Projet Bluetooth Expérience X

[Source : gloria.tv]

Par Germán Sarlangue

Blog – https://gloria.tv/user/VPgx11CTuCmB3pv1bbjveivjz

Projet Bluetooth expérience X Version 1 – Révision 2
Étude rendue possible grâce au soutien financier de la LNPLV (infovaccin.fr), de EFVV (efvv.eu) et de nombreux donateurs anonymes. 30/11/2021

Résumé :

Objectivation de l’existence d’adresse MAC détectables sur la plage de fréquence Bluetooth suite à une inoculation de thérapie antigénique COVID et de test PCR de détection COVID.

Équipe :

  • Germán Sarlangue
  • Julien Devilleger
  • Philippe Trillaud
  • Steve Fouchet
  • Lidwine Taillasson
  • Grégory Catteau

Lien source :

https://ln5.sync.com/dl/195df4a10/5ab9apq6-q5vgawam-vgr3ktt9-7zr985rh


1/ Avant propos

Depuis avril 2021 des rumeurs se sont propagées sur les réseaux sociaux concernant l’apparition de signaux de type bluetooth à la suite d’une ou plusieurs injections anti-covid proposées par les compagnies pharmaceutiques :

  • Astra Zeneca
  • Pfizer
  • Johnson et Johnson
  • Moderna

De nombreuses vidéos ont circulé qui semblent mettre en évidence l’apparition de phénomènes troublants, à savoir :

  • Des phénomènes d’aimantation inexpliqués sur différents sites du corps de personnes injectées (qui ont donné lieu à une explosion des publications sur TikTok regroupées autour d’un mouvement communautaire, Le Magnet Challenge).
https://www.youtube.com/watch?v=lYi3sjRZviA

  • L’apparition d’adresses MAC Bluetooth en présence de personnes injectées et en l’absence de tout dispositif technologique susceptible d’expliquer ces apparitions.

  • L’apparition de signaux lors d’un scan effectué sur le corps d’une personne injectée par l’intermédiaire d’appareillage de détection de puce électronique animale utilisées couramment chez les vétérinaires.

Toutes ces rumeurs ont été démenties par les principaux médias et les agences de presse traditionnelles alors même que dans les réseaux alternatifs de nombreuses expérimentations empiriques effectuées par des citoyens ordinaires semblaient démontrer le contraire.

https://www.reuters.com/article/factcheck-astrazeneca-bluetooth-idUSL2N2NC2G9

https://www.20minutes.fr/sante/3067959-20210623-coronavirus-non-vaccins-permettent-etre-detecte-bluetooth-gare-videos-trompeuses

Pour autant les expériences citoyennes empiriques se multiplient :

https://henrymakow.wordpress.com/2021/09/17/le-vaccin-contient-votre-code-barres/ https://echelledejacob.blogspot.com/2021/11/vaccines-et-puce-bluetooth-mise-jour.html https://www.youtube.com/watch?v=q1VCRZNaHLE https://odysee.com/@Hemeroteca:f/DrDeBenito-mac-address–:7 https://odysee.com/@Pigeon_Pige-TouT_Traduction:6/bluetooth-2:e

En France la première expérimentation documentée sur le sujet a fait l’objet d’un article publié dans Agoravox

( https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/operation-dent-bleue-235064)

Cependant, comme le souligne Jérôme R. responsable de la publication de l’article, même si les résultats obtenus interpellent (De nombreuses adresses MAC non identifiées apparaissent), il ne pourrait s’agir d’en tirer une conclusion hâtive.

En effet, le terrain d’expérimentation était un jardin public d’où pouvaient partir de nombreux signaux légitimes émanant d’appareils non pris en compte et son matériel de détection (Un téléphone portable Archos tournant sous Android) pourrait également être l’objet de potentielles failles dans la détection

Bien évidemment ces expériences qui ne montrent qu’un résultat final, ne se sont inscrites dans aucun protocole assumé ne permettaient en aucun cas de démontrer la fiabilité des résultats.

En parallèle, de nombreuses études ont été effectuées pour objectiver la présence d’oxyde de graphène ou de l’un de ses dérivés dans la composition du vaccin.

Il est important de comprendre que l’oxyde de graphène a fait l’objet de pléthore d’études autour de ses propriétés physico-chimiques et électromagnétiques uniques.

Des applications commerciales sont d’ores et déjà disponibles :

Parallèlement à cela des dépôts officiels de brevets visant à l’élaboration de nanotechnologies implantées dans le corps humain, telles que des nanosenseurs, ou à des dispositifs variés utilisant les rayonnements électromagnétiques permettant toute sorte d’applicatifs potentiels existent.

Enfin face au caractère secret de la composition des injections ainsi que l’impunité négociée des laboratoires pharmaceutiques quant aux éventuels effets indésirables liés aux injections, certaines études ont émergé mettant en évidence des éléments troublants :

2/ Environnement matériel et configuration technique

Pour cette expérience il a été choisi de travailler avec une antenne Ubertooth one de Great Scott Gadgets dont voici les spécifications techniques :

  • Connecteur RP-SMA (destiné à connecter l’antenne Bluetooth)
  • Module de transmission sans fil CC2400 Full duplex 2.4 GHz
  • Module RF front end CC 2591
  • Microcontrôleur LPC175x ARM Cortex-M3
  • Connection USB 2.0 Full-speed
  • Support Bluetooth and Bluetooth Low Energy
  • Ampérage approximatif de 220mA

Il permet d’envoyer et de recevoir des paquets à 2,4 GHz, qui est la fréquence du Bluetooth, mais aussi de voir le trafic Bluetooth en temps réel en mode moniteur. L’appareil est comparable à un module Bluetooth de classe 1, c’est à dire qu’il a une puissance maximale de 100 mW (20 dBm) et une portée de 100 mètres sans obstacles.

Au niveau de l’ordinateur portable notre choix s’est porté sur une machine :

Hp EliteBook 820 G3 :

  • Processeur Intel Core I7-6600U (2.6 Ghz)
  • Mémoire RAM : 16 Go DDR3
  • Carte graphique Intel HD Graphics 520
  • Disque dur 240 Go SSD.

La version Bare metal installer 2021-3 de Kali linux a été téléchargée depuis :

https://kali.download/base-images/kali-2021.3/kali-linux-2021.3-installer-amd64.iso.torrent

En fichier ISO.

Elle a été montée sur une clé USB classique de 32 Go en image disque bootable via l’applicatif Rufus
( https://rufus.ie/fr/)

Une fois l’OS Kali linux installé sur la machine, une mise à niveau de ce dernier a été effectuée :

sudo apt-get update
sudo apt-get upgrade.

Aucun conflit n’ayant été détecté, la machine a été redémarrée.

Le projet Ubertooth est un projet Open Source.

L’intégralité du code est disponible sur Git.

Nous avons donc commencé par installer les différents paquets nécessaires :

sudo apt-get install cmake libusb-1.0-0-dev make gcc g++ libbluetooth-dev \
pkg-config libpcap-dev python-numpy python-pyside python-qt4

Suivi d’une mise à jour classique :

sudo apt-get update
sudo apt-get upgrade

Nous avons ensuite procédé à l’installation de la dernière version de libbtbb.

sudo ldconfig
wget https://github.com/greatscottgadgets/libbtbb/archive/2020-12-R1.tar.gz -O libbtbb-2020-12-R1.tar.gz
tar xf libbtbb-2020-12-R1.tar.gz
cd libbtbb-2020-12-R1
mkdir build
cd build
cmake ..
make
sudo make install
sudo apt-get update
sudo apt-get upgrade

Puis nous avons installé les outils Ubertooth :

wget https://github.com/greatscottgadgets/ubertooth/releases/download/2020-12-R1/ubertooth-2020-12-R1.tar.xz -O ubertooth-2020-12-R1.tar.xz
tar xf ubertooth-2020-12-R1.tar.xz
cd ubertooth-2020-12-R1/host
mkdir build
cd build
cmake ..
make
sudo make install
sudo apt-get update
sudo apt-get upgrade

Nous avons ensuite procédé à l’Update du firmware d’Ubertooth One :

cd ubertooth-2020-12-R1/ubertooth-one-firmware-bin
sudo ubertooth-dfu -d bluetooth_rxtx.dfu -r
cd ../..
sudo apt-get update
sudo apt-get upgrade

Nous avons effectué le contrôle grâce à la commande :

ubertooth-util -v

Qui nous a renvoyé :

Firmware version: 2020-12-R1 (API:1.07)

Nous avons donc connecté l’antenne Bluetooth à la carte mère de l’Ubertooth one et branché ce dernier sur un port USB de la machine et lancé la commande :

ubertooth-specan-ui

Qui nous a ouvert une fenêtre :

L’appareil étant configuré et fonctionnel nous avons refermé la fenêtre et procédé à l’installation des plugins.

Nous avons commencé par installer les plugins wireshark :

sudo apt-get install wireshark wireshark-dev libwireshark-dev cmake cd libbtbb-2020-12-R1/wireshark/plugins/btbb mkdir build
cd build
cmake -DCMAKE_INSTALL_LIBDIR=/usr/lib/x86_64-linux-gnu/wireshark/libwireshark3/plugins ..
make
sudo make install
cd libbtbb-2020-12-R1/wireshark/plugins/btbredr
mkdir build
cd build
cmake -DCMAKE_INSTALL_LIBDIR=/usr/lib/x86_64-linux-gnu/wireshark/libwireshark3/plugins .. make
sudo make install
sudo apt-get update
sudo apt-get upgrade

Puis nous avons procédé à la configuration de Kismet.

Pour ce faire nous avons commencé par supprimer toutes les configurations pré existantes :

sudo rm -rfv /usr/local/bin/kismet* /usr/local/share/kismet* /usr/local/etc/kismet*

Nous avons ensuite procédé à l’installation et à l’actualisation des paquetages nécessaires :

python -m pip install --upgrade pip
pip install libpcap
sudo apt-get install libcap-dev pkg-config \ build-essential libnl-dev libncurses-dev libpcre3-dev \ libpcap-dev libcap-dev

Afin de pouvoir procéder à l’installation de la dernière version de kismet. wget -O –

https://www.kismetwireless.net/repos/kismet-release.gpg.key | sudo apt-key add -
$ echo 'deb https://www.kismetwireless.net/repos/apt/release/kali kali main' | sudo tee /etc/apt/sources.list.d/kismet.list
wget http://www.kismetwireless.net/code/kismet-2021-08-R1.tar.gz tar xf kismet-2021-08-R1.tar.gz
sudo mv kismet-2021-08-R1 /usr/src/kismet
ln -s ../ubertooth-2021-08-R1/host/kismet/plugin-ubertooth /usr/src/kismet
cd /usr/src/kismet
sudo ./configure
sudo make && sudo make plugins
sudo make suidinstall
sudo make plugins-install
cd ~
sudo apt-get update
sudo apt-get upgrade
sudo apt install kismet-core kismet-capture-linux-bluetooth kismet-capture-linux-wifi kismet-capture-nrf-mousejack python-kismetcapturertl433 python-kismetcapturertladsb python-kismetcapturertlamr python-kismetcapturefreaklabszigbee kismet-logtools~
sudo apt-get update
sudo apt-get upgrade
sudo apt install kismet-capture-linux-bluetooth

Nous avons éteint et rallumé la machine puis procédé aux vérifications d’usage.

Lors du lancement de kismet via la commande

sudo kismet

Une fenêtre s’ouvre nous demandant de définir un login et un password.

Ce que nous avons fait.

Puis nous avons sélectionné ubertooth one dans la liste Data Sources :

Nous avons testé l’application : Cette dernière est parfaitement fonctionnelle.

Nous avons ensuite configuré Wireshark pour permettre la capture de paquets Bluetooth.

Pour ce faire nous avons configuré un pipe :

mkfifo /tmp/pipe

Puis nous avons ouvert wireshark depuis la commande :

sudo wireshark

Dans la fenêtre qui s’est ouverte nous avons cliqué sur capture -> Options-> Manage interfaces ->

Pipe -> New ou nous avons entré dans le champ « pipe » :

/tmp/pipe

Enfin sur le terminal nous avons entré la commande :

ubertooth-btle -f -c /tmp/pipe

Dans les sources nous avons choisi bluetooth et lancé la capture : parfaitement fonctionnel.

3/ Tests préliminaires

Le 16/10/2021 vers 09 h 30 nous avons procédé à des tests préliminaires dans un champ en plein air situé à proximité de la commune de Chabournay.

Les coordonnées GPS exactes du site sont les suivantes : 46°44’49.6’’N 0°13’32.0’’E.

Le point rouge marque l’endroit où a été installé le poste de détection.

Un repérage de la zone est effectué sur cartoradio :

L’endroit de l’expérimentation est indiqué par un point rouge dans un carré rouge.

Les différents sites surlignés correspondent à des antennes relais dont les caractéristiques sont accessibles ici.

3/1 Déroulé des pré-tests

L’antenne est connectée, les serveurs activés.

Le protocole se lance.

Les candidats partent du point bleu et suivent le chemin (petits points verts) en direction du poste de détection (point rouge).

Dans un certain nombre de cas des signaux Bluetooth s’activent spontanément à environ 30 mètres du poste (point violet)

Le pré-test est concluant et fonctionnel, permettant de valider le protocole de test prévu pour le lendemain.

3/2 Déroulé de l’expérience

L’expérimentation a lieu le 17/10/2021 sur la commune de Cognac La forêt.

Un repérage Cartoradio donne la topographie suivante :

Les différents sites surlignés correspondent à des antennes relais dont les caractéristiques sont accessibles ici.

Une reconnaissance des lieux nous amène à installer le matériel de détection à l’endroit indiqué sur la carte.

3/2/1 préparation technique

Les appareils de prise de vue sont soigneusement configurés et les personnels susceptibles d’intervenir dans la zone de détection sont testés les uns après les autres.

Les consignes suivantes leur ont été données :

  • Pas de téléphone portable
  • Pas de montre connectée
  • Pas d’appareillage connecté (oreillette, casque,…)

Une fois ces préalables remplis ils passent le test plusieurs fois de suite :

  • Seul et sans matériel
  • Seul avec matériel éteint
  • Seul avec matériel de prise de vue allumé.

Les caméras et le matériel de prise de son sont câblés et les systèmes de transmission sont tous désactivés.

Du fait de ces réglages deux passages additionnels sont effectués pour objectiver l’absence totale de signal détecté.

3/2/2 Déroulé de l’expérimentation

En parallèle, les postulants sont regroupés au niveau de l’aire d’accueil (A proximité de la zone de parking) et un questionnaire leur est donné à remplir.

Ils reçoivent tous les mêmes consignes et une personne vérifie physiquement l’exécution des consignes.

Ils suivent un à un le trajet identifié en violet comme « trajet des volontaires ».

Les points violets marquent les endroits où sont apparus les différents signaux.

3/2/3 Résultats obtenus

Le tableau ci-dessous donne l’ordre d’apparition des signaux.

Horaire Numéro de passage Détection de signal Code retrouvé Code retrouvé OUI Parasite ? Identification
10:16
10:21 1 Non Néant néant
10:26 2 Oui 53:cd:58:dd:53:d2 Unknown néant
10:31 3 Oui 50:76:35:50:8f:36 73:dd:d1:6d58:f9 Unknown néant
10:36 4 Non Néant néant
10:41 5 Non Néant néant
10:46 6 Non Néant néant
10:51 7 Non Néant néant
10:56 8 Non Néant néant
11:01 9 Non Néant néant
11:06 10 Non Néant néant
11:11 11 Non Néant néant
11:16 12 Non Néant néant
11:21 13 Non Néant néant
11:26 14 Non Néant néant
11:31 15 Oui 6f:12:bd:31:60:f9 Unknown néant
11:36 16 Oui 67:87:07:71:fb:ff Unknown néant
11:41 17 Non Néant néant
11:46 18 Oui f1:5e:84:4c55:30 67:87:07:71:fb:ff Unknown néant
11:51 19 Non Néant néant
11:56 20 Non Néant néant
12:01 21 Oui 57:58:87:13:a3:98 69:f4:76:99:6d:de Android
12:06 22 Non Néant néant
12:11 23 Non Néant néant
12:16 24 Non Néant néant
12:21 25 Non Néant néant
12:26 26 Non Néant néant
12:31 27 Non Néant néant
12:36 28 Non Néant néant
12:41 29 Non Néant néant
12:46 30 Non Néant néant
12:51 31 Non Néant néant
12:56 32 Non Néant néant
13:01 33 Non Néant néant
13:06 34 Non Néant néant
13:11 35 Non Néant néant
13:16 36 Oui 55:la:e4:bc:ae:d9 Unknown 69:f4:76:99:6d:de Android
13:21 37 Non Néant 69:f4:76:99:6d:de Android

3/3 Analyse brute des résultats

Les premières conclusions de l’expérimentation sont reportées dans les tableaux de synthèse suivants :

Données brutes Émission absence d’émission Doute
Nombre de personnes 37 7 30 2
Injectées 15 6 9 2
Non injectées, testées 2 1 1 0
Non injectées, non testées 20 0 20 0
Soit en pourcentage :
Pourcentages Émission absence d’émission Doute
Nombre de personnes 37 19% 81% 5%
Injectées 15 40% 60% 13%
Non injectées, testées 2 50% 50% 0%
Non injectées, non testées 20 0% 100% 0%

Cette expérimentation met donc en évidence de manière indiscutable les éléments suivants :

  • Aucune personne non injectée, non testée n’émet de signal
  • Quelques personnes injectées émettent des signaux dans environ 40 % des cas
  • Quelques personnes non injectées et testées émettent des signaux dans le 50 % des cas.

3/4 Exploration complémentaire

Au vu de ces expériences plusieurs incertitudes restent pleines et entières :

  • Le temps de mesure
  • Les interactions potentielles avec l’environnement électromagnétique
  • Les interactions sociales
  • La détectabilité de signaux émanant de personnes non injectées et testées.

Une nouvelle expérimentation a donc été entreprise le 07/11/2021 sur un lieu différent.

Ce nouveau lieu présente l’avantage de disposer de grottes troglodytes suffisamment hermétiques pour pouvoir agir comme une cage de Faraday.

3/4/1 : Déroulé de l’expérimentation

Lors de première journée les postulants ont été regroupés sous une tente d’accueil située sur la partie haute du terrain à plus de 50 mètres de l’opposée à l’entrée principale des grottes.

Les mêmes consignes leur ont été données et la même vigilance stricte a été observée quant à l’observance des consignes.

La répartition des postulants est la suivante :

  • 2 personnes non injectées non testées
  • 7 personnes non injectées et testées
  • 8 personnes injectées

Un scan a été effectué en amont à l’intérieur de la grotte qui met en évidence l’absence totale de trafic Bluetooth.

L’expérimentation se déroule en deux jours :

Jour 1

Etaient présents 16 candidats se répartissant comme suit :

  • 2 personnes non injectées non testées
  • 6 personnes non injectées et testées
  • 8 personnes injectées

Jour 2

Etait présent un candidat non injecté et testé

Durant ces deux jours, le protocole appliqué est le suivant :

Chaque candidat s’identifie en amont, sous la tente.

Il lui est attribué un numéro de passage.

Toutes les 20 minutes, un nouveau candidat se présente dans la grotte troglodyte où a été installé le matériel de scan et passe 20 minutes dans cette dernière en vue de la détection éventuelle d’un signal Bluetooth.

3/4/2 : Résultats de l’expérimentation

Jour 1 :

Les candidats se succèdent un par un.

Une seule adresse MAC est relevée :

c4:df:27:f9:45:b5

Il s’agit d’une personne doublement injectée

Jour 2 :

Un seul candidat est présent.

Il s’agit d’une personne non injectée mais muti testée par tests PCR (environ 70 tests)

Deux adresses Mac apparaissent simultanément avec des références quasi identiques :

4c:64:fd:da:fc:5f

4c:64:fd:da:fc:9f

Au vu de ces résultats, nous avons choisi de poursuivre l’expérience.

Nous avons éteint et rallumé le serveur kismet.

Les signaux captés n’apparaissent plus.

Nous sommes ensuite montés sur le plateau, sous la tente pour tester une éventuelle réactivation du signal en présence d’un environnement moins protégé.

Après 20 minutes de scan aucun nouveau signal n’apparait.

Nous avons alors demandé au candidat de se prêter à quelques exercices physiques afin de vérifier une potentielle relation entre l’énergie corporelle dégagée par le candidat et une activation de signal.

Après 20 minutes de scan aucun nouveau signal n’apparait.

Nous avons alors demandé à une personne de l’équipe de rapprocher progressivement le téléphone portable du candidat (Samsung) afin de commencer à vérifier de possibles interactions homme-portable.

Aucune activité particulière n’est détectée avec le portable en mode éteint.

Nous avons renouvelé l’expérience avec le portable en mode avion.

Aucune activité particulière n’est détectée avec le portable en mode éteint.

Nous avons renouvelé l’expérience avec le portable en mode normal, bluetooth éteint.

Aucune activité particulière n’est détectée avec le portable dans cette configuration.

Nous avons alors activé le bluetooth de l’appareil du candidat. Le Bluetooth est détecté, un trafic strictement normal se met en place, aucune adresse MAC suspecte n’apparait.

Nous avons ensuite amené un second téléphone portable (Également un Samsung) en mode normal, bluetooth activé.

Les appareils communiquent de manière cohérente entre eux et aucune adresse MAC additionnelle n’apparait.

Enfin, afin de récupérer des données additionnelles, nous avons continué à scanner le trafic en milieu ambiant, le candidat réintégrant l’intérieur de la maison dans laquelle était présents 6 téléphones portables dans des conditions diverses, une box internet avec 2 relais wifi.

Nous avons progressivement éteint tous les dispositifs puis nous les avons rallumés un à un.

Il est à noter que sur toutes les personnes présentes seul le candidat a été testé par PCR.

On note des trafics strictement normaux qui correspond aux échanges de données entre les différents appareils.

On note également un nombre conséquent de trames non valides et des paquets inconnus ou ininterprétables avec le logiciel Wire Shark.

Nous pouvons donc raisonnablement conclure qu’à la fois les personnes injectées et les personnes testées émettent des signaux en dehors de toute activation induite par un champs électromagnétique environnemental.

Cependant ces signaux ne semblent pas constants dans le temps et leur activation semble dépendre de conditions qui restent à définir.

(Cf conclusions et perspectives ci-dessous.)

4/ Exploitation des données brutes

4/1 Rappel du contexte

Durant ces expériences, nous avons pu constater et capturer les échanges (trames) émises par des dispositifs inconnus dans des lieux vierges de tout signaux.

