Tout ce que vous devez savoir sur le variant « Eris » de la Covid
[Source : off-guardian.org]
Par Kit Knightly
La grande nouvelle de ces derniers jours, c’est que le « Covid » est de retour… à nouveau. Cette fois, il s’agit du variant « Eris », nommé d’après la déesse grecque des conflits et de la discorde, qui serait à l’origine d’un pic de cas pour la première fois depuis… on ne sait combien de temps.
L’essentiel des articles consacrés à cette maladie explique en détail comment elle est censée être liée à Omicron ou Arcturus ou à tous les autres noms qui font la une des journaux.
Ça, ou les symptômes.
Il s’agit d’un écoulement nasal, d’un mal de gorge et… de tout le reste. La seule chose digne d’intérêt à mentionner ici est que la « perte de goût ou d’odorat » — longtemps vendue comme la carte de visite de Covid — n’est plus considérée comme un symptôme courant.
Yahoo a même rapporté — sans la moindre ironie — que la prétendue hausse des « cas » était due au fait que les gens passent plus de temps à l’intérieur :
Le mauvais temps, qui incite les gens à passer plus de temps à l’intérieur, et la baisse de l’immunité ont été incriminés pour expliquer cette hausse.
… une position particulière, étant donné que le confinement est censé avoir aidé, la dernière fois.
Quoi qu’il en soit, sans plus attendre, voici tout ce qu’il faut savoir sur le variant Eris :
C’est des conneries.
Comme tous les autres.
[Voir le dossier Vaccins et virus]
Il n’y a rien d’autre à dire, n’est-ce pas ?
Bien sûr, les médias préparent des balles molles pour que nous puissions les balancer, en parlant à nouveau de « symptômes » et de « taux d’infection », comme si les trois dernières années n’avaient pas rendu tous ces mots vides de sens. Mais nous avons — ou devrions avoir — largement dépassé le stade de l’argumentation à contre-courant.
Nous savons tout ce qu’il y a à savoir sur les symptômes — ils sont « généralement légers » et « semblables à ceux de la grippe », parce que la Covid n’est rien d’autre que des maladies respiratoires endémiques rebaptisées. Nous savons que les statistiques de décès sont inventées et que les tests ne fonctionnent pas, sauf pour fabriquer des cas.
Nous savons tout cela, même cette répétition n’est pas nécessaire, pour être honnête.
Le seul aspect d’Eris qui vaille la peine d’être discuté est la raison pour laquelle il est dans les journaux, et même cette réponse est plus brève que d’habitude.
Eris existe parce que la vague de chaleur « Cerberus » est terminée et que le mois de juillet a été anormalement froid et humide au Royaume-Uni. Parce que l’automne va bientôt s’installer et qu’il n’y a plus d’événements sportifs majeurs à perturber pour Just Stop Oil [Stop au pétrole] pendant un certain temps.
En bref, Eris est ce qui arrive lorsque les gens refusent de paniquer à propos du changement climatique.
En fait, nous pouvons probablement nous attendre à ce que les journaux fassent le lien entre Eris et le climat dans les prochains jours.
Le problème, c’est que, tout comme pour le changement climatique, les mots ne peuvent effrayer les gens que pendant un certain temps. Les médias ont tellement répété « réchauffement climatique » que les mots ont perdu leur sens, et ont rempli les journaux de tant de prédictions apocalyptiques qui ne se sont jamais réalisées que les gens se sont engourdis, ils les filtrent maintenant même s’ils ne s’en rendent pas compte.
Il en ira de même pour la Covid ; plus ils la ramèneront pour faire peur, moins les gens vont sursauter.
C’est probablement la raison pour laquelle ils préparent le terrain pour « la prochaine pandémie » de la « maladie X ».