anticovid19 est dangereuse. INFORMONS !

LA PUB pour l’injection revient sur les chaînes de télé et de radio !!!
ATTENTION DANGER !

Nous en avions parlé il y a bien longtemps dès 2021 lorsque les données du VAERS avaient rapporté des drames déjà signalés par les femmes enceintes. Mais curieusement la gent féminine soumise a continué, pour trop d’entre elles, à se laisser injecter sous de terribles et scandaleuses pressions, par ce poison terrible, tant pour elles-mêmes que pour leurs bébés.1

Ce 12 octobre 2022 sur Telegram, cette vidéo déjà connue d’un bébé qui doit souffrir… Remarquez son regard noir très éveillé, caractéristique https://t.me/c/1366813323/439694

Déjà début 2021 un rapport du VAERS signalait une tragédie : le nouveau-né d’une mère « entièrement vaccinée » meurt, ayant saigné de la bouche et du nez

AMPUTER des enfants à naître dans l’utérus… la cruauté est irréelle : Le bras d’un nouveau-né AMPUTÉ après que la mère ait pris des vaccins contre le virus COVID et que le bébé ait souffert de caillots sanguins dans l’utérus. — France Medias Numérique

Publié par Augustin Hamilton le 14/12/2021 15:17

« “Le médecin a dit qu’après la naissance du patient, il y a eu un cri. Lorsque le cordon ombilical a été coupé pour les soins au nouveau-né, le personnel infirmier a constaté que le patient présentait des symptômes de saignement buccal et nasal, et a immédiatement demandé au pédiatre de l’intuber et de lui donner de l’oxygène(.), son résultat d’examen a montré une coagulation sanguine anormale, une hémorragie pulmonaire [saignement aigu des poumons] et un dysfonctionnement cardiaque”.

Selon le rapport du VAERS (n° 1879991), ce décès est survenu à la suite d’une “exposition transplacentaire” au vaccin ARNm

Le décès du nourrisson est l’un des 52 décès signalés parmi les 30 550 événements indésirables enregistrés par le VAERS pour les enfants de moins de 17 ans au 3 décembre 2021. »

Un rapport du VAERS décrit un bébé de cinq mois qui était allaité et est décédé d’un trouble hémorragique auto-immun rare, le purpura thrombocytopénique thrombotique (PTT), après avoir développé une éruption cutanée le jour suivant la vaccination de sa mère par COVID.2

Et les informations se multiplient avec des chiffres ahurissants depuis bientôt deux ans.

L’info du jour d’octobre 2022 nous vient d’Allemagne :

« Le gynécologue-obstétricien James Thorp3 dit ce qu’il remarque chez ses patientes enceintes. Le nombre de fausses couches s’est multiplié. Il enregistre de nombreux cas d’anomalies fœtales, cardiaques en particulier.

Parfois, les anomalies entraînent un arrêt cardiaque, a expliqué Thorp. Il y a aussi de nombreux problèmes avec le placenta, qui bloquent la croissance du fœtus.

Nous avons vu une mortalité fœtale, une croissance anormale des organes et bien plus encore”, a poursuivi le gynécologue.

Il est convaincu que de nombreux enfants souffrent de VAIDS (Vaccine Acquired Immunodeficiency Syndrome), à cause du thymus, très grand chez le fœtus (très petit chez un adulte).

Le thymus est nécessaire au premier contact du corps avec un antigène pour déclencher la réaction des cellules T. La protéine Spike du vaccin s’accumule dans le thymus, entre autres, après une vaccination Covid ».

Et les commentaires, nombreux, confirment ce que tous ceux qui veulent bien parler avouent :

« Je suis naturopathe, et que ce soit mon entourage, les clients… je constate aussi pour beaucoup de problèmes lors de grossesses, il y a beaucoup de préma[turés], de soucis médicaux sur les enfants, de malformations plus ou moins importantes, de femmes alitées ou en arrêt très tôt pour divers soucis… malheureusement ce n’est que le début »

par Van MGL

Ou encore par Patricia Chaibriant :

« les bébés qui ont reçu le vaccin sont à classer dans la catégorie “génétiquement modifiés” comme les jumelles chinoises et leur avenir est derrière eux. »4

Dès juin 2022, l’Australie qui fut pourtant un des pires covidistes de la planète avoue :



Notons sur le VAERS à la date du 30 09 2022

162 enfants de moins de 18 ans décédés.

Oui, l’allaitement par une mère vaccinée fait des risques au le bébé et on le sait depuis des mois…

Après la découverte de traces du vaccin COVID-195 dans le lait maternel de femmes ayant récemment accouché, une nouvelle analyse a révélé6 un problème préoccupant7: 648 cas d’effets secondaires et 3 décès signalés chez des nourrissons allaités dont les mères avaient reçu le vaccin COVID-19.

📌 Décès 1 « J’allaitais mon fils à l’époque. J’ai tiré mon lait dans l’heure qui a suivi l’injection. Mon fils de 5 mois a été allaité la nuit suivant la piqûre et a ensuite bu le lait pompé que j’avais obtenu le jour même de la piqûre. 11 jours plus tard, il a été retrouvé sans réaction… »8

📌 Décès 2 « La patiente9 a reçu la deuxième dose de Pfizer… son enfant de 5 mois allaité au sein a développé une éruption cutanée et dans les 24 heures, il était inconsolable, refusait de s’alimenter et avait de la fièvre… Le nourrisson a été hospitalisé mais son état a continué à décliner et il est décédé. »10

📌 Décès 3 « La mère du nourrisson a reçu la deuxième dose de Pfizer… La mère allaite activement le nourrisson. 24 heures après que la mère ait reçu la 2e dose de Pfizer, le nourrisson a présenté une bradycardie importante (baisse du rythme cardiaque), une désaturation (faible taux d’oxygène dans le sang entraînant une coloration bleue du nourrisson)… »11

Des preuves académiques existent, comme l’article du JAMA12 de la présence de l’ARNm du « vaccin » dans le lait maternel

Et en Grande-Bretagne :


Les données VAERS américaines du 14 décembre 2020 au 1er juillet 2022, pour les enfants âgés de 6 mois à 5 ans, montrent :

  • 13 rapports de troubles de la coagulation sanguine.

EN RÉSUMÉ, INJECTER UNE FEMME ENCEINTE FAIT COURIR UN GROS RISQUE À SON BÉBÉ

Ces injections sont d’autant plus injustifiées que compte tenu de leur sexe et de leur âge jeune les femmes enceintes ne risquent pratiquement rien du covid (sauf si elles souffrent de pathologie préexistante lourde mais comme les injections sont incapables de les protéger…).

APPLIQUEZ LE PRINCIPE DE PRÉCAUTION : ABSTENEZ — VOUS !





Merci à Reiner Fuellmich et ensemble continuons le combat de l’information vraie

Par Nicole Delépine

Au cours des deux dernières années, les analyses de l’avocat Reiner Fuellmich nous ont éclairés et soutenus. Comprenant grâce à lui et de rares auteurs comme Pascal Sacré ou Denis Rancourt (articles sur les tests PCR sur mondialisation.ca dès juillet 2020) ce qu’il se passait en particulier sur les faux tests PCR dès juillet 2020, nous avons pu résister, car la connaissance aide à rester debout et à travailler dans le sens de la vérité.

Comme énormément de personnes perdues dans le monde, Reiner F. nous a permis de comprendre et donc de résister sans tomber dans la panique, le désespoir, la dépression voire le suicide pour certains. Nous avons pu grâce à lui donner de l’espoir à nos correspondants par mail et téléphones, et en publiant en France les résultats de son combat.1

Nous écrivions en octobre 2020 grâce à ses éclairages :

Vers la mise en place d’un Nuremberg du 2

Un grand motif d’espoir : des juristes préparent les fondements d’un procès Covid-Nuremberg international

Le scandale du coronavirus

Nous avons découvert avec joie la vidéo de Reiner Fullmich, juriste au barreau en Allemagne et en Californie, mise en ligne le 3 octobre 2020, traduite en français par le « fils du Pangolin ». Profitez-en avant qu’elle ne disparaisse de YouTube… Il est un des quatre membres de la commission allemande d’enquête sur le coronavirus.

https://www.youtube.com/watch?v=UQFZHtnW8DY (évidemment indisponible aujourd’hui !)

Enfin de bonnes nouvelles !

Un réseau international se forme contre « les crimes contre l’humanité » en cours, liés aux mesures totalitaires et complètement irresponsables eu égard à la santé de la population mondiale. Les mesures liberticides telles que le confinement aveugle, puis le port obligatoire du masque, dedans, dehors, partout, bientôt en famille, et dans les moments tendres, et les tests délirants car non fiables et multipliés à l’envi, imposés par les écoles, les entreprises et les hôpitaux qui les répètent de façon anarchique laissant le patient « urgent » dans un lit pendant plusieurs semaines attendant que le test d’entrée positif (évidemment trop souvent, pour être fiable) se négative. Mais s’il se négative, il faut vérifier trois jours plus tard et ainsi de suite.

Des sketchs ubuesques si la vie de patients et le moral des troupes n’étaient pas en jeu, avec leurs conséquences délétères sur l’immunité et l’apparition de maladies auto-immunes, cancers, sans parler de toutes les affections psychosomatiques.

Présentation de l’avocat allemand parlant au nom des 4 membres de la commission d’enquête allemande sur le coronavirus :

« Bonjour, je m’appelle Reiner Fuellmich et je suis admis au barreau en Allemagne et en Californie depuis 26 ans. J’ai pratiqué le droit principalement en tant qu’avocat plaidant contre des sociétés frauduleuses telles que la Deutsche Bank, autrefois l’une des plus grandes banques du monde et des plus respectées, aujourd’hui l’une des organisations criminelles les plus toxiques au monde. VW, l’un des constructeurs automobiles les plus importants et les plus respectés au monde, aujourd’hui connu pour sa fraude géante sur le diesel et Kuehne and Nagel, la plus grande compagnie maritime du monde, que nous poursuivons dans une affaire de corruption de plusieurs millions de dollars.

Je suis également l’un des quatre membres de la commission d’enquête allemande sur le Corona. Depuis le 10 juillet 2020, ce comité écoute un grand nombre de témoignages de scientifiques et d’experts internationaux pour trouver des réponses aux questions sur la crise du Corona, que de plus en plus de personnes dans le monde entier se posent. Tous les cas de corruption et de fraude commis par les entreprises allemandes mentionnés ci-dessus sont dérisoires en comparaison de l’ampleur des dommages que la crise du Corona a causés et continue de causer.

Cette crise du Corona, selon ce que nous savons aujourd’hui, doit être rebaptisée “scandale du Corona”. Et les responsables de cette crise doivent être poursuivis pénalement et pour dommage civil. Sur le plan politique, tout doit être fait pour que plus jamais personne ne soit en position de pouvoir tromper l’humanité ou tenter de nous manipuler avec ses programmes corrompus.

C’est pourquoi je vais maintenant vous expliquer comment et où un réseau international d’avocats plaidera la plus grande affaire de délit civil de tous les temps : le scandale de la fraude Corona, qui s’est entre-temps transformée en probablement le plus grand crime contre l’humanité jamais commis.

Les crimes contre l’humanité ont été définis pour la première fois dans le cadre des procès de Nuremberg après la Seconde Guerre mondiale, c’est-à-dire lorsqu’ils ont concerné les principaux criminels de guerre du Troisième Reich.

Aujourd’hui, les crimes contre l’humanité sont régis par l’article 7 du Code pénal international.(…) »

Nuremberg-Covid : un crime contre l’humanité qui doit être jugé !

18 octobre 2020 Nicole Delépine

Suite du premier volet.

Le combat se développe. Il faut en parler autour de vous, faire connaître cette enquête internationale, car curieusement les mails concernant ce scandale sont bloqués, comme si un algorithme très performant refusait qu’on le fasse connaître.
On peut aussi revenir au bon vieux temps et imprimer un maximum de « tracts » reprenant les idées majeures de ce texte à lire en totalité.

Quelques extraits de « scandale de fraude du coronavirus – Le plus important combat commence juste ». 18 Octobre 2020

« PROBABLEMENT LE PLUS GRAND CRIME CONTRE L’HUMANITÉ JAMAIS COMMIS »

  • – La commission d’enquête extraparlementaire allemande Corona (Außerparlamentarischer Corona Untersuchungsausschuss), lancée le 10 juillet 2020, a été fondée par quatre avocats pour enquêter et poursuivre les responsables de la mise en œuvre de confinements dévastateurs sur le plan économique dans le monde, ainsi que de l’utilisation de tests frauduleux pour faire croire à une pandémie dangereuse.
  • – les avocats soutiennent que les mesures pandémiques étaient destinées à semer la panique afin que les industries pharmaceutiques et technologiques puissent générer d’énormes profits grâce à la vente de tests PCR, de tests d’antigènes et d’anticorps et de vaccins, et de la récolte de nos empreintes génétiques.
  • – Les confinements n’étaient pas nécessaires et tout argument contraire est erroné,
    « Le virus était déjà en retrait et les taux d’infection commençaient à baisser lorsque des confinements furent imposés ; des preuves scientifiques montrent qu’une majorité de personnes sont déjà immunisées contre le virus en raison de l’immunité des cellules T à réactivité croisée, et le test PCR ne peut pas être utilisé pour identifier une infection active par le SRAS-CoV-2 ou tout autre virus. »

La pandémie n’a pas entraîné un nombre supplémentaire de décès ou un nombre de morts plus élevé que la normale, les dommages collatéraux des mesures de riposte à la pandémie sont presque incalculables.

Toutes les réunions sont diffusées en direct et disponibles sur la chaîne YouTube du Comité11 (du moins pour le moment).

Selon Fuellmich, un recours collectif international sera intenté contre les personnes responsables de la mise en œuvre des confinements économiquement dévastateurs dans le monde, ainsi que de l’utilisation de tests frauduleux pour créer l’apparence d’une pandémie dangereuse.

Cela inclut tout le monde, des décideurs politiques locaux à l’Organisation Mondiale de la Santé et aux laboratoires pharmaceutiques. Il affirme que plus de 50 autres pays suivront.

Fuellmich souligne qu’au plan politique, des efforts tous azimuts doivent être faits pour garantir que « personne ne sera plus jamais en mesure de frauder l’humanité ou de tenter de nous manipuler avec des projets corrompus. »

Un second Nuremberg

Les crimes contre l’humanité, définis pour la première fois lors des procès de Nuremberg après la Seconde Guerre mondiale, sont aujourd’hui réglementés à l’article 7 du Code pénal international.

Les trois questions auxquelles le comité cherche à répondre par voie judiciaire sont :

  1. Y a-t-il une pandémie de COVID-19 ou y a-t-il seulement une pandémie de test de réaction en chaîne par polymérase (PCR) ?
    Plus précisément, un résultat de test PCR positif signifie-t-il que l’individu est infecté par le SRAS-CoV-2 et a le COVID-19, ou cela ne signifie-t-il absolument rien en relation avec l’infection COVID-19 ?
  2. Les mesures de riposte à la pandémie telles que les confinements, les masques obligatoires, la distanciation sociale et les réglementations de quarantaine servent-elles à protéger la population mondiale du COVID-19, ou ces mesures ne servent-elles qu’à semer la panique ?
  3. Est-il vrai que le gouvernement allemand a fait l’objet de pressions massives — plus que tout autre pays — par les principaux protagonistes de cette pandémie de COVID-19 ?

Selon Fuellmich, l’Allemagne « est connue comme un pays particulièrement discipliné et devait donc devenir un modèle pour le reste du monde pour son adhésion stricte et, bien sûr, réussie » aux mesures contre la pandémie.

Le COVID CONTINUE A SEMER LA PANIQUE — IL FAUT DÉNONCER LES MENSONGES

Des réponses à ces questions sont nécessaires de toute urgence, car le SRAS-CoV-2, présenté comme l’une des menaces à la vie les plus graves de l’histoire moderne, « n’a causé aucune surmortalité nulle part dans le monde ».

Les mesures de pandémie, en revanche, ont « causé la perte d’innombrables vies humaines et détruit l’existence économique d’innombrables entreprises et individus dans le monde », dit Fuellmich.

Deux responsables de la panique, Ferguson et Drosten

(…) Le virologue allemand Christian Drosten est responsable des ordonnances de confinement en Allemagne.

Le virologue allemand Christian Drosten avait déjà semé la panique en 2009 avec des prophéties apocalyptiques pour la grippe porcine. Dans ces prévisions terrifiantes récurrentes, il semble bien le pendant de l’épidémiologiste Neil Ferguson dont les prévisions de décès ont servi d’excuses aux gouvernements de trop de pays pour imposer leurs mesures liberticides, en particulier en France.
Le moment venu de décider d’une réponse pour COVID-19, le gouvernement allemand s’est appuyé sur l’avis de Drosten uniquement.

« Dans une violation scandaleuse du principe universellement accepté d’auditor at ultra parse, ce qui signifie qu’il faut également entendre l’autre côté, la seule personne qu’ils ont écoutée était M. Drosten, c’est-à-dire la personne même dont l’horrible pronostic panique s’était avéré catastrophiquement faux 12 ans plus tôt », dit Fuellmich.

« De nombreux “scientifiques hautement renommés” ont brossé un tableau complètement différent de la pandémie du COVID-19. Parmi eux, le professeur John Ioannidis de l’Université de Stanford en Californie, le professeur Michael Levitt, biophysicien à l’Université de Stanford et lauréat du prix Nobel de chimie ; les professeurs allemands Karin Mulling, Sucharit Bhakdi, Klud Wittkowski et Stefan Homburg. »

AUCUNE SECONDE VAGUE EN VUE, SEULEMENT DE L’INTOXICATION VIA LES TESTS TROMPEURS

Le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, figure également sur cette liste. Yeadon a récemment déclaré publiquement qu’il n’y a aucune science suggérant qu’une deuxième vague devrait se produire » et que les résultats faussement positifs de tests PCR non fiables sont utilisés pour « fabriquer une » deuxième vague » à partir de « nouveaux cas ». 

« Ils ont estimé, et estiment toujours, qu’il n’y avait pas de maladie allant au-delà de la gravité de la grippe saisonnière ; que la population avait déjà acquis une immunité croisée ou des cellules T contre ce prétendument nouveau virus ; et qu’il n’y avait donc aucune raison pour des mesures spéciales et certainement pas pour les vaccinations », dit Fuellmich.

Il cite également un article scientifique publié en septembre 2020 par Yeadon et ses collègues, dans lequel ils déclarent :

« Nous fondons notre politique gouvernementale, notre politique économique et la politique de restriction des droits fondamentaux vraisemblablement sur des données et des hypothèses complètement fausses concernant le coronavirus.

Sans les résultats des tests qui sont constamment rapportés dans les médias, la pandémie serait finie, parce que rien ne s’est vraiment passé. »

Analyse de la situation

Commentant « la situation actuelle et réelle concernant le danger du virus, l’inutilité totale des tests PCR pour la détection des infections et les verrouillages basés sur des infections inexistantes », Fuellmich déclare :

« Nous savons que les systèmes de santé n’ont jamais risqué d’être submergés par le COVID-19. Au contraire, de nombreux hôpitaux restent vides à ce jour et certains sont aujourd’hui menacés de faillite. »

Le navire-hôpital Comfort qui ancré à New York à l’époque aurait pu accueillir un millier de patients n’a jamais hébergé plus d’une vingtaine de patients.

Nulle part il n’y a eu de surmortalité.

Des études menées par le professeur Ioannidis et d’autres ont montré que la mortalité du corona est équivalente à celle de la grippe saisonnière ; même les images de Bergame et de New York qui ont été utilisées pour démontrer au monde que la panique était de rigueur se sont avérées délibérément trompeuses.

Ensuite, le soi-disant « article de panique » a été divulgué, rédigé par le ministère allemand de l’Intérieur. Son contenu classifié montre sans l’ombre d’un doute qu’en fait la population a délibérément été amenée à paniquer par les politiciens et les médias traditionnels. »

À Bergame, en Italie, 94 % des décès n’étaient pas le résultat d’une infection au COVID-19 se propageant sans limites, mais plutôt la conséquence de la décision du gouvernement de transférer les patients malades des hôpitaux vers les maisons de retraite, où ils propageaient l’infection — rhume, grippe et SRAS-CoV-2 — parmi les personnes âgées et fragiles.

Cela a également été fait par le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, en violation directe des directives fédérales ainsi que dans le Minnesota, l’Ohio, en Pennsylvanie, dans le New Jersey, au Michigan et en Californie.

Fuellmich souligne également la faute professionnelle courante qui s’est produite dans certains des hôpitaux de New York, où tous les patients suspectés de COVID-19 ont été placés sous ventilateur mécanique, ce qui s’est avéré être une condamnation à mort.

Cependant, comme l’ont montré les autopsies, qui ont été effectuées en Allemagne, en particulier par le médecin légiste le professeur Klaus Püschel à Hambourg, les décès qu’il a examinés avaient presque tous été causés par des maladies préexistantes graves et presque toutes les personnes qui étaient décédées, décédées très vieilles, tout comme en Italie, c’est-à-dire qu’elles avaient vécu au-delà de leur espérance de vie moyenne.

Le RKI allemand, qui est encore l’équivalent du CDC, avait initialement, assez étrangement, recommandé qu’aucune autopsie ne soit pratiquée

Et il existe de nombreux rapports crédibles selon lesquels des médecins et des hôpitaux du monde entier ont été payés pour déclarer une personne décédée était victime du COVID-19 plutôt que d’écrire la véritable cause du décès sur le certificat de décès, par exemple une crise cardiaque ou une blessure par balle.

À Paris, des employés des pompes funèbres racontent maintenant comment ils furent choqués que les corps leur soient livrés, « non préparés, même pas lavés » et donc jamais revus par leurs familles, sans la possibilité de les préparer avant enterrement ou incinération. Ils précisent : tous les morts étaient « covid ». Aucune autre cause de décès déclaré. Ce fut un phénomène mondial et heureusement quelques légistes désobéirent aux USA, en Italie, en Allemagne (France ?) et effectuèrent des autopsies découvrant des morts par balle classés covid…

Nicole Delépine

Rendez-vous compte : nous savions tout ce qui s’est avéré vrai, en 2020 avant la campagne cruelle de vaccination que nous aurions pu éviter si la population n’avait été sous l’emprise mortifère du gouvernement et des médias

Il n’est pas étonnant que l’état profond tente de le décrédibiliser, car son travail est tellement important qu’il ne servirait à rien de l’éliminer et tenter de faire croire qu’il a menti ou triché est plus astucieux. Néanmoins ils n’y arriveront pas et comme conclut Reiner dans son mémoire à notre usage :

« Et enfin, bien sûr, nous gagnerons cette guerre qui est menée contre toute l’humanité. Il n’y a aucun doute dans mon esprit que ceux qui essaient de détruire l’humanité et qui essaient de jouer à Dieu sont condamnés ».

Restons forts ensemble.

Certaines personnes craquent sous la pression. Je ne le fais pas et je ne le ferai pas.

Et j’aimerais ajouter, la même chose est vraie pour les travailleurs de la santé grecs, et la même chose est vraie pour chacun d’entre vous.

Voici l’intégrale de sa mise au point :

Reiner Fuellmich : Mise à jour encourageante après de fausses allégations

Reiner Fuellmich: Encouraging update after false allegations (stopworldcontrol.com)

Au cours des derniers mois, une attaque vicieuse et perfide a été lancée contre l’une des personnes les plus influentes de tout le mouvement mondial pour la justice et un monde meilleur: le Dr Reiner Fuellmich.

Le Dr Fuellmich a travaillé sans relâche avec le Comité d’enquête Corona pour découvrir toutes les preuves qui révèlent comment la pandémie était une opération criminelle à grande échelle.

L’objectif de cette opération était double :

1) réduire considérablement la population mondiale par la guerre biologique, à la fois avec une maladie artificielle, et par des injections armées

2) soumettre ceux qui survivent à une tyrannie mondiale sans précédent, par le biais de passeports vaccinaux, d’identifications numériques, de surveillance 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, etc. 

Le Dr Fuellmich a réalisé plus de 400 entrevues, avec des experts de tous les domaines de la science, pour révéler ce programme néfaste.

Son travail pour l’humanité a été inestimable et est totalement inégalé dans l’histoire de notre monde. À ma connaissance, personne sur la surface de la Terre, depuis toujours, n’a jamais recueilli autant de données qui dévoilent comment des entités financières criminelles — qui opèrent derrière l’OMS, l’ONU, etc. — collaborent pour s’emparer de tous les droits et libertés de toute l’humanité, sous couvert de crises orchestrées.

Le Dr Fuellmich a également organisé un grand jury où les meilleurs experts de ces mêmes entités qui planifient la domination du monde ont témoigné devant 11 avocats et un juge. Ils ont présenté un aperçu clair de ce qui se passe, dans le but d’informer l’humanité et de donner aux gens les moyens de se défendre.

[Voir Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales]

Le travail accompli par cet homme, par l’intermédiaire du Comité d’enquête Corona, est indescriptible. 

Tout au long de l’horrible découverte de ces événements terrifiants et dévastateurs dans notre monde, il a également continué à encourager et à donner aux gens l’espoir d’un avenir meilleur.

Le Dr Fuellmich n’a pas seulement exposé à quel point ce réseau maléfique est énorme dans le monde entier, il a également continuellement renforcé des millions de personnes dans le monde entier avec l’assurance que les bonnes personnes, avec l’aide de Dieu, seront victorieuses.

À travers cette tempête, notre monde entrera dans une nouvelle ère.

En raison de l’énorme influence de ce courageux enquêteur dans le monde entier, il n’est pas surprenant qu’il ait été sévèrement attaqué.

Sachant à quel point il est un avocat compétent, les élites savent qu’elles ne peuvent pas simplement l’arrêter. Par conséquent, l’attaque contre Reiner Fuellmich devait venir de l’intérieur, par l’intermédiaire de quelqu’un de proche.

Malheureusement, cela s’est effectivement produit, et au cours des derniers mois, la cofondatrice du CIC a commencé à accuser faussement le Dr Fuellmich.

Cela a causé de la confusion et du découragement chez de nombreuses personnes éveillées dans le monde entier, qui considèrent Fuellmich comme l’un de leurs dirigeants.

Quand j’ai appris ces allégations, j’ai appelé Reiner, et nous avons eu une bonne conversation. Il m’a assuré que les allégations étaient entièrement fausses. Cela a été confirmé par le procureur du district de Berlin qui a publiquement déclaré qu’il n’y avait aucune raison d’enquêter. Plusieurs psychologues se sont penchés sur la situation, exprimant des préoccupations quant au bien-être mental de l’accusateur.

Le Dr Reiner Fuellmich a accepté une entrevue avec Stop World Control pour en savoir plus sur cette situation.

Au cours de cette conversation — comme toujours, inspirante et encourageante — Reiner révèle également sa nouvelle organisation, qui sera plus professionnelle, avec une portée plus large: COMITÉ D’ENQUÊTE SUR LES CRIMES INTERNATIONAUX.

REGARDEZ CETTE MISE À JOUR
ENCOURAGEANTE DU DR REINER FUELLMICH

Déclaration officielle du Dr Reiner Fuellmich

[Pour voir la vidéo :
https://nouveau-monde.ca/mise-au-point-de-reiner-fuellmich-28-septembre-2022/]

Chers amis,

Maintenant que j’ai repris le contrôle de mes chaînes de télégrammes, il est temps d’envoyer un court message à ceux qui sont confus à cause des récentes rumeurs entourant le Comité d’enquête corona de Berlin.

Dans une longue interview avec la chaîne suisse de médias alternatifs Bitle.tv, qui a été interrompue par une déclaration troublante de la cofondatrice du Comité d’enquête Corona, j’ai déjà dit ce que j’avais à dire.

Les allégations de cette cofondatrice du Corona Investigative Committee sont complètement fabriquées et fausses.

En conséquence, les grands médias allemands viennent de rapporter que le bureau de la DA de Berlin a explicitement déclaré qu’il n’y avait aucune raison pour une enquête criminelle. Alors, faites confiance à votre instinct et regardez les faits qui sont disponibles.

En outre, je poursuivrai les travaux du Comité avec ma propre version, beaucoup plus professionnelle. Cette poursuite des travaux du Comité élargira la portée de l’enquête et montrera les concepts permettant de surmonter le système corrompu et en train de s’effondrer. Son nouveau nom sera International Crimes Investigative Committee, ICIC (I See, I See!)

Cependant, il y a trois choses qui, à mon avis, méritent une attention particulière dans cette lutte continue pour l’humanité. Premièrement, malgré le fait que travailler au sein du Comité d’enquête sur Corona a toujours été très difficile, nous avons, je crois, fait un assez bon travail pour obtenir la vérité sur Corona. Il ne s’agit pas d’une pandémie, mais plutôt d’une plandémie. Il est motivé par la panique intentionnelle et l’utilisation abusive du test PCR pour créer des cas qui n’ont jamais existé.

Cette pandémie n’est qu’un outil parmi les outils de ceux qui sont derrière cela. Et derrière cela, il y a quelques super-riches, des psychopathes mégalomanes, comme nous l’ont expliqué les experts en psychologie et en psychiatrie que nous avons interviewés.

Ils ont utilisé et utilisent des entreprises mondiales et des ONG mondiales qui se réunissent une fois par an à Davos sur la plate-forme du Forum économique mondial comme un moyen de mener à bien une prise de contrôle hostile de nos politiciens et de nos organismes publics sous le couvert du terme agréable de partenariats public-privé.

L’autre côté, comme je les appelle, ou M. Global, comme les appelle Catherine Austin Fitz, savent que beaucoup de gens ne croient plus à l’histoire dangereuse du virus. La variole du singe s’est avérée être un échec complet, un non-démarreur. Ils sont sur la défensive. Mais ils ont plus dans leur boîte à outils pour nous garder en mode panique, c’est-à-dire dans un état mental qui fera que beaucoup d’entre nous suivront n’importe quel ordre qui leur est donné. La crise ukrainienne, le réchauffement climatique, les pénuries alimentaires et les pénuries d’énergie ne sont que les outils les plus connus de leur panique.

Le but ultime de ces mégalomanes psychopathes est de prendre le contrôle total de nous tous en réduisant la population et en asservissant les survivants grâce à l’introduction d’un gouvernement mondial unique et d’une monnaie numérique mondiale unique, tous deux sous leur contrôle, bien sûr.

Les sujets mentionnés ci-dessus sont les sujets dont nous devrions nous inquiéter et qui doivent être exposés afin que même ceux qui ont d’abord été victimes de leur terrorisme psychologique, mais qui commencent maintenant à poser des questions. Nous obtiendrons des réponses et de l’aide, si cela devient nécessaire.

Ne nous laissons pas distraire par des spectacles secondaires non pertinents, surtout quand il ne s’agit que d’une autre illusion, bien que soigneusement créée, sans aucune substance.

Et enfin, bien sûr, nous gagnerons cette guerre qui est menée contre toute l’humanité. Il n’y a aucun doute dans mon esprit que ceux qui essaient de détruire l’humanité et qui essaient de jouer à Dieu sont condamnés.

Mais il n’y a pas une seule personne ou une seule institution qui sera en mesure de mettre fin à elle seule à cela. Cette fois, nous tous les humains ensemble, allons devoir être la cavalerie. Et il n’y a que deux choses qui comptent vraiment. La première est que nous devons comprendre que ce ne sont pas les Russes contre les Américains, les Français contre les Allemands, les Noirs contre les Blancs, les femmes contre les hommes ou les vaccinés contre les non-vaccinés.

Au lieu de cela, c’est nous tous les humains contre les criminels monstrueux qui faisons tout ce qu’ils peuvent pour nous pousser les uns contre les autres afin que notre attention soit distraite de leurs mauvaises actions.

La deuxième chose qui compte, c’est, je crois, que nous sommes vraiment proches d’un point de basculement et que nous avons peut-être même déjà gagné la guerre. C’est pourquoi l’autre côté, M. Global, est maintenant hors de contrôle, se déchaînant littéralement.

Mais nous devons être clairs à ce sujet : l’autre partie ne peut pas et ne veut pas abandonner, car il y a deux créanciers qui exigent le paiement de leurs crimes contre l’humanité. L’un des deux créanciers, c’est nous et notre système judiciaire, qui, si cela s’avère nécessaire, sera le nôtre, c’est-à-dire la propre création du peuple en dehors de son système corrompu.

L’autre créancier est ce que j’appelle les puissances spirituelles supérieures. D’autres l’appellent Dieu. C’est probablement la même chose. Et ceux qui jouent à Dieu ne sont jamais restés impunis, si je me souviens bien.

Oh, et encore une chose, comme Colombo avait l’habitude de dire. Le week-end dernier, le professeur Sushiri Bakti et moi-même avons eu le privilège et l’honneur d’être invités à Athènes, berceau de la démocratie, par les travailleurs de la santé grecs qui ont refusé de participer à ces crimes contre l’humanité et ont perdu leur emploi en conséquence. Le professeur Bakhti a expliqué en détail à quel point la situation est grave qu’il s’agit d’une question de vie ou de mort et de changements graves dans notre personnalité, en particulier en ce qui concerne les effets des injections d’ARNm. J’ai résumé les conclusions du Corona Investigative Committee et comment les efforts juridiques d’un nombre croissant d’avocats combatifs sont maintenant, dans certaines parties du monde, de plus en plus fructueux.

J’ai terminé ma présentation avec les mêmes mots que j’utilise ici :

certaines personnes craquent sous la pression. Je ne le fais pas et je ne le ferai pas.

Et j’aimerais ajouter, la même chose est vraie pour les travailleurs de la santé grecs, et la même chose est vraie pour chacun d’entre vous.

Faites confiance à votre instinct. Regardez les faits et vous verrez à travers tout cela, à travers chaque masque.

Dr Reiner Fuellmich
Comité d’enquête sur les crimes internationaux

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1 Nuremberg-Covid : un crime contre l’humanité qui doit être jugé ! — Riposte Laique

2 Vers la mise en place d’un Nuremberg du Covid — Riposte Laique




La théorie du genre a-t-elle transformé en profondeur nos sociétés occidentales ?

Par Nicole Delépine, pédiatre cancérologue

Georgia Meloni élue en Italie serait-elle réactionnaire, car opposée à la théorie du genre ?

Il est désormais de notoriété médiatique que considérer qu’un homme est un homme et une femme est une femme est conservateur. Et comme a expliqué A Buzyn : « un oncle peut être la mère… ». D’ailleurs, regardez les cartes d’identité instituées par l’UE avec un être humain d’un nouveau genre si l’on peut dire sans humour déplacé. Quant aux Polonais, Hongrois ou Russes, puisqu’ils ne cautionnent pas cette théorie, ils ont déjà subi la même qualification de réactionnaire dans nos médias.

D’où vient la théorie du genre ? 1

Pour comprendre ce qui nous est arrivé en seulement quelques années, de la falsification de nos cartes d’identité et des carnets scolaires de nos enfants (avec parent 1 et parent 2 et bientôt parent 3) en fonction des progrès d’une prétendue science, je me suis finalement décidée à étudier les différents aspects et conséquences de cette fameuse théorie qui régit maintenant les écoles, universités, hôpitaux, livres, et théâtre. Ne va -t-on pas jouer Roméo et Juliette entre deux homosexuels et représenter Blanche-Neige par un Africain noir ? Ils ont bien le droit de jouer des pièces de théâtre, mais pourquoi se moquer des auteurs classiques, tout casser, tout salir, tout déconstruire ?

Il faudra approfondir les fondements et les conséquences de cette « révolution » sociétale, mais voici déjà quelques éléments pour ceux qui comme moi, avaient considéré qu’il en allait de la liberté de chacun et n’ont pas cherché plus loin. En fait c’est notre liberté, notre équilibre mental et celui de nos enfants qui sont menacés de disparaître en moins d’une génération les bases des sociétés humaines, par la volonté sectaire de ces déconstructeurs.

Cette fumeuse théorie a progressivement et insidieusement envahi, depuis les années 1980, l’enseignement à l’école publique — plus obsédée par la formation des jeunes à la sexualité diversifiée et aux notions de genres (masculin, féminin, neutre, trans ou autre) — qu’à l’écriture et au calcul. L’enseignement universitaire en est transformé avec l’exclusion des voix divergentes (ou seulement ouvertes à la discussion), interdites de conférence à Science Po ou à Grenoble et Clermont-Ferrand. Quant à la désastreuse écriture inclusive, dans une époque où l’orthographe a perdu pied et où 9 % des jeunes sont illettrés2, n’en parlons même pas…

La théorie du genre a imprégné en une trentaine d’années le contenu des séries et des films, particulièrement sur Netflix, dans lesquels doivent nécessairement figurer les symboles des minorités : un handicapé, un individu d’origine africaine, un couple d’homosexuels féminins ou masculins, si possible un transgenre, en tentant de n’oublier aucune minorité. Seul l’Asiatique est le plus souvent ignoré.

[Voir aussi :
Vague de poursuites à l’encontre de psychiatres et de médecins qui ont approuvé les mutilations et les chirurgies transgenres
Idéologie LGBTQ+… Un Transgenre raconte sa détransition
La transsexualité dénoncée par une transgenre repentie
Dysphorie de GENRE : le mirage de la TRANSITION]

Les discours politiques doivent faire preuve de bienveillance envers ces minorités agissantes pour être considérés comme bien-pensants, appartenir au camp du bien et donc être présentables dans les médias. Les émissions des chaînes publiques supposées être neutres comme France Info, France Culture, France Inter et autres éliminent soigneusement les interlocuteurs non politiquement corrects, appauvrissant ainsi leur contenu et limitant tout débat démocratique. Les autres discours, comme ceux de Mme Meloni (et bientôt même de Madame Badinter ?) sont rapidement taxés de réactionnaires, puis d’homophobie, d’extrême droite, de fasciste ou post fasciste ou pourquoi pas d’antisémite.

Définition : le genre comme la conduite sexuelle qu’on choisit d’adopter, en dehors de notre sexe de naissance

John Money sexologue et psychologue néo-zélandais, spécialiste de l’hermaphrodisme3 à l’université américaine Johns Hopkins, a défini en 1955 le genre comme la conduite sexuelle qu’on choisit d’adopter, en dehors de notre sexe de naissance4, après avoir étudié des cas d’enfants nés intersexués.

Test in vivo sur des jumeaux nés en 1966

La première expérimentation de la théorie du genre avait pourtant bien mal commencé, aboutissant à une catastrophe sur un couple de jumeaux nés garçons, 5 dont les parents avaient été convaincus par John Money d’élever l’un des deux comme une fille. Les parents de jumeaux âgés de huit mois souhaitaient les faire circoncire, mais l’un d’eux, Bruce subit la brûlure de son pénis à la suite d’une cautérisation électrique. John Money sauta sur l’occasion, espérant démontrer que le sexe biologique ne serait qu’un leurre et proposa aux parents désespérés d’élever Bruce comme une fille, sans jamais lui révéler son sexe de naissance.

Bruce-Brenda recevra des hormones, subira l’ablation des testicules, sera élevée en fille avec robes et poupées. Tout se passa, semble-t-il, assez bien pendant l’enfance, si bien que son initiateur crut à une réussite et publia de nombreux articles à la gloire de sa « découverte » et même un livre en 1972, Homme-femme, garçon-fille, dans lequel il affirma que ce serait l’éducation et non le sexe de naissance qui détermine si l’on est homme ou femme.

Mais le réel revint au galop 

À l’adolescence, la voix de « Brenda » devint grave et elle fut attirée par les filles. Les parents avouèrent la mystification. Elle eut le courage et la force de caractère pour renoncer à ses hormones femelles et reçut de la testostérone, hormone mâle.

« Dès lors, Brenda redevient un homme, David, auquel on recréa chirurgicalement un pénis et retira les seins. Ce dernier se mariera même à une femme, à l’âge de 24 ans. Mais cette expérience identitaire hors norme a laissé des dégâts irréparables chez les jumeaux. Brian se suicide en 2002 et David en mai 2004. »

LES DÉGÂTS EN MÉDECINE D’UN MARCHÉ PROMETTEUR

Il faudrait plus d’un petit article pour décrire la longue liste de drames, conséquences de cette négation du réel et des extraordinaires instrumentalisations de la folie collective, de la manipulation des jeunes, puis des enfants et de leurs parents par l’appât du « fric » et aussi de la jouissance de pouvoir sur les autres êtres humains. Se prendre pour Dieu, remodeler ce qui serait une erreur de fabrication et en même temps devenir super riche, quel bel avenir pour des chirurgiens dégoûtés des mesquineries bureaucratiques et pour les pédiatres et endocrinologues frustrés par la routine grise quotidienne. Jouer à Dieu, qui y résisterait ?

Collusion de l’argent et des intérêts politiques et psychiques. Les « spécialistes » endocrinologues, dealers de drogues hormonales d’une clientèle devenue captive à vie et les chirurgiens plastiques peu regardants sur les ablations d’organes sexuels, puis les reconstructions en fonction des souffrances de l’individu maltraité (sous prétexte de répondre à ses pulsions du moment). Après trente ans de business majeur, les scandales commencent à apparaître. Nous y reviendrons. 6

Par exemple celui de la « clinique transgenre pédiatrique » du centre médical de l’Université Vanderbilt qui « soulève de graves préoccupations morales, éthiques et juridiques qui font l’objet d’une enquête judiciaire ».

Depuis le 1er janvier 2017, conformément à la Loi Obama « sur les soins abordables » (Obamacare), les compagnies d’assurance américaines sont tenues de couvrir les frais médicaux des personnes qui veulent changer de sexe. Le reportage de Walsh a mis en évidence que Vanderbilt « drogue, castre chimiquement, et effectue des doubles mastectomies sur des mineurs », et calme l’opposition parmi ses médecins par « des menaces et de la coercition », emploie des militants transgenres pour assurer la conformité du personnel, et le fait à des fins lucratives.

Walsh a rappelé les prix de diverses opérations : 40 000 $ pour la « reconstruction thoracique » de femme à homme, 20 000 $ pour une vaginoplastie, et jusqu’à 100 000 $ pour les chirurgies complètes de femme à homme. L’ensemble de ces problèmes justifie l’enquête judiciaire en cours.

Aux USA, le coût des médicaments et des interventions chirurgicales peut atteindre 200 000 $ 7pour un seul « patient ».

La propagande d’identité trans est maintenant une mode qui cible spécifiquement les jeunes

« Es-tu un enfant qui souffre de dysphorie de genre et qui a besoin de produits chimiques bloquant la puberté ? Selon la clinique d’identité sexuelle Tavistock de Londres, la plupart des enfants en ont besoin. Et elle a fonctionné en toute impunité de 1983 jusqu’au mois dernier. La clinique a récemment été fermée par le NHS, alors que les enquêtes se multiplient et que le public s’indigne des allégations selon lesquelles Tavistock diagnostiquait au hasard des troubles de l’identité sexuelle chez les enfants, même s’ils étaient normaux.

Le concept de transsexualité étant largement promu par les médias d’entreprise, les parents gauchistes, les enseignants des écoles publiques et de nombreux gouvernements occidentaux, il n’est pas étonnant que tant d’enfants commencent à ressentir le besoin de rejoindre la tendance et de signaler leur vertu. En général, la plupart des enfants veulent rendre les adultes qui les entourent heureux et la pression pour se conformer aux modes en matière d’identité sexuelle est immense. Tavistock, la seule clinique de changement de genre et de sexe en Grande-Bretagne, est passée d’environ 130 enfants patients par an en 2010 à près de 2400 en 2021. »

Le féminisme des années 80 déclinant, les néoféministes se sont saisies des délires de la théorie du genre pour alimenter leur discours à une époque où la contraception, le large droit à l’avortement, et l’élargissement de la place des femmes en politique et dans l’entreprise stérilisaient leurs discours.

Bienvenue la théorie du genre, et peu importe les nombreuses vies gâchées qu’elle engendrera. Car le mal être de ces enfants est à terme habituellement aggravé par les mutilations et les traitements qu’ils subissent et les conduits à un risque important de suicide. Une étude libanaise 8 montre que 55 % des participants transgenres avaient des pensées suicidaires actives contre 0 % chez les témoins. Dans la population trans, le passage à l’acte « suicide » dépasse 40 % 9 soit dix fois plus que la population standard et 2 fois plus que les bisexuels ou homosexuels.

Ils ne se seraient peut-être moins suicidés si au lieu de leur faire croire que les transformer les rendrait heureux, on leur avait appris que le bonheur nécessite l’acceptation de soi tel qu’on est (et tel que l’on naît ?) et aider avec des prises en charge psychologiques et/ou psychiatriques de qualité.

LES DÉGÂTS À L’ÉDUCATION NATIONALE

C’est environ 2014 que les dégâts dans l’Éducation Nationale apparaissent avec une première tentative de stopper le mouvement appelé pudiquement « abc de l’égalité » conduisant à l’intrusion dans l’école publique de discours qui n’ont rien à y faire.

Théorie du genre : des élèves absents du fait d’une étrange rumeur (lefigaro.fr)

Une tentative de résistance apparaît dans les médias via le site internet du mouvement « JRE2014 » : « une action nationale inédite pour sauver nos enfants », explique le tract :

« Vous justifierez l’absence de votre enfant le lendemain par le motif: “journée de retrait de l’école pour l’interdiction de la théorie du genre dans tous les établissements scolaires”,

« Le ministre de l’Éducation nationale, Vincent Peillon, sur les traces de son prédécesseur Luc Chatel veut généraliser et officialiser l’enseignement de la théorie du genre (…) à la rentrée 2014 (…) Des centaines d’écoliers sont déjà victimes de ces programmes à titre expérimental », développe le texte en référence aux ABCD de l’égalité, lancés conjointement par Vincent Peillon et Najat Vallaud-Belkacem, dans dix académies.

« D’ores et déjà, des militants du lobby LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et transsexuels) s’invitent en classe », explique-t-il. « L’éducation de nos enfants nous appartient », martèle le tract qui milite pour le retour d’« un ministère de l’instruction publique ». Sur le site, une soixantaine de contacts locaux assurent le relais du message en région ».

Commandé par Najat Vallaud-Belkacem, un rapport vise à « lutter contre les stéréotypes », notamment à l’école.10

Une infiltration douce et discrète de l’école avec des termes trompeurs

 « Le rapport “lutter contre les stéréotypes filles-garçons, un enjeu d’égalité et de mixité dès l’enfance”, du Commissariat général à la stratégie et à la prospective remis à Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Droits des femmes, ne contient aucune proposition détonante. »

« Cela résonne plus joliment que les oukases à la Peillonqui voulait s’appuyer sur la jeunesse pour changer les mentalités ! », commente Olivier Vial, porte-parole de l’Observatoire de la théorie du genre. C’est juste un début de propagande douce : on va essayer, par une série de micro-incitations insidieuses, de guider le comportement des gens et de remplacer peu à peu un modèle de société par un autre.

NOUS SOMMES EN 2014

Les controversés « ABCD de l’égalité », censés lutter contre le sexisme, arrivent dans 600 classes. 11 ÉLÈVES COBAYES SUR DÉCISION DES « ÉLITES »

Les « ABCD de l’égalité » : le ministre de l’Éducation nationale, Vincent Peillon, et sa collègue des Droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem, portent conjointement cette expérimentation.

Au total, dix académies volontaires, soit plus de 600 classes, sont concernées par ce dispositif visant à « déconstruire les stéréotypes de genre » et à « transmettre, dès le plus jeune âge, une culture de l’égalité et du respect entre les filles et les garçons, en agissant sur les pratiques des acteurs de l’éducation et sur les préjugés des élèves ». Objectifs affichés : sensibiliser les élèves aux représentations et aux rôles assignés aux filles et aux garçons, et agir ainsi sur les orientations professionnelles que l’on sait sexuées » (…), démarche plus globale se proposant d’agir sur les mentalités, et dont l’école est un volet.

Olivier Vial, président du syndicat de droite UNI, invite à la vigilance, comme des responsables de l’Association des familles catholiques, qui craignent à l’école une démarche de déconstruction des repères transmis par les parents.

Des heures de formation spécifiques

En 2014, plusieurs milliers d’élèves, de la maternelle au CM2, ont fait l’apprentissage de cette « égalité », via des séquences pédagogiques mises en œuvre par les enseignants.

Exemple d’une séquence pédagogique autour des « représentations esthétiques de l’enfant, de la femme et de l’homme » au fil des siècles, du portrait par Rigaud de Louis XIV portant des talons hauts, au smoking pour femme d’Yves Saint Laurent en 1966 ; ou cette réflexion sur « la figure de la belle » dans les contes.

Objectifs: démontrer aux enfants que les notions de féminin et masculin évoluent suivant les sociétés et les époques.

Pour les deux ministères, le but est de « sensibiliser les élèves aux représentations, aux rôles assignés aux filles et aux garçons » et d’aider les enseignants dans cette tâche en offrant « des entrées au sein de programmes officiels existants: sciences, éducation physique et sportive, maîtrise de la langue, histoire… ». 12

Néanmoins, il semble bien que selon les enseignants bénéficiant d’une certaine liberté dans leur classe, le message ait été plus ou moins doux, limité pour certains à tenter de limiter utilement certaines idées préconçues. Par exemple les filles sont aussi capables de faire de hautes études scientifiques que les garçons.

Finissons pour ce jour par une chronique de Russie rapporté par Boris Karpov dans la série « valeurs occidentales » : La littérature pour enfants a fait son chemin vers les histoires transgenres de la maternelle : le portail des enseignants du Royaume-Uni recommande My Sister Daisy comme une excellente lecture pour expliquer les problèmes d’identité de genre aux enfants.

« Tu es sûr d’être une fille ? J’ai demandé. — J’ai un ami qui est à la fois un garçon et une fille, tu dois lui parler comme “ils” et “eux”. “Je suis sûr ! Je suis une fille ! Et je m’appellerai ‘elle’ et ‘elle’, as-tu dit. Maman et papa pensaient que j’étais un garçon quand je suis né, mais ils avaient tort. Je sais qui je suis et je sais que je suis une fille.”

Le portail du blog des enseignants de littérature pour enfants dit que c’est un excellent livre pour les parents ou les enseignants pour parler aux enfants des questions d’identité de genre et de pronoms.

C’est l’histoire vraie d’une famille où le deuxième enfant est conscient d’être transgenre. L’auteur lui-même élève un tel bébé. Selon l’histoire, le frère aîné devra s’habituer au fait que son frère est désormais une sœur. Après que le garçon ait été envoyé à la maternelle, il a dit qu’il était maintenant une fille nommée Daisy” ».

Huit ans après l’arrivée des ABC de l’égalité, il sera capital de faire le point sur ses effets dans le monde réel. Suite à venir…





Le grand remplacement des médecins : les « chatbots »

IL FAUT FINIR PAR APPELER UN CHAT, UN CHAT !

Vous êtes triste, déprimé, révolté, agacé, fatigué, douloureux, nauséeux, anorexique ou boulimique, hagard, impuissant devant l’aveuglement de trop de citoyens devant la violence et la puissance mortifère des quelques milliers de milliardaires qui gouvernent le monde occidental. Ils sont menés par Bill Gates, l’informaticien, Tedros le patron de l’OMS, non-médecin au passé éthiopien sulfureux1, Fauci le MR Vaccin des USA2 depuis 50 ans et bientôt retraité tout de même (l’État profond s’effondrerait-il ?), le pouvoir politique américain, et évidemment la présidente de la Commission européenne non élue qui régente les pays soumis de l’UE et quelques autres leurs effecteurs, les dirigeants des pays européens

Le refus de la réintégration des soignants non injectés est cohérent avec l’ensemble du « projet »

Les psychiatres formés sont débordés par les vagues de suicides chez les adultes, mais aussi chez les enfants. Bien sûr, vous pouvez piocher dans les milliers de « thérapeutes » en tous genres disponibles sur le net, de formations et valeurs diverses et variées et qui ont l’avantage, n’étant pas soignants, de ne pas être interdits d’exercice pour refus d’injection expérimentale et leurs actes non remboursés par la sécurité sociale, donc beaucoup moins persécutés que les psychiatres formés à l’université par l’assurance-maladie.

Évidemment vous y trouverez de bons psychothérapeutes bien formés (dont certains actes reconnus et remboursés), mais aussi beaucoup de plus ou moins farfelus aux méthodes et pratiques diverses, mais dont une caractéristique trop fréquente est leur sentiment de supériorité, leurs incompétences médicales, leur rejet extrême de la médecine traditionnelle qui a failli certes, mais guéri des millions de patients depuis un siècle… On plonge dans le délire.

Danger, donc, mais en attendant le rendez-vous donné par un vrai professionnel dans six mois pour un premier contact pour votre ado cassé par le confinement, les cours en visio, les discours dissonants des radios, et la peur, terrible peur véhiculée par leurs enseignants manipulés par leur rectorat, parfois la terreur de l’avenir, que ferez-vous ?

Le pouvoir mondialiste a tout prévu

Manifestement depuis plusieurs années, l’obsession des pouvoirs politiques occidentaux n’était pas de former de meilleurs docteurs et assez nombreux praticiens, mais bien de les REMPLACER ». Il ne faut pas croire que la réduction drastique du numerus clausus était une « erreur » politique. Non, le scénario a consisté à progressivement priver les médecins de leur pouvoir médical en les soumettant à une administration prétentieuse et incompétente dans les soins, mais obéissante, dirigée le plus souvent par des énarques apparemment frustrés de ne pas être médecins, et parallèlement à en diminuer le nombre et la qualité (remplacement des enseignants cliniciens par des « savants » biologistes ou épidémiologistes, ou « médecins » de santé publique n’ayant jamais écouté un cœur ni palpé un foie…).

La première étape, « invisible » pour le peuple, a été d’embaucher dans des conditions précaires des médecins venus d’ailleurs, de formation plus ou moins bonne. Surtout leurs principaux défauts aux urgences, leur lieu d’accueil privilégié, étaient leur manque de maîtrise du français et donc du contact humain avec le public. Notons que cette difficulté aurait pu et dû être comblée rapidement avant embauche par un apprentissage intensif de la langue, comme cela se pratique partout pour les expatriés.

Mais les bureaucrates au pouvoir ne souhaitaient manifestement pas qu’ils comprennent les maux de leurs consultants, surtout pas tout ce qui pouvait concerner la médecine de l’âme.