Lors de ces expériences ne disposant pas du matériel nécessaire à une analyse complète, nous avons pratiqué un scan employant un mode balayage à l’aide d’un équipement Ubertooth.

Cette carte nous as permis de balayer l’ensemble des fréquences employées par le protocole Bluetooth.

BTLE dans sa version 5 dispose de 40 canaux qui ont été scannés tour à tour et à intervalle régulière.

Le protocole Bluetooth BTLE est couramment utilisé pour de nombreuses applications et nous sommes donc partis de l’exploration des modes de construction classiques s’appuyant sur cette technologie.

De nombreuses ressources existent.

A titre d’exemple :

https://www.bluetooth.com/bluetooth-resources/intro-to-bluetooth-low-energy-coded-phy/

4/2 Volume des informations récupérées

Durant la première expérience, 37 participants se sont succédé ce qui à permis la capture d’un total de 43043 trames.

Durant l’expérimentation complémentaire, 17 participants se sont succédé ce qui à permis la capture d’un total de 30120 trames.

Ce qui nous donne donc un total de 73163 trames récupérées sur 6 h 30 de scan auprès de 34 personnes. (Personnes non injectées et non testées exclues).

4/3 : Premières analyses protocolaires :

Parmi ces trames pour la plupart malformées d’après les formats de trame reconnus par le logiciel Wire Shark, ce qui indique à minima une personnalisation de la pile protocolaire, on retrouve des paquets cohérents avec le protocole Bluetooth pour des messages de type :

  • BT MeSH
  • BTLE AUX_SCAN
  • AUX_CONNECT
  • Messages inconnus (ou non reconnus et interprétés par Wire Shark)

4/3/1 : Paquets correspondant à des messages BT MeSH

4/3/2 : Paquets correspondant à des messages BTLE AUX_SCAN

4/3/2 : Paquets correspondant à des messages AUX_CONNECT

4/3/2 : Paquets correspondant à des messages inconnus (ou non interprétables en tant que tel par le logiciel Wire Shark)

5/ Conclusions et perspectives

Nous pouvons au vu de ces résultats affirmer qu’un pourcentage significatif des personnes injectées et, dans une moindre mesure des personnes non injectées mais testées par des tests PCR émettent des signaux alphanumériques sur la plage de fréquence correspondant à celle d’utilisation du Bluetooth.

Ce pourcentage sera à préciser par des études futures afin de mettre en évidence l’impact potentiel des facteurs suivants :

  • Marque du produit injecté
  • Profil du candidat :

    • Nombre d’injection(s)s reçue(s)
    • Date de la dernière injection

De nombreuses trames apparaissent en lien avec ces signaux qui sont ininterprétables en l’état actuel des choses par le logiciel Wire Shark.

Une des caractéristiques communes de ces trames est le faible niveau dBm.

Parmi les explications probables du caractère incomplet voire ininterprétable de ces trames des hypothèses sont à explorer :

  • Une modulation différente de celle usuellement utilisée pour les protocoles BTLE classiques
  • Un problématique d’insuffisance énergétique insuffisante pour activer un déclenchement d’action
  • Une série d’actions ordonnancée sur des sauts de channels (A l’intérieur de la gamme de fréquence Bluetooth et/ou en dehors de cette dernière).

Il existe une très nette proéminence de signaux émis en milieu ambiant par rapport aux signaux émis en milieu sans activité électromagnétique.

Des tests additionnels devront donc confirmer cette tendance et dégager les facteurs de déclenchement des signaux pour en préciser la nature et surtout la ou les fonctionnalité(s).

Ces signaux alphanumériques ne sont pas constants dans le temps et leur apparition est brève.

Il est possible qu’un ordonnancement programmé (à heure fixe ou aléatoire, en fonction d’éléments déclencheurs tels que des interactions sociales) sous-tende ces apparitions.

De nombreuses autres expériences seront sans nul doute nécessaires pour acquérir suffisamment de données afin d’identifier des redondances, des cycles, des patterns…




Le Dr Andreas Noack, chimiste autrichien renommé, est mort quelques heures après avoir dénoncé les risques de l’hydroxyde de graphène

[Source : cv19.fr]

Le lanceur d’alerte Dr. Andreas Noack, chimiste autrichien renommé, expert sur le carbone, est mort quelques heures seulement après avoir dénoncé les effets de l’adjuvant hydroxyde de graphène, une nanotechnologie qui serait présente dans l’injection [anticovid], expliquant que c’est ce qui tue réellement les gens en s’immisçant dans l’ensemble des organes et provoquant des lésions au niveau cellulaire, “comme des nano-lames de rasoir”.

Il affirme que cela pourrais expliquer pourquoi les athlètes meurent soudainement pendant les entraînements et les matchs, ou pourquoi certains meurent instantanément si l’adjuvant a été injecté dans la circulation sanguine plutôt que dans le muscle…

Le 23 novembre, le Dr Noack a été “battu à mort” après sa dernière vidéo, selon sa femme visiblement enceinte.



Travaux du Dr. Pablo Campra sur lesquels sont basés cette vidéo

Résumé :

L’hydroxyde de graphène a été trouvé dans tous les vaccins étudiés. L’hydroxyde de graphène forme des structures dans le flux sanguin d’environ 50 nm de large et 0,1 nm d’épaisseur. Elles sont très fines mais très solides. Ils agissent comme de petites lames de rasoir dans le flux sanguin qui peuvent couper les vaisseaux sanguins. Ils ne se décomposent pas. Une fois dans la circulation sanguine, ils y resteront pour toujours (à moins que la personne ne reçoive une transfusion sanguine pour les éliminer). Leur effet sur les vaisseaux sanguins est cumulatif. Plus ils restent longtemps dans la circulation sanguine, plus les vaisseaux sanguins sont endommagés au fil du temps. Cela crée des problèmes d’hémorragie dans tout le corps.

Selon lui, un débit sanguin plus élevé (dû à une activité physique intense des athlètes) entraînerait des dommages plus importants aux vaisseaux sanguins causés par l’hydroxyde de graphène et expliquerait donc les décès d’athlètes parmi les personnes injectées.

Voici des citations importantes faites par le Dr Noack :

Recevoir le Vax, c’est comme jouer à la roulette russe. Les personnes qui meurent immédiatement ou peu après avoir reçu le vaccin sont comme des victimes de la roulette russe. C’est lorsque l’oxyde de graphène frappe immédiatement la paroi des vaisseaux sanguins qu’il provoque la mort ou l’effondrement immédiatement après avoir reçu le vax.

Les médecins qui pratiquent des autopsies sur les victimes du Vax ne vont rien trouver. Ces médecins cherchent quelque chose de biologique comme cause de la mort mais l’hydroxyde de graphène n’est pas biologique donc il ne sera pas visible dans leurs tests.

Il y a des photos de sang coagulé sortant du nez. Les gens saignent à mort de l’intérieur.

Les athlètes de haut niveau qui meurent ont un sang qui s’écoule rapidement. Plus le sang circule vite, plus les rasoirs font de dégâts.

En tant que chimiste, si vous injectez ça dans le sang, vous êtes un meurtrier.

La question à poser aux fabricants de vaccins et aux politiciens est la suivante : POURQUOI CES LAMES DE RASOIR SONT-ELLES DANS LES VACCINS ? Comment peuvent-ils justifier leur présence dans les vaccins ?

Et maintenant, ils veulent forcer les enfants à être vaccinés dès l’âge de 5 ans avec ce truc horrible !


L’Autriche est le premier pays d’Europe et du monde à mettre en œuvre un programme de vaccination de l’ensemble de la population sous peine d’amendes ou d’emprisonnement en cas de non-vaccination. Le plan de vaccination complet débutera en février 2022.

Sources :

https://www.researchgate.net/publication/355979001_DETECTION_OF_GRAPHENE_IN_COVID19_VACCINES
https://strangerinajewishworld.com/2021/11/28/dr-andreas-noack/
https://odysee.com/@Docuteca:5/AndreasNoack:2
https://truth11.com/2021/11/30/whistleblower-dr-andreas-noack-renown-austrian-chemist-is-dead-just-hours-after-speaking-out-about-the-effects-of-the-adjuvant-graphene-oxide-in-a-post-written-by-his-wife-he-was-found-dead-in-l/




Appel aux policiers et gendarmes de France

[Source : Profession Gendarme (profession-gendarme.com)]

Un appel aux policiers et gendarmes de France circule actuellement sur la toile. Nous vous en donnons connaissance ici :

Mesdames, Messieurs les agents,

Depuis le mois de juillet vous avez pour consigne de contrôler le passe sanitaire auprès des citoyens et des établissements concernés. Après plusieurs mois d’application, vous avez pu constater les effets de cette mesure sur notre société : division, tensions, exclusion, discrimination, et dépravation de la notion même de liberté, pilier de notre République.

La loi n°2021-1465 du 10 novembre 2021 portant diverses dispositions de vigilance sanitaire permet au gouvernement de poursuivre l’usage de cet outil « si la situation sanitaire le justifie ». Elle ouvre également la voie à de nouvelles mesures de confinement, dont vous seriez la pièce maîtresse.

Jusqu’à quand ?

Il est bon que vous vous posiez la question avant de prendre part à l’application d’une loi qui aura pour conséquence de changer radicalement le monde dans lequel nous vivons.

Votre code de déontologie SUBORDONNE L’EXERCICE DE VOS MISSIONS AU STRICT RESPECT DE LA DECLARATION DES DROITS DE L’HOMME ET DU CITOYEN, DE LA CONSTITUTION, DES CONVENTIONS INTERNATIONALES ET DES LOIS.

Voici ce que disent les textes suivants :

• Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948 :

Article premier :

“Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience…”

Cela signifie qu’une personne est libre, indépendamment de son statut vaccinal ou de son état de santé.

Si la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme reconnaît que tous les êtres humains sont doués de raison et de conscience, alors tout être humain a droit à ce que l’on respecte le choix auquel cette même raison l’a amené quant à la possibilité de se vacciner ou non.

Article 3 :

“Tout individu a le droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.”

Le risque de décès est inhérent à tout acte médical, car il ne peut jamais être exclu. Imposer – par la pression ou par la force – la vaccination, revient à imposer un risque de mort et enfreint donc l’article 3 de cette Déclaration.

Article 13 :

“Toute personne a le droit de circuler librement”

Article 23 :

“Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage.”

Article 27 :

“Toute personne a le droit de prendre part librement à la vie culturelle de la communauté, de jouir des arts”

• Code civil :

Article 16-1 :

“Chacun a droit au respect de son corps.”

Le passe sanitaire viole ces dispositions de multiples manières. Il porte atteinte à la liberté et à l’égalité des êtres humains, car:

les individus n’ont plus accès aux lieux de loisirs, ni au système de santé, ni à l’éducation, ni au travail, de manière libre, puisque, s’ils font le choix, guidés par leur raison et leur conscience, de ne pas se soumettre à la vaccination, ils doivent supporter les frais engendrés par la réalisation des tests PCR ou antigéniques obligatoires. L’accès à l’éducation, à la culture, à la santé et au travail est donc conditionné aux ressources économiques de chacun. Ceci va à l’encontre des principes d’égalité et de liberté inscrits dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.

Saviez-vous que :

L’article R434-5 de votre code de déontologie prévoit la chose suivante : Sens de l’honneur

“Le policier ou le gendarme exécute loyalement et fidèlement les instructions et obéit de même aux ordres qu’il reçoit de l’autorité investie du pouvoir hiérarchique, sauf dans le cas où l’ordre donné est manifestement illégal et de nature à compromettre gravement un intérêt public.

S’il pense être confronté à un tel ordre, il fait part de ses objections à l’autorité qui le lui a donné, ou, à défaut, à la première autorité qu’il a la possibilité de joindre, en mentionnant expressément le caractère d’illégalité manifeste qu’il lui attribue. Si, malgré ses objections, l’ordre est maintenu, il peut en demander la confirmation écrite lorsque les circonstances le permettent. Il a droit à ce qu’il soit pris acte de son opposition. Même si le policier ou le gendarme reçoit la confirmation écrite demandée et s’il exécute l’ordre, l’ordre écrit ne l’exonère pas de sa responsabilité.”

Le caractère illégal de la loi portant diverses dispositions de vigilance sanitaire a été démontré plus haut.

Quant à l’intérêt public : Croyez-vous que ces mesures ont été conçues dans une logique de santé publique? Ou de contrôle social?

Quelle société voulez-vous pour votre avenir, et celui de vos enfants ?

Un jour, l’opinion publique demandera des comptes à ce gouvernement et à tous ceux qui auront collaboré à l’exécution de ses ordres.

Ce jour-là, comme le prévoit votre code de déontologie, vous serez jugés responsables de vos actes.

Nous vous rappelons également que, selon l’article R434-11 du Code de la sécurité intérieure, “le policier et le gendarme […] n’établissent aucune distinction dans leurs actes et leurs propos de nature à constituer l’une des discriminations énoncées à l’article 225-1 du code pénal.”

Article 225-1 du code pénal :

“Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les personnes physiques sur le fondement de leur origine, de leur sexe, […], de leur état de santé, …”

N’oubliez pas que vous êtes au service de la population, qui compte plus que jamais sur votre sens du devoir.

Au nom du peuple français,
et pour vous-mêmes,
unissez-vous et résistez !




Vaccins Covid 19 : effets secondaires alarmants, découverte de constituants non déclarés

Par Gabriel Baumgartner, docteur en physique EPFL,

auteur de :

Introduction

Le présent document constitue une synthèse des découvertes de l’année 2021 concernant l’inoculation contre la Covid-19. Il est rédigé dans l’idée de relever les aspects scientifiques et diffuser les questions ouvertes.

Il faut tout d’abord mesurer à quel point certains effets secondaires rapportés sont littéralement extraordinaires.

Ainsi, l’attraction entre certaines parties du corps et des aimants ou des parties métalliques suite à l’inoculation interpelle. Ce phénomène est si déconcertant qu’il est bien difficile de se convaincre de son existence. En tant que scientifique, j’ai cherché à comprendre ce phénomène qui dépasse l’entendement.

Au fil des découvertes, il apparaît que ce phénomène de magnétisme humain n’est qu’une pièce dans un gigantesque puzzle. Ainsi, au cœur de l’été est tombée une nouvelle stupéfiante concernant la composition de ces inoculations : la première analyse au microscope d’un vaccin Pfizer a détecté des particules identifiées comme un composé du carbone, plus précisément des nanoparticules de graphène. Cette nouvelle est particulièrement alarmante car aux nanoparticules est associée une nanotoxicité et celle du graphène a été étudiée depuis des années. La détection de graphène a été confirmée. Le 2 novembre 202, le docteur en chimie Pablo Campra de l’Université d’Almeria a publié son rapport intitulé :

Détection de graphène dans les vaccins Covid-19 par spectroscopie microRaman

Voici en 3 minutes, la présentation de ce rapport final par le Dr. Campra :



La détection de particules de graphène ouvre la voie à des recherches sur la composition des vaccins et soulève de graves questions. Comment expliquer la présence d’ingrédients potentiellement toxiques, non déclarés par les fabricants ? Quels peuvent être les effets de ces nanoparticules sur l’organisme ?

Ce document, destiné au plus grand nombre, fait la présentation de ces découvertes scientifiques qui modifient radicalement la compréhension de l’actualité.

Remerciements :

Je remercie chaleureusement le trio de laquintacolumna qui a initié en Espagne un travail d’analyse exceptionnel :

Grâce leur rigueur scientifique et à leurs intuitons, ce trio a ouvert des réflexions qui méritent d’être diffusées dans le grand public.

Effets biomagnétiques

Depuis le début de la campagne de vaccination, la population du monde entier observe un phénomène inédit dans l’histoire de l’humanité. Des personnes ont testé une attraction de type magnétique sur leur corps. Des pièces de monnaie et objets métalliques en tout genre restent collés au point d’injection du vaccin contre le virus Covid-19.

Cette information est tellement stupéfiante qu’elle ne paraît même pas croyable. Surtout après avoir tellement entendu de la part de nos autorités que le vaccin est sûr et efficace. Il paraît vraiment impossible de voir un tel phénomène se produire. A contrario, dans un monde normal, si phénomène aussi irréel venait à se produite, c’est tout le mythe vaccinal qui viendrait à s’effondrer.

Voici un témoignage, daté du 30 mai, du médecin Pedro Chavez au Mexique qui a fait des observations sur ses propres patients (voir sous son interview).

D’autres témoignages, issus de partout dans le monde, ont rapporté ce phénomène invraisemblable. On voit l’adhérence d’objets de masse variable. De plus, le magnétisme s’étend souvent à partir du bras sur tout le tronc.

(image tirées des émissions de laquintacolumna)

L’histoire devient encore plus irrationnelle lorsque l’ on voit comment cette information a été niée, notamment sur internet. Une recherche ne propose que des sites qui démontent ces observations :

Ainsi, il apparaît d’emblée que nous vivons une guerre de la connaissance et de l’information.

Tous les sites listés nient l’existence du biomagnétisme. Voici un exemple d’argumentation :

https://www.rtbf.be/info/societe/detail_les-vaccins-contre-le-coronavirus-ne-rendent-pas-magnetiques-les-bras-des-vaccines?id=10777776

Des vidéos et des photos de personnes parvenant à se coller des objets métalliques sur la peau après avoir été vaccinées contre le Covid-19 circulent abondamment sur les réseaux sociaux. Ce phénomène fait dire à certains militants « antivax » que cela prouverait que les vaccins contiennent des puces ou rendent magnétiques le bras. Il n’y a pourtant pas de puce dans les vaccins et ils ne peuvent pas non plus rendre les bras magnétiques. Les explications de ce phénomène sont à chercher ailleurs, notamment dans un état de la peau qui permet de rendre le bras « collant ». Ce changement de l’état de la peau pourrait, par ailleurs, être induit pas la réaction inflammatoire créée par l’injection du vaccin mais cette théorie n’est pas démontrée et demande des analyses scientifiques plus poussées.

……………

Divers trucages possibles

Si les vaccins ne contiennent pas de puces électroniques et ne contiennent aucun élément permettant de rendre le bras magnétique, des trucages sont bien efficaces pour créer le phénomène.

De l’adhésif transparent, des résidus de colle des pansements, ou même du miel permettent de coller des objets à la peau sans que cela se voie, comme l’a démontré l’équipe du site de fact checking « Fact and Furious ». Une autre hypothèse est celle d’une éventuelle prothèse d’épaule. Cette dernière peut contenir du cobalt et est donc susceptible d’attirer des aimants.

Il est donc impossible de se fier aux moteurs de recherche Internet. Par contre, à partir du moment où des médecins et un chercheur réputé comme Stefano Montanari, spécialiste de l’analyse des vaccins en Italie, a rapporté le biomagnétisme, le phénomène pouvait être considéré comme un fait acquis.

Pour compléter les témoignages, un lien britannique à ce sujet :

https ://www.notonthebeeb.co.uk/magnetism

À ce jour, aucune institution n’a relevé l’existence du biomagnétisme.

Il faudra donc se tourner vers des chercheurs indépendants et notamment le trio de laquintacolumna pour commencer à comprendre ce qui nous arrive.

Détection d’un composé non déclaré

En Espagne, bien avant la crise du Covid 19, Ricardo Delgado, le fondateur du site la quintacolumna, avait constaté un lien entre des décès dans des maisons de retraite et un vaccin particulier contre la grippe. En collaboration avec le docteur José-Luis Sevillano, ils ont cherché quel pourrait être le composé du vaccin qui expliquerait cet excès de décès. Ils ont pensé à un matériau : le graphène. Dès lors, ils ont entrepris d’analyser la composition de divers vaccins pour comprendre cette anomalie.

Ils ont réussi à détourner une fiole de vaccin Pfizer contre Covid-19 et ils ont demandé une analyse à l’Université d’Almeria.

Un premier rapport, dit préliminaire, est sorti fin juin. Il a montré, pour la première fois, que des nanoparticules étaient visibles au microscope optique et elles ont été également détectées avec d’autres méthodes (spectromètres et microscopie électronique).

Le docteur en chimie Campra, qui est l’auteur du rapport, a conclu qu’il s’agissait probablement de nanoparticules de graphène. Pour comprendre les graves questions qui se sont posées suite à la découverte d’une nanoparticule toxique pour l’organisme, nous allons commencer par voir en quoi consiste ce matériau et quelles sont ses caractéristiques.

En quoi consiste le graphène ?

Pour comprendre ce qu’est le graphène, partons du graphite qui est le matériau qui constitue une simple mine de crayon. Le graphite est uniquement constitué d’atomes de carbone, liés les uns aux autres. Sa structure montre des plans de carbone superposés. À partir de cette structure, il suffit de détacher un seul plan pour obtenir le graphène.

Atomes de carbone liés formant un plan de graphène

Le graphène est donc un composé qui n’a qu’une seule couche atomique, comme il s’apparente à une feuille et non à un volume, on parle d’un matériau bidimensionnel. Sa hauteur, avec une seule couche d’atomes, est la plus petite que l’on puisse créer. Il faut cependant préciser qu’il existe beaucoup de variantes de graphène. Ainsi, on parle de graphène même s’il comporte plusieurs couches (jusqu’à 10 couches).

À cette échelle de grandeur, on a affaire à un nanomatériau. Si nous prenons 1 mm que nous le divisons par 1000 nous obtenons 1 micromètre et c’est presque la limite observable au microscope optique. Divisons encore par 1000 et obtenons un nanomètre (nm). A cette échelle, on utilise des microscopes électroniques qui envoient des électrons sur l’échantillon à analyser.

Une nanoparticule de graphène est un petit bout de ce plan. C’est comme si l’on prend un kleenex et qu’on le déchire pour faire des confettis.

Le graphène est extraordinaire à bien des égards. Rendez-vous compte qu’un hamac imaginaire de 1 mètre carré de surface ne pèserait que 0,77 milligrammes, soit moins qu’une unique moustache de chat. Un tel hamac pourrait cependant supporter le poids d’un chat de 4 kilos !

Si un tel hamac était constitué d’une feuille d’acier mesurant la même épaisseur, il ne supporterait que 40 grammes, soit 100 fois moins que le graphène.

En lui attachant des molécules, on peut modifier le graphène. Cette fonctionnalisation chimique va permettre de le rendre soluble dans un fluide ou même magnétique. Grâce à cette capacité de fonctionnaliser ce matériau, il existe toute une chimie et une physique propre au graphène.

