Vaccins : Enjeux et décryptages

08/10/2020 (2020-10-08)

[Source : Culture Populaire]

08 Mar2018

Vaccins : Enjeux et décryptages

Face à la levée de boucliers, et aux interrogations anti-vaccinales que connaît la France aujourd’hui, un éclairage s’impose : c’est de cette volonté que naît l’idée

de réunir professionnels de la santéet spécialistes du sujet, non alignés sur la pensée unique des médias dominants. Nous avons sélectionné pour vous des intervenants venus des quatre coins de la France, pour la première fois réunis autour d’une même table, afin de traiter de ce sujet sensible : des origines jusqu’aux causes, en passant par les intérêts en jeu, tout en vous aidant à dénouer le vrai du faux, le factuel du mythe.

I. Intervention du Dr Alain Scohy.

Des problèmes de fiabilité du vidéo projecteur ont perturbé cette partie, et uniquement celle-ci, veuillez nous en excuser.

Le docteur Scohy rappèle comment sont apparus les vaccins, bien avant Pasteur. L’étymologie nous apprend que le mot « vaccin » vient de « vacca » — la vache — puisque c’est Édouard Jenner, un médecin de campagne anglais, qui utilisa du pus provenant d’une maladie apparentée mais bénigne, la vaccine des vaches, pour protéger un jeune garçon de la variole. Cent ans plus tard, Louis Pasteur, immense travailleur et grand lecteur, reproduisit cette expérience avec un vaccin contre le charbon des vaches en utilisant un adjuvant à base de potassium à forte dose, ce qui constitue un poison. Aujourd’hui encore, les scientifiques s’interrogent si l’immunité partielle du bétail n’est pas plutôt à imputer à cet adjuvant. Mais le seul fait de se poser cette question valut la radiation de l’Ordre des Médecins du docteur Alain Scohy.
Celui-ci regrette que les travaux d’Antoine Béchamp (1816 – 1908) ont été occultés pour des raisons idéologiques car ce dernier ne cachait pas sa foi chrétienne à l’époque de la franc-maçonnerie conquérante. C’est ce professeur de toxicologie et de chimie médicale à la Faculté de Montpellier qui découvrit pourtant l’élément primordial de la cellule vivante qu’il dénomma « microzyma ». Il démontra que celui-ci pouvait devenir bactérie ou virus et en déduisit le « polymorphisme bactérien ». Il a ainsi démontré très rigoureusement que ce sont ces « microzymas » qui construisent les cellules. Ce qui remet en cause le monomorphisme de Pasteur qui entraîna alors la médecine vers la phobie du microbe. Mais il fut décrété que c’est Louis Pasteur qui devait avoir raison. Cette situation perdure de nos jours.
Le docteur Scohy avance que la maladie est nécessaire car elle est la réparation d’une pathologie. Lutter contre la maladie est donc une erreur fondamentale. Et il ajoute : « Toute notre médecine moderne est blasphématoire ». Les causes des pathologies sont souvent psychosomatiques. Il rappelle l’importance de la vitamine C pour lutter contre les pathologies car nos ancêtres furent, pendant des centaines de milliers d’années, essentiellement fructivores. Écoutons ce que notre corps nous dit au lieu de le contrarier par des « médicaments miracles » venus d’ailleurs.
L’immunité naturelle tient toute la vie, ce qui n’est pas le cas avec les vaccins qu’il faut « rappeler ».


II. Intervention du Dr Didier Tarte.

Ce médecin nous explique que sa prise de conscience remonte à la période de ses études puisque le sujet de sa thèse était : « Recueil des effets secondaires des médicaments par la pharmacovigilance ». Déjà rebelle ! Le docteur Tarte soigne les enfants mais note que les enfants reviennent parce-qu’ils sont toujours malades, ce qui le conforte dans l’existence d’effets secondaires des médicaments. Dans cette démarche il commence à relever les effets secondaires des vaccins. Ils découvre alors que ces effets, présents dans tous les domaines, sont méthodiquement occultés par la médecine. Pourquoi donc ? Il entreprend une étude scientifique comparative entre les personnes les plus vaccinées et les personnes les moins vaccinées : il constate que ces dernières sont trois fois moins malades ! Mais son mémoire est immédiatement censuré. Encore.
Le Dr Didier Tarte propose une compréhension globale de la santé qui prend en compte le corps, la conscience et l’esprit.


III. Intervention de Michel Georget, professeur de biologie.

Cet agrégé de biologie l’annonce d’entrée de jeu : il n’est pas médecin, il est biologiste et enseignant. Sa contribution à cette conférence n’en est pas moins majeure.
Cet enseignant s’efforcera de faire passer des informations techniques et nous présentera le HLA (Human Leukocyte Antigen). C’est un peu compliqué et voici ce que nous en avons retenu : au delà des Rhésus — Rhésus positif, Rhésus négatif — associés au groupes sanguins A, B et O, il existe une classification supplémentaire liée aux molécules portées par les cellules. Voilà par exemple pourquoi les donneurs et bénéficiaires d’organes doivent être compatibles au niveau du Rhésus, mais aussi au niveau du HLA.
Or le HLA joue un rôle fondamental dans le processus immunitaire. Par suite la réaction aux vaccins dépendra de son propre HLA. Problème : LE vaccin est unique. Le même pour tous, et au suivant ! Cette unicité entraîne de fait une réaction différente selon les individus vaccinés.
C’est ce qui explique les différences d’effets secondaires aux vaccins au sein d’une même famille car le HLA sera différent pour chacun, quand bien même les Rhésus seraient identiques.
Le Pr Michel Georget rappellera également que notre corps dispose d’anticorps destinés à lutter contre tous les éléments pathogènes.
Il présentera enfin de nombreux tableaux statistiques montrant que l’éradication des maladies n’était pas corrélée à l’arrivée du vaccin.