ÉTAPE PRÉLIMINAIRE : HABITUER ET CONDITIONNER LES MALADES AUX ROBOTS SOIGNANTS3

On nous parlait de robots au lit du malade remplaçant fièrement, dans les congrès médicaux de démonstration, les infirmiers absents, déprimés et maintenant interdits d’exercice sous prétexte de refus d’injection expérimentale dangereuse et inefficace. Nous rigolions plus ou moins, vaguement inquiets.

Le robot s’avançait dans le couloir de l’hôpital pour prendre la tension artérielle du vieux monsieur et apporter le repas à la vieille dame. On a OSÉ nous présenter ces machines comme des progrès ! Naïfs, des téléspectateurs ont regardé, ébahis, le malade dans sa triste chambre d’hôpital et mal fagoté dans sa chemise blanche inadaptée, être distrait par un petit robot sympathique, mais terriblement inhumain.

Les fous de la connexion seraient-ils dispensés (avec bonne conscience ?) de visite à la grand-mère en fin de vie ou à la vieille tante qui sent mauvais, voire au petit frère cancéreux sans cheveux et décharné ?

Ne vous inquiétez pas, le gouvernement veille à remplacer les soins palliatifs longs et coûteux par une euthanasie acceptée rapide — quand vous sentez gêner tout le monde et qu’on vous a suffisamment culpabilisé sur le coût de vos soins., vous la demandez cette finale piqûre et ils oseront parler de « consentement libre et éclairé ». Oui éclairé sur la cruauté du monde…

« LES ROBOTS-INFIRMIERS : UN RÉEL PROGRÈS MÉDICAL ?

Présenté à Tokyo en 2011, le voilà maintenant arrivé sur le marché depuis novembre 2013 : le robot-infirmier de Panasonic, Hospi. Si son écran HD affiche un large sourire, sa commercialisation ferait en revanche plutôt grincer des dents. Après le robot qui réalise les prises de sang, cette nouvelle invention incarne-t-elle l’avenir du monde médical ou sa déshumanisation programmée ?

UNE AIDE MÉDICALE

Tout d’abord mis en place et étudié dans un des hôpitaux du groupe Panasonic, Hospi a su convaincre le personnel soignant d’Osaka. Malgré son poids important (120 kg), il a su se faire apprécier de ses “collègues” en les délestant de certaines tâches fastidieuses. Il sait gérer la programmation de la distribution des médicaments à heures fixes en les déposant aux infirmières. Mieux encore, un modèle permettrait de laver les cheveux du patient de façon semi-automatique !

Un gain de temps très appréciable pour les infirmières qui avouent avoir ainsi été déchargées de diverses tâches ingrates grâce à ces assistants, elles pourraient de ce fait mieux assurer leurs rôles de soin et de surveillance auprès des malades.

Hospi et ses camarades prototypes robotisés seraient des assistants médicaux parfois même “plus patients que les infirmières” selon Roselind Picard : ils n’hésitent pas, par exemple, à répéter inlassablement et autant de fois que nécessaire les recommandations et prescriptions faites aux malades, contrairement aux personnels soignants, malheureusement trop souvent débordés. Le personnel précise toutefois qu’il ne croit pas que les robots vont un jour remplacer médecins et infirmières…

Pourtant le robot Hospi n’a-t-il pas été créé, selon son concepteur, pour répondre à un manque de personnel au Japon ?

ET SI LE ROBOT REMPLAÇAIT L’INFIRMIÈRE

Si la technologie a rendu de nombreux services médicaux, notamment dans le domaine de la chirurgie, doit-on pour autant estimer que l’on puisse répondre à une surcharge continue de responsabilités et de travail du personnel hospitalier en lui offrant un amas de circuits intégrés ? Un manque cruel de main-d’œuvre causé par un désamour de la profession d’infirmier pourrait-il trouver réponse grâce à un service robotisé ?

Et le patient dans tout cela ? Sa dignité, son besoin d’écoute et de réconfort, la magie d’un sourire, d’un regard compatissant, d’une main tendue… N’oublions pas que les soins infirmiers découlent en effet des deux faces du concept soigner : traiter la maladie, et prendre soin de la personne ».

Il y a quelques années, en 2008 précisément, on craignait les bracelets d’identification risquaient de « chosifier » le malade en lui ôtant son identité. Pourtant, depuis octobre 2012, son usage s’est généralisé. Le malade ne deviendrait-il plus à l’avenir qu’un numéro, un dossier, une pathologie ? (…)»

OUI, ON AVAIT RAISON DE LES CRAINDRE CES BRACELETS QUI NOUS TRANSFORMENT EN VEAUX D’ABATTAGE et n’ont pas évité certaines erreurs. L’étape suivante a été le pass, le QR CODE pour aller boire un café au pub du coin ou entrer au cinéma et oui, les veaux comme les appelait de Gaulle n’ont pas moufté…

« Infirmières, infirmiers, en hôpitaux, en cliniques ou en libéral, vous qui pratiquez ce métier par amour de l’autre et de son bien-être, laisserez-vous un robot rassurer ou réconforter votre patient ? »

Et d’où vient le désamour du métier si ce n’est le management financier déshumanisé à visée de rentabilité ?

On remplace les soignants par les robots, alors qu’en même temps, comme dirait E. M., il y aurait trop d’humains sur terre… Mais qu’on s’empresse de faire disparaître via des refus de soins, des injections de Rivotril et des pseudovaccins expérimentaux toxiques, mais aussi des guerres… Eugénisme, quand tu nous tiens… LES ROBOTS SERONT-ILS PLUS OBÉISSANTS que ces médecins pourtant globalement très soumis ?

ÂPRES LES SOIGNANTS ROBOTISES, LES MÉDECINS :

MON PSY EST UN CHATBOT4

ATTENTION, cette image n’est pas un rêve d’eurocrate en délire nocturne, mais bien un projet « sérieux » de nos bureaucrates jaloux de l’Humanité de (certains) médecins dignes d’Hippocrate et non remplaçables par une machine même dotée d’intelligence artificielle.

Les chatbots, vous connaissez ? Ces logiciels — appelés également agents conversationnels — qui dialoguent avec leurs utilisateurs et dont le moteur est l’intelligence artificielle (ou IA). Si l’on ne peut encore dire qu’ils sont partout, ces enfants du high-tech investissent déjà de multiples domaines. Et notamment celui de la santé mentale. Mis à l’épreuve du réel lors des confinements liés à la pandémie de Covid, les psys chatbots ont ainsi pu mesurer leur pertinence et leur efficacité. Imaginez.

Vous — disons plutôt l’un de vos patients — traversez un moment difficile. Petite déprime passagère ou prémisses d’une authentique dépression ? Vous prenez votre smartphone et cliquez sur l’appli dédiée (Woebot, Mon Sherpa ou Sayana). Un psy synthétique vous prend alors en charge : « Comment vous sentez-vous ? Vous pouvez me répondre en mots ou en émoticônes… », propose-t-il. La suite de cette conversation est alors le produit d’une analyse sémantique fine de vos propos, où chacune des réponses de la machine est prédéterminée et déclenchée par des situations « si-alors ».

LES BOTS DU QUOTIDIEN : RAS-LE-BOL

Finalement, que vous appeliez votre banque, une agence de voyage ou immobilière, les administrations des impôts ou des assurances publiques ou privées, vous avez pris l’habitude, contraints et forcés, de converser avec ces inhumains, en tapant sur la touche 1,2 3, etc., et en recommençant dix fois parce que le robot bogue et repasse l’interrogatoire en boucle…

MAIS APPELER UN CHATBOT PSYCHIATRE, il fallait y penser et oser !5

« Mais il y a mieux. Les psys chatbots du type de Therabot arrivent. Cette application sur le point d’être testée pour la première fois dans un essai contrôlé randomisé se distingue en effet des générations précédentes en cela qu’elle est alimentée par une intelligence artificielle générative.

Autrement dit, Therabot peut utiliser les données et la documentation existantes pour développer des actions et des réponses originales, et pas seulement parcourir un arbre de décision. Un fonctionnement qui fait dire à certains qu’un début de conscience anime la machine. À voir… Car aussi sophistiquées soient-elles, ces aides électroniques ne remplaceront pas de sitôt la prise en charge en chair et en os par des psychiatres aguerris. Tout au plus pourront-elles pallier la pénurie croissante de professionnels et faire entrer dans le parcours de soins certains patients encore rétifs à s’y inscrire. »

Didier Doukhan

Alors vous révolterez-vous ?

Les cabines dites de télémédecine se répandent, semble-t-il, avec l’assentiment des patients ou au moins de suffisamment de citoyens pour les rentabiliser. Votre pharmacie a-t-elle installé un de ces gadgets ? Formidable, le rendez-vous du généraliste le jour même, et du spécialiste en trois jours ! Que demande le peuple ?

« Comment ça marche ? Durant la téléconsultation, le médecin guide le patient en vidéoconférence pour effectuer les prises de constantes physiologiques (tension artérielle, saturation en oxygène, pouls, la température frontale) et examens médicaux qu’il juge nécessaires au diagnostic en utilisant un panel de dispositifs médicaux assemblés.

La cabine médicale connectée est ergonomique favorisant l’autonomie du patient lors de sa téléconsultation. Elle est également munie d’une vitre teintée garantissant la confidentialité des échanges entre le patient et le médecin.’

À l’intérieur, un écran assure la vidéotransmission des échanges avec le téléconsultant. En suivant ses instructions, le patient manipule des dispositifs connectés : tensiomètre, thermomètre, stéthoscope, otoscope, balance, dermatoscope, oxymètre et, bientôt, un spiromètre pour mesurer les capacités respiratoires si nécessaire. Autant d’outils permettant d’aboutir à un diagnostic puis une ordonnance médicale si nécessaire.

La cabine médicale est entièrement insonorisée et équipée d’un système de ventilation. »6

Combien faudra-t-il de retards diagnostiques, d’erreurs rattrapables ou non, et de constats de la déshumanisation de ces pratiques pour que les citoyens les désertent, les rendant non “rentables”… La visite chez le médecin apportait toute une dimension humaine réconfortante au-delà de l’examen clinique indispensable aux patients isolés. Qui depuis la cabine pourra passer une main chaleureuse dans le dos de son patient en le raccompagnant à la porte du cabinet ?

Combien d’accidents pour la voiture automatique ?

On comprend bien sûr que la maltraitance du malade par ces techniques à distance n’est pas dans les préoccupations du pouvoir politique eugéniste et transhumaniste actuel. Le confinement quasi mondial et prolongé a manifestement été conçu dans la volonté de nous conditionner à toutes ces techniques connectées tant dans l’enseignement que dans la médecine. Il nous a obligés à accepter ces techniques à distance qui sont, il est vrai, parfois “mieux que rien” avec les avantages en exergue de la visio : “Avantages de la Visio : La prise en charge supposée identique à celle effectuée en cabinet, nous dit-on, ce qui est de fait faux. Il manque le contact direct, le toucher par une poignée de main réconfortante ou une embrassade de fin de consultation tant appréciée des patients. Le Respect des gestes barrières qui peut encore en rassurer certains et sans masque. Ce qui est essentiel en thérapie afin d’être à l’écoute du langage non verbal et mieux comprendre les émotions.

Problèmes de santé ou de déplacement, pas d’arrêt ou de pause dans la prise en charge thérapeutique.

Mais qu’en pensent les citoyens dont les yeux s’entrouvrent enfin ?

Comme a dit le médecin suspendu qui accompagnait le député Dupont Aignan à la manifestation de défense du Pr Perronne et des soignants suspendus, la volonté réelle du gouvernement est de nous remplacer par des robots :





France — Pourquoi le gouvernement pousse-t-il à l’euthanasie ?

Une nouvelle loi sur l’euthanasie ? Pourquoi faire ?

Par Nicole Delépine

Chômage, retraites, ouverture des mines de charbon ? Tant de sujets qui dérangent et que le décès de la reine Élisabeth II ne pourra pas masquer éternellement. Alors parlons d’autre chose en relançant un sujet qui clive facilement si on sait le présenter astucieusement. Technique classique, mais très utilisée depuis cinq ans au moins.

L’euthanasie sans consentement a été quasiment légalisée de fait par le duo Veran Philipe en 2020.1

Avons-nous déjà effacé de nos mémoires ces dix mille personnes disparues de nos vies sans un au revoir, via le Rivotril imposé par la main de robots obéissants, complices et victimes à la fois ? Ils osent nous reparler d’euthanasie !

Une nouvelle fois, le marronnier réapparaît, alors que le système de santé s’écroule, que les urgences sont fermées au moins la nuit dans certaines villes, dont certaines importantes, que des soignants sont suspendus, sans salaire, que les suicides se multiplient, que les Français s’inquiètent du froid de l’hiver, et de la pénurie alimentaire, ou de la guerre en Ukraine ou en Arménie, une nouvelle fois on ressort le sujet de la fin de vie.

Marronnier cache-sexe, combien de lois sur ce sujet en moins de 20 ans ? Facile d’émouvoir, facile de rallier tous ceux qui ont vu souffrir des proches, tous ceux qui s’imaginent savoir ce qu’ils voudraient ou voudront, alors qu’ils sont encore en bonne santé. N’oubliez jamais que vous ne saurez jamais d’avance ce que vous ressentirez quand votre heure approchera vraiment.

Comment oser parler de l’euthanasie après le décret Philipe-Veran de mars 2020 qui a entraîné près de 10 000 décès de vieillards et personnes âgées présents dans les EHPAD ou en hospitalisation à domicile non demandé par les victimes ni par leurs proches, sans oublier certains handicapés jeunes auxquels on avait enlevé leur bouteille d’oxygène et de surcroît ces « euthanasiés » d’office ont été privés d’adieux à leurs proches ? Peut-on oublier l’horreur inhumaine ?

Après le refus de trop nombreux médecins d’aller examiner à domicile les patients suspects de covid, et leur refus trop fréquent de leur prescrire autre chose que du doliprane, après l’injection mortelle de Rivotril à trop de patients abandonnés, et à l’extorsion du consentement à une injection expérimentale à répétition, comment peut-on imaginer qu’un malade puisse faire confiance aux médecins ? Une telle trahison trop répandue de leur serment d’Hippocrate a brisé la confiance des malades envers les médecins.

Les autorités veulent utiliser l’euthanasie pour détourner la conversation et faire oublier les nombreux sujets qui fâchent (réforme des retraites, réforme de l’assurance chômage, rationnements voulus par nos gouvernants qui ont saboté le nucléaire pour récupérer les vois des verts et imposé des sanctions contre la Russie pour faire plaisir à l’OTAN et à Ursula) ont-elles pensé à l’effet boomerang si suffisamment de personnes rappellent ces meurtres prémédités de nos vieillards, sur circulaire puis décret envoyé aux médecins de garde fin mars 2020 ? Et comment oublier aussi les nombreuses euthanasies de petits patients cancéreux en fin de parcours depuis les années deux mille, sans grande médiatisation ni discussion  ? Comment faire comme si tout cela n’avait pas existé ?

Qui pourra donner un droit de vie ou de mort à la gent médicale après ce déshonneur collectif qui sévit depuis deux et demi sous la crise covid et qui a pour très longtemps élevé un mur de méfiance, voire de défiance entre patient et médecin, même avec ceux qui ont été fidèles, car comment faire la différence a priori ?

Fin de vie : le Comité d’éthique juge possible une « aide active à mourir » (orange.fr)2

13 septembre 2022

Le Comité d’éthique s’était jusqu’alors s’était prononcé contre une modification de la loi Claeys-Leonetti datant de 2016 et interdisant l’euthanasie et le suicide assisté.

« Après 20 années de lois et débats en France sur la fin de vie, le Comité d’éthique a rendu mardi 13 septembre son avis sur ce sujet difficile. “Si une nouvelle loi sur la fin de vie devait être discutée en France, il existe une voie pour une application éthique d’une aide active à mourir” », a déclaré lors d’une conférence de presse Alain Claeys, l’un des rapporteurs de cet avis. Cependant, « cette évolution supposerait certaines conditions strictes avec lesquelles il apparaît inacceptable de transiger », a immédiatement tempéré le membre du CCNE, dont le rôle est purement consultatif. (..)
Dans la foulée, Emmanuel Macron a annoncé le lancement d’une large consultation citoyenne sur la fin de vie, en vue d’un possible nouveau « cadre légal » d’ici la fin 2023.

Une convention citoyenne, organisée par le Conseil économique, social et environnemental, sera « constituée dès octobre » et rendra ses conclusions en mars, a indiqué l’Élysée dans un communiqué. Des débats seront aussi organisés dans les territoires « afin d’aller vers tous les citoyens » et le gouvernement engagera un « travail concerté et transpartisan » avec les parlementaires, a ajouté la présidence.

L’avis du CCNE constitue donc une première étape vers une telle évolution, même si l’institution l’assortit de nombreuses prévenances. Le comité estime ainsi qu’une nouvelle loi ne saurait uniquement se concentrer sur le sujet de l’euthanasie ou de l’aide active à mourir. « On ne comprendrait pas une loi uniquement axée sur ce sujet, car aujourd’hui on sait très bien qu’il y a des situations inacceptables sur (la mise en œuvre des) soins palliatifs », a déclaré M. Claeys. Le comité plaide donc aussi pour accélérer les efforts en faveur des soins palliatifs, une position qu’il avait déjà tenue dans de précédents avis.

Il marque toutefois une rupture avec ses positions passées en jugeant possible d’introduire dans la loi une aide active à mourir. Jusqu’alors, il s’était prononcé contre une modification de la loi Claeys-Leonetti datant de 2016 et interdisant l’euthanasie et le suicide assisté. Désormais, le Comité accepte d’établir un cadre éthique pour envisager de légaliser de telles mesures.Une éventuelle « assistance au suicide doit accompagner la volonté de la personne », mais il « faut s’assurer que cette demande soit ferme, éclairée, constante et motivée », a expliqué Régis Aubry, autre rapporteur de l’avis.

La position du Comité n’apparaît néanmoins pas unanime : certains de ses membres ont émis des réserves quant à la mise en place d’une aide active à mourir. « Cet avis a fait débat au sein du CCNE comme je suppose dans la société française », a admis M. Claeys. »

Nous avons en tant que cancérologue, pédiatre et coll. longuement réfléchi à ce difficile sujet qui ne devrait pas être jeté en pâture à des fins politiciennes en quelques mois pour masquer d’autres réformes majeures comme celle des retraites ou de l’assurance chômage.

Le dilemme reste identique aux réflexions que nous publiions en 2013.

D’un côté des familles sincères et démunies qui ont vu souffrir leurs proches sans réponse à leur demande de fin de cette vie qu’ils ne supportaient plus, sans l’aide expérimentée d’un médecin dans le secret et l’intimité du cabinet, comme depuis toujours avant cette période de judiciarisation délirante de la médecine.

De l’autre, tous ceux qui instrumentalisent le profond drame qui se joue parfois pour en faire un argument politique et rameuter quelques voix tout en diminuant le prix des retraites, en diminuant la durée des séjours hospitaliers coûteux et en libérant des lits d’hôpitaux devenus si rares depuis que nos gouvernants sabotent l’hôpital trop coûteux à leur goût.

Déjà en 1993 beaucoup d’euthanasies n’étaient pas pratiquées à la demande explicite du patient. Voici ce que j’écrivais 3:

« 3,1 % des décès font suite à un acte visant délibérément à abréger la vie, par un arrêt du traitement ou une intensification de la sédation. Dans 0,8 % des décès, des médicaments ont été administrés afin de donner la mort (dont 0,2 % seulement à la demande du patient). Aujourd’hui illégale, l’euthanasie est pratiquée et dans un nombre significatif de cas sans la demande du patient selon l’Ined.

Toutes les questions concernant la fin de vie ne sont pas solubles dans celles relatives à l’euthanasie, loin s’en faut »

Douleur, compassion, liberté de choix du patient, dignité, respect de la volonté de l’autre (qui sera moi demain)… Tous ces bons sentiments sonnent bien et pourraient conduire à un consensus extorqué pour légaliser l’euthanasie comme si elle ne l’était pas déjà tolérée en pratique.

On nous dira que c’est pour avaliser ce qui se passe dans l’ombre et éviter les risques pour les bonnes âmes qui s’y livrent dans la nuit de l’hôpital… Justement lorsqu’on « aide » quelqu’un à mourir, ce doit être un choix longuement pesé et le risque moral, médicolégal et éthique doit persister et être assumé, seul rempart à la banalisation du meurtre.

Il ne faut pas banaliser le fait de « tuer » dans notre société, car achever un mourant est bien « tuer ». Si on franchit la limite sans même sans apercevoir, la déliquescence de la société et son humanité sont menacées. La porte est rouverte aux wagons de bestiaux, aux camps pour handicapés ou opposants, aux expériences médicales sur ces « sous hommes » déchets humains selon l’expression des années 1930 pour les cancéreux incurables, des infirmes voire à l’extermination de catégories gênantes, bref, au fascisme qui rode toujours » ceci fut écrit en 1993. La preuve de la déshumanisation de notre société s’est affichée avec l’interdiction de soigner les malades discriminés sur leur âge et leur handicap, et pour tous l’interdiction d’utiliser les médicaments peu chers et efficaces comme l’hydroxychloroquine et l’ivermectine et antibiotiques. Et pour tous aussi l’exigence d’injections expérimentales d’une substance génique dont les effets toxiques étaient prévisibles et maintenant démontrés. Et vous confieriez votre vie à une corporation médicale, pharmaceutique, soignante (qui a injecté le poison) et qui a failli largement et longuement… Encore aujourd’hui on refuse au patient de l’Ivermectine. Et certains confrères dénoncent le collègue qui soigne à l’ordre qui le poursuit alors qu’il n’a pas poursuivi les médecins de plateau qui nous pas déclaré leurs liens d’intérêt comme la loi anticorruption l’exige…

Encore aujourd’hui des médecins et soignants sont interdits de travail et de RSA ou chômage pour désobéissance et aucune grève générale des soignants qui réglerait le problème en quelques jours n’éclate même un an plus tard, alors que le mythe de l’efficacité du pseudovax a explosé. ET VOUS FERIEZ CONFIANCE ?

Déjà trop d’euthanasies en France la mort précipitée dans un cas sur deux ! Elle concerne principalement les malades souffrant de cancer. Ce nombre important de fins de vie « accélérées » dont un nombre non négligeable sans l’accord du patient même conscient interpelle. Les gouvernements et en miroir les soignants voire les familles ont pris l’habitude de décider de ce qui est bon pour le malade. On a l’habitude d’entendre dans les réunions hospitalières qui se permettent de décider de la vie ou de la mort des individus au nom d’une collégialité toute puissante : « cette vie ne vaut pas la peine d’être vécue » (et la leur ?). Ou bien « pourquoi réanimer cette enfant handicapée ? » (Entendu hier : ce sont des faits quotidiens dans les hôpitaux). Faut-il avoir un QI minimum pour avoir le droit de vivre, de rire, de jouer, d’aimer et d’être aimé ? On utilise la souffrance des familles pour les amener à prendre la décision qu’ont choisie les médecins en leur faisant croire que c’est eux qui la prennent. Perversion, peur des responsabilités ? On fait croire à une famille qu’un patient jeune doit être amputé pour se sortir d’un épisode infectieux qui met sa vie en jeu (sans l’avis de son orthopédiste référent qui le suit depuis 13 ans). On le dit à la jeune fille intubée, ventilée qui fait comprendre que dans ces conditions il faut abréger sa vie… De quel droit imposer des souffrances psychologiques de ce type à une adolescente et à sa famille. Est-ce là le monde médical dont nous rêvions quand nous avons choisi les études de médecine ?

Ne faut-il pas chercher d’autres explications à cette véritable mise en condition pour légaliser l’euthanasie après avoir mis en exergue les soins palliatifs en les opposant de fait aux soins curatifs qu’ils ont fini par écourter même lorsqu’il existe encore des possibilités de traitement potentiellement curatif ?

L’argument pour légaliser l’euthanasie est le même qu’on entendait il y a quelques années pour développer les soins palliatifs de façon autonome. Car pallier la douleur des gens avait toujours fait partie du travail des cancérologues en combinaison avec les soins à visée curatrice. Les isoler comme une entité à part revenait à faire admettre l’arrêt brutal des soins curatifs. Or si ces soins palliatifs ont été développés, le traitement de la douleur a été contrôlé, chacun sait maintenant dans le milieu du cancer traiter la douleur, même s’il reste parfois des situations difficiles (par exemple les douleurs neurologiques peu sensibles aux morphiniques). Dans les situations résistantes à la morphine et ses dérivés d’autres médicaments sont utiles (Laroxyl, Rivotril, Neurontin etc..) et à la limite la sédation (diminuer la vigilance et endormir le patient par des anesthésiques) est possible et utilisée de façon fréquente et ne doit pas signifier euthanasie. Cependant le patient doit avoir le choix et être informé : celui-ci préfère parfois tolérer une certaine douleur plutôt que de perdre contact avec la réalité et ses proches. Quand on souffre, c’est qu’on est vivant et certains le réclament haut et fort malgré la mode ambiante.

Alors pourquoi ces campagnes depuis la fin des années 1990 pour mettre en avant les soins palliatifs et les mettre en concurrence avec le traitement du cancer par exemple ? On avait vite compris à l’époque que la morphine coûte quelques euros et la chimiothérapie des centaines. Maintenant, comme si cela ne suffisait pas de ne plus soigner les gens pour leur pathologie, mais seulement les « accompagner », la bataille de l’euthanasie commence…

Des raisons pas si nobles en faveur de l’euthanasie motivent peut-être certains de ses promoteurs. Les soins palliatifs seraient encore trop coûteux. Les hôpitaux seraient « encombrés » de patients vieux, fatigués, malades peut-être incurables (cela est vite décrété et souvent au moins partiellement faux). Les établissements hospitaliers sont en déficit. Il faut réduire les coûts, donc les hospitalisations, d’autant que les moyens ou longs séjours nécessitent beaucoup de personnel soignant et que ce sont les emplois qui coûtent cher. Alors, accélérer les fins de vie en le présentant comme un choix humain et compassionnel, n’est-ce pas une belle idée de gestionnaires qui ne veulent pas avouer ses raisons profondes à la population. Les citoyens ne le découvrent que lorsque leur proche est en cause. Et encore seulement les plus vigilants qui ne se laissent pas tromper par le discours de compassion ambiant.

La mise à mal du système de santé depuis les années 1990 avec les ARS, les SROS, les différentes réformes et plans successifs (plan cancer, plan hôpital 2003-2007, et finalement la loi Hôpital patients santé territoire de 2009 dite HPST qui achève la casse de l’hôpital et la mainmise des gestionnaires pour ériger l’hôpital-entreprise).

Quant a commencé la grande vague de médiatisation pour la diminution « nécessaire » des dépenses de santé vers les années 1995 pour soi-disant « sauver » la sécurité sociale (dont il s’agissait de fait de préparer la privatisation pour rendre à la Bourse les milliards d’euros qui y échappent encore), les fusions d’hôpitaux, les fermetures des petites maternités et des hôpitaux de proximité ainsi que la fermeture de milliers de lits de psychiatrie ont modifié radicalement le paysage du système de santé.

Le coût pour la Sécurité sociale des six derniers mois de vie

Les analyses publiées pour l’établissement du SROS en 1995 (schéma régional d’organisation sanitaire) ont rapidement montré que les dépenses de santé d’un patient pendant ses six derniers mois de vie équivalaient aux sommes qu’il avait consommées dans le reste de sa vie.

Quoi de plus simple que d’imaginer « raccourcir » ces six mois de vie par les soins palliatifs d’abord et l’arrêt des traitements coûteux de chimiothérapie au prétexte d’obstination déraisonnable puis l’euthanasie passive ou active, mais toujours discrète inavouée, innommée ou innommable. On préfère la notion d’aide, de sédation un peu poussée qui raccourcira la vie mais « pour le bien du patient ». La loi Léonetti a encadré ces pratiques en les dégageant du risque médicolégal. Cela devrait être bien suffisant vu déjà les dégâts en termes d’autorisation que se donnent les équipes médicales sur la vie et la mort des malades. L’image de Dieu personnifié n’est jamais loin du médecin et la différence bien connue entre un médecin et dieu est que Dieu ne se prend pas pour un médecin.

Effets pervers d’une loi bien équilibrée dans les textes, mais dont l’application dépasse déjà ses buts. Les équipes se réunissent et se croient légitimes pour décider de la vie du patient, de la sédation qu’il nécessite pour pallier sa douleur. De fait c’est à lui de décider, mais à personne d’autre. Et l’on connaît maintenant la grande infériorité et l’incohérence des décisions prises en collectivité [6], l’abus de faiblesse des équipes médicales sur les familles auxquelles elles font accepter la décision du staff qui passe pour motivée, objective et raisonnable. Notre vie ne tient qu’à un fil surtout en réanimation ou en oncologie. Vous avez intérêt à avoir comme famille et/ou personne de confiance des gens non influençables qui vous aiment et n’attendent pas l’héritage.

Et puis la Tarification à l’activité s’en est mêlée (célèbre T2A).

Mis en place dans les hôpitaux progressivement depuis le début du nouveau siècle, il s’avéra rapidement que seuls les « actes » payaient (pose de cathéter central, fibroscopie, biopsie, ponction, etc., interventions évidemment).. Règne et dogme du quantitatif, cette tentative a priori saine de payer les hôpitaux en fonction du travail fourni réellement eut rapidement ses effets pervers et fut détournée de ses objectifs.

Il apparut vite que toutes les activités humaines auprès du patient n’étaient pas « valorisées ». La toilette d’un malade devait se faire rapidement, plus question de passer du temps avec lui ni de bavarder, de l’écouter, le consoler, le cajoler. Fini l’infirmière autorisée à nurser son patient devenu client. Quant aux médecins vissés sur leur siège devant l’ordinateur pour récupérer les protocoles à appliquer à la maladie qu’ils devaient traiter, ils oubliaient trop souvent que cette maladie survenait chez un être humain à prendre en charge globalement.

Ainsi malgré la rentabilité exigée de plus en plus du personnel, il fallut réduire la durée des séjours « en court séjour » habituel et en soins palliatifs. Ils devinrent non rentables, pas plus qu’en long séjour ou en maison de retraite médicalisée. Il fallut « raccourcir » la durée des hospitalisations en soins palliatifs aussi et on m’expliqua clairement quand je me renseignais pour un proche qu’au-delà de douze jours le malade devait être sorti… Retour à domicile ? Parfois exceptionnellement. Sinon… Nombre d’entre eux probablement réclameraient l’euthanasie avant qu’on ne les mette franchement à la porte. Ils sauraient se tenir et s’effacer à temps. On tournerait autour d’eux et de leurs familles leur demandant de trouver un autre point de chute… Ils seraient conditionnés et surtout se sentiraient de trop, gênants, pesant sur la société et leurs proches… Même dans les services d’oncologie pédiatrique, des adolescents en soins entendent « qu’ils creusent le trou de la sécu ». Mais personne n’avoue jamais avoir prononcé une parole pareille…

Alors que signifie une demande d’euthanasie si tant est qu’elle existe, sinon une sensation d’être un poids pour la société ou/et sa famille. Une société digne de ce nom traite mieux ses malades, ses parents, ses enfants, et ne les pousse pas au suicide, au nom de la compassion et de la dignité.

Un exemple : en service d’oncologie de court séjour à l’hôpital public une journée d’hospitalisation avec comme diagnostic principal ; soins palliatifs (Z515) rapporte à l’hôpital environ 1400 euros payés par la sécurité sociale ; deux jours environ 2400, de quatre à douze jours de l’ordre de 4400 euros. Toute journée supplémentaire ne sera payée que 200 euros. Il vaudra mieux « libérer le lit » rapidement et y traiter un patient, ou plutôt une pathologie, plus rentable comme une septicémie chez un malade en aplasie (trop peu de globules blancs) où 5 jours rapporteront plus de dix mille euros à l’hôpital. Et étant donné la pression des gestionnaires médecins et administratifs qui nous donnent des objectifs financiers d’activité à remplir… le sort du malheureux malade est oublié. Parfois les soignants essaient de prolonger le séjour possible en prescrivant quelques actes qui le rentabiliseront et permettront de s’autoriser à le garder un peu, telle une pose de cathéter central chez un sujet cachectique par ailleurs en arrêt de soins. Quid de sa souffrance au bloc, dans les couloirs sur le brancard ? Celui-là va vite demander qu’on en finisse. On n’est pas à une contradiction près dans les services. On fait comme on peut. Pour la défense des soignants au centre de ce cercle infernal, soulignons que les distorsions psychiques liées aux injonctions paradoxales deviennent permanentes et causent de grandes souffrances qui mènent souvent au suicide des médecins et cadres, à de nombreuses dépressions chez les soignants et à l’abandon de la profession.

En résumé comme l’écrivait le professeur Lucien Israël dans « la Vie jusqu’au bout », la demande d’euthanasie est rare, exceptionnelle même chez les patients adultes et âgés gravement malades, mais correctement pris en charge. Elle correspond le plus souvent à une dépression profonde en rapport avec la perte de l’estime de soi liée à la façon dont vous êtes traité. Des couches à l’arrivée du malade avant même de savoir s’il est continent, économiseront du temps soignant, mais transformeront la personne âgée valide en incontinent, plus ou moins confus (les somnifères de la nuit sans modération) en quelques jours. La honte effacera l’envie de vivre.

Puisque notre société marchande rêve d’indicateurs, elle pourrait prendre comme indice de la maltraitance dans nos hôpitaux le nombre de demandes véritables d’euthanasie.

Au-delà du caractère transgressif du tabou de tuer qui contribuerait à déstabiliser un peu plus une société psychologiquement fragile et à la faire basculer subrepticement dans la barbarie, il faut que les futurs patients (nous tous) se rendent compte des dangers de donner quitus à tous ceux qui pratiqueraient l’euthanasie à la demande. Vous connaissez tous l’état de faiblesse d’un malade couché dans son lit face au médecin debout, fier et droit dans ses bottes pleines de certitudes. La fragilité de leurs familles effondrées par la maladie (pour ceux qui aiment le condamné) désireuses de faire cesser les souffrances de leur proche et encore plus les leurs ou, dans le cas contraire, pressés d’être débarrassés du fardeau et éventuellement de récupérer l’héritage, complètent le tableau. Pas d’angélisme, pas de garde-fou possible. Et ne parlez pas de procédures. Aucun papier ne peut protéger les malades même pas d’eux-mêmes, car les intentions affichées quelques mois ou semaines plutôt étaient des paroles de bien portants et en tous cas pas de mourants. Au seuil de la mort, seule la famille, parfois de bonne foi, exige que l’on respecte les « directives anticipées ». La plupart des mourants souhaiteraient qu’elles soient perdues. Certes on m’opposera tel ou tel rare cas, je ne le nie pas. Chaque patient, chaque situation est différente, mais dans les cas exceptionnels, le dialogue singulier médecin — patient permet de résoudre le dilemme dans le secret du cabinet et en assumant ses responsabilités comme cela a toujours été le cas.

Les situations impossibles et insupportables médiatisées largement sont des constructions politiques ou sociétales utilisant des personnes en souffrance. Leur cas particulier aurait dû et pu être résolu par leurs médecins personnels comme d’autres le sont et le furent dans le silence médiatique depuis toujours. Rien à voir avec une loi qui banaliserait l’acte de tuer et qui favoriserait toutes les dérives médicales familiales, politiques.

L’euthanasie peut être un business aussi comme l’est déjà en Suisse l’assistance au suicide dont le coût est d’au moins 10 000 euros pour le séjour fatal de trois jours. Avant même qu’elle ne soit légalisée, trop de patients meurent sédatés, donc inconscients alors que ces moments riches sont souvent l’occasion de relations irremplaçables entre parents, enfants, d’échanges forts de confidences, de révélations de secrets de famille quand ils ne sont pas volés par l’Hypnovel. De quels droits les en priver, sans leur consentement ? Combien de parents révoltés d’avoir trouvé leur enfant sédaté qui ne s’est jamais réveillé à leur retour auprès d’eux après une absence de quelques minutes à leur chevet. Ils se sentent privés à jamais d’un dernier échange avec leur malade. De quel droit ?

Je ne prétends pas détenir la vérité sur ce difficile sujet, car il n’en existe pas une seule ; chaque malade est unique, chaque maladie est différente, chaque environnement familial aussi, comme chaque demande d’euthanasie. Ma contribution se borne à faire remarquer plusieurs choses à verser au débat indispensable avant toute législation dangereuse en soi. Les soins coûtent chers et les politiques ont intérêt objectif à raccourcir les hospitalisations et diminuer la masse de personnes qui nécessiteront des soins à domicile prolongés. Le vieillissement de la population pose le problème en termes clairs : augmentation de la dépendance et de son coût. Faut-il le résoudre par l’absurde (supprimer les dépenses en supprimant les malades) ?

L’euthanasie a été établie comme loi par Hitler dans le cadre de la suppression des handicapés et de l’eugénisme régnant (Action T4)4. Cet antécédent doit nous faire réfléchir.

La loi Léonetti a déjà abouti malgré elle à la multiplication des euthanasies selon l’Institut national d’études démographiques (Ined), pratiquées en France sans l’accord ni la volonté du patient comme le cite le rapport Sicard de 20125, faut-il aller plus loin ? Le minimum serait d’éviter d’utiliser ce sujet à des fins politiciennes. Il est trop facile de manipuler les foules à l’évocation de la mort.

Je citerai, en conseillant sa lecture, le rapport sur la fin de vie de 20116. Il présente une série d’observations à inscrire dans la durée. Les analyses qui y figurent devront être lues dans leur évolution, année après année, pour mieux réaliser l’ampleur de l’évolution professionnelle, culturelle et sociétale autour de ces questions essentielles pour notre démocratie. Il est en effet indispensable pour une démocratie, et ceci particulièrement dans une période de grandes contraintes économiques, de savoir réaliser un « arrêt sur image » pour réfléchir collectivement sur la valeur et le sens de la vie humaine (la vie individuelle, mais aussi la vie collective) de manière à toujours garantir le respect des personnes les plus vulnérables. Arrêt sur image indispensable. »

« Les partisans de l’euthanasie se gargarisent de mots dont ils dévoient la signification »

Et réfléchissons aussi à la position de M Houellebecq en 2021 lors d’une xième discussion au parlement pour étendre la loi Leonetti.7

Michel Houellebecq fait clairement partie des opposants à ce projet de loi. « Personne n’a envie de mourir », expose-t-il dans une lettre publiée par Le Figaro. « Personne n’a envie de souffrir », non plus. Mais, surtout , « on peut éliminer la souffrance physique », ce qui, selon l’écrivain, vient clore le débat. Sur ce point, Michel Houellebecq justifie : « Début du XIXe siècle : découverte de la morphine ; un grand nombre de molécules apparentées sont apparues depuis lors. Fin du XIXe siècle : redécouverte de l’hypnose ; demeure peu utilisée en France. »

« La supposée méconnaissance de ces sujets par le grand public (qui plébiscite le droit à l’euthanasie, selon les dernières études) provoque, considère-t-il, “une polarisation caricaturale du débat, réduit à la question Préférez-vous qu’on vous aide à mourir ou passer le restant de vos jours dans des souffrances épouvantables ?” Souffrances surmontables, donc, selon lui, par la morphine et l’hypnose, notamment. Soulignant l’utilisation récurrente des termes de “compassion” et de “dignité” par les défenseurs du projet, Houellebecq écrit : “Les partisans de l’euthanasie se gargarisent de mots dont ils dévoient la signification à un point tel qu’ils ne devraient même plus avoir le droit de les prononcer.”

Un pays qui légalise l’euthanasie “perd, à mes yeux, tout droit au respect” (…) »

Alors que dire aujourd’hui dans une société de plus en plus totalitaire et de moins en moins humanisée ? Feront-ils leurs directives anticipées dans une télécabine de supermarché ?

Mon souci n’est pas le principe pour les situations de souffrances insurmontables et où les vrais médecins dans le secret du cabinet ont toujours pu ou su faire le nécessaire (le médecin de campagne était plus pragmatique…).

 Le sujet est celui d’une loi qui va permettre tous les excès au nom de la liberté qui ne sera que celle des accompagnants et pire des docteurs qui comme avec le Rivotril n’auront aucun scrupule pour le grand-père riche qui fatigue ni pour le handicapé jeune dans sa chaise roulante qui encombre un lit…

De toute façon c’était déjà la pratique trop courante dans beaucoup d’hôpitaux et ce ne pourra que l’aggraver.

Nous l’avons vécu, vu en gériatrie dès les années 80, en oncologie pédiatrique et adulte, de plus en plus depuis les années 2000 avec des “protocoles” bien rodés au lit du malade en HAD bien avant le covid.

 Je l’ai tant vu faire par les pédiatres “modernes” qui depuis 2002 pratiquaient des euthanasies chez des enfants déclarés incurables par eux et pas forcément en réalité (on en a remis en forme !! [voir mon livre de 2000 “neuf petits lits au fond du couloir”]) et sans évidemment l’avis du patient. Des parents furent intarissables sur le sujet 8 après avoir vécu les propositions des pédiatres “d’aider leur enfant”.

 J’avais ouvert le livre par l’histoire d’une jeune fille adressée en chirurgie et finalement euthanasiée par les anesthésistes en accord avec la mère sous prétexte que la vie à venir ne serait pas sympathique [problème d’une paralysie des membres chez une adolescente de 17 ans]. Doit-on tuer tous les paraplégiques sans leur avis ? La Maman l’aimait, et ne s’en est jamais remise.

Le premier danger des soins palliatifs est l’abandon du traitement curatif possible, mais méconnu ou méprisé

Un petit gars de dix ans avec une seule métastase mal située sur la carène ; l’intubation permet à la radio de thorax de redevenir normale, mais le chirurgien appelé par le réanimateur dit que cette localisation est difficile et qu’il ne pourra pas enlever la tumeur. Le réanimateur débranche la machine, l’enfant décède ni son père ni moi-même en réunion dans un autre hôpital [avant le temps du portable] n’auront eu notre mot à dire ni pu lui dire au revoir…

Dans des circonstances comparables, un chirurgien thoracique a opéré une jeune fille en imposant une pneumonectomie sur poumon normal : elle a vécu 25 ans de plus et mis au monde un garçon. Elle est décédée d’une infection pulmonaire…

La notion d’incurabilité est très incertaine…

Combien de patients déclarés inopérables sans avoir vu de chirurgien ? Il faut le chercher… Je dis souvent qu’il y a très peu de malades inopérables et seulement des malades pour lesquels on n’a pas trouvé le chirurgien adéquat pour cette localisation, pour ce type d’intervention… Il faut le chercher parfois à l’étranger…

Pas de chirurgie possible => palliatif
Chirurgie réalisable => curatif

La nuance est capitale et ne dépend que de la vision d’hommes plus ou moins compétents et tenaces. Bien d’autres exemples alimenteraient des volumes entiers.

ALORS POUR L’EUTHANASIE LÉGALISÉE PAR UNE LOI

 Si vous trouvez une solution compatible avec ce dilemme, véritable liberté versus abus de pouvoir, je suis preneuse… attention aux dérives surtout en ce monde pré totalitaire

 J’ai été formée par le PR Leon Schwartzenberg à Villejuif, dans les années 80, qui défendait et pratiquait l’euthanasie à la demande éclairée de ses patients qu’il connaissait très bien. Il disait qu’il se mettait en avant pour protéger les docteurs ou familles qui seraient poursuivies si elles avaient agi en conscience, mais qu’il ne fallait en aucun cas légiférer ! J’ai aussi eu le privilège d’être formée par Lucien Israël, le premier cancérologue à se battre chez les patients confrontés aux cancers du poumon… Lui aussi était très vigilant sur ce qu’une loi générerait.

 Donnez-nous la solution… Quant aux “directives anticipées, ‘ce ne sont que des protections juridiques pour l’hôpital ou le médecin, et des discours de bien portants dont, je vous l’assure, beaucoup ne les reconnaissent plus quand l’heure arrive… Prudence !

Écoutez pour conclure le discret professeur d’éthique médicale à la faculté parisienne, le 13 SEPT 2022 :

Emmanuel Hirsch : « L’acte d’euthanasie est un meurtre »

Le professeur d’éthique médicale université, Paris-Saclay, Emmanuel Hirsch, dans l’émission Morandini Live : « Il ne faut pas légiférer ou banaliser l’acte d’euthanasie qui est un meurtre ».

Tout est dit !

Dissimuler le meurtre sous des arguments médicaux9

« Faut-il désormais légaliser l’euthanasie — l’acte de mort sous forme d’injection létale exécuté par un médecin — et estimer que nous serons alors parvenus au terme d’un parcours législatif ? Notre confrontation personnelle à la mort sera-t-elle enfin apaisée et digne des valeurs de notre démocratie ? Pourrons-nous affirmer que nous aurons instauré une méthode du ‘bien mourir’ là où les conditions du ‘mal mourir’ hantaient notre conscience collective, sans avoir la lucidité de reconnaître que, face à la maladie grave ou à un handicap qui altère l’autonomie, c’est le sentiment de ‘mort sociale’ qui incite bien souvent à préférer anticiper la mort plutôt qu’à poursuivre une vie ou une survie indigne d’être vécue ? »


1 Décret Rivotril : compassion, euthanasie ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ? — AgoraVox le média citoyen

2 Les membres sont désignés par le président de la République de même que son président. ils ne représentent donc pas la profession médicale soumise au dilemme de l’euthanasie.

3 Publication sur Économie Matin — 2013 :  | Publication sur le site du média : 
L’euthanasie, ou la réduction radicale des dépenses de santé Nicole Delépine

4 Nazisme : Aktion T4, la mise à mort des « inutiles »
https://www.geo.fr/voyage/nazisme-aktion-t4-la-mise-a-mort-des-inutiles-161366

5 Rapport Sicard — Penser solidairement la fin de vie
https://ethique.unistra.fr/master-ethique/ressources-documentaires/ressources-en-ligne/rapport-sicard-penser-solidairement-la-fin-de-vie/

6 Observatoire national de la fin de vie : rapport 2011 — Fin de vie : un premier état des lieux
https://www.vie-publique.fr/rapport/32311-observatoire-national-de-la-fin-de-vie-rapport-2011-fin-de-vie-un

7 Le plaidoyer de Michel Houellebecq contre l’euthanasie — Le Point

8 Nicole Delepine — Soins palliatifs et oncopédiatrie

9 Fin de vie : « Légiférer sur l’euthanasie n’est pas une urgence politique » (lemonde.fr)




Surmortalité post boosters — pourquoi ce silence médiatique ? STOPPONS L’INJECTION EXPÉRIMENTALE !

[Surmortalité post boosters1]

Par Nicole Delépine

Attention à la rentrée et à la volonté aveugle de nos dirigeants de poursuivre les injections toxiques et inefficaces, ne serait-ce que pour suivre aveuglément les ordres de la Commission européenne, non élue et non compétente en médecine qui veut écouler ses énormes stocks de pseudo vaccins et poursuivre le programme de dépopulation qui n’est plus caché par personne.

Le ministre de la santé « nouveau » aurait dit que pour résoudre le problème des urgences, il suffirait de « vacciner » plus de monde. A-t-on bien entendu ? Et pendant ce temps-là les citoyens des pays injectés continuent à compter leurs malades (de maux inexpliqués…) et leurs morts qui évidemment n’ont aucun rapport avec l’injection… Combien d’enterrements inattendus… une nouvelle pathologie inconnue ? Bah ! voyons, comme disaient certains.

Dans 29 pays, il est apparu une corrélation entre les injections de rappel anti covid et un excès de mortalité globale (du premier semestre 2022) par rapport aux années antérieures. Ce doit être le mauvais œil ou le mauvais alignement des planètes. Les gens vont-ils ouvrir les yeux, enfin ?

Prouvé : les rappels causent un excès de morts

Notre croque-mort national tenait chaque soir un décompte du nombre de décès attribués covid. Alors, pourquoi les morts de l’injection expérimentale appelée à tort « vaccins » sont-ils invisibles sur nos médias ?

Quelque chose de bizarre se passe et on ne le trouve nulle part dans les nouvelles ! Regardez un JT de 20 h : rien sur rien…

Beaucoup plus de personnes meurent maintenant que durant les années précédant la vaccination sans raison évidente et cette surmortalité est largement ignorée par les médias. Où sont les trackers de la télévision qui gardent une trace des décès quotidiens en excès ? Et ce qui est étrange, c’est que cela ne se produit pas seulement dans un pays, cela se produit en même temps dans de nombreux pays qui ont beaucoup vaccinés. Dans ces pays les gens meurent plus que la normale et personne ne semble savoir pourquoi ni vouloir en rechercher les causes.

Vous pourriez dire que c’est à cause de covid que nous assistons à tous ces décès en excès… Mais non. Trop de gens meurent et ce n’est pas à cause de covid.2

Quelque chose d’autre en est la cause ! Nous avons été soumis à de nombreuses restrictions et fermetures au cours des dernières années soi-disant pour éviter des décès. Maintenant, trop de gens meurent et personne ne semble se poser de questions ou même désirer d’en parler. Silence, on tourne et on enterre. Et bien non, ça ne tourne pas rond du tout… ce sont les vrais croque-morts qui alertent. Ils n’ont jamais vu cela.

Cet été, en Grande-Bretagne, il y a eu 10 355 décès toutes causes confondues en (Angleterre/Pays de Galles) en une semaine (Semaine 32) ! Ce sont presque 1000 de plus que la normale et en seulement une semaine ! Par rapport à la moyenne sur 5 ans, il s’agit d’une augmentation statistiquement significative (=qui ne peut pas être attribuée au hasard) de 10,1 %.

En Norvège, il y a également eu une augmentation massive du taux de mortalité, avec 18% de décès supplémentaires au premier trimestre 2022 par rapport à la même période en 2021, et aussi en Allemagne, en Suisse, etc.

Si nous examinons la surmortalité chez les enfants âgés de 0 à 14 ans à travers l’Europe, il y a eu une augmentation HORRIFIANTE de 1101% de la surmortalité jusqu’à présent cette année par rapport à la même période en 2021. POURQUOI ?

L’analyse statistique montre qu’il existe en 2022 une CORRÉLATION EXTRÊMEMENT FORTE entre les rappels des pseudo vaccins et les décès. Cette surmortalité globale constitue un signal d’alarme et un élément de réflexion qui doivent être analysés plus finement. Nous devons chercher plus loin pour mieux comprendre la causalité. Et en attendant, protégez vos proches, vos amis.

« Quel est le mécanisme sous-jacent entre la surmortalité en 2022 et les injections de rappel ? Pourrait-il s’agir de décès immédiatement après les vaccinations et les injections de rappel ? Se pourrait-il que les boosters n’offrent plus de “protection contre la mort”, mais augmentent plutôt les chances de mourir de Covid ? Pourrait-il s’agir de taux de réinfections plus élevés chez les personnes boostées ? » 

Les chiffres officiels montrent qu’il existe une association statistiquement significative très forte entre la surmortalité en 2022 et l’utilisation des rappels COVID.

RELATION PROUVÉE : Boosters COVID et surmortalité en 2022 dans l’article suivant :

https://igorchudov.substack.com/p/proven-relationship-covid-boosters

Les données de M. Plothe sont choquantes. Il partage des diapositives de ses graphiques sur un large éventail d’effets des « vaccins », surmortalité, mais aussi baisses de fertilité.

EN 2022 UNE SURMORTALITÉ TOUTES CAUSES CONFONDUES EST OBSERVÉE DANS TOUS LES PAYS APÔTRES DE LA PSEUDO VACCINATION ANTI COVID

Cette surmortalité n’est pas observée dans les pays qui ont échappé aux injections forcées et multiples : ni en Afrique, ni à Madagascar, ni en Inde, pays peu vaccinés.

La cinétique de la surmortalité suit celle des rappels de vaccination. De tels faits avérés justifient des recherches de causalité urgentes, mais le silence des médias permet aux gouvernements d’éluder le problème. Combien faudra-t-il de morts supplémentaires pour qu’enfin les médias et les citoyens se saisissent enfin du problème ?

Il faut cesser ces injections inutiles au moins pendant plusieurs années afin d’en faire un bilan objectif, mais ce n’est manifestement pas le souci des dirigeants occidentaux.3


1 https://igorchudov.substack.com/p/proven-relationship-covid-boosters

2 Nos autorités le crieraient bien fort pour inciter encore à plus de piqûres et de rappel encore et encore…

3 Au contraire, le plan des globalistes du World Economic Forum de Klaus Schwab est en train de se réaliser sous nos yeux : faire baisser la population mondiale, comme ne cesse de le réclamer Bill Gates et compagnie depuis plus de 2 décennies.




« Vacciner » un enfant contre le covid nécessite l’accord des deux parents

Par Nicole Delépine

Merci encore aux députés et sénateurs qui ont mis fin à la scandaleuse loi d’urgence sanitaire !

La suppression de cette négation de notre démocratie a entraîné la suppression de nombreuses mesures dérogatoires du droit commun et en particulier celle qui permettait à un parent de faire « vacciner » son enfant contre l’avis de l’autre, ainsi que le rappelle la Direction Générale de la Santé :

« DGS-Urgent n° 2022-73 : Évolution du formulaire d’autorisation parentale nécessaire à la vaccination contre la Covid-19 de toutes les personnes mineures

À la suite de la promulgation de la loi du 30 juillet 2022 mettant fin aux régimes d’exception créés pour lutter contre l’épidémie liée à la Covid-19, l’autorisation des deux parents est à nouveau nécessaire pour la vaccination de toutes les personnes mineures, en vertu du principe posé aux articles 371-1 et 372 du code civil, sauf impossibilité pour l’un des deux parents de recueillir l’accord de l’autre parent. »

Ainsi si un seul des deux parents n’est pas dupe des mensonges d’état prétendant que la pseudo vaccination anti-covid serait utile et sans danger, il peut à nouveau protéger son enfant.

Rappelons en effet que :

Les enfants ne risquent rien du covid (3 fois moins que de la grippe saisonnière).1 2 3

Les enfants ne constituent pas un vecteur de transmission.4 5 6 7 8 9 10 11 12

Les pseudo vaccins actuels n’empêchent pas d’attraper la covid :

Les pseudo vaccins n’évitent pas les transmissions.

Les pseudo vaccins n’évitent pas les formes graves :

Les pseudo vaccins exposent les enfants qui les reçoivent à de nombreuses complications dont des myocardites.

Les enfants n’ont rien à gagner des pseudo vaccins, leurs proches non plus.

Les pseudo vaccins anti-covid n’auraient jamais dû être autorisés chez l’enfant car leur balance avantage/risque est très fortement défavorable.