C’est bien sûr sa capacité de conduire le courant électrique et sa capacité de capter ou d’émettre un rayonnement électromagnétique qui focalisent les recherches et placent le graphène au cœur de la 4ème révolution industrielle. Il est le matériau rêvé pour fabriquer des biosenseurs qui, placés à l’intérieur de l’organisme, vont mesurer un certain paramètre biologique et transmettre le résultat sans connexion filaire.

Quelques caractéristiques des nanoparticules de graphène :

  • Très grande résistance mécanique et grande capacité à conduire le courant ( 100 fois plus conducteur que le cuivre) et l’énergie thermique
  • La nanoparticule de graphène monocouche peut franchir n’importe quelle barrière du fait de son épaisseur infinitésimale et s’intercaler dans n’importe quel tissu biologique.
  • Ses particules ont la capacité de capter ou d’émettre un rayonnement électromagnétique. Cette propriété permet de comprendre pourquoi le graphène est au cœur de la 4ème révolution industrielle. Il est le matériau rêvé pour fabriquer des biosenseurs qui, placés à l’intérieur de l’organisme, vont mesurer un certain paramètre biologique et transmettre le résultat sans connexion filaire.

Pour la synthèse du graphène en partant du graphite, il y a diverses méthodes, on passe par une phase intermédiaire d’oxyde de graphène qui est le précurseur du graphène.

Dans le rapport, l’oxyde de graphène de référence représenté ci-dessous a été comparé aux particules présentes dans le vaccin.

Si l’on déchire ce plan de graphène pour en faire des confettis, on obtient des nanoparticules de taille et de forme variable.

Résultat de l’analyse au microscope optique

La taille (en surface) de ces nanoparticules est suffisamment grande pour pouvoir les observer au microscope optique. À droite, nous voyons une particules de graphène de type monocouche de référence, comparée à gauche avec une particule trouvée dans le vaccin. La similitude est complète, le graphène se présente comme un petit morceau de kleenex déposé au fond d’un récipient plein de liquide. Il comporte des plis et apparaît un peu froissé.

Voici d’autres particules, identifiées comme du graphène, présentes dans le vaccin analysé :

À part le microscope optique, d’autres méthodes ont été utilisées dont le microscope électronique et une méthode de spectroscopie. (voir l’annexe 1)

Pour affiner ces résultats, le Dr. Campra a entrepris une étude avec une technique d’analyse qui permet d’identifier un composé avec davantage de fiabilité. Cette technique combine un microscope avec un spectromètre de type Raman et elle a fourni des résultats qui ont confirmé la présence de graphène.

Le fait de combiner le microscope et le spectromètre dans le même appareil permet un grand niveau de confiance dans le résultat. On peut ainsi assurer que la particule pointée grâce à l’optique est analysée par le faisceau de spectromètre.

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Rapport final

https://www.dropbox.com/s/tnnq4ftw818chmx/FINAL_VERSI%C3%93N_CAMPRA _REPORT_DETECTION_GRAPHENE_IN_COVID19_VACCINES.pdf?dl=0

OU

https://www.researchgate.net/publication/355979001_DETECTION_OF_GRAPHEN E_IN_COVID19_VACCINES

Une solution de graphène acheté dans le commerce a constitué la référence. Elle contient divers types de graphène. Ci-dessous, on voit une particule monocouche quasi transparente et une particule noire multicouche :

Voici un résultat de détection au microscope optique dans un vaccin Pfizer :

Après avoir déposé une goutte de vaccin sur le support du microscope, on laisse cette goutte s’évaporer un certain temps et on voit à gauche une forme blanche qui correspond à ce qu’il en reste après évaporation. On voit une particule en noir qui est alors analysée avec le spectromètre Raman. Il s’agit d’envoyer un faisceau laser sur la particule et d’analyser le rayonnement qui sera émis en retour. La position des pics sur le spectre a permis d’identifier le graphène. Il s’agit ici d’une particule multicouche, d’où sa couleur noire.

Plusieurs vaccins ont été étudiés et du graphène a été détecté dans les vaccins Pfizer, Astrazeneca, Moderna et Janssen.

L’importance de ce rapport

Omettre de mentionner un composé toxique dans l’injection contre la Covid 19 est un délit contre la santé publique. La quintacolumna avait déjà formé un réseau qui avait alerté les préfets en envoyant les résultats du rapport préliminaire.

Désormais, l’intention est de relancer les plaintes dans toute l’Espagne sur la base des conclusions du dernier rapport du Dr. Campra. Porter cette affaire en justice va de pair avec une opération de diffusion des conclusions scientifiques de ce rapport.

En principe, l’inoculation est le fruit d’un choix conscient. A défaut d’information sur la présence de graphène et de sa toxicité, il est clair qu’il n’est pas possible de donner un consentement éclairé.

Dans la prochaine section nous allons découvrir les divers aspects de la toxicité du graphène.

Auparavant, il faut savoir que la présence de graphène dans les vaccins se confirme en consultant des brevets et des patentes.

L’état de la recherche confirme la présence d’oxyde de graphène

Le graphène a fait l’objet d’intenses recherches qui ont été largement financées par nos institutions au travers du projet Graphene Flagship . Les brevets déposés concernant le vaccin contre le coronavirus sont sans équivoque, comme le montre ce brevet chinois.

Abstract

The invention belongs to the field of nano materials and biological medicines, and relates to a vaccine, in particular to development of a 2019-nCoV coronavirus nuclear recombinant nano vaccine. The invention also comprises a preparation method of the vaccine and application of the vaccine in animal experiments. The novel coronavirus vaccine contains graphene oxide, carnosine, CpG and novel coronavirus RBD —–

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1742706120303305

……

Le brevet KR02010028065, déposé en Espagne (sollicité par KIM H. S. de Corée) pour une solution saline contenant du graphène, précise que le vaccin contre le coronavirus en contient également :

Finalement, l’intuition initiale de la quinta columna suivant laquelle le graphène était présent dans plusieurs vaccins s’est bel et bien confirmée, il a été détecté dans un vaccin contre la grippe de l’année 2019.

Enfin, voici des images du vaccin PROQUAD, destinée aux enfants entre 9 mois et 3 ans contre diverses pathologie dont la rubéole et la varicelle, photos du bas, comparé à une référence d’oxyde de graphène, photos du haut :

Toxicité de l’oxyde de graphène

La toxicité des nanoparticules de graphène est un sujet bien connu. Voici un tour d’horizon d’articles sur la question (extraits d’articles).

Le premier article montre les divers modes d’interaction entre la nanoparticules de graphène et une cellule. Ce qui est mis en évidence est que la dimension nano joue un rôle particulier car un telle particule peut s’introduire dans une cellule et s’intercaler dans tous les tissus.

https://particleandfibretoxicology.biomedcentral.com/articles/10.1186/s12989-016-0168-y

Résumé

Cette revue rassemble des études sur les effets toxiques des GFN dans plusieurs organes et modèles cellulaires. Nous soulignons également que divers facteurs déterminent la toxicité des GFN, notamment la taille latérale, la structure de surface, la fonctionnalisation, la charge, les impuretés, les agrégats et l’effet couronne, etc.

Interactions possibles entre les matériaux liés au graphène avec les cellules (les flocons de graphène ne sont pas à l’échelle).

  1. Adhérence sur la surface externe de la membrane cellulaire.
  2. Incorporation entre les monocouches de la bicouche lipidique de la membrane plasmique.
  3. Translocation de membrane.
  4. Internalisation cytoplasmique.
  5. Endocytose médiée par la clathrine.
  6. Internalisation endosomale ou phagosomique.
  7. Localisation lysosomale ou autre compartiment périnucléaire.
  8. Localisation exosomale.

Effets sur le sang

Les 2 prochains articles montrent que le graphène va déclencher des pathologies semblables à la Covid 19.

https://www.researchgate.net/publication/328338305_Graphene_Oxide_Touches_Bloo d_In_Vivo_Interactions_of_Bio-Coronated_2D_Materials

L’oxyde de graphène est le sujet brûlant de la recherche biomédicale et pharmaceutique de cette décennie. Cependant, ses interactions complexes avec les composants du sang humain compliquent la transition des résultats prometteurs in vitro vers les paramètres cliniques. Même si l’oxyde de graphène est composé des mêmes atomes que nos organes, tissus et cellules, sa nature bidimensionnelle provoque des interactions uniques avec les protéines sanguines et les membranes biologiques et peut entraîner des effets graves tels que la thrombogénicité et l’activation des cellules immunitaires.

…….

Notre objectif est de faire la lumière sur les problèmes non résolus de la littérature corona d’oxyde de graphène afin de jeter les bases du développement futur de la technologie d’administration de médicaments.

In the journey of GO after injection in our body, the first process that occurs is undoubtedly the binding of plasma proteins on its surface (see Fig. 3-1). Intravenously injected nanoparticles encounter multiple lines of defense intended to neutralize the invaders. The first and most critical defense line is the blood protein adsorption and formation of the biomolecular corona (BC).
[Traduction : Dans le parcours de l’Oxyde de Graphène (OG) après injection dans notre corps, le premier processus qui se produit est sans aucun doute la liaison des protéines plasmatiques à sa surface (voir Fig. 3-1). Les nanoparticules injectées par voie intraveineuse rencontrent de multiples lignes de défense destinées à neutraliser les envahisseurs. La première ligne de défense, la plus critique, est l’adsorption des protéines sanguines et la formation de la couronne biomoléculaire (CB).]

Of the thousands of proteins present in our body, 10 to 50 may take part in a nanomaterial BC. The subset of blood proteins that have been identified in at least one nanomaterial BC has been named ‘‘adsorbome’’.
[Traduction : Sur les milliers de protéines présentes dans notre corps, 10 à 50 peuvent prendre part à une CB de nanomatériaux. Le sous-ensemble des protéines sanguines qui ont été identifiées dans au moins un nanomatériau CB a été nommé  »adsorbome ».]

Fig. 3 Main results of GO interaction with blood components are summarized in this illustration of the injection of GO flakes in the bloodstream. The formation of the BC (1) prevents the hemolysis of red blood cells (2a). Thrombosis (2b) and interaction with complement proteins (2c) are ascribed to GO. In (2d) some of the possible fates after macrophage encounters are shown: extracellular blocking or intracellular uptake. The release of cytokines occurs when macrophages uptake GO. Aggregates of GO in macrophage cytoplasm induce the production of pro-inflammatory cytokines. Dendritic cells fail to present antigens to lymphocytes when they uptake GO (2e). Lymphocyte activity is not inhibited, and BC protects lymphocytes from apoptosis (2f).
[Traduction : Les principaux résultats de l’interaction de l’OG avec les composants sanguins sont résumés dans cette illustration de l’injection de paillettes d’OG dans la circulation sanguine. La formation de CB (1) empêche l’hémolyse des globules rouges (2a). La thrombose (2b) et l’interaction avec les protéines du complément (2c) sont attribuées à l’OG. Dans (2d), certains des destins possibles après la rencontre avec les macrophages sont montrés : blocage extracellulaire ou absorption intracellulaire. La libération de cytokines se produit lorsque les macrophages absorbent de l’OG. Les agrégats d’OG dans le cytoplasme des macrophages induisent la production de cytokines pro-inflammatoires. Les cellules dendritiques ne parviennent pas à présenter des antigènes aux lymphocytes lorsqu’elles absorbent de l’OG (2e). L’activité des lymphocytes n’est pas inhibée, et la CB protège les lymphocytes de l’apoptose (2f).]


https://iopscience.iop.org/article/10.1088/2515-7639/ab5844

On pense que le principal mécanisme de toxicité du graphène est causé par des espèces réactives de l’oxygène produites dans les cellules, qui à leur tour interagissent avec diverses biomolécules, y compris l’ADN. Dans cette revue, nous avons cherché à discuter de différentes études de génotoxicité réalisées avec des Graphene Based Materials en mettant l’accent sur les différents types et conditions cellulaires. En comparant et en discutant de tels rapports, les scientifiques seront en mesure de concevoir des GBM non toxiques pour de futures études précliniques et/ou cliniques.

On pense que le principal mécanisme de toxicité du graphène est causé par les espèces réactives de l’oxygène (ROS) produites dans les cellules. L’interaction des cellules avec GO, qui est la forme oxydée du graphène, provoque une production excessive de ROS , avec l’augmentation de la production de ROS, entraînant un stress oxydatif . ROS agit comme un messager secondaire dans de nombreuses cascades de signalisation cellulaire. Les ROS affectent également de manière significative les processus cellulaires et le métabolisme, tels que la fragmentation de l’ADN, les fractures des lipides membranaires et la dénaturation des protéines. Les dommages aux protéines et à l’ADN causés par les ROS conduisent à la mort cellulaire par des voies apoptotiques et nécrotiques . Par exemple, GO provoquerait l’apoptose et l’inflammation du tissu pulmonaire après inhalation chez les souris C57BL/6,

Lorsque l’oxyde de graphène (GO) est associé au polyéthylène glycol (PEG), on obtient un composé dont nous allons reparler plus loin du fait qu’il peut traverser la barrière hémato-encéphalique et devenir ainsi particulièrement nocif.

https://pubs.acs.org/doi/10.1021/acs.molpharmaceut.6b00696

Le revêtement en polyéthylène glycol (PEG) a été fréquemment utilisé pour améliorer le comportement pharmacocinétique des nanoparticules.
Les études qui contribuent à mieux démêler les effets de la PEGylation sur la toxicité de la formulation de nanoparticules sont donc très pertinentes. Dans la présente étude, l’oxyde de graphène réduit (rGO) a été fonctionnalisé avec du PEG, et ses effets sur les composants clés de la barrière hémato-encéphalique, tels que les astrocytes et les cellules endothéliales, ont été analysés en culture et dans un modèle de rat in vivo. Les études in vitro ont démontré une toxicité dépendante de la concentration. La concentration la plus élevée (100 μg/mL) de rGO non pégylée a eu une influence toxique plus faible sur la viabilité cellulaire dans les cultures primaires d’astrocytes et de cellules endothéliales de cerveau de rat, tandis que la rGO pégylée a induit des effets délétères et la mort cellulaire.


https://www.nature.com/articles/srep03469

Maintenant, il est possible de fabriquer du GO de haute qualité en grandes

quantités 14, 15 et sa production industrielle augmente de façon exponentielle. Avec ses applications potentielles dans le domaine biomédical, la biosécurité de GO est d’une importance critique. De nombreuses investigations ont porté attention à sa biocompatibilité 16, 17, 18, 19. À une concentration d’environ 50 g/mL ou plus, GO commence à montrer la toxicité contre les érythrocytes, les fibroblastes et les cellules PC12. Il peut induire l’apoptose cellulaire, l’hémolyse et le stress oxydatif 16, 18, 19. La modification chimique de surface, telle que la PEGylation, est susceptible d’améliorer la biocompatibilité de GO 20, 21. Cependant, les liaisons chimiques liant le GO au polymère modifié peuvent être rompues in vivo , ainsi le GO modifié en surface peut également induire une toxicité in vivo .

GO a interféré avec la réplication de l’ADN et induit une mutagenèse au niveau moléculaire

Il a été rapporté que les nanofeuillets GO peuvent s’intercaler efficacement dans les molécules d’ADN24. Nous émettons donc l’hypothèse que GO peut interagir avec l’ADN génomique et interférer avec la réplication des gènes. Pour tester cette hypothèse, nous avons examiné l’interaction entre GO et ADN génomique.


https://link.springer.com/article/10.1007/s00005-015-0369-3

Résumé

Le graphène et l’oxyde de graphène (GO), en raison de leurs propriétés physico-chimiques et de leur biocompatibilité, peuvent être utilisés comme matériau biomédical innovant dans la biodétection, la distribution de médicaments dans le corps, le traitement des néoplasmes, la médecine régénérative et la chirurgie implantaire. Les recherches sur l’utilisation biomédicale du graphène et du GO qui ont été menées jusqu’à présent sont très prometteuses et montrent que les nanomatériaux de carbone présentent une haute biocompatibilité.

Cependant, l’intolérance du système immunitaire aux nanomatériaux de graphène, si faible soit-elle, peut en conséquence rendre impossible leur utilisation en médecine. Cet article montre le mécanisme spécifique de l’influence moléculaire du graphène et du GO sur les macrophages et les lymphocytes dans des conditions in vitro et in vivo et leur application pratique en médecine.

On ne peut qu’être interpellé par les contradictions de cet article de 2015. On commence par évoquer des recherches prometteuses de nanomatériaux qui sont biocompatibles. Ensuite, on constate l’intolérance du système immunitaire au graphène. Finalement, on conclut qu’il pourrait être impossible de l’utiliser en médecine.

Il est légitime de s’interroger sur les motivations de ces chercheurs.

Si l’on prend un matériau toxique, par quel tour de passe-passe peut-il être qualifié de prometteur ? Comment mettre en avant sa biocompatibilité ?

Comment espérer un progrès scientifique en partant d’un matériau toxique ? Force est de constater qu’en dépit de son caractère toxique, le graphène a trouvé en 2021 beaucoup d’applications, notamment dans les vaccins.

Cette étude démontre que l’oxyde de graphène induit la cytotoxicité et l’apoptose dans les cellules pulmonaires humaines.


Cet article traite de la manière d’éliminer le graphène.

D’autres articles portant sur les organes de reproduction

Il ressort de ce tour d’horizon que la toxicité du graphène n’est pas à démontrer.

Malgré cela, on poursuit encore et toujours les recherches pour mieux cerner la toxicité du graphène. Ainsi, en 2018, un article relance encore le débat autour de la toxicité :

https://link.springer.com/article/10.1557/jmr.2017.388

« En tant que tel, une compréhension globale de l’hémotoxicité des nanomatériaux de graphène est d’une importance cruciale. Cette revue présente une élucidation à jour de l’hémotoxicité des nanomatériaux de graphène à travers leurs interactions avec les protéines sanguines et les cellules, et offre quelques perspectives sur les défis actuels, les opportunités et le développement futur de ce domaine important.¨


Il faut savoir que depuis l’arrivée des nanoparticules, la compatibilité avec la biologie humaine et animale fait l’objet de recherches. Il n’est pas vraiment pertinent de parler de ¨défi actuel¨ à telle ou telle date car le problème de la toxicité est intrinsèque aux nanomatériaux du fait de leur taille.

À l’heure où le graphène est introduit massivement et vient interagir avec le monde animal et végétal, il apparaît urgent de prendre conscience des limites à respecter en matière de compatibilité entre les nanoparticules et les organismes vivants

L’article suivant montre bien que la recherche ne se donne aucune limite et qu’une révolution basée sur l’introduction du graphène est en marche, quelles qu’en soient les conséquences.

https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fnsys.2018.00012/full

Devant. Syst. Neurosci., 11 avril 2018 | https://doi.org/10.3389/fnsys.2018.00012

« La communauté scientifique a été témoin d’une augmentation exponentielle des applications du graphène et des matériaux à base de graphène dans un large éventail de domaines, de l’ingénierie à l’électronique en passant par les biotechnologies et les applications biomédicales. Pour ce qui concerne les neurosciences, l’intérêt suscité par ces matériaux est double. D’un côté, des nanofeuillets constitués de graphène ou de dérivés de graphène (oxyde de graphène, ou sa forme réduite) peuvent être utilisés comme supports pour l’administration de médicaments. Ici, un aspect important est d’évaluer leur toxicité, qui dépend fortement de la composition des flocons, de leur fonctionnalisation chimique et de leurs dimensions. D’un autre côté, le graphène peut être exploité comme substrat pour l’ingénierie tissulaire.¨

¨Dans cette revue, nous essayons de donner une vue d’ensemble des réalisations et des nouveaux défis du domaine, ainsi que quelles sont, à notre avis, les directions les plus excitantes à prendre dans un avenir immédiat. Il s’agit notamment de la nécessité de concevoir des nanoparticules multifonctionnelles (NP) capables de traverser la barrière hémato-encéphalique pour atteindre les cellules neurales et d’assurer la livraison à la demande de médicaments spécifiques.¨

Applications du graphène en neurosciences

¨Les applications biomédicales du graphène représentent un domaine en expansion continue. Les traitements traditionnels des troubles du système nerveux central (SNC) présentent un certain nombre de défis. Par conséquent, le développement de nouveaux outils qui surpassent les technologies de pointe pour l’imagerie, l’administration de médicaments, la régénération neuronale et l’enregistrement et la détection électriques est l’un des principaux objectifs des technologies modernes. médecine et neurosciences¨

Confirmation et découverte d’autres nanoparticules

À la suite des travaux du Dr. Campra, plusieurs chercheurs ont procédé à l’analyse des différents vaccins et ont confirmé la présence de graphène.

De plus, d’autres nanoparticules ont été détectées, notamment des métaux lourds en grande variété. Avant de lister ces travaux, il faut les placer dans un contexte historique

En soi, la présence de nanoparticules de métaux lourds n’est pas une découverte au même titre que le graphène. La détection de métaux lourds est une inquiétante réalité depuis bien des années, comme l’avait déjà montré une étude de Stefano Montanari et Antonella Gatti en 2017.

Grâce à une nouvelle technique d’analyse, leur travail avait déjà révélé que les 44 vaccins testés à l’époque contenaient des particules non déclarées par les fabricants.

Voici l’essentiel de ce travail.

https://medcraveonline.com/IJVV/new-quality-control-investigations-on-vaccines-micro–and-nanocontamination.html

Reçu : 30 novembre 2016 | Publié: 23 janvier 2017

Résumé

Des vaccins sont à l’étude pour les effets secondaires possibles qu’ils peuvent provoquer. Afin d’apporter de nouvelles informations, une méthode d’investigation en microscopie électronique a été appliquée à l’étude des vaccins, visant à vérifier la présence de contaminants solides au moyen d’un Microscope Electronique à Balayage Environnemental équipé d’une microsonde à rayons X.

…….

Matériaux et méthodes

44 types de vaccins provenant de 2 pays (Italie et France) ont été analysés. …

Résultats

Les investigations ont permis de vérifier la composition physico-chimique des vaccins considérés selon la composante inorganique déclarée par le Producteur. En détail, nous avons vérifié la présence de sels salins et d’aluminium, mais une présence supplémentaire de corps étrangers inorganiques de taille micro, sous-micro et nanométrique (allant de 100 nm à une dizaine de microns) a été identifiée dans tous les cas, dont la présence n’était pas déclarées dans les notices livrées dans l’emballage du produit.

Images d’une particule individuelle, d’amas de micro- et nanoparticules (<100 nm) avec son spectres EDS.

