Big Brother surveille les agriculteurs

Big Brother et Big Tech

Rien n’est réglé

L’Ukraine favorisée

Le combat continue partout

L’Irlande se joint à la révolte

L’Allemagne bloquée

En Belgique, des flics au service de l’UE, mais contre les agriculteurs qui pourtant les nourrissent

Pas de fermiers
Pas de nourriture

En France, des flics comprennent les agriculteurs

L’illusion de l’UE

[Note de Joseph : Orbán ne comprend pas que l’UE représente la mort de l’agriculture traditionnelle,
mais l’expansion de l’agrobusiness (ou bien il représente une fausse opposition).
Les prochaines élections européennes n’y changeront rien.]

Soutenir les agriculteurs

« Tu as vu mes mains… Regarde mes mains ».

Ce cri… ce geste du vieux paysan devant le gendarme

(Gravez cette vidéo dans votre mémoire)

Elle résume tout

Un peuple d’une incroyable dignité qui ne veut pas mourir… juste être reconnu et vivre de son travail.

Ce peuple de la terre est notre socle notre racine… l’âme du chant des terroirs de notre pays.

S’il se tait… les ténèbres d’un monde informatisé, robotisé, mondialisé vont recouvrir et stériliser notre humanité.

Cela évoque cet épisode fondateur de notre civilisation occidentale… et ce cantique si connu :
« quand j’ai vu tes mains… »

Ces deux semaines écoulées ne pourront éteindre ces cris… Passons vite après la pub à autre chose…

Des temps difficiles nous attendent.
Du pain et des jeux… olympiques… Non !

Notre civilisation en pleins bouleversements et conflits, résistance des peuples.

C’est un combat immense. On le voit dans toute l’Europe pour les paysans, bientôt pour d’autres classes professionnelles en grandes difficultés.

Et dans ce contexte mondial de guerres multiples, crises économiques, monétaires… d’intelligence artificielle ou transhumaniste.

On voit des mains qui sorties d’un rideau de fumée agitent notre planète. Celles du mal.

« Regarde mes mains »… celle de ton frère en humanité.

On les serre très fort.
Courage !
On vous aime,
Vous êtes notre humanité.

Allez on va prendre beurre tartine un bon café à l’auberge… Tes mains me donnent mon pain quotidien…