Protégez votre enfant, refusez les pseudo vaccins anti-covid !


1 Peter Brodin Why is COVID-19 so mild in children? Editorial Acta Paediatrica 24 March 2020

2 LiangSua the different clinical characteristics of corona virus disease cases between children and their families in China — the character of children with COVID-19 Emerging Microbes & Infections 2020, VOL. 9

3 Ya-Nan Han et al A Comparative-Descriptive Analysis of Clinical Characteristics in 2019-Coronavirus-infected Children and Adults Pediatrics April 2020

4 Hong H, Wang Y, Chung H-T, Chen C-J, Clinical characteristics of novel coronavirus disease 2019 (COVID-19) in newborns, infants and children, Pediatrics and Neonatology,
https://doi.org/10.1016/j.pedneo.2020.03.001

5 Wu Z, McGoogan JM. Characteristics of and important lessons from the coronavirus disease 2019 (COVID-19) outbreak in China: summary of a report of 72 314 cases from the Chinese Center for Disease Control and Prevention JAMA 2020; published online Feb 24. DOI:10.1001/jama.2020.2648

6 Shu Yang Early estimation of the case fatality rate of COVID-19 in mainland China: a data-driven analysis Annals of Translational Medicine, Vol 8, No 4 February 2020 Page 5 of 6

7 Intervention Team CDC COVID-19. Coronavirus Disease 2019 in Children—US February 12th April 2. MMWR Morb Mortal Wkly Rep. 2020 10 avril ; 69 (14) : 422-426 doi: 10.15585 / mmwr.mm6914e4.

8 Jonas F Ludvigsson macroanalysis of Covid 19 in children. Acta Paediatr. 2020 23 mars.

9 Benjamin Lee and William V. Raszka COVID-19 Transmission and Children: The Child Is Not to Blame Pediatrics August 2020, 146 (2) e2020004879; DOI :
https://doi.org/10.1542/peds.2020-004879

10 http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-grands-parents-peuvent-aller-chercher-leurs-petits-enfants-lecole-et-les

11 [5] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020 ;25 :2000903

12 Posfay-Barbe KM, Wagner N, Gauthey M, et al. COVID-19 in Children and the Dynamics of Infection in Families. Pediatrics. 2020;146(2):
https://pediatrics.aappublications.org/content/146/2/e20201576




Suicide des professionnels de santé : continuerons-nous a faire la sourde oreille ?

Par Nicole Delépine

Suicide des professionnels de santé : face aux chiffres « démesurés », un film choc de l’association SPS pour que « ça bouge vraiment » | Le Quotidien du Médecin (lequotidiendumedecin.fr) sept 2022

Mes soignants sont tracassés et fracassés. Par une sélection ubuesque en 1re année, par un Externat où ils font plus de travail subalterne que de la vraie formation, par un internat trop tardif et pas assez encadré. Épuisés, le suicide ou l’abandon de ces métiers en sont la conséquence. « Les Blouses Blanches sont en colère noire »(([1] Lire le livre du chirurgien B Kron « les blouses blanches sont en colère noire », éditions Max Milo : « La Covid a mis au grand jour la ruine de notre système de santé. De numéro 1 mondial en 1970, il est tombé au 24e rang des pays de l’OCDE ! Pour la première fois depuis la Guerre, l’espérance de vie recule en France. Dans les hôpitaux, 30 000 patients décèdent d’accidents médicaux chaque année. Dans cet essai, Bernard Kron analyse les causes de cet échec. Il décortique les principales réformes (en particulier la diminution drastique du nombre de médecins et d’infirmières) qui ont mené à cette catastrophe. Pour sortir de cette impasse, l’auteur milite pour redonner le pouvoir aux médecins et plus largement aux soignants, qui sont en colère contre leur administration et les agences de santé ».))

Tel est le commentaire d’un médecin sur l’article du quotidien du médecin, journal qui semble s’étonner qu’après plus de trente ans de destruction de la vraie médecine et de la perte de sens de nos métiers au bénéfice du management bureaucratique à visée financière, les médecins et soignants disparaissent du paysage, par démission, par changement de voie ou malheureusement trop souvent par le suicide. (Bernard k • Médecin ou Interne • Le 30/08/2022 à 19:06)

Mais ce sujet brûlant n’est pas nouveau et est occulté depuis plus d’une trentaine d’années comme celui des agriculteurs et des policiers. Nous avions en 2013 appelé l’attention des citoyens(([2] https://atlantico.fr/article/decryptage/suicide-des-medecins–silence-mediatique-sur-un-massacre-programme-du-systeme-de-sante-nicole-delepine août 2013)) trop indifférents au sort réel du système de santé malgré de nombreux ouvrages d’alerte dès les années 2000 comme celui de B Debré et P Even dans « Avertissement aux malades, aux médecins et aux élus » en novembre 2002(([3] Éditions le Cherche Midi « Aux malades, ce livre raconte les risques et les maladies d’aujourd’hui et la vie des médecins et des infirmières qui les soignent. C’est alors un message de vérité et d’espoir. Aux médecins, il tente de faire comprendre la confusion incroyable d’un système qui les paralyse et pourquoi il ne fonctionne pas comme il devrait. C’est ici une invitation à la mobilisation et l’action. Aux élus, il dénonce la politique centralisée, menée depuis 25 ans, purement administrative et comptable, à courte vue, sans lucidité ni courage, en mêlant gaspillages insensés et restrictions injustifiées.

À tous, il rappelle que la médecine doit être sobre, humaine, fondée sur le cœur, le savoir, l’expérience et la raison et centrée sur chaque malade particulier et non pas une démarche technologique d’ingénieurs centrée sur les maladies en général ».)) toujours d’actualité.

Dans l’article d’Atlantico de 2013, nous insistions sur les raisons de la chute vertigineuse de notre système de santé dans un silence médiatique complet. Quelques extraits pour prouver que le sujet n’est pas nouveau et occulté par les médias et les citoyens sauf le jour où ils deviennent malades (ou un de leurs proches) et tombent des nues.

MISE À MORT : suicide des médecins : silence médiatique sur un massacre programmé du système de santé

« Alors que le système hospitalier français, et plus largement le système de la santé, connaît une réforme profonde, le nombre de suicides parmi les professionnels du secteur médical est en pleine explosion. La faute à un harcèlement bureaucratique et à un management d’entreprise qui a déjà fait des ravages, notamment chez France Télécom. »

Le harcèlement quotidien des personnels de santé s’est amplifié considérablement depuis le covid

Chaque jour, comme la suspension des soignants refusant l’injection toxique et inutile l’a démontré et le maintien scandaleux de cette obligation alors que la multiplication mondiale des effets secondaires (dont trop de décès) et l’inefficacité complète sur la transmission du virus a été démontrée et avouée même par le Pr Delfraissy qui dirigeait le conseil scientifique. Cette exclusion des soignants vaccino prudents n’a qu’un but : les empêcher de parler !

« Alertes répétées et à chaque fois silence ! Et le harcèlement des autorités contre le monde médical continue avec chaque jour son flot de mesures vexatoires, diffamatoires et dégradantes pour désespérer un peu plus l’ensemble de la profession.

La gravité du harcèlement subi par les médecins libéraux n’a d’égal que le harcèlement des personnels hospitaliers par les restructurations conçues en dehors de tout consensus et sans réflexions a priori sur conséquences prévisibles avec les personnels concernés et compétents. Les réunions dites de “concertation” ne sont que des simulacres de dialogue et ne consistent qu’à annoncer au personnel désespéré les nouvelles suppressions de postes, de lits et de service sans possibilité de refus ».

La médecine policière

« La bureaucratie représentée par les Agences régionales de santé (ARS) toutes puissantes décide de la vie ou de la mort de tel service ou institution via la délivrance ou non de l’accréditation, soit de l’autorisation de traiter telle ou telle pathologie après des enquêtes, audits et interrogatoires policiers sur vos pratiques, votre obéissance aux recommandations venues d’en haut, les travaux coûteux effectués pour correspondre de nouvelles normes à chaque fois modifiées, bref, du harcèlement administratif et autocrate.

Moralité : les suicides et tentatives se multiplient, s’ajoutant aux arrêts de travail pour dépression ou équivalents aggravant la déshumanisation, conséquence de la froideur dans laquelle les personnels victimes de burn-out (épuisement professionnel : on se brûle, on se consume littéralement) se réfugient avant la décompensation finale du suicide.

Le nombre de suicides des médecins trois fois supérieur à celui de la population générale a été dénoncé de nombreuses fois depuis plusieurs années. »

Le management à la France Télécom

En 2013, le désastre des restructurations hospitalières s’aggrave, les suicides se multiplient et toujours dans le même silence médiatique. Le patron de la pneumologie de Nevers s’est suicidé(([4] Le quotidien du médecin : « Suicide d’un pneumologue à l’hôpital de Nevers : l’Ordre dénonce le silence des tutelles », 15/05/2013)) le 23 avril 2013, et même le Conseil départemental de l’Ordre des médecins de la Nièvre s’est indigné « du silence des autorités locales, régionales, voire nationales, et des médias locaux ». Le président, le Dr Badoux, insiste dans un courrier d’alerte adressé à Marisol Touraine, au préfet, à l’ARS de Bourgogne et aux instances ordinales. Quelle fut leur réponse à part le bruit assourdissant du silence ? Si elle existe, elle n’a pas inondé les ondes. Le Dr Badoux a évoqué ce médecin « pilier de la pneumologie », « apprécié de toutes et tous pour sa technicité et sa gentillesse ». L’Ordre local « choqué » s’interroge : « Pourquoi une telle indifférence ? La vie des uns et des autres n’a-t-elle pas la même valeur ? Le suicide d’un médecin aurait-il moins d’importance que celui d’un employé de grandes entreprises nationales comme France Télécom ou Renault ? Ce chef de service est revenu à l’hôpital pour mettre sa blouse en cette matinée tragique avant de se taillader les veines et se sectionner la carotide. Qu’on ne nous dise pas qu’il n’y a aucun lien avec le travail quotidien. »

McKinsey rôde, agit, coupe, casse et récolte l’argent de nos impôts

Déjà en 2013 on découvre le rôle des agences de consulting qui deviendront tristement célèbres avec le scandale McKinsey et le covid, mais qui restent toutes puissantes, semble-t-il.

« La même agence de consulting chargée de restructurer FranceTélécom et EDF avec les conséquences que tout le monde connaît… s’occupe depuis les dernières années de restructurer la santé publique ».

Et l’épidémie chez les médecins se double de celles des paramédicaux chez lesquels les suicides devraient aussi faire la une du 20 heures. Mais, surprise, ils sont également ignorés comme ceux des agriculteurs pendus dans leurs granges victimes de la politique agricole commune (PAC).

Dans les six premiers mois de l’année en cours, l’APHP (Assistance publique hôpitaux de Paris), cette célèbre et fière institution d’Île-de-France, a égalé le nombre de suicides et tentatives de l’année 2012 :

« Depuis 2010, avec une accélération en 2012, nous totalisons le triste chiffre de plus de trente suicides ou tentatives de suicide*, toutes catégories confondues, avec sur une période de 5 mois un nombre équivalent à celui (déjà inacceptable) d’une année entière ! »(([5] Communiqué de presse USAP CGT))

« Je ne veux plus retourner à Robert Debré. Travail inhumain. Plus la force ». Voilà les quelques mots laissés par Françoise, auxiliaire de puériculture le 22 décembre dernier, avant de mettre fin à ses jours. Depuis, près d’une dizaine d’autres membres du personnel de l’Assistance publique ont imité son geste. Rien que pour 2013, ils sont 9, dont deux ont tenté de se suicider directement sur leur lieu de travail. Le 25 mai 2013, une salariée d’Henri Mondor, âgée de 42 ans, a décidé d’en finir.(([6] L’insupportable souffrance au travail : ça suffit !!!
Lundi 25 mai 2013 au soir, une de nos collègues d’Henri Mondor, proche de la CGT, jeune femme de 42 ans a choisi de se suicider.(…) L’USAP CGT par courrier dès décembre 2012 avait déjà alerté.))

L’USAP CGT avait interpellé la ministre en décembre 2012. À la date du communiqué le 29 mai 2013, « aucune réponse de la ministre, aucune mesure concrète nouvelle à l’APHP, bien que la Directrice Générale nous ait répondu favorablement.

De plus les médecins du travail sont de moins en moins nombreux ».

Est-ce que la mise en place d’une cellule de crise et de soutien psychologique peut effacer les harcèlements quotidiens auxquels sont soumis les personnels ? Ne faut-il pas reconsidérer, comme ce fut fait finalement à France Télécom, le management choisi dans les hôpitaux et la politique de santé actuelle ? Comme le dit si bien ce communiqué : « L’hôpital est devenu une usine de production de soins avec une gestion managériale d’entreprise à la clé. Nous n’avons plus un ministre de la Santé, mais un ministre à l’économie de la santé ! » et des intérêts de l’industrie pharmaceutique aurait-il pu ajouter.

C’est le but purement financier de la politique sanitaire que nos concitoyens ne veulent pas ou ne peuvent pas encore reconnaître. Comment s’avouer que son gouvernement ne travaille pas pour le peuple et seulement pour le peuple et qu’il néglige totalement notre sécurité sanitaire ? Comment comprendre quelques années que les médecins complices de l’injection génique toxique et inutile collaborent au scénario tragique du Great Reset et non plus à l’amélioration de votre santé ? C’est tout un travail de prise de conscience de ce qu’est le totalitarisme qui s’insinue insidieusement dans notre société occidentale malade qu’il faut développer grâce à l’aide de philosophes, sociologues, médecins, scientifiques qui décortiquent ce que nous vivons. Car mieux on comprend, mieux on se bat.(([7] Lire « le débat interdit » d’Ariane Bilheran et Vincent Pavan, éditions Trédaniel : « un mathématicien et une psychologue — mettent en lumière le traitement de la langue et de la logique, mis en œuvre par les sphères politique et médiatique depuis mars 2020 en France.Forts de leurs connaissances spécifiques, ils étudient le fonctionnement d’une information et d’une communication détournées. En s’appuyant sur des arguments sourcés et chiffrés, ils mettent en lumière la déconstruction des “vérités” scientifiques avancées par le gouvernement pour justifier ses actions politiques. Ils proposent une analyse détaillée de la “nouvelle langue”, de la “nouvelle normalité” et des méthodes de contrainte psychique utilisées sur la population française ».))(([8] Lire aussi le blog de Jean Dominique Michel Anthropo-logiques (tdg.ch) et les nombreux articles qu’il écrit et/ou partage.)) et mieux on se porte

Les médecins infirmiers, ou aides-soignants, sont dans le même bateau ivre et victimes des mêmes souffrances, liés aux dysfonctionnements « organisés » dans le but de justifier restructurations de services, fusions d’hôpitaux, suppressions d’emplois utiles avec au passage casse des équipes soudées qui permettaient la joie de vivre malgré la maladie.

Pendant que prolifère la bureaucratie hospitalière, les effectifs soignants fondent au lit du patient conduisant l’encadrement à sacrifier leur quotidien au nom du service public. Est — ce que changer les plannings d’un jour à l’autre, annuler des congés prévus, installer la zizanie entre les professionnels améliore le service au patient ? Non, ce type de gestion trop répandu dans les établissements de soin et appris chez France Télécom le désintègre, entraînant le désarroi des soignants puis le syndrome d’épuisement professionnel (burn out), éloignant du patient et expliquant cette déshumanisation des hôpitaux. Enfin, dans un certain nombre de cas, sans l’aide de médecins du travail trop peu nombreux et pas toujours avertis, toujours absents pour les médecins (sûrement faits de chair et d’os différents des autres hommes), sans l’aide d’une famille attentive qui souvent rattrape le professionnel devenu patient, le pire arrive et l’on s’étonne, pas très longtemps.

Les médecins du travail eux-mêmes ne sont pas à l’abri : Marie-Magdeleine Gressé « a décidé d’en finir pour projeter ces questions taboues du suicide et du harcèlement sur le devant de la scène et dans le débat public ». Médecin du travail, elle travaillait depuis 25 ans à l’association « Alsace santé au travail » et était fortement impliquée dans l’Association d’aide aux victimes de violences psychologiques et de harcèlement moral dans la vie privée ou professionnelle (Avip).

Et ce n’est pas la réponse de l’APHP à la suite de l’appel au secours des personnels via leurs syndicats qui va améliorer les choses : « 522 000 euros donnés à Ipsos pour un questionnaire imbuvable, on s’aperçoit vraiment que l’on ne nous écoute pas. Des audits sont déjà faits régulièrement et cela coûte des fortunes. On ne voit pas bien ce qu’ils vont faire de ce baromètre. Ce n’est pas ça qui va régler le problème », juge la secrétaire du Comité d’hygiène et de sécurité central de l’Assistance publique.

Elle a raison, chacun comprend et connaît les raisons du désespoir que ne feront pas disparaître tous les outils éculés du management marchand qui nourrissent largement les collaborateurs de McKinsey et autres dont l’existence a choqué et entrouvert les yeux des Français endormis par la propagande covidiste. Se sont-ils rendormis, trop douloureux du totalitarisme encore mou, mais dont tous les ingrédients dont ce harcèlement sont en place.

« Trop dur, trop douloureux, symptôme d’une société tellement malade qu’elle tue ses professionnels de santé tant en ville qu’à l’hôpital et détruit ses hôpitaux. »

MAL TABOU

D’autres de temps à autre ont tiré la sonnette d’alarme, mais toujours dans l’indifférence générale. Citons cette vidéo de franceinfo « Le suicide des médecins, une réalité effrayante » le 27/02/2015

« C’est un mal tabou en France. Chaque année, une cinquantaine de médecins mettrait fin à ses jours. France 2 a mené une enquête glaçante. Le surmenage, la déprime… Autant de facteurs qui ont conduit au suicide du réputé et apprécié docteur Rémi Breuil, en octobre 2011, après 25 ans de carrière. Son épouse Claude n’a rien vu venir. » Ce n’était pas possible. Pas lui, quelqu’un qui aimait la vie, ses enfants, qui adorait son métier… », confie-t-elle à France 2.

Le docteur Breuil se serait peu à peu renfermé. Dans la lettre qu’il a laissée à sa femme, il se dit fatigué, usé. « Être médecin, pour lui, c’était une vocation. Il s’est laissé complètement envahir par ça », reprend sa veuve.

Une souffrance tabou

Le docteur Yves Léopold a posé un chiffre sur ce drame : les médecins se suicident en moyenne 2,5 fois plus que le reste de la population, victimes de ce qu’il appelle le « syndrome de toute-puissance ». Le médecin, qui donne et sauve des vies, ne supporterait pas de ne pouvoir sauver tout le monde, d’où sa souffrance.

En France, ce problème est frappé du tabou. Dans le plus grand anonymat, un hôpital du sud accueille des médecins en souffrance. Inquiets pour leur réputation, ces derniers n’acceptent leur hospitalisation que dans le plus grand secret. L’un d’eux confie : « Je crois que c’est une humiliation, d’être malade. Le comble du médecin… »

LE CARNAGE CONTINUE Y COMPRIS CHEZ LES PLUS JEUNES

Chez les étudiants en médecine, le tabou des suicides :

« Chaque année, une dizaine d’internes se donnent la mort. Des événements traumatisants pour l’ensemble d’une promotion, qui mettent en lumière les risques psychosociaux auxquels sont soumis ces étudiants ».(([9] Par Léa Iribarnegaray 12 janvier 2021 Chez les étudiants en médecine, le tabou des suicides (lemonde.fr) ))

ANNA WANDA GOGUSEY

« La métaphore revient comme un refrain : les étudiants et internes en médecine seraient des super héros. Invincibles et invulnérables. Connaissant l’intégralité de leurs cours sur le bout des doigts, enchaînant les gardes à l’hôpital, cultivant une vocation sans faille.

“Pour autant, il y en a plein qui se fracassent”, souffle Laurence Marbach, présidente de l’association la Ligue pour la santé des étudiants et internes en médecine (Lipseim). Sa fille, Élise, s’est écroulée à 24 ans. “Brillante, passionnée, empathique”, la jeune femme a mis fin à ses jours le 2 mai 2019.

En premier semestre d’hépato-gastro-entérologie à Lyon, l’interne travaillait autour de 80 heures par semaine. Avant son décès, Élise avait enchaîné trois week-ends sans répit : une astreinte pour assurer la continuité des soins, un colloque de spécialité à Paris, une formation à Clermont-Ferrand. Pour tenir, faute de cape de Zorro, elle s’était prescrit des bêtabloquants, essayant de cacher son stress et son épuisement professionnel.

Briser le mythe

Par peur de paraître “faibles”, “inaptes”, “nuls” ou “incompétents”, rares sont les futurs médecins qui osent alerter quand ça ne va pas. Pire, quand ils ont des idées noires.

Dans une culture hospitalière évoluant à huis clos, l’idée qu’il faut “apprendre dans la douleur” reste prégnante. “On est dans une forme de pression sociale, économique, intellectuelle”, relève Barbara Lantier, médecin généraliste qui, face au “mutisme collectif”, a choisi de soutenir sa thèse en 2019 sur le suicide des externes, internes et docteurs en médecine. “Certains étudiants sont dans le déni, alors qu’ils peuvent eux aussi avoir des limites physiques ou morales. Quand ils s’en rendent compte, ils risquent de tomber de très haut.” »

La prévalence de la dépression et des idées suicidaires chez les étudiants en médecine est largement supérieure à la population générale(([10] Pour plus d’infos et d’aides concrètes, voir l’association LIPSEIM fondée en 2020 par une maman blessée. Depuis la création de l’association en mai 2020, ils organisent des actions de prévention et de sensibilisation à destination des apprentis médecins, mais aussi des seniors et de l’administration hospitalière. « Les jeunes doivent entendre qu’ils sont parfois en danger », martèle Luc Marbach.))

ALERTE EN 2022 AVEC UNE VIDÉO CHOC(([11] Suicide des professionnels de santé : face aux chiffres « démesurés », un film choc de l’association SPS pour que « ça bouge vraiment » PAR LOAN TRANTHIMY — LE 30/08/2022 quotidien du médecin))(([12] https://youtu.be/38AhlGdiJtU le clip violent à ne pas montrer aux personnes fragiles et déjà touchées.))

Crédit photo : Capture Image YouTube

Fiction choc destinée à alerter et à prévenir le suicide des professionnels de santé.

« Réalisée par Marc Gibaja, réalisateur et scénariste français, la séquence d’une minute met en scène trois professionnels de santé autour d’une patiente. Au cours d’une banale scène de consultation autour d’une patiente âgée, médecin, infirmier et aide-soignant finissent par exprimer leur mal-être et passent à l’acte (par arme à feu, pendaison et défenestration). “Le suicide est un sujet tabou, on veut montrer que cela s’est installé dans le monde des soignants, souligne le Dr Éric Henry, médecin généraliste et président de l’association de Soins aux professionnels de santé (SPS), très mobilisée sur ce sujet.”

Le but du film est qu’il soit impactant et viral pour une prise de conscience de la population sur la souffrance des soignants ».

Trois suicides tous les deux jours

Son enquête de 2017 intitulée « Suicide et professionnels de santé » montrait que 25 % des personnes interrogées avaient déjà eu des « idées suicidaires au cours de leur carrière professionnelle ». Parmi eux, 25 % exerçaient en ville et 39 % en milieu rural.

Une autre étude menée en 2019 par l’Ordre, les syndicats et le collège national des sages-femmes a démontré que 31 % de ces professionnelles étaient affectées par le burn-out. « Deux suicides de sages-femmes ont été portés à ma connaissance ces deux derniers mois », témoigne Christine Chalut-Morin, sage-femme clinicienne, secrétaire générale adjointe de SPS.

En 2021, l’Intersyndicale nationale des internes (Isni) avait alerté sur la santé mentale dégradée des futurs médecins. Le taux de suicide chez les internes était évalué à un tous les 18 jours.

En juin 2022, l’étude Amadeus (améliorer l’adaptation à l’emploi pour limiter la souffrance des soignants) a révélé que 50 et 60 % des professionnels de la santé interrogés présentaient des signes d’épuisement professionnel et 30 % de dépression.

« Un interne en médecine a trois fois plus de risque de mourir par suicide qu’un jeune Français du même âge, je trouve cela terrible ! Ces jeunes qui s’engagent dans les soins où ils vont donner une grosse partie d’eux-mêmes, ce n’est pas normal qu’ils soient autant en souffrance », se désole la Dr Magali Briane, psychiatre addictologue à Lyon et vice-présidente de SPS.

« Certes, un numéro national de prévention du suicide — le 3114 — a été lancé en septembre dernier, s’adressant aux personnes en détresse, à leur famille, mais également aux professionnels de santé en contact avec des personnes en danger. Mais, selon SPS, en huit mois, cette plateforme a enregistré 92 000 appels avec “un taux de réponse de 72,3 %”

Bien loin des “100 % appels décrochés” de l’association SPS, revendique le Dr Éric Henry. Son numéro vert (0 805 23 23 36), mis en place depuis six ans, a reçu plus de 18 000 appels, dont près de 14 000 depuis la crise sanitaire. Près de 50 % des appels ont fait l’objet d’une réorientation, notamment vers un psychologue en face à face (20 %), le médecin traitant (10 %), le psychiatre (8 %) ou d’autres réseaux (Morphée, médecine du travail, médecine universitaire, associations, service social). Les appels de niveaux 3 à 5 — “épuisement professionnel”, “idéations suicidaires” et “risque de passage à l’acte imminent” — sont systématiquement réorientés vers un médecin généraliste et un psychiatre ».

L’association SPS entend démontrer à nouveau l’intérêt d’une plateforme d’écoute, d’orientation et d’accompagnement ciblée pour les soignants. « En tout cas, le film est un prétexte pour déclencher des réactions, insiste le Dr Henry. Est-ce qu’il faut que tous les soignants quittent l’hôpital, leur métier pour que cela bouge vraiment ? Le ministère va-t-il enfin bouger ? ». L’association espère pouvoir nouer prochainement un partenariat avec le numéro national 3114. (d’aucuns lui reprochent ce clip violent et pas forcément efficace, pour faire de la propagande pour son association)

Évidemment ces aides ponctuelles sont positives et à saluer, mais on n’en sortira pas sans une refonte complète du système de santé avec suppression des ARS et de leurs aberrants pouvoirs administratifs par des bureaucrates éloignés de la vraie médecine voulant nous imposer une « médecine collective et non individuelle(([13] La bureaucratie étouffe le système de santé. Agences sanitaires et liberté de soigner Volet 2 — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )) adaptée à chaque patient » croyant à la religion de l’intelligence artificielle qui ferait diagnostic et prescription sans besoin d’un intermédiaire médical ni même soignant.

La disparition de la chirurgie de plus en plus évidente et préoccupante dans les protocoles thérapeutiques imposés par les agences HAS, INCa, etc. en est la démonstration évidente. Des maladies curables par une chirurgie d’exérèse ou une radiothérapie de qualité sont maintenant soumises à de « nouvelles molécules » inefficaces et hors de prix qu’on change tous les six mois puisque cela n’a pas marché…(([14] En particulier par exemple dans des tumeurs bénignes comme le fibrome desmoide et surtout dans de nombreux cancers où la chirurgie disparaît du fameux « protocole » comme dans certains cancers des os alors que la place de la chirurgie est fondamentale pour obtenir de vraies guérisons.)) Mais comment les patients pourraient-ils s’en apercevoir ?

COMMENT EN SORTIR ?(([15] Nous avions abordé ce sujet dans « soigner ou obéir » dont les constats et solutions proposées sont toujours d’actualité avec une situation encore aggravée et un pouvoir bureaucratique par les ARS encore gonflé.))

Nos joyeux organisateurs ont tout cassé depuis les années 80. Ils ont transformé nos hôpitaux publics puis privés, et bientôt nos cabinets de ville (devenus « maisons de santé »), en usines, organisées sur le mode de la fabrication des voitures du début du XXe siècle.

Procédures, checklists, protocoles, audits externes et internes, réunionnites aiguës et chroniques, contrôles ARS et décisions unilatérales, le tout sorti d’ordinateurs coûteux, et souvent en panne, ont remplacé les relations humaines

pourtant, si importantes en milieu médical. Cette révolution, acculturation décidée par les « élites », en tous cas par les décideurs, éloigne les médecins et paramédicaux de leur raison d’être, le malade, être de chair et de sang, être pensant, dont la parole est là pour exprimer son désarroi ou sa philosophie, là pour être écouté, compris.

Mais ce rapport humain ne se chiffre pas, ne s’évalue pas, donc il n’a pas de prix, vous serez tous d’accord ! Il n’intéresse pas les financiers qui nous gouvernent.

Ce qui ne se compte pas ne compte pas, même s’il devrait se conter, se raconter. Donc à la trappe, le contact informel entre le médecin ou soignant et le patient. Des robots vont nous remplacer. On nous l’a prédit, et d’ailleurs, les prototypes sont exposés dans les salons « santé connectée », dont notre gouvernement est si fier. Encore une planète où « tout va bien », mais si loin du monde réel.

IL EST TEMPS D’INTERPELLER LES POLITIQUES ET D’EXIGER RÉPONSES ET ENGAGEMENTS

Il n’y aura pas de médecine de qualité, sans libération des médecins et paramédicaux du joug bureaucratique qui les étouffe.

La liberté thérapeutique des médecins accompagnée de leur liberté d’installation, de leur liberté financière et de leur affiliation libre ou non à une convention, est le préalable à une inversion de la chute dramatique du nombre de médecins installés, et même de nouvelles inscriptions à l’ordre et de la fuite à l’étranger des praticiens formés, comme des chirurgiens expérimentés.

Il importera évidemment que cette réforme majeure de l’exercice médical soit associée à la refonte de la recherche et de l’enseignement pour redonner à nos jeunes étudiants animés du désir de soigner une formation à la hauteur de leurs ambitions.

Ne plus les transformer en robots obéissants, mais donner à leur imagination, à leur sensibilité, à leur créativité, la possibilité de s’exprimer sans mépriser les acquis de leurs aînés, doit devenir un objectif obsessionnel des futurs responsables des universités.

Se libérer de la pensée unique en médecine

Après les trente Glorieuses et l’enthousiasme pour les avancées du CNR, vinrent les quarante Piteuses et le règne stérilisant du Tout Fric et les Affreuses actuelles de la déconstruction massive.

Comme nos aînés ont reconstruit les villes après-guerre, pierre après pierre, reconstruisons nos universités, nos écoles, nos hôpitaux. Nous en avons encore les moyens. IMPOSONS UN CHANGEMENT À 180 °.

Il ne faut plus perdre de temps. Soyons dignes de nos aïeux. Soyons fiers de reconquérir nos libertés et notre belle médecine. Seulement à ce prix, les suicides de médecins et soignants deviendront un vilain souvenir. Sans cette reprise en main de la médecine par les médecins, ils se multiplieront en même temps que les démissions. À nous tous de choisir.

Mais sans médecins et sans soignants, qui vous soignera ?





Le rétropédalage de Pfizer, en vue des procès ?

Par Nicole Delépine

Conscience du peuple : Pfizer publie un message sur son site qui contredit les propos de la Santé publique du Québec et du Canada (conscience-du-peuple.blogspot.com)

« Les vaccins ne sont pas indiqués pour traiter l’infection 👉ni pour réduire les complications ».

Le message selon lequel le vaccin diminuerait les « formes graves », sans cesse martelé par la Santé publique du Canada et du Québec et par Santé Publique France est FAUX.

Sur le site de Pfizer Canada, ce communiqué pourrait ressembler à une notice légale en vue de se protéger contre d’éventuelles poursuites… TROP TARD !

https://www.pfizerbiontechvaccine.ca/fr/?cmp_SEM_2022_FR :

Néanmoins le site continue à désinformer sur les effets secondaires qui seraient « rares et jamais graves » :

Doit-on leur donner les adresses des sites VAERS, MHRA, EUDRAVIGILANCE, ETC. ? Peut-on les poursuivre en justice pour désinformation grave mettant en danger la vie d’autrui… ?

PERTE DE LIBERTÉ D’EXPRESSION CHEZ LES MÉDECINS, les CHERCHEURS, les ENSEIGNANTS, etc.

Et pendant ce temps-là, le Président de Réinfo Liberté, Vincent Pavan est sanctionné par son université d’un an de suspension et de la privation de la moitié de ses traitements. « C’est angoissant pour l’honneur de l’université française », répond-il.(([1] https://www.francesoir.fr/videos-pause-interview/il-fallait-faire-un-exemple-vincent-pavan
Lisez absolument « le débat interdit » publié par Vincent Pavan et Ariane Bilheran.))

Cette décision vient conclure une procédure disciplinaire lancée en 2020, relative au refus de porter le masque. Elle intervient alors même que Vincent Pavan se trouve dans l’œil d’un cyclone médiatique : les panneaux jugés « antivaccins » à Toulouse, dont il est auteur avec Réinfo Covid.

COMBIEN D’ARTICLES MONTRANT NON SEULEMENT L’INUTILITÉ DU MASQUE, MAIS SA NOCIVITÉ SUR DE NOMBREUX PLANS.(([2] L’imposture du masque, outil d’enfermement — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

Et des centaines de médecins sont poursuivis devant l’ordre des médecins pour avoir soigné et sauvé des patients condamnés à la mort par défaut de soins ou par euthanasie au Rivotril pour les plus âgés en EHPAD, selon les ordres du pouvoir criminel.

Jusqu’à quand les Français se laisseront-ils installer dans le nouveau fascisme de Davos et de l’OMS ?

Vera Sharav nous a bien expliqué que le génocide d’Hitler avait été précédé de neuf ans de mise en condition progressive(([3] Vera Sharav : « À moins que nous ne résistions tous, “plus jamais ça”, c’est maintenant. » — Discours — Nuremberg, le 20 Août 2022 | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation)):

« L’Holocauste n’a pas commencé dans les chambres à gaz d’Auschwitz et de Treblinka. L’Holocauste a été précédé de 9 ans de restrictions progressives de la liberté individuelle et de la suspension des droits légaux et des droits civils. »

Le décor du totalitarisme criminel a été planté par une propagande nazie alarmiste et haineuse.

« Une série d’édits gouvernementaux discriminatoires et humiliants ont diabolisé les Juifs en les qualifiant de “propagateurs de maladies” et leur ont dénié leur humanité. Nous étions comparés à des poux ». (..)

La véritable maladie mentale qui a infecté l’Allemagne nazie est l’eugénisme – L’eugénisme est l’idéologie élitiste à l’origine de la plupart des génocides.

À quoi sont comparés les non-vax aujourd’hui ou ceux qui refusent d’éternels rappels, qu’il faudrait pour certains enfermés, parqués dans des caves, etc. ?

L’EFFROYABLE CATASTROPHE DES COMPLICATIONS LIÉES AU VAXX ARN

Allons-nous continuer à fermer les yeux sur nos voisins, amis et relations morts d’un AVC ou d’un cancer foudroyant, les turbo cancers qu’on n’avait jamais vus ? Hasard, coïncidence, il va falloir élargir notre vocabulaire pour nier l’évidence.. Plus on laissera faire, plus les soldats (involontaires de fait) du covidisme tomberont, victimes de leur naïveté et de leur soumission…

marco nius ⁦@NiusMarco⁩‬‬‬

Depuis le 1 er aout 3 nouveaux décès 3-11 ans déclarés par Pfizer sur Eudravigilance
1 myocardite (pas grave donc selon les covidistes, juste un décès)
1 thrombocytopénie
1 malaises divers et décès cause inconnue
Total 3-11 ans 31 décès déclarés

MÊME L’OMS LE PUBLIE. SACHONS LIRE

https://t.me/c/1509019656/5128

Et chaque jour de nouvelles victimes, du cycliste champion de VTT en Écosse mort dans son lit deux jours après son exploit au chanteur de rock britannique ZION :

« L’enquête conclut que la lésion cérébrale mortelle du chanteur de rock a été causée par le vaccin d’AstraZeneca.

Le vaccin contre la COVID-19 d’AstraZeneca a causé la “lésion cérébrale catastrophique” qui a entraîné la mort d’un chanteur de rock britannique de 48 ans deux semaines après qu’il ait reçu le vaccin, a conclu une enquête ».

Zion est mort le 19 mai 2021, malgré une intervention chirurgicale d’urgence pour tenter de traiter sa « thrombocytopénie immunitaire thrombotique induite par le vaccin », qui provoque des gonflements et des saignements dans le cerveau.

Après sa mort, sa fiancée, Vikki Spit, 39 ans, a déclaré qu’elle n’avait passé qu’une seule nuit sans lui en 21 ans de vie commune et que sa vie avait été « brisée en mille morceaux » par sa mort, selon le Daily Mail.

Mme Spit est la première personne au Royaume-Uni à recevoir une indemnisation pour un décès dû au vaccin contre la COVID-19.

IL SUFFIT !

Aidons Mary Holland et tous les combattants pour la liberté et le respect du code de Nuremberg si chèrement acquis

Mary Holland :

« Ceux qui ont violé le code de Nuremberg doivent être poursuivis pour crimes contre l’humanité

Au cours des deux dernières années et demie, nous avons tragiquement assisté à une attaque mondiale contre le code de Nuremberg, selon la présidente de la Children’s Health Defense, Mary Holland. Nous pouvons restaurer ce fondement de l’éthique médicale… mais seulement si nous nous unissons. »(([4] Mary Holland : Ceux qui ont violé le code de Nuremberg doivent être poursuivis pour crimes contre l’humanité | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))

« Depuis plus de 75 ans, le code de Nuremberg est un phare — toutes les normes médicales et juridiques sont fondées sur lui depuis 1947.

Le code de Nuremberg est le fondement de l’éthique médicale moderne.

Le code a été intégré dans le droit fédéral et le droit des États des États-Unis, et les tribunaux américains ont reconnu le code de Nuremberg comme une norme juridique universelle et internationale — à l’instar des normes interdisant l’esclavage et la piraterie.

Le code de Nuremberg existe et est applicable même si un pays, une institution ou un individu nie sa validité.

Le consentement de l’individu est absolument essentiel dans toute expérimentation médicale. Il n’y a pas d’exception.

Tragiquement, au cours des deux dernières années et demie, nous avons assisté à une attaque mondiale contre le code de Nuremberg.

Les gouvernements, les établissements médicaux, les universités et les médias ont violé le tout premier principe et tous les autres principes des 10 points du code.

Ils ont forcé des gens à devenir des cobayes humains.

Ils ont forcé des personnes, sous peine de perdre leurs moyens de subsistance, leur identité, leur santé, leurs amitiés — et même leurs relations familiales — à prendre des injections inadéquates, expérimentales et modifiant les gènes, ainsi que des tests et des dispositifs médicaux expérimentaux.

Ceux qui ont intentionnellement, sciemment et malicieusement violé les principes du code de Nuremberg doivent être punis.

Ils doivent être dénoncés, poursuivis et punis pour crimes contre l’humanité. C’est l’une de nos tâches essentielles.

Nous devons arrêter cela. Et nous devons veiller à ce que cela ne se reproduise pas.

Le résultat de l’expérimentation de masse avec les injections contre la COVID-19 est maintenant tragiquement clair : ceux qui ont été séduits ou forcés à devenir des sujets expérimentaux courent maintenant le plus grand risque de maladie, d’hospitalisation et de mort ».

« Nous devons exiger que nous ne soyons pas soumis à des expériences. Il n’est pas trop tard — en Europe ou ailleurs.

Il est en notre pouvoir de dire : “C’est fini ! Respectez et faites respecter ce code”.

Et n’oublions pas — nous sommes en train de gagner.

Le récit selon lequel ces injections fonctionnent est terminé.

Le récit selon lequel nous devons nous confiner est terminé.

Le discours selon lequel nous devons tester les personnes asymptomatiques est terminé.

Le récit selon lequel nos “dirigeants” savent ce qu’ils font est terminé.

Laissons cela nous pénétrer — #WeAreWinning !

Pourquoi ? Parce que :

• La morale est de notre côté.
• La science est de notre côté.
• La loi est de notre côté.
• Et le code historique de Nuremberg — qui incarne la morale, la science et le droit — est de notre côté.

Nous sommes en train de gagner !

Mais la victoire finale n’est pas encore assurée. Et cela dépend de nous.

Nous avons tous des amis et des proches qui ne comprennent pas ce à quoi nous sommes confrontés. Ils ne comprennent pas où ce chemin nous mène.

Nous devons être courageux et partager nos connaissances, même si nos amis et nos proches sont réticents au début.

Le courage est contagieux. Si nous pouvons repousser les mensonges et la coercition, ils le peuvent aussi. Soyez courageux !

Si nous restons fermes, d’autres se joindront à nous. Cela se produit tous les jours.

Le rétablissement d’un monde fondé sur le code de Nuremberg est à notre portée… mais nous devons nous rassembler, comme nous le faisons aujourd’hui.

Et nous devons nous assurer que toutes les institutions honorent et appliquent le code de Nuremberg.

Nous pouvons y arriver !

S’il vous plaît, joignez-vous à moi pour dire trois fois en allemand :

Wir kriegen das hin. Wir kriegen das hin. Wir kriegen das hin.

(Traduction : Nous pouvons y arriver.) »

(([5] Note de l’éditeur : Les remarques suivantes ont été faites par Mary Holland, présidente et avocate générale de la Children’s Health Defense, le 20 août à Nuremberg, en Allemagne, lors d’un événement organisé par Action Alliance, un groupe d’activistes allemands, pour commémorer le 75e anniversaire du code de Nuremberg.))

TOUS EN FRANCE NOUS DEVONS CONVAINCRE QUE NOUS POUVONS Y ARRIVER.

STOP AUX INJECTIONS EN PARTICULIER AUX ENFANTS !




Le climat, le covid et l’Ukraine : les piliers de la drôle de guerre de Macron

Le climat, le covid(([1] L’ONU a recruté plus de 100 000 « agents numériques de première intervention » pour promouvoir le récit de la théorie du COVID. — Resistance (resistance-mondiale.com) )) et l’Ukraine : les piliers de la drôle de guerre de E. Macron

Le climat de la Terre a varié depuis que la planète existe, avec des périodes naturelles froides et chaudes.

Par Nicole et Gérard Delépine

1200 scientifiques et universitaires de renom signent la Déclaration mondiale sur le climat et affirment « qu’il n’y a pas d’urgence climatique » – Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)

Le Pr Ivar Giaver(([2] lauréat du prix Nobel de physique (1973) )) Norway dirige un groupe de 1 200 scientifiques et universitaires de renom qui a signé la Déclaration mondiale sur le climat (WCD).(([3] WCD-version-06272215121.pdf (clintel.org) ))

Rédigée et discutée par Climate Intelligence, une organisation créée en 2019 par le professeur de géophysique Guus Berkhout et le journaliste scientifique Marcel Crok.

Le principal message mentionné dans ce document est le suivant : « il n’y a pas d’urgence climatique ».

[Voir aussi :
Contre toute logique scientifique, pourquoi le CO2 est-il devenu l’ennemi public numéro 1 ?,
Nous notons depuis une vingtaine d’années une augmentation des phénomènes climatiques. Info ou intox ?
et les articles du dossier Climat.]

Pseudo science du climat basée sur « des croyances personnelles et des agendas politiques » et non sur des faits scientifiques.

Déclaration du 27 juin 2022 : les signataires ont lancé un avertissement aux dirigeants du monde.

L’un des auteurs de la déclaration, le physicien de l’atmosphère Richard Lindzen, a même qualifié les prédictions actuelles sur le réchauffement climatique « d’absurdes » sur le site britannique The Daily Sceptic.

La science du climat « devrait être moins politique, tandis que les politiques climatiques devraient être plus scientifiques. »

Coût exorbitant de mesures sans fondement scientifique

« Les politiciens doivent en revanche penser aux coûts générés par l’application de leurs mesures politiques.

La semaine dernière par exemple, le président américain Joe Biden a signé une loi adoptée par le Congrès nommée Inflation Reduction Act. Elle implique notamment de soutenir le développement des énergies vertes en vue de réduire les émissions de CO2 de 40 % d’ici 2030. Ce projet de loi va coûter 368 milliards de dollars aux contribuables ».

« En 2009, Biden lui-même a annoncé une garantie de prêt de 535 millions de dollars pour l’entreprise de panneaux solaires Solyndra, ainsi qu’un financement de 700 millions de dollars en capital-risque. Les équipements produits devraient alimenter plus d’un demi-million de foyers en électricité. Malheureusement, l’entreprise a déposé le bilan deux ans plus tard. »

La compréhension du changement climatique imposée par les médias au service des milliardaires qui en profitent est erronée.

Le climat de la Terre varie, avec des périodes froides et chaudes, depuis que la planète existe

« Il n’est “pas surprenant que nous connaissions une période de réchauffement”. »

Selon les signataires, le réchauffement climatique n’intensifie pas les sécheresses, les catastrophes naturelles.

Il n’existe aucune preuve statistique « que le réchauffement climatique intensifie les ouragans, les inondations, les sécheresses et les catastrophes naturelles de ce type, ou les rende plus fréquents… Il n’y a pas d’urgence climatique. »

« Le dioxyde de carbone n’est pas un polluant ».

Au contraire, c’est un gaz bénéfique pour la nature et l’agriculture. Le dioxyde de carbone est un élément « essentiel à toute vie sur terre », il nourrit les plantes.

Le CO2 n’est pas un polluant », dit-il. « Il est essentiel à toute vie sur Terre. La photosynthèse est une bénédiction. Plus de CO2 est bénéfique pour la nature, verdissant la Terre ; le CO2 supplémentaire dans l’air a favorisé la croissance de la biomasse végétale mondiale. C’est aussi bon pour l’agriculture, augmentant le rendement net des cultures dans le monde entier. »

En conséquence les mesures politiques visant à diminuer le taux de CO2 sont injustifiées et toxiques pour la planète défigurée par les éoliennes encore prévues près de Fécamp, pour tous les Français auxquels on interdira de se chauffer cet hiver, sous prétexte de réduction de la consommation vertueuse et de guerre absurde contre la Russie et évidemment pour la finance des gueux du monde occidental enfermés dans le joug de Davos.

LA DICTATURE DU RÉCHAUFFEMENT DOIT FAIRE PEUR AU PEUPLE ET LE RENDRE OBÉISSANT COMME LES MESURES ANTICOVID

Alors pourquoi tout ce cinéma et surtout l’absence de débat contradictoire et la diffamation et dénonciation calomnieuse des scientifiques qui ont le malheur de penser autrement et pire encore, de le dire ?

LES OPINIONS FIDÈLES AUX ORDRES DU MAÎTRE DES HORLOGES REMPLACENT LES FAITS AVÉRÉS

Comme en médecine — et vous l’avez vu ou découvert depuis deux ans — la véritable science basée sur des faits et analyses a été remplacée par les « opinions » conformes à la politique décidée par le forum économique et social, devenu véritable gouvernement mondial via l’OMS.

« Discussion basée sur des croyances, et non sur une science autocritique solide. »

L’ampleur de l’opposition à la science climatique « établie » moderne est remarquable, étant donné à quel point il est difficile dans le milieu universitaire d’obtenir des subventions pour toute recherche sur le climat qui s’écarte de l’orthodoxie politique. (Une liste complète des signataires est disponible ici.)

Un autre auteur principal de la déclaration, le professeur Richard Lindzen, a qualifié le récit climatique actuel d’’absurde », mais a reconnu que des milliards de dollars et la propagande incessante des universitaires et de l’agenda dépendant des subventions — les journalistes motivés disent actuellement que ce n’est pas absurde.

Une colère particulière dans la WCD est réservée aux modèles climatiques. Croire au résultat d’un modèle climatique, c’est croire ce que les modélisateurs y ont mis. Les modèles climatiques sont désormais au cœur des discussions sur le climat d’aujourd’hui et les scientifiques y voient un problème. « Nous devons nous libérer de la croyance naïve en des modèles climatiques immatures », déclare la WCD. « À l’avenir, la recherche sur le climat devra accorder beaucoup plus d’importance à la science empirique. »

Depuis la sortie du « petit âge glaciaire » vers 1850, le monde s’est réchauffé nettement moins que prévu par le GIEC sur la base des influences humaines modélisées.

« Le fossé entre le monde réel et le monde modélisé nous indique que nous sommes loin de comprendre le changement climatique », note la WCD.(([4] 1 200 scientifiques et professionnels déclarent : « Il n’y a pas d’urgence climatique » — Resistance (resistance-mondiale.com)
Source : https://dailysceptic.org/2022/08/18/1200-scientists-and-professionals-declare-there-is-no-climate-emergency/))

En Italie, le découvreur de l’antimatière nucléaire, le professeur émérite Antonino Zichichi, a conduit 48 professeurs de sciences locaux à déclarer que « la responsabilité humaine dans le changement climatique est “exagérée de manière injustifiée” et que les prévisions catastrophiques ne sont pas réalistes. »

Selon eux, « les variations naturelles expliquent une part substantielle du réchauffement climatique observé depuis 1850. »

« Les modèles climatiques présentent de nombreuses lacunes et ne sont pas plausibles à distance en tant qu’outils de politique mondiale. Ils amplifient l’effet des gaz à effet de serre, comme le dioxyde de carbone, mais ignorent tout effet bénéfique. »

« Il n’y a aucune preuve statistique que le réchauffement climatique intensifie les ouragans, les inondations, les sécheresses et autres catastrophes naturelles, ou les rend plus fréquents. Il n’y a pas d’urgence climatique », poursuit la Déclaration. « Nous nous opposons fermement à la politique nocive et irréaliste de zéro CO2 proposée pour 2050. L’objectif de la politique mondiale devrait être “la prospérité pour tous” en fournissant une énergie fiable et abordable à tout moment. Dans une société prospère, les hommes et les femmes sont bien éduqués, les taux de natalité sont faibles et les gens se soucient de leur environnement ».

Le fantasme « établi » entourant la science du changement climatique s’effondre rapidement. L’année dernière, Steven Koonin, sous-secrétaire aux sciences de l’administration Obama, a publié un livre intitulé Unsettled dans lequel il notait que « la science est insuffisante pour faire des projections utiles sur la façon dont le climat va changer au cours des prochaines décennies, et encore moins quelles seront nos actions. »

PRENEZ LE TEMPS DE LIRE « APOCALYPSE NEVER »

En 2020, Michael Shellenberger a écrit un livre intitulé Apocalypse Never dans lequel il a dit qu’il croyait que la conversation sur le changement climatique et l’environnement avait au cours des dernières années« échappé à tout contrôle ». Une grande partie de ce qu’on dit aux gens sur l’environnement, y compris le climat, est fausse, a-t-il écrit.

Alors sortons du mythe du changement climatique lié à l’Homme (pour qui nous prenons-nous ?) cessons d’alimenter la peur qui tue par désespoir, suicides, comportements délirants, plus que les inondations, même si elles sont graves. Et cessons de bétonner, ce sera toujours un plus dans la lutte contre ces inondations par exemple.

N’acceptons plus de sacrifice pour soi-disant « vaincre le réchauffement climatique, le covid ou défendre l’Ukraine » dans une guerre qui n’est pas la nôtre.

Ne croyons plus les mensonges permanents qu’ils nous assènent. Nos vies, celles de nos enfants tout particulièrement aujourd’hui et demain sont plus importantes que leurs fausses simulations trompeuses d’un futur de propagande terrorisante.





Les enfants sont à haut risque des complications de l’inutile injection anticovid : il faut l’interdire !

Par Nicole Delépine

AFFICHONS-LE PARTOUT : 1 accident cardio-vasculaire (myocardite, péricardite) ou autre (angio œdème, accident vasculaire cérébral, paralysie faciale) pour 100 injections !

Crédit photo : DR

Personne ne peut plus affirmer que l’injection génique expérimentale serve à un quelconque effet médical bénéfique. Elle ne protège ni des contaminations, ni des formes graves, ni de la mort. Même le président de l’ex-conseil scientifique qui conseillait E. Macron l’a avoué dans son mea culpa de fin juillet 22.(([1] Delfraissy Jean-François Delfraissy, président du conseil scientifique d’E. Macron, serait-il devenu complotiste ? | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation)) Les complications des injections sont avouées par de nombreux médecins et officiels même si le plus souvent le nombre en est minimisé. Néanmoins is avouent. Même l’ANSM !

Parents, enseignants, philosophes, politiques, sapeurs-pompiers, et surtout professionnels de santé, infirmiers, aides-soignants, médecins de toute spécialité, kinésithérapeutes, pharmaciens, etc..

COMBIEN DE TEMPS ALLONS-NOUS SUPPORTER DE DÉCOUVRIR CHAQUE JOUR DE NOUVEAUX TÉMOIGNAGES DES ACCIDENTS DES PSEUDOVAX ?

Et en dépit de la censure extrême de Google… qui ne nous permet pas de retrouver un article connu, sauf si on connaît bien le nom du site ou de l’auteur et le titre exact de la publication. Il y a beaucoup de témoignages qu’ils arrivent à passer tout de même.