On détecte : Fer, Silicium, Calcium Titane, Chrome,

Discussion

La quantité de corps étrangers détectés et, dans certains cas, leurs compositions chimiques inhabituelles nous ont déconcerté. Les particules inorganiques identifiées ne sont ni biocompatibles ni biodégradables, c’est-à-dire qu’elles sont biopersistantes et peuvent induire des effets qui peuvent devenir évidents soit immédiatement à l’approche du moment de l’injection, soit après un certain temps après l’administration.

Il est important de se rappeler que les particules (cristaux et non molécules) sont des corps étrangers à l’organisme et qu’elles se comportent comme tels.

Plus particulièrement, leur toxicité est à certains égards différente de celle des éléments chimiques qui les composent, ajoutant à cette toxicité qui, de toute façon, est toujours là, celle typique des corps étrangers. Pour cette raison, ils induisent une réaction inflammatoire.

Résultats d’analyse de vaccins Covid 19

Voici un exemple de détection de nanoparticules de fer et de chrome dans le région à gauche en rouge.

PROF. WERNER BERGHOLZ (CORONA COMMITTEE 71) ‘VAXXED BATTLE BODIES / CONTAMINATED SERUM’


Voilà une étude très complète de l’équipe du Dr. Robert Young :

D’autres études indépendantes qui ont analysé la composition ont découvert des nanoparticules est sont répertoriées dans l’Annexe 2.

À part ces découvertes issues de l’analyse expérimentale, Karen Kingston, présentée comme une ancienne employée de Pfizer a expliqué la composition du vaccin et comment remonter au graphène en partant des composés listés dans la composition.

Elle explique que le graphène est lié à la molécule de PEG qui apparaît dans la composition. On a déjà vu que le procédé de PEGylation du graphène était bien étudié (voir sous toxicité).

https://rumble.com/vkgdq7-deadly-shots-former-pfizer-employee-confirms-poison-in-covid-vaccine.html



Karen Kingston analyse également le vaccin Moderna et évoque un composé, le SM-102, qui est vendu pour la recherche uniquement, en excluant une utilisation biologique.

https://exoportail.com/urgent-le-connecticut-publie-la-liste-des-ingredients-des-doses-de-moderna-qui-contiennent-un-produit-chimique-nocif-pour-les-humains-et-les-animaux/

Deux faits dans un gigantesque puzzle

À ce stade, nous avons 2 faits scientifiques confirmés qui constituent les pièces d’un puzzle:

  • Le phénomène de biomagnétisme. Du jamais vu chez l’être humain.
  • La détection de nanoparticules dans tous les vaccins , tant de graphène que divers métaux.

Avant de s’interroger sur des conséquences dans l’organisme de ces nanoparticules, ajoutons dans ce puzzle le fait que ces informations ne sont absolument pas relayées dans les médias. Pourtant, dans un monde humaniste ces deux faits scientifiques sont de nature à provoquer une déflagration médiatique.

Au contraire, nous avons droit à une désinformation systématique par tous les médias.. Le grand public qui utilise largement Internet pour s’informer va trouver un message unanime : pas de graphène dans les vaccins.

Résultats de recherche avec : graphène vaccin covid

En Espagne, le site maldita.es a totalement discrédité le rapport préliminaire du Dr. Campra.

https://maldita.es/malditaciencia/20210916/informe-universidad-almeria-vacuna-covid-19-pfizer-grafeno-oxido/

Ce site a montré ce qu’il faut prendre pour un communiqué de l’Université d’Almeria, communiqué non signé et véhiculé pat Tweeter . Le texte évoque ¨des fausses informations diffusées sur les réseaux sociaux¨ . Notez que ce faux communiqué de l’Université est lui-même diffusé sur le réseau Tweeter.

La guerre d’information est donc profonde et palpable à travers la corruption qui sévit tant dans les sciences qu’au niveau politique.

Une gestion mafieuse du secteur de la santé a été constatée au niveau de l’UE depuis des années, voici l’extrait d’un rapport, établi en 2014, sur la question :

Il était déjà alarmant que la corruption dans le secteur de la santé soit aussi généralisée et que ce rapport anticorruption de 2014 constate avec résignation son impuissance.

La tournure des événements, depuis le début de la crise coronavirus, a bien démontré à quel point la science est également corrompue. Ces déclarations de 3 journaux de référence du secteur de la santé donnent bien l’état des lieux.

Comme l’affirme cet éditorial du British Medical Journal : lorsque la bonne science est supprimée les gens meurent.

3 exposés pour mieux comprendre cette effroyable anarchie intellectuelle qui règne actuellement à tous les niveaux:

Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé, esposé à l’IHU Marseille La médecine et la santé publique à l’épreuve du Covid

Présentation sur la corruption systémique

https://reinfocovid.fr/articles_video/jean-dominique-michel-la-corruption-systemique-partie-3-tribune-reinfo/

« Tout ce que je vais vous dire est su connu et documenté mais d’un autre côté cela à l’air scandaleux d’en parler parce que c’est un tabou collectif. Il y a une logique criminelle qui est devenue la norme en matière industrielle c’est vrai aussi dans la finance.

En ce qui concerne les politiques de santé c’est la même chose…¨

[Ndlr : vidéo censurée.]

Science sans conscience 5 avec Denis Rancourt

Crise du Covid-19 : le triomphe de la « science » sans conscience – Jérémie Mercier (jeremie-mercier.com)



Discussion de l’état de la recherche et de l’article qui annonce l’efficacité des essais sur les vaccins.

Études sur le sang

Le sang des personnes vaccinées a montré des modifications impressionnantes.

Plusieurs documents montrent une modification des globules rouges qui s’empilent pour former des rouleaux.

Dr. Zandre Botha was shocked after studying the blood of « vaccinated » patients that were coming to her with serious illness after being injected with the shots being called « Covid vaccines ».

https://gloria.tv/post/CYb3Qraejiiy2SRLNkusqEjaC

comparaison du sang chez la même patiente avant et après vaccination :

Formation de rouleaux autour d’une nanoparticule

https://www.ethiccitizen.com/2021/08/24/les-effets-de-la-vaccination-sur-le-sang/

[Ndlr : site non actif au moment de la publication du présent article.]

Jane Ruby présente des résultats d’analyse de sang



laquintacolumna



Un composé du vaccin a donc provoqué une force attractive sur les globules rouges.

À défaut d’avoir les explications des fabricants, qui affirment avoir testé ces thérapies, les chercheurs indépendants tentent des explications basées sur la présence de graphène.

On suppose que le graphène acquiert des propriétés magnétiques à l’intérieur de l’organisme au contact de l’hydrogène.

Dr. Andrew Goldsworthy avance que la molécule de graphène est le siège de grands courants susceptibles d’aimanter ce qui l’entoure . Cela pourrait aimanter l’atome de fer de l’hémoglobine. Le globules rouges se comporteraient ainsi comme des aimants et s’empileraient en rouleaux.

https://www.notonthebeeb.co.uk/post/imperial-college-london-dr-andrew-goldsworthy

IMPERIAL COLLEGE LONDRES – Dr Andrew Goldsworthy sur le magnétisme induit par un vaccin

POINTS FORTS :

« … Où qu’il (le magnétisme) aille, il pourrait faire des ravages dans la perméabilité cellulaire et avoir toutes sortes d’effets biologiques, y compris l’insuffisance cardiaque, la maladie d’Alzheimer prématurée et, lorsque les mitochondries sont affectées, la fatigue chronique…. « 

On peut aussi faire l’hypothèse que l’oxyde de graphène va capturer des électrons à la surface des globules rouges et modifier leur état de charge.

Initialement, les globules rouges possèdent une charge négative à leur surface ce qui attire des ions positifs. Cet état naturel provoque la répulsion entre les globules rouges et peut se mesurer grâce au potentiel zeta (exprimé en Volts). Si l’oxydes de graphène arrache des électrons de la surface des globules rouges, cela va altérer cette configuration électronique et cela pourrait ainsi diminuer la force de répulsion entre les globules.

Pour les scientifiques , ces hypothèses forment un puzzle et le graphène est au cœur de toutes les questions ouvertes.

La formation de tels rouleaux de globules rouges est un phénomène qui a déjà été observé par ceux qui étudient les effets des ondes électromagnétiques sur l’homme. Il a déjà été rapporté que les ondes électromagnétiques de notre environnement provoquent également cette formation de rouleaux.

https://magdahavas.com/electrosmog-exposure/mobile-phones-electrosmog-exposure/live-blood-cells-and-electrosmog/

Pour compléter cette section, un test rapporté par des médecins est le TEST D DIMERE Extrait de l’article de Jean-Dominique Michel

https://anthropo-logiques.org/viol-des-esprits-et-psychose-de-masse/

D dimère Témoignage de médecins qui ont constaté le problème

Une autre alerte tout aussi grave retentit de partout : les injections géniques conduisent un nombre important d’inoculés de tous âges et profils de risque à connaître une élévation vertigineuse du taux de D-dimères (produits de dégradation de la fibrine), marqueur sanguin de thromboses (et donc de troubles de la coagulation, phlébites, embolies ou caillots sanguins). Avec une caractéristique troublante : les mesures effectuées sur certains « vaccinés » (de 20% à 62% d’entre eux selon les sources) atteignent des seuils astronomiques en l’absence de tout symptôme habituel identifiable. Alors que le taux normal de D-dimères ne doit pas dépasser 500, et qu’un taux de 2’500 est habituellement considéré comme grave et requérant une hospitalisation immédiate, nombre de personnes testées atteignent des valeurs allant jusqu’à 7’500, provoquant la stupeur des médecins et des laboratoires.

Ce qui laisse redouter des effets graves et même une mortalité importante à un horizon de quelques mois : l’explosion de micro-caillots dans le sang ne peut qu’endommager de manière irréversible les capillaires sanguins dans lesquels ils s’accumulent in fine, en particulier dans le cerveau. D’où l’appel pressant de ces médecins, invitant tous les injectés géniques à tester au plus vite leur niveau de D-dimères.

Témoignages de médecins





15ème numéro de « Science en Conscience » pour ReinfoCovid, Jérémie Mercier reçoit le médecin généraliste luxembourgeois Benoît Ochs,



La portée de ces découvertes

La prise en compte du biomagnétisme et la découverte de nanoparticules dans les vaccins sont 2 découvertes fondamentales.

De graves questions se posent :

Comment expliquer qu’un toxique se trouve présent dans des injections biologiques. ?

Pourquoi ces informations sur les nanoparticules non déclarées ne sont-elles pas relayées et diffusées au plus grand nombre. ?

Lorsque l’on voit que le grand public ignore tout ce qui découle de ces 2 découvertes, on prend réellement la mesure du lavage de cerveau qui opère dans notre monde.

Qui réalise vraiment ce que cela signifie ?

Les découvertes fondamentales sont susceptibles de provoquer une révolution dans la manière de penser. Comme lorsque Galilée a pointé une lunette astronomique vers Jupiter et a observé, pour la première fois, des lunes qui lui tournaient autour. Il a compris que tout ne tournait pas autour de la Terre et une révolution copernicienne était en marche. Après plusieurs années de combat, notamment contre l’Eglise, la révolution copernicienne a vu le jour et les planètes ont tourné autour du Soleil.

Au vu de ce qui précède, c’est bien quelque chose de fondamental qui s’est dévoilé cet été avec l’observation du biomagnétisme et les diverses nanoparticules qui n’ont rien à faire dans ce qui a été nommé ¨vaccin¨ .

Depuis longtemps, on sait que les microparticules sont des corps étrangers qui vont provoquer des maladies de dégénérescence et que l’organisme va les combattre.

A présent, il faudra prendre en compte les risques liés aux nanoparticules. Le docteur José Luis Sevillano de laquintacolumna a présenté une comparaison entre les divers effets produits par la Covid 19 et les divers effets possibles provoqués par une intoxication au graphène :

Effets produits par le Covid 19 Effets provoqués par une intoxication due à une nanoparticule
Thrombose, coagulation du sang Thrombose, coagulation du sang
Inflammation des tissus Inflammation des tissus
Altération du système immunitaire Altération du système immunitaire
Tempête de cytokines Tempête de cytokines

[Ndlr : des ondes électromagnétiques pulsées sur une porteuse de la gamme des micro-ondes ou des ondes millimétriques, comme pour le Wi-Fi, la 4G et la 5G, tendent à produire aussi au moins une partie de tels symptômes. Voir le Dossier 5G et ondes pulsées.]

Face à une agression de type chimique par des nanoparticules d’oxyde de graphène, le système immunitaire va tenter de s’attaquer à ces particules et provoquer une réponse immunitaire très semblable, voire identique, à la réaction face à un pathogène type viral.

Le Dr. Sevillano a d’ailleurs soulevé une question intéressante. Comment un virus peut-il développer une pneumonie bilatérale ? N’est-il pas établi qu’un virus va affecter les tissus à partir d’un foyer et qu’il ne va pas affecter les 2 poumons simultanément ? Autrement dit, est-il cohérent d’attribuer à un virus une pneumonie bilatérale ?

Pour celui qui voit là une incohérence, il faut bien chercher une autre explication.

L’explication alternative avancée par l’équipe de la quintacolumna est que certains patients (et peut-être la grande majorité ? ) sont affectés par un syndrome de rayonnement aigu SRA ( ou ARS Acute Radiation Syndrom).

Un article fondamental qui supporte cette théorie

https://meridian.allenpress.com/radiation-research/article/195/1/1/446280/Commonalities-Between-COVID-19-and-Radiation

Au fur et à mesure que les composants multisystémiques de COVID-19 émergent, des étiologies parallèles peuvent être établies entre l’infection par le SRAS-CoV-2 et les radiolésions. Alors que certaines personnes infectées par le SRAS-CoV-2 se présentent comme asymptomatiques, d’autres présentent des symptômes bénins pouvant inclure de la fièvre, de la toux, des frissons et des symptômes inhabituels tels qu’une perte du goût et de l’odorat et une rougeur des extrémités (par exemple, « orteils COVID », suggestifs des dommages aux microvaisseaux).

…..

Il est intéressant de noter que des années de recherche dans le domaine de la radiobiologie documentent la nature multiorganique complexe d’un autre état pathologique qui survient après une exposition à de fortes doses de rayonnement : le syndrome de rayonnement aigu (SRA). L’inflammation est un acteur commun clé dans COVID-19 et ARS, et entraîne les dommages multi-systèmes qui modifient considérablement l’homéostasie biologique. Les deux conditions déclenchent une tempête de cytokines, avec une augmentation des molécules pro-inflammatoires similaires et une diminution des autres molécules anti-inflammatoires. Ces changements se manifestent de diverses manières, avec un impact manifestement plus élevé sur la santé des patients ayant des problèmes de santé sous-jacents.

….

L’impact humain potentiellement dramatique de l’ARS a guidé la science qui a identifié de nombreux biomarqueurs de l’exposition aux rayonnements, établi des stratégies de gestion médicale pour les SRA et a conduit à l’élaboration de contre-mesures médicales à utiliser en cas d’urgence radiologique de santé publique. Ces efforts peuvent maintenant être mis à profit pour aider à élucider les mécanismes d’action des blessures COVID-19. De plus, cette intersection entre COVID-19 et ARS peut indiquer des approches qui pourraient accélérer la découverte de traitements pour les deux. …

Dans cette revue, nous décrivons les parallèles observés entre COVID-19 et les effets biologiques des lésions dues aux rayonnements qui incluent des composantes immédiates et à long terme : le syndrome de rayonnement aigu (SRA) et les effets retardés de l’exposition aiguë aux rayonnements (DEARE).

Coronavirus ou Syndrome du Rayonnement Aigu ?

Pour aller plus loin, nous pouvons comparer 2 équations bien distinctes :

Equation 1

Nouveau virus + nouveau vaccin = retour à la vie d’avant

Equation 2

Introduction de graphène partout + activation ondes radio = un nouveau monde

Analysons ces équations de manière méthodique.

Nouveau virus :

Même si le coronavirus a colonisé les esprits, les questions de l’origine et de l’existence même du virus se posent. Robert Young a ouvert le débat en demandant au Center for Desease Control (CDC aux Etats-Unis) la confirmation que le virus avait bel et bien été isolé. Le Dr. Robert Young doutait du fait que l’on avait vraiment isolé le virus a posé la question au CDC en utilisant le ¨freedom information act¨.

La réponse de cette haute institution est claire et définitive :

PERSONNE N’A JAMAIS ISOLÉ, PURIFIÉ ET/OU VÉRIFIÉ SCIENTIFIQUEMENT ET PROUVÉ L’EXISTENCE DE TOUT VIRUS À TOUT MOMENT, À TOUT ENDROIT, PARTOUT DANS LE MONDE !

https://www.drrobertyoung.com/post/cdc-now-admits-no-gold-standard-for-the-isolation-for-any-virus?fbclid=IwAR2RylFrVu30xj3836v0rlSvK4PRtdyZPfmTsEzRcMJ3jgNYMLpsyhsmE7g

La même question a été posée à des institutions à travers le monde avec toujours la même réponse. Voir l’annexe 3 avec la liste des 87 institutions qui ont été questionnées autour du monde.

Pour confirmer ce qui précède, il vaut la peine de comprendre ce que sont les méthodes de purification utilisées en biologie.

Stefano Scoglio montre dans l’article suivant comment on a fourvoyé la science en détournant purement et simplement le sens fondamental du terme ¨isoler¨

En physique ou en chimie, isoler une particule ou une molécule veut dire la séparer du reste.

Scoglio explique qu’il n’en va pas de même en biologie.

Scoglio a commencé en mars 2020 à dénoncer que le prétendu isolement du SARS-Cov2, réalisé principalement par l’équipe du Chinese Center for Disease Control (CCDC) sous le nom de Zhu N. et al. n’était pas du tout un isolement, car il n’y a pas eu de purification du virus, mais seulement la culture sur des cellules rénales de singe du fluide broncho-alvéolaire de certains patients atteints de pneumonie :

https://agenparl.eu/covid-scoglio-candidato-nobel-medicina-2018-la-questione-dellisolamento-del-virus-e-della-sua-patogenicita-secondo-la-legge-dei-cinque-postulati-di-koch/

Covid, Scoglio : La question de l’isolement du virus et de sa pathogénicité selon la loi des cinq postulats de Koch.

En microbiologie il existe une règle d’or, le postulat de Koch, développé par le microbiologiste allemand Robert Koch :

  1. l’agent présumé responsable de la maladie en question doit être présent dans tous les cas de cette maladie constatés ;
  2. il doit être possible d’isoler le microorganisme de l’hôte malade et de le faire croître en culture ;
  3. chaque fois qu’une culture du micro-organisme est inoculée à un hôte sain, la maladie se reproduit ;
  4. l’organisme doit pouvoir être à nouveau isolé de l’hôte infecté expérimentalement ……

En conclusion, le virus SARS-Cov2 n’a jamais été isolé au sens commun du terme. Les virologues se sont habitués à appeler « isolement » ce qui est la culture du surnageant du liquide centrifugé du patient sur des cellules rénales de singe ; mais appeler une chose pour une autre n’en fait pas ce qu’elle prétend être.

Puisque le virus n’a jamais été isolé, toute autre discussion sur la pathogénicité du virus, ou sa capacité à générer une pneumonie Covid, ainsi que tous les tests qui prétendent rechercher le virus, et enfin tout vaccin qui veut vaincre le virus, ne sont que des géants aux pieds d’argile, complètement dépourvus de tout fondement scientifique.

Et pour clore en revenant au début et en refermant la boucle, nous avons vu comment la possibilité de déclarer qu’un micro-organisme provoque une pathologie doit se fonder sur les postulats de Koch. Eh bien, ce sont les chercheurs chinois eux-mêmes qui déclarent, à la fin de leur étude : « Bien que notre étude ne satisfasse pas aux postulats de Koch… » [15]

Vidéo en italien du Dr. Stefano Scoglio, Ph.D.

https://www.youtube.com/watch?v=5z5ZWfZf11Y


[Ndlr : les annexes n’étaient pas présentes dans le document fourni. Cependant, les articles suivants fournissent des informations et des hypothèses complémentaires :
À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène?
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Sur les « virus », leur non isolement, la contagion… :
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Déclaration sur l’isolement des virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Épidémies et contagions
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Le culte de la virologie – Documentaire
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]




Maître Brusa a fait confirmer par constat d’huissier la présence de code alphanumérique chez les vaccinés. MàJ

[Source : L’Informateur. (qactus.fr)]



[Mise à jour : vidéo plus complète en deux parties]

@freddkrespect

♬ son original – freddkrespect


@freddkrespect

♬ son original – freddkrespect





Les biotechnologies préfigurent-elles la fin de l’humanité ?

[Source et auteur : Marguerite Rothe]

Je vous relaye aujourd’hui une série de trois vidéos qui totalisent 5 heures de visionnage. C’est un travail de transmission de l’information remarquable. L’auteur (sa chaîne vidéo @Pigeon_Pige-TouT_Traduction ; son site, une mine ! pigeonpigetout.fr) a compilé des bouts d’émissions, de conférences, d’entretiens, d’infos, traitant de près ou de loin (mais toujours avec beaucoup de pertinence) de ce qui se fait, s’expérimente, s’enseigne en matière de sciences : humaines, technologiques, biotechnologiques, de la médecine, de l’intelligence artificielle, etc. 

Toutes ces informations ne sont pas secrètes et l’on peut les trouver grâce à Internet. Mais pour cela, il faut avoir les bonnes clés ; les bons mots-clés, pour faire cracher leurs infos aux moteurs de recherche qui sont aujourd’hui de plus en plus bétonnés par des algorithmes de censure. Dites-vous bien que Gogole n’est pas votre ami, parce que c’est exactement le contraire.  

Ceux qui veulent s’emparer du monde, de nos vies, ne veulent pas que nous soyons informés. Pourquoi ? Parce que selon leur philosophie, la populace, du fait de son niveau d’intelligence peu élevé, n’a pas à connaître le degré des avancées scientifiques actuelles ; mais surtout, ils ne veulent pas prendre le risque que des gens plus intelligents et meilleurs qu’eux puissent avoir l’occasion de renverser leur tyrannie. 

Comprenez bien que lorsque ces gens-là parlent de médicaments et de traitements qui vont profiter à l’humanité, ce n’est pas vrai. Cependant, ils ont besoin de cobayes, et ces cobayes, c’est nous. L’injection expérimentale planétaire que nous subissons depuis maintenant plus d’un an le prouve amplement. Pourquoi désireraient-ils soigner l’humanité, si leur croyance absolue et leurs actions ne visaient pas à une réduction drastique de la population ? 

Les sciences sont très avancées. À un point que nous ne sommes pas capables de l’imaginer, tant nous sommes maintenus dans l’ignorance. Le documentaire Thrive nous en dit long, sur ce sujet. Il est passionnant, et je vous le recommande également chaudement !

