Cadet Roussel et son ignoble amnésie

21/02/2022 (2022-02-21)

Par Lucien SA Oulahbib

Fabien ou plutôt Cadet Roussel, ce candidat PCF qui se targue d’empêcher « l’extrême droite » d’avoir les 500 signatures, est la synthèse chimique à l’état pur de cette gauche totalitaire amnésique qui ose parler haut alors qu’elle devrait plutôt raser les murs et demander pardon pour ses dizaines de millions de morts toujours en attente d’un jugement en guise de sépulture symbolique.

C’est le visage hideux, tout comme ceux de Hidalgo, Jadot, Mélenchon, Artaud, de cette pseudo élite fadasse, mais pétrie d’envie médiocre celle de seulement remplacer le calife au pouvoir tout en changeant de peuple, celui encore présent sentant trop le « diesel, la clope », le vin rouge qui tâche, et osant festoyer jambonneaux et saucisses et pas seulement « côte de bœuf » un brin passe-partout et surtout simulacre d’une France qu’ils ont tous contribué à faire disparaître.

Pour changer de peuple et massivement installer dans les centaines de milliers de logements sociaux en gestation les millions de clandestins en attente de régularisation, il faut donc diaboliser à fond tout ce qui peut rappeler la France (qui ne se résume pas au fait de se taper la cloche) et tous ceux qui veulent la ressusciter (on approche de Pâques), quitte à ne rien dire et à soutenir ces quelques fonctionnaires zélés qui viennent arracher le drapeau français des mains de manifestants « anti-passe » puisque ce sont des « non-citoyens » ; il y a bien là un soutien « objectif » comme dirait Pécresse à Macron et à sa politique aventuriste opportuniste affairiste sans frontiériste en matière sanitaire, économique, et immigrationniste.

Le fait d’ailleurs que tout ce beau monde veuille aller plus loin vers « l’obligation vaccinale » en dit long sur leur incapacité crasse ou alors leur volonté sordide, minable, de piétiner les libertés fondamentales, qu’ils ne connaissent guère de toute manière puisque toute leur philosophie consiste à effacer le premier terme de la Devise [Liberté, Égalité, Fraternité] au profit du second, mais dévié, malmené, « détruit ». Ne parlons même pas du troisième terme qui n’est uniquement pensé que de manière mafieuse : avec nous ou contre nous, la fraternité ainsi s’achète afin de faire du nouveau peuple importé et de ses orcs bobos qui les surveillent des zombis dépendants, hypnotisés en sus par toute une culture paralysante qui cherche plus à faire imploser qu’à développer un être ensemble.

Que tous ces gens aient encore pignon sur rue, paradent, osent agiter leur index pourtant plein de sang pour désigner non plus leur « adversaire », mais leur « ennemi » en dit également bien long sur le degré de décrépitude de toutes les dimensions politiques, intellectuelles, culturelles, « républicaines » désormais dans les mains putrides de toute cette lumpen-intelligentsia qui les détient et en fait réagit en nomenclature aux abois. Celle-ci sait en effet qu’elle va perdre tout le pouvoir et non pas quelques parcelles comme sous Sarkozy qui, décidément, et au même titre que Chirac, fut un piètre pitre, tant et si bien d’ailleurs qu’il perdit devant un replet, sournois, perfide et cruel Hollande. C’est ce dernier qui imposa cette règle inique stipulant que les maires doivent afficher leurs noms lorsqu’ils apportent leur parrainage aux candidats présidentiels, une loi scélérate que Cadet Roussel et sa double face Hidalgo s’empressent de chantonner. Fabien Roussel a donc bien trois maisons : goulag, camp de la mort pour harkis et cambodgiens, la troisième étant en construction, une prison politique pour tous ceux qui osent encore se réclamer de la « nation française » réduite volontairement à ses ombres alors qu’eux s’accaparent ses lumières.

Seul hic, qu’avez-vous fait de celles-ci sinon des torches pour tortionnaires qui se targuent ouvertement d’empêcher au libre cours démocratique de se dérouler constitutionnellement ?… Et après, vous osez encore parler de République ? Honte à vous, honte à nous qui vous laissons encore démanteler encore plus cette France qui vous a pourtant engendré : telle est d’ailleurs la question….

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