Ce jour, ce papier arrive sur mon ordinateur via un correspondant attentif : un résumé des effets secondaires de l’UE publié par l’EMA : 2956 avortements spontanés après injection :

EMA Pathologies 12 août 2022 Déclarant Nombre
Avortement spontané Professionnels de la santé 852
Avortement spontané Autres 2 104
Avortement spontané Total 2 956
Aménorrhée Professionnels de la santé 1 312
Aménorrhée Autres 15 726
Aménorrhée Total 17 038
Choc anaphylactique Professionnels de la santé 945
Choc anaphylactique Autres 886
Choc anaphylactique Total 1 831
Cécités Professionnels de la santé 1 061
Cécités Autres 2 065
Cécités Total 3 126
Cancer Professionnels de la santé 922
Cancer Autres 2 090
Cancer Total 3 012
Défaillance cardiaque Professionnels de la santé 2 397
Défaillance cardiaque Autres 1 871
Défaillance cardiaque Total 4 268
Creutzfeldt-Jakob Professionnels de la santé 25
Creutzfeldt-Jakob Autres 55
Creutzfeldt-Jakob Total 80
Surdité Professionnels de la santé 1 714
Surdité Autres 2 993
Surdité Total 4 707
Fatal – entraîne la mort Professionnels de la santé 17 516
Fatal – entraîne la mort Autres 10 140
Fatal – entraîne la mort Total 27 656
Mort fœtale Professionnels de la santé 146
Mort fœtale Autres 106
Mort fœtale Total 252
Guillain-Barré Professionnels de la santé 2 509
Guillain-Barré Autres 1 841
Guillain-Barré Total 4 350
HIV infection Professionnels de la santé 124
HIV infection Autres 148
HIV infection Total 272
Rechute de la sclérose en plaques Professionnels de la santé 242
Rechute de la sclérose en plaques Autres 523
Rechute de la sclérose en plaques Total 765
Myocardite Professionnels de la santé 7 788
Myocardite Autres 9 248
Myocardite Total 17 036
Péricardite Professionnels de la santé 6 765
Péricardite Autres 7 959
Péricardite Total 14 724
Embolie pulmonaire Professionnels de la santé 10 630
Embolie pulmonaire Autres 6 380
Embolie pulmonaire Total 17 010
Thrombose Professionnels de la santé 18 884
Thrombose Autres 17 686
Thrombose Total 36 570
Échec de la vaccination Professionnels de la santé 54 324
Échec de la vaccination Autres 73 833
Échec de la vaccination Total 128 157
(([2] EMA au 12 août.))(([3] Chiffres des Événements Indésirables post vaccination Covid de l’EMA — Covid faits et chiffres (covid-factuel. Fr) ))

Et pour les enfants cette nouvelle information 

Two and 3-year-old kids with seizures is « the new normal » [« la nouvelle normalité »]

« Je reçois plusieurs rapports de mes amies infirmières au sujet d’enfants de 2 et 3 ans qui ont des convulsions. Cela ne se produit que sur les enfants vaccinés, et les symptômes commencent 2 à 5 jours après le vaccin CONTRE LA COVID19 ».(([4] https://stevekirsch.substack.com/?url=https%3A%2F%2Fstevekirsch.substack.com))

L’auteur nous explique que les médecins ou infirmiers ne peuvent parler ni mettre en cause même potentielle le pseudovax, car sinon ils seraient virés de leur profession. Ils parlent donc de curieuses épidémies d’éruption de convulsions, d’éruptions cutanées, etc. survenant aux enfants de 2 et 3 ans. Mais le seul point commun de ces petits ait d’avoir reçu l’injection.

Parcourons l’article de P. Gibertie(([5] Prendre un enfant pour un rat Vendre un enfant à Bourla | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com) )) qui compare les enfants à des petits rats.

Et les derniers états des lieux dans les tableaux officiels du VAERS.(([6] • ARRÊTEZ LES INJECTIONS ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) juillet 2022
Les masques sont inutiles et dangereux : l’expérience désastreuse de la Nouvelle-Zélande — La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org)
Balance avantages/risques des injections anti-covid19, au 28 juin 2022 — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))(([7] Il faut interdire les injections géniques dangereuses et inutiles : au 15 août 2022 | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))(([8] Chaque jour un nouvel article :
Une étude révèle un lien « stupéfiant » entre le vaccin de Pfizer et la myocardite chez les adolescents | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation
Le Dr Tracy Høeg, épidémiologiste, a déclaré dans un tweet que l’étude était « unique et impressionnante en raison de l’examen approfondi effectué avant et après la vaccination », car elle permettait de « détecter des anomalies cardiaques préexistantes ».))

Par exemple, selon les données les plus récentes du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), du 14 décembre 2020 au 29 juillet 2022, 1 292 cas de myocardite et de péricardite ont été signalés chez les 12-17 ans.

Sur les 1 292 rapports, 1 145 cas ont été attribués au vaccin contre la COVID-19 de Pfizer.(([9] Copyright © Children’s Health DefenseThe Defender, 2022))(([10] LES DOSES À RÉPÉTITION DÉMULTIPLIENT LES RISQUES DE MALADIES AUTO-IMMUNES : | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com) :
Publié le 17 août 2022 par pgibertie.
25 % des patients covid hospitalisés pour formes graves voient apparaître des anticorps annonciateurs de maladie auto-immune dans le futur, pour les vaccinés complets PFIZER c’est de 23 % (5 % pour les deux doses)… ÇA SE PRÉCISE…))

INFORMER LE PEUPLE PAR TOUS LES MOYENS dont l’affichage, les tracts, les réunions publiques

La désinformation qui a régné en maître par le gouvernement et ses médias aux ordres doit être combattue par tous les moyens. Des citoyens dont des soignants arpentent les rues du Luxembourg, Allemagne et France depuis le 13 août, et peuvent parler aux habitants qui souvent tombent des nues en découvrant les toxicités et l’inefficacité des pseudovax.

Et bravo au CSI de nos collègues de Reinfocovid pour leur initiative d’affiches à Toulouse qui met en rage au moins un médecin de plateau qui ose prétendre que les injections pour les enfants ne seraient ni toxiques ni inutiles… Comment en arriver là en écrivant sur twitter des propos relevant de la diffamation (il traite le CSI d’organisme complotiste aux dérives sectaires !).

S’il n’en reste qu’un, ce sera celui-là ; les patrons corrompus qui sévissent sur les grandes chaînes sont plus prudents). Est-il à ce point incapable de lire les sites officiels de la FDA, le VAERS, ou de l’EMA site de l’UE (EUDRAVIGILANCE) ou encore le MHRA pour la Grande — Bretagne qui informent depuis l’été dernier des catastrophes chez les jeunes vaccinés ?

Évidemment, que la vérité sorte enfin ne fait pas plaisir à tout le monde !(([11] Vaccin contre le Covid 19 : de nouvelles affiches antivax placardées dans Toulouse provoquent la polémique (francetvinfo.fr) ))

« Réinfo Covid continue de revêtir à Toulouse (Haute-Garonne) les panneaux publicitaires privés de messages antivaccin du Covid 19. Au moins, une nouvelle affiche sur la vaccination chez les enfants est visible dans la ville rose. L’ordre des médecins assure avoir alerté la préfecture du sujet ».

« 1 accident cardiovasculaire pour 100 injections et autres complications : la santé de nos enfants vaut mieux que des vaccins expérimentaux ».

Voilà ce que l’on peut lire sur une affiche, placardée sur un panneau publicitaire au 12 chemin d’Audibert dans une résidence privée, face à l’école élémentaire Ernest Renan, dans le quartier des Trois Cocus, à Toulouse.

Les panneaux appelant à la prudence se multiplient à Toulouse(([12] Mardi 16 août 2022 à 19:46 — Par Manon Klein, France Bleu Occitanie, France Bleu Toulouse Les panneaux appartiennent à une société privée © Radio France — Alexandre Vau)):

« De nouvelles affiches qui dénoncent les prétendus dangers du vaccin contre le Covid-19 viennent de faire leur apparition à Toulouse. On en compterait environ neuf selon la mairie de Toulouse. Certains professionnels de santé s’indignent que de tels panneaux puissent être visibles en pleine rue.(([13] Les panneaux antivax se multiplient à Toulouse (francebleu.fr) ))

Comment cette journaliste peut-elle parler de soi-disant « prétendus«  dangers du vax ? N’a-t-elle pas entendu parler de ces très célèbres artistes qui exigeaient des pass pour leurs concerts et se sont retrouvés victimes des complications du mirage qu’ils avaient monté en vedette ? Comme Céline Dion ou Justin Bieber… Prenez donc de leurs nouvelles.(([14] https://www.globalizacion.ca/los-tragicos-destinos-de-estrellas-mundiales-como-celine-dion-y-justin-bieber-abriran-los-ojos-de-sus-fans/
https://www.globalresearch.ca/will-the-tragic-fate-of-world-stars-like-celine-dion-and-justin-bieber-open-the-eyes-of-their-fans-impacts-of-covid-19-vaccine/5783700
Justin Bieber & Céline Dion victimes du « vaccin » Covid ? avec Michel Chossudovsky et Nicole Delépine | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))

Ou pire pour elle, journaliste, les présentateurs télé qui vantaient le pseudovax et sont tombés pendant ou peu après leur journal… Mais attention Madame, cela n’arrive pas qu’aux autres …

Quant à tous les sportifs blessés ou morts dont la liste s’allonge tristement et tous ces cyclistes qui ont dû abandonner lors de leur épreuve fétiche, fait-elle une croix dessus ?(([15] Le vax tue de plus en plus de célébrités et combien d’anonymes et de vies brisées ? Stoppons le massacre | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))

Et tout ça pour rien puisque les enfants ne font pas de formes graves et ne propagent pas le covid et que de toute manière, les pseudo vaccins sont incapables d’empêcher les transmissions

INFORMONS ENCORE ET ENCORE

ET VOUS SAUVEREZ DES VIES OU ÉVITEREZ DES VIES GÂCHÉES, DES ADULTES STÉRILES, DES BÉBÉS MALADES AUX YEUX MORTS…(([16] #COVID 1984 : Les Premiers « Bébé-Pandémie » Arrivent ! (odysee.com) ))

Eh bien oui, il est temps de trouver le moyen de toucher le plus grand nombre de personnes possible et surtout les victimes de la propagande d’état et les mensonges répétés depuis deux ans et huit mois des chaînes de dites informations continues…

« Des messages qui interpellent, qui choquent certains, mais qui sont pourtant légaux. »

Le premier message qui rappelle le principe de précaution nécessaire devant un médicament expérimental est apparu boulevard de l’Embouchure, près de cet immeuble © Radio France est qualifié d’antivax par Manon Klein

Les libertés de conscience, d’expression et d’affichage sont encore légales en France même si ça déplaît à Manon Klein et aux autres enragés du pseudo vaccin

« Le service juridique de la mairie de Toulouse s’est bien penché sur la question, pour trouver un moyen de faire retirer ces affiches, en vain. En effet, qu’elles se trouvent sur le domaine public ou non, elles ne peuvent être retirées que si elles provoquent un trouble à l’ordre public, ce qui pour le moment ne serait pas le cas selon la municipalité. »

« C’est une société privée, basée en Meurthe-et-Moselle, qui possède les panneaux où sont affichés ces messages. Le fait que ces panneaux soient de propriété privée laisse peu de marge de manœuvre à la mairie, selon cette dernière. »

Les panneaux appartiennent à une société privée
© Radio France — Alexandre Vau

France 3 Occitanie raconte :

« Installé au pied d’un immeuble d’une résidence privée, un panneau publicitaire semblable à tant d’autres. Sur un fond bleu et blanc, on distingue une seringue. De loin, on pourrait croire à une nouvelle affiche de sensibilisation pour la vaccination anti-Covid, mais lorsqu’on lit le message affiché sur le panneau en question, on découvre que c’est tout l’inverse. « Vaccins anti-Covid : 1 accident cardiovasculaire pour 100 injections (…) La santé de nos enfants vaut plus que des vaccins expérimentaux. » Le lieu où a été installé le panneau n’a pas été choisi au hasard, il se trouve en face d’une école élémentaire. […]

À Toulouse, plusieurs panneaux du même type ont été installés ces dernières semaines à différents endroits de la ville. […] »

Et le plus étonnant est que l’ordre des médecins qui a laissé depuis des années des médecins bourrés de conflits d’intérêts raconter les messages de Big Pharma sans déclarer leurs liens avec les labos malgré la loi de 2011 s’empare des revendications d’un médecin de plateau pour saisir le préfet !(([17] Les antivax se payent des pubs à Toulouse, l’Ordre des médecins saisit le préfet de Haute-Garonne.))

INFORMEZ,
PROTÉGEZ LES ENFANTS,
L’AVENIR DE L’HUMANITÉ





Il faut interdire les injections géniques dangereuses et inutiles : au 15 août 2022

Par Dr Nicole Delépine

Selon les CDC, organismes officiels du ministère de la santé américain (un fédéral, et un par état) « le VAERS est un système national d’alerte précoce permettant de détecter les éventuels problèmes de sécurité des vaccins homologués aux États-Unis. » Étant donné le volume des rapports, la sonnette d’alarme devrait être tirée partout. Pourtant, ce n’est pas le cas.(([1] CDC conscient du nombre de rapports d’événements indésirables déposés dans le VAERS sur ces injections de COVID-19, et la façon dont cela contraste fortement avec le nombre de rapports historiques le plan de dotation en personnel et d’opérations a été revu : axé uniquement sur les rapports d’événements indésirables liés aux vaccins après vaccins COVID-19 pour aider à traiter environ 770 000 rapports numériques par an.
Le CDC sait : ils recrutent de nouveaux employés pour faire face au grand nombre de personnes qui, selon eux, soumettront des rapports d’événements indésirables dans le cadre des injections de COVID-19, et ils compensent à cet égard, mais sans reconnaissance publique.
https://jessicar.substack.com/p/a-question-and-answer-document-on))

Les chiffres les plus récents du CDC publiés le 29 juillet 2022 font état de 1 622 882 événements indésirables au total, dont 56 021 rapports d’invalidité permanente après la vaccination, 33 247 événements mettant la vie en danger, 170 749 hospitalisations, 1134 anomalies congénitales et 29 981 décès signalés pour les USA.

600 % de décès supplémentaires signalés au cours des 19 derniers mois par rapport aux 32 années d’existence de la base de données VAERS (reseauinternational.net)

Ce qui frappe le plus tous les commentateurs objectifs est l’augmentation faramineuse de signalements depuis l’introduction des injections géniques, frauduleusement appelées vaccins, en comparaison avec les trente années précédentes. Or ce site fonctionnait de la même manière : signalements, puis vérifications avant publication, depuis ces trois décennies.

La comparaison publiée par le VAERS avec les autres vaccins ne souffre pas de doute : les décès liés aux vaccins sont indiscutablement plus élevés à la suite des injections à ARNm supposées anticovid :

Par million de doses administrées aux USA :

Vax anticovid : vingt décès par million depuis leur autorisation en 2020
H1N1 et tous vaccins entre 2006 et 2019 : 0,5 décès par million

Ces événements « indésirables » « accidents, blessures » selon les termes américains utilisés sont de fait des complications médicales de traitement supposé préventif injecté à des personnes en bonne santé. Est-ce acceptable ? De fait, ces maladies induites peuvent se décliner par catégorie comme ici les myocardites qui touchent particulièrement les jeunes pourtant à risque zéro de covid et ne justifiant donc sous aucun prétexte de recevoir ce poison.

Avant l’autorisation d’utilisation d’urgence des vaccins COVID en décembre 2020, dans toute l’histoire du VAERS, il n’y avait eu que 930 953 événements indésirables signalés sur une période de 32 ans.

En 19 mois seulement, cependant, il y a eu plus de 1,5 million de rapports — et tous concernent les vaccins COVID.

Il y a eu 150 % de plus d’événements indésirables signalés pour un seul vaccin au cours des 19 derniers mois que ce qui a jamais été signalé dans l’histoire du VAERS — pour TOUS les vaccins.

Depuis la création du VAERS en 1990, seuls 5 039 décès ont été signalés au système pour tous les vaccins avant l’approbation des pseudo vaccins COVID-19. Il y a eu près de 600 % de décès signalés en plus pour un seul vaccin au cours des 19 derniers mois que pour l’ensemble des vaccins dans toute l’histoire du système.

La base de données VAERS reçoit normalement entre 30 000 et 50 000 rapports par an, dont environ 8 à 13 % sont classés comme graves (c’est-à-dire associés à une invalidité, une hospitalisation, une maladie potentiellement mortelle ou un décès), selon l’outil de recherche principal VAERS des CDC.

En 2021, le nombre de rapports d’événements indésirables déclarés au VAERS a été multiplié par 30 tous liés à l’injection Pfizer. Selon des documents récemment publiés par la FDA en février 2021, elle a embauché plusieurs centaines d’employés supplémentaires pour traiter les événements indésirables (information pourtant niée par nos pseudo experts des médias).

MALHEUREUSEMENT LE MENSONGE A RÉGNÉ EN MAÎTRE PENDANT LA CRISE COVID.

EXCLUSIF : les CDC admettent avoir communiqué de fausses informations concernant leur surveillance sur la sécurité des vaccins Covid-19 | Epoch Times PAR Z STIEBER 12 août 2022

« les CDC n’ont pas analysé le VAERS pour y déceler des signaux d’alerte précoce en matière de sécurité pendant plus d’un an après le début de la campagne de vaccination, ce qui constitue un dysfonctionnement grave », Il n’y a pas non plus de raison crédible pour expliquer pourquoi ils ont attendu jusqu’au 31 mars 2022 pour calculer les PRR Proportionnas Reporting Ratio (PRR).

LES ENFANTS SACRIFIÉS DU COVID(([2] voir notre livre chez fauves editions par g et n delepine janvier 2022))

Le pire est que les enfants innocents du covid, à risque Zero de cette virose, sont de plus en plus menacés d’une large « vaccination » que les lobbys veulent rendre obligatoire aux USA et en UE obéissante et servile.

Selon R Kennedy, ce serait le moyen de poursuivre la campagne de dépopulation et en se protégeant juridiquement.

Aux USA : « Quand les “vaccins” sont autorisés pour les enfants, les produits pharmaceutiques sont exempts de toute responsabilité et les producteurs ne peuvent être poursuivis en justice, ils sont de fait protégés par le gouvernement fédéral par une loi. C’est ce qu’explique Robert Kennedy à Veronika Krylenko, écrivaine américaine et collaboratrice du média Thenewamerican.com :

« Bien sûr qu’il faut l’abroger (cette loi qui protège les laboratoires). Si vous voulez savoir pourquoi il y a une telle poussée pour vacciner les enfants, il faut comprendre comment la loi fonctionne. En vertu de la Loi CARES et de la loi PREP, l’autorisation d’utilisation des vaccins est protégée par rapport à la responsabilité des entreprises pharmaceutiques. Tant qu’il s’agit d’un vaccin, ils ne peuvent pas être poursuivis, même s’ils sont imprudents et quelle que soit la gravité des complications ou le degré de négligence. Normalement, une fois qu’un vaccin est approuvé, cette protection légale ou “immunité” disparaît et c’est là que nous pouvons les poursuivre, à moins qu’il s’agisse d’un vaccin recommandé pour les enfants, car selon la loi sur les lésions dues aux vaccins pour enfants, tout vaccin recommandé pour les enfants bénéficie automatiquement d’une immunité de responsabilité, même lorsqu’un tel vaccin est administré à un adulte. »

En France, nous assistons à un subterfuge similaire bien que nos lois soient différentes. Il s’agit de faire passer la vaccination Covid dans la liste des 11 vaccins infantiles obligatoires.

La loi sur la vaccination obligatoire a été mise en œuvre par la ministre de la Santé A. Buzyn en 2017.

La justification de santé publique était alors artificiellement construite comme le dénonce un article

des Échos et renvoie également aux conflits d’intérêts entretenus par A Buzyn avec l’industrie pharmaceutique.

Elle a été mise en examen en mars 2020 pour « mise en danger de la vie d’autrui » par la Cour de justice de la République. Au total, sur les 14 500 plaintes liées à la gestion de la crise sur Covid, la Cour de justice de la République en juge seize recevables. Autant dire qu’elle ne risque pas grand-chose… En 2021, elle a même été promue comme directrice générale des affaires multilatérales à l’OMS, organisation en charge de la mise en place d’un passe vaccinal mondial. »

The New American — That Freedom Shall Not Perish. Pourquoi s’acharner à vouloir vacciner les… | Flora Fournier (vk.com)

En France, si les pseudo vaccins étaient rendus obligatoires, les labos seraient protégés, car en cas de plaintes de victimes, ce serait l’État (donc nos impôts) qui paierait les indemnités aux plaignants via l’ONDIAM. Donc si Pfizer et Moderna obtiennent une AMM normale, après les AMM conditionnelles, elles veulent être couvertes en cas de plainte.

En UE, pour que les labos soient dispensés de compensations en cas de plaintes, il faut que cela soit stipulé dans les contrats (mention du contrat rendue illisible, car surchargé en noir même pour les députés européens).

Néanmoins si l’État comme la France rend la vax obligatoire, alors elle doit indemniser elle-même les victimes reconnues via nos impôts. Comme au temps pas très lointain, en Chine, ou la famille devait payer la balle utilisée pour tuer leur fils.

L’agence américaine des médicaments (FDA) et les Centres de prévention et de lutte contre les maladies (CDC, USA) ont autorisé, mi-juin 2022, la vaccination pour les tout-petits, dès l’âge de six mois avec Moderna et Pfizer. Une aberration scandaleuse.

La FDA autorise en effet la vaccination des enfants de six mois à cinq ans. Elle publie un rapport Pfizer et Moderna que tout le monde peut lire où il est écrit que ces vaccins ne sont pas efficaces et qu’ils sont même toxiques ! Elle conclut en disant qu’elle a un doute sur le rapport bénéfice-risque, mais elle fait une exception pour les enfants, sans expliquer pourquoi, et elle autorise des vaccins qui sont efficaces à moins de 50 %.

Et Pfizer va déposer une demande d’autorisation pour cette tranche d’âge auprès de l’Agence européenne des médicaments (EMA)…

Le maire de New York a annoncé que la vaccination des enfants sera obligatoire à la rentrée. Il faut que les parents s’y opposent avec force et vigueur, la vie de leurs enfants est en jeu. À l’évidence, l’Europe va suivre, comme toujours. C’est une folie criminelle

CAR CETTE INJECTION INUTILE EST DANGEREUSE.

INCIDENTS GRAVES ET DÉCÈS CHEZ LES ENFANTS DE 6 MOIS À 5 ANS — DONNÉES RÉCENTES

USA — Depuis le 01/06/2022, 829 enfants âgés entre 6 mois et 5 ans ont subi des effets indésirables à la suite des injections ARN Lésions cérébrales/cardiaques, hallucinations, chocs anaphylactiques, convulsions, hémorragies…
https://medalerts.org/vaersdb/findfield.php

142 New Cases of COVID-19 Vaccine Injuries in Babies Added to VAERS as CDC Now States “Unvaccinated People Have Same Guidance as Vaccinated”—Vaccine Impact par Brian Shilhavy Rédacteur en chef, Health Impact News

142 autres nouveaux cas de complications liées au vaccin CONTRE LA COVID-19 chez les bébés et les tout-petits âgés de 6 mois à 4 ans ont été ajoutés à la base de données VAERS (Vaccine Adverse Events Reported System) gérée par le gouvernement américain aujourd’hui, portant le nombre total de cas déposés pour ce groupe d’âge à 829 depuis que les vaccins ont été autorisés par la FDA il y a quelques semaines en juin. (La source.)

Les lésions cérébrales et cardiaques, les hallucinations, le choc anaphylactique, les convulsions, les éruptions cutanées, les lésions gastro-intestinales, les hémorragies et d’autres affections graves continuent d’être répertoriés comme effets secondaires de ces injections toxiques injectées aux bébés et aux tout-petits.

Les rapports du VAERS suggèrent que l’expérimentation sur des enfants avec des « vaccins » Covid peut les tuer (expose—news-com.translate.goog) Par Joël Smalley

« Rien qu’aux États-Unis, 45 cas d’enfants sont décédés après avoir reçu le “vaccin” Covid. Vingt-sept de ces enfants (60 %) étaient auparavant en parfaite santé. Trois des enfants ont participé aux essais cliniques.

Dans le passé, tout vaccin aurait été retiré après 25 à 50 décès de personnes de tous âges !

Les agences de réglementation et les fabricants de “vaccins” ont toujours nié la causalité dans le cas des injections anticovid et pourtant……

Cependant, la proximité temporelle de l’apparition des symptômes avec la date de “vaccination” seule pour la majorité des rapports indique une causalité vraisemblable.

 Il est également possible que de nombreux autres décès n’aient pas été signalés s’ils ne sont pas survenus à proximité de la date de “vaccination”. De plus, la majorité des causes de décès sont d’origine cardiaque. La proximité temporelle et la cohérence sont deux des critères clés de Bradford Hill pour établir la causalité.

COVID Vaccine Deaths of Children Reported to VAERS. (substack.com) :

Les constatations sur les dégâts des injections, particulièrement inacceptables chez les jeunes à risque zero du covid sont décrites dans de nombreux pays du monde. Quelques exemples :

EN THAÏLANDE

Une augmentation de 18 % des anomalies de l’ECG est notée chez les enfants injectés de 13 à 18 ans. Quel sera leur avenir global et sportif ?

Dr. Kelly Victory : New Thailand study shows an 18% increase in EKG Abnormalities post-jab in 13 to 18 year old. Share.@DavidAvocadoWolfe https://t.me/covidvaxinjury/2169

Même le NewYork Post dénonce les mensonges des autorités sur ces injections expérimentales dangereuses et inutiles, en particulier chez les enfants Dans les médias mainstream et la presse française complice aux ordres : RIEN, silence complet !

https://nypost-com.translate.goog/2022/07/14/us-agencies-arent-following-the-science-on-covid/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=en

Des médecins du monde entier tentent d’informer les parents avant les drames

« Le vaccin favorise la Covid sévère et multiple«  chez les enfants Hélène Banoun(([3] Pharmacien biologiste, ancien chercheur INSERM, membre du Conseil scientifique indépendant.)) explique ici pourquoi les vaccins sont « inefficaces et toxiques » pour les enfants.

Sur le site des statistiques européennes, on voit aussi la surmortalité des jeunes de 0 à 14 ans qui a augmenté à partir de la semaine 21 de 2021 qui est précisément le moment où on a commencé à vacciner les moins de 18 ans.

Même LES BÉBÉS ALLAITÉS sont à risque

ET PENDANT CE TEMPS LA LES AUTORITÉS FRANÇAISES TENTENT D’ÉCOULER ENCORE LES VAX ACHETÉS ET OSENT DIRE :

« Les femmes enceintes et, implicitement, leurs bébés pourraient être injectés sans danger !« 

Ce matin en août 2022, c’est clairement ce message que veulent faire passer les médias mainstream français qui l’affirment sur la base d’une étude de CANVAS alors que les femmes enceintes sont invitées depuis trois semaines à réaliser leur 2e dose de rappel contre le Covid. »

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/les-vaccins-contre-le-covid-19-sont-sans-danger-pendant-la-grossesse-confirme-une-etude-canadienne_5304211.html.

Canvas est une institution très provax depuis sa création et au sein de laquelle on trouve CANImmunize, société bénéficiaire des dons de Bill Gates qui développe une application numérique destinée à permettre aux employeurs de savoir quels sont leurs salariés vaccinés ou non vaccinés et de les tracer. Voici la publication originale du Lancet qui confirme la participation de CanImmmunize dans cette étude « très indépendante »…

https://www.thelancet.com/journals/laninf/article/PIIS1473-3099 (22) 00426-1/fulltext

« Les vaccins contre le Covid-19 serait sans danger pendant la grossesse », prétend cette étude canadienne largement répétée en France. Il ne s’agit pas d’une étude randomisée, mais d’une simple comparaison de cohortes de femmes définies arbitrairement par les auteurs qui peuvent ainsi facilement biaiser la comparaison. Ces femmes n’ont fait l’objet d’aucun examen médical ni biologique, mais ont été seulement interrogées par téléphone ! Et la comparaison des deux groupes a été effectuée au 7jour de l’injection alors qu’on ne peut juger du bon déroulement d’une grossesse qu’après l’accouchement ! Le niveau de preuve de ce torchon est donc proche de zéro ! Sa publication scandaleuse par le Lancet s’explique uniquement par le contrôle de cette revue jadis prestigieuse par RELX de Blackrock, actionnaire numéro 2 de Pfizer, précédemment illustré par l’affaire du Lancet Gate.(([4] https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/video-coronavirus-le-lancetgate-ou-le-naufrage-de-la-science-business_4014381.html))(([5] https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/the-lancet-gate-saga-dune-etude-corrompue-1216931))

EN UE comme aux USA les complications explosent :

Au Canada

Pendant que Bill Gates reçu par Macron et passant au JT de France 2 raconte que seuls les non-vaccinés meurent sans que le journaliste ne l’arrête le Canada publie ses données du 21 mars au 10 avril 2022 : 17,12 hospitalisations pour 100 000 triple vax (en rouge) contre 9,41 pour 100 000 non-vaccinés (en vert) suivis de 2,13 décès pour100000 triple vax contre 1,6 pour 100 000 non-vaccinés. Comment gouvernements, institutions, médecins, médias peuvent-ils mentir à ce point ?

Néanmoins lueur d’espoir : Les CDC affirment que les personnes exposées au COVID n’ont plus besoin d’être mises en quarantaine — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ! est — ce que cela rendra plus raisonnable les dirigeants européens ? pas sûr, mais c’est au peuple de dire « ça suffit »

Aucun symptôme ? Pas de problème.
Vacciné ou non ? Même conseil.
Exposé ? Même pas besoin de quarantaine.
Les étudiants exposés ? Ils peuvent rester en classe, et puis zut, non ?

Et luttons contre la diabolisation des résistants !

Loin d’être marginale, l’opinion selon laquelle les enfants n’ont pas besoin du vaccin anti-covid19 représenterait une minorité significative (pour les cohortes plus âgées) ou une majorité écrasante (pour les plus jeunes) de parents aux États-Unis, au Royaume-Uni et ailleurs.

Les 95 % de parents américains qui ont refusé de faire vacciner leurs enfants de 0 à 5 ans contre le Covid-19 sont-ils « antivax » ? Qu’en est-il des 89 % de parents britanniques qui, à la fin du mois de juillet, avaient refusé de faire vacciner leurs enfants de 5 à 11 ans ?

Bien sûr qu’ils ne le sont pas. Ils reconnaissent simplement que l’extrême discrimination par âge du Covid rend la vaccination inutile pour la grande majorité des enfants par ailleurs en bonne santé, tout comme l’immunité acquise par l’infection. (Source — La diabolisation de la dissidence) »

UN FACTEUR D’ESPOIR EN UE : le Danemark interdit la vax des moins de 18 ans. Qu’il serve de modèle !

« No Longer Possible » : Denmark ENDS Covid Vaccinations For Children Under 18—News Punch August 10, 2022 Baxter Dmitry

LE GOUVERNEMENT MET FIN AUX VACCINATIONS COVID POUR LES ENFANTS DE MOINS DE 18 ANS !!

LE DANEMARK A INTERDIT LES VACCINATIONS COVID POUR LES ENFANTS DE MOINS DE 18 ANS EN RAISON DE L’ABSENCE DE RISQUES GRAVES POUR LA SANTÉ DES JEUNES POSÉS PAR LE « VIRUS ».

L’ANNONCE DE L’AUTORITÉ SANITAIRE DANOISE EST À LA FOIS UNE DÉCLARATION DE LA RÉALITÉ SELON LAQUELLE LES ENFANTS EN BONNE SANTÉ NE COURENT PRATIQUEMENT AUCUN RISQUE AVEC LE COVID-19 ET UN VOTE DE NON-CONFIANCE DANS LE PROFIL RISQUES-AVANTAGES À LONG TERME DES VACCINS À ARNM.

IL NE SERA PLUS POSSIBLE POUR LES JEUNES ET LES ENFANTS DE MOINS DE 18 ANS DE RECEVOIR LE PREMIER VACCIN ET, À PARTIR DU 1ER SEPTEMBRE 2022, IL NE SERA PLUS POSSIBLE DE RECEVOIR LE DEUXIÈME VACCIN.

LES RAPPELS NE SONT PAS RECOMMANDÉS PAR L’AUTORITÉ SANITAIRE DANOISE POUR LES PERSONNES DE MOINS DE 50 ANS.

L’AUTORITÉ SANITAIRE ÉVALUERA ULTÉRIEUREMENT SI TOUTES LES FEMMES ENCEINTES OU SEULEMENT CERTAINES D’ENTRE ELLES DOIVENT SE VOIR PROPOSER LE VACCIN.

AGISSONS POUR INTERDIRE CE POISON PARFOIS MORTEL ET SOUVENT TOXIQUE.





INCENDIES : réintégrons en urgence nos pompiers suspendus

Par Nicole et Gérard Delépine

Les incendies se multiplient. Les 5000 pompiers français suspendus manquent tellement que nous acceptons des pompiers étrangers non vaccinés !

Le président Macron a élevé les pompiers (comme les soignants) au rang de « héros ». Mais en France il ne fait pas bon d’être un héros en période de folie covid. Les héros sont fatigués et sont exclus de leur activité s’ils ne se plient pas aux ukases du président, telle l’injection anticovid expérimentale.

Environ 5000 pompiers professionnels ont ainsi été exclus ou ont fui la profession et de nombreux sapeurs-pompiers volontaires en formation se sont dirigés vers d’autres professions.

Et ces pompiers manquent cruellement sur le front des incendies, comme les soignants eux aussi soumis à l’obligation d’injection manquent aux urgences et dans les blocs opératoires.

Car si nos gouvernants ont été incapables de consolider les services publics de sécurité intérieure (pompiers, hôpitaux, police), ils ont été très performants pour les démotiver en refusant de les écouter et en leur imposant des obligations inutiles et dangereuses.

Pour combler le déficit d’effectifs, le gouvernement mendie des pompiers étrangers non vaccinés d’Allemagne, d’Espagne, d’Autriche, de Pologne et de Roumanie ! Et nos voisins européens, considérant l’inefficacité des injections à empêcher les contaminations et les transmissions, n’ont pas émis d’obligation inutile et ne souffrent pas de pénurie de personnel comparable à la nôtre !

Reprenons la proposition de loi des sénateurs éclairés enregistrée à la Présidence du Sénat le 16 juin 2022.

PROPOSITION DE LOI visant à abroger l’obligation vaccinale des personnels soignants et des pompiers

PRÉSENTÉE par :

Mmes Sylviane NOËL, Sabine DREXLER, Claudine THOMAS, M. Alain JOYANDET, Mmes Annick PETRUS, Laurence MULLER-BRONN, MM. Daniel LAURENT, Alain HOUPERT, Laurent DUPLOMB, Mme Kristina PLUCHET, M. Sébastien MEURANT, Mmes Sylvie GOY-CHAVENT, Christine BONFANTI-DOSSAT, MM. Jean-François LONGEOT, Cyril PELLEVAT et Mme Christine HERZOG, Sénatrices et Sénateurs

EXPOSÉ DES MOTIFS

Mesdames, Messieurs, il y a un peu plus de deux ans, l’épidémie de Covid-19 submergeait brutalement nos hôpitaux. Du jour au lendemain, les soignants ont dû faire preuve d’adaptabilité pour tenter de contrer cette vague épidémique sans précédent dans l’histoire de notre pays. Nos soignants, avec une grande conscience professionnelle, ont pendant cette période enchaîné les journées harassantes, renoncé à leurs congés et jours de repos, tout cela dans des conditions dignes du tiers-monde, sans sourciller. Parce que nous étions « en guerre » contre l’épidémie, ils ont dû faire face avec beaucoup d’ingéniosité et d’abnégation, au péril de leur propre santé. Sans gants, sans masques, ils ont été réduits à recourir au système D : en se fabriquant des blouses avec des sacs poubelles et en réutilisant, encore et encore, des masques usagés, faute de stocks suffisants. Un dévouement sans peu d’égal, qui avait ému les Français, qui chaque soir, étaient réunis à leurs fenêtres à 20 heures pour applaudir ces héros. Puis brutalement, le sort réservé aux soignants a changé : les héros d’hier sont devenus les parias d’aujourd’hui. Alors que l’obligation vaccinale a été rejetée par le Parlement français, laissant à chacun la liberté toute relative face à un pass sanitaire puis vaccinal très discriminant de recourir à la vaccination, les soignants et assimilés (pompiers par exemple) n’ont pas eu ce choix. Ordre leur a été donné d’obtenir un schéma vaccinal initial complet avant le 15 octobre 2021, faute de quoi ils seraient suspendus, sans revenu, sans statut. À compter du 30 janvier 2022, la dose de rappel a été intégrée dans l’obligation vaccinale pour tous les professionnels afin qu’ils puissent continuer à exercer leur activité. Alors que de multiples études montrent que la vaccination n’a que très peu d’incidence sur le portage et la transmission du virus, alors que l’immense majorité des pays ont abandonné cette obligation vaccinale, des milliers de soignants et de pompiers français ont été suspendus parce qu’ils ont choisi d’exercer, comme tous les autres français, leur libre choix à l’égard de ce vaccin. Des dizaines de milliers de héros du quotidien qui font cruellement défaut à notre hôpital déjà exsangue, ainsi qu’à notre chaîne de secours déjà éprouvée par deux années de crise sanitaire. Ainsi, le gouvernement s’est lui-même contraint à rappeler des soignants vaccinés, mais malades du Covid (positifs, donc) au lieu de faire appel à des personnels non vaccinés, mais négatifs et prêts à se faire tester chaque jour si nécessaire. Kafka en rêvait, le gouvernement l’a fait !

Alors que la saison estivale n’a même pas encore débuté et que la plupart des régions vont connaître un afflux de population touristique très important, l’ensemble de nos structures de santé, publiques comme privées, se trouvent aujourd’hui déjà dans une situation extrêmement critique en raison de cette pénurie de personnels soignants. Le maintien de cette mesure discriminatoire portera un coup fatal et irréversible à notre système de santé déjà terriblement éprouvé si nous ne réagissons pas très vite. Chaque jour, faute de personnel disponible, des établissements de santé déprogramment des interventions chirurgicales, des EHPAD gèlent des lits, des centres médico-psychologiques renvoient des patients lourdement handicapés dans leurs familles, des maires déplorent la multiplication des déserts médicaux, des services d’urgence ferment leur porte… Les situations de ce type se comptent par milliers, et plongent des malades et des familles entières dans la détresse. Bon nombre de ces soignants suspendus sans perspective ont d’ores et déjà opté pour une reconversion dans d’autres secteurs d’activité. Dans certaines régions frontalières comme la Haute-Savoie, ces personnels ont choisi d’aller exercer leur activité dans les pays voisins comme la Suisse, où cette obligation vaccinale n’est pas requise. En outre, les récentes mesures adoptées pour favoriser l’attractivité des métiers de la santé ne porteront leur fruit que dans plusieurs années. En attendant, il est absolument vital de ne pas fragiliser encore davantage les effectifs de notre personnel de santé. Cette crise a mis en lumière le malaise de nos soignants, les dysfonctionnements d’un hôpital sur-administré et sous-doté, les défaillances dans les chaînes de décisions.

Alors que nous avons désormais tous repris une vie quasiment normale face à ce virus, il est grand temps de tirer toutes les leçons de cette période moribonde et de remuscler sans tarder notre système de santé. Certains facteurs nécessiteront malheureusement du temps pour être corrigés : le déficit de personnel en fait partie. Il est donc absolument indispensable de supprimer le plus vite possible cette obligation vaccinale pour les soignants, de réhabiliter sans perdre une minute ces milliers d’hommes et de femmes indignement traités par l’État français et de leur accorder, enfin, respect et reconnaissance. Tel est l’objet de la présente proposition de loi qui propose dans son article 1er d’abroger les dispositions de l’article 12 de la loi du 5 août 2021 relative à l’obligation vaccinale des personnels soignants, en les réintégrant aux effectifs des établissements concernés, et dans son article 2 de permette aux agents du service public concernés de conserver l’état d’avancement d’échelon et de grade qu’ils possédaient avant leur suspension.

Proposition de loi visant à abroger l’obligation vaccinale des personnels soignants et des pompiers

Article 1er

La loi n° 2021-1040 du 5 août 2021 relative à la gestion de la crise sanitaire est ainsi modifiée : 1° Le I de l’article 12 est abrogé ; 2° Les articles 13 à 19 sont abrogés.

Article 2

Les agents du service public mentionnés au I de l’article 12 de la loi n° 2021-1040 du 5 août 2021 précitée conservent l’état d’avancement qu’ils possédaient avant leur suspension.

Article 3

Les éventuelles pertes de recettes résultant pour l’État de l’application de la présente loi sont compensées, à due concurrence, par une taxe additionnelle, l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Merci à ces sénateurs courageux dont la clairvoyance se reflète dans un exposé clair et concis. Et regrettons que ce projet de loi soit resté lettre morte pour l’instant.

Alain Houpert

En 2020 les sénateurs ont alerté le gouvernement sur l’état alarmant du matériel aérien de lutte contre les incendies. Deux ans plus tard, rien n’a été fait.

Harold Bernat @bernathoustra

Si je comprends bien, n’hésitez pas à éclairer ma lanterne, on devrait se taper le cul par terre parce que 300 pompiers hors France viennent en renfort quand 5000 pompiers français sont suspendus simplement pour mater sans aucune raison sanitaire à l’été 2022.

#Invendies #Gironde

@EnModeMacaron

Le vaccin ne protège pas de l’infection et de la contamination, mais Macron ne réintègre pas les pompiers suspendus ! 😡 La sénatrice Sylviane Noël veut la réintégration des pompiers suspendus alors que la France brûle ! RT si tu soutiens cette demande !

@DIVIZIO

La France fait venir des pompiers d’ailleurs ! Dont acte ! La presse a donné les pays d’où viennent ces soldats du feu. Du coup demain, méthodiquement, @AssoJNSPUD

va examiner le statut de l’obligation vaccinale dans ceux-ci et si un seul n’est pas soumis à vaccination obligatoire

je ferai immédiatement un recours pour enjoindre au ministre de justifier que seuls des sapeurs-pompiers étrangers vaccinés sont au feu ! Au besoin j’enverrai un huissier directement au lieu où sont les pompiers et leur commandement pour avoir l’info et en tirer les conséquences.

@AssoJNSPU

Vous pouvez commencer : les pompiers allemands NON INJECTÉS… de quoi bien humilier nos pompiers suspendus encore un peu. COMMENT LEURS COLLÈGUES PEUVENT-ILS ACCEPTER ÇA ! ET LEUR SYNDICAT, IL SERT À QUOI à part encaisser le chèque !

@NiusMarco

Les pompiers allemands non vaccinés vont pouvoir éteindre les feux en France. Pas les Français #reintegrezlesPompiersSuspendus

En Pologne, la vaccination covid a été recommandée, mais non obligatoire pour les pompiers.

organic_lover1976

En Espagne la vaccination n’est obligatoire pour personne

ET LES MOYENS ?

Titiart

lorsqu’un #Canadair coûte environ 60 millions d’€, la France en a commandé 2 supplémentaires On est donc incapable de payer 10 ou 15 avions de plus Pendant ce temps les actionnaires du CAC40 se sont partagé 70 milliards d’€ en 2021 ET, SI, ÇA A TOUT À VOIR !

Il faut supprimer l’obligation des pseudo vaccins expérimentaux qui ne sert à rien et réintégrer le plus vite possible pompiers et soignants vaccino-prudents.




L’exclusion des soignants et pompiers non vaccinés est aussi un acte de censure dissimulée

Par Nicole et Gérard Delépine

Les soignants vaccino prudents ainsi que les pompiers, premiers témoins des désastres vaccinaux, ont été exclus du milieu médical, puis ostracisés parce que le ministre ne voulait pas qu’ils parlent, racontent leurs constatations, ni qu’ils servent d’exemple !

Maintenant les hôpitaux, les cliniques obstétricales ferment tandis que les déserts médicaux se multiplient aux dépens des malades.

Il n’y avait aucune raison sanitaire d’exclure les soignants vaccino prudents

Avant la mise sur le marché des vaccins, lors de la première vague, aucune étude n’a prouvé que les soignants constituaient une source notable de dissémination de la maladie. Les 300 covids nosocomiaux répertoriés en France sont dus aux conditions d’attente aux urgences et à l’absence de ventilation efficace des services.

Au moment où le gouvernement a imposé cette obligation, il reconnaissait lui-même que les pseudo vaccins n’empêchaient ni d’attraper la maladie ni de la transmettre donc que les injections des soignants ne pouvaient pas protéger les malades au vu des courbes d’évolution de l’épidémie mondiale publiées par l’OMS.

On pouvait s’en douter depuis plus d’un an, au vu de la flambée épidémique dans les pays précocement et massivement vaccinés, Islande, Royaume-Uni, Gibraltar, Israël alors que l’Afrique et Madagascar peu vaccinés ont beaucoup moins souffert.

Les vaccinés sont aussi dangereux pour les personnes qu’ils approchent que les non-vaccinés. 

Les données sur le mois de juin 2022 de la Direction de la recherche, des études, évaluations et statistiques du ministère de la Santé laisseraient même envisager que la vaccination avec rappel augmente le risque d’infection. La proportion de tests positifs se révèle plus faible chez les non-vaccinés que chez les vaccinés avec rappel (788/100 000 vs 846) dans la catégorie des 40-59 ans, comme dans celle des 60-79 ans (584 vs 757).

Le gouvernement se réfugiait derrière la prétendue protection des formes graves qui s’est depuis elle aussi révélée fausse et qui ne pouvait en aucune manière constituer un argument d’obligation vaccinale.

Alors pourquoi le gouvernement a-t-il imposé cette obligation ?

Il n’y a aucune raison sanitaire de maintenir l’exclusion des soignants vaccino prudents

L’académie de médecine s’est opposée à une éventuelle réintégration des soignants non vaccinés sans aucun argument scientifique. Lorsqu’elle prétend qu’un « revirement mettrait en péril les malades fragiles », elle est incapable d’apporter la moindre étude clinique à l’appui de son affirmation infondée. Et son affirmation est d’autant moins crédible qu’elle a accepté que les soignants covid positifs continuent leur activité auprès de ces malades fragiles…

Elle se réfugie derrière des motifs psychologiques en prétendant croire que la réintégration nuirait au « climat de confiance qui doit exister entre soignants », alors que ceux qui travaillent encore n’attendent que d’être renforcés par leurs collègues et amis.

Elle fait aussi semblant de croire que la réintégration nuirait au « climat de confiance qui doit exister avec les patients » alors que ceux-ci préfèrent avoir des soignants expérimentés plutôt que des vigiles à l’entrée des hôpitaux et que la peur qui en paralyse encore beaucoup n’est pas la conséquence d’un danger réel, mais seulement de la propagande terrorisante qui se poursuit et qu’elle pourrait contribuer à calmer.

Lorsque les vieux retraités de la médecine qui constitue la majorité de l’académie prétendent que « la réintégration ne résoudrait pas les difficultés de l’hôpital », ils paraissent ignorer la réalité du terrain rappelée par les médecins en activité comme Gérald Kierzek(([1] émission Points de vue du 13 juillet 2022.
https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/il-faut-reintegrer-les-soignants-non-vaccines-gerald-kierzek-pousse-un-coup-de-gueule_498050)), Jean-François Cibien, (président de l’intersyndicale Action Praticien Hôpital)(([2]« Ils ne sont pas des parias », s’insurge-t-il.
https://www.midilibre.fr/2022/06/24/crise-a-lhopital-face-a-la-penurie-de-soignants-faut-il-reintegrer-le-personnel-non-vaccine-contre-le-covid-10394277.php)), Yannick Neuder, Patrick Pelloux(([3] https://www.lequotidiendumedecin.fr/actus-medicales/sante-publique/reintegrer-les-soignants-non-vaccines-5-medecins-repondent-sans-langue-de-bois)), Antoine Flahault(([4] https://twitter.com/FLAHAULT/status/1549756425928327168)) pourtant infatigable provax, le professeur Yonathan Freund, urgentiste à l’AP-HP…

« Outre la pénurie de soignants, il est dommage de se priver de compétences et de personnes qui ont donné parfois 20 ou 25 ans à leur métier. Aucune quantité n’est négligeable aujourd’hui. Dans une équipe à flux tendu, quand on enlève une ou deux personnes, c’est très compliqué… On a besoin de tout le monde pour assurer la qualité et la sécurité des soins. »

Quant à la HAS, on comprend mal la base scientifique de son avis, dont la conclusion est en contradiction avec l’exposé. Pour justifier le maintien de l’obligation vaccinale, les experts de la HAS prétendent en effet que « la protection vaccinale se situe entre 45 % et 55 % contre les infections symptomatiques dans les trois mois suivant l’injection » mais se contredisent plus loin en reconnaissant que « le niveau d’efficacité contre les infections après trois mois n’est pas précisément connu à ce jour ». L’absence d’indépendance de la HAS dont tous les membres sont nommés par les politiques a été démontrée ailleurs et fait peser bien des doutes sur la fiabilité de leurs avis.(([5] HONTE A LA HAS EMANATION DU POUVOIR DE REFUSER LA RÉINTÉGRATION DES SOIGNANTS – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

En réalité l’exclusion visait à empêcher que ces soignants et pompiers n’informent les patients avec des informations directes du vécu du terrain (qualifiées de complotistes)

La censure des médecins vaccino prudents, et leur diabolisation, ont commencé très tôt dans les médias excluants systématiquement ceux qui contredisaient les mensonges officiels (tels que l’utilité du confinement et d’autres mesures prétendument sanitaires telles que le masque ou la distanciation des écoliers [!], la qualification « vaccin » attribuée à des médicaments sans antigène ni anatoxine, la nature expérimentale des injections jusqu’en 2023, leur efficacité proclamée de 95 %, leur intérêt chez les enfants…).(([6] AUTOPSIE D’UN CONFINEMENT AVEUGLE, G ET N DELEPINE, ÉDITIONS FAUVES SEPT 2020)) Très vite après les premières injections, les ambulanciers, urgentistes, pompiers ont été frappés par les « accidents » type AVC, crise cardiaque qu’ils étaient amenés à prendre en charge. Et très rapidement ils ont été soumis au SILENCE imposé par leur hiérarchie sous peine de sanctions, voire de licenciement.

Les témoignages personnels et par les réseaux sociaux sont légion de ces personnes soumises à des pressions fortes et déstabilisatrices et dont l’état psychologique est aujourd’hui gravement perturbé, ajoutant à la peur vécue, un sentiment de culpabilité. Ils ont su tôt et n’ont rien dit, en dehors des plus « forts » qui ont osé refuser l’injection et se laisser suspendre et vilipender.

Cette censure des professionnels a été avouée et officialisée par la modification du code de la santé publique obligeant les médecins qui s’expriment à se conformer dorénavant à la propagande gouvernementale.(([7] Le décret du 24 décembre 2020 modifiant l’Article R. 4127 — 19-1 du code de santé publique afin d’interdire aux médecins d’exprimer des opinions divergentes de la doxa officielle))

Elle a été renforcée par le conseil de l’ordre qui a rétabli le délit d’opinion(([8] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-conseil-de-lordre-retablit-le-delit-dopinion)), poursuivi les médecins, et en a condamné pour la simple expression de vérités dérangeantes. Récemment une nouvelle charrette de médecins poursuivis est dénoncée d’autant qu’il s’agit de médecins ayant eu l’extrême audace de soigner et guérir leurs malades au nom du serment d’Hippocrate et contre l’interdiction du ministre Véran d’utiliser l’hydroxychloroquine et les antibiotiques contre ce petit virus (qui a l’outrecuidance de passer à travers les pores des masques imposés).

L’exclusion des soignants vaccino prudents et des pompiers est en réalité essentiellement un acte de censure visant à empêcher les professionnels du soin et de leur accompagnement, conscients de l’inefficacité et surtout des complications des injections rapidement apparues et constatées dans leur pratique quotidienne, d’en informer les patients. Les autres, demeurés dans le système, ont été soumis à la règle du silence absolu et du pseudo devoir de réserve. Demandez-leur !

Cette exclusion fait partie du plan de propagande pro vaccin mis au point avec un cabinet de conseil (McKinsey ?) utilisant la vieille technique des sociétés communistes d’exclure les opposants politiques de leur profession. Ont-ils pris des leçons auprès du PCC(([9] Parti communiste chinois. N’oublions pas que notre gouvernement a suivi à la lettre les règles aberrantes de confinement appliquées en Chine, avant toute épidémie avérée et dangereuse démontrée en France. E. Macron nous expliquait, quelques jours avant d’imposer le confinement strict, qu’il fallait aller au théâtre, vivre normalement. Qui l’a fait changer d’avis en quelques jours ?)) ?

Cette haine contre les opposants à sa dictature sanitaire explique seule leur exclusion du chômage et de toute aide sociale visant à les transformer en SDF.

Seule cette haine contre les résistants peut justifier la persistance de l’obligation en France et en Italie alors que la quasi-totalité des pays européens voisins n’y a pas eu recours ou l’a supprimée

Traiter les soignants vaccino prudents d’antivax est une diffamation

Les soignants qui ont refusé les pseudo vaccins ne sont pas des anti vax : jusqu’à la mise sur le marché conditionnelle des injections expérimentales ils étaient à jour de leurs vaccinations et n’avaient jamais rechigné à administrer à leurs patients de vrais vaccins.

Les traiter d’antivax comme le font couramment ministère et médias constitue donc un mensonge et une injure destinés à les discréditer aux yeux de la population.

Les pouvoirs publics les ont désignés comme de dangereux irresponsables, des antisciences, un comble pour des médecins et infirmiers. L’équivalent, prétendaient-ils, « de matheux contestant les théorèmes les plus solides » alors qu’ils avaient scientifiquement raison.

Avec des vaccins qui empêchent mal la transmission contre Omicron, le refus de la réintégration des soignants vaccino prudents ne constitue donc pas une protection des patients contre le virus, mais une mesure de censure féroce contre la diffusion d’un prétendu « complotisme » dans les hôpitaux. Cette décision aggrave évidemment le vide hospitalier et l’incompréhension des équipes de plus en plus conscientes de la bêtise de cette exclusion sans argument scientifique, relevant d’un totalitarisme qu’ils devinent et ne voudraient pas voir.

Emmanuel Hirsch, professeur d’éthique médicale plaide pour l’apaisement :

« On est dans une société fragilisée, fracturée. On a besoin de retrouver de la cohésion, du lien social, du respect réciproque, de la responsabilisation, et je ne pense pas que cela se fasse en jetant le discrédit et l’anathème sur des personnes qui, au tout début de la crise, sont allées sur le terrain, dans les EHPAD, dans les services hospitaliers sans le moindre soutien, sans les moindres moyens. “Ces soignants ont été souvent considérés comme des héros. Et du jour au lendemain, les répudier d’une manière aussi rapide et brutale me pose problème”.

La réintégration des soignants non vaccinés, ainsi que d’ailleurs des pompiers réfractaires, qui seraient bien utiles sur le front des incendies de forêt, se révèle donc nécessaire. Le pragmatisme y rejoindrait la morale. Toutefois, pour calmer les craintes des patients ayant succombé à sa campagne de communication, il faudrait que les pouvoirs publics admettent avoir cloué au pilori pour rien de nombreux professionnels. Voire, via le pass sanitaire puis vaccinal, commis un chantage à l’emploi et à la vie sociale sur des millions de jeunes et piétiné allègrement leurs droits et libertés au prétexte de les empêcher de contaminer les personnes à risques… sans raison médicale valable ».