©Marguerite Rothe


Partie 1

• 1) 5:13->7:15 :
Nanoparticles based drug delivery in the fight against cancer (nouvelle traduction)
https://www.youtube.com/watch?v=aFU5Qx-cLu8
• 2) 7:15->8:50 :
Journey Into Nanotechnology (nouvelle traduction)
https://www.youtube.com/watch?v=jC8CUIID2HA
• 3) 8:50-> 10:43 :
Extrait d’une conférence de Sakhrat Khizroev « Meet Technobiology’s Wireless Messenger: The Nanoparticle » (nouvelle traduction)
https://www.youtube.com/watch?v=qcDnFK7iOoY
• 4) 10:43->11:53 :
Extrait de « Nanoparticules : un nouveau scandale sanitaire ? »
https://www.youtube.com/watch?v=9I4D5jiaiBw
• 5) 11:53->13:48 :
Nano particles potentially harmful (nouvelle traduction)
https://www.youtube.com/watch?v=9zspCb5mETc
• 6) 13:48->16:50 :
Extrait de « Qui Fabrique du Mensonge ? »
https://www.infovf.com/video/2021-027-qui-fabrique-mensonge–8057.html
• 7) 16:50->17:30 :
Jean-François Saluzzo expert en vaccination:  » Il y a des traceurs GPS dans le vaccin »:
https://odysee.com/@LeSentierdelaCroixGlorieuse:9/covid-19-jean-fran-ois-saluzzo-expert-en:7
• 8) 17:30->18:22 :
Extrait d’une conférence de Alasdair Allan : « L’inévitabilité de la poussière intelligente » (nouvelle traduction)
https://www.youtube.com/watch?v=wnnWrLt_RCo
• 9) 18:22->25:15 :
Extrait du documentaire « Spacebuster » (nouvelle traduction) :
https://odysee.com/@SMALEC:3/Once-were-the-Living:b?&sunset=lbrytv
• 10) 25:15->31:15 :
Dr James Giordano : conférence complète récemment traduite par Jeanne Traduction :
https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/James-Giordano:7
• 11) 31:15->36:00 :
Russian hacker – vaccinated are tracked in real time (nouvelle traduction) :
https://odysee.com/@Adverse:c/hackercovid:0
• 12) 36:00->39:00 :
Agora TV – Brevet microsoft : Nanotechnologie, 5G et cryptomonnaie :
• 13) 39:00-> 50:10 :
Strange Objects : Fascinating Pfizer Vaccine Microscope (nouvelle traduction)
https://odysee.com/@TimTruth:b/Comirnatyphotos-1:f
https://odysee.com/@TimTruth:b/Moderna-vaccine-microscope:7
• 14) 50:10->55:11 :
Carrie Madej sur l’avancée technologique qu’on nous cache (nouvelle traduction) :
https://www.bitchute.com/video/idVX5LTyg15z/
• 15) 55:11->fin :
Du graphène dans votre circulation sanguine pour vous surveiller de l’intérieur, à des fins médicales bien entendu (nouvelle traduction)


Partie 2

• 1) 5:03->6:30 :
Des scientifiques espagnols ont rendu possible que le graphène soit magnétique dans le corps :
https://odysee.com/@MysteriaTV:8/2013-GRAPH%C3%88NE-MAGN%C3%89TIQUE-DANS-CORPS-HUMAIN:d
• 2) 6:30->12:15 :
Du graphène dans les masques, test pcr et vaccins covid :
https://odysee.com/@Pigeon_Pige-TouT_Traduction:6/ENTOURLOUPE_LOUPEE:4
• 3) 12:15->13:27 :
Tim Truth : Des parasites dans les masques et sur les tests PCR ? (nouvelle traduction)
https://odysee.com/@TimTruth:b/Blackstrandsupdate-1:8
• 4) 13:27->15:01 :
Tiny Robot Works Inside Human Body (nouvelle traduction):
https://www.youtube.com/watch?v=JWFgMsA0uqs
• 5) 15:01->19:35 :
La marche des Nanorobots :
https://odysee.com/@MysteriaTV:8/NANOROBOTS:70
• 6) 19:35->22:54 :
Extrait d’une vidéo de Hugo Talks sur la magnéto génétique (nouvelle traduction)
https://odysee.com/@hugotalks:8/MAGNETS,-What-Is-Going-On-Hugo-Talks–lockdown:b
• 7) 22:54->26:57 :
Informations sur le ferrofluide (nouvelle traduction) et son interaction possible avec la lumière UV :
https://www.bitchute.com/video/dy5roiCXUF3l/
https://www.bitchute.com/video/XyWEre2qpwyd/
https://www.youtube.com/watch?v=fK7Tk8g6Ebg
• 8) 26:57->28:26 :
Parenthèse sur la SM-102 Luciferase (nouvelle traduction) :
• 9) 28:26->29:22 :
Des souris poussées à tuer par des lumières laser de contrôle mental (nouvelle traduction ):
https://www.youtube.com/watch?v=42bLSZnVf0g
• 10) 29:22->32:41 :
La Teslaphorèse présentée par l’Université Rice (nouvelle traduction ) :
https://odysee.com/@NeilT:f/Nanotubes-assemble–Rice-introduces-Teslaphoresis:1
• 11) 32:41->39:46 :
Du ferrofluide en musique (nouvelle traduction) :
• 12) 39:46->43:40 :
De l’oxyde de graphène sur la plage (nouvelle traduction) :
https://odysee.com/@Ilsesttempsd’observerlav%C3%A9rit%C3%A9enface:b/Plage-de-Graph%C3%A8ne-:3
Du black goo tombé du ciel ?
Du graphène dans les flaques après une averse
• 13) 43:40->44:55 :
Extrait de la découverte du Docteur Z.Botha : Un assemblage de disques noirs dans les vaccins covid (nouvelle traduction) :
https://rumble.com/vnbgal-never-before-seen-blood-doctor-reveals-horrific-findings-after-examining-vi.html
• 14) 44:55->48:34 :
Plus sur la découverte du Dr Z.Botha (nouvelle traduction) :
https://rumble.com/vneorx-vaxx-vials-breaking-development-discs-carry-mystery-payload.html
• 15) 48:34->53:34 :
Matière programmable, Claytronics, C-atoms (Computerized Atoms) (NouvelleS traductionS) :
https://www.bitchute.com/video/omxs0sFqscS6/
https://www.youtube.com/watch?v=JN7BUKb0OIA
https://www.youtube.com/watch?v=ZqHfHIi2sRQ
• 16) 53:34->57:24 :
Extrait de Karen Kingston sur la découverte du Dr Z.Botha (nouvelle traduction) :
https://rumble.com/vnsi1x-receipts-patents-expose-medical-devices-in-jab-injectable-computing-system.html
• 17) 57:24->1:03:52 :
Contenu du vaccin Janssen au microscope :
https://odysee.com/@laquintacolumna:8/CONTENIDODELAVACUNAJANSSENLAQUINTACOLUMNA:c
• 18) 1:03:52->1:07:37 :
Dr Stefano Montanari sur la technologie comprise dans les vaccins
• 19) 1:07:37->1:10:20 :
Les Expériences de Contrôle Mental du Dr. José Delgado
https://odysee.com/@MysteriaTV:8/DELGADO-FR-2-LONGUE-VERSION:4
• 20) 1:10:20->1:12:58 :
Le CDC prépare à une invasion zombie (nouvelle traduction) :
https://www.cdc.gov/cpr/zombie/index.htm
Amazon mentionne cette référence du CDC dans ses conditions d’utilisation (paragraphe 42 : 10) :
https://d1.awsstatic.com/legal/awsserviceterms/AWS_Service_Terms_French_Translation.pdf
Les news en parle :
https://www.youtube.com/watch?v=ZdvaZEwM6B4
https://www.youtube.com/watch?v=lQ17blQmEIc
• 21) 1:12:58->1:17:35 :
Parenthèse sur l’influence des champs électromagnétiques
https://odysee.com/@Pigeon_Pige-TouT_Traduction:6/LA5GSING%C3%89E:1
https://odysee.com/@Pigeon_Pige-TouT_Traduction:6/LE-MAL-ALPHA-BETA-GAMMA-3:7
http://coronafolie.unblog.fr/2021/07/01/le-gouvernement-americain-publie-accidentellement-des-documents-sur-le-controle-mental-electromagnetique-dans-une-demande-foia/
https://patentimages.storage.googleapis.com/e2/4e/f9/3d4d57e738f8c2/US6506148.pdf
• 22) 1:17:35->1:28:05 :
Des militaires russes s’expriment sur la technologie des vaccins covid 19 :
https://www.bitchute.com/video/TXV8uC6I9og7/
• 23) 1:28:05->1:37:09 :
Travaux de Michael Persinger et nanotechnologies associées :
https://odysee.com/@Miniver:4/amzpolly:5
• 24) 1:37:09->1:38:24 :
Docteur Pierre Gilbert sur le contrôle mental par la vaccination (1995) :
https://odysee.com/@samo42:e/bandicam-2021-04-07-17-13-54-707:f
• 25) 1:38:24->fin :
Les Rockefeller travaillent sur le contrôle mental par les champs magnétiques :
La présentation complète de Spiro (ce n’est que la dernière partie ici)
https://freeworldnews.tv/watch?id=6139f2b4cce8911609f37428
La documentation des Rockefeller « Allumer/éteindre un interrupteur dans la tête » :
http://www.luttedeclasse.org/dossier62/FEM_controle_population_01042017.pdf


Partie 3

• 1) 5:05->8:21 :
A Microchip that Breathes – Bionic Cells | Horizons | BBC Studios (nouvelle traduction) :
https://www.youtube.com/watch?v=zHkzl5AV-_U
• 2) 8:21->20:55 :
Dr Erik Enby – Organism living inside pfizer vaccine (nouvelle traduction) :
https://odysee.com/@TimTruth:b/Dr-erik-enby-pfizer-vaccine:0
• 3) 20:55->28:50 :
Les découvertes de Carrie Madej sur l’Hydra Vulgaris :
https://tvs24.ru/pub/watch/5106/vaccin-moderna-des-meduses-dans-les-doses-dr-carrie-madej/
• 4) 28:50->30:19 :
XtremeRealityCheck sur l’HydraVulgaris (nouvelle traduction) :
https://www.bitchute.com/video/omxs0sFqscS6/
• 5) 30:19->31:45 :
Parenthèse sur les cellules souches – Dr Charles Morgan (nouvelle traduction) :
https://www.youtube.com/watch?v=cTtIPBPSv0U
• 6) 31:45->36:04 :
Hydra Vulgaris : vers un système nerveux immortel (nouvelle traduction) ?
• 7) 36:04->41:27 :
Dr Jane Ruby parle de la découverte du Dr Franc Zalewski (nouvelle traduction) :
https://rumble.com/vnslor-jab-scientist-discovers-hatching-eggs-parasites-birthed-after-injection.html
• 8) 41:27->52:35 :
Dr Franc Zalewski découverte un organisme synthétique tentaculaire dont les œufs sont nourris par le graphène (nouvelle traduction) :
https://www.bitchute.com/video/7tBUaWbEXO83/
• 46:30->46:45 :
Parenthèse sur les chercheurs espagnols qui parlent de faire « pousser des neurones(synthétique) » sur le graphène :
https://odysee.com/@MysteriaTV:8/2013-GRAPH%C3%88NE-MAGN%C3%89TIQUE-DANS-CORPS-HUMAIN:d
• 9) 52:35-> 56:09 :
Microsoft veut faire de votre ADN un matériel programmable :
https://odysee.com/@MysteriaTV:8/MICROSOFT-ADN-SYST%C3%88ME-OP%C3%89RATIF:9
• 10) 56:09->58:31 :
Ray Kurtzell sur la création d’un cerveau synthétique virtuel et notre connexion à ce cerveau (nouvelle traduction) :
https://www.bitchute.com/video/cHSWHAGmZuUe/
• 11) 58:31->1:09:15 :
Organisme tentaculaire et construction d’un réseau dans le sang des vaccinés (nouvelle traduction) :
https://www.bitchute.com/video/omxs0sFqscS6/
• 1:00:03->1:04:09 :
Dr Peggy : https://freeworldnews.tv/watch?id=6140ef212dd08a286a628da2
Hydrogel : https://www.bitchute.com/video/PJe5MTWCV3OK/
• 13) 1:09:15->1:11:05 :
Nanostructures (Samuel Stupp) :
https://www.youtube.com/watch?v=FO0mzNIzf6U
• 14) 1:11:05->1:17:35 :
Suite des découvertes de Carrie Madej sur l’Hydra Vulgaris : un système de communication parallèle dans le corps humain ? (nouvelle traduction)
https://rumble.com/vnzy9f-shocking-dr.-carrie-madej-releases-first-look-at-pfizer-vial-contents.html
• 15) 1:17:35->1:44:25 :
Bryan Kofron/Steve Hoffman/Roger Tolces/George Church sur l’ultime arme de contrôle mental :
https://odysee.com/@Pluton-Nix:3/ADN—%C3%89nergie-Dirig%C3%A9e-Bio-cod%C3%A9e—Lecture-des-Pens%C3%A9es—Fr%C3%A9quence-de-R%C3%A9sonance—Bryan-Kofron—2020:1
Voir aussi : https://www.bitchute.com/video/T6cGSP1shRLo/
• 16) 1:44:25->1:46:10 :
Vexille : Programmation Prédictive (nouvelle traduction)
• 17) 1:46:10->1:46:52 :
Comment Moderna Parle de son vaccin sur son site internet (nouvelle traduction) :
https://www.modernatx.com/mrna-technology/mrna-platform-enabling-drug-discovery-development
• 18) 1:46:52->1:51:09 :
Les premiers bébés OGM (nouvelle traduction) :
https://www.bitchute.com/video/a6aBpi3GOAmD/
https://odysee.com/@Nazimagazine%C2%AE-News:2/bebe549:9
https://odysee.com/@FlowerPower:b/Pandemic-babies:d
• 20) 1:51:09-> 1:57:50 :
Les humains modifiés génétiquement sont brevetables (1 nouvelle traduction, la première n’est pas de moi) :
https://odysee.com/@ExcaliburTraduction:4/Court-Supr%C3%AAme-Usa—Proprit%C3%A9-Du-Genome-Humain-Wl–1:2
Le PDF de la Supreme Court of the US :
https://www.supremecourt.gov/opinions/12pdf/12-398_1b7d.pdf
• 21) 1:57:50 -> Vers une nouvelle race ?




La solution finale. Numérisation complète. « La codification QR du monde »

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Peter Koenig

Imaginez que l’humanité déciderait un jour – très bientôt – d’arrêter de porter des masques. À l’unisson : pas [de masques] dans la rue, pas dans les restaurants, pas dans les magasins, pas dans les événements sportifs – tout simplement nulle part. Contre tous les ordres d’une bonne partie des 193 gouvernements membres de l’ONU, ou du moins des gouvernements occidentaux. Et, en effet, contre l’ensemble du système des Nations Unies – contre les ordres de M. Antonio Guterres, lui-même. Oui, en effet. Beaucoup d’agences des Nations Unies, pas encore toutes, ont commencé à rendre obligatoire l’injection pour leur personnel… ou autres.

Comment se fait-il que tout le monde n’ait pas encore pensé que quelque chose ne va pas ? Qui va très mal. Se peut-il qu’il s’agisse simplement de la dissonance cognitive ? Vous savez qu’il y a quelque chose qui ne va pas du tout, mais le confort de votre maison ne vous permet pas de l’admettre ? C’était le cas dans le Troisième Reich, cela a mis en avant la tyrannie d’Hitler. Le reste appartient à l’histoire.

L’alternative à envisager serait que tous ceux qui ont décidé de ne pas se faire injecter s’en tiennent à leur décision et la rendent publique. Ils défient les ordres totalement illégaux et inconstitutionnels du gouvernement, le système de l’ONU qui reçoit leurs ordres de l’obscur culte invisible menaçant de mort ceux qui refusent d’obéir.

Il faut s’imaginer que personne n’écouterait ces ordres absurdes et anticonstitutionnels, pas même la police, ni l’armée – les deux institutions chargées d’appliquer la loi se rangeraient du côté du peuple – ce même peuple dont ils ont juré de défendre les droits.

En fait, cela s’est produit plus d’une fois dans le monde, là où la brutalité policière était particulièrement importante, un groupe de policiers de première ligne a soudainement enlevé leur casque et marché avec le peuple – en France, en Allemagne, en Autriche, en Italie, en Suisse et ailleurs. Dernièrement, une situation similaire s’est probablement manifestée dans l’État de Victoria, en Australie, où les habitants de Melbourne sont littéralement confinés depuis des mois.

Une policière a démissionné et s’est présentée sur le devant de la scène en donnant des entrevues et en révélant que la majorité de ses collègues pensent de la même façon, mais ils ont peur de perdre leur emploi et / ou d’être punis par le gouverneur tyrannique de Victoria. C’est un bon début. Regardez ce reportage.

Cela doit se produire à l’unisson. Dans la solidarité. Dans la plupart des pays européens, vous n’êtes pas le droit d’aller au restaurant ou à tout événement public à moins que vous ne puissiez présenter le votre preuve de vaccination anti-Covid (certificat vaxx) – un infâme code QR sur votre téléphone portable, qui sera lu par un autre téléphone portable, programmé pour lire votre QR-code.

Photo : Manifestation à Montréal, le 30 octobre 2021, par Micheline Ladouceur

Vous n’avez aucune idée de ce qui est ou de ce qui sera éventuellement mis sur ce code QR. L’objectif est d’obtenir tous vos renseignements personnels, votre dossier médial complet, votre casier judiciaire, en passant par vos comptes bancaires – tout sur vous en fait. Mais cela sans que vous soyez au courant. Vous ne pouvez pas lire ce qui se trouve sur le code QR. « Eux », « ils » le peuvent, car il est programmé de cette façon.

En fait, l’objectif est d’implanter ce code QR dans votre corps. C’est à peu près ce que Klaus Schwab a fièrement dit dans un bref entretien (environ 2 minutes de vidéo ci-dessous) avec la télévision suisse française en 2016. Il présente les choses comme suit :  : les humains deviendront des « transhumains ».

Vidéo : Vers la tyrannie numérique avec Peter Koenig



La vidéo a depuis été « vérifiée » (“fact-checked”) sur Internet. M. Microsoft, Bill Gates, a en fait parlé d’un système d’exploitation (Operating System) implanté dans le corps humain. Ainsi, nous, les humains, devons avoir un corps capable de répondre aux ondes électromagnétiques, en d’autres termes, notre corps doit être transformé en champs électromagnétiques (CEM). Cela se fait, par l’ARNm- « vaccin » (« vaxx)  qui est injecté dans les tissus de notre corps.

Avez-vous remarqué que Pfizer et Moderna, les deux sociétés pionnières  de l’ARNm – qui n’est absolument pas un vaccin, vous feriez mieux de le croire – sont-elles les seules compagnies à avoir obtenu l’autorisation en Occident ? Ils ont maintenant ajouté AstraZeneca et Johnson & Johnson – ces « vaccins » ne sont différents que dans la mesure où leur mécanisme de « mise à mort » est différent.

Ces « vaccins » produisent également des caillots sanguins et des protéines de pointe (protéine Spike). Les premiers peuvent entraîner des blocages respiratoires allant jusqu’aux embolies du poumon, du cerveau, voire du cœur. La protéine de pointe se propage à toutes vos cellules. Ils finissent par attaquer votre système de défense immunitaire, vous rendant beaucoup plus vulnérable à tout type de maladie, en particulier aux cancers. Pourquoi n’autorisent-ils pas le Spoutnik V russe ou l’un des vaccins chinois, tous deux basés sur des méthodes de vaccination traditionnelles ?

Les Russes et les Chinois ne travaillent pas pour le programme de réduction de la population.

Voyez cette histoire / vidéo d’horreur bien documentée par le Dr Madej : Dr. Carrie Madej: First U.S. Lab Examines “Vaccine” Vials, Horrific Findings Revealed (Dr Carrie Madej : Premier États-Unis Le laboratoire examine les flacons « vaccins », des résultats horribles révélés). Non, ce n’est pas pour effrayer qui que ce soit. C’est pour apporter la réalité dans le confort de votre maison et, espérons-le, vous jeter hors de votre confort dans un monde auquel vous et tout le monde devez participer à la résistance.

Savez-vous que les vaccins d’ARNm vous injectent du graphène, un fluide hautement toxique, qui crée dans tout votre corps un champ électromagnétique (CEM), réceptif aux ondes courtes ultra-courtes 5G et bientôt 6G qui pourront éventuellement manipuler votre cerveau et toutes vos informations, maintenant progressivement stockées sur votre QR-code personnalisé, vous transformant, humain, en – selon les mots de Klaus Schwab, un « transhumain » – qui n’est plus en possession de sa propre volonté ou de son compte bancaire ?

Votre argent, soit dit en passant, si vous ne l’avez pas déjà remarqué, ne sera bientôt plus de l’argent physique que vous pourrez toucher et remettre à un caissier ou à un fournisseur, mais il s’agira de toute l’argent électronique et numérique, sur lequel vous pouvez toujours avoir le contrôle, parce qu’ils vous le permettent. Mais une fois qu’ils auront décidé que vous devez abandonner le contrôle, il disparaîtra.

Avez-vous remarqué à quelle vitesse les distributeurs automatiques disparaissent ? Comment les caissiers dans les banques disparaissent? Ils ne seront bientôt plus nécessaires, car vous ne contrôlez plus l’argent liquide. Il y a des pays d’Europe du Nord qui en sont presque là : la numérisation complète. Dans certains pays, dont la Suède, certaines personnes ont déjà volontairement laissé implanter une nanopuce sous la peau de leur poignet. La puce fonctionne comme un compte bancaire intégré. Les jeunes adorent ça. C’est tellement cool. Vous balayez votre main, même plus de carte et le paiement est effectué. Sauf que ces personnes n’ont aucune idée de la façon dont cela se déroulera dans le futur.

Attention, cela ne s’applique qu’aux personnes qui survivent à la fausse vaccination – ou plutôt à la campagne d’inoculation. Parce que, savez-vous, que beaucoup plus de personnes sont mortes et meurent encore en recevant le vaccin-ARNm toxique que de la covid elle-même ? – Non, bien sûr que non. Le gouvernement et les grands médias ne vous en parleront pas. Les HARSAH reçoivent des milliards de dollars des gouvernements pour vous mentir.