IV. Intervention de Pierre-Jean Arduin, Docteur en neurosciences.


Veuillez nous excuser pour la qualité audio du début de la vidéo qui s’améliore au bout de 3 minutes

Là nous entrons dans le monde de la statistique. Monsieur Arduin n’est ni médecin, ni biologiste, c’est un matheux ! Ce polytechnicien s’est orienté vers l’informatique tout en présentant un doctorat sur les neurosciences. Tout le contraire d’un charlatan.
En mathématicien, il s’est penché sur toutes les statistiques relatives aux épidémies : les conclusions sont objectives et scientifiques : « Il n’y a pas corrélation entre vaccination et maladie ! », tout en ajoutant : « Tous les vaccins ont des effets secondaires ».
Il ajoute que lien entre vaccination (au Royaume-Uni par ex.) et l’éradication de la moralité de cette maladie est pour la majorité des maladies très peu manifeste. Pour beaucoup de vaccins, il ne semble pas y avoir de corrélation entre l’arrivée du vaccin et la chute de la mortalité.
Tout ceci est écrit dans son livre Pourquoi vacciner ? Pierre-Jean Arduin précise qu’il s’appuie sur des chiffres incontestables et attend qu’on vienne le contredire sur sa méthodologie et ses conclusions. Du sérieux.


V. Intervention du Dr. Christian Tal Schaller.

Changement de discours et de ton avec ce médecin suisse, jovial et énergique.
Pour commencer il demande à la salle de se lever afin de procéder à une séance collective d’expiation de la peur. « Il faut apprendre à ne plus avoir peur ! », assène-t-il. Tout un vocabulaire est asséné pour générer la peur. Il préconise d’exprimer ses émotions.
Sa prise de conscience quant aux médicaments a commencé lorsqu’il a décidé de s’administrer ceux qu’il prescrivait à ses patients. « La santé, ça s’apprend », prévient-il. C’est toujours le corps, cette extraordinaire machine à survivre, qui se guérit lui-même. Les virus, nous en avons besoin car ce sont des « agents de nettoyage ».
Pour lui « les vaccins font beaucoup de dégâts car ils démolissent l’immunité ». Il dénonce que le vaccin du tétanos est par nature inefficace puisqu’il agit sur des cellules qui ne sont pas touchées par la maladie.
Bien que cela ne soit pas dû exclusivement aux vaccins, les chiffres montrent que les autistes aux États-Unis ne représentaient que 1 sur 10 000 il y a un siècle, 1 sur 5 actuellement et bientôt 1 sur 2 ! Il dénonce que le profit financier passe avant la santé.
Pour lui aussi, la santé est liée à l’harmonie entre les différentes dimensions de chaque personne : l’être physique, l’être émotionnel et l’être spirituel.


VI. Intervention de Me. Jean Pierre Joseph, avocat.

L’un des intérêts de cette conférence est d’y avoir fait participer des intervenants aux parcours différents. Voici à présent l’avocat.
Ce petit gabarit, adepte de haut niveau des arts martiaux, dégage une énergie à faire trembler les prétoires. Et pourtant, dit-il, il n’a jamais été vacciné. Ou peut-être grâce à cela ?
Fort d’une expérience effective dans la défense de personnes qui refusaient de se faire vacciner, Me Jean-Pierre Joseph dénonce que les « pro-vaccins » soient devenus les adeptes d’une religion sur lesquels la raison n’a plus prise. La vaccination est devenue un dogme.
Ce praticien avance des solutions pour éviter le génocide par la vaccination :
• Demander systématiquement une visite médicale afin de valider la compatibilité des 11 vaccins inoculés avec son organisme. Or nous avons vu que chaque organisme réagit de façon différente à cause de son HLA. Cette visite médicale préalable est prévue dans le décret d’application de la loi. Il faut l’exiger pour son bébé ! Ne pas faire vacciner son enfant tant que la Sécurité Sociale n’aura pas procédé à cette analyse préalable parfaitement légale.
• Refuser le vaccin en pharmacie en arguant que le vaccin n’est pas compatible avec son enfant.
• Demander au médecin, ou au pharmacien, de signer un document dans lequel ils s’engagent sur le fait que la vaccination n’aura aucun effet secondaire sur la santé de son enfant. Ce qu’ils ne feront pas, bien entendu.


VII. Les questions du public.


VIII. Interview complète de deux médecins lors du rassemblement contre la loi vaccinale à Nice


Avec l’intervention du Dr. Didier Grandgeorge et du Dr Jean Michel Alexis, homéopathes.

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