Il faut réintégrer immédiatement les soignants et les pompiers scandaleusement ostracisés et supprimer toutes les censures qui empêchent tout débat démocratique depuis plus de deux ans.

Heureusement des voix s’élèvent pour la réintégration des non-vaccinés y compris à l’Assemblée nationale !

La sénatrice Laurence Muller-Bronn prend la défense des soignants suspendus non vaccinés sur France Soir : « On les traite comme… — (les-republicains.net)


Quelques témoignages





L’hystérie climatique remplacera-t-elle l’hystérie covid19 ?

Par Nicole Delépine

« Un pays n’est richesse que d’hommes ».

Jean Bodin, économiste du XVIe siècle.

REFUSONS LE PRINCIPE DU PASS ENVIRONNEMENTAL DÈS MAINTENANT

Il faut bien tenir le peuple en laisse, dans la grande peur, sinon il ne laisserait pas spolier les travailleurs, les vieux, les jeunes, par les milliardaires au pouvoir mondialiste comme durant ces deux dernières années. Mais leurs croquemitaines covid et variole du singe sont de moins en moins crédibles et ces puissants commencent à le comprendre.

Alors passons vite à autre chose en attendant le vaccin miracle antiCO2, antitabac ou ozone… Que sais-je encore ? Ils vont tenter d’instaurer une nouvelle panique qui terrorisera et anesthésiera les citoyens du monde pour leur permettre de poursuivre leurs forfaitures. Ils ont bien préparé le terrain… Le moneypox dit variole du singe aurait dû faire l’affaire, mais c’est mal parti tellement sont rares les patients atteints et tant la ressemblance avec les effets secondaires du covid est frappante. Ils essaient…

LA MISE EN CONDITION DE LA CLASSE BIBERON SUR LE CHANGEMENT CLIMATIQUE

Bien des auteurs attirent notre attention sur cette nouvelle rengaine tellement enseignée aux enfants depuis plus de dix ans. Beaucoup ne savent pas lire, à la sortie de l’école, ni écrire comme en témoignent leurs tristes tweets et même parfois des remarques d’instit dans les cahiers des élèves.

Mais ils savent tous que l’Homme serait responsable du « réchauffement climatique » (mais il paraît qu’on aura froid en 2030, qui sait ?…) et qu’il faut fermer les centrales nucléaires (pourtant innocentes dans l’émission de CO2). En pratique les sectaires écolo qui ont éduqué nos jeunes rouvrent les centrales à charbon. Peu importe, il faut tout mélanger et bloquer toute réflexion via l’intoxication, les jeux, les écrans, la TV.

POURSUIVONS L’INFORMATION SUR LE COVID19 et LE CLIMAT : REMARQUONS LES PARALLÈLES DANS LA PROPAGANDE

Alors, continuons à mettre en garde contre le masque qui rend psychotique à force de le porter(([1] L’affligeante dépendance de certains Humains au Masque, outil d’enfermement : urgent de DÉMASQUER et l’imposture et le peuple ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )), et contre le pseudo vaccin anticovid inefficace et dangereux, même si de bons signaux arrivent comme le renoncement apparent de A Fischer sur la vax des enfants et les aveux de Delfraissy.(([2] Le bal des « morts de trouille » ouvert par Delfraissy — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) Mais ils ne lâcheront pas prise si facilement.

Restons très vigilants, car son successeur pourrait bien nous proposer, voire imposer, un vax miracle contre la variole du singe dont vous ne risquez rien sauf si vous êtes un mâle homo (votre droit le plus entier). Cependant, comme pour le vaccin Gardasil de plus en plus fortement conseillé à tous les garçons, avec tous ses risques sous prétexte de ne pas « discriminer » les garçons homo (à risque pourtant bien faible de cancer anal), généraliser le vax contre la variole du singe — maladie bénigne qui ne touche que quelques groupes à risque — serait médicalement et éthiquement insupportable. Libre à eux de se faire vacciner s’ils le désirent.

LES MISES EN GARDE DES SCIENTIFIQUES SUR LES QUESTIONS ENVIRONNEMENTALES

Tentons de transmettre les appels à la raison de spécialistes du domaine qui crient dans le désert depuis plusieurs années dans le silence assourdissant des médias, comme pour le covid19 depuis deux ans. Le « changement climatique » sera la prochaine « hystérie pandémique » !?… nous dit Robert Bibeau.

 29 juillet 2022 Robert Bibeau 

Un directeur de CNN a été filmé en caméra cachée en train de reconnaître que la chaîne a décidé que le « changement climatique » serait la prochaine « hystérie pandémique » parce que « la peur fait vendre ».

28.29.07.2022.ToddCalender-GBad-Hysteria-climatico-English-Italiano-Spanish

Selon Charlie Chester, directeur technique de CNN :

« le public n’a plus peur du Covid-19 et les élites ne peuvent plus l’utiliser pour contrôler les masses… Les médias ont besoin d’une “histoire” avec “longévité”. »

Project Veritas a publié une série en trois parties exposant Charlie Chester admettant que CNN « inventait des histoires » pour destituer Trump.

Selon Project Veritas, ces enregistrements secrets ont été réalisés alors que Chester avait des rendez-vous sur Tinder avec un journaliste infiltré de Veritas.

Dans la vidéo, on peut entendre Chester dire que « l’histoire de Covid-19 » touche à sa fin et que CNN est prête à commencer à vendre l’histoire du « changement climatique » et à recommencer d’instiller la « peur ».

CLIQUEZ POUR VISIONNER :

Manipulation : Après le covid, le réchauffement climatique ! (lemediaen442.fr)

mise à jour le 03/08/22 place à la dictature climatique !

Quelques lanceurs d’alerte informent sur la manipulation des masses via le climat

Le physicien François Gervais s’oppose à cette manipulation que les médias diffusent. À la base de ses arguments scientifiques : le cycle de Milankovic.(([3] https://www.nice-provence.info/2020/12/07/co2-produit-par-homme-n-influence-pas-climat/)) Ses détracteurs ne paraissent pas l’innocence même en termes de conflits d’intérêts.(([4] Dans le Monde « Les contre-vérités du dernier pamphlet climatosceptique », le climatologue F-M Bréon critique le livre de F Gervais : « L’innocence du carbone ». Innocent de conflits d’intérêts ce climatologue à l’IPSL ? Financé par EDF et EIT Climate-KIC. L’européen EIT financé par Air Liquide, CEA, Danone, Engie, KLM, The Carbon Trust, Veolia, WWF, entre autres… Depuis oct 2020, FM Bréon est président de l’Afis.  Glyphosate et pesticides en tous genres, cf Elise Lucet dans Envoyé spécial, ont trouvé leur défenseur : l’Afis. Comme pour le covid19 et les précédents scandales sanitaires, les conflits d’intérêts sont au cœur du drame.))

[Transféré de LANAGR – Lutte anti-NOM et Grande Réinitialisation] sur Telegram

Sur Twitter, Telegram, et Cnews via Ivan Rioufol, également des appels au bon sens

#Climatocircus (https://t.me/climatocircustchat) —

Il y a des mois et des mois, voire des années que certains alerteurs, nous prévenaient qu’après le pass sanitaire et le pass vaccinal, les gouvernements vont tenter de nous imposer un projet de pass climatique ou pass carbone pour restreindre et contrôler toujours plus les populations.

Les médias nous faisaient passer pour des complotistes ! Voilà maintenant que des médias mainstream évoquent ouvertement un « pass climatique ». Qu’ont à dire les moutons naïfs et les pro-système qui ont traité les anti-pass et les anti-Nouvel Ordre Mondial de complotistes ?

LANAGR — Lutte anti-NOM et Grande Réinitialisation : https://t.me/lutteantinometgrandresetTchat et partage d’infos Mensonges d’États : https://t.me/mensongesdetatstchat

LES DOUZE MENSONGES DU GIEC

Grâce à Y Rioufol et son émission sur Cnews, nous avons découvert l’ingénieur polytechnicien Christian Gerondeau et son livre « religion écologique 2 » qui nous a permis d’obtenir des réponses sur les interrogations qui nous travaillent depuis longtemps, ayant une conscience diffuse de la supercherie ambiante.

Le scénario Greta Thunberg(([5] « Greta Thunberg, icône d’un écologisme naïf » (lefigaro.fr) )) nous avait éveillés aux mensonges mondialistes sur le sujet tant la mise en scène de cette enfant manipulée était énorme. Depuis lors, notre vigilance était éveillée et cette émission de Cnews et surtout la lecture du livre de C. Gerondeau ont confirmé nos doutes.

Dans son dernier livre, il revient sur le déroulement de la COP 26 de Glasgow en Novembre 2021, puis dénonce les agissements du GIEC (organisme politique qui prétend parler « au nom de la science »), les « douze contre-vérités majeures qui constituent le socle de la religion écologiste qui règne aujourd’hui en Occident.(([6] Les 12 mensonges du GIEC sur le climat (polemia.com) ))

La dernière « Conference of Parties » (COP) n’a pas entériné la « fin du charbon », les représentants indien et chinois ont obtenu la rédaction d’un texte non contraignant.

En conséquence, ces deux pays les plus peuplés du monde (et les USA) continueront à émettre sans limites réelles du CO2, contredisant définitivement les résolutions solennelles des 25 COP précédentes. On peut constater que depuis cette réunion, l’Allemagne en a profité en remettant en marche ses mines de charbon (qui nous envoie ses nuages de pollution) et que la France s’apprête à en faire de même au prétexte mensonger de punir la Russie !(([7] Centrale à charbon de Saint-Avold : une réouverture déjà prévue après trois mois de fermeture (la-croix.com) )) C’est dire la fiabilité de ces grands rounds cinématographiques qui mobilisent les médias pendant des semaines et régalent les participants de petits fours et champagne au minimum.

Le Giec, que nos médias appartenant aux milliardaires nous présentent en permanence comme une instance scientifique, n’est en réalité qu’un comité politique.

1) «  Le GIEC agirait pour le bien de l’humanité »

Ce mantra est vite démonté par l’auteur lorsque l’on découvre sa composition. Le GIEC Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat a été créé en 1988, à la demande du G7 par le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) et l’Organisation météorologique mondiale (OMM). Il rassemble 195 États membres par l’Organisation Météorologique Mondiale et le Programme pour l’Environnement des Nations Unies.

Comme toutes les institutions onusiennes (l’OMS par exemple), le GIEC n’est pas une association de personnes physiques, mais une association de pays : ses membres sont des nations, non des personnes physiques. Aucun individu — et en particulier aucun chercheur — ne peut être membre du GIEC « en direct » : les personnes qui siègent aux assemblées du GIEC ne font que représenter des pays membres et sont bien souvent des politiques non scientifiques.

Tous les pays membres des Nations Unies sont membres du GIEC (deux exceptions, Taiwan et le Vatican –) Il ne s’agit donc pas d’un organisme de recherche, mais d’un groupe qui effectue une évaluation et une synthèse des travaux de recherche menés dans les laboratoires du monde entier. Le GIEC effectue une revue de presse : il examine et synthétise ce qui s’est publié dans la littérature scientifique sur la question de l’influence de l’homme sur le climat (et par voie de conséquence sur le fonctionnement du climat, avec ou sans hommes).(([8] Qu’est-ce que le GIEC ? — Jean-Marc Jancovici site intéressant à consulter pour connaître les méthodes de travail du Giec, mais qui est inquiétant quand il affirme que toutes les conclusions du Giec sont des certitudes : «  On peut donc considérer que tout ce qui fait l’objet d’un consensus dans les rapports du GIEC peut être tenu pour une certitude. Il en va ainsi, en particulier, des conclusions suivantes :
« la concentration de l’atmosphère en CO2 est plus élevée qu’elle ne l’a été sur les 800 000 dernières années, cette augmentation entraîne un changement climatique dont l’une des caractéristiques (mais pas la seule) est une augmentation de la température moyenne de la planète au niveau du sol. C’est l’ampleur de ce réchauffement qui demeure un objet de débat, mais pas le fait que globalement le climat va changer et en particulier la moyenne des températures va monter ».
Or en science qui peut oublier le « doute fertile » ?))

Seuls les revues scientifiques à comité de lecture ou les travaux en cours dans les laboratoires de recherche sont pris en compte). Mais chacun a pu constater pendant la crise du covid que les revues ne sont pas financièrement indépendantes et que, comme en médecine, elles publient ce qu’elles veulent ou plutôt ce que veulent leurs financeurs. Les opposants à la thèse du réchauffement climatique qui serait uniquement lié à l’activité humaine ont le plus grand mal à se faire publier et à obtenir, qui plus est, des crédits de recherche. Or l’argent est le nerf de la guerre…

En faisant croire qu’il serait possible de se passer des énergies fossiles, le GIEC entraîne tous les pays qui le suivent sur la voie de dépenses et de contraintes inutiles aux très lourdes conséquences. Les pauvres et les plus déshérités en sont les premières victimes.

Ainsi, l’électricité, indispensable pour de multiples usages clé de sortie de la pauvreté, mais cette énergie ne peut être produite en grande quantité que par le recours à des centrales hydroélectriques, nucléaires ou thermiques et non par des sources intermittentes peu efficaces et peu durables comme les éoliennes ou les panneaux photovoltaïques.

Dans les pays en développement, les centrales à gaz ou à charbon demeurent les seules solutions réalistes. En préconisant à un pays comme l’Inde de ne pas émettre de CO2, le GIEC condamne à la famine une grande partie de sa population.

2) deuxième mensonge : le Giec et ses affidés veulent faire croire que les énergies renouvelables peuvent remplacer le pétrole et les autres énergies fossiles

Or les énergies renouvelables ne peuvent répondre au maximum qu’à 10 % des besoins énergétiques de l’humanité et non à 80 % comme l’affirme le GIEC.

En Allemagne, où plus de 300 milliards d’euros ont été dépensés pour couvrir le pays de plus de 30 000 éoliennes et de millions de panneaux photovoltaïques, ceux-ci ne lui procurent qu’un peu plus d’un tiers de son électricité, c’est à dire moins de 8 % de son énergie finale, les 92 % restants étant principalement fourni par le pétrole, le gaz naturel et le charbon.

Le but de l’UE et pays aux ordres de supprimer entièrement le recours aux énergies fossiles pour en finir avec les émissions de CO2, en 2050 ou en 2100, relève donc de l’utopie ou plutôt d’un mensonge absolu pour faire accepter au peuple ces énormes dépenses pour les éoliennes, par exemple dont on ne sait que faire trente ans plus tard et dont le démantèlement obligatoire coûte énormément d’argent. Et nous avons tous rencontré des éoliennes à l’arrêt qui défigurent la France ! Quant à leurs dangers, ils ont été bien cachés, mais les chutes et les feux deviennent visibles.(([9] Il aura fallu 4 camions de pompiers et 15 hommes pour éteindre une éolienne toute neuve ayant pris feu en Côtes-d’Armor
https://www.epochtimes.fr/cotes-darmor-eolienne-toute-neuve-feu-demande-lintervention-de-4-camions-de-pompiers-15-sapeurs-pompiers-a-bourbiac-2085354.html
👉 t.me/Epochtimesfrance
➡️ La mise en service de ce parc éolien est toute récente))(([10] 13/10/2019 « Les éoliennes, tout sauf écologique »
Découvrez ce que le lobby du vent vous cache sur les éoliennes
https://www.lanceurdalerte.info/2019/10/13/les-eoliennes-tout-sauf-ecologique/))(([11] https://arr.bzh/img/appel%20%C3%A0%20projet.pdf
NB : Le lieu d’implantation de ce projet d’éoliennes n’est pas le lieu de l’incendie, mais relativement proche.
L’actualité montre qu’ailleurs en France, des éoliennes sont implantées dans des zones Natura 2000 ou en pleine forêt, malgré les avis défavorables des conseils municipaux, des enquêtes publiques et de diverses associations locales de protection de la nature ou du patrimoine.
En effet, les éoliennes industrielles bénéficient d’une procédure spécifique pour leur implantation — dans laquelle les industriels peuvent par exemple obtenir une dérogation pour « destruction d’espèces protégées ». Et malgré les possibles recours, c’est finalement le préfet qui a le dernier mot.
‼️‼️ Plus d’infos et pétition à signer ici : https://arr.bzh/eoliennes/))

« Après la chute d’une éolienne à Plémet, c’est une éolienne de Bourbriac qui prend feu. Personne ne pourra désormais nous dire que l’énergie éolienne est sans danger. Bretagne

https://actu.fr/bretagne/bourbriac_22013/une-eolienne-en-feu-a-bourbriac-pres-de-guingamp_52957609.html »

3) un mensonge de plus pour faire peur serait le manque imminent de pétrole

Malgré les prévisions pessimistes des années 1970, les réserves connues représentent actuellement cinquante ans de consommation, sachant que les réserves réelles sont très largement supérieures.

4) le cinéma de la mer qui va nous submerger ne correspond pas à la réalité

Il s’agit d’une des peurs ancestrales de l’humanité déjà présentée dans la bible comme le « châtiment de dieu », mais les satellites constatent seulement une montée des eaux de 2 à 3 millimètres par an depuis une quarantaine d’années ; au rythme actuel il faudrait dix mille ans pour que Paris devienne enfin Paris sur mer. On va devoir attendre…

5) La température devrait s’élever dramatiquement

Cette peur, fondement central de la communication du GIEC n’est pas démontrée.

Au cours des 40 dernières années, les satellites ont relevé une croissance de l’ordre de 0,013 à 0,020° par an, ce qui conduirait à une hausse de l’ordre de 0,4 à 0,6° en 2050, si elle se poursuivait inchangée.

« De 1910 à 1940, le globe avait déjà connu pendant trente ans un rythme analogue de croissance de la température avant d’entrer dans une phase de décroissance jusqu’en 1975, à tel point que les médias unanimes et de nombreux climatologues de l’époque pronostiquaient l’arrivée imminente d’un nouvel âge glaciaire ! »

6) Les réfugiés climatiques vont-ils déferler ?

Depuis 1950, la hausse des températures dans les zones équatoriales et subtropicales a été d’environ un demi-degré Celsius !

Les migrations proviennent plutôt du vol des richesses par l’Occident, de leurs matières premières, de leurs semences, et des interventions inopportunes dans les pays africains qu’on devrait laisser libres au lieu de continuer à les pousser à suivre nos modes de vie et de raisonnement économique.

L’immigration majeure organisée par Soros et ses amis mondialistes n’a rien à voir avec le climat, mais bien avec la volonté de détruire l’Occident dont les populations sont trop réfractaires à leurs projets.

7) Le changement climatique serait responsable de toutes les catastrophes

Il n’y a qu’à tenter de regarder les abominables journaux TV lors d’une catastrophe climatique.

“Lors des nombreuses catastrophes naturelles qu’a connues l’humanité, dont beaucoup sont sorties de la mémoire collective, personne n’aurait eu l’idée de rendre responsable le « changement climatique » d’origine humaine comme le fit sans scrupules Angela Merkel au sujet des inondations en Allemagne survenues en 2021”.

En revanche silence contre la bétonisation à outrance dans les villes et les campagnes et l’assèchement des marais, qui compromettent le stockage naturel des eaux de pluie et aggravent les périodes de sécheresse.

8) Les ours blancs seraient en danger

Ces plantigrades carnivores ont failli disparaître il y a une cinquantaine d’années à cause des chasses incontrôlées auxquelles les autorités canadiennes ont mis fin en 1975 et la situation s’est normalisée. Les ours blancs existent depuis des centaines de milliers d’années et leur espèce a traversé des successions de phases glaciaires et interglaciaires.

Et peut-être n’ont-ils pas une bande à Bill Gates et Soros pour vouloir les faire disparaître par tous les moyens, famine, vax toxiques, guerre, etc.. La terre est immense et très vide dans de nombreux endroits et le mythe de la surpopulation qu’on ne pourrait pas nourrir est organisé par les milliardaires fous et psychotiques qui cherchent à faire disparaître tous les hommes qui ne leur sont pas « utiles » à leurs menus plaisirs ni adeptes de leurs coutumes.(([12] Le mythe de la surpopulation — Les Observateurs occasion de montrer, à l’aide, entre autres, de l’article consacré au malthusianisme par le « Dictionnaire du libéralisme »[1], que la surpopulation est un dogme d’une religion sans fondements.))(([13] Elon Musk déclare que « la plus grande menace » à laquelle l’humanité est actuellement confrontée est « l’effondrement de la population » (anguillesousroche.com)
Elon Musk : « La civilisation va s’effondrer » si les gens n’ont pas plus d’enfants (anguillesousroche.com) ))

9) Le CO2 serait un polluant(([14] Le grand mensonge écolo que presque tout le monde prétend croire — Aube Digitale L’affirmation fantaisiste selon laquelle le CO2 est un polluant a été inventée de toutes pièces.))

Affirmation pour le moins audacieuse et que leurs médias aux ordres ont réussi à passer dans la jeune génération élevée par les enseignants pour un bon nombre au biberon de la pseudo écologie. En conséquence des adolescents croient que les centrales nucléaires font du CO2…

Il y a trente ans, personne n’aurait osé qualifier le CO2 de polluant. Car le gaz carbonique est indispensable à la vie en tant qu’élément central de la photosynthèse. Sans CO2 les plantes n’auraient pas de feuilles qui leur permettent de respirer et de nous fournir l’oxygène qui nous est indispensable. Nous en émettons nous-mêmes à chaque respiration de même que les vaches, notre amie nourricière qu’ils voudraient faire disparaître comme ils ont commencé aux Pays-Bas suscitant la révolte des agriculteurs.

L’accroissement de la présence de CO2 dans l’atmosphère depuis les débuts de l’ère industrielle a eu deux conséquences bénéfiques, à savoir que la planète reverdit (lorsqu’on ne coupe pas tous les arbres, comme trop de maires se le permettent, dont celle de Paris) et que la productivité des récoltes est meilleure.

« Vérité n° 1 avant le pass climatique, foutre l’économie française en l’air, imposer des restrictions dans notre malheureux pays surendetté, désindustrialisé, fera plaisir aux Khmers verts, mais ne contribuera pas à la réduction des émissions de CO2…

Le monde émet 35 milliards de t de CO2, dont 10,7 pour la seule Chine et 4,7 pour les États-Unis. La France avec 0,26, représente 0,7 du total mondial, moins que le Qatar et les Émirats (dix fois moins peuplés)

Il y a 40 ans les émissions mondiales ne s’élevaient qu’à 19 milliards de t, dont 1,5 pour la Chine, 4,7 pour les États-Unis et 0,51 pour la France qui représentait alors presque 3 % du total mondial

Il n’est pas évident que les pets de nos vaches expliquent l’augmentation du gaz carbonique qui par ailleurs n’explique peut-être pas un réchauffement climatique qui lui-même n’est pas évident…

Mais tout çà c’est trop compliqué pour un journaliste, la France n’est pas responsable du CO2 pas plus que nos vaches »(([15] EN 40 ANS LA FRANCE A RÉDUIT DE MOITIÉ SES ÉMISSIONS DE CO2, la sobriété française ne sauvera pas la planète et en plus rien ne prouve que le CO2 impacte les températures… | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com) ))

10) L’écologie favoriserait l’emploi et la croissance

Énorme duperie qui a fait plier trop de communes grâce aux subventions énormes pour leur laisser installer les éoliennes qui massacrent le paysage et finalement leurs finances. Car en fin d’exploitation c’est à la commune ou au propriétaire du champ loué qui deviennent propriétaires de l’éolienne en fin de contrat, et responsables de son démontage horriblement coûteux :

« Une association du Massif central a obtenu un devis d’une société de démolition industrielle et de récupération de matériaux pour évaluer le coût du démantèlement d’une centrale éolienne. Cette société est agréée pour réaliser ce type de travaux, elle possède le certificat ISO 14 001 correspondant. Cette estimation est donc entièrement crédible. Le devis se monte à 900 000 € pour une éolienne de 3 MW »(([16] https://environnementdurable.net/documents/pdf/demantelementtotal-sn.pdf))

Arnaque grand A !

En réalité, les dépenses consenties au nom de l’illusion vaine de « sauver la planète » détruisent massivement des emplois dans le secteur industriel et n’aident jamais nos agriculteurs, surchargés de normes souvent inutiles, à survivre dignement.

11) Le GIEC serait un groupe d’experts

Le mot « expert » ne figure pas dans la dénomination anglaise (« Intergovernmental Panel on Climate Change ») du GIEC, organisme non scientifique, mais politique regroupant 195 pays dont les représentants n’ont pour la plupart aucune expertise en matière de climat.

« Depuis sa création en 1988, cet organisme a compté quatre présidents dont aucun n’était climatologue. Les deux premiers étaient météorologistes (ce qui est entièrement différent), le troisième ingénieur des chemins de fer, et le dernier économiste.

En 2021, le rapport de 4 000 pages de la co-présidente, la Française Valérie Masson-Delmotte, indique qu’il a été élaboré par 751 auteurs issus de 66 pays (existe-t-il tant d’experts qualifiés du climat répartis dans autant de pays ?), tout en citant 14 000 références et en mentionnant avoir fait l’objet de 78 007 commentaires ! En fait, les conclusions rendues publiques émanent d’un petit groupe de rédacteurs finaux qui n’ont fait que reproduire en l’aggravant le contenu des cinq rapports précédents. »

12) Les scientifiques seraient unanimes

Vous assistez depuis deux ans et demi à la pseudo-unanimité des scientifiques dans le domaine du Covid et vous en voyez les monstrueuses conséquences d’appauvrissement, et de mortalité à la suite des confinements et autres mesures restrictives de liberté et des complications des injections géniques appelées abusivement vaccins.(([17] Balance avantages/risques des injections anti-covid19, au 28 juin 2022 — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)
ARRÊTEZ LES INJECTIONS ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Ce sont les mêmes mondialistes eugénistes qui possèdent les médias et censurent tous les avis contradictoires sur les réseaux sociaux.

Nous devons boycotter Facebook et autres Instagram qui intoxiquent la jeunesse entre autres et font le black-out sur de sérieux scientifiques qui dénoncent les mensonges.

« Depuis la création du GIEC, de nombreux scientifiques ont dénoncé et continuent à dénoncer ses affirmations. Ainsi, en 2019, 500 scientifiques, parmi lesquels des titulaires de Prix Nobel, ont adressé au Secrétaire Général des Nations-Unies une déclaration restée sans réponse, intitulée “Il n’y a pas d’urgence climatique”. »

Les six paragraphes sont les suivants :

  • 1/ Le climat terrestre a toujours varié 
  • 2/ Le réchauffement actuel est beaucoup plus lent qu’annoncé 
  • 3/ La politique climatique repose sur des modèles inadaptés 
  • 4/ Le CO2 est la nourriture des plantes, la base de toute vie sur terre
  • 5/ Le réchauffement climatique actuel n’a pas accru les désastres naturels
  • 6/ La politique doit respecter les réalités scientifiques et économiques

Le moment est venu de faire appel à la science, la vraie, celle qui repose sur des faits et non des hypothèses. D’après l’article de Johan Hardoy 07/06/2022(([18] Le bal des « morts de trouille » ouvert par Delfraissy — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

BATTONS NOUS CONTRE LE PASS CLIMATIQUE AUSSI FORTEMENT QUE CONTRE LE PASS SANITAIRE SON FRÈRE !

Nos libertés n’existent que tant que nous les défendons.
Si on accepte une restriction de celles-ci,
quel qu’en soit le prétexte,
nous ne savons pas si on les récupérera un jour.
Vive la liberté !

⁦@nstweetfr‬⁩

Aujourd’hui, on commence à parler de pass climatique, ce qui est complètement fou quand on sait que China Coal, une entreprise de charbon basée à Pékin, a émis à elle seule plus de 3,8 milliards de tonnes de CO2 en 2020, soit plus que l’ensemble des pays européens la même année. pic.twitter.com/74xZXP90ZL‬‬‬‬‬‬





Journal des bonnes nouvelles (au 4 août 2022) : le monde se réveille

Par Nicole et Gérard Delépine

Le combat paye, mais lentement. Contre la dictature des milliardaires, on ne livre pas une guerre éclair, mais une longue guerre d’usure pendant laquelle il ne faut pas se décourager. Ce petit journal rappelle les petits pas en avant que nous avons obtenus avec quelques références pour vous convaincre que la situation s’améliore doucement, mais sûrement. Pour remonter le moral de ceux qui commençaient à craquer.

Mais attention ce sont des signes du début de la fin, mais pas la fin. Il ne faut surtout pas baisser la garde ! Le Nouvel ordre mondial est richissime et a plus d’un tour dans son sac. Poursuivons à tous niveaux en particulier sur le plan juridique : plainte pour accidents de vax, plainte pour défendre les soignants suspendus, plainte contre abus de pouvoir des hôpitaux qui continuent à exiger le pass contre la loi, etc.. Nous commençons à marquer des points qui doivent nous encourager à poursuivre, mais ne surtout pas nous endormir. Comme l’a dit B. B. (Bertold Brecht) à propos du fascisme du dernier siècle : « Le ventre est encore fécond, d’où a surgi la bête immonde ».

Les oppositions ont réussi à s’unir contre le renouvellement éternel de la loi d’urgence

France — Demi-victoire de la nouvelle Loi de sécurité sanitaire — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)
Avouez que l’on n’y croyait pas ou peu. Loi d’Urgence, encore un mot dévoyé pour nous voler nos libertés

Encourageons les citoyens à poursuivre le combat par l’information large de tous sur la mascarade covid19 que nous vivons encore. Un grand pas a été franchi par la fin de la loi d’exception grâce à la nouvelle assemblée dans laquelle E. M. n’a plus la majorité absolue. Les élections législatives, les multiples vidéos, les articles sur des centaines de supports variés et les manifestations ont réussi à éveiller un certain nombre de concitoyens et de parlementaires. Le combat paie. Il faut le poursuivre avec ténacité et assiduité.

En effet, la volonté des puissants de maintenir la population dans la peur du covid ou de son prochain variant ou autre cousin ou la variole du singe est manifeste, car les mondialistes veulent continuer à nous terroriser pour que nous ne défendions plus nos libertés et nous forcer à nous faire injecter. Les publicités mensongères à répétition du ministère de la Santé poussant à l’injection sur les écrans de télévision en témoignent. La prise de parole du directeur de l’OMS qui veut reproduire le scénario covid avec la variole du singe qui est une maladie généralement bénigne (même si son aspect cutané n’est pas ragoûtant) en témoigne. Nous ne laisserons pas faire ce terroriste des épidémies et y reviendrons.

Fauci et de hauts responsables de Biden sont cités à comparaître devant des juges

Fauci et de hauts responsables de Biden sont cités à comparaître dans le cadre d’une action en justice alléguant qu’ils ont collaboré avec les médias sociaux pour supprimer la liberté d’expression | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation

Fauci et de hauts responsables de Biden sont cités à comparaître dans le cadre d’une action en justice les accusant d’avoir incité et collaboré avec les médias sociaux pour supprimer la liberté d’expression

Les hauts responsables de l’administration Biden — dont le Dr Anthony Fauci — et cinq géants des médias sociaux ont 30 jours pour répondre aux citations à comparaître et aux demandes de communication de pièces dans le cadre d’une plainte accusant le gouvernement Biden d’entente avec les sociétés de médias sociaux pour supprimer la liberté d’expression « sous couvert de lutte contre la désinformation. »

La présidente de la Children’s Health Defense (CHD), Mary Holland, qui est également l’avocate générale de la CHD, a salué la décision juridique d’instruire la plainte :

« La CHD salue l’annonce de cette décision révolutionnaire du juge Doughty du district occidental de la Louisiane, qui découvre si l’administration Biden a violé le premier amendement par la censure.

« Pendant deux ans, la CHD et de nombreux autres médias n’ont pas été en mesure de comprendre les mécanismes par lesquels nos principales plateformes médiatiques ont impitoyablement censuré, supprimé et déformé nos informations.

« Maintenant, grâce au processus de découverte que le juge a autorisé, nous allons découvrir comment Meta, Instagram, Twitter et YouTube ont été de connivence avec le gouvernement fédéral pour freiner la soi-disant “désinformation” et “mauvaise information”. C’est un nouveau jour. »

Fauci, les CDC, le secrétaire de presse de la Maison-Blanche et d’autres doivent remettre les documents demandés par les juges.

NorthShore University HealthSystem va indemniser les soignants vaccino prudents discriminés

Un règlement de 10,3 millions de dollars a été conclu dans le cadre du premier recours collectif contre le vaccin obligatoire COVID impliquant des travailleurs de la santé. | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation

Pour clore le premier procès collectif intenté par des travailleurs de la santé discriminés pour leur refus de l’obligation vaccinale COVID, Liberty Counsel a accepté de régler, pour plus de 10,3 millions de dollars d’indemnisation.

Le règlement de l’action collective contre NorthShore University HealthSystem est au nom de plus de 500 travailleurs de la santé actuels et anciens qui ont été illégalement discriminés et se sont vus refuser des exemptions religieuses du mandat de vaccination COVID.

Le règlement convenu a été déposé aujourd’hui devant le tribunal fédéral du district nord de l’Illinois.

À la suite du règlement, NorthShore paiera 10 337 500 $ pour indemniser les 500 soignants (en moyenne 20 000 dollars par soignant) qui ont été punis pour leurs croyances religieuses contre la prise d’une injection associée à des cellules de fœtus avortés.

Il s’agit d’un règlement de recours collectif historique, le premier du genre, contre un employeur privé qui a illégalement refusé des centaines de demandes d’exemption religieuse pour les vaccins COVID-19. Le règlement doit être approuvé par le tribunal fédéral du district.

Espérons qu’il fera jurisprudence et qu’il sera suivi de beaucoup d’autres contre les employeurs américains abusifs

En Espagne : la justice donne 10 jours à l’État pour dévoiler tous les contrats signés avec Pfizer

Par Cheikh Dieng – 2 août 2022

La justice baléare a accordé à l’État espagnol un délai de dix (10) jours pour lui fournir tous les contrats signés avec Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson et AstraZeneca dont les vaccins anti-Covid ont été déployés sur le territoire espagnol durant la pandémie à Coronavirus. Une nouvelle qui déclenche l’immense joie de l’Association espagnole Liberum, laquelle n’a cessé d’exiger que ces contrats soient rendus publics par respect aux citoyens

« Un malheur ne vient jamais seul », dit l’adage. Et Pfizer semble l’avoir bien compris.

En tout cas, moins d’un mois seulement après la décision de la justice uruguayenne du 8 juillet 2022 d’obtenir des informations sur le contenu chimique du vaccin du labo américain,

mais Pfizer préfère ne pas distribuer son injection plutôt que de faire ce que la justice lui demande.

VOUS N’AVEZ PAS À PRÉSENTER DE TEST À L’ENTRÉE D’UN HÔPITAL OU D’UNE CLINIQUE

Fabrice Di Vizio alerte : « Ne faites plus de tests Covid-19 ! Cette histoire aussi c’est terminé ! » (Vidéo complète) — Dissident Officiel tweet du 2 aout 2022 Les hôpitaux n’ont plus le droit de demander de test Négatif ! C’est au surplus confirmé par une circulaire DGS 2022-69 que je mets sur le nouveau site de l’association qui sort demain matin dit Fabrice di Vizio

Voici le lien vers la circulaire (à imprimer et à présenter le cas échéant) :
https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/dgs-urgent_n2022_69_evolution_esms_fin_eus.pdf

Si difficultés ET ABUS DE POUVOIR faire acter le refus et le communiquer à l’association de Fabrice Di Vizio

juriste@jenesuispasundanger.com adresse correcte vérifiée

Les victimes des complications des vaccin COVID sont progressivement indemnisées dans le monde entier

COVID Vaccine Injuries Quietly Being Compensated Around the World, Are You Eligible? + More • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org)

Les morts, myocardites, accidents vasculaires et les autres complications causées par le vaccin contre la COVID sont progressivement indemnisées dans le monde entier, y êtes-vous admissible ?

En Australie plus de 10 000 victimes des vaccins vont être indemnisées selon le « COVID-19 Vaccine Claims Scheme »(([1] https://www.health.gov.au/initiatives-and-programs/covid-19-vaccine-claims-scheme)) pour les effets secondaires, rapporte le Sydney Morning Herald. Si chacune de ces demandes est approuvée par les autorités, le gouvernement se retrouverait ainsi avec une facture à payer de 50 millions de dollars australiens, soit environ 32 millions d’euros.(([2] https://www.bloomberg.com/news/articles/2021-11-16/australia-faces-compensation-bill-for-vaccine-side-effects-smh))

La Nouvelle-Zélande vient de créer un schéma d’indemnisation semblable(([3] https://catalogue.data.govt.nz/dataset/vaccine-injury-compensation)) et un collectif de médecins — nommé New Zeland Doctors Speaking Out with Science (NZDSOS) — s’est constitué pour demander l’ouverture d’une enquête par la police.(([4] https://www.francesoir.fr/societe-sante/vaccin-contre-la-covid-19-des-medecins-neozelandais-sonnent-alerte))

Mais aussi l’Argentine.(([5] https://www.francesoir.fr/politique-monde/vaccination-covid-largentine-indemnise-victimes-effets-indesirables))

Mais aussi le Canada.(([6] https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1887847/vaccin-covid-19-astra-zeneca-compensation-indemnisation-syndrome-guillain-barre))(([7] https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1813105/compensations-reaction-vaccination-coronavirus))

Et en France ? Lorsque les victimes du vaccin Covid réaliseront, malgré le déni de nombreux médecins, la responsabilité des injections dans la genèse de leurs troubles, la note risque d’être élevée. Après avoir payé les vaccins, nos impôts devront indemniser les victimes, car Pfizer a obtenu par la Commission européenne de ne pas payer d’indemnisation aux victimes !

Une vraie bonne nouvelle : le nouveau livre de Robert F. Kennedy traduit en français — « Une lettre aux libéraux » possible en téléchargement.

L’ordre se réveille enfin et condamne des médecins de plateau qui ne mentionnent pas leurs liens d’intérêts avec l’industrie

Par deux décisions rendues le 18 juillet 2022, la chambre disciplinaire nationale de l’Ordre des médecins rappelle que le Code de Santé Publique doit être respecté, et notamment ses articles L 4113-13 et R 4113-110, le premier disposant que « les membres des professions médicales qui ont des liens avec des entreprises et des établissements produisant ou exploitant des produits de santé (…) sont tenus de faire connaître ces liens au public lorsqu’ils s’expriment sur lesdits produits (…) dans la presse écrite ou audiovisuelle. »

Il sanctionne d’un avertissement le Professeur Robert COHEN et le Professeur Bruno LINA pour ne pas avoir fait état, lors d’interventions dans les médias sur les vaccins, de leurs liens d’intérêts avec certaines entreprises pharmaceutiques fabriquant ces produits.

L’association E3M a constaté 200 liens d’intérêts entre l’industrie et le Pr Cohen de 2012 à 2018 pour un montant total de 57 730 €, ainsi que 60 contrats sans montants déclarés. À cela, il convient d’ajouter l’existence de 58 déclarations de liens entre l’industrie et l’association ACTIV (association créée et dirigée par le Pr Cohen ayant pour objet la formation des professionnels de santé et la recherche, avec le soutien des laboratoires MSD, GSK, Pfizer, Sanofi, CGM) pour un montant total de 748 520 € (dont 601 920 € par Sanofi et 126 600 € par GSK) ainsi que 14 contrats sans montants déclarés.

Le Pr Lina, chef du laboratoire de virologie du CHU de Lyon, est quant à lui intervenu pour défendre le vaccin Gardasil, mis en cause dans la survenue de graves effets indésirables. Lui non plus n’a pas déclaré ses liens avec l’industrie pharmaceutique alors qu’il est depuis de nombreuses années Président du Conseil Scientifique du GEIG (Groupe d’Expertise et d’Information sur la Grippe), « financé par les 4 laboratoires qui distribuent des vaccins contre la grippe sur le territoire français (Abbott Products SAS, GSK, Novartis Vaccines et Sanofi Pasteur MSD) ».

Comme l’Ordre ne se saisit pas spontanément de ces faits délictueux (alors qu’il pourrait parfaitement le faire), il faut espérer que de nouvelles plaintes portées contre d’autres « experts » des médias vont obliger l’ordre à condamner ces leaders d’opinion qui agissent dans les médias comme avocat de l’industrie pharmaceutique sans mentionner leurs liens d’intérêts comme ceux qui nous ont abreuvés depuis plus de deux ans d’une propagande provax covid sans limites. Si l’ordre faisait enfin respecter la loi « transparence santé », le public saurait qui est réellement l’expert qui s’exprime et quels sont ses liens avec le monde économique et notamment les fabricants des produits dont il fait la promotion.

Le retournement de veste en série des « officiels pivots de la stratégie tout vaccin :

https://pgibertie.com/2022/07/30/delfraissy-veut-laver-son-honneur-et-annonce-lechec-des-futures-injections-qui-dereglent-le-systeme-immunitaire/

Le bal des “morts de trouille” ouvert par Delfraissy — Riposte Laique

IL FAUT ARRÊTER DE DIRE ET RACONTER TOUT ET N’IMPORTE QUOI” dit J F. Delfraissy résumant l’action du Conseil scientifique

UN ÉCHEC TOTAL, IL FAUT LE DIRE, en termes de mortalité, de morbidité et d’accès aux droits humains. Zéro covid n’était pas la solution. Ce sont les médias qui poussent à cela. Il faut à un moment donné redevenir raisonnable, les Français l’ont compris”.

@UPR_Asselineau

“LE DOUBLE AVEU DU Pr DELFRAISSY  : Soulageant sa conscience, il dénonce en fait la DOUBLE SOUMISSION révélée par la covid-19, celle des États occidentaux à Big Pharma, celle de la classe dirigeante à la toute-puissance des médias, qui imposent leurs vues par intimidation et censure.” et aussi sur la variole du singe, etc..

Fischer Alain s’y met aussi : “le vaccin à la rigueur pour les vieux”. Alors qu’en juin 2022 il voulait vacciner tous les enfants…

En retournant leur veste, ils espèrent probablement se faire pardonner de leurs méfaits ou alléger leur conscience pour ne pas finir par se suicider comme l’a fait le docteur autrichien Lisa-Maria Kellermayr, avocate zélée des pseudo vaccins contre le coronavirus, qui n’a pas assumé la responsabilité des dégâts et des morts que sa propagande mensongère a occasionnés.

Et les soignants suspendus : le gouvernement va devoir craquer

L’obligation vaccinale comme condition d’engagement des soignants aux Hôpitaux Universitaires de Genève (HUG) a été supprimée depuis le début du mois de mai.

Pourquoi le gouvernement, l’académie de médecine et la HAS s’obstinent contre l’évidence scientifique que cette mesure ne sert à rien contre l’épidémie ?

Le 20 juillet 2022, Antoine Flahault, épidémiologiste très provax dans les médias depuis mars 2020, a appelé sur Twitter à la réintégration des soignants non vaccinés arguant que leur suspension n’est plus fondée scientifiquement,(([8] https://www.tf1info.fr/sante/coronavirus-7e-vague-de-covid-19-l-obligation-vaccinale-des-soignants-n-a-plus-grand-sens-estime-le-pr-antoine-flahault-2227)) car le vaccin ne réduit pas suffisamment les contaminations.

Le professeur Y. Freund, urgentiste à l’AP-HP s’est prononcé lui aussi pour la réintégration des soignants non vaccinés, car on ne peut pas poser de conditions éthiques à l’embauche d’un soignant.

À l’heure où les urgences ferment les unes après les autres par manque de soignants, où de nombreuses interventions chirurgicales sont reportées faute de chirurgiens, d’anesthésistes ou d’infirmières de bloc et où on ne parle même plus des autres services (comme le service de greffes à Caen) en voie de fermeture ou déjà fermés, la population et les décideurs politiques doivent bien se rappeler que 15 000 soignants au moins sont suspendus sans salaire, que 150 000 infirmiers formés ne travaillent plus comme soignant en raison de la maltraitance managériale depuis trente ans et que beaucoup de soignants en poste et injectés sont en burn-out, démissionnaires et/ou en arrêt de travail.

Il faut abolir cette obligation infondée d’injection expérimentale, réintégrer les soignants injustement suspendus, mais aussi modifier le management pour qu’il retrouve son but ultime le soin, payer correctement les professionnels du soin et cesser le cirque des missions flash ou autre grenelle de la santé. Quant aux contes de Ségur, on a déjà donné.(([9] Les Contes de Ségur, revus et corrigés par O. Véran. Communication ou véritable réforme ? | FranceSoir))

Il serait bien que l’ensemble des soignants, médecins, infirmiers aide-soignant, secrétaires, etc. décident enfin de sauver l’honneur de la profession soignante au sens large, en décrétant une grève illimitée de tous les acteurs des hôpitaux privés comme publics, maisons de soin, dispensaires, etc. tant que les suspendus ne seront pas réengagés.

Ce serait le minimum pour faire un peu oublier leur silence coupable depuis de longs mois. En septembre 2021, lors de leur suspension tout le monde savait déjà que le vaccin ne protégeait ni de la maladie ni de la transmission. Les médias mensongers surfaient encore sur les formes graves pour faire piquer la totalité de la population, mais cela ne justifiait en rien d’injecter de force les soignants ou les pompiers et d’interdire aux autres de soigner. Aucune excuse, même pas la peur ! Alors c’est le moment de se racheter.

NE FAIBLISSEZ PAS ! BATTONS-NOUS POUR QUE LA VÉRITÉ TRIOMPHE ENFIN ET POUR RÉTABLIR L’INTÉGRALITÉ DE NOS LIBERTÉS CONFISQUÉES POUR LE SEUL BIEN d’UNE POIGNÉE DE MILLIARDAIRES.

Et ajoutons progressivement d’autres bonnes nouvelles à cette liste non exhaustive.





L’affligeante dépendance de certains Humains au Masque, outil d’enfermement : urgent de DÉMASQUER et l’imposture et le peuple !

Par Nicole Delépine

Pourquoi ne se débarrassent-ils pas de la muselière ?

Alors que la loi santé précise qu’une obligation généralisée n’est plus envisageable sans discussion préalable par les députés, le ministre se débrouille pour continuer à nous l’imposer alors que l’épidémie est terminée, les traitements précoces reconnus et l’inefficacité du masque de la population évidente !(([1] L’APHP ose imposer le masque après le 1er août : est-ce légal ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))(([2] Les masques sont inutiles et dangereux : l’expérience désastreuse de la Nouvelle-Zélande — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) SON RÔLE PROPRE EST DÉMASQUÉ.

Constamment réactivée, l’obligation du port du masque provoque un retour du traumatisme. Ce masque n’est pas seulement une fausse protection, mais bien une poursuite de la destruction de notre Humanité, vers le transhumanisme.

Plus grave encore qu’en première analyse :

« L’obligation du port généralisé du masque est emblématique de la gestion de la “pandémie”. Cette contrainte n’est pas de nature sanitaire et témoigne d’un hors sens. C’est un commandement se présentant, en même temps, comme une loi et la destruction de celle-ci. Elle est le passage à l’acte d’une sortie du Politique. 

Les raisons de l’obligation peuvent se résumer au fait que, sans elle, il n’y aurait aucun signe manifeste de “l’extrême gravité » supposée de la covid. La centralité du port du masque réside dans le fait, qu’en nous rappelant constamment la « pandémie », la contrainte nous place dans le regard du pouvoir nous confisquant notre intime ».(([3] Coronavirus. Ceci n’est pas un masque ! | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation Par Jean-Claude Paye et Tülay Umay, 13 avril 2021))

« L’obligation devient alors une loi suprême conditionnant notre “liberté” et instituant un rapport négatif avec soi et avec l’autre. Elle nous enjointde renoncer à notre vie d’humain. Le réel de la mort n’étant plus canalisé par la culture, il recouvre la totalité de l’existence.

Ainsi, le masque corona n’est pas l’articulation du symbolique et du réel. Il n’est donc pas un masque, car il n’est pas voilement. »(([4] « La pulsion de mort est la structure même de la pandémie. Générique et universelle, elle se « fonde sur une détresse physiologique et sur la rage impuissante » de l’infans, de celui qui ne peut parler. Elle empêche tout libre arbitre et induit une acceptation généralisée du port du masque. Cette pulsion devient la revendication d’un idéal qui est d’échapper à la condition humaine et ainsi l’acceptation d’un passage vers le transhumanisme. » CQFD))

« Quelque chose du Réel est capturé : le désir de relation. Dès lors, les gens qui mettent le masque ne portent pas la parole, mais le cri de celui qui est devenu personne. Ils exhibent à la fois le rejet de l’autre et ce qui en résulte, leur propre anéantissement ».

« Le port du masque corona produit une perte de “l’appétence symbolique”, de ce désir de relation se manifestant en dehors de la satisfaction des besoins élémentaires de la survie. La “rencontre primordiale avec l’autre” est une poussée pulsionnelle, celle de la pulsion de vie, essentielle dans la mise en place d’un lien avec l’extérieur. »

Ce désir naturel, cette pulsion de vie, est aujourd’hui attaqué par le port du masque et sa pérennisation après la suppression de la loi d’urgence et de tout danger de ce petit virus témoigne clairement de son instrumentalisation par le pouvoir mondialiste, eugéniste et transhumaniste. L’homme normal doit disparaître à leurs yeux et ils en utilisent leurs moyens.

« Le port du masque corona entraîne une indifférenciation du moi et du non-moi, du sujet et de l’objet. (…).  De cette indifférenciation, résulte une fusion avec les choses elles-mêmes. Le masque corona permet ainsi l’installation d’une structure schizophrénique, où l’individu s’identifie avec les objets du discours. Il devient son masque ». 

Ainsi le pouvoir médiatique des milliardaires prend prise sur l’Humain via l’outil MASQUE.

LE MASQUE, UN OUTIL DE POUVOIR SANITAIREMENT NUISIBLE(([5] Les masques sont inutiles et dangereux ! Stop aux mensonges médiatiques ! | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation mise à jour de la bibliographie internationale fin juin 2022))

La parution d’arrêtés (d’une légalité discutable, les juristes approfondissent) autorisant un pharmacien, médecin ou établissement de santé à l’imposer, dès le vote de la loi française supprimant l’état d’urgence le 26 juillet 22, le même jour, démontre la volonté certaine en tant qu’OUTIL du pouvoir pour poursuivre la mise en condition des populations.

Ne doutons pas que des prétextes tels que la pollution, l’ozone ou le monstre du Lockness serviront aux dirigeants pour ne pas lâcher son très efficace collaborateur, la muselière.

Ce ne serait que moyennement grave, si ce bout de tissu infecté et infectant de divers miasmes ne maintenait pas la population globale dans la peur et donc dans la soumission aux instances dirigeantes. Malgré les nombreuses preuves mondiales de l’inefficacité du masque contre les virus et son danger de diffusion des bactéries et champignons (en particulier chez les personnes fragiles, cancéreuses, immunodéprimées primaires ou secondaires aux injections géniques, etc.), l’attraction du chiffon perdure pour des raisons que les psychiatres éclaireront en nous aidant à comprendre le fonctionnement.

« Le monde à travers un masque n’est pas le même. Il est inconfortable, étrange et en décalage avec notre normalité. »(([6] Le monde à travers un masque : l’impact psychologique — Nos Pensées (nospensees.fr) ))

Il peut être amusant et terrible à la fois de lire des réflexions de psychanalyste pendant le covid19 à propos du masque :

« Il se joue ainsi un étrange jeu autour du masque dans les cabinets et nous le savons le langage est aussi non verbal. Ce corps nous parle beaucoup avec l’objet masque ! Il y a ceux qui le portent facilement, ceux qui l’oublient, ceux qui ne viendront pas aussi et qui peut être prendront l’option de la ligne comme espace de liberté crée, ceux qui en parlent avec de la colère de se sentir enfermé, étouffé et objectivé et ceux qui le tordent dans tous les sens comme s’il voulait se l’arracher du visage comme si cette double peau les dérangeait. D’autres qui ne le voient plus.

Il y a aussi ceux qui, “par hasard” au moment d’ouvrir la porte du cabinet, viennent juste de casser leur masque en le mettant. Bel acte manqué non ?

C’était le cas de cette patiente, qui dans la vie, ne supportait plus le masque du simulacre. Devant la porte, son masque avait craqué. C’était donc une bonne chose et nous en avons parlé.

Et de cette autre qui réalise devant ma porte qu’elle “est partie sans”, lâchant prise pour la première fois sur tant d’interdits surmoïques.

Bravo ! Devant la porte du cabinet oui, les masques tombent comme les actes manqués se multiplient depuis toujours. Masqué(e) et démasqué(e) à la fois. »(([7] Masque et acte manqué — Psychologue.net))

La peur est incrustée après ces mois de manipulation et il est difficile d’en sortir comme le navrant spectacle de conducteurs masqués seuls dans leur voiture, de jeunes gens qui courent sur une plage, masque collé par la sueur et la canicule, et pire encore : Pelosi qui affronte les avions chinois pour atterrir à Taiwan et sort masquée sur le tarmac de l’aéroport. De sa part peur ou manipulation ? Quelle tristesse !

ATTENTION ! MALGRÉ LA DISPARITION DE TOUT RISQUE COVID SÉRIEUX, LES MONDIALISTES VOUDRAIENT NOUS RÉIMPOSER LE MASQUE

« Dans toute la chorégraphie de la pandémie, le corps ne parle pas. Le masque est un bâillon. Fixé sur la bouche, il interdit la parole, le véhicule par excellence de la relation à autrui, la parole étant, de toutes les fonctions du corps, la plus étroitement liée à l’existence commune ».

Soyons vigilants et diffusons toutes les informations qui démontrent son inefficacité, sa nocivité et sa toxicité. Informons voisins et amis encore dans la peur du risque pour eux-mêmes de ce chiffon infectant et déshumanisant. Ne prenons pas à la légère sa prolongation au-delà des infections dont les antibiotiques viendront à bout, les troubles induits vers la schizophrénie et la psychose ne doivent pas être sous-estimés. Nous en voyons déjà les dégâts chez certaines personnes normales avant tout covid et devenues très « spéciales » et sourdes à tout raisonnement.