Donc, tout ce qui précède ne s’applique qu’aux personnes qui survivent aux inoculations à long terme. Parce qu’il y a de fortes chances que vous ne surviviez pas. Du faux vaccin, pas du covid. Voir la vidéo en anglais : A Final Warning to Humanity from Former Pfizer Chief Scientist Michael Yeadon (Vidéo : Un dernier avertissement à l’humanité de l’ancien scientifique en chef de Pfizer Michael Yeadon).

Revenons au port du masque. C’était la première étape – dans la phase du verrouillage (Lockstep) – souvenez-vous du rapport Rockefeller 2010 – où les auteurs décrivent la « phase Lockstep« , ce qui signifie que les 193 pays membres de l’ONU les 193 pays membres de l’ONU font la même chose au même moment, le verrouillage (en « lockstep ») ? – Eh bien, nous avons déjà dépassé cette phase.

Cette phase Lockstep permet à chaque gouvernement du monde d’ordonner à son peuple de porter des masques, partout. La science (non corrompue) a prouvé depuis longtemps que le port du masque ne prévient ni le covid ni aucune maladie virale, mais cela cause d’énormes dommages en réduisant l’apport en oxygène de 20 à 50 %, selon le type de masque. Au lieu de cela, vous respirez votre propre CO2.

Mais ce n’est pas tout, les séquelles psychologiques causés par le port forcé d’un masque sont énormes. C’est une humiliation pure et simple; c’est une expérience pouvant mener à la dépression. Vous parlez aux gens, mais vous ne pouvez pas les reconnaître dans de nombreux cas, les voix sont étouffées, souvent difficiles à comprendre – et l’expression faciale qui en dit tant dans une conversation a disparu. Les dépressions ont explosé, tout comme les suicides. Mais les gouvernements et les grands média, bien rémunérés, ainsi que la « science corrompue » (bought science), ne parlent pas de ces effets désastreux.

À propos de la « science corrompue » : Beaucoup de gens ne peuvent tout simplement pas imaginer le monde corrompu que nous sommes devenus en l’espace de seulement deux décennies.

Mettons le début du compte à rebours au 11 septembre.

C’est à ce moment-là que les grands mensonges officiels ont commencé, et que la coercition des diseurs de vérité s’est installée. La plupart des scientifiques, de la police ou d’autres témoins de première main ont des familles, une carrière, un revenu stable. Ils ne veulent pas de « ennuis ». Et les ennuis peuvent aller du harcèlement à la perte d’emploi en passant par la mort. Ce n’est pas une blague. C’est ainsi que fonctionne le « système » aujourd’hui. Soit vous êtes dans la matrice et vivez une vie d’un certain confort, soit vous prenez la pilule rouge – et vous êtes seul.

Dernièrement,  le système a franchi une étape supplémentaire : l’internet, « la mine d’or » de toutes les informations, est soumis à une censure sévère.

Toutes les informations gênantes sont soit complètement supprimées, soit « vérifiées par les faits ». Si vous vérifiez qui est derrière les vérificateurs de faits (“fact-checked’), ce que la plupart des gens ne font pas, vous voyez qu’il s’agit de grands groupes d’intérêt, dans le cas du covid, principalement des produits pharmaceutiques, aidés par Bill Gates et compagnie. Il est donc de plus en plus difficile de trouver des informations crédibles.

Youtube vient de déclarer que toute information, aussi scientifiquement prouvée soit-elle, qui va à l’encontre du « récit officiel du changement climatique » sera supprimée. C’est si simple. Nous sommes ainsi contrôlés alors que la VÉRITÉ est dominé et manipulé par des intérêts privés.

Oui, le monde a besoin d’une Grande réinitialisation (Great Reset), mais non pas à la façon Klaus Schwab, pas non plus selon le FEM (Forum économique mondial) mais selon une conception issuet du peuple. C’est pourquoi la solidarité, et non la soumission, est si importante. Quand prendrons-nous conscience de cette réalité ?

Il y a néanmoins d’importantes exceptions. Aux États-Unis, au moins au Texas et en Floride et dans d’autres, États, principalement les États républicains, ne suivent pas le mot d’ordre de port du masque, ni toutes les conséquences qui l’accompagnent, comme les tests. Les gens sont libres de porter ou de ne pas porter le masque. La plupart ne le portent pas. Et le taux de contamination covid est en fait moins élevé que dans d’autres États, comme la Californie, où cette règle absurde est strictement appliquée. Peut-être que cette « moins grande incidence du covid », comme au Texas, va de pair, avec le nombre de personnes qui n’optent pas de se faire injecter. De plus, les rapports du gouvernement de l’État sont plus honnêtes que dans les États qui imposent le port du masque et injection.

C’est quelque chose à prendre en considération.

Pour augmenter la cadence de la peur – Bill Gates a déjà déclaré en 2018 qu’une maladie bien plus mortelle que le covid attend peut-être l’humanité, une épidémie de Marburg-R. Regardez ça.

C’est une fièvre hémorragique qui a été décrite pour la première fois en 1967, avec une brève épidémie qui a tué 376 personnes. Il est décrit comme étant à peu près aussi mortel qu’Ebola. Dans la vidéo ci-dessous se trouve un message de Kieran Morrisey – directeur de l’hôpital universitaire, Dublin, Irlande. Voir aussi ça de plus près.

Vrai ou faux ? Peu importe. Il est d’abord conçu pour inculquer la peur, et la peur, nous le savons maintenant, abaisse notre système de défense et nous rend vulnérables à obéir aux ordres – exactement ce que nous, en tant qu’humanité, devrions cesser de faire et de redevenir nous-mêmes : des êtres humains souverains.



L’étape suivante est la numérisation complète. La vaccination imaginaire qui est contrainte par quelque moyen que ce soit par l’administration Biden, qui est un excellent exemple pour de nombreux pays européens, et le QR-code progressent rapidement, sans même que les gens ne s’en rendent compte.

N’oubliez pas que l’Agenda ID2020 – également une invention de Bill Gates – bat son plein. Voyez ceci.

Il est maintenant testé en Afrique de l’Ouest, où des personnes se sont portées « volontaires » pour participer à un exercice dans lequel elles n’ont accès à leur argent que par le biais d’un « compte bancaire » implanté dans leur corps. Ce compte peut être et est contrôlé de l’extérieur. C’est une partie de ce qui nous attend en Occident lorsque la Grande réinitialisation se mettra en place. Voir aussi ceci (dernier tiers de la même vidéo que ci-dessus) Dr. Carrie Madej : Le premier laboratoire américain examine les fioles de « vaccins », des résultats horribles sont révélés (en anglais).

Dans une certaine mesure, ce système est également testé par certaines personnes en Suède qui ont volontairement implanté sous leur peau une puce. Peut-être plus encore, mais ils ne le savent pas.

C’est la future codification QR du monde.

Il faut donc être conscient de ce à quoi les codes QR sont réellement destinés, de ce qu’ils peuvent faire et feront à l’avenir, si nous ne les arrêtons pas. C’est toujours la même question. Nous devons être pleinement conscients de ce qui arrive – et nous devons nous libérer de la peur, nous devons devenir désobéissants et redevenir nous-mêmes. Nous devons revenir à ce que nous sommes depuis la naissance, des êtres humains souverains.

Nous n’avons pas de temps à perdre. Nous devons réagir rapidement.

Peter Koenig


Peter Koenig est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), où il travaille depuis plus de 30 ans sur l’eau et l’environnement dans le monde entier. Il donne des conférences dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour des revues en ligne et est l’auteur d’Implosion – An Economic Thriller about War, Environmental Destruction and Corporate Greed ; et co-auteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sneezes: From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis » (Clarity Press – 1er novembre 2020)

Il est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation

Lien vers l’article original :

The Final Solution. Full Digitization. “The QR Codification of the World”
By Peter Koenig, le 22 octobre 2021

Traduit par Maya pour Mondialisation

Image en vedette : Image du domaine public de la page COVID-Protest de Wiki.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Peter Koenig, Mondialisation.ca, 2021




Les soupçons de crime vaccinal anti-Covid se confirment

[Source : Kla.TV]

Des composants suspects dans les vaccins Covid, affaiblissement du système immunitaire, augmentation de la croissance des cancers ou formations de caillots sanguins en tant que réaction de l’organisme e à la vaccination Covid : voilà ce que révèlent les résultats des enquêtes menées par des pathologistes et des médecins du monde entier. Lors d’une conférence de presse tenue le 20 septembre 2021 à Reutlingen, des images et des faits impressionnants ont été présentés au public. Ces vaccinations par ARNm sont un crime contre l’humanité. Les avocats demandent donc un arrêt immédiat de la vaccination et ils réclament que la Cour pénale internationale de La Haye agisse.

« Mortalité due à la vaccination, aux composants non déclarés des vaccins Covid-19 », tel était le titre de la conférence de presse donnée par des pathologistes, médecins, scientifiques et avocats renommés, le 20 septembre 2021 à Reutlingen. Dans une présentation en direct de plus de trois heures, ils ont mis en évidence les dommages causés par la vaccination.

Leur conclusion est la suivante :

Il faut immédiatement arrêter les vaccinations Covid19 au lieu de les administrer maintenant aux enfants. Selon les avocats présents, le soupçon qu’il s’agit d’un crime a été confirmé.

Un spécialiste de la gestion de la qualité et des risques, le Prof. Werner Bergholz, a analysé les statistiques de la crise du COVID et a déjà présenté ses conclusions à deux reprises à la commission de la santé du Bundestag. Il a dit à la conférence de presse:

« On a un problème. »

« Entre 2000 à 2020, il y a eu à peu près 40 millions de vaccinations par an et environ 20 personnes sont décédées dans un laps de temps très court suite à la vaccination. Cette année, jusqu’au 31 juillet inclus,1 230 personnes sont décédées. »… « Il ne s’agit donc pas d’une légère augmentation. C’est une augmentation dramatique. »

[Ndlr : 20 morts en 20 ans pour 40 millions de vaccinations représentait un mort par an pour 2 millions de vaccinations classiques.
En comparaison, pour les pseudo vaccins anti-Covid, sur environ 18 mois et 240 millions de vaccinés, il y a eu plus de 15 000 décès signalés, ce qui correspond cette fois à 10 000 décès par an pour 160 millions de pseudo vaccinations, soit 125 morts pour 2 millions de personnes et donc environ 125 fois plus de morts avec ces pseudo vaccins anti-Covid qu’avec les vaccins classiques.]

Ce sont les chiffres pour l’Allemagne. En Europe, selon la base de données de l’EMA, on dénombre déjà plus de 14 000 morts en rapport avec la vaccination contre le Covid.

Le médecin légiste Prof. Schirmacher a publié dans le journal médical (Ärzteblatt), qu’il avait autopsié 40 cadavres dans les 14 jours suivant la vaccination contre le Covid.
Dans 30 à 40 % des cas, il a confirmé un lien avec cette vaccination.

Selon le rapport de sécurité de l’Institut Paul Ehrlich, on dénombre en Allemagne 200 effets secondaires graves chez les enfants après la vaccination ainsi qu’un décès.

« L’Agence européenne des médicaments déclare 2 000 enfants gravement blessés et 39 décès en Europe. Toutes ces raisons justifient une évaluation des risques pour les vaccinations contre le Covid », affirme le Prof. Bergholz.
À cet égard, les autopsies ont un rôle important pour déterminer s’il existe un lien entre les décès et la vaccination.

En 1997, l’Institut Robert Koch a également perçu cet impératif et a exigé :

« Les morts subites, vraisemblablement causées par une infection, devraient en tout cas être clarifiées au moyen d’une autopsie. En 2020, la situation s’est inversée: Les autopsies des décédés dus au covid ont été évitées. »

Les pathologistes Prof. Burkhardt et Prof. Lang ont évalué 10 cas d’autopsies après la vaccination contre le Covid et ont conclu qu’il y a un « déchaînement lymphocytaire » en réaction de l’organisme à cette vaccination. Il s’agit d’une attaque massive de lymphocytes, en particulier sur les poumons et le cœur, mais aussi sur tous les autres organes, ce qui entraîne des inflammations et des défaillances d‘organes.
Ces résultats et ces faits inquiétants sont sans équivoque.

Ils indiquent que la vaccination contre le Covid peut avoir des effets secondaires entraînant la mort tels que :

  • Les maladies auto-immunes
  • L’affaiblissement de la réponse immunitaire
  • L’augmentation du cancer
  • Des dommages vasculaires
  • L’agglutinement des globules rouges

Les images provenant de médecins d’un réseau international sont inquiétantes. Ils ont examiné les résidus de vaccins au microscope et des dizaines d’images montrent des particules inorganiques de formes et de tailles diverses que les fabricants n’ont pas encore déclarées.
Certaines de ces particules ont des bords tranchants, souvent triangulaires, d’autres sont longues en forme de chaîne, parfois elles ont une structure interne uniforme ou sont transparentes.

Beaucoup d’entre elles se déplacent toutes seules. Une fois la préparation séchée, certaines ressemblent à une puce informatique.

En outre, des adjuvants et des substances complémentaires ont été trouvés dans les inoculations, tels que l’oxyde de graphène, l’aluminium, le chrome, le nickel et le formaldéhyde, dont certains sont connus pour être cancérigènes. Et là aussi, des questions se posent sur le sens et la finalité de ces substances dans un prétendu vaccin.

Pour des raisons éthiques, scientifiques et constitutionnelles, l’avocat Elmar Becker estime qu’il est indispensable que le lien entre la vaccination et les personnes décédées fasse l’objet de recherches.

« Je n’accepte pas que l’État reste inactif. »

Le professeur Bergholz estime que l’État, l’Institut Paul Ehrlich, l’institut national de contrôle des matériaux et les fabricants de vaccins doivent répondre à ces questions.

Holger Fischer lance un avertissement pressant à tous les responsables :

« Toute personne qui continue à agir ainsi alors qu’elle sait ce dont nous avons discuté ici aujourd’hui est passible de poursuites. Elle ne pourra pas dire qu’elle n’a pas agi intentionnellement ou du moins dans une mesure limitée délibérée, et ce que nous vivons ici s’appelle un crime contre l’humanité : “Extermination” ; « Les gens sont exterminés ». »

Il exige que La Haye fasse une enquête. Les médecins traitants sont appelés à témoigner à la Haye sur les souffrances de leurs patients après les vaccinations.

« Notre gouvernement et les membres de ce gouvernement, ceux de l‘Institut Paul Ehrlich et de l’EMA, s’exposent à des poursuites auxquelles ils n’échapperont pas ».

Les témoignages des médecins doivent être envoyés à :
kontakt@corona-ausschuss.de

Pour regarder l’intégralité de la conférence de presse en allemand, veuillez cliquer ici :
https://odysee.com/@truth-search:42/undeclared-ingredients-of-COVID19-vaccines-pathology-conference:2

Les médias du système refusent catégoriquement de faire leur devoir de contre-voix !
Mais le temps de l’impuissance est révolu: Vetopedia – l’encyclopédie libre des voix dissidentes! Les calomnies médiatiques sont révélées. Sur Vétopédia, la personne incriminée peut rétablir la vérité. Les contre-déclarations non censurées y sont diffusées. Maintenant sur www.vetopedia.org.




Lettre ouverte du Docteur Hervé STAUB au gouvernement

Par Docteur Hervé STAUB

Le 27 octobre 2021
Docteur Hervé STAUB
68140 MUNSTER

Lettre ouverte à

Monsieur Jean CASTEX Premier Ministre
Monsieur Olivier VERAN Ministre de la Santé
Mesdames et Messieurs les Députés et Sénateurs
Monsieur le Premier Ministre, Monsieur le Ministre de la Santé, Mesdames et Messieurs,

Dans le cadre de la crise actuelle et en tant que médecin, après m’être largement documenté à partir de nombreuses sources toutes vérifiables, je tenais à vous faire part de mes réflexions. Je souhaite que vous les considériez en toute objectivité, en faisant abstraction de toute tendance partisane quelle qu’elle soit, de sorte que vous ne puissiez plus dire ignorer les éléments ci-après exposés.

Depuis maintenant plusieurs mois, en raison de l’épidémie de SARS-COV-2, il a été préconisé comme seul traitement l’injection d’une substance qualifiée à tort de vaccin. Cette substance, selon les règles pasteuriennes, n’est en effet pas un vaccin mais une thérapie génique en phase 3 d’expérimentation, ayant reçu une autorisation de mise sur le marché provisoire. Cette AMM provisoire a été attribuée à la condition de l’absence de tout autre traitement efficace. Or, contrairement à toutes les déclarations officielles, reprises et diffusées par la plupart des médias, des traitements et des moyens de prévention efficaces existent. J’y reviendrai ultérieurement.

Vous n’ignorez pas que les substances injectées, dénommées vaccins, sont expérimentales (cf. le produit de Pfizer qui est en essai de phase 3 jusqu’en janvier 2023). Par conséquent, leur injection est contraire à la loi, si l’on se réfère à la Convention d’Oviedo, à la déclaration d’Helsinki et au Code de Nuremberg. Ce sont des traitements expérimentaux administrés en l’absence de consentement libre et éclairé de la part des personnes injectées. En effet, la majorité des sujets injectés ignore la composition de la soupe « vaccinale ». Plusieurs scientifiques dont le Docteur R. Young, ont mis en évidence dans le « vaccin » de Pfizer, de l’oxyde de graphène, des particules de Trypanosoma cruzi responsable du SIDA et de nombreuses nano particules de divers métaux. Dans le produit d’Astra Zeneca, outre l’oxyde de graphène, les scientifiques ont décelé des particules d’acier inoxydable, du poly-éthylène-glycol (PEG) et de l’alcool éthylénique, substances cancérigènes.

Les pseudo-vaccins actuels n’empêchent ni de contracter la maladie, ni de faire des formes graves, ni de la transmettre, contrairement à ce qui est affirmé en boucle par les médias officiels. Vous avez comme exemples flagrants les pays champions de la vaccination » : Israël, la Grande Bretagne, l’Islande, Singapour ou encore Hong Kong.

Par ailleurs, plusieurs agences sanitaires dénoncent l’immunité collective obtenue par la « vaccination » et qui n’est qu’un mythe. Selon ces agences et plusieurs épidémiologistes, « obtenir l’immunité collective par la vaccination générale est hors d’atteinte ». D’ailleurs, il est à présent bien prouvé que l’immunité obtenue naturellement est nettement supérieure à celle donnée par la « vaccination ».

Ces traitements expérimentaux, qualifiés à tort de vaccin, représentent un danger réel en raison de leur composition, non seulement pour les adultes, mais aussi pour les enfants et les adolescents. Vous trouverez tous les chiffres des décès et des effets secondaires graves liés aux pseudo-vaccins sur les sites officiels du VAERS aux Etats-Unis et d’Eudravigilance pour l’Europe. À titre d’illustration, à la date du 10 septembre 2021, le VAERS a enregistré 14 925 décès sur plus de 3,1 millions d’accidents graves secondaires à l’injection. Il y a également eu 1 614 décès fœtaux chez les femmes ayant reçu un « vaccin » anti-covid, alors qu’aucun décès fœtal n’a été déploré en 2021 chez les femmes enceintes ayant reçu un vaccin anti-grippal.

Pourquoi alors continue t’on de recommander aux femmes enceintes de se faire injecter avec cette thérapie génique ? Pourquoi le déni des traitements peu coûteux dont l’Ivermectine, ayant prouvé leur efficacité sur de larges tranches de la population dans différents pays ? Ainsi, à titre d’exemple pour l’Ivermectine, voici quelques chiffres :

  • ce jour, il y a eu 31 essais contrôlés randomisés. Tous ont établi que l’ivermectine réduisait considérablement les taux de mortalité et d’hospitalisation, ainsi que le risque de contracter le covid. En Inde, dans l’Uttar Pradesh, avec une population de 241 millions d’habitants, au 10 septembre 2021, seulement 11 cas ont été enregistrés et pas un décès. Une réussite similaire fut notée en Indonésie après que le gouvernement ait autorisé en juillet 2021 l’usage du médicament, alors que le variant delta faisait des ravages. Mêmes réussites au Mexique et au Pérou.

Avec de telles preuves qui sont, je le répète, vérifiables, pourquoi ce type de traitement (et il en existe d’autres) n’est-il pas conseillé en France alors qu’il est inoffensif, pourquoi ne parle t’on en boucle que du pseudo-vaccin ? La réponse à cette question est simple : si l’on admettait l’existence de remèdes efficaces, l’AMM temporaire serait annulée et les injections géniques perdraient toute leur raison d’être. Je vous laisse tirer vos propres conclusions.

Pourquoi envisage-t-on d’injecter les enfants et les adolescents alors qu’ils ne constituent pas un facteur réel de transmission du virus (cf. des études de l’INSERM, notamment à propos de l’enfant des Contamines). Par conséquent, les enfants sains ne peuvent espérer aucun bénéfice personnel des injections, alors qu’en revanche ils ne sont pas à l’abri d’effets secondaires graves. Pourtant certains « experts », niant les faits établis, prétendent que la « vaccination » des enfants serait utile pour contrôler le covid et protéger leurs ainés. Alors qu’il n’en est rien.

Au total, et il est fondamental de le souligner, les pseudo vaccins de Pfizer, Astra Zeneca, Moderna et Janssen sont des agrégats complexes de nano particules d’oxyde de graphène, composés de divers nano éléments fixés à des acides nucléiques génétiquement modifiés d’ARNm, provenant de cellules animales et de cellules fœtales avortées. Ces ingrédients sont hautement magnéto-toxiques, cytotoxiques et génotoxiques pour les membranes cellulaires des plantes, des insectes, des oiseaux, des animaux et des humains, ainsi que pour leur génétique. Ceci a déjà entrainé de graves accidents (estimés à plus de 500 millions de par le monde) et / ou la mort (estimée à plus de 35 millions).

En conclusion, il faut rejeter toute obligation « vaccinale » pour quelque raison que ce soit, en particulier chez les enfants, dont on ignore toutes les répercussions à moyen terme et a fortiori à long terme.

En revanche, il faut préconiser la stimulation des défenses immunitaires naturelles et des actions préventives, en plus des gestes barrières.

Pourquoi n’en parle-t-on jamais sur les médias officiels, pourquoi ne voit-on pas sur les plateaux télé officiels les scientifiques de haut niveau (et ils sont nombreux) pouvant prendre le contre-pied de ceux qui s’y retrouvent invariablement et qui n’ont d’autre discours que celui de la « vaccination » ?