LE MASQUE FAVORISE LES INFECTIONS COVID(([8] France – L’AFNOR prouve que le masque « grand public » recommandé par le gouvernement est une véritable escroquerie. | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))(([9] Fögen Z. The Foegen effect: A mechanism by which facemasks contribute to the COVID-19 case fatality rate. Medicine (Baltimore). 2022 Feb 18
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35363218/
L’obligation de porter un masque a causé plus de décès COVID, conclut une étude (anguillesousroche.com) ))

« Les inconvénients et risques comprennent qu’un masque en tissu devient un milieu de culture pour une grande variété d’agents pathogènes bactériens et un collecteur d’agents pathogènes viraux ; étant donné l’environnement chaud et humide et la source constante, où les tissus pour la maison sont hydrophiles alors que les masques médicaux sont hydrophobes ».(([10] Face Masks, Lies, Damn Lies, and Public Health Officinals: “A Growing Body of Evidence” | PDF | Randomized Controlled Trial | Infection (scribd.com) Masques faciaux, mensonges, foutus mensonges et responsables de la santé publique : « Un nombre croissant de preuves »
Un nouveau mantra vil est sur les lèvres de tous les responsables de la santé publique et de tous les politiciens de la campagne mondiale pour imposer un masquage universel au grand public :
« il y a un nombre croissant de preuves ».
Cette phrase propagandiste est un vecteur conçu pour atteindre cinq objectifs principaux :
• Donner la fausse impression qu’un bilan des preuves prouve désormais que les masques réduisent la transmission du COVID-19 ;
• Assimiler à tort les commentaires faits dans des lieux scientifiques avec des « preuves » ;
• Masquer le fait qu’une décennie de preuves de niveau politique prouve le contraire : que les masques sont inefficaces contre les maladies respiratoires virales ;
• Masquer le fait qu’il existe désormais une preuve d’observation directe que les masques en tissu n’empêchent pas l’exhalation de nuages ​​de particules d’aérosol en suspension (dessus, dessous et à travers les masques) ;
• Détourner l’attention des méfaits et risques connus considérables dus aux masques faciaux, appliqués à des populations entières.))

L’expérience mondiale a confirmé cette affirmation du Pr Rancourt de décembre 2020.

Jacinda Ardern « déconcertée » par la montée en flèche des infections COVID en Nouvelle-Zélande, pays où le masque est obligatoire (anguillesousroche.com)

Les pays non masqués sont moins infectés

La propre enquête du gouvernement britannique a révélé que les preuves de l’efficacité des masques faciaux pour arrêter la propagation du COVID-19 dans les écoles ne sont « pas concluantes ».(([11] https://www.bbc.com/news/health-59895934))

Le conseiller SAGE du gouvernement britannique, le Dr Colin Axon, a jugé les masques comme des « couvertures de confort » qui ne font pratiquement rien, rappelant que la particule du virus COVID-19 est jusqu’à 5 000 fois plus petite que les trous du masque.

« Les petites tailles ne sont pas faciles à comprendre, mais une analogie imparfaite serait d’imaginer des billes tirées sur des échafaudages de constructeurs, certaines pourraient toucher un poteau et rebondir, mais la plupart passeraient évidemment au travers », a déclaré M. Axon.

Une étude prospective randomisée menée au Danemark auprès de 6 000 participants(([12] Henning Bundgaard Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask WearersFREE A Randomized Controlled Trial Annals of Internal Medicine
https://www.acpjournals.org/doi/full/10.7326/M20-6817?s=09&journalCode=aim
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32829745/)) a également révélé que :

« il n’y avait pas de différence statistiquement significative entre ceux qui portaient des masques et ceux qui n’en portaient pas lorsqu’il s’agissait d’être infecté par le Covid-19 », rapporte le Spectator.

L’OMS A TRAHI LA SCIENCE

Un « faire voir »

C’est bien dans le cadre d’un « faire voir » que l’OMS recommande de porter le masque, alors qu’en même temps, il reconnaît que ce dispositif ne permet pas d’arrêter le virus et de protéger celui qui le porte. L’avantage que l’organisation voit dans cette incitation réside dans la modification des comportements des populations, qui sont encouragées à fabriquer elles-mêmes leur propre masque et de prendre ainsi activement part à leur destruction ».(([1] L’APHP ose imposer le masque après le 1er août : est-ce légal ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

L’OMS,(([13] Attention l’OMS veut manipuler à nouveau le monde via le moneypox (monkeypox) | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation)) dont le rôle pervers et toxique dans cette crise Covid est bien démontré, a annulé le 5 juin 2020 plus d’une décennie de décisions d’organismes de santé publique à travers le monde qui ne recommandait pas de masques pour la population en général.

L’OMS a fait sa recommandation 2020 sur l’intervention médicale préventive des masques faciaux pour l’ensemble de la population mondiale en reconnaissant :

« À l’heure actuelle, l’utilisation généralisée de masques par des personnes en bonne santé dans le cadre de la communauté n’est pas encore étayée par des preuves scientifiques directes de haute qualité et il y a des avantages et des inconvénients potentiels à prendre en compte ».

L’OMS et les responsables locaux de la santé publique entravent le progrès scientifique, en promouvant des « études observationnelles » sans essais contrôlés, plutôt qu’en protégeant la santé publique. Il devrait être très préoccupant pour tous que le prétexte de l’OMS « d’un recueil croissant de données d’observation sur l’utilisation des masques par le grand public dans plusieurs pays » s’est transformé dans le mantra « un nombre croissant de preuves », qui se retrouve sur les lèvres de pratiquement tous les agents de santé publique et les maires des villes du pays. »

Ce mantra d’« un nombre croissant de preuves » est avancé comme la fausse justification miracle des lois de masquage draconiennes, dans des circonstances réelles dans lesquelles :

  • Il n’y a eu AUCUNE nouvelle étude randomisée soutenant le masquage
  • Toutes les nombreuses études randomisées passées ne soutiennent pas le masquage

Aucun des dommages connus du masquage n’a été étudié (application sur l’ensemble de la population générale).

C’est le contraire de la politique fondée sur la science.

Les politiciens et les responsables de la santé publique mettent en œuvre le pire modèle décision qui puisse être appliqué dans une société qui se prétend rationnelle et démocratique : des mesures préventives forcées sans fondement scientifique, tout en ignorant imprudemment les conséquences.

Denis Rancourt prouve dès 2020 qu’il n’y a aucune preuve scientifique pour soutenir le masquage forcé sur la population générale, et que toutes les études médicales de la dernière décennie indiquent le contraire : NE PAS recommander le masquage forcé de la population générale.

Rappelons en synthèse détaillée dans de nombreux articles que les obligations de masque facial pour toute la population provoquent :

  • – inconfort généralisé,
  • – troubles de la respiration,
  • – troubles de la vision (p. ex. buée sur les lunettes),
  • – communication altérée,
  • – distanciation sociale psychologique,
  • – irritation cutanée et infections,
  • – expression de soi altérée,
  • – exposition prolongée à des cultures bactériennes à proximité des yeux, du nez et de la bouche,
  • – la collecte et l’administration possibles d’agents pathogènes viraux qui, autrement, ne seraient pas inhalés, et
  • – amplification possible de la fraction granulométrique de l’aérosol expiré des particules infectieuses.

Le mantra « de plus en plus de preuves » est totalement mensonger(([14] revue de la littérature scientifique par Denis Rancourt concernant l’(in)efficacité mesurée des masques pour réduire le risque de transmission des maladies respiratoires virales, article publié le 11 avril 2020 chez ResearchGate, intitulé « Les masques ne fonctionnent pas : un examen de la science pertinente à la politique sociale de COVID-19 ». lu quelque 400 000 fois sur ResearchGate, publié dans plusieurs lieux et objet de nombreux articles de commentaires et d’interviews. Ils ne peuvent pas dire qu’ils ne savaient pas.))

Le port du masque est particulièrement nuisible chez l’enfant à risque de troubles d’apprentissage. Restons vigilants dans la crainte de mauvaises idées à la rentrée dans l’enseignement(([15] Cavadini, T., Fort, M., Pascalis, O., & Gentaz, É. (2022). Quels sont les effets du port du masque sur la reconnaissance des visages et des émotions chez les enfants et les adultes ? Apports des recherches. A.N.A.E., 176, 113-125.))(([16] Discussions autour des effets du port du masque — Psychologie du Développement Sensori-Moteur, Affectif et Social — UNIGE))(([17] Impact of lip-reading on speech perception in French-speaking children at risk for reading failure assessed from age 5 to 7 | Cairn.info)). Protégeons-les de l’injection génique inutile et toxique, mais aussi du port du masque que voudraient possiblement nous imposer les enfermistes à la rentrée de septembre 2022.

Le port obligatoire du masque pour les enfants, c’est de la maltraitance ! | FranceSoir rappel d’un article d’août 2020. Ils savaient ! Il est très illogique et extrêmement grave de réclamer des masques pour les enfants, car ils ne contaminent pas les autres. C’est totalement aberrant de réclamer des masques pour les enfants en classe alors que, contrairement aux épidémies de grippe, l’école ne constitue aucunement un lieu de propagation du Covid19 (9) et qu’en cas de grippe qui se transmet fréquemment par les enfants à l’école jamais ceux-ci n’ont été soumis à pareille obligation ni d’ailleurs aux vaccins antigrippal.

Sur les plus de 3700 articles ayant pour sujet l’enfant et le Covid répertoriés par PubMed le 17/8/2020 et les 70 spécifiquement dédiés à la transmission éventuelle par les enfants, aucun n’apporte la preuve d’une transmission d’un enfant à un autre enfant ou à un adulte dans le monde réel.(([18] • Weiyong Liu .et al: Detection of Covid-19 in Children in Early January 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. 2020 2 avril ; 382 (14) : 1370-1371
• Liu Y, Yan L-M, Wan L, et al. Viral dynamics in mild and severe cases of COVID-19. Lancet Infect Dis. 2020. https://doi.org/10.1016/ S1473 -3099(20)30232 -2
• Hong H, Wang Y, Chung H-T, Chen C-J, Clinical characteristics of novel coronavirus disease 2019 (COVID-19) in newborns, infants and children, Pediatrics and Neonatology, https://doi.org/10.1016/j.pedneo.2020.03.001.
• Wu Z, McGoogan JM. Characteristics of and important lessons from the coronavirus disease 2019 (COVID-19) outbreak in China: summary of a report of 72 314 cases from the Chinese Center for Disease Control and Prevention. • JAMA 2020; published online Feb 24. DOI:10.1001/jama.2020.2648
• Jonas F Ludvigsson macroanalysis of Covid 19 in children. Acta Paediatr. 2020 23 mars.
• Peter Brodin Why is COVID-19 so mild in children? Editorial Acta Paediatrica 24 March 2020
• Ji Young Park First Pediatric Case of Coronavirus Disease 2019 in Korea J Korean Med Sci. 2020 Mar 23;35(11)
• LiangSua the different clinical characteristics of corona virus disease cases between children and their families in China – the character of children with COVID-19 Emerging Microbes & Infections 2020, VOL. 9
• Qinxue Shen Novel Coronavirus Infection in Children Outside of Wuhan, China Pediatr Pulmonol. 2020 Apr 7. doi: 10.1002/ppul.24762. Online ahead of print
• Ya-Nan Han et al A Comparative-Descriptive Analysis of Clinical Characteristics in 2019-Coronavirus-infected Children and Adults Pediatrics April 2020
• Haiyan Qiu Clinical and epidemiological features of 36 children with coronavirus disease 2019 (COVID-19) in Zhejiang, China: an observational cohort study Lancet Infect Dis. 2020 25 mars; S1473-3099 (20) 30198-5.
• Zhonghua Er Ke Za Zhi pour la Société de pédiatrie et Association médicale chinoise : Recommandations pour le diagnostic, la prévention et le contrôle de la nouvelle infection à coronavirus 2019 chez les enfants (première édition intermédiaire). 2020 ; 58 : 169–74.]., Chinese Journal of Pediatrics
• Wen Yan Jiao et al Behavioral and Emotional Disorders in Children during the COVID-19 Epidemic THE JOURNAL OF PEDIATRICS 2020 www.jpeds.com))

Ces articles confirment tous, sans exception, que le Covid 19 est rare et presque toujours bénin chez l’enfant, que les enfants de moins de 19 ans ne sont pas contaminés par les camarades d’école, mais habituellement par les parents à domicile, qu’ils ne contaminent pas les adultes et que le confinement des enfants et l’arrêt des activités scolaires sont responsables de troubles psychologiques comportementaux et sociaux fréquents, en plus d’une incidence évidente sur leur scolarité. TOUS CES ARTICLES ONT ÉTÉ CONFIRMÉS PAR L’EXPÉRIENCE MONDIALE.

N’oublions jamais : le masque est une technique d’enfermement

« Le traitement réservé actuellement à notre corps fait immédiatement penser à la technique d’enfermement utilisée au bagne de Guantanamo. Ce camp inaugure une nouvelle exhibition, non du corps, comme dans l’ancien régime ou dans la mise au travail du début du capitalisme, mais de son image, plus précisément une négation de l’image du corps.

Non seulement les yeux des prisonniers étaient masqués par des lunettes opaques, mais leur nez et leur bouche étaient recouverts par un masque chirurgical. Le corps du prisonnier est confisqué, non pas pour le soumettre, mais pour qu’il reste enfermé en lui-même. Rien ne doit détourner l’esprit du prisonnier d’un enfermement, devant être perçu comme n’ayant ni début et surtout ni fin ».

Par rapport à la réception, sans condamnation explicite, des images de Guantanamo, l’embrigadement dans la « guerre contre le coronavirus » est une étape supplémentaire dans le renoncement de notre humanité. (…)

Dans la « guerre contre le coronavirus » bien nommée par le président macron en mars 2020 et entérinée par le terme « commando » que devrait créer le nouveau ministre de la Santé, le langage militaire est omniprésent, et il n’y a plus de distinction intérieur/extérieur. Cette fusion d’ordre psychotique existe, non seulement au niveau individuel, mais aussi sociétal.

La fabrication de la psychose est depuis longtemps une préoccupation de nos dirigeants. Les techniques de privation sensorielles appliquées à Guantanamo permettaient de fabriquer des individus psychotiques en deux jours. Ces techniques étaient une application directe des recherches de psychologues comportementalistes, dont Donald O. Hebb de l’université McGill au Québec.(([19] in « Un taxi pour l’enfer », fim documentaire américain réalisé par Alex Gibney, 2007))

Démasquer la pulsion de mort

Le principe d’identité se loge essentiellement sur le visage, le port du masque se présente comme une donnée originaire, porteur d’un trouble obsessionnel compulsif empêchant toute inscription de l’autre.

Si le visage rend possible le lien social, le masque corona est un dévoilement qui dérobe les traits de son porteur. Il « lève le verrou du moi et laisse libre cours au jaillissement de la pulsion ».

Le port du masque corona, comme support de l’appareillage pulsionnel, est au cœur du dispositif « sanitaire ». Il a pour fonction la décomposition du corps symbolique, l’annihilation de ce qui fait de nous des êtres humains.

Le port du masque empêche toute rupture avec le discours du pouvoir et permet l’éternel retour du traumatisme. Il est un fétiche se substituant à toute symbolisation.

Or symboliser, c’est déjà établir une distance avec l’injonction surmoïque et exister comme un « nous », c’est refuser d’être « pris un par un » dans cette guerre contre le genre humain et ainsi contrer une « attaque du collectif à travers les individus » par Jean-Claude PayeTülay Umay dont il faut lire l’article in extenso.

En conclusion, l’usage du masque, au-delà des multiples inconvénients physiques, sociétaux, éducatifs, etc., que nous avons rapidement perçus comme maltraitance tant chez les enfants que chez les adultes est bien plus que cela.

Il est l’outil de la perversité consciente des dirigeants qui nous persécutent, veulent nous déshumaniser et le font en pleine conscience.

L’arrêté autorisant sa poursuite dans les hôpitaux, publié le même jour que la suppression de la loi d’urgence covid le 26 juillet 2022 en est une tragique démonstration. Ils savaient, ils savent et devraient rapidement comprendre que nous savons aussi, et que leurs regrets, voire remords, récents tels ceux de JF Delfraissy et d’A Fischer ne suffiront pas à les absoudre de leurs gravissimes décisions qui ont ruiné de trop nombreuses vies et en gâcheront encore tant les effets délétères de toutes leurs décisions liberticides vont s’étaler sur des décennies, tant par leurs conséquences psychologiques que par les complications à long terme des injections géniques.





L’APHP ose imposer le masque après le 1er août : est-ce légal ?

[Voir aussi sur RL]

Par Nicole Delépine

Le vote du 26 juillet à l’Assemblée nationale nous a relativement rassurés. Le fameux état d’urgence est supprimé et par conséquent les décisions liberticides ne devraient plus pouvoir être imposées sans nouvelle discussion au Parlement.(([1] https://nouveau-monde.ca/france-demi-victoire-de-la-nouvelle-loi-de-securite-sanitaire/))

Évidemment on voit fleurir les tentatives de détournement de cette loi, et très vite à l’APHP que vient de quitter Martin Hirsch redevenu conseiller d’État, établissement public parisien en déroute dont les résultats sur le traitement du covid furent les plus mauvais (refusant tout traitement type Raoult sauf pour ses médecins discrètement) et en manque majeur de personnel vu le management entrepreneurial conduisant au burn out généralisé.

Et déjà un arrêté pour introduire la peur avec la variole du singe qui ne touche que les homosexuels et est bénigne dans la grande majorité des cas(([2] les mesures Monkeypox qu’il faudra analyser aussi.
Nous avions déjà alerté sur le fait que certaines mesures de « gestion de crise sanitaire » concernant le covid-19 étaient entrées dans le droit commun, puisqu’elles figuraient maintenant au Code de la Santé publique (message de la Ligue pour la liberté des vax sur Whatsapps).
Aujourd’hui est paru un arrêté s’appuyant notamment sur l’article L.3131-1 du Code la Santé publique, modifié par la loi n° 2021-689 du 31 mai 2021 (relative à la gestion de la sortie de crise sanitaire).
Arrêté du 26 juillet 2022 modifiant l’arrêté du 9 juillet 2022 relatif à la vaccination contre le virus Monkeypox et l’arrêté du 1er juin 2021 prescrivant les mesures générales nécessaires à la gestion de la sortie de crise sanitaire
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000046096130.
Cet arrêté remet en place pour le Monkeypox la liste des personnes pouvant effectuer la vaccination (médecins retraités, étudiants), et bien sûr avec une rémunération spécifique à cette vaccination.
Noter, concernant cet arrêté et la référence à l’article L.3131-1 du Code de la Santé publique, que la vaccination rentre dans le cadre de « toute mesure réglementaire ou individuelle relative à l’organisation et au fonctionnement du système de santé » spécifiée par cet article du CSP.
MAIS cet article L.3131-1 du CSP mentionne également que le ministre de la Santé peut prescrire par arrêté :  « Des mesures de mise en quarantaine ou de placement et de maintien en isolement, dans les conditions prévues au II des articles L. 3131-15 et L. 3131-17. »
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000043589799/)): Arrêté du 26 juillet 2022 modifiant l’arrêté du 9 juillet 2022 relatif à la vaccination contre le virus Monkeypox et l’arrêté du 1er juin 2021 prescrivant les mesures générales nécessaires à la gestion de la sortie de crise sanitaire.

https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000046096130

QUESTION DU JOUR : un directeur d’établissement peut-il décider de m’imposer une muselière pour recevoir mes soins et ne pas voir le visage de mes soignants, alors que l’inefficacité du masque et sa nocivité sont démontrées par de nombreuses études internationales ?(([3] Les masques sont inutiles et dangereux : l’expérience désastreuse de la Nouvelle-Zélande – La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) ))(([4] France – L’AFNOR prouve que le masque « grand public » recommandé par le gouvernement est une véritable escroquerie. | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))

La question que je me pose est la suivante : quelle est la base légale ?  Un hôpital, une clinique ou un médecin libéral peuvent-ils me demander de venir en rouge, en bleu, en short ou en burkini selon leur « bon plaisir » ?

« Ici, Madame, tous les patients doivent se vêtir de blanc, car il attire moins la chaleur ». Etc.

IL Y A-T-IL UN MOYEN LÉGAL DE S’OPPOSER À CET ABUS DE POUVOIR ?

J’ai posé la question à mes profs de droit préférés. Voici une réponse qui, je l’espère, en appellera d’autres. Ces atteintes aux libertés publiques pour attiser la peur doivent cesser.

Le 28 juillet 2022. Un des profs a écrit ces quelques lignes :

Le problème se pose dans les termes suivants (il est à peu de choses près le même pour les établissements publics et pour les établissements privés) :

— Le Premier ministre, le ministre de la Santé et les préfets ne pourront plus imposer le port du masque à partir du 1er juillet, ni en extérieur, ni en intérieur.

– Mais, à l’intérieur des établissements hospitaliers publics ou privés (et de toute entreprise ou établissement public d’ailleurs), la question peut se reposer au niveau du règlement intérieur.

Le règlement intérieur (donc la consigne doit y figurer) peut prévoir des prescriptions particulières qui s’imposent aux salariés, mais pas dans n’importe quelles conditions.

Je n’ai pas trouvé de jurisprudence sur le cas particulier du masque, mais la règle générale est la suivante :

Le Conseil d’État (établissement public) a considéré que l’obligation de porter telle tenue (ici, une tenue de chantier) pouvait être, selon les circonstances de l’espèce, justifiée par la nature de la tâche à accomplir et proportionnée par rapport à l’objectif de protection recherché (CE 16 déc. 1994, min. Travail, emploi et formation professionnelle c/ Sté Ascinter Otis, RJS 2/1995, no 128). 

La Cour de cassation (établissements privés) a, quant à elle, jugé qu’un salarié ne peut être légitimement sanctionné pour avoir refusé d’appliquer une consigne générale de port d’une blouse blanche que pour autant que cette obligation est justifiée par la nature de la tâche à accomplir et proportionnée au but recherché (Soc. 18 févr. 1998, no 95-43.49).

Pour ce qui concerne les usagers, patients ou visiteurs, la direction peut prendre des mesures d’organisation du service (mesure d’ordre intérieur), mais elles ne doivent pas porter atteinte au droit des libertés des personnes.

Une mesure d’ordre intérieur peut être contestée devant le juge, dès lors  qu’elle aggrave la situation des intéressés (CE, ass., 14 déc. 2007, req. no 290730). 

Moralité : il faut saisir le juge pour qu’il apprécie le bien-fondé de ces nouvelles obligations de port du masque et qu’il décide si elles sont proportionnées au but recherché ou non.(([5] Et là on lui fournira les nombreux articles prouvant la mascarade du masque.  Au travail !))

Une remarque de ma part : si le règlement intérieur doit stipuler cette possibilité, il faut que celui-ci soit rédigé en ce sens et voté en conseil ad hoc, les CMC(([6] Commission médicale d’établissement  diaporamacme5juillet2022.pdf (aphp.fr) prochaine réunion en septembre 2022…)) médicales et administratives par exemple à l’APHP, ce qui nécessiterait de les réunir et en plein mois d’août, ce ne semble pas simple. Sauf si comme d’habitude on marche sur le droit et qu’on nous parle de droit COUTUMIER… On a déjà vécu cela à l’APHP…





ATTENTION L’OMS VEUT MANIPULER À NOUVEAU LE MONDE VIA LE MONEYPOX (monkeypox)

Par Nicole Delépine

Une nouvelle fois le directeur général de l’OMS aux antécédents lourds(([1] En réponse à @jgalt485
«  Tedros, ancien Ministre de la Santé dans l’ancien Empire totalitaire de Libye, promu à l’OMS en passant devant 2 autres candidats Européens sur les injonctions de la Chine qui entretenait d’excellentes relations avec l’Empire Libyen en son temps ».))(([2] Senta Depuydt : quand le directeur de l’OMS appelait à « embrasser des Chinois dans la rue » – Profession Gendarme (profession-gendarme.com) la journaliste est allée enquêter sur Tedros Ghebreyesus. Le personnage est particulièrement sulfureux. « Il a commencé sa carrière politique dans un groupe terroriste marxiste, le Front de libération du peuple du Tigray dans les années 1970 », découvre-t-elle. « Un groupe qui a fait des attaques à main armée, des enlèvements… », rapporte-t-elle. Un groupe qui aura pris le pouvoir en 1991 et « qui domine toujours depuis ». De plus, le directeur de l’OMS est « le premier à ne pas être médecin ». Il était surtout « le ministre de la Santé de 2005 à 2012 en Éthiopie ».))(([3] Tedros Adhanom Ghebreyesus : l’OMS est-elle dirigée par un terroriste ? — Childrens’ Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu) «  En quelques semaines, le sort de la planète entière semble avoir été placé sous le commandement de l’Organisation mondiale de la santé et de son leader, Tedros Gherbreyesus. Mais au cours des derniers jours, sa gestion de la crise des coronavirus et ses relations avec la Chine ont mis le président de l’organisation sous le feu des projecteurs, beaucoup appelant à sa démission. Alors, qui est cet homme qui a soi-disant notre destin entre ses mains ? »)) veut imposer sa décision en accord avec Bill Gates et contre le vote de ses propres collègues sur le risque de la variole du singe et censure les voix contraires. Il veut rejouer le covid19. Serons-nous encore complices ?

@jgalt485 27 juil.

Le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom, a demandé aux entreprises de médias sociaux du monde entier de lutter contre toute « désinformation » concernant le monkeypox.

En d’autres termes il veut censurer quiconque n’est pas d’accord avec sa folie du monkeypox.

« Comme nous l’avons vu avec le COVID-19, la mésinformation et la désinformation peuvent se propager rapidement en ligne. Nous appelons donc toutes les plateformes de médias sociaux, les entreprises technologiques et les organes de presse à travailler avec nous pour prévenir et contrer les informations nuisibles »,
a déclaré Adhanom le 26 juillet 2022.

Il y a quatre jours le chef de l’OMS a déclaré la variole du singe « urgence sanitaire internationale », annulant une décision de la majorité de membres du panel qui avaient voté contre une telle déclaration. Ces méthodes sont habituelles pour le directeur général de l’OMS vendu à Bill Gates et sa volonté de vacciner le monde entier.

Terrible aveu (non exprimé au début des essais covid) :

Les labos qui ont produit le vaccin anti monkeypox considèrent que la vaccination des populations constituera un test clinique en grandeur réelle.

@jgalt485 27 juil. L’INFODÉMIE !

C’est la même étape que l’OMS a franchie en 2020 et 2021 lorsque l’OMS a affirmé que toutes les informations allant à l’encontre du récit faisaient partie d’une « infodémie » plus large.

« Peu de temps après que le monde a commencé à s’habituer aux termes coronavirus et COVID-19, l’OMS a inventé un autre mot : » infodémie « — une surabondance d’informations et la propagation rapide de nouvelles, d’images et de vidéos trompeuses ou fabriquées. Comme le virus est très contagieux et se développe de façon exponentielle. Cela complique également les efforts de réponse à la pandémie de COVID-19 », lit-on dans un article de 2020 intitulé « Immuniser le public contre la désinformation ».

Au cours de la pandémie, l’OMS a commencé à s’associer à des pays pour lutter contre « l’infodémie », ce qui, le plus souvent, signifiait censurer les personnes en ligne qui avaient de véritables inquiétudes ou essayaient de faire proliférer la vérité sur les effets indésirables à la suite de piqûres d’ARNm.

De telles réactions indésirables sont maintenant connues pour être un fait, et les responsables de la santé du monde entier ont commencé à avertir les gens de risques comme la myocardite post-vaccinale, que l’OMS a toujours écartée comme une théorie du complot ».

Et dans la ligne française d’obéissance aveugle aux diktats du couple OMS-Gates le nouveau ministre de la Santé se précipite pour ouvrir environ 100 centres de vax anti monkeypox et déjà plus de 6000 personnes ont reçu cette nouvelle drogue expérimentale !(([4] IMVAMUNE® Smallpox Vaccine in Adult Healthcare Personnel at Risk for Monkeypox in the Democratic Republic of the Congo—Full Text View—ClinicalTrials.gov))(([5] Official Title: An Open-Label Prospective Cohort Study of IMVAMUNE® Smallpox Vaccine in Adult Healthcare Personnel at Risk for Monkeypox in the Democratic Republic of the Congo
Actual Study Start Date : February 23, 2017
Estimated Primary Completion Date : August 2022
Estimated Study Completion Date : August 2022
IMVAMUNE
Two doses of attenuated live virus smallpox vaccine (IMVAMUNE liquid formulation or lyophilized formulation) administered on days 0 and 28 via subcutaneous injection (deltoid) (1 x 108 Tissue Culture Infectious Dose 50 [TCID50] per 0.5 ml) Other Names: Modified Vaccinia Ankara (MVA) MVA-BN
JYNNEOS
IMVANEX))(([6] Petersen BW, Kabamba J, McCollum AM, Lushima RS, Wemakoy EO, Muyembe Tamfum JJ, Nguete B, Hughes CM, Monroe BP, Reynolds MG. Vaccinating against monkeypox in the Democratic Republic of the Congo. Antiviral Res. 2019 Feb;162:171-177. doi: 10.1016/j.antiviral.2018.11.004. Epub 2018 Nov 14. Review.))

@MouldeuxJean 25 juil.

« Je me demandais d’où sortent les 85 % d’efficacité selon DE “NOMBREUSE ÉTUDES” par l’OMS, Vidal, etc. Eh bien j’ai trouvé. D’une étude observationnelle menée en RD Congo en… 1988 avec un autre vax !
https://medium.com/microbial-instincts/effectiveness-of-monkeypox-vaccine-is-questionable-especially-when-the-virus-has-mutated-de6c9ad1c843 »

Les exploits de l’OMS en Afrique sont célèbres(([7] @RomanAude l’épidémie de polio survenue en Inde en 2007 2008 révèle selon les propres données de l’OMS que 77 % des gens touchés avaient reçu + de 7 doses de vaccin oral soi-disant le +efficace et 18 % avaient reçu 4 doses ou + ce qui porte le nbre de gens touchés pourtant archi vax à 95 %.)) mais ont rendu les africains méfiant alors l (OMS et Bil Gates ça continue tentent de poursuivre leurs expériences sur les Européens..

NOUVELLE TENTATIVE DE L’OMS EN JUILLET 2022 DE FAIRE ACCEPTER UN AGENDA MONDIAL QUI FERAIT DU DIRECTEUR DE L’OMS LE ROI DU MONDE

Au service des mondialistes de Davos

Présentation de l’avant-projet de l’OMS présenté actuellement à Genève
(du 18 au 22 juillet) destiné à renforcer l’influence de l’OMS.
Tout le monde est concerné !



PDF de la transcription de la vidéo mise en page et 2 extraits de l’avant-projet de l’OMS, avec tous les liens !

Sous-titrage en français de la vidéo originale qui se trouve ici : https://jamesroguski.substack.com/p/ten-things-everyone-needs-to-know

Un twittos fait remarquer justement :

« Leur stratégie est forte, ils attaquent au même moment sur plusieurs points éloignés de nos modèles de société, que si nous ne faisons pas les liens, on pourrait penser qu’il n’y a pas de relation dans la finalité de leurs monde, ils brisent mentalement plusieurs piliers… » 

Et curieusement le patron du conseil secret d’EM tente de reculer en douceur.

#Delfraissy « Le pouvoir sur le vaccin a été pris par les industriels » pour le prochain vaccin. Les #Big Pharma ont décidé une combinaison virus initial + Omicron « Je pense que sur le plan scientifique ce n’est pas une bonne chose »

« Delfraissy le prochain vaccin en octobre 2022 ne sera pas suffisant ! »

« Jean-François Delfraissy, se laisse aller à quelques confidences. Les “Big Pharma ont pris le pouvoir » . On sent que le médecin veut se refaire une virginité, il tourne doucement sa veste… »

MÊME SI LE COUP D’ÉTAT MONDIAL DE L’OMS NE SEMBLE PAS TRÈS BIEN PARTI, RESTONS EN ALERTE ROUGE

Les mondialistes internationaux ont décidé de rédiger un traité leur donnant essentiellement un pouvoir de loi martiale discrétionnaire partout.

https://apps.who.int/gb/ebwha/pdf_files/WHA75/A75_18-fr.pdf

Mais la résistance se développe. L’Équateur avait le premier refusé. L’archevêque Vigano, donneur d’alerte récurrent contre la maffia tentaculaire du « Nouvel Ordre Mondial », a dénoncé ce traité, haute trahison de la part des politiciens qui l’entérineraient.(([8] https://guyboulianne.com/2022/05/30/larcheveque-vigano-met-en-garde-les-nations-contre-la-prise-de-pouvoir-du-traite-pandemique-de-loms-ceder-a-la-souverainete-est-considere-comme-un-crime-de-haute-trahison/))(([9] https://www.thegatewaypundit.com/2022/05/exclusive-yielding-sovereignty-considered-crime-high-treason-archbishop-vigano-nation-states-handing-sovereignty/))(([10] D’autres aussi :
https://www.francesoir.fr/societe-sante/traite-international-oms-prevention-pandemies-des-chercheurs-sonnent-lalerte
https://www.onenation.org.au/australias-secretive-and-unaccountable)) De nombreux sites ont alerté sur cette tentative de prise de pouvoir mondiale par l’OMS. Nous avions relayé l’appel de R Kennedy et « stop the treaty »(([11] Stop au coup d’État de l’OMS contre la démocratie ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)
#StopTheTreaty. World Freedom Declaration—Health Freedom Defense Fund
Déclaration d’opposition aux modifications apportées par l’OMS au Règlement sanitaire international — Health Freedom Defense Fund)). Sans surprise, le président français soutenait l’OMS et Gates.(([12] https://www.profession-gendarme.com/emmanuel-macron-donne-les-pleins-pouvoirs-a-loms-pour-la-sante-des-francais-lors-des-pandemies/comment-page-2/))

Dans un premier temps, nombre de pays avaient fait refuser le texte d’origine en l’état (notamment avec les amendements présentés par le résident américain).(([13] https://qactus.fr/2022/05/29/oms-120-pays-sur-179-auraient-refuse-le-texte-loms-a-retire-12-des-13-articles-mais-saccroche-au-dernier-qui-modifie-leur-constitution/
https://leve-toi.com/oms-120-pays-sur-179-auraient-refuse-le-texte-loms-a-retire-12-des-13-articles-mais-saccroche-au-dernier-qui-modifie-leur-constitution/
https://www.thegatewaypundit.com/2022/05/world-health-organization-temporarily-withdraws-bidens-public-health-emegency-amendments/)) Nombre de pays (47) manifestement refusent catégoriquement cette proposition maffieuse(([14] https://www.onenation.org.au/who-forced-into-humiliating-backdown)): Brésil, plusieurs nations africaines, la Russie, la Chine, l’Afrique du Sud, l’Iran, la Malaisie…

Le futur empereur mondial n’a pas apprécié.(([15] https://www.naturalnews.com/2022-05-27-schwab-threatens-bolsonaro-refusing-sign-pandemic-treaty.html)) Mais manifestement le gotha des milliardaires et des vedettes d’Hollywood semblent prendre de la distance.(([16] https://www.business-standard.com/article/international/davos-forum-is-back-after-2-yrs-with-less-billionaire-starpower-and-no-snow-122052300374_1.html))

FINANCEMENT DE L’OMS

Ceci explique cela. Les fondations donatrices (comme celle de Bill Gates) flèchent leurs dons qui doivent être utilisés selon leur volonté.

Dans la foulée de sa volonté de dominer le monde, Tedros a essayé de modifier le financement de l’OMS. Un peu plus d’indépendance vis-à-vis de Gates ou Schwab lui conviendrait probablement. Très près des Chinois, on sait ou on subodore que ces mondialistes eugénistes sont d’accord pour dominer la plèbe, mais se mangeraient bien entre eux…

L’OMS adopte une réforme historique de son financement(([17] Par Delphine Roucaute Publié le 24 mai 2022.))

L’Assemblée mondiale de la santé a adopté un texte prévoyant de faire passer la partie du budget financée par les États membres de 16 % à 50 % d’ici à 2028, afin de renforcer le leadership de l’organisation onusienne. 

« Il s’agit d’un tournant historique », a déclaré Tedros Ghebreyesus, directeur général de l’OMS. Le 24 mai 22, lors de l’Assemblée mondiale de la santé, les États membres de l’agence onusienne basée à Genève ont adopté une réforme du financement de l’organisation très attendue.

La partie du budget financée par les États membres devrait passer de 16 % à 50 % d’ici à 2028, ce qui devrait permettre à l’OMS de regagner une partie de son indépendance.

Cette réforme faisait partie des cinq priorités esquissées par Tedros « pour le monde et pour l’OMS » le 24 janvier : renforcer le rôle de l’OMS« au cœur de l’architecture de la santé mondiale », afin qu’elle devienne « plus efficace et efficiente ».

Depuis le mandat, entre 1998 et 2003, de Gro Harlem Brundtland à la tête de l’OMS, les fonds privés ont pris une place de plus en plus importante et déterminante dans le financement de l’agence.

Contributions volontaires

Résultat, seulement 16 % de l’exercice biennal 2022-2023 sont abondés par les contributions obligatoires des États membres, fixées d’année en année en fonction des ressources de chacun.

La réforme va permettre d’élever le niveau de ces contributions de 956,9 millions à 2,2 milliards de dollars d’ici à 2028. Le budget total actuel est de 6,1 milliards de dollars.

L’essentiel du budget (84 %) provient des contributions dites « volontaires ».Ces dernières peuvent venir d’États décidant de fournir plus d’argent que leurs contributions obligatoires ne les y obligent.

Le Royaume-Uni, notamment, fournissait 135 millions de contributions volontaires lors de l’exercice 2020-2021, en plus de sa contribution obligatoire de 49 millions, dépassant ainsi la participation chinoise. Ce supplément de cotisations permet de renforcer le jeu des influences au sein de l’organisation.

Parmi ces contributions volontaires, l’écrasante majorité (88 %) est issue de fonds privés strictement affectés à des programmes ou lieux géographiques spécifiques ; ils doivent également être dépensés dans un délai précis.

En 2020-2021, les programmes spéciaux, dont celui d’éradication de la poliomyélite financé par la Fondation Gates, totalisaient 757,6 millions de dollars, soit 13 % du budget total.

« Le recours excessif aux contributions volontaires (privées ou publiques) se traduit paruneincapacité à fixer des priorités en fonction des priorités mondialesdesanté publique, notait en janvier 2021 un article du South Centre,uneorganisation intergouvernementaledepays en développement basée à Genève.

Les États membres tententde fixer des priorités, mais les fonds sont destinés à des questions spécifiques, sélectionnées par un petit nombrede donateurs qui jouent un rôle décisif dans la décisiondel’organisation. »

Il s’agit donc bien de reconquérir un leadership affaibli par le poids des États à forte capacité d’investissement et par les intérêts privés des fondations qui abondent les comptes de l’OMS.

75 ONG, organisations philanthropiques et experts dans le domaine de la santé mondiale, dont Gavi, le Global Health Council ou encore Save the Children, ont publié une lettre appelant les États membres à saisir cette « occasion historique de renforcer et d’investir dans le rôle de l’OMS en tant que principale organisation intergouvernementale de la santé qui se consacre à la promotion de la santé et du bien-être de tous dans le monde ». 

Augmenter les contributions obligatoires marque donc un grand pas dans l’histoire de l’OMS, mais encore faut-il les payer. Au 31 décembre 2020, près de 300 millions de dollars n’avaient pas été versés au compte de l’OMS, selon un rapport publié le 5 janvier. Les résolutions de l’OMS n’étant pas contraignantes, des experts se demandent comment l’organisation pourra obliger les États membres à augmenter leurs cotisations d’année en année.

ATTENTION RESTONS EN ALERTE !

Lettre ouverte concernant le nouveau traité pandémique international de l’OMS

Lettre ouverte sur le nouveau traité pandémique international de l’OMS

À la population;
Aux gouvernements, Présidents et Ministres de la santé, Parlements, Conseil de l’Europe, Commission Européenne;
Aux médias;
Aux organisations de la santé, telles que Swissmedic, OFSP, Fédération Suisse des Patients;
À l’OMS, par l’Assemblée mondiale de la santé, Dr Tedros Adhanom Ghebreysus, Dr Soumya Swaminathan;
Aux Nations Unies, par Antonio Guterres, Liu Zhenmin, Elliott Harris, Maria-Francesca Spatolisano.

Nous, médecins, soignants, professionnels de la santé, citoyens, déclarons notre désaccord face au nouveau traité pandémique international proposé par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), qui n’est autre qu’une mainmise sur les gouvernements et la population.

Cet accord mondial sur les futures pandémies octroierait à l’OMS des pouvoirs lui permettant de se substituer aux pouvoirs exécutifs des états membres, ceux-ci devenant de simples organes d’exécution.

Ce traité inutile constitue une menace pour la souveraineté des pays et les droits humains fondamentaux.

Il convient de relever que le Règlement Sanitaire International (RSI) fortement imprégné du respect des droits humains, adopté en 2005 par 196 pays, dont la Suisse, et entré en force en 2007 a justement pour objectif de répondre aux urgences pandémiques. Cependant ce dernier n’a pas été appliqué durant la crise covid, tout comme le plan pandémique établi par la Confédération Helvétique.

La définition d’une pandémie, selon l’OMS, a évolué ces dernières années, ainsi, jusqu’en 2009, elle était définie comme un événement caractérisé par une évolution grave de la maladie et une mortalité extrême. C’était donc la morbidité et la létalité qui conditionnaient une pandémie.

« Une pandémie survient lorsqu’un nouveau virus apparait pour lequel la population humaine n’a aucune immunité, résultant aussi en de nombreuses épidémies simultanées dans le monde, avec d’énormes nombres de décès et de malades. »

En mai 2009, la définition a été révisée de manière à ne plus dépendre de la gravité de la maladie ni de la mortalité, mais uniquement d’une propagation mondiale de « cas de la maladie ». La dernière définition suppose des vagues récurrentes et différentes phases. Ainsi, chaque vague annuelle de grippe peut être déclarée « pandémique ».

Avec ce traité l’OMS pourrait alors déclarer opportunément des pandémies, (déclaration qui active de surcroît, les contrats avec les fabricants de vaccins), imposer des mesures déshumanisantes telles que des confinements, des traitements coûteux, dangereux et/ou inefficaces, des programmes de vaccination obligatoire, des régimes de test, imposer des interventions médicales, dicter toutes les pratiques de santé publique contre la volonté de la population et ce, même contre l’avis des gouvernements, qui par la validation du traité en ont accepté la valeur contraignante.

Force est de constater que l’OMS ne doit pas être autorisée à contrôler l’agenda mondial de la santé, ni à imposer des mesures allant à l’encontre des droits fondamentaux, tels que les confinements qu’elle a recommandés durant le chapitre Covid-19, la suppression des traitements préventifs/précoces et l’encouragement à l’utilisation de produits expérimentaux en population large, ainsi que toutes les autres mesures qui ne se sont avérées ni sûres ni efficaces.

Les activités de l’OMS ne sont malheureusement pas effectuées en toute transparence et ceci est aggravé par l’existence des « comités d’urgence » secrets d’experts.

Pour rappel, l’OMS présente des conflits d’intérêts importants. Bien que bénéficiant de financements publics des états membres (impôts de la population…), elle reçoit également des fonds substantiels d’intérêts privés qui utilisent leurs contributions pour influencer et tirer profit des décisions et des mandats de l’OMS.

Ce nouveau traité pandémique menace gravement la souveraineté des Etats membres et les droits humains fondamentaux, c’est pourquoi nous, médecins, soignants, professionnels de la santé, citoyens, nous opposons avec force à la mise en œuvre d’un tel accord mondial.

Références:

EN CONCLUSION, NE LAISSONS PAS L’OMS NI DAVOS DIRIGER NOTRE MONDE

L’OMS et son directeur général voudraient être le bras armé des mondialistes de Davos, Schwab, Fauci, Gates et leurs affidés dont notre président, pour imposer sous des allures humanistes et désintéressées les terribles choix des eugénistes qui ont mis en musique le scénario covid. Ce dernier n’a pas réussi à 100 % et les dirigeants du monde voudraient compléter la mise au pas des peuples par de nouveaux films de peur, d’horreur et de moyens pervers comme des injections imposées via le crédit social.

Parallèlement Tedros tente-t-il comme Delfraissy de prendre ses distances avec Davos et cie, devant l’échec manifeste des injections géniques expérimentales anticovid et la rumeur de colère qui monte de partout dans le monde devant tant de drames et de morts liés à l’injection. Mais pourquoi vouloir recommencer avec le vaccin antivariole du singe, le nouveau Money pox ? Pris entre deux feux ? C’est la saison !

Ils ont oublié que nous sommes des Milliards, mais même s’ils sont très riches, ils ne sont seulement que quelques milliers.

Soit l’ONU redevient une instance internationale indépendante et refuse l’entrisme de quelques pays occidentaux, soit il faut supprimer cette organisation et surtout ne pas être dupe de ses décisions exceptionnellement médicales et allant quasiment toujours dans le sens d’une dictature supra nationale niant les peuples. Ce que de nombreux pays africains, asiatiques et américains du sud ont largement compris.

Informons, résistons pour sauver l’avenir de nos enfants.





France — Demi-victoire de la nouvelle Loi de sécurité sanitaire

Par Nicole et Gérard Delépine

La demi-victoire de la nouvelle Loi de sécurité sanitaire votée le 26 juillet 2022(([1] « Le projet de loi de sécurité sanitaire prolonge les outils de surveillance concernant la circulation du virus et permet de mettre en place, si nécessaire, un test aux frontières. Le 26 juillet 2022, le Sénat a adopté définitivement le projet de loi mettant fin aux régimes d’exception créés pour lutter contre l’épidémie de Covid-19 ».)). Restons en alerte
L’information et le combat sont efficaces. Poursuivons

Encourageons les citoyens à poursuivre le combat par l’information large de tous sur la mascarade covid19 que nous vivons encore. Un grand pas a été franchi par la fin de la loi d’exception grâce à la nouvelle assemblée dans laquelle E. M. n’a plus la majorité absolue. Les élections législatives, les multiples vidéos, les articles sur des centaines de supports variés et les manifestations ont réussi à éveiller un certain nombre de concitoyens et de parlementaires. Le combat paie. Il faut poursuivre avec ténacité et assiduité.

En effet, la volonté des puissants de maintenir la population dans la peur du covid ou de son prochain variant ou autre cousin ou la variole du singe est manifeste, car les mondialistes veulent continuer à nous terroriser pour que nous ne défendions plus nos libertés et nous forcer à nous faire injecter. Les publicités mensongères à répétition du ministère de la Santé poussant à l’injection sur les écrans de télévision en témoignent. La prise de parole du directeur de l’OMS qui veut reproduire le scénario covid avec la variole du singe en témoigne. Nous ne le laisserons pas faire et y reviendrons.

PREMIÈRE GRANDE VICTOIRE DEPUIS LE DÉBUT DU SCÉNARIO COVID

La loi sanitaire(([2] Projet de loi 2022 pass sanitaire aux frontières covid 19 | vie-publique.fr )) qui vient d’être votée le 26 juillet est une victoire importante, car elle officialise la fin de la loi d’urgence sanitaire qui instaurait la dictature sanitaire d’E. Macron de ces deux dernières années.

Le Parlement a définitivement adopté le 26 juillet le projet de loi mettant fin aux régimes d’exception créés pour lutter contre l’épidémie de Covid-19.

Ainsi, à compter du 1er août 2022, le pass sanitaire prend fin en France. Il ne pourra plus être exigé dans les lieux où il était encore en vigueur (les services et établissements de santé et médico-sociaux).(([3] Le pass sanitaire sera bien supprimé à l’entrée des hôpitaux et des EHPAD le 1er août 2022, la sénatrice Sylviane Noël demande la clarification et l’obtient ! – La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) ))

Mais comme tous les compromis, c’est une demi-victoire, car elle autorise le gouvernement à décider par décret l’exigence d’un certificat aux frontières. En lieu et place de l’article 2 rejeté par les députés, les sénateurs ont voté « la possibilité de demander, en cas de nouveau variant, un test négatif aux personnes d’au moins 12 ans se déplaçant à destination du territoire national depuis l’étranger, mais aussi en provenance ou à destination des territoires ultramarins en cas de risque de saturation du système de santé de ces territoires ». Cette modification a été acceptée par les députés en deuxième lecture.(([4] Ce test aux frontières pourra être exigé jusqu’au 31 mars 2023 aux personnes de plus de 12 ans avant l’embarquement à destination du territoire français :
– Pour les voyageurs en provenance d’un pays étranger où circule un nouveau variant du Covid,
– Pour les voyages vers les collectivités ultramarines « en cas de risque de saturation » de leur système de santé (hôpitaux…). sur décret du premier ministre.)) Le projet de loi distingue deux cas de figure, pour lesquels le gouvernement pourra, jusqu’au 31 mars 2023, exiger des personnes de plus de 12 ans la présentation d’un test Covid négatif. Ce sera le seul justificatif accepté: ni certificat de vaccination ni justificatif de rétablissement ne seront valables.

Le texte maintient les systèmes d’information de crise (SI-DEP et Contact Covid) jusqu’au 30 juin 2023.(([5] Les fichiers SI-DEP et Contact Covid maintenus jusqu’au printemps 2023.
Les traitements informatiques SI-DEP et Contact Covid, autorisés par la loi du 11 mai 2020 et plusieurs fois prolongés, sont maintenus jusqu’au 31 mars 2023. Le fichier SI-DEP centralise les résultats des examens de dépistage du Covid-19, permet leur transmission ainsi que les certificats de rétablissement. Le fichier Contact Covid identifie, oriente et accompagne les malades et les cas contacts.
Le gouvernement devra adresser tous les trois mois au Parlement un rapport détaillé de l’utilisation de ces fichiers.))

Malheureusement le parlement n’a pas voulu trancher sur l’avenir des soignants suspendus et a botté en touche.

Ce sera à !a Haute Autorité de santé de décider de l’avenir des soignants vaccino prudents dont on a tellement besoin en ce moment.

Saluons l’abrogation des régimes d’exception qui ont permis l’instauration de restrictions des libertés (confinement, couvre-feu, pass sanitaire et vaccinal…)

Presque toutes ces prétendues mesures sanitaires inutiles qui nous ont été imposées ne pourront plus l’être sans l’accord du parlement ! Il est temps puisque même le Pr Delfraissy, président du conseil scientifique ( ad hoc et secret ), a avoué que confinement et « vaccin » (ce n’est pas un vaccin mais un vacmédicament a-t-il avoué, puis tout récemment « Ce n’est pas le bon vaccin ! Il ne protège pas contre l’infection et la contagion) n’avaient pas été efficaces.

« En cas de réapparition de crise sanitaire, le gouvernement devra négocier une par une avec le Parlement les mesures sanitaires qu’il voudrait imposer », a affirmé le rapporteur LR Philippe Bas.

Maintenant que le bilan catastrophique de toutes ces mesures liberticides ubuesques commence à être connu, il est improbable que le parlement se laisse tromper à nouveau par les enfermistes et leurs prophéties catastrophes destinées à entretenir la peur. Espérons-le et faisons connaître à nos représentants nos choix par mail, rendez-vous, téléphone, etc. en restant en contact proche et répété avec eux pour ne pas compromettre l’avenir.

Les confinements qui nous ont été imposés pendant 128 jours (du 17 mars au 11 mai 2020, du 30 octobre au 15 décembre 2020, puis du 3 avril au 3 mai 2021) n’ont jamais ralenti l’épidémie contrairement aux nombreuses publications de propagande diffusées par les gouvernements et les organismes responsables de leur instauration. Ils n’ont sauvé aucune vie.(([6] Surjit S Bhalla Lockdowns and Closures vs COVID – 19: COVID Wins
https://www.semanticscholar.org/paper/Lockdowns-and-Closures-vs-COVID-%E2%80%93-19%3A-COVID-Wins-Bhalla/95aeeff82b572458ce69ca46b0b44118206a901b))(([7] Joffe AR. COVID-19: Rethinking the Lockdown Groupthink. Front Public Health. 2021 Feb 26;9:625778. doi: 10.3389/fpubh.2021.625778. PMID: 33718322; PMCID: PMC7952324.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33718322/))(([8] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evidentimpacts on the COVID-19 epidemic.
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20078717v1.full.pdf))

Les confinements ont été responsables d’innombrables victimes collatérales par défaut de soins, d’un tsunami psychiatrique(([9] Suicide Rise from Lockdowns to Kill More than Coronavirus
https://www.dailymail.co.uk/news/article-8293233/Far-people-Australia-predicted-die-suicide-coronavirus-lockdown.htm)), d’un désastre des apprentissages et de l’enseignement, d’un appauvrissement dramatique des plus précaires, d’une perte de près de 10% de notre PIB, et le « quoi qu’il en coûte » a augmenté de 500 milliards notre dette nationale.

Pass sanitaire et vaccinal ont été instaurés pour forcer la population à se « vacciner » en créant une discrimination inadmissible entre Français dans la vie courante : « On va mettre en place un confinement de fait pour les personnes qui ne se sont pas fait vacciner en limitant l’accès à tout un tas d’endroits… Ça va être primauté aux vaccinés et vie de merde pour les non-vaccinés »(([10] « Un conseiller ministériel promet une “vie de merde pour les non-vaccinés” » [archive], sur valeursactuelles.com, 23 juillet 2021)) rappelant la pensée de Macron : « les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder. Et donc on va continuer de le faire, jusqu’au bout(([11] https://www.lemonde.fr/politique/article/2022/01/04/les-non-vaccines-j-ai-tres-envie-de-les-emmerder-declare-emmanuel-macron_6108205_823448.html)). C’est ça, la stratégie. ». La CNIL a souligné le manque de données communiquées par le gouvernement pour en évaluer l’efficacité. Mais les données de l’OMS concernant l’évolution des contaminations montrent qu’ils n’ont jamais été efficaces contre la diffusion de la maladie, car partout où ils ont été imposés, ils ont été suivis d’une recrudescence forte des cas.

Cet échec sanitaire massif des pass, dû à l’incapacité des pseudo vaccins(([12] https://reaction19.fr/wp-content/uploads/2021/07/100721-L-injection-genique-anti-Covid-n-est-pas-un-vaccin-Dr-Nicole-Delepine.pdf)) à prévenir les contaminations, a motivé leur abandon dans tous les pays qui les ont imposés.

Le débat parlementaire a exposé l’ignorance des certains élus sur la réalité covid19

En particulier sur l’inefficacité réelle des pseudo vaccins pour protéger les populations : le centriste Philippe Bonnecarrère qui a déploré que le texte ne comporte « plus aucune référence à la vaccination, ce qui est une manière d’adresser une forme de contre-message à nos concitoyens ».