[Note de Joseph Stroberg : parce que le but réel de cette campagne prétendument « vaccinale » n’est pas la protection contre une maladie dénommée bizarrement « Covid-19 » et dont les symptômes ont été définis de manière suffisamment large pour englober différentes causes autres qu’un virus SRAS-CoV-2 qui n’a par ailleurs jamais été physiquement et réellement isolé (voir ici, ici, ici et ici).
Le but réel est plutôt exposé dans les articles suivants :
À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène?
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
et
Obsession vaccinale et transhumanisme
Ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd nous met en garde contre les vaccins à ARNm anti-ADN Covid-19 qui nous rendront transhumains
Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?
Dr Bryan Ardis & Me Reiner Fuellmich — Dépopulation, stérilisation et génocide par injections anti-Covid-19
L’ancien vice-président de Pfizer à l’AFLDS : « Il est tout à fait possible que cela soit utilisé pour une dépopulation à grande échelle »
Un ex-agent russe parle du coronavirus et de dépopulation
5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom
Le dépeuplement et le vaccin à ARNm.]

Probablement, pour un certain nombre d’entre vous, Mesdames et Messieurs, je vais être qualifié de « complotiste ». Que cela ne tienne, j’en serai honoré.

Mais pour les autres qui ne se voilent plus la face, je les laisse libres de leurs réflexions et des conclusions qu’ils en tireront en toute honnêteté.

Recevez, Monsieur le Premier Ministre, Monsieur le Ministre de la Santé, Mesdames et Messieurs les Députés et Sénateurs, l’expression de ma respectueuse considération.

Docteur Hervé STAUB




Obsession vaccinale et transhumanisme

[Source : AgoraVox]

Par Opposition Contrôlée

Le 12 août 2021, un article nommé « Opération Dent Bleue » a été publié sur Agoravox. L’auteur y décrit un dispositif expérimental et sa mise en œuvre, visant à valider une hypothèse : les personnes vaccinées émettent-elles un signal Bluetooth ? Ce n’est pas l’expérience ni ses résultats qui m’intéressent ici, mais les commentaires que l’article a suscités.

transhumain

Il va sans dire qu’une telle hypothèse a un degré suffisant d’hétérodoxie pour que « l’honnête homme » la juge absurde et se retranche dans l’indignation, la dérision, et la condescendance, devant ce véritable cas d’école de complotisme. Les commentaires de l’article, nombreux, ont majoritairement été d’aimables conversations ironiques. À vrai dire, on ne compte que trois tentatives de réfutation. Je laisserai de côté la dernière, évoquant une probable confusion des signaux captés avec des anti-vols électroniques, suggestion tout à fait pertinente au demeurant.

Voici les réfutations que je vais commenter, qui ont inspiré le présent article :

commentaire 1

Réfutations immédiatement saluées (sanctifiées ?) par un représentant du bon sens et de la raison :

commentaire 2

Pas sérieux tout ça, hein ? Puisque chacun devrait savoir qu’etc.. Mais le problème ici, ce n’est pas ce que certains croient savoir, mais bien plutôt ce qu’ils ignorent.

Car malheureusement pour nos braves défenseurs de la science et du sérieux, voilà plus de 10 ans que la prestigieuse revue « American Chemical Society » a publié un papier intitulé : « Le premier dispositif auto-alimenté avec transmission de données sans fil ».(([1] https://www.sciencedaily.com/releases/2011/06/110615103042.htm))

Zhong Lin Wang et ses collègues expliquent que les progrès de l’électronique ont ouvert la voie à la mise au point de minuscules dispositifs fonctionnant sans batterie grâce à d’infimes quantités d’électricité pouvant être récoltées à partir du pouls d’un vaisseau sanguin, d’une brise légère ou des mouvements d’une personne qui marche. « Il est tout à fait possible de faire fonctionner ces dispositifs en récupérant l’énergie de sources présentes dans l’environnement, telles qu’un léger courant d’air, des vibrations, des ondes sonores, l’énergie solaire, chimique et/ou thermique », expliquent les scientifiques.

Le dispositif se compose d’un nanogénérateur qui produit de l’électricité à partir d’une vibration ou d’un déclenchement mécanique, d’un condensateur pour stocké l’énergie et d’un système électronique comprenant un capteur et un émetteur radio similaire à ceux des casques de téléphone mobile Bluetooth. Leur dispositif a transmis des signaux sans fil qui pouvaient être détectés par une radio commerciale ordinaire à des distances de plus de 30 pieds. [10 m]

Les auteurs remercient la DARPA et le ministère américain de l’énergie pour le financement de leurs travaux.

D’ailleurs, ces nanogénérateurs sont déjà anciens, on trouve des publications remontant à 2008(([2] https://pubs.acs.org/doi/10.1021/nl8027813)) détaillant leur fonctionnement et leur fabrication. Et leur dimension ne dépassait pas quelques µm. Le trou d’une petite aiguille pour injection sous-cutanée(([3] https://en.wikipedia.org/wiki/Birmingham_gauge)) (G 26) est de 0.26 mm, soit 260µm. Il y a très largement la place… Et tout ça, c’était plus d’une décennie en arrière…

Depuis, les publications se sont multipliées, annonçant de nouveaux champs d’application, de meilleurs performances, de nouveaux procédés de fabrication, etc. Une recherche au mot clef « nanogenerator » retourne 400 000 résultats, en grande partie issus de revues scientifiques. Même chose pour les dispositifs de transmission sans-fil.

On peut se poser la question : certes, ces dispositifs sont nanoscopiques, mais peut-on pour autant les injecter directement dans l’organisme, par seringue épidermique ? Là encore, un petit effort de recherche permet de se faire une idée. Parmi les publications les plus récentes, on peut consulter l’étude d’une équipe de l’« University of California, Santa Cruz » (UCSC),(([4] https://ieeexplore.ieee.org/document/9466139)) publiée par le très prestigieux « Institute of Electrical and Electronics Engineers » (IEEE), bien connu des électroniciens. Les chercheurs y décrivent un nouveau procédé d’implémentation d’une interface cerveau-machine (Brain to computer interface, BCI), qui ne nécessite pas de chirurgie.

Ces interfaces sont destinées à lire l’activité neuronale complète du cerveau, c’est-à-dire de déterminer avec une très grande résolution l’emplacement des circulations électriques qui s’y produisent. Vous pourrez consulter, sur le site de la DARPA(([5] https://www.darpa.mil/program/our-research/darpa-and-the-brain-initiative)) (Defense Advanced Research Projects Agency soit « Agence pour les projets de recherche avancée de défense »), l’étendue des applications de tels systèmes. Il s’agit littéralement de lire les pensées directement dans le cerveau, mais aussi d’y écrire des informationsÉgalement, d’être capable de lire et écrire dans la mémoire de l’individu. Outre des applications « médicales », largement mises en avant par l’agence, tel que simuler la sensibilité d’un membre pour un amputé, ou redonner la mémoire à un amnésique, les applications militaires ou policières sont bien sûr légion : contrôle de drone par la pensée, avec transmission des images directement dans le cerveau de l’opérateur,(([6] https://www.technologyreview.com/2019/10/16/132269/us-military-super-soldiers-control-drones-brain-computer-interfaces/)) suppression des sentiments de peur, suppression de la douleur ressentie, etc, etc.

Nos chercheurs de l’UCSC ont mis au point un procédé à base de nano-dispositifs, de moins de 200 nm (pour comparaison, un virus de la grippe fait entre 80 et 120 nm), capable de circuler dans les vaisseaux sanguins pour aller se fixer dans le cerveau (tout comme les nano-particules de graphène, au passage), par simple injection.

Une limitation fondamentale des interfaces cerveau-machine (ICM) implantables est le câblage nécessaire au transfert d’énergie et à la transmission des signaux. Les technologies de microélectrodes existantes ne peuvent enregistrer que des sections localisées du cerveau et nécessitent l’implantation d’électrodes invasives par le biais de chirurgies crâniennes. Nous présentons ici un système sur une sonde nanoparticulaire, le Neuro-SWARM 3 (Neurophotonic Solution-dispersible Wireless Activity Reporter for Massively Multiplexed Measurements), permettant la détection à distance de signaux bioélectriques in vivo.

Les dispositifs fixés émettront alors un signal lisible de l’extérieur, permettant de reconstituer par calcul l’activité neuronale du sujet. L’originalité de cette méthode est d’employer les propriétés photoélectriques d’une substance, qui lorsqu’elle est excitée électriquement, émet une lumière en proche-infrarouge ( λ 1000-1700 nm) qui est « biologiquement transparente », c’est-à-dire qu’elle traverse les matières biologiques, y compris la boite crânienne. C’est ce signal qui est récupéré depuis une ou plusieurs caméras, littéralement comme une simple photo de l’activité cérébrale. L’interprétation est alors réalisée par un ordinateur, qui explorera les gigantesques progrès de l’analyse d’image pour reconstituer l’activité en trois dimensions. Celle-ci peut être alors comparée à une base de données, et dévoiler ce qui se passe dans la tête du sujet.

activité cérébrale

De nombreuses autres techniques, à base d’excitation électromagnétique, permettent d’atteindre un même résultat. Le lecteur sceptique pourra se demander « où on en est-on vraiment de ces technologies ? ». S’agit-il d’effet d’annonce, de science « anticipatoire » ? La réponse est non. La lecture des pensées et des sentiments est un domaine déjà largement exploré : dans un article de CBSnews(([7] https://www.cbsnews.com/news/functional-magnetic-resonance-imaging-computer-analysis-read-thoughts-60-minutes-2019-11-24/)) de 2019, on peut lire :

Les scientifiques utilisent l’IRM pour révéler la composition physique de nos pensées et de nos sentiments.

Il y a dix ans, 60 Minutes a rencontré une équipe de scientifiques de l’université Carnegie Mellon qui avait commencé à décoder les pensées simples à l’intérieur du cerveau. Aujourd’hui, ils sont passés à l’identification de pensées complexes, de la spiritualité au suicide.

Concernant la capacité à lire ce que voit un sujet directement dans son cerveau, la seule limitation majeure est de constituer une base de données des réponses neuronales aux images, comme nous l’apprend un article de l’université de Berkeley(([8] https://news.berkeley.edu/2011/09/22/brain-movies/)):

Grâce à l’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) et à des modèles de calcul, des chercheurs de l’université de Berkeley ont réussi à décoder et à reconstituer les expériences visuelles dynamiques des gens, en l’occurrence les bandes-annonces de films hollywoodiens.

Pour l’instant, la technologie permet de ne reconstituer que les séquences de films que les gens ont déjà regardées. Toutefois, selon les chercheurs, cette avancée ouvre la voie à la reproduction des films que nous avons dans la tête et que personne d’autre ne voit, comme les rêves et les souvenirs.

A gauche, l’image vue par le spectateur, à droite, l’image reconstituée par lecture de son cerveau.

J’ai entendu un certain nombre de commentateurs, dans des médias « respectables », évoquer un lien entre la « crise covid » et sa « gestion » pour le moins déconcertante, et le but à terme du transhumanisme. Mais ceux-ci n’ont jamais développé le lien de cause à effet. N’étant pas moi-même intime des cercles dirigeants, et n’ayant pas de boule de cristal, je ne permettrais pas de tirer des conclusions définitives sur ce qui nous attend. Cet article n’a pour vocation que de donner une « piqûre de rappel » sur les avancées des neurosciences, des nano-technologies et des capacités de traitement du signal à destination des profanes.


[Voir aussi :
À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène?
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!]


Notes :




À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène?

[Source : LHK]

Par LHK

À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène? À l’Internet des corps (IoB)

https://winteroakpress.files.wordpress.com/2020/10/klaus-schwab.jpg?w=772
Partisan du transhumanisme, il prévoit l’implantation de puces d’abord dans les vêtements puis dans le cerveau, pour établir une « communication directe entre notre cerveau et le monde digital »8. Il défend et promeut l’avènement de l’intelligence artificielle pour nos vies dans La quatrième révolution industrielle paru en 2017. (Wikipédia)
https://lilianeheldkhawam.com/2021/02/06/qui-est-klaus-schwab-le-maitre-de-la-montagne-magique/?fbclid=IwAR3WUD-fesufEvSfJodxAtqde4Jcm7nHyeeXpU3ijOQ0n7_yNHovjSxlSf0

Souvenez-vous de notre article sur l’oxyde de graphène où nous y avions effleuré la notion de l’Internet des corps. Nous y disions notamment que : « En général, les capteurs pour la surveillance de la santé humaine, qu’il s’agisse de capteurs invasifs ou non invasifs, peuvent être considérés comme un « sens augmenté », qui est une extension des sens humains. ». Nous parlions dans les faits d’un matériau qui pouvait ouvrir la voie au transhumanisme.

Eh bien, la présence de capteurs n’a pas d’autres objectifs que de connecter le corps humain à un serveur et donc à fusionner les deux entités pour en créer une 3ème qui est le transhumain. Cette dernière appellation est l’antichambre du posthumain qui est l’objectif final de ceux qui tiennent le stylo de la création monétaire contre crédits.

Je vous laisse mieux découvrir l’Internet des corps ou IoB avec une collaboratrice de la Rand Corporation et de documents pris sur le site du World Economic Forum.

C’est ce qui attendrait chacune et chacun d’entre nous, à moins d’un impondérable qui aurait échappé aux algorithmes de nos amis.

Bonne lecture.

LHK

Traduction du texte de la vidéo de Mary Lee

Au 20e siècle, la technologie sans fil intégrée au corps humain n’était rien de plus que de la science-fiction. Mais aujourd’hui, les appareils connectés au Wi-Fi tels que les moniteurs de fréquence cardiaque et les moniteurs de sommeil sont devenus des éléments courants de la vie américaine. Comment la technologie bionique a-t-elle évolué si rapidement de la science-fiction à la réalité ? Et que pourrait signifier cet Internet des corps pour nos vies à l’avenir ? Les chercheurs de RAND étudient ce phénomène et ce que les consommateurs et les décideurs doivent savoir alors que nous nous dirigeons vers un territoire inexploré.

Mary Lee, mathématicienne ; Chercheur, RAND Center for Global Risk and Security

Mary Lee est mathématicienne à la RAND Corporation et membre inaugurale du RAND Center for Global Risk and Security.
Ses intérêts de recherche comprennent la modélisation mathématique et la simulation de systèmes complexes dans les domaines de la défense/aérospatiale, de la cyberpolitique, des soins de santé et des maladies chroniques.…
Vidéo ICI https://www.rand.org/multimedia/video/2020/10/29/what-is-the-internet-of-bodies.html

L’Internet des corps [« Internet of Bodies » en anglais], ou IoB , est en fait un écosystème. Il s’agit d’un ensemble d’appareils connectés à Internet qui contiennent des logiciels et qui collectent des données personnelles sur votre santé ou peuvent altérer le fonctionnement du corps. Nous considérons l’Internet des corps comme cette collection de tous ces appareils, ainsi que toutes les données que les appareils collectent à votre sujet. Et dans le domaine de la santé, l’Internet des corps existe depuis un certain temps. Avec l’avènement d’Internet, il est tout à fait logique de connecter votre stimulateur cardiaque à Internet afin que votre médecin puisse être automatiquement averti si quelque chose d’anormal se produit, s’il y a une anomalie. Il est naturel à bien des égards de vouloir en savoir plus sur votre corps, comment il fonctionne, comment il se porte bien.

Narrateur

Les appareils IoB pourraient révolutionner les soins de santé. Des quantités sans précédent de données de santé personnelles pourraient éclairer des plans de traitement entièrement adaptés aux besoins d’un patient.

Marie Lee

Il existe maintenant des pilules qui ont un capteur électronique qui permet à un fournisseur de soins de santé de savoir si vous avez pris le médicament. D’autres choses, comme la médecine de précision, la médecine de précision est donc l’idée de créer des produits pharmaceutiques ou un traitement spécifiquement pour votre corps, pour votre traitement personnalisé. Et je pense que l’ IoB pourrait vraiment aider avec cela car de nos jours, de nombreux soins de santé sont basés davantage sur des réactions moyennes, alors qu’avec les données des appareils IoB , vous pourriez être en mesure de traiter de manière vraiment plus précise une certaine maladie.

Narrateur

Mais l’Internet des corps ne sera pas une panacée. En fait, le marché largement non réglementé présente des risques pour les données particulièrement sensibles que ces appareils collectent.

Marie Lee

Tout d’abord, il y a le risque cyber qu’un acteur puisse potentiellement pirater le système, quel qu’il soit. Il y a un risque pour la vie privée de toutes ces données qui sont collectées, et les réglementations concernant ces données sont vraiment obscures pour le moment. Et donc il n’y a pas beaucoup de clarté sur qui possède les données, ce qui leur arrive, à qui elles sont vendues, comment elles sont utilisées. Et il existe même des risques potentiels pour la sécurité nationale et la sécurité mondiale.

Narrateur

Quelques exemples de ces risques se sont déjà manifestés dans la vie réelle. Par exemple, en 2018, des informations très sensibles sur les activités militaires américaines et les emplacements des bases ont été révélées par inadvertance par les trackers de fitness des soldats. C’est donc un moment charnière. Que pouvons-nous faire pour nous assurer de profiter des avantages potentiels de l’Internet des corps sans risquer notre vie privée, notre sécurité et notre autonomie personnelle ?

Marie Lee

Les consommateurs doivent se méfier des appareils IoB, car à mesure qu’ils deviennent de plus en plus populaires, toutes ces données intimes sont collectées, sans doute des données plus intimes que nous n’avons jamais vraiment enregistrées auparavant. Il n’y a pas de clarté sur ce qui est fait avec ces données. Vous savez, avec un vieux stimulateur cardiaque mécanique, aucune donnée n’est collectée et stockée, et, vous savez, vous pouvez consulter l’historique des rythmes cardiaques de quelqu’un.

Parce que la politique a tendance à prendre du retard sur les technologies innovantes comme celle-ci, il appartient probablement aux consommateurs et aux patients des soins de santé d’être vraiment conscients des appareils qu’ils utilisent et de ce qui arrive à leurs données et de savoir quelles sont les réglementations en vigueur. leur état particulier, car il varie tellement d’un état à l’autre. Même si vous pensez que vous n’êtes pas intéressant ou que rien ne se passera avec vos données, il y a beaucoup d’inconnues auxquelles je pense que nous devons faire attention.

Le World Economic Forum, promoteur de l’Internet des corps

Selon le World Economic Forum: L’Internet des corps est là : relever les nouveaux défis de la gouvernance technologique.
Les récents progrès technologiques ont inauguré une nouvelle ère de « l’internet des corps » (IoB), avec un nombre sans précédent d’appareils et de capteurs connectés fixés ou même implantés et ingérés dans le corps humain.
L’IoB génère d’énormes quantités de données biométriques et comportementales humaines.
Cela alimente à son tour la transformation de la recherche et de l’industrie en santé, ainsi que d’autres aspects de la vie sociale, tels que l’adoption de l’IoB dans les environnements de travail, ou la fourniture de nouvelles options pour le divertissement – le tout avec des innovations remarquables basées sur les données. et prestations sociales.

Pourtant, l’IoB soulève également de nouveaux défis pour la gouvernance des données qui concernent non seulement la vie privée et l’autonomie des individus, mais aussi de nouveaux risques de discrimination et de préjugés dans l’emploi, l’éducation, la finance, l’accès à l’assurance maladie et d’autres domaines importants pour la répartition des ressources sociales.

Nous entrons dans l’ère de « l’Internet des corps » : collecter nos données physiques via une gamme de dispositifs pouvant être implantés, avalés ou portés.

Le résultat est une énorme quantité de données liées à la santé qui pourraient améliorer le bien-être humain dans le monde et s’avérer cruciales dans la lutte contre la pandémie de COVID-19.

Mais un certain nombre de risques et de défis doivent être abordés pour réaliser le potentiel de cette technologie, des problèmes de confidentialité aux obstacles pratiques.

Dans les services spéciaux du Centre clinique de santé publique de Shanghai, les infirmières utilisent des thermomètres intelligents pour vérifier la température des patients COVID-19. La température de chaque personne est enregistrée avec un capteur, réduisant le risque d’infection par contact, et les données sont envoyées à un tableau de bord d’observation. Un résultat anormal déclenche une alerte au personnel médical, qui peut alors intervenir rapidement. Les données recueillies permettent également aux médecins d’analyser les tendances au fil du temps.

Les thermomètres intelligents sont conçus par VivaLNK, une startup basée dans la Silicon-Valley, et sont un exemple puissant des nombreux produits et services numériques qui révolutionnent les soins de santé. Après l’Internet des Objets, qui a transformé notre façon de vivre, de voyager et de travailler en connectant des objets du quotidien à Internet, place à l’Internet des corps. Cela signifie collecter nos données physiques via des dispositifs pouvant être implantés, avalés ou simplement portés, générant d’énormes quantités d’informations liées à la santé.

Certaines de ces solutions, comme les trackers de fitness, sont une extension de l’Internet des objets. Mais parce que l’Internet des corps se concentre sur le corps humain et la santé, il soulève également son propre ensemble spécifique d’opportunités et de défis, des problèmes de confidentialité aux questions juridiques et éthiques.

Image : McKinsey & Compagnie

Connecter nos corps

Aussi futuriste que puisse paraître l’Internet des corps, de nombreuses personnes y sont déjà connectées via des appareils portables. Le segment des montres intelligentes à lui seul est devenu un marché de 13 milliards de dollars d’ici 2018 et devrait augmenter de 32 % à 18 milliards de dollars d’ici 2021. Les brosses à dents intelligentes et même les brosses à cheveux peuvent également permettre aux gens de suivre les habitudes de leurs soins personnels et de leur comportement.

Pour les professionnels de la santé, l’Internet des corps ouvre la porte à une nouvelle ère de surveillance et de traitement efficaces.

En 2017, la Federal Drug Administration des États-Unis a approuvé la première utilisation de pilules numériques aux États-Unis. Les pilules numériques contiennent de minuscules capteurs ingérables, ainsi que des médicaments. Une fois avalé, le capteur est activé dans l’estomac du patient et transmet les données à son smartphone ou à d’autres appareils.

En 2018, Kaiser Permanente, un fournisseur de soins de santé en Californie, a lancé un programme de réadaptation virtuelle pour les patients qui se remettent d’une crise cardiaque. Les patients ont partagé leurs données avec leurs prestataires de soins via une montre connectée, permettant un meilleur suivi et une relation plus étroite et plus continue entre le patient et le médecin. Grâce à cette innovation, le taux d’achèvement du programme de réadaptation est passé de moins de 50 % à 87 %, accompagné d’une baisse du taux de réadmission et du coût du programme.