Ou pire encore Véronique Guillotin (RDSE). « Le débat laisse le champ libre aux antivax » qui, comme un ayatollah paraît ignorer que les injections anticovid sont des médicaments expérimentaux et non pas des vaccins, traite les vaccino prudents d’antivax et estime qu’il faut interdire tout débat sur la pseudo vaccination.

Nous lui adresserons les données de l’OMS montrant que les campagnes d’injection ont été suivies d’une forte augmentation des contagions partout dans le monde et sommes à sa disposition comme à celles de tous les élus pour compléter son information.

Et de la mortalité :

Espérons que la connaissance de ces faits avérés dans le monde réel les rende moins dogmatiques à l’avenir !

Mais le désir de compromis avec le pouvoir a fait accepter de fait la prolongation de la suspension des soignants vaccino prudents

Selon les termes de son rapporteur, le Sénat a voulu« créer un chemin vers la réintégration des personnels suspendus ».

Mais certains pro macron, comme la socialiste Marie-Pierre de La Gontrie, ont osé prétendre que « cette réintégration serait totalement choquante ».

Pour montrer son esprit de compromis, le Sénat a accepté de soumettre la décision à l’avis de la HAS en oubliant que cette dernière n’est que la marionnette du gouvernement Macron(([13] https://docteur.nicoledelepine.fr/honte-a-la-has-emanation-du-pouvoir-de-refuser-la-reintegration-des-soignants/))(([14] https://nouveau-monde.ca/les-pleins-pouvoirs-donnes-a-la-has-par-le-nouveau-parlement-temoin-de-son-incroyable-inconscience/)) qui en a nommé la directrice et lui a attribué un salaire exorbitant (>200 000 euros annuels !). Les autres membres du collège de la HAS sont également nommés par le pouvoir. Il n’y a donc aucune indépendance de cette agence. Ses antécédents ne plaident pas en son intégrité comme les affaires vioxx, médiator, dépakine l’ont malheureusement démontré.(([15] Dépakine: l’Etat jugé responsable et condamné à indemniser des fami… | Mediapart par exemple))

On se rappelle que la HAS a justifié toutes les décisions du gouvernement même les plus contraires à la science comme l’utilisation du Remdesevir contre le covid en prétendant « le service médical rendu par VEKLURY (remdesivir) est faible alors qu’elle aurait dû le qualifier de « dangereux » comme l’OMS en déconseillait l’usage(([16] https://www.who.int/news-room/feature-stories/detail/who-recommends-against-the-use-of-remdesivir-in-covid-19-patients)) pour son inefficacité et sa toxicité.

C’est aussi l’HAS qui continue à prétendre contre l’évidence des chiffres de l’OMS que des pseudo vaccins covid seraient « sûrs et efficaces » et permettraient « la limitation de la diffusion de l’épidémie » confirmant qu’il n’y a pas pire aveugle que celui qui refuse de voir(([17] Comment nier en juillet 2022 l’inefficacité des injections géniques et leurs dangers ? – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))(([18] https://nouveau-monde.ca/100-tribunaux-saisis-au-penal-par-reaction19-contre-la-vaccination-covid/)). Les plaintes contre les injections en pénal leur feront-elles se poser des questions sur les faits avérés et leur propre responsabilité ?

Sans aucune justification scientifique, les soignants vaccino prudents restent donc ostracisés dans des conditions inhumaines au moment où leur absence entraîne la fermeture de nombreuses urgences (plus de 120)(([19] https://nouveau-monde.ca/pour-resoudre-le-probleme-des-urgences-francois-braun-veut-les-supprimer-la-nuit/)), et de maternité, la diminution d’au moins 20% des interventions chirurgicales programmées et aggrave le nombre de déserts médicaux.

Pendant le même temps, des soignants malades covid19 sont autorisés et même incités à poursuivre les soins auprès des patients. Cette décision est politique pour « punir » (selon l’aveu de Patrick Pelloux l’urgentiste ami du président Hollande) les résistants à l’ukase, et probablement aussi éviter qu’ils soient en contact avec les collègues dans le doute et les patients infantilisés. Bref qu’ils ne puissent pas parler.

Il faut espérer qu’un prochain débat parlementaire mette fin à cette discrimination scandaleuse qui n’existe que dans une infime minorité de pays comme la France et l’Italie. Cette mesure a été récemment condamnée en justice en France(([20] https://www.francesoir.fr/societe-sante/soignante-reintegree-sans-motif-de-conges-me-tarek-koraitem))(([21] https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/soignante-reintegree-il-faut-attaquer-cette-loi-article-par-article-me-ludot)) et en Italie (par le tribunal de Milan le 16 septembre 2021 et plus récemment en Sicile).

Réintégrer les soignants vaccino prudents est urgent, car la persistance de leur discrimination risque de les convaincre de renoncer définitivement à toute activité de soins, éloigne d’autres soignants encore en poste et les incite à démissionner, ou à se mettre en disponibilité, voire abandonne les métiers du soin, et dissuade de nombreux étudiants à se diriger vers cette carrière jadis enthousiasmante.

Battons-nous par tous les moyens légaux pour qu’il leur soit enfin rendu justice.

« Les non-vaccinés sont les héros des deux dernières années, car ils nous ont tous permis d’avoir un groupe témoin dans la grande expérience et de mettre en évidence la carence des vaccins covid. Les non-vaccinés portent de nombreuses cicatrices et blessures de combat, car ce sont les personnes que l’on a essayé de briser mentalement. La guerre contre les non-vaccinés a été perdue et nous devrions tous leur en être très reconnaissants. »(([22] Le producteur de cinéma Del Bigtree : « Les non-vaccinés sont les héros de ces deux dernières années » – La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) ))

Et informons nos élus de la réalité du terrain, de l’inefficacité démontrée des injections expérimentales, des effets secondaires lourds qui s’accumulent dans le monde injecté, contrastant avec le bon état des populations africaines ayant échappé à la folie de la piqûre et adopté les traitements précoces pour les vrais malades (et non les « cas »).(([23] Balance avantages/risques des injections anti-covid19, au 28 juin 2022 – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

ATTENTION À LA PROPAGANDE EN FAVEUR DES INJECTIONS SUR LES ONDES.

SENSIBILISONS AU RISQUE D’INJECTER LES ENFANTS À LA RENTRÉE

Il importe que les parlementaires soient véritablement informés pour éviter que nous retombions dans une folie vaccinale pour un pseudo covid, une bienvenue variole du singe, monkeypox ou plutôt moneypox,, ou tout autre virus utilisable pour faire grossir encore les bénéfices de Big Pharma et les possibilités de contrôle des populations par le pouvoir.

Le certificat européen(([24] Le Certificat COVID numérique de l’UE, outil de fichage à la chinoise des citoyens européens – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) voté au parlement de l’UE et qui pourrait être adopté dans nos assemblées à la rentrée doit nous rendre vigilants. Nous devons rester en alerte.

Il faut absolument épargner nos enfants de ces injections expérimentales à ARNm qui mettent en jeu leur fertilité, leur immunité naturelle et les menacent de nombreuses maladies, cancers, maladies dégénératives, neurologiques, etc.(([25] Les vaccins contre Covid détériorent le système immunitaire et provoquent un syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA) – Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) ))

L’absence totale de recul sur ces injections expérimentales -dont les essais ne finiront qu’en 2023 y compris les nouveaux « vaxxins » qu’on fait miroiter pas encore sur le marché – doit faire interdire TOUTE INJECTION CHEZ LES JEUNES 

RAPPELONS QUE LES ENFANTS NE RISQUENT RIEN DU COVID, ET NE LE TRANSMETTENT PAS. AUCUNE RAISON OBJECTIVE DE LES INJECTER

Informons, l’avenir de nos enfants et petits-enfants dépend de nous tous.





Les pleins pouvoirs donnés à la HAS par le nouveau parlement témoin de son incroyable inconscience

Par Nicole et Gérard Delépine

Faites-vous nommer présidente de la HAS vous serez payé 210 197 euros par an à condition de ne pas déplaire au président qui vous nomme.

Volet 2 suite de :
HONTE À LA HAS, ÉMANATION DU POUVOIR, DE REFUSER LA RÉINTÉGRATION DES SOIGNANTS – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) volet 1 par Gérard Delépine


À l’ouest, rien de nouveau. La libération totale viendra probablement de l’Italie ou de la Grande-Bretagne pendant que les Français continuent de se faire berner par les puissants et leurs experts pourris de conflits d’intérêts. Les concitoyens (occupés par les TV sur port de la cravate ou non) restent aveugles et sourds à la réalité du terrain, aux multiples raisons scientifiques réelles de refuser le pseudo vaccin et aux énormes raisons pragmatiques de laisser revenir sur le terrain sanitaire les soignants fidèles à Hippocrate, pour ceux qui voudront bien qui nous pardonner et ne sont pas encore partis à l’étranger ou dans des métiers extra sanitaires ou leurs qualités sont mieux reconnues.

Les RAISONS OBJECTIVES POUR LA RÉINTÉGRATION

L’Académie de médecine et la Haute Autorité de Santé ne se déshonorent-elles pas en mettent la santé des Français encore plus en danger en refusant la réintégration des soignants vaccino prudents ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Le pseudovax n’a pas ralenti l’épidémie

L’aggravation paradoxale du risque d’attraper le covid quand on est vacciné depuis plus de cinq mois a été initialement observée au Royaume-Uni :

Mais elle a aussi été constatée en France :

Et pendant ce temps-là, ceux qui en ont besoin se plaignent de ne pas être reçus à l’hôpital ou en ville dans des délais qui les mettent en danger, et de la dégradation vertigineuse du système de soins et se voient encore obligés d’exhiber un pass et/ou un test (bidon)(([1] La mystification des tests PCR continue en France via le Sénat et ruine la sécurité sociale — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )) et même un masque.(([2] Les masques sont inutiles et dangereux : l’expérience désastreuse de la Nouvelle-Zélande —La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) ))

Personne ne manifeste devant les hôpitaux ou les cliniques ni les EHPAD refusant les malades ou les visiteurs sans pass jusqu’à aujourd’hui alors que chacun devrait savoir s’il regarde les faits avérés, que ce vax ne protège de rien et que des soignants positifs, même symptomatiques sont autorisés à travailler dans ces mêmes établissements de soins. Mais un polémiste(([3] Patrick Pelloux qui commence à mesurer les désastres de la politique qu’il soutient depuis de longues années.)) a avoué qu’il s’agissait de les « punir » !

Enfin, grâce à la nouvelle loi sanitaire nous sortirons Le 1er août prochain de l’état d’urgence sanitaire et le gouvernement devra prendre en compte l’avis du Parlement pour toute nouvelle mesure restrictive de nos libertés qu’il souhaiterait prétextant l’apparition de nouveaux variants viraux ou toute autre excuse (moneypox et non monkeypox, etc..).

Malheureusement, la propagande de la peur, voire de la panique, se poursuit, et le gouvernement — via les mensonges répétés du Premier ministre, Mme Borne, celle qui vapote à l’assemblée, ou du nouveau ministre urgentiste et d’autres — continue à répéter comme un mantra que « les vaccins mêmes peu efficaces sont ce qu’il y a de mieux. » Oubliant une nouvelle fois les traitements précoces efficaces.

Les mondialistes voudraient tous nous injecter pour réussir leur dépopulation. « Les enfants sacrifiés du covid »(([4] Titre de notre livre paru en janvier 2022 chez Fauves éditions.)) sont dans le collimateur des puissants. C’est à nous tous de répéter les évidences démontrées maintes fois, les enfants ne risquent rien du covid et ne transmettent pas le virus. En revanche ils sont exposés aux effets secondaires des injections géniques, quelles qu’elles soient, y compris les nouveaux pseudovax dont on vous fera croire qu’ils sont sans danger. Comme les Pfizer ou Moderna, ils sont en expérimentation et sans recul. Vigilance !

COMME TROP D’ALLEMANDS DURANT LE RÉGIME NAZI et TROP DE FRANÇAIS PENDANT L’OCCUPATION, TROP DE NOS CONCITOYENS SONT À LA FOIS VICTIMES ET BOURREAUX (PAR LEUR TOLÉRANCE À L’INTOLÉRABLE).

Le gouvernement et les agences mentent quand ils prétendent que les pseudo vaccins protègent des formes graves alors que les chiffres officiels et l’OMS prouvent qu’ils sont suivis d’une surmortalité importante.

Mais ne comprennent-ils pas que derrière les soignants vaccino prudents suspendus de l’ordre de 15 000 (transformés en dix fois moins par nos menteurs permanents) se greffent ceux qui n’en pouvant plus de cette gouvernance dictatoriale qui nie leur vocation sont partis à la retraite plus tôt que prévu, souffrent d’arrêts maladie à rallonge, se sont mis en disponibilité ou ont démissionné. Le monde dit médical est devenu invivable et plutôt qu’applaudir les soignants sur injonction du gouvernement au printemps 2020 il vaudrait mieux les défendre aujourd’hui vraiment par tous moyens, manifestations, lettres aux élus, et rendez-vous, pétitions monstres, etc.. Et si nos concitoyens ne font rien, qu’ils ne viennent pas se plaindre de l’absence de soins par absence de soignants. Ces courageux qui ont mis leur carrière, leur maison et parfois leur famille en jeu pour vous avertir par un signal fort du danger des injections expérimentales deviennent des Héros.(([5] Ils auraient pu tricher comme cela a été démontré pour des puissants espagnols, stars, politiques, etc. Ils ont choisi d’informer et c’est probablement la principale crainte du pouvoir s’il les réintégrait… Qu’ils parlent du vrai monde.))(([6] https://odysee.com/@FabienMoineExuvieTV:9/soignants-suspendus-alexandra-henrion:9))

On laisse brûler nos forêts et des pompiers sont interdits de travail, pour ne pas contaminer les arbres ? La canicule bloque-t-elle le bon sens ou son expression ?

La France, pays des scandales passés inaperçus ou tolérés… depuis tant d’années : Alstom, EDF, Uberfiles, McKinsey, Cap Gemini, etc. Peu importe, on continue… Bah, voyons…

Le Sénat pour ne pas déplaire à la Macronie donne les pleins pouvoirs à la HAS, oubliant les avis désastreux de la HAS dans tous les scandales sanitaires récents : Médiator, Dépakine, Vioxx, Levothyrox…

Publié le 24 juillet 2022 par pgibertie

La HAS a été créée par la loi du 13 août 2004 relative à l’Assurance maladie. Le premier président de la HAS a été le PR Laurent Degos, grand dirigeant tout puissant de l’hématologie de Saint Louis dans une APHP encore florissante, entre 2005 et 2010, puis son alter ego nantais Jean-Luc Harousseau.

Depuis plus de deux décennies, les liens sont forts entre ces professeurs de faculté à la tête de gros laboratoires pratiquant les PPP (partenariat public privé en toute légalité) et l’industrie du médicament. Mme la Professeur Le Guludec connaît bien le monde de la recherche, puisqu’elle est la sponsor principale via l’INSERM (dont on a démontré l’absence d’indépendance), d’essais thérapeutiques en collaboration avec Oncology Clinical Trials | AAA (adacap.com).(([7] As part of the development process, our investigational radioligand products are evaluated in clinical trials to find new and better ways to image and treat disease. These studies are sponsored by Advanced Accelerator Applications (AAA).))(([8] Assessment of Radiolabeled rhAnnexin V-128 in Infective Endocarditis—Full Text View—ClinicalTrials.gov par exemple.)) Ses conventions affichées sur transparence santé, le site du gouvernement, sont aussi légales sans qu’on en connaisse les détails, mais montrent ses liens avec Pfizer ce qui aurait dû la disqualifier comme juge arbitre des problèmes covid19.

Tout ceci est légal, mais témoigne pour le moins de l’absence d’indépendance et ce type de profil à la tête des agences médicales devraient être interdit pour qu’elles soient dirigées par de véritables indépendants, perle rare tant l’organisation actuelle de la médecine mise en place à la fin du siècle dernier a rendu très difficile l’indépendance des chercheurs et médecins.

Le président de la République avait nommé le Pr Agnès Buzyn(([9] Recasée à l’OMS en Suisse et protégée des plaintes contre elle par son statut diplomatique.)), membre et présidente du collège, pour remplacer le Professeur nantais, par décret du 5 mars 2016. Elle avait été renouvelée dans ses fonctions pour un mandat de six ans par le décret du 7 avril 2017. À la suite de sa nomination comme ministre des Solidarités et de la Santé, elle a été remplacée par Dominique Le Guludec à compter du 4 décembre 2017, proposé par E. Macron. Mme Buzyn avait clairement suggéré à sa prise de fonction à l’institut du cancer quelques années plutôt que « les médecins qui n’ont pas de liens directs et forts avec l’industrie sont probablement incompétents ». En tous cas, ils sont peu nombreux, ignorés des médias et de nos politiques et jamais appelés aux responsabilités de l’état.

TOUS NOMMÉS PAR LE POUVOIR : ET PRÉTENDUS INDÉPENDANTS !

LA HAS, APPENDICE DU POUVOIR POLITIQUE, A FAIT PREUVE DE SES DANGEREUX LIENS AVEC L’INDUSTRIE DU MÉDICAMENT

« Avec du recul, nous nous apercevons que les leçons du passé concernant les scandales sanitaires n’ont pas servi et que la société répète les mêmes situations sans que la population en prenne conscience pour provoquer une réaction beaucoup plus rapide.

Normalement, les instituts de veille sanitaire, les comités de pharmacovigilance et d’autres structures de surveillance de santé devraient permettre de réagir rapidement.

Or, en réalité et en étudiant depuis un peu plus d’un siècle la longue histoire des scandales sanitaires, on s’aperçoit que les structures prévues pour réagir ne font rien pour anticiper et réagir rapidement à des situations préoccupantes ».(([10] Nous avons traité dans la face cachée du médicament (ND Éditions Michalon 2011) à la suite du procès mediator la longue suite de drames liés à l’aveuglement du pouvoir face aux intérêts des labos. À commencer par la thalidomide et les enfants sans membres ou le Distilbène dont les victimes se comptent encore à la quatrième génération, etc..
La face cachée des médicaments — L’influx (linflux.com) ))

https://blogs.mediapart.fr/bernard-sudan/blog/220717/la-longue-histoire-des-scandales-sanitaires-en-france »

QUELQUES EXEMPLES :

HAS ET MÉDIATOR

La HAS a refusé de voir les dangers du Médiator : pas de dénonciation des effets secondaires mortels, simple refus de mieux le faire prendre en charge par la sécu, mais pas de déremboursement

HAS ET DEPAKINE et de nombreux handicapés à vie en laissant sur le marché le médicament pour les femmes enceintes alors qu’on savait depuis de nombreuses années sans que la HAS s’en préoccupe

HAS ET VIOXX

SCANDALE VIOXX CELEBREX/service médical rendu… Même aveuglement pour le Vioxx, une molécule anti-inflammatoire sur le marché entre 1999 et 2004 provoquant aux USA 27 785 décès impliquant le laboratoire Merck sans compter le monde entier ! Retiré du marché par le labo et jamais par nos instances chargées de notre sécurité sanitaire. D’ailleurs le Celebrex est toujours là en 2022 en France…

HAS ET CHANGEMENT DE LEVOTHYROX/AVIS FAVORABLE

Plusieurs milliers de patients traités avec la nouvelle formule du Levothyrox, indiqué pour troubles de la thyroïde, se sont plaints de lourds effets secondaires (maux de tête, vertiges, insomnies…) Ils ont porté plainte contre Merck en première instance, en mars 2019. Ils ont d’abord été diabolisés par les médecins incompétents ou complices, les habituels anticomplotistes qui les ont traités de tous les noms d’oiseaux… L’histoire se répète.

Nous avions cité dans le livre « La face cachée des médicaments »(([11] N Delepine 2011, Éd. Michalon.)) la thèse de doctorat de Louis-Adrien Delarue démontrant qu’au moins quatre recommandations de la HAS émises entre 2006 et 2008 sont erronées.

Il a étudié trois classes de médicaments utilisées pour soigner le diabète de type 2, la maladie d’Alzheimer et certains troubles articulaires. Ces pathologies fréquentes font l’objet de préconisations dans quatre guides de la HAS. « Les biais sont multiples », selon la thèse :

« Études scientifiques omises, présentations de données mal étayées ou connues pour être falsifiées, conclusions hâtives et mal argumentées. In fine, la HAS promeut des médicaments dont la balance bénéfice-risque est clairement défavorable et qui impactent les dépenses publiques à hauteur de centaines de millions d’euros par an. »

Et cerise sur le gâteau, c’est celui qui dénonce les conflits d’intérêt qui se fait rabrouer

« Symbole du tabou qui entoure ces conflits d’intérêts, le jury de thèse de Louis-Adrien Delarue lui a imposé d’occulter les noms des experts incriminés en les noircissant dans son texte ».

Quelques jours après la soutenance, la pharmacologue s’est inquiétée de voir la version originale de la thèse sur Internet. Dans un e-mail adressé à Louis-Adrien Delarue et copié à tous les centres de pharmacovigilance de France, elle a tenu à ne pas s’associer aux conclusions de la thèse devant ses confrères. Et a décrédibilisé la thèse sans préciser qu’elle avait obtenu la meilleure note et la mention « très honorable ».(([12] https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-nos-vies-connectees/20110923.RUE4315/les-revelations-qui-ebranlent-la-haute-autorite-de-sante.html))

Dans ce milieu la corruption est institutionnalisée et beaucoup d’experts sont pourris jusqu’à l’os,(([13] De nombreux livres dont ceux du PR Even et Debré ou sites comme celui du Formindep le démontrent.)) mais les Français ne veulent rien voir, avalent de « nouveaux » médicaments à 3000 euros le mois, inefficaces et toxiques, et ne bénéficient plus des traitements avérés qui guérissaient de nombreux cancéreux, entre autres. Ils se taisent, anesthésiés par la propagande. Le travail de sape de la cancérologie moderne par les ukases des plans cancer et des agences INCa, HAS et ARS qui imposent les traitements qui rapportent, est dénié par les patients qui ne font que regretter quelques années plus tard.(([14] Le cancer un fléau qui rapporte N Delépine Éditions Michalon 2013.))

Et les députés votent aveuglément la confiance à cette institution qui ne remplit pas sa mission envers la population, n’a donc aucune raison d’exister et coûte un « pognon de dingue ».

POUR FAIRE RÊVER LES SMICARDS ET LES AUTRES QUI DOIVENT CHOISIR ENTRE L’ESSENCE POUR ALLER AU TRAVAIL ET LEUR NOURRITURE, RAPPELONS LES SALAIRES À LA HAS :

Ces multiples agences, simples alibis scientifiques du pouvoir ruinent le budget santé pendant que beaucoup d’hôpitaux tombent en ruine.

Et consultez les salaires publiés par certains employés qui donnent de plus une idée du nombre de postes… alors qu’on manque de médecins, de secrétaires, de soignants dans les hôpitaux, les lieux qui soignent !

21 salaires chez Haute Autorité de Santé publiés par des employés | Glassdoor

HAS, ministère, CNOM… ce que gagnent les dirigeants des autorités de santé | Le Quotidien du Médecin (lequotidiendumedecin.fr)

210 197 euros pour le directeur de la HAS, 119 280 euros pour la ministre

À la tête de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), qui a laissé dire que le nuage de Tchernobyl s’arrêtait aux frontières, Bernard Doroszczuk touche 223 419 euros brut.

Dominique Le Guludec(([15] Dominique Le Guludec, 64 ans, est cardiologue et professeure de biophysique et médecine nucléaire, spécialiste en imagerie cardiovasculaire à l’APHP.
Elle était présidente du conseil d’administration de l’IRSN depuis 2013. IRSN institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) Créé par la loi du 9 mai 2001, il s’agit d’une agence française de sécurité sanitaire environnementale. Elle avait montré ses limites lors de la catastrophe de Tchernobyl en proclamant que la contamination avait épargné la France. …)), patronne de la HAS (Haute autorité de santé) 210 197 euros bruts.
Un beau chiffre qui justifie d’obéir aux injonctions du chef qui vous a mis en place !

Svoboda Vernut @SvobodaVernut 15 mai 2022 Entre l’has, l’ars et les salaires de l’assurance maladie, le peuple pourrait récupérer un pognon de dingue 👍

D’ITALIE VIENDRA LA RAISON


Comment les parlementaires ont-ils pu confier le sort des soignants vaccino prudents et des malades qui ont besoin de tous leurs docteurs à un organisme aussi peu indépendant du pouvoir, et autant lié aux scandales sanitaires récents et aux décisions covid, même les plus stupides du gouvernement ?





Comment nier en juillet 2022 l’inefficacité des injections géniques et leurs dangers ?

Par Dr Nicole Delépine

Comment le mensonge mondial a-t-il perverti les plus vigilants et leur a-t-il fait accepter ces injections toxiques aux effets divers et variés, en particulier cognitifs ?

Même Philippe Bas, sénateur dévoué à la cause vaccinale depuis longtemps (et qui a d’ailleurs participé à imposer le pass en août 2021), avoue lors de la commission paritaire préalable au second vote de la loi au Parlement, un effet vaccinal plutôt désagréable. Cela devrait en surprendre quelques-uns, lui qu’il est difficile de traiter de complotiste !

Changements de mentalité, quand le réel revient au galop

Les propos stupéfiants de Philippe Bas sur les vaccinés : à contre-courant de la doxa covid imposée par le pouvoir depuis plus de deux ans :

« Tous les jours, des personnes meurent encore en France de cette maladie, dont une grande partie est d’ailleurs vaccinée, mais vulnérable au virus ».(([1] Le sénateur Bas reconnaît que les vaccinés meurent massivement du virus… par Eric Verhaeghe – Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) ))

Cette phrase inattendue de Philippe Bas en dit long sur le retournement de situation depuis l’introduction du vaccin :

« Mais à y regarder de plus près, j’ai constaté que le vaccin était de moins en moins efficace non pas pour prévenir les formes graves de la maladie, mais pour faire barrière aux contaminations. En France, ce sont aujourd’hui très majoritairement des personnes vaccinées qui contractent la maladie et la transmettent. Le vaccin fait barrage dans un tiers des cas. Le test présente donc actuellement une efficacité supérieure. C’est la raison — et la seule raison ! — pour laquelle la commission des lois du Sénat, puis le Sénat dans son ensemble ont décidé que, dans cette circonstance exceptionnelle, seul un test négatif soit exigé, plutôt qu’une preuve de vaccination à jour. La durée du test dépendra du nouveau variant — soixante‑douze heures, trente-six heures, vingt-quatre heures…

À y regarder de plus près”… Philippe Bas semble donc avoir découvert que la très abondante littérature jugée jusqu’ici complotiste sur l’inefficacité du vaccin n’était pas dénuée de fondement. Le vaccin ne ferait “barrage” que dans un tiers des cas à la contamination. Voilà pourquoi, officiellement, le Sénat s’oppose au rétablissement du certificat de vaccination (alors même que la Commission Européenne l’a institué et se bat pour l’imposer aux états)… »

TOUTES CES PERSONNES QUI AFFIRMENT EFFICACITÉ ET INNOCUITÉ DES INJECTIONS PEUVENT-ELLES S’AVOUER LEURS PROPRES ERREURS ?

Peut-être ne pouvons-nous rien pour elles, victimes du psychotraumatisme de la peur panique induite par l’intoxication quotidienne, comme les psychologues, telles Ariane Bilheran ou d’autres, nous l’ont démontré. L’expérience de l’attente des extraterrestres dans les années 1950 nous l’avait déjà fait découvrir.

Sauf le jour où…. Parfois semble — t-il un nouveau choc traumatisant qui inverse, annule ou atténue le précédent.. Laissons-les à leurs fausses certitudes, sans jugement, mais avec tristesse à leur choix erroné que nous respectons, même si nous les regrettons.

En tous cas, occupons-nous avec bonne conscience de ceux que l’on peut encore aider : les double vaccinés pour leur éviter la maléfique troisième dose (qui semble plus toxique par accumulation des doses probablement et peut-être modification du produit) ; ou sauver : leurs enfants non injectés, l’avenir de l’Humanité dont il faut sauvegarder la fertilité et le bon état général en ne leur infligeant pas une baisse de leur immunité, ou des atteintes cardiaques, cérébrales, hématologiques ou autres.

Que ceux qui traitent les vaccino prudents d’antivax alors qu’ils ne sont qu’anti-injection EXPÉRIMENTALE nous disent s’ils traitent aussi les agences internationales comme le VAERS pour les USA, EUDRAVIGILANCE pour l’agence européenne de l’UE, ou le MHRA pour les Anglo-saxons, de complotistes fous qui nieraient l’efficacité de l’injection et inventeraient les effets secondaires parfois dramatiques dont des décès.

Si les chiffres sont contestés (en plus comme en moins) rappelons que jusqu’au scénario covid, aucun nouveau médicament ni vaccin n’étaient laissés sur le marché après quelques dizaines de décès. Le nieront-ils aussi ? Jusqu’où l’aveuglement de la secte covid les a-t-il menés ?

Le Pr Montagnier lui aussi vilipendé avait prédit que les non-vaccinés sauveraient l’Humanité. Vu les propos délirants de personnes antérieurement intelligentes et clairvoyantes, la régression intellectuelle de proches après deux injections (avec perte de mémoire, d’orientation, voire de raisonnement), on peut malheureusement penser qu’il avait raison.

Pour ceux qui veulent encore savoir, faisons une nouvelle fois le point des effets secondaires de cette injection que même les sénateurs reconnaissent enfin comme inefficace(([1] Le sénateur Bas reconnaît que les vaccinés meurent massivement du virus… par Eric Verhaeghe – Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) )) et au besoin envoyons ces dernières nouvelles aux sénateurs, députés, conseillers généraux, à tous les élus et à tous ceux que cela pourrait intéresser.(([2] Base de données européenne des rapports sur les effets indésirables suspectés des médicaments — EudraVigilance
https://adrreports.eu/fr/eudravigilance.html))

Même sur le Site de L’ANSM ET EUDRAVIGILANCE

Les effets indésirables sont 20 fois plus importants en moins de deux ans qu’en 50 ans de statistiques sur tous les autres vaccins réunis. Pourquoi autant de soignants ont refusé celui-là, alors qu’ils ont accepté les autres ?

Jamais un vrai vaccin n’a entraîné un nombre comparable d’effets secondaires à l’injection expérimentale covid-19. Regardez les chiffres officiels fournis par le VAERS.

@YannBertin6 19 juil.

Plus de 1000 études et/ou rapports scientifiques sur les dangers associés aux injections Covid, liés à la coagulation du sang, la myocardite, la thrombose, l’anaphylaxie, la paralysie de Bell, les décès, etc. On peut débattre de tout sauf des chiffres

19 juil.

Des dizaines de milliers de victimes des « vaccins » COVID19 aux États-Unis appellent à l’aide alors que la communauté médicale leur tourne le dos !

rumble.com

Tens of Thousands of COVID-19 « Vaccine » Injured in the U.S. Begging for Help

From: https://www.vaxlonghaulers.com/
Testimonies from victims who need help because the medical community has turned their back on them.
https://healthimpactnews.com/2021/tens-of-thousands-of-covid-1

Yann Bertin — Anti-Fachos — Pro-humains

Les données du Vaers et d’Eudravigilance concordent parfaitement, un paquet de personnalités connues ont eu des problèmes, il paraît qu’on peut débattre de tout sauf des chiffres. Plus de 1000 études sur le danger des injections

https://resistance-mondiale.com/plus-de-1000-etudes-et-ou-rapports-scientifiques-sur-les-dangers-associes-aux-injections-covid

ici vous avez aussi les morts et blessés australiens que leur gouvernement a décidé d’indemniser au 6 juillet 2022

Et aussi l’évolutivité des myocardites

https://twitter.com/i/status/1547835472277254145

enfin une bonne conclusion d’un twittos :

Mercier @Art50Mercier20 juil.

Croire c’est pour les croyants
Devenez plutôt sachant
Allez creuser vérifier demander
Revérifier comparer…
Bref instruisez-vous 🧐
auprès des données officielles
VAERS CDC FDA Eudravigilance etc…
vous en êtes capable
La question étant 🤔
En avez-vous envie ?





Les masques sont inutiles et dangereux : l’expérience désastreuse de la Nouvelle-Zélande

[Voir aussi sur : la-verite-vous-rendra-libres.org]

Par Dr Nicole Delépine

ATTENTION ! MALGRÉ LA DISPARITION DE TOUT RISQUE COVID, LES MONDIALISTES VOUDRAIENT NOUS RÉIMPOSER LE MASQUE

« Dans toute la chorégraphie de la pandémie, le corps ne parle pas. Le masque est un bâillon. Fixé sur la bouche, il interdit la parole, le véhicule par excellence de la relation à autrui, la parole étant, de toutes les fonctions du corps, la plus étroitement liée à l’existence commune ». 

Soyons vigilants et diffusons toutes les informations qui démontrent son inefficacité, sa nocivité et sa toxicité.

LE MASQUE FAVORISE LES INFECTIONS COVID

Jacinda Ardern « déconcertée » par la montée en flèche des infections COVID en Nouvelle-Zélande, pays où le masque est obligatoire (anguillesousroche.com)

Il est bien triste que la Première ministre néo-zélandaise(([1] femme d’État néo-zélandaisePremière ministre depuis le 26 octobre 2017. Membre de la Chambre des représentants depuis 2008, elle devient chef du Parti travailliste de Nouvelle-Zélande le 1er août 2017 et à ce titre, se trouve dès lors à la tête de l’opposition. Après les élections législatives du 23 septembre 2017 où son parti obtient 35,7 % des suffrages, elle parvient en octobre à un accord avec le parti Nouvelle-Zélande d’abord et avec le Parti vert pour former un gouvernement de coalition. Serait une des personnes les plus influentes au monde…)) ne soit pas informée de la littérature internationale sur le masque ou ne veuille pas en tenir compte.

Être plus royaliste que le roi ne mène qu’à des désastres, que Mr Ciotti se le dise ! Le populisme qui consiste à imposer ce qu’on croit être le vœu du peuple est toxique.

« Jacinda Ardern se dit “déconcertée” par le fait que la Nouvelle-Zélande enregistre le plus grand nombre de décès et d’infections par le virus Covid que tous les pays voisins sans masque, et ce malgré le fait que la Nouvelle-Zélande maintienne des obligations strictes de port de masque.. »

« Selon les rapports, les pays voisins sans masque, comme l’Australie, ne comptent qu’une infime partie des infections par rapport à la Nouvelle-Zélande.

Par coïncidence, Singapour est le seul autre pays où le port du masque est obligatoire et ce pays connaît également des niveaux records d’infections et de décès ».

UNE MUSELIÈRE NÉGATION DU RAPPORT A L’AUTRE, NÉGATION DE L’ÊTRE

Qui peut s’en étonner. Des dizaines d’articles ont déjà démontré depuis le début de la folie covid que le masque n’est qu’une muselière fort symbolique des pouvoirs désireux de mater leur population et qu’il est parfaitement incapable de limiter les contaminations covid..

Nous avions écrit à ce sujet en octobre 21 une petite tribune inspirée de Jean-Claude Paye et Tülay Umay (Mondialisation.ca, 01 octobre 2021) (([2] Le masque, bâillon qui interdit la parole, base de la relation à l’autre – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) Coronavirus.
https://reseauinternational.net/le-port-du-masque-un-mimetisme-sacrificiel/)):

« Le port du masque supprime toute différence et exhibe la position “d’être un” avec l’intentionnalité du pouvoir. Il représente une technique d’introjection du discours sanitaire. Ses injonctions opèrent une suspension du visible, celui des objets de perception. Il s’agit d’être, sans médiation, avec la Chose même, avec l’invisible. 

Grâce à des contraintes paradoxales, il n’y a plus, dans le discours, d’objet pensable. La conscience est mise en parenthèse. Les actes, dont le port du masque, ne seront pas jugés selon leurs conséquences, mais selon l’intentionnalité exhibée : la réalisation du Bien. Le masque est alors un nouage entre la jouissance et le non-sens. Il est le lieu où s’abolit le désir de l’Autre.

Le « covidisme » procède d’une jouissance placée au-delà de la loi et du principe de plaisir. C’est une loi inconditionnelle, un véritable impératif catégorique de se purifier de tout désir.

Dans toute la chorégraphie de la pandémie, le corps ne parle pas. Le masque est un bâillon. Fixé sur la bouche, il interdit la parole, le véhicule par excellence de la relation à autrui,(7) la parole étant, de toutes les fonctions du corps, la plus étroitement liée à l’existence commune. 

Le covidisme impose l’obligation de se taire. Le langage doit être vidé de sa fonction. Ce qui doit gouverner relève d’une mécanique mimétique. Le port du masque est alors un refus de ce qui fait de nous des êtres humains, c’est une négation du rapport à l’Autre. »

Malgré la disparition du virus de la covid remplacé par des variants de moins en moins contagieux, les gouvernements mondialistes imaginent de réimposer le masque obligatoire dès que possible. Objet de contraintes psychologiques qui isolent les personnes, bloquent de fait les conversations et enferment la population dans la peur, l’angoisse l’isolement.

Il FAUT REFUSER LE PORT DU MASQUE INUTILE (les virus passent allègrement les pores (c’est écrit sur la boîte) et toxique sur différents plans comme cela a été démontré à de nombreuses reprises par des auteurs de tous pays. Il favorise les surinfections bactériennes, les mycoses et diminue l’apport correct d’oxygène tout en favorisant sa propre intoxication par son CO2 mal expulsé.

Summit.news rapporte : Le taux de mortalité par habitant du COVID en Nouvelle-Zélande a également dépassé celui de l’Australie en mars, en dépit de ses obligations strictes en matière de masques, et est resté plus élevé depuis.

« À Singapour, les taux de mortalité sont passés sous la barre de l’Australie en avril après avoir fait la course en tête entre octobre et Noël, mais ils font maintenant une folle remontée et sont prêts à dépasser à nouveau l’Australie », rapporte le Daily Mail.

« Bien sûr, ce n’est que le dernier exemple en date qui montre que les masques ne font rien ou presque pour empêcher la propagation des virus en suspension dans l’air, et peuvent même aggraver les choses », écrit Will Jones.

La propre enquête du gouvernement britannique a révélé que les preuves de l’efficacité des masques faciaux pour arrêter la propagation du COVID-19 dans les écoles ne sont « pas concluantes » .(([3] https://www.bbc.com/news/health-59895934))

Le conseiller SAGE du gouvernement britannique, le Dr Colin Axon, a jugé les masques comme des « couvertures de confort » qui ne font pratiquement rien, rappelant que la particule du virus COVID-19 est jusqu’à 5 000 fois plus petite que les trous du masque.

« Les petites tailles ne sont pas faciles à comprendre, mais une analogie imparfaite serait d’imaginer des billes tirées sur des échafaudages de constructeurs, certaines pourraient toucher un poteau et rebondir, mais la plupart passeraient évidemment au travers », a déclaré M. Axon.

Une étude menée au Danemark auprès de 6 000 participants(([4] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32829745/)) a également révélé que :

« il n’y avait pas de différence statistiquement significative entre ceux qui portaient des masques et ceux qui n’en portaient pas lorsqu’il s’agissait d’être infecté par le Covid-19 », rapporte le Spectator.

Malgré les données accablantes selon lesquelles les masques sont inutiles ou peuvent même exacerber le problème, certains pays se préparent déjà à les réintroduire. L’Allemagne est prête à réimposer son obligation de porter un masque en septembre, bien que la vague estivale de COVID ait déjà « perdu de son élan ». Ces règles seraient en passe de devenir permanentes si les citoyens ne s’y opposent pas de toutes leurs forces.

Rappelons notre revue récente de la littérature internationale(([5] Masques inutiles et dangereux : refusons cette nouvelle mascarade – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )) (toutes les références des articles ci-dessous insérées). Ce texte précise donc qu’il n’y a pas d’obligation réglementaire actuelle de port de masque même dans les structures ou locaux professionnels sanitaires, mais seulement la possibilité pour les responsables de ces établissements de l’imposer dans leurs locaux s’ils le désirent.

Le port généralisé du masque ne protège pas de la contamination

L’analyse exhaustive de la littérature internationale des articles publiés sur PubMed le 18/6/2022 est claire : aucune étude clinique ne prouve que le port généralisé du masque protégerait son porteur de la maladie ou diminuerait la transmission du covid19 autour de lui.

Les recommandations sur le masquage de masse ont été faites sur la base d’études sur les épidémies de grippe, alors même que l’efficacité du masque contre le virus grippal est incertaine et que ces études n’étaient pas nécessairement applicables au covid 19.

D’ailleurs initialement l’OMS avait recommandé de ne pas porter de masques dans la vie courante en raison d’un manque de preuves sur son efficacité, attitude tirée de 10 études randomisées sur la transmission de la grippe et d’autres coronavirus humains dans la communauté.

La révision de ses recommandations s’est appuyée sur une métanalyse de simples études observationnelles qui conclue au conditionnel: « l’utilisation d’un masque facial pourrait entraîner une réduction importante du risque d’infection (faible certitude) ». Les nouvelles directives OMS précisent comment laver et entretenir un masque en tissu et énumèrent les précautions d’usage à prendre pour porter en toute sécurité une protection faciale.

Une personne peut en effet s’infecter en ajustant son masque, en l’enlevant ou en le mettant à plusieurs reprises, sans se laver les mains entre chacun de ces gestes. De plus, l’OMS prévient :

« le masque peut créer « un faux sentiment de sécurité amenant à négliger des mesures telles que l’hygiène des mains et la distanciation physique ».

Le port du masque se justifie lorsqu’on est malade (qu’on tousse ou qu’on crache) et pour les personnes au contact de personnes malades, c’est pour le moins plus agréable. Mais même dans ces conditions, il n’existe aucune étude clinique publiée qui démontre qu’il diminue réellement le risque de contamination.

Ceux qui prônent l’obligation généralisée du port du masque sont habituellement les mêmes qui réfutent l’utilisation de la chloroquine sous le (faux) prétexte qu’il n’existerait pas d’études randomisées montrant qu’elle est efficace. Or la seule étude prospective randomisée pourtant réalisée par des partisans du port du masque et publiée, Danmasq19(([6] Henning Bundgaard Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask WearersFREE A Randomized Controlled Trial Annals of Internal Medicine
https://www.acpjournals.org/doi/full/10.7326/M20-6817?s=09&journalCode=aim)) ne retrouve aucune différence significative de risque de contamination entre les porteurs de masque et ceux qui n’en portent pas démontrant que le masque ne protège pas celui qui le porte.

Les articles qui défendent l’obligation généralisée du port de masque se basent sur non pas sur des études cliniques en population réelle, mais sur des simulations discutables (hypothèses très incertaines), des expériences sur des hamsters, sur l’extrapolation d’études de concentration virale réalisées en réanimation ou en laboratoire, sur l’avis « d’experts qui croient » en l’efficacité sans en apporter aucune preuve scientifique réelle.

Un des arguments classiques des partisans du masque est que les populations asiatiques habituées au masque seraient moins menacées de poussées de contaminations virales que les Européens. Pourtant la comparaison des nombres quotidiens de nouvelles contaminations covid19 en Suède (non masquée) et à Hong Kong (championne du port du masque) montre que le masquage généralisé de la population n’est pas efficace, voire contre-productif, car le taux journalier de nouvelles contaminations par million d’habitants est près de deux fois plus élevé à Hong Kong qu’en Suède !

Même constatation lorsqu’on compare la Biélorussie et la Corée du Sud :

Comment des professionnels de santé peuvent-ils encore croire en l’efficacité de l’obligation généralisée du port du masque alors qu’il n’en existe aucune preuve et, que de nombreux indices militent pour son inefficacité ? Que ceux qui ont peur et croient qu’un masque peut les protéger veuillent en porter est compréhensible et tolérable, mais il n’existe aucune raison scientifique d’imposer aux autres un grigri inefficace dont les effets secondaires sont nombreux.

Et pourquoi ce masque est-il dangereux : l’effet FOEGEN

L’étude observationnelle — « The Foegen Effect: A Mechanism by Which Facemasks Contribute to the COVID-19 Case Fatality Rate » (([7] Fögen Z. The Foegen effect: A mechanism by which facemasks contribute to the COVID-19 case fatality rate. Medicine (Baltimore). 2022 Feb 18
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35363218/ ))
(L’effet Foegen : Un mécanisme par lequel les masques faciaux contribuent au taux de mortalité des cas COVID-19) — a été publiée dans la revue Medicine en février 2022, sous la direction du médecin allemand Zacharias Fögen.(([8] L’obligation de porter un masque a causé plus de décès COVID, conclut une étude (anguillesousroche.com) ))

Thenationalpulse.com rapporte : L’article a analysé « si le port obligatoire du masque a influencé le taux de mortalité par cas au Kansas » pendant la période allant du 1er août 2020 au 15 octobre. Le Kansas a été utilisé à des fins de comparaison parce que l’État a permis à chacun de ses 105 comtés de décider de mettre en œuvre ou non le port obligatoire du masque, 81 comtés ayant décidé de s’opposer à cette mesure.

« La conclusion la plus importante de cette étude est que, contrairement à la pensée admise selon laquelle moins de personnes meurent parce que les taux d’infection sont réduits par les masques, ce n’était pas le cas », résume l’article.

« Les résultats de cette étude suggèrent fortement que les obligations de masques ont en fait causé environ 1,5 fois le nombre de décès ou ∼50 % de décès supplémentaires par rapport aux mandats sans masque. »

“Une justification de l’augmentation du RR en rendant le masque obligatoire est probablement que les virions qui pénètrent ou ceux qui sont crachés dans les gouttelettes sont retenus dans le tissu du masque facial, et après une évaporation rapide des gouttelettes, les gouttelettes hypercondensées ou les virions purs (virions qui ne sont pas à l’intérieur d’une gouttelette) sont réinspirés à une très courte distance pendant l’inspiration.”

Baptisée « effet Foegen », cette théorie suggère que les virions du COVID-19 :

“se propagent (en raison de leur plus petite taille) plus profondément dans les voies respiratoires”. « Ils contournent les bronches et sont inhalés profondément dans les alvéoles, où ils peuvent provoquer une pneumonie au lieu d’une bronchite, ce qui serait typique d’une infection virale. »

Un autre article publié dans la revue Cureus(([9] Cureus | Correlation Between Mask Compliance and COVID-19 Outcomes in Europe avril 2022)) et intitulé « Correlation Between Mask Compliance and COVID-19 Outcomes in Europe » (Corrélation entre le respect du port du masque et les résultats du COVID-19 en Europe) est arrivé à la conclusion étonnante que plus le taux de respect du masque est élevé, plus le taux de cas de COVID-19 est élevé.

Pour ceux qui ne sont pas très au fait des statistiques, c’est exactement le contraire de ce que les chercheurs devraient trouver si les masques étaient effectivement « efficaces ».

“Le masquage a été l’intervention non pharmaceutique la plus courante au cours de la pandémie de coronavirus 2019 (COVID-19)”, indique l’article.

« La plupart des pays ont mis en œuvre des recommandations ou des obligations concernant l’utilisation de masques dans les espaces publics. L’objectif de cette courte étude était d’analyser la corrélation entre le port du masque et les taux de morbidité et de mortalité au cours de l’hiver 2020-2021 en Europe. Les données de 35 pays européens sur la morbidité, la mortalité et l’utilisation de masques pendant une période de six mois ont été analysées et croisées. »

« Ces résultats indiquent que les pays ayant des niveaux élevés de respect des masques n’ont pas obtenu de meilleurs résultats que ceux ayant une faible utilisation des masques », écrit l’auteur Beny Spira, professeur à Sao Paolo.

« Pour cette analyse, tous les pays européens, y compris l’Europe de l’Ouest et de l’Est, comptant plus d’un million d’habitants ont été sélectionnés, ce qui représente un total de 602 millions de personnes. Tous les pays analysés ont connu un pic d’infection au COVID-19 pendant ces six mois », écrit le professeur avant de fournir l’ensemble des données.

« De manière surprenante, de faibles corrélations positives ont été observées lorsque le respect du masque a été rapporté à la morbidité (cas/million) ou à la mortalité (décès/million) dans chaque pays », note l’étude.

Le professeur montre un diagramme de dispersion de la conformité des masques par rapport aux cas et aux décès par million, ainsi qu’une ligne de régression ajustée. Comme on peut le voir, la relation est positive (pas bonne).

« Bien qu’aucune conclusion de cause à effet n’ait pu être déduite de cette analyse observationnelle, l’absence de corrélations négatives entre l’utilisation de masques et les cas et décès de COVID-19 suggère que l’utilisation généralisée de masques à un moment où une intervention efficace était la plus nécessaire, c’est-à-dire pendant le fort pic automne-hiver 2020-2021, n’a pas permis de réduire la transmission de COVID-19 », conclut l’étude. « En outre, la corrélation positive modérée entre l’utilisation des masques et les décès en Europe occidentale suggère également que l’utilisation universelle des masques peut avoir eu des conséquences néfastes involontaires. »

Les résultats de l’étude sur les masques sont similaires à ceux des chercheurs dirigés par Harvard lorsqu’ils ont constaté que plus les taux de vaccination d’une nation étaient élevés, plus les taux de cas étaient élevés. L’étude de Harvard, portant sur 68 nations et 2 947 comtés des États-Unis, a été publiée dans le European Journal of Epidemiology à la fin de 2021.

AUCUN GOUVERNEMENT JOURNALISTES ACADÉMIES OU AUTRES NE PEUVENT AFFIRMER UN EFFET BÉNÉFIQUE DU MASQUE

BIEN AU CONTRAIRE IL FAUT LES JETER (de surcroît ils polluent la planète qu’on oublie bizarrement !)(([10] Jetez ces masques que je ne saurais voir ! Jetez les muselières qui ne protègent personne ! – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

Le port du masque est source de nombreuses complications(([11] Ibid réf 5 avec l’ensemble des références.))

Au 22 juin 2022, la base de données PubMed recense 1165 articles internationaux décrivant des complications du port de masques faciaux.

Même les défenseurs du port du masque reconnaissent certains de ses inconvénients : inconfort fréquent, dégradation de la peau du visage, difficulté accrue à communiquer clairement, et une empathie perçue réduite des prestataires de soins par ceux dont ils s’occupent.

L’étude clinique de Zhang, pourtant avocat du masque a signalé un taux plus élevé de maladies respiratoires parmi le personnel hospitalier portant un masque en tissu par rapport à l’absence de masque de protection au travail.

Complications cutanées

La macroanalyse des membres de l’American Contact Dermatitis Society met en évidence des cas de dermatite professionnelle secondaire aux équipements de protection faciale. La dermatite de contact irritante (DCI) est la dermatose liée au masque la plus fréquente. Elle atteint principalement les joues et l’arête nasale et s’observe surtout après port prolongé du masque (>6 heures). Sa sévérité dépend de la chronicité de l’exposition. Les personnes atteintes de dermatite atopique, qui ont déjà une barrière cutanée défectueuse, sont particulièrement à risque de développer une DCI. (([12] L’étude coréenne de Choi SY précise la symptomatologie qui varie d’une plaque discrète, sèche et squameuse à un œdème et des vésicules, des érosions et une ulcération. Les démangeaisons étaient le symptôme le plus fréquent, affectant principalement les joues. La dermatose la plus fréquente était la dermatite de contact d’apparition récente (33,94 %), suivie de l’acné d’apparition récente (16,97 %) et de l’aggravation d’une acné préexistante (16,97 %). Le port quotidien de masques était significativement associé à une dermatite de contact d’apparition récente. Plus de la moitié des patients ayant des problèmes de peau préexistants ont vu leur maladie s’aggraver lorsqu’ils portaient des masques.
Une plus longue durée de port et l’utilisation de masques en coton ont augmenté les poussées d’acné. Les travailleurs de la santé avaient une incidence plus élevée de maladies de la peau.))

Hypoxie et troubles respiratoires

En dépit de certains articles mensongers qui prétendent que le port du masque ne diminuerait pas la saturation en oxygène la littérature internationale des grandes revues médicales établit formellement que le port prolongé du masque entraîne une augmentation de la résistance nasale et une hypoxie chez les personnels soignants, souvent associée à des maux de tête.

Beder et all ont observé chez les chirurgiens masqués pratiquant de longues interventions une diminution de la saturation en oxygène et une légère augmentation de la fréquence du pouls par rapport aux valeurs préopératoires chez les chirurgiens, la diminution étant plus importante chez les chirurgiens de plus de 35 ans.

Kisielinski K et ses coauteurs montrent que les masques N95 sont plus mal tolérés que les masques chirurgicaux et évaluent la fréquence des symptômes : syndrome d’épuisement, chute et fatigue, cooccurrence groupée d’insuffisance respiratoire et de diminution de la saturation en oxygène (67 %), augmentation de celle en gaz carbonique (82 %), maux de tête (60 %), troubles respiratoires et échauffement (88 %), mais aussi chaleur et humidité (100 %) sous les masques.

L’utilisation du masque N95 pendant plus de 4 heures par les soignants aggrave des maux de tête antérieurs. Une durée plus courte du port du masque facial peut en réduire la fréquence et la gravité. Ils concluent que le port prolongé du masque par la population générale peut entraîner des effets et des conséquences pertinents dans de nombreux domaines médicaux en particulier chez les personnes fragiles (asthmatiques, insuffisants respiratoires chroniques…).

Problèmes de communication

Il existe de nombreuses complications logistiques, physiologiques, psychologiques, sociales et économiques associées au port du masque.

Tsantanie et ses coauteurs montrent que la perception des émotions intentionnelles (celles que l’acteur désire transmettre) est réduite par la présence d’un masque pour toutes les expressions à l’exception de la colère.

La capacité du personnel de santé à communiquer avec succès avec les patients et avec les collègues est compromise, ce qui peut nuire à l’efficience, à l’efficacité, à l’équité et, plus particulièrement, à la sécurité de l’intervention thérapeutique. L’orthophoniste joue un rôle distinct dans la facilitation de la communication afin de garantir la fourniture, l’accessibilité et l’efficacité des services.

Les enfants sont particulièrement victimes du port de masques

Chez les plus petits, le contact avec la mère et tous les intervenants (crèche, etc.), l’apprentissage des émotions et de la parole est particulièrement menacé.

Dans les classes primaires, les professeurs ont plus de mal à se faire comprendre de leurs élèves qui ne peuvent plus se référer aux mimiques de l’enseignant.

En secondaire, l’apprentissage oral des langues étrangères est saboté : comment expliquer la position de la langue et de la bouche pour reproduire l’accent juste ? Les enseignants doivent parler plus fort, ce qui les fatigue inutilement, et ils peuvent difficilement évaluer ce que les élèves comprennent.

Les adolescents souffrent des mêmes difficultés en cours, mais la gêne à l’expression des sentiments est encore plus pénible à l’âge ou ils nouent leurs amitiés et leurs relations amoureuses.

Les troubles psychologiques et psychiatriques

Le port du masque est un facteur favorisant la survenue de stress et de morosité. Il provoque également une prosopagnosie (la non-reconnaissance des visages) et une difficulté à reconnaître les émotions d’autrui.

Depuis l’instauration des prétendues mesures sanitaires, les psychiatres avaient précocement mis en garde sur les effets pervers de l’enfermement et du port de masque chez les personnes fragiles et même chez de nombreuses autres personnes a priori équilibrées qui décompenseront. Ces inquiétudes étaient d’autant plus pertinentes que la diminution générale des lits hospitaliers en 20 ans a particulièrement touché la psychiatrie : fermeture de nombreux de lits de psychiatrie générale à l’hôpital, atteignant 60 % entre 1976 et 2016 selon l’IGAS. De plus l’augmentation des moyens en ville, où les centres médico-psychologiques sont saturés n’ont pas suivi. Les psychiatres ont fui l’hôpital public, où 30 % des postes de titulaires sont vacants.

Le recul montre qu’effectivement les dépressions et les urgences psychiatriques ont explosé.

L’augmentation de l’anxiété, de la dépression et du stress, d’abord constatée en Chine s’est diffusée partout où les dirigeants ont créé la panique et imposé des mesures contraignantes.

Les enfants ont été particulièrement touchés et les urgences pédopsychiatriques ont été dépassées à Paris tant à l’hôpital Robert Debré (demandes d’admission accrues de 20 %.) qu’à la Pitié-Salpêtrière et dans bien d’autres structures en Province.

D’après santé publique France, 3 millions de nos compatriotes souffrent de troubles psychiques sévères.]

Il n’est pas éthique de refuser d’examiner un malade

Le serment d’Hippocrate considéré comme l’un des textes fondateurs de la déontologie médicale rappelle qu’un médecin ne peut refuser d’examiner un malade.

Dans sa version française:

Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J’interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité.

Ou dans sa version internationale du serment de Genève :

JE NE PERMETTRAI PAS que des considérations d’âge, de maladie ou d’infirmité, de croyance, d’origine ethnique, de genre, de nationalité, d’affiliation politique, de race, d’orientation sexuelle, de statut social ou tout autre facteur s’interposent entre mon devoir et mon patient

D’ailleurs même au temps de la peste (qui tuait près de 40 % des malades) les médecins accomplissaient leur devoir sans exiger des malades qu’ils portent un masque.

Il est donc particulièrement choquant d’apprendre que certains confrères violent leur serment d’Hippocrate en refusant d’examiner des malades au prétexte qu’ils ne portent pas de masque.

L’ordre a rappelé que la non-vaccination ne fait pas partie des raisons justifiant un refus de soins. Un docteur ne peut donc pas déontologiquement refuser de soigner un patient parce qu’il n’est pas vacciné contre le Covid. On peut espérer que le non-port du masque sera prochainement le sujet d’un même rappel à la déontologie.

Il faut espérer que sans attendre ce rappel éthique, de nombreux médecins supprimeront ces exigences infondées du port de masque pour les consulter.

Et s’ils craignent encore qu’ils se rappellent que lors de la première vague (avant tout vaccin) les Indiens ont utilisé avec succès la chloroquine pour prévenir les contaminations du personnel soignant et des proches des malades et que l’Inde compte 15 fois moins de cas par millions que la France adepte des masques.

L’Algérie qui a largement utilisé le protocole Raoult compte 75 fois moins de cas par millions que la France

Pour se protéger, les médecins inquiets devraient plutôt se prescrire chloroquine ou Ivermectine que de porter un masque! Il faut rester méfiant, car le pouvoir veut nous faire prescrire du Paxlovid à la rentrée inefficace toxique et cher.

Et AVEU DE FAUCI(([13] Vidéo : Fauci admet ouvertement que le mandat de Biden sur les masques vise à préserver son « autorité » (anguillesousroche.com) ))

« C’est plus une question de principe de savoir où se trouve l’autorité. »

Lors de son passage récent sur Fox News, Anthony Fauci a semblé admettre que les efforts de l’administration Biden pour rétablir l’obligation de porter un masque dans les avions et les trains visaient à préserver l’« autorité » sur les décisions de santé publique, et non à assurer la sécurité des personnes.

Notes et références :




LE MONDE SE RÉVOLTE : nous sommes des milliards contre quelques milliers ! courage !

Par Nicole Delépine

Manifestations dans le monde entier contre les mesures vaccinales et la fausse pandémie

Les chefs d’État partisans des sanctions contre la Russie tombent les uns après les autres, dont le symbolique et important banquier italien Mario Draghi.

  • ➡️27,06 Kiril Petkov Bulgarie
  • ➡️ 01.07 Naftali Bennett Israël
  • ➡️ 07.07 Boris Johnson Royaume-Uni
  • ➡️ 08.07 Kaya Kallas Estonie
  • ➡️ 09.07 R Wikremesinge SriLanka
  • ➡️ 14.07 Mario Draghi Italie

Dans la semaine du 11 au 17 juillet : Manifestations au Portugal, Chili, Canada, Australie, Autriche, France, Hollande, Allemagne, etc., sans compter les énormes manifestations italiennes qui ont abouti au départ du banquier non élu Mario Draghi ce 21 juillet à l’occasion du scandale Uberfiles après tant d’autres.

Informez vos amis, vos voisins, car ces très nombreuses manifestations pacifistes pour la levée de toutes les mesures sanitaires et des obligations vaccinales est occultée par les médias mainstream au service des milliardaires qui les possèdent.

Une énorme clameur monte du monde entier et singulièrement d’Allemagne dont les enfants et petits-enfants n’ont pas oublié le drame du nazisme et ne veulent absolument pas le revivre. Ils ont culpabilisé pendant des décennies alors qu’ils n’y étaient pour rien et les mondialistes voudraient les replonger dans l’horreur… Non merci.

« Remarquez surtout les raz de marée allemands ! »

Un ami belge médecin et historien de cette période m’envoie cette vidéo et ses réflexions réconfortantes à méditer.

« Dès le début de cette Troisième Guerre mondiale qui ne dit pas son nom, j’ai toujours eu l’intime conviction que l’Allemagne avait rendez-vous avec “son” Histoire !

Notez les slogans : la vérité, la liberté, mais aussi et surtout “Aus auf dem NATO” ! SORTIR DE L’OTAN.

C’est une vérité empirique depuis la (ré-) apparition dans le monde de “Pfizer”, petite-fille (…) de IG-Farben des Von der Leyen, Klaus Schwab et autres monstres apparentés : l’Allemagne nazie n’a jamais été totalement épurée en 1945. Il n’y a pas que l’élite militaro-industrielle (et pharmaceutique) nazie, sauvée par les Américains et les Russes qui a continué à prospérer : souvenez-vous des certificats dits “Persil” (qui lave plus blanc que blanc) de l’époque qui ont permis à des millions d’Allemands d’être absous de toute complicité avec le régime hitlérien à partir d’une déclaration sur l’honneur ».

Le plus rassurant et intéressant de son commentaire est la démonstration qu’à travers ces manifestations dans de très nombreuses villes et avec beaucoup de participants, les Allemands refusent de rentrer une nouvelle fois dans cette horreur du nazisme. Le réarmement prévu de l’Allemagne, qui d’après ses dirigeants actuels serait la plus importante de l’UE ne convient pas à la population qui changera bientôt ses puissants qui la trahissent. Comme les Italiens ont viré Draghi le banquier de la BCE et de Goldman Sachs.

« Les Allemands que nous voyons manifester passivement dans les rues aujourd’hui sont porteurs d’un message véritablement rédempteur. Un quitus à une période terrible de leur histoire en quelque sorte. Que leurs aïeux reposent en paix. C’est également rassurant de voir une telle masse humaine s’ériger en rempart contre les velléités belliqueuses de leurs dirigeants (?) souhaitant, par le biais de l’OTAN, remettre le couvert gravé aux initiales néonazies ».

B.

De nombreux articles témoignent de l’influence des anciens nazis dans l’Allemagne moderne et surtout dans la création de l’UE.(([1] Les racines de l’Union Européenne – AgoraVox le média citoyen))

« Des faits historiques vont également dans le sens du rapport. John J. McCloy : président de la Banque mondiale, de la Chase Manhattan Bank, président de la fondation Ford, administrateur de la fondation Rockfeller, président du Council on Foreign Relations, conseiller sous Kennedy, Johnson, Nixon, Carter, Reagan, et surtout Haut-commissaire de la zone occupée américaine de 1949 à 1952. En occupant cette fonction, il mena une campagne de pardon incluant quasiment tous les noms des industriels cités dans le rapport : Friedrich Flick, Alfried Krupp, IG Farben, … Juste avant la création de la CECA. »

Quand les nazis construisirent l’Union Européenne

« Dès 1944 des industriels nazis qui préparent l’après-guerre, qui évoquent le retour du Reich, et qui passent par des sociétés-écrans, et des banques suisses pour fuiter des capitaux, et qui blanchiront leur image après-guerre. Le futur empire allemand ne sera plus militaire, mais économique aux mains des industriels. »

« Il n’y eut pas seulement des ingénieurs, et des techniciens nazis qui continuèrent à sévir. Des politiciens, des industriels, et des économistes en firent tout autant. Et qu’il faut rester critique vis-à-vis de politiciens qui aujourd’hui veulent nous imposer un fédéralisme européen en nous menaçant avec la dette qu’ils ont créée. Je terminerai cet article par la citation du Dr Michael Pinto-Duschinsky, un conseiller de l’ancien parti ouvrier juif :

« Pour de nombreuses personnalités du monde industriel proche du régime nazi, l’Europe est devenue une sorte de couverture pour la poursuite des intérêts nationaux allemands après la défaite d’Hitler… La continuité entre l’économie de l’Allemagne et les économies européennes de l’après-guerre est frappante. Certaines des grandes figures de l’économie nazie sont devenues les principales bâtisseuses de l’Union européenne. »

Souvenons-nous de qui est Schwab le fondateur du forum économique et mondial.(([2] Né à Ravensburg en 1938, Klaus Schwab est un enfant de l’Allemagne d’Adolf Hitler, un régime d’État policier fondé sur la peur et la violence, sur le lavage de cerveau et le contrôle, sur la propagande et le mensonge, sur l’industrialisme et l’eugénisme, sur la déshumanisation et la « désinfection », sur une vision effrayante et grandiose d’un « nouvel ordre » qui durerait mille ans.

Schwab semble avoir consacré sa vie à réinventer ce cauchemar et à essayer de le transformer en réalité non seulement pour l’Allemagne, mais pour le monde entier.

Pire encore, comme ses propres mots le confirment à maintes reprises, sa vision technocratique fasciste est aussi une vision transhumaniste tordue, qui fusionnerait les humains et les machines dans « de curieux mélanges de vie numérique et analogique », qui espère infecter nos corps avec de la « Smart Dust » et dans laquelle la police serait apparemment capable de lire nos cerveaux. Et lui et ses complices instrumentalisent la crise Covid-19 pour contourner la démocratie, pour passer outre l’opposition, pour accélérer leur programme et l’imposer au reste de l’humanité contre notre volonté dans ce qu’il appelle la « Grande Réinitialisation » ou le « Great Reset ».
D’origine khazarienne, Klaus Schwab est le fils d’un collaborateur nazi qui a utilisé le travail d’esclaves et aidé les efforts nazis pour obtenir la première bombe atomique — LES FAITS — Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant.))

On comprend pourquoi les jeunes et moins jeunes Allemands nés largement après la fin de la Deuxième Guerre mondiale veulent absolument sortir de ce système et de cet héritage morbide. La remilitarisation de l’Allemagne prévue par l’UE doit leur sembler dangereuse et nauséabonde.

MERCI À EUX DE LEURS MANIFESTATIONS NOMBREUSES ET RÉPÉTÉES

Puissent leurs échos arriver aux oreilles de nos journalistes.



Prenez le temps de visualiser ces manifestations d’une seule semaine dans le monde contre la folie, le cinéma et le film d’Horreur Covid.(([3] STOPPEZ LES INJECTIONS INUTILES ET DANGEREUSES – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

Et aussi les manifestations géantes des dockers à Hambourg dont nos médias ne nous parlent pas non plus

ProRital
@Vatixan14
17 juil.

« Stopper le monstre de l’inflation » : manifestation géante des dockers à Hambourg en Allemagne. Depuis hier, des milliers de dockers sont en grève pour réclamer de meilleurs salaires et une compensation de l’inflation. De graves affrontements ont eu lieu avec la police..

Libertatem
@pasdhypocrisie
14 juil.

Impressionnant convoi d’agriculteurs allemands vers la frontière entre l’Allemagne et les Pays-Bas pour soutenir la manifestation des agriculteurs néerlandais.

Frex
15 juil.

#BREAKING: Appel video à une manifestation pour les agriculteurs néerlandais. Prévue le 23 juillet, elle demande le soutien des agriculteurs, des pêcheurs, des camionneurs en Angleterre, aux US, en France, en Italie, en Allemagne, en Australie, au Canada et partout ailleurs.

À SUIVRE …





ARRÊTEZ LES INJECTIONS !

« Un film d’horreur » selon les démissionnaires des agences de santé américaines(([1] U.S. Public Health Agencies Aren’t “Following the Science,” Officials Say (commonsense.news)
Marty Makary M.D., M.P.H. and Tracy Beth Høeg M.D., Ph.D.
Jul 14 22
Dr. Marty Makary is a Johns Hopkins professor and public policy researcher. He is a member of the National Academy of Medicine, writes for the WSJ and the Washington Post, and is author of the NYT bestselling book, The Price We Pay.
Tracy Beth Høeg M.D., Ph.D.
Consultant epidemiologist with Florida Department of Health, PM&R physician in Northern California, mom of four and Danish-American dual citizen.))

Par Nicole Delépine

« Vous pouvez leur en injecter ou le leur gicler au visage, et vous obtiendrez le même avantage. »

Les agences de santé publique des États-Unis ne « suivent pas la science », disent des responsables démissionnaires. « Les gens reçoivent de mauvais conseils et nous ne pouvons rien dire. »

Voici en résumé ce que racontent les fonctionnaires des agences de santé des USA qui n’en peuvent plus de tant de mensonges depuis deux ans mettant en péril la vie de leurs concitoyens.

« Les appels et les SMS sont implacables. À l’autre extrémité se trouvent des médecins et des scientifiques aux plus hauts niveaux des NIH(([2] https://www.nih.gov

Official website of the National Institutes of Health (NIH). NIH is one of the world’s foremost medical research centers. An agency of the U.S. Department of Health and Human Services, …)), de la FDA et du CDC. Ils sont diversement frustrés, exaspérés et alarmés par l’orientation des agences auxquelles ils ont consacré leur carrière ».

Les hauts responsables conscients n’en peuvent plus ! « C’est comme un film d’horreur que je suis obligé de regarder et je ne peux pas fermer les yeux », a déploré un haut responsable de la FDA. »

Ils ont toléré longtemps, très longtemps, peut-être naïfs au début, mais vite conscients du rôle pervers qu’on leur faisait jouer. Mais pour comme nos pompiers suspendus sans salaire (alors que la France brûle, nos médecins et personnel soignant également écartés de leur fonction avec mépris, diffamation et sans salaire, ni RSA), démissionner est un acte difficile parfois quasiment impossible. Nos « malgré nous » injectés parce que devant continuer à payer la maison, nourrir les enfants et… de plus, faire cesser les drames avec le conjoint, la famille, d’un autre avis, pour ne pas divorcer, ne pas couper tout lien, comprennent bien ce qu’ont ressenti les fonctionnaires des agences américaines qui parlent aujourd’hui comme probablement voudraient le faire ceux des agences européennes qui se taisent encore par peur…

Ils ont tout toléré, mais l’attaque frontale des nourrissons en a fait exploser un certain nombre. Ces enfants et a fortiori nourrissons qui ne risquent RIEN du covid et qu’on voudrait nous forcer à injecter.

La goutte d’eau a fait craquer ce médecin de la FDA qui fait référence à deux développements récents au sein de l’agence :

— comment, en l’absence de données cliniques solides, l’agence a-t-elle autorisé les vaccins Covid pour les nourrissons et les tout-petits, y compris ceux qui avaient déjà le Covid ?

— deuxièmement, le fait que quelques mois auparavant, la FDA a contourné ses experts externes pour autoriser les injections de rappel pour les jeunes enfants.

« Ce médecin n’est pas seul. Au NIH, les médecins et les scientifiques se plaignent auprès de nous d’un moral bas et d’un manque de personnel : le Centre de recherche sur les vaccins des NIH a vu beaucoup de ses scientifiques principaux partir au cours de la dernière année, y compris le directeur, le directeur adjoint et le médecin en chef ».

Il semble bien que le bateau NIH n’ait plus de capitaine et que de très nombreux postes soient à pourvoir, y compris des emplois de haut niveau. Le CDC(([3] Center for disease control and prevention: officiel dans chaque état et un fédéral
Centers for Disease Control and Prevention (cdc.gov) )) a connu un exode similaire.

Bien que les bénéfices aient été élevés, « le moral est bas », selon un haut responsable du CDC. « Les choses sont devenues si politiques, pourquoi sommes-nous là ? » Un autre scientifique du CDC dit : « J’étais fier de dire aux gens que je travaille au CDC. Maintenant, je suis gêné. »

Pourquoi gênés ? Leur travail n’a plus rien à voir avec la science, la vraie, celle du doute légitime, celle des données non truquées au gré des ordres du ministère, etc.

Une réponse détaillée a été reçue par les auteurs. Les fonctionnaires ne supportent plus « que les dirigeants de leurs agences utilisent des données faibles ou erronées pour prendre des décisions de santé publique d’une importance cruciale ».

« Que de telles décisions sont motivées par ce qui est politiquement acceptable pour les gens à Washington ou pour l’administration Biden. Et qu’ils se concentrent comme des myopes sur un virus plutôt que sur la santé globale ».

LA LIMITE ENFIN DÉPASSÉE ?

Mais trop c’est trop et toucher aux enfants est peut-être enfin la limite qu’on ne peut franchir.

On l’a longtemps espéré en France comme aux USA devant le confinement invraisemblable d’enfants innocents du covid, devant le port du masque devant des nourrissons qui ne savent plus ce qu’est un nez une bouche après 18 mois d’adultes muselés devant eux, des petits en maternelle qui n’apprennent plus à parler, des enfants en élémentaire qui n’apprennent plus à lire, etc. On espérait que la population réagirait, enfin…

La politique officielle de santé publique concernant les enfants et le Covid a fait craquer les employés des agences. Voici ce qu’ils résument :

« Premièrement, ils ont exigé que les jeunes enfants soient masqués dans les écoles. Sur ce point, les agences se sont trompées. Des études convaincantes ont révélé plus tard que les écoles qui masquaient les enfants n’avaient pas de taux de transmission différents. Et pour le développement social et linguistique, les enfants ont besoin de voir les visages des autres.

Viennent ensuite les fermetures d’écoles. Les agences avaient tort — et de manière catastrophique. Les enfants pauvres et minoritaires ont subi une perte d’apprentissage avec une baisse de 11 points des scores en mathématiques et une baisse de 20 % des taux de réussite en mathématiques. Il existe des dizaines de statistiques de ce genre. »

« Ensuite, ils ont ignoré l’immunité naturelle. Encore une fois, c’est faux. La grande majorité des enfants ont déjà eu le Covid, mais cela n’a fait aucune différence dans les obligations globales pour les injections infantiles.

« Et maintenant, en rendant obligatoires les vaccins et les rappels pour les jeunes en bonne santé, sans données solides à l’appui, ces agences ne font qu’éroder davantage la confiance du public ».

ET LA HONTE MONTA ENCORE ET ENCORE ET LE POUVOIR SE RETROUVA DE PLUS EN PLUS SEUL

Une scientifique du CDC :

« Le CDC n’a pas réussi à équilibrer les risques de Covid avec d’autres risques liés à la fermeture des écoles ». Les pertes d’apprentissage, les exacerbations de la santé mentale étaient évidentes dès le début et celles-ci se sont aggravées à mesure que les directives insistaient pour garder les écoles virtuelles. Les directives du CDC ont aggravé l’équité raciale pour les générations à venir. Il a SACRIFIE cette génération d’enfants. »

confirmant les données de notre livre « Les enfants sacrifiés du covid »(([4] Fauves éditions))

Un responsable de la FDA :

« Je ne peux pas vous dire combien de personnes à la FDA m’ont dit : “Je n’aime rien de tout cela, mais j’ai juste besoin de prendre ma retraite. »

LA POURSUITE DES MENSONGES POUR IMPOSER LE VAX AUX PETITS

Fin juin, le CDC a vigoureusement recommandé les vaccins Covid à ARNm pour 20 millions d’enfants de moins de cinq ans. Le Dr Rochelle Walensky, directrice du CDC, a déclaré que les vaccins Covid à ARNm devraient être administrés à tous les patients de six mois ou plus « parce qu’ils sont sûrs et efficaces. »

TERRIBLES MENSONGES DONT ELLE POURRAIT ÊTRE UN JOUR OBLIGÉE DE RÉPONDRE DEVANT LES TRIBUNAUX.

Cette recommandation radicale était basée sur des données « extrêmement faibles et peu concluantes » fournies par Pfizer et Moderna.

LES NOUVEAUX MENSONGES DE PFIZER ET MODERNA ET LA SOUMISSION COUPABLE DES AGENCES

« Commencez par Pfizer. En utilisant un vaccin à trois doses chez 992 enfants âgés de six mois à cinq ans, Pfizer n’a trouvé aucune preuve statistiquement significative de l’efficacité du vaccin. Dans le sous-groupe d’enfants âgés de six mois à deux ans, l’essai a révélé que le vaccin pourrait entraîner une réduction de 99 % du risque d’infection, mais qu’ils pourraient également avoir un risque accru de 370 % d’être infectés. En d’autres termes, Pfizer a rapporté une gamme d’efficacité vaccinale si large qu’aucune conclusion n’a pu être déduite. Aucune revue médicale réputée n’accepterait des résultats aussi bâclés et incomplets avec un échantillon aussi petit. Plus précisément, ces résultats auraient dû faire réfléchir ceux qui sont en charge de la santé publique. »

Avis d’un haut responsable du CDC — expert dans l’évaluation des données cliniques — il a plaisanté : « Vous pouvez leur en injecter ou le leur gicler au visage, et vous obtiendrez le même avantage. » parlant du vax Pfizer chez les jeunes enfants en bonne santé et de son efficacité supposée.

Pour Moderna — l’étude sur 6 388 enfants avec deux doses — n’étaient pas plus convaincante. Contre les infections asymptomatiques, ils ont revendiqué une très faible efficacité vaccinale de seulement 4 % chez les enfants âgés de six mois à deux ans. Ils ont également affirmé une efficacité de 23 % chez les enfants âgés de deux à six ans, mais aucun des deux résultats n’était statistiquement significatif et aucun n’avait le moindre intérêt pour les enfants puisqu’ils ne souffraient de rien. Contre les infections symptomatiques, le vaccin de Moderna a montré une efficacité statistiquement significative, mais l’efficacité était faible : 50 % chez les enfants âgés de six mois à deux ans et 42 % chez les enfants âgés de deux à six ans.

UNE GIFLE À LA SCIENCE

Durée de la protection ? Inconnue « Il semble criminel que nous ayons émis la recommandation de donner des vaccins Covid à ARNm aux bébés sans bonnes données. Nous ne savons vraiment pas encore quels sont les risques. Alors, pourquoi le pousser si fort ? » selon un médecin du CDC.

Un haut responsable de la FDA a ressenti la même chose : « Le public n’a aucune idée de la gravité de ces données. Il ne passerait pas la barre pour toute autre autorisation ».

Et pourtant, la FDA et le CDC l’ont fait passer.

Le bon sens existe encore, ce qui explique pourquoi seulement 2 % des parents américains d’enfants de moins de cinq ans ont choisi de se faire vacciner contre le Covid, et 40 % des parents des zones rurales disent que leurs pédiatres n’ont pas recommandé le vaccin Covid pour leur enfant.

ESPÉRONS QUE LES EUROPÉENS ET EN PARTICULIER LES FRANÇAIS NE SACRIFIERONT PAS LEURS ENFANTS AUX SIRÈNES DU PRÉSIDENT ET DE LEURS AFFIDÉS MÉDIATIQUES MERCENAIRES DE PFIZER

La propagande terrorisante des médias reprend avec vigueur appliquant l’injonction présidentielle(([5] https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/il-faut-quon-dramatise-un-peu-emmanuel-macron-et-ses-ministres-jouent-le-tout-pour-le-tout_474389)) répétitive « Il faut qu’on dramatise un peu pour que tout le monde se vaccine ». Et pourtant l’épidémie est de fait terminée. Il faut absolument joindre nos députés, sénateurs pour leur dire qu’on ne veut pas de mauvaise surprise à la rentrée comme une injonction de vacciner les enfants innocents du covid et à risque de l’injection expérimentale.(([6] Appel aux Sénateurs — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) Et sans hésiter informer aussi les médias dont le rôle est capital dans la manipulation des citoyens.(([7] https://reaction19.fr/droit-de-pensee/art-dinformer/nicole-et-gerard-delepine/delepine-2022/delepine-juillet-2022/160722-lettre-ouverte-a-julien-dray-ex-elephant-socialiste-sur-les-dangers-et-linefficacite-des-injections-anticovid-dr-nicole-delepine/))

Les français commencent à comprendre, devant le nombre d’accidents vaccinaux graves, ou moins dramatiques, mais gênant la vie de tant de voisins, parents, amis ou collègues toujours absents, car fatigués infectés, sans endurance comme en témoignent les coureurs du Tour de France 22.

Les recommandations de vaccins Covid basées sur le peu de preuves transmises par ces agences.

En mai 2022, le manque de preuves cliniques pour les injections de rappel chez les jeunes a créé une tension à la FDA.

La Maison-Blanche l’a promu durement avant même que les régulateurs de la FDA n’aient vu des données. Une fois qu’ils ont vu les données, ils ont découvert qu’aucun bénéfice clair contre les maladies graves chez les personnes de moins de 40 ans n’a été démontré.

DES DÉMISSIONS OCCULTÉES EN FRANCE

Les deux principaux régulateurs des vaccins de la FDA — le Dr Marion Gruber, directrice du bureau des vaccins de la FDA, et son directeur adjoint, le Dr Philip Krause — avaient quitté l’agence l’année dernière en raison de pressions politiques pour autoriser les rappels de vaccins chez les jeunes.

Après leur départ, ils ont expliqué pourquoi les données ne justifiaient pas une large autorisation de rappel, arguant dans le Washington Post que « la pression pour des boosters pour tout le monde pourrait en fait prolonger la pandémie », citant des préoccupations selon lesquelles le renforcement basé sur une variante obsolète pourrait être contre-productif.

Quel dommage que ces informations n’aient pas réussi à atteindre nos journaux télévisés !

« C’était comme si nous étions un outil politique » selon un scientifique du CDC. « Il y a un silence, une réticence pour les scientifiques de l’agence à dire quoi que ce soit. Même s’ils savent qu’une partie de ce qui est dit de l’agence est absurde. »

ON SE CROIRAIT EN URSS AU BON VIEUX TEMPS OU EN RDA SOUS LA STASI

Les gens avaient l’impression de ne pas pouvoir parler librement, même à l’interne au sein de leurs agences.

« Vous êtes étiqueté en fonction de ce que vous dites. Si vous en parlez, vous en souffrirez, j’en suis convaincu », selon un membre du personnel de la FDA. Une autre personne a ajouté : « Si vous parlez honnêtement, vous êtes traité différemment. »

Et ainsi ils restent silencieux, se parlant en privé ou en groupes de texte sur Signal.

Nos lecteurs français nous diront-ils combien d’entre eux dans leurs entreprises ne se parlent plus que par « signal » dont on voit chaque jour les correspondants augmenter….

L’IMMUNITÉ NATURELLE, GRAND SUJET TABOU AUX USA COMME EN EUROPE

Pourquoi vacciner les enfants déjà une certaine immunité contre la maladie en l’ayant rencontrée, et qui de toute façon sont innocents du covid, ne font pas de maladie grave et ne transmettent pas ?

En février 2022, 75 % des enfants aux États-Unis avaient déjà une immunité naturelle contre une infection antérieure. Cela pourrait représenter plus de 90 % des enfants aujourd’hui étant donné l’omniprésence d’Omicron depuis lors.

Les propres recherches du CDC montrent que l’immunité naturelle est meilleure que l’immunité vaccinée et une étude récente du New England Journal of Medicine en Israël a remis en question les avantages de la vaccination des personnes précédemment infectées.

La Suède n’a jamais offert la vaccination aux enfants de moins de 12 ans. La Finlande limite les vaccins Covid aux enfants de moins de 12 ans à haut risque. L’Institut norvégien de santé publique a déclaré « l’infection antérieure offre une protection aussi bonne que le vaccin contre la réinfection ». Le Danemark a annoncé le 22 juin que sa recommandation de vacciner tous les enfants de moins de 16 ans était une erreur. « Les vaccinations n’étaient pas principalement recommandées pour le bien de l’enfant, mais pour assurer le contrôle de la pandémie », a déclaré Søren Brostrøm, chef du ministère danois de la Santé.

La réponse officielle de la santé publique au Covid a sapé la croyance du public dans la parole publique elle-même aux USA, mais aussi dans les pays européens dont la France.

Les dirigeants du CDC, de la FDA et des NIH et des agences européennes et mondiales devraient accueillir favorablement les discussions internes — voire les dissensions — basées sur les preuves. La science naît de la confrontation entre ce que l’on croit (les hypothèses) et les faits avérés. Nier les faits au profit d’une croyance érigée en dogme relève d’une attitude religieuse anti-scientifique.

Faire taire les médecins, ce n’est pas « suivre la science ».





Lettre ouverte pour Sénateurs non fermés et non corrompus

Par Nicole et Gérard Delépine

Le 15 07 2022

Lettre ouverte à Mesdames les Sénatrices et Messieurs les Sénateurs

Objet

Loi Santé

Mesdames les Sénatrices,
Messieurs les Sénateurs,

Médecins cancérologues depuis plus de quarante ans, nous venons une nouvelle fois solliciter votre attention, quant au nouveau vote prévu sur la loi anticovid, et en particulier le pass sanitaire et la gravité d’une incitation directe ou indirecte à la vaccination des plus jeunes.

Nous avons été heureux que des députés de différentes mouvances s’unissent pour traduire les remontées du terrain, le vécu de leurs administrés terriblement marqués par l’échec évident du pseudo vaccin et des passes dont ils refusent la prolongation. De nombreux citoyens avaient cédé aux espoirs d’une solution efficace et durable, pour demeurer hors du groupe des complotistes tant vilipendés et continuer à gagner leur vie (beaucoup malgré eux…).

Ils sont déçus par l’inefficacité des vaccins, prouvée par la demande répétée de rappels.

Avant ces injections ARNm, aucun vaccin n’avait nécessité une telle fréquence d’injections. Les vaccinés sont de plus en plus nombreux à s’inquiéter des conséquences néfastes constatées par eux-mêmes et chez leurs proches : grande asthénie, cardiopathies, troubles neurologiques, cutanés, rhumatologiques, reviviscence de maladies chroniques et apparition de cancers rapidement évolutifs et intraitables entre autres. Beaucoup de sites en témoignent et nos anciens patients cancéreux inquiets nous demandent directement par téléphone ou mails de transmettre leurs angoisses à qui de droit, donc à vous tous, nos représentants.

En ce qui concerne les enfants, rappelons qu’ils ne risquent rien du covid et innocents de toute transmission en dépit des assertions inexactes que nous regrettons de Mme La présidente de l’Assemblée nationale et du nouveau ministre de la Santé. Cette bénignité du covid infantile, affirmée depuis 2020 par toutes les revues internationales est confirmée par toutes les sociétés de pédiatrie du monde. Alors, pourquoi leur faire courir un risque par une injection ARNm qui mettrait en péril leur avenir médical et leur fertilité pour un risque zéro du covid et sans apporter aucune protection des autres humains puisque l’injection n’empêche pas les transmissions ?

En résumé, le covid infantile est une sorte de grippe curable par les traitements précoces (qui ont protégé les pays pauvres non vaccinés), mais qui ont été interdits ici par le pouvoir sans aucun élément scientifique réel à l’appui.

Les tests PCR répétés qui grèvent le budget de la sécurité sociale ne servent à rien, car non spécifiques comme la FDA l’a récemment avoué, et ne permettent en aucun cas de dire si un cas positif est réellement porteur du virus et contagieux ou non.

Les masques ont démontré leur inefficacité dans le seul essai randomisé publié et par l’analyse de la cinétique de l’épidémie, mais augmentent le risque d’infection bactérienne, donc à proscrire.

Les vaccins eux-mêmes ne protègent pas du covid, ni de la transmission, ni des formes graves.

Ils fragilisent les sujets qui les reçoivent par une baisse de leur immunité naturelle particulièrement marquée après les rappels, rendant les vaccinés beaucoup plus à risque d’infections opportunistes y compris un nouveau covid (comme les patients le constatent trop souvent) responsable d’un important absentéisme au travail qui handicape les entreprises.

Ils sont la source de très nombreux effets dits indésirables à tous les âges de la vie, de la multiplication des fausses couches, des problèmes menstruels (médiatisés par « où est mon cycle »), des myocardites et péricardites particulièrement chez les plus jeunes, sources d’arrêt cardiaque à l’effort chez trop de grands sportifs. Les régressions intellectuelles sont plus décrites chez les sujets âgés qui perdent leurs repères. Les sites officiels EudraVigilance pour l’EMA, VAERS pour la FDA et les CDC américains, MHRA pour les Anglo-saxons permettent à chacun de vérifier que le nombre de morts rapportées après vaccination atteint plusieurs milliers. Rappelons que tout essai conduisant à quelques dizaines de décès était stoppé avant cette triste violation des règles sécuritaires de base : le vaccin contre la grippe aviaire a été stoppé après 53 décès. Le conseil mondial de la santé qui regroupe médecins et scientifiques de différents pays supplie les dirigeants de stopper ces injections encore expérimentales inutiles et toxiques. L’entendrez-vous ?

Dans ces conditions, le pass sanitaire n’a évidemment aucune justification médicale.

Chaque point de ce court résumé est étayé par une lourde bibliographie que nous tenons à votre disposition1. Ce cri d’alerte n’est là que pour relayer auprès de vous les faits établis et le vécu de nos concitoyens. Notre plus grande inquiétude à tous est la protection des enfants et des sujets jeunes à risque zéro du covid, mais que les injections exposent à des complications précoces parfois graves et des risques tardifs inconnus.

Nous vous remercions de votre attention et restons à votre disposition. Avec nos sentiments reconnaissants et dévoués.

Drs Nicole Delépine pédiatre et cancérologue et Gérard Delépine chirurgien cancérologue




Lettre ouverte à Julien Dray le « baron noir », éditorialiste à Cnews, ex-éléphant socialiste, sur les dangers et l’inefficacité des injections antiCovid

Par Nicole et Gérard Delépine

Julien Dray(([1] Toujours dans le combat il vient de créer un nouveau mouvement « réinventez » :
Julien Dray lance le mouvement « Réinventez ! » (20minutes.fr)
INFLUENCEUR
L’ancien député socialiste souhaite « réécrire un projet de société » dont les idées pourront être utilisées par les autres partis.)) à Paris en 2016.
— JULIEN DE FONTENAY/JDD

Cher Julien Dray(([2] Selon WIKIPEDIA Julien Dray — Wikipédia (wikipedia.org) Julien Dray, né le 5 mars 1955 à Oran (Algérie française), est un homme politique français. D’abord militant trotskiste, à la Ligue communiste révolutionnaire, il rejoint en 1981 le Parti socialiste. Il est l’un des fondateurs de SOS Racisme. Député de la dixième circonscription de l’Essonne de 1988 à 2012, il a été conseiller régional d’Île-de-France de 1998 à 2021.)), homme politique, éditorialiste omniprésent sur Cnews, es-tu conscient de l’inefficacité et des risques du vaccin et du pass ? Le 14 juillet 2022, tu morigénais les quelques députés socialistes qui ont refusé prolonger la tyrannie sanitaire et les pass, car « tout de même le vaccin a été efficace contre les formes graves ».

Or tu aurais dû te féliciter qu’enfin des députés élus par le peuple aient le courage de les représenter et de faire jaillir dans l’hémicycle la réalité du terrain : l’inutilité du vax et des mesures liberticides qu’il a justifiées et surtout ses innombrables toxicités que les politiques de terrain constatent de plus en plus. Bravo à leur union bigarrée comme les Français ! Et que celle-ci résiste aux pressions sans nom qu’ils subissent sûrement (([3] Les libertés d’opinion et d’expression limitées drastiquement par les censures internationales et nationales | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation)) depuis quelques jours !(([4] Bravo aux députés qui ont refusé la prolongation du pass vaccinal ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) Aide-les au lieu de les accabler !

L’importance des médias pour façonner l’opinion et singulièrement les personnes âgées privées des informations d’internet et scotchées à BFM ou CNews (qui comme par hasard auraient fait réélire E. Macron)nous conduit à revenir sur tes propos réitérés pour favoriser le pass et les vax, et à tenter d’attirer ton attention sur les faits réels : les dangers des passes couplés à l’inefficacité et à la toxicité du vaccin antiCovid.(([5] La catastrophe vaccinale du Pérou démontre encore qu’il faut stopper ces injections expérimentales. | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))

Si tu veux reconstruire une nouvelle génération, il ne faut pas l’emmener dans le mur via la perte d’esprit critique et des libertés et plus encore de la santé, vu les conséquences dramatiques des injections.

« J’ai assez fait pour les autres en croyant à chaque fois que j’allais les influencer. Je n’y crois plus et personne ne me donne plus envie de l’influencer », explique l’ex-député socialiste qui a inspiré la série Baron noir. « J’ai décidé de ne plus perdre mon temps dans les batailles internes du Parti socialiste, dans les refondations, dans les combinaisons », précise-t-il.

« J’ai passé l’âge de jouer aux Lego »(([6] Gauche : Julien Dray lance le mouvement « Réinventez ! » (20minutes.fr) ))

Alors cher Julien, si tu ne joues plus aux Lego, résiste aux manipulations du pouvoir et des affidés de Big Pharma. Aide la population à sortir ceux qui le peuvent encore des mesures liberticides inutiles et des effets toxiques des injections qui ne protègent de rien et même pas des formes graves ni de la mort.

NON LE VAX NE PROTÈGE PAS DES FORMES GRAVES

Mantra des éditorialistes depuis plusieurs mois sur toutes les chaînes progouvernementales et même les autres qui font semblant d’être indépendantes (…), la fausse idée de la prévention des formes graves par l’injection génique a pourtant été démentie régulièrement par les FAITS AVÉRÉS. Mais il est vrai que les OPINIONS PERSONNELLES ont depuis bien longtemps remplacé la réalité qui déplairait au pouvoir.

Non, les vaccins ne protègent ni des formes graves ni de la mort et fragilisent les triple injectés

Covid-19 : les injections vaccinales multiples favoriseraient les infections. Un bilan. — Strategika

« Pénuries de main-d’œuvre

Par ailleurs, si, ces dernières semaines, les hôpitaux et les compagnies aériennes manquent cruellement de personnels, cela n’est pas dû à une pénurie salariale, mais à l’absentéisme massif occasionné par les arrêts maladie des salariés affectés par le Covid-19. Pourtant, dans ces deux secteurs sensibles, l’ensemble des salariés est multi-injecté, c’est-à-dire triplement vacciné.

Ce phénomène de l’arrêt de travail massif pour cause de maladie n’a jamais été observé auparavant. Tout se passe comme si la vaccination à base ARN-m était devenue un vecteur de pathologies, un agent pathogène. En particulier avec les injections vaccinales répétées, responsables de l’amenuisement du système immunitaire. »

Alors que Le tiers monde est protégé — par sa pauvreté et sa résistance du dogme vaccinal immunisé par ses expériences passées. Ils ont déjà beaucoup donné !

Que penses-tu, Julien Dray des appels répétés du conseil mondial de la santé ?(([7] Vaccins antiCovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé))

Une injection génique qui ne protège de rien et entraîne beaucoup de désastres : un nouveau témoignage, au hasard des milliers qui s’accumulent sur internet de tous pays :

Un guitariste a perdu huit de ses doigts(([8] https://childrenshealthdefense.org/defender/guitarist-jeff-diamond-jj-vaccine-rfk-jr-podcast/)) Il veut le faire savoir pour que cela cesse, enfin !

Un guitariste qui a perdu 8 doigts après le vaccin de J & J dit à RFK, Jr. : Les gens doivent être tenus responsables. Sur un épisode récent de « RFK Jr. The Defender Podcast », a décrit le guitariste Jeff Diamond qui a été amputé de huit doigts et qui a perdu sa voix chantante après avoir développé des caillots sanguins environ une semaine après avoir reçu le vaccin Johnson & Johnson contre la Covid-19.

Julien Dray, tu rappelais que le parti socialiste aurait décidé que « la seule solution au Covid était le vaccin ». Mais sur quelle planète vit-il et à qui se fit-il quand tant de grands professeurs dont D Raoult, C Perronne qui n’étaient pas des antivax ont donné tant d’informations sur les faits réels comme aussi les Prs Laurent Toubiana, Laurent Muchielli et tant d’autres ? Ton cher PS que tu as pourtant quitté regarde-t-il parfois les données de l’OMS ? INFORME-LES au lieu de leur faire confiance !

Nous rappelons ci-après les faits établis et publiés sur ce qui s’est vraiment passé dans le monde réel et sommes à ton entière disposition pour en discuter, camarade de longues décennies au cours desquels nos chemins ont dû se rencontrer, ne serait-ce qu’à l’UNEF(([9] Nos coordonnées sur notre site www.docteurnicoledelepine.fr et site ametist.org pour la défense des enfants atteints de cancer.
https://t.me/DrDelepine sur Telegram.)). Nous parions sur ton honnêteté.

Les chiffres de l’OMS montrent que les pass n’ont nulle part permis de ralentir l’épidémie

Que ce soit en France :

Ou en Roumanie :

Ou en Israël :

Ou dans l’ensemble des pays d’Europe dont la plupart (25/27) constatant cette inefficacité ont supprimé les pass nationaux :

Il n’y a guère que Malte et la France qui font encore semblant d’y croire et demandent encore le certificat numérique européen. Et bien sûr E. Macron pour « emmerder les Français », Braun, Olivier Veran et malheureusement toi-même, Julien Dray.

Les chiffres de l’OMS montrent aussi que les vaccins n’ont pas permis de ralentir l’épidémie

Cela a d’abord été constaté en Israël champion des injections Pfizer :

Puis en Grande-Bretagne, championne des injections AstraZeneca :

Mais aussi en France :

Et dans le reste du monde :

Car ce sont les pays les plus vaccinés qui souffrent des recrudescences les plus vives de l’épidémie et des chiffres les plus élevés de contaminations cumulés :

Comment Julien, peux-tu encore publiquement prétendre que les pseudo vaccins seraient la solution au Covid ? Informe-toi aux sources indiscutables et ne répète pas la propagande du gouvernement dont les objectifs, contrairement à toi ne sont pas l’Homme, mais bien les bénéfices de Big Pharma et les ukases de Davos et Cie ?

Les chiffres de l’OMS montrent aussi que les vaccins n’ont pas permis de diminuer la mortalité

Ce sont les pays les plus vaccinés qui totalisent les plus fortes mortalités par million :

Les chiffres montrent aussi que l’interdiction des traitements précoces a été catastrophique

En 2020 d’après l’OCDE (https://data.oecd.org/fr/pop/population-agee.htm), les pourcentages de population à risque (plus de 65 ans) du Japon, de l’Italie, du Portugal et de la France s’élevaient respectivement à 29 %, 23 % 22 % et 20 % et celle des Algériens de plus de 60 ans à 26 %

(https://www.algerie-eco.com/2020/03/12/pres-de-11-millions-dalgeriens-sont-ages-de-60-ans-et-plus/). L’âge ne représente donc pas un facteur de pronostic plus favorable du Japon ou de l’Algérie.

L’Italie, le Portugal et la France ont interdit les traitements précoces et imposé les vaccins ; le Japon a autorisé les traitements précoces et l’Algérie a utilisé le protocole Raoult. L’interdiction des traitements précoces a abouti à une mortalité 10 à 15 fois plus élevée soit en France à un excès de mortalité d’environ 120 000.

L’interdiction des traitements précoces pour imposer les pseudo vaccins et les prescriptions de Rivotril nous ont coûté 120 000 morts de trop !

Julien Dray, tu es un homme intelligent et cultivé, expérimenté. Alors pourquoi nies-tu les faits avérés que chacun peut vérifier par internet sur le site de l’OMS à https://Covid19.who.int/ ou celui de l’université John Hopkins https://OurWorldinData. Org/coronavirus ?

Quelles qu’en soient les raisons, tes « certitudes » et déclarations actuelles sont dignes d’un inquisiteur du moyen âge défendant la religion des pseudo vaccins et ressemblent trop à celles des services de communication de Pfizer. Comme tu n’es pas médecin, je n’ose pas croire que tu puisses avoir des liens avec l’industrie pharmaceutique contrairement à notre nouveau ministre de la Santé, F. Braun.(([10] François Braun, un parfait Playmobil sous contrôle au ministère de la Santé, par Éric Verhaeghe – Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) ))(([11] Pour résoudre le problème des urgences, François Braun veut les supprimer la nuit ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

S’il te plaît, Julien Dray, réveille-toi, ouvre les yeux et considère les faits, rien que les faits. Rester négationniste, c’est faire injure à ton intelligence et à tes combats passés et tenaces, même si parfois erronés, mais toujours pour ce que tu pensais être le mieux pour l’avenir de l’Humanité.





Bravo aux députés qui ont refusé la prolongation du pass vaccinal !

[Source : docteur.nicoledelepine.fr]

Par Nicole Delépine

Bravo aux députés qui ont empêché Macron de continuer à « emmerder les Français » !

Le bien-fondé d’une mesure sanitaire se mesure à son efficacité ; le pass sanitaire s’est révélé partout inefficace contre la maladie(([1] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/l-absurdite-du-passe-vaccinal-242118)) et ne constituait qu’un moyen de chantage et de division. Il a d’ailleurs été presque partout abandonné par ceux qui l’ont essayé. Grâce aux oppositions, la France reprend un peu le chemin de la raison.

Le 12 juillet 2022, le projet de loi a entériné l’expiration au 1er août 2022 de l’état d’urgence sanitaire et du régime de gestion de la crise mis en place fin mai 2021, et a rejeté une disposition permettant d’exiger ce pass pour les voyageurs mineurs. Puis, grâce à une alliance de votes du RN, de LR et d’une majorité de Nupes, l’article 2 du projet de loi a été rejeté en fin de soirée par 219 voix contre 195.

Le gouvernement a ainsi perdu en première lecture la possibilité de continuer « à emmerder les Français », en rétablissant le pass sanitaire pour les voyages « extra-hexagonaux », depuis ou vers l’étranger, la Corse et les départements d’outre-mer. Pan sur le bec du gouvernement Macron ! Et encore bravo aux députés de l’opposition qui ont enfin reconnu qu’en pratique, pour les Français, leur opposition à Macron dépassait leurs divergences.

Le ministre de la Santé, François Braun, compte désormais sur le Sénat pour rétablir ce texte dans son intégralité. Le calcul est très optimiste, car les membres de la chambre haute jadis partiellement paralysés par la peur de la maladie ont réalisé pour la plupart l’arnaque de la crise Covid et l’absence de toute justification scientifique aux mesures. Ils devraient eux aussi faire entendre leur bon sens et leur « indépendance » proclamée à plusieurs reprises par son président Gérard Larcher. On pourrait même rêver que les sénateurs empêchent le gouvernement de continuer à collecter des données de santé sur les tests de dépistage et qu’ils exigent la destruction de ces fichiers qui n’ont pas non plus montré leur efficacité à contrer l épidémie, mais seulement à préparer une surveillance globale de la population à la chinoise.

Encore bravo aux députés de l’opposition et non seulement pour leur clairvoyance, mais aussi pour le climat fraternel qui a hier prévalu entre eux et qui s’est exprimé par leurs applaudissements respectifs.




La vaccination anticovid tue de plus en plus de célébrités. Et combien d’anonymes ? Exigeons son arrêt immédiat et définitif pour tous !

Et si l’abandon du concert de Mike Jaggers réveillait les plus âgés, et celui de la nageuse artistique coulant au fond de sa piscine en compétition mondiale et sauvée in extremis réveillait les plus jeunes ?

Les puissants ne pourraient pas poursuivre ce massacre et en particulier ne pas sacrifier nos enfants dès la rentrée (qui ne risquent RIEN du covid et ne transmettent pas le virus)Les puissants ne pourraient pas poursuivre ce massacre et en particulier ne pas sacrifier nos enfants dès la rentrée (qui ne risquent RIEN du covid et ne transmettent pas le virus)(([1] Les enfants sacrifiés du covid : génération meurtrie à travers isolement, masque et vax extorqué | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation)) en imposant de fait l’injection. en imposant de fait l’injection.

Une seule solution, informer encore et encore et tenter de faire prendre conscience à nos proches et amis que les symptômes qu’ils présentent ne sont pas des « coïncidences » (troubles menstruels, AVC, sensations neurologiques bizarres, fatigue extrême, flambée du cancer du papa, Alzheimer précoce, etc.) mais bien des effets secondaires de l’injection.

Et surtout qu’ils regardent à deux fois avant la troisième ou quatrième dose dont la toxicité globale est supérieure. L’accumulation des doses aggrave les effets du poison. Et il y a certainement beaucoup moins de placebos que dans la première ou deuxième dose…

Une vidéo récente récapitule des décès ou souffrances majeures de célébrités. Plus efficace que de longs discours ? Diffusons-la !

Il faut la voir avec courage, car cette énumération est terrible et la diffuser largement en tentant de joindre des naïfs, vaccinés ou non. Nous sommes tous dans le même bateau. Plusieurs illustrations en sont extraites. Plus que de longs articles savants sur les raisons de cette hécatombe liée aux injections expérimentales à ARN messager qui ne touchent que certains d’entre nous, la diffusion de ces FAITS AVÉRÉS ouvrira peut-être d’autres yeux et ainsi de suite…



Autre source pour la vidéo ci-dessus :



Des concerts annulés

Après s’être fait vacciner, Jane Birkin, (AVC), Mick Jagger (covid post vaccinal), Céline Dion (graves troubles neurologiques), Justin Bieber (paralysie faciale)(([2] https://www.globalizacion.ca/los-tragicos-destinos-de-estrellas-mundiales-como-celine-dion-y-justin-bieber-abriran-los-ojos-de-sus-fans/
https://www.globalresearch.ca/will-the-tragic-fate-of-world-stars-like-celine-dion-and-justin-bieber-open-the-eyes-of-their-fans-impacts-of-covid-19-vaccine/5783700
Justin Bieber & Céline Dion victimes du « vaccin » Covid ? avec Michel Chossudovsky et Nicole Delépine | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation)) reportent leurs concerts, ainsi que de nombreux autres artistes.

D’autres meurent…

Des compétitions interrompues

Emma Raducanu avait dû abandonner Wimbledon en 21. Comment n’avaient-ils pas tous compris ce à quoi ils s’exposaient et que Djokovic mettait en lumière par son refus inébranlable de s’injecter le poison.

En 2022 des tennismen forcés d’abandonner en pleine compétition découvrent l’ampleur de la toxicité des injections. Raphael Nadal arrive à Wimbledon avec des sensations nerveuses étranges en juillet 2022.

Footballers, basketteurs, nageurs, hockeyeurs, entraîneurs, meurent brutalement sur le terrain ou sont obligés d’abandonner leur carrière et passion.

La nageuse artistique Anita Alvarez, double championne olympique a perdu connaissance après avoir senti des engourdissements dans les doigts, puis tout est devenu noir. Elle est restée sous l’eau deux minutes et a pu être réanimée, car sa coach a réussi à la remonter à temps.

D’autres voient leurs pathologies comme des cancers, s’aggraver et flamber

Certains meurent de cancers aggravés par la vaccination ou développés rapidement à sa suite, comme cette belle gymnaste de 16 ans.

Des journalistes n’échappent pas aux complications, voire au décès en direct

Énormément de sites ou de pages Telegram, etc. recensent ces FAITS AVÉRÉS

Et si vous voulez d’autres témoignages, ils s’accumulent entre autres sur COVID VACCINE INJURIES

Ou sur Telegram : https://t.me/covidvaccineinjuriesdotcom

Et en français :

  • 💉 #29ans #ErranceMedicale #EffetsSecondaires #VaccinsCovid19 #Covid19 #Temoignage #VVC19 #Victime
  • 🗣 #Victime11 — Témoignage vidéo d’effets secondaires des vaccins Covid-19
  • « 📣 Pour que les victimes soient reconnues, pour que les enfants ne se fassent pas vacciner, pour ne pas être contraint à recevoir une dose de plus, toi aussi témoignes des effets secondaires dont tu es victime en nous envoyant un mail à :
  • 📧 victimes-vaccins-covid19@proton.me
  • Tu peux témoigner anonymement ou à visage découvert 👍 Nous avons besoin de toi 🙂
  • Pour contourner la censure, rejoins-nous sur nos Chaînes Odyssée et Telegram 🚀
  • 🔗 Odysée : https://odysee.com/@VVC-19
  • 🔗 Télégram : https://t.me/VVC_19
  • Pour protéger tes proches qui pensent que ces vaccins sont sûrs, partage-leur ce témoignage 🔥 »
  • Ensemble nous sommes plus fort 💪

Ne regardez pas ailleurs : la vie de vos proches, amis, relations en dépend, même s’ils ont déjà reçu l’injection. Chaque dose aggrave le risque actuel et à long terme. Le sort de l’Humanité dépend de nous tous. INFORMONS.