Le déluge de données recueillies grâce à ces technologies fait progresser notre compréhension de la façon dont le comportement humain, le mode de vie et les conditions environnementales affectent notre santé. Il a également élargi la notion de soins de santé au-delà de l’hôpital ou de la chirurgie et dans la vie quotidienne. Cela pourrait s’avérer crucial dans la lutte contre la pandémie de coronavirus. Le suivi des symptômes pourrait nous aider à arrêter la propagation de l’infection et à détecter rapidement de nouveaux cas. Les chercheurs étudient si les données recueillies à partir de montres intelligentes et d’appareils similaires peuvent être utilisées comme alertes d’infection virale en suivant la fréquence cardiaque et la respiration de l’utilisateur.

Dans le même temps, cette technologie complexe et évolutive soulève de nouveaux défis réglementaires.

Qu’est-ce qui compte comme information de santé?

Dans la plupart des pays, il existe des réglementations strictes concernant les informations de santé personnelles telles que les dossiers médicaux et les échantillons de sang ou de tissus. Cependant, ces réglementations conventionnelles ne couvrent souvent pas le nouveau type de données de santé générées par l’Internet des corps, et les entités qui collectent et traitent ces données.

Aux États-Unis, le Health Insurance Portability and Accountability Act (HIPPA) de 1996, qui est la principale loi pour la réglementation des données de santé, s’applique uniquement aux prestataires de soins médicaux, aux assureurs-maladie et à leurs associations professionnelles. Sa définition de « renseignements personnels sur la santé » ne couvre que les données détenues par ces entités. Cette définition s’avère inadaptée à l’ère de l’Internet des corps. Les entreprises technologiques proposent désormais également des produits et services liés à la santé et collectent des données. Margaret Riley, professeur de droit de la santé à l’Université de Virginie, m’a fait remarquer dans une interview que HIPPA ne couvre pas les masses de données des appareils portables grand public, par exemple. Données

Comment le Forum économique mondial aborde-t-il les défis soulevés par l’Internet des corps ?

Recent technological advancements have ushered in a new era of the “internet of bodies” (IoB), with an unprecedented number of connected devices and sensors being affixed to or even implanted and ingested into the human body.

L’IoB génère d’énormes quantités de données biométriques et comportementales humaines. Cela alimente à son tour la transformation de la recherche et de l’industrie en santé, ainsi que d’autres aspects de la vie sociale, tels que l’adoption de l’IoB dans les environnements de travail, ou la fourniture de nouvelles options pour le divertissement – le tout avec des innovations remarquables basées sur les données. et prestations sociales.

Le Forum économique mondial a récemment publié un rapport spécial sur cette région en développement. Le rapport d’août 2020 explore comment l’IoB soulève de nouveaux défis pour la gouvernance des données qui concernent non seulement la vie privée et l’autonomie des individus, mais aussi de nouveaux risques de discrimination et de préjugés dans l’emploi, l’éducation, la finance, l’accès à l’assurance maladie et d’autres domaines importants pour la répartition des ressources sociales. .

Un autre problème est que la réglementation actuelle ne regarde que si les données sont sensibles en elles-mêmes, et non si elles peuvent être utilisées pour générer des informations sensibles. Par exemple, le résultat d’un test sanguin dans un hôpital sera généralement classé comme une donnée sensible, car il révèle des informations privées sur votre santé personnelle. Mais aujourd’hui, toutes sortes de données apparemment non sensibles peuvent également être utilisées pour tirer des conclusions sur votre santé, grâce à l’analyse de données. Glenn Cohen, professeur à la faculté de droit de Harvard, m’a dit dans une interview que même les données qui ne concernent pas du tout la santé, telles que les listes de courses, peuvent être utilisées pour de telles inférences. En conséquence, les réglementations conventionnelles peuvent ne pas couvrir les données sensibles et privées, simplement parce qu’elles ne semblaient pas sensibles avant d’être traitées.

Risques liés aux données

L’identification et la protection des données sensibles sont importantes, car elles peuvent affecter directement la façon dont nous sommes traités par les institutions et les autres personnes. Avec l’analyse des mégadonnées, d’innombrables actions et décisions quotidiennes peuvent finalement alimenter notre profil de santé, qui peut être créé et maintenu non seulement par les prestataires de soins de santé traditionnels, mais également par des entreprises technologiques ou d’autres entités. Sans lois et réglementations appropriées, il pourrait également être vendu. Dans le même temps, les données de l’Internet des corps peuvent être utilisées pour faire des prédictions et des déductions qui pourraient affecter l’accès d’une personne ou d’un groupe à des ressources telles que les soins de santé, l’assurance et l’emploi.

James Dempsey, directeur du Berkeley Center for Law and Technology, m’a dit dans une interview que cela pourrait conduire à un traitement injuste. Il a mis en garde contre la discrimination et les préjugés potentiels lorsque de telles données sont utilisées pour des décisions en matière d’assurance et d’emploi. Les personnes concernées peuvent même ne pas en être conscientes.

Une solution serait de mettre à jour la réglementation. Sandra Wachter et Brent Mittelstadt , deux universitaires de l’Oxford Internet Institute, suggèrent que la loi sur la protection des données devrait se concentrer davantage sur comment et pourquoi les données sont traitées, et pas seulement sur leur état brut. Ils plaident pour un soi-disant « droit aux déductions raisonnables », c’est-à-dire le droit que vos données soient utilisées uniquement pour des déductions raisonnables et socialement acceptables. Cela impliquerait d’établir des normes pour savoir si et quand déduire certaines informations des données d’une personne, y compris l’état de sa santé présente ou future, est socialement acceptable ou trop invasif.

Problèmes pratiques

Outre les préoccupations concernant la confidentialité et la sensibilité, il existe également un certain nombre de problèmes pratiques liés au volume considérable de données générées par l’Internet des corps. Le manque de normes en matière de sécurité et de traitement des données rend difficile la combinaison de données provenant de diverses sources et leur utilisation pour faire avancer la recherche. Différents pays et institutions tentent conjointement de surmonter ce problème. L’Institute of Electrical and Electronics Engineers (IEEE) et sa Standards Association travaillent avec la Food & Drug Administration (FDA) des États-Unis, les National Institutes of Health, ainsi que des universités et des entreprises parmi d’autres parties prenantes depuis 2016, pour aborder la sécurité et question d’interopérabilité de la santé connectée.

Alors que l’Internet des corps se répand dans tous les aspects de notre existence, nous sommes confrontés à une série de nouveaux défis. Mais nous avons également une chance sans précédent d’améliorer notre santé et notre bien-être et de sauver d’innombrables vies. Pendant la crise du COVID-19, saisir cette opportunité et trouver des solutions aux défis est une tâche plus urgente que jamais. Cela repose sur les agences gouvernementales et les organes législatifs travaillant avec le secteur privé et la société civile pour créer un cadre de gouvernance solide et pour inclure des déductions dans le domaine de la protection des données. L’élaboration de normes technologiques et réglementaires pour l’interopérabilité et la sécurité serait également cruciale pour libérer la puissance des nouvelles données disponibles. La clé est de collaborer au-delà des frontières et des secteurs pour réaliser pleinement les énormes avantages de cette technologie en évolution rapide.

https://www.weforum.org/agenda/2020/06/internet-of-bodies-covid19-recovery-governance-health-data/

wef-iob-briefing_paper_2020

Lire également

https://lilianeheldkhawam.com/2020/11/17/reset-recreer-lhumain-par-la-revolution-bio-technologique/


[Voir aussi :
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
et Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA]




New York lance la loi martiale médicale avec des troupes pour prendre le contrôle des hôpitaux où des travailleurs de la santé non vaxés sont licenciés en masse

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

La prise de contrôle de la société par la loi martiale a commencé à New York, où le gouverneur Kathy Hochul a annoncé le licenciement massif d’agents de santé non vaccinés, qui seront remplacés par des travailleurs étrangers et des troupes de la Garde nationale.

Ce même modèle de remplacement des travailleurs civils par des troupes militaires sera reproduit dans les forces de l’ordre, les ambulanciers paramédicaux, les pompiers, les chauffeurs de camion, les ouvriers d’usine et d’autres secteurs de l’économie qui s’effondrent rapidement en raison des restrictions de verrouillage de la covid. Le résultat est que nous assistons à une prise de contrôle militaire rapide de la société sous le couvert d’un «état d’urgence» à la suite de pénuries de personnel qui sont en fait causées par les propres politiques du gouvernement.

[Ndlr : lorsqu’un pays expérimente une mesure, une tactique ou une stratégie liberticide supplémentaire au cours de cette plandémie Covid, on peut s’attendre à ce que les autres gouvernements s’en inspirent au cours des semaines ou des mois suivants.]

La seule raison pour laquelle les hôpitaux de New York manquent désespérément de travailleurs de la santé, bien sûr, c’est parce que des dirigeants gouvernementaux corrompus ont veillé à ce que tous les travailleurs non vaxxés soient licenciés. Ce sont les mêmes travailleurs qui ont survécu à 2020 sans vaccins contre le covid, travaillant en première ligne de la « plandémie »  causée artificiellement par des protéines de pointe et du graphène, mais maintenant ils sont jetés dans la rue parce qu’ils ne prendront pas de vaccin en 2021.

« La Gouv. Kathy Hochul a déclaré samedi qu’elle était prête à déclarer l’état d’urgence si le mandat de vaccination de l’État pour l’industrie des soins de santé entraînait une pénurie ingérable de travailleurs lorsque la règle entrera en vigueur lundi », a rapporté WSKG.org ce week-end.

New York annonce également l’utilisation de troupes de la Garde nationale et une prise de contrôle fédérale des soins de santé locaux. Comme le rapporte WSKG :

L’État envisage également d’activer des membres de la Garde nationale formés médicalement pour combler les lacunes dans les effectifs de la santé, et pourrait travailler avec le gouvernement fédéral pour faire venir des équipes de travailleurs médicaux pour aider les établissements de santé locaux.

C’est la phase d’ouverture de la prise de contrôle de la loi martiale médicale sur l’Amérique, et si elle n’est pas stoppée, elle risque de se transformer rapidement en manœuvres de plus en plus totalitaires de la part du régime :

  • Postes de contrôle des vaccins militaires sur les routes et les autoroutes.
  • Des troupes militaires assurent les livraisons de nourriture et de carburant, contrôlant les infrastructures critiques.
  • La militarisation de la nourriture, de l’essence, des fournitures médicales et d’autres articles essentiels, les empêchant d’entrer dans les États rouges qui refusent de pousser les vaccins obligatoires.
  • Les troupes militaires gardant les entrées des épiceries, des églises, des centres commerciaux et d’autres bâtiments, exigeant des passeports vaccinaux « Den Ausweis, bitte» avant d’autoriser les gens à entrer.
  • Des troupes militaires extrayant involontairement des personnes de leurs maisons sous la menace d’une arme et les emmenant dans des camps de la mort dirigés par le CDC. [1]

Voici une carte des camps de la mort de covid actuellement en activité par le CDC. Vous pouvez confirmer cette carte sur le site Web du CDC.

New York crée sa propre « crise » du personnel, puis utilise la crise qu’elle a créée pour déployer la loi martiale médicale

New York a créé cette crise en licenciant des travailleurs de la santé en premier lieu. Puis, au fur et à mesure que cette «crise du personnel» se déroule, New York utilise la crise pour déployer des migrants de remplacement (pour remplacer tous les malades sur le point de mourir qui ont subi un lavage de cerveau suffisant pour qu’ils acceptent la piquouse qui les achève) et installer des troupes militaires dans des postes d’infrastructure clés. .

Une partie de cette opération psychologique consiste à habituer le peuple américain à voir des troupes tout gérer : hôpitaux, transports, usines, forces de l’ordre, etc. Une fois que toutes les troupes sont en place, Biden invoquera simplement l’Insurrection Act, et déclarera que tous les anti-vaxxers sont engagé dans une « insurrection », puis dépêchera les troupes pour rassembler et/ou exécuter tous ses ennemis politiques. Cette liste d’exécution comprendra des chrétiens, des pasteurs, des médecins au franc-parler, etc.

Je couvre tout cela dans le podcast Situation Update d’aujourd’hui, qui expose le programme génocidaire de l’industrie des vaccins et le régime criminel de Biden :

Brighteon.com/ce8bdd6d-8aab-48ef-b23c-82d2f73937bf

Mardi 28 septembre 2021 par Mike Adams Source




Tous vaccinés, tous menacés

[Source : ripostelaique.com]

Par Laurent Droit

« Tous vaccinés, tous condamnés !! »

Tous vaccinés, tous contaminés !!
Tous vaccinés, tous condamnés à mort !!

Sur les chaînes de télévision, l’État continue de diffuser toute la journée des spots publicitaires du genre « lutte contre le sida » dans le but de faire « vacciner » un maximum de gens contre le Coronavirus, quels que soient ses autres noms.

Sous le titre/thème « Spot TV sur la vaccination – le débat » celui-ci met en scène une famille ou une bande d’amis à table qui débattent sur l’intérêt ou non du vaccin. Débat, donc avis différents.
Ce qui est clair, c’est que cela représente la grande masse des Français peu instruits de ces choses et en ignorant à peu près tout.
Leur discussion est donc assez stérile.
Voir le spot : https://www.dailymotion.com/video/x83jaht

Cela se termine par un texte froid de l’autorité publique :

– « On peut débattre de tout… sauf des chiffres »
– « Aujourd’hui, en France, 8 personnes sur 10 hospitalisées à cause du covid ne sont pas vaccinées. »
– « Tous vaccinés, tous protégés. »
– « Plus d’informations sur les lieux de vaccination sur www.sante.fr »

Et la fin traditionnelle des communications gouvernementales :

À noter qu’aujourd’hui la santé passe après les « solidarités » dans un ministère fourre-tout où on considère que la santé a peu d’importance et passe largement après les solidarités (qui restent à définir et à préciser)…!
C’est totalement stupide comme ordre des priorités…

Tous vaccinés, tous contaminés !!
Tous vaccinés, tous condamnés à mort !!

Je souhaite maintenant revenir sur la dialectique de ce message de fin.

Primo, « on peut débattre de tout sauf des chiffres. »

Je me demande bien ce que peuvent faire tous nos fantastiques scientifiques qui débattent sans arrêt entre eux de choses chiffrées d’un très haut niveau pour nous apporter tout ce dont nous avons besoin dans nos vies, dans le monde entier.
On peut parfaitement débattre des chiffres sur leur précision, mais lorsque la démonstration de l’exactitude d’un chiffre a été faite et reconnue par la communauté scientifique, il devient assez difficile de le contester, sauf à apporter une autre démonstration tout aussi exacte mais différente.
Cette formule est donc fausse.
C’est un mensonge.
C’est une « fake-news » d’État !
Elle est faite pour endormir les naïfs et les crédules dans le but de les contraindre mentalement et de les culpabiliser à se faire vacciner.
Pourquoi ? Parce que Macron est le manipulateur en chef de toutes les manipulations de masse en France et que Macron et ses subalternes ont pour mission de faire injecter à tous les Français une substance nocive, dangereuse et à terme mortelle afin de faire diminuer la population française de souche d’origine, dans le cadre du Grand Remplacement et du Great Reset mondial décidé par les mondialistes.
À noter que les immigrés ne sont pas invités au bal des injections.

Secundo, « Aujourd’hui, en France, 8 personnes sur 10 hospitalisées à cause du covid ne sont pas vaccinées. »

Cette allégation gratuite est parfaitement mensongère aujourd’hui. C’est en effet tout le contraire qui se passe, car la vérité démontrée et dénoncée par d’innombrables médecins, biologistes et scientifiques non soumis au diktat de la doxa macronienne qui l’ont exprimée de nombreuses fois et de nombreuses manières :
En France et dans le monde, aujourd’hui, 8 personnes sur 10 hospitalisées dans des états désespérés ont déjà reçu une ou deux doses d’un des vaccins.
Et leur état désespéré est précisément lié aux effets secondaires dramatiques des pseudo-vaccins de grande toxicité.
J’en ai parlé suffisamment longuement dans mon livre avec tous les liens nécessaires pour en faire une preuve indiscutable : http://cabalard.free.fr/1zemmour.html

Mais je vous ai quand même noté quelques liens importants à la fin de cet article.

Par ailleurs, on ne doit pas dire « le covid », mais « la covid-19 » car il s’agit de LA maladie covid identifiée en 2019.

Tercio, enfin, ce slogan qui fleure bon le dentifrice ou la lessive miracle :
« Tous vaccinés, tous protégés. » est également l’exact contraire de la réalité démontrée dans le paragraphe précédent, c’est-à-dire que les vaccins sont très dangereux et introduisent dans l’organisme humain de nombreuses substances nocives, toxiques pouvant apporter des pathologies nombreuses et très graves susceptibles d’entraîner la mort dans des délais qui vont de quelques minutes après l’injection à plusieurs mois ou plusieurs années, sans plus de précisions, car nous n’avons pas encore assez de recul pour en juger (il faudrait au moins 5 ans).

La seule vérité c’est que « tous vaccinés » signifie en réalité « tous condamnés à mort » dans des délais inconnus, mais sans doute pas très longs. Mais en aucun cas protégés.

Je souhaite aussi préciser que ces substances hautement toxiques fabriquées et vendues par l’industrie pharmaceutique sont tout sauf des vaccins, comme je l’ai aussi déjà expliqué en long et en large dans mon livre et dans des articles, avec tous les témoignages de nombreux scientifiques non politisés dont la sincérité et l’honnêteté ne peuvent pas être mises en doute.

Nous vivons malheureusement une période extrêmement grave et pénible sur le plan sanitaire où, en plus, l’État Macron totalitaire s’ingénie à mentir au peuple français à longueur de temps dans des buts qui sont aujourd’hui connus de tous, même si beaucoup en doutent encore, tant cela peut paraître incroyable.
Mais des choses encore plus incroyables se sont produites tout au cours notre histoire et il faut quand même que les Français ouvrent un peu les yeux…

Attention, des articles prétendant démentir que les vaccins n’ont pas d’effets secondaires dangereux et que le rapport bénéfice/risque est largement favorable, courent sur le web. Ce sont des mensonges.
Ne les croyez pas !!!
L’État Macron fait tout pour vous cacher la vérité.

Tous vaccinés, tous contaminés !!
Tous vaccinés, tous condamnés à mort !!

Ne croyez jamais ce gouvernement de menteurs professionnels, mettez en doute toutes leurs déclarations concernant cette crise sanitaire, éloignez-vous de ces vaccins, refusez-les et avertissez vos amis et votre famille de leurs dangers mortels et aussi exigez que soient largement vendus et distribués les vrais traitements curatifs anciens, connus et efficaces qui ont déjà sauvé des centaines de milliers de personnes atteintes de la Covid-19. Chloroquine et Ivermectine associées à des antibiotiques qui éviteront les complications comme l’azithromycine ou la clarithromycine.

Cela dit, je ne vais pas refaire mon livre ici. Vous n’avez qu’à le lire, il est gratuit et en ligne.

Laurent Droit

Tous vaccinés, tous contaminés !!
Tous vaccinés, tous condamnés à mort !!

Liens :

Vidéo récente qui semble montrer que Pfizer refuse d’endosser toute responsabilité devant les États quant aux effets secondaires probablement nombreux et létaux de leurs « vaccins. »
Chacun en tirera ses propres conclusions…
« La députée @MicheleRivasi au CSI : beaucoup de pays africains et d’Amérique latine refusent les vaccins Pfizer car le laboratoire demande à ces pays d’hypothéquer une partie de leurs richesses nationales pour faire face à d’éventuels procès suite à d’éventuels effets secondaires. »
https://twitter.com/boutaour/status/1441354445980258311

« Film Covid, 26 raisons pour refuser les vaccins » 
https://odysee.com/@Vivresainement:f/film-covid-26-raisons-pour-refuser-les-vaccins:8

« Dr Zelenko nous dit tout sur le Covid et l’acharnement vaccinal. Accrochez-vous, c’est dur !! »
https://rumble.com/vky0dy-dr-zelenko-nous-dit-tout-sur-le-covid-et-lacharnement-vaccinal.-accrochez-v.html

« Décrypter le coup du passe sanitaire et la stratégie de la caste mondialisée »
https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/08/11/decrypter-le-coup-du-passe-sanitaire-et-la-strategie-de-la-caste-mondialisee/

« Les vaccins et le confinement sont-ils efficaces ? » 
https://www.youtube.com/watch?v=sCqqbP6Oe_Q

« Covid-19 : la stratégie d’immunité collective par la vaccination est-elle remise en cause en Islande ? »
https://www.lefigaro.fr/sciences/covid-19-la-strategie-d-immunite-collective-par-la-vaccination-est-elle-remise-en-cause-en-islande-20210811

« La dangerosité des nouveaux vaccins anti-covid est un fait historique » 
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-dangerosite-des-nouveaux-vaccins-anti-covid-est-un-fait-historique

« 57 scientifiques et médecins demandent l’arrêt immédiat de toutes les “vaccinations” Covid-19 »
https://www.francesoir.fr/societe-sante/57-scientifiques-et-medecins-demandent-larret-immediat-de-toutes-les-vaccinations

« TRIBUNE – Un aperçu sur le scandale du vaccin COVID-19 et du passe sanitaire »
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/covid-le-regne-de-la-cupidite-et-la-chute-de-la-medecine-occidentale-moderne

« Alerte ! Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène (très dangereux) dans les injections Covid et leur létalité » Vidéo très importante en anglais sous-titré de 22’49. 
https://odysee.com/@reseau-influence:a/Alerte-!-Une-ancienne-employ%C3%A9e-de-Pfizer-confirme-la-pr%C3%A9sence-d’oxyde-de-graph%C3%A8ne-dans-les-injections-Covid-et-leur-l%C3%A9talit%C3%A9.:c

Docteur Nicole Delépine : « Tous vaccinés, mais pas protégés ! » 
https://ripostelaique.com/tous-vaccines-mais-pas-proteges.html
et aussi :
« Sortir du délire : les thérapies géniques ne sont pas des vaccins » 
https://ripostelaique.com/sortir-du-delire-les-therapies-geniques-ne-sont-pas-des-vaccins.html

Docteur Nicole Delépine : « Des témoignages personnels dramatiques avec l’injection génique se multiplient »
https://ripostelaique.com/des-temoignages-personnels-dramatiques-avec-linjection-genique-se-multiplient.html

Docteur Nicole Delépine, encore une excellente étude de sa part sur le scandale de la vaccination des enfants :
« Il faut stopper la publicité à la vaccination des enfants » 
https://ripostelaique.com/il-faut-stopper-la-publicite-a-la-vaccination-des-enfants.html

« Le Dr. Laurent Montesino Réanimateur – à coeur ouvert »
La vérité sur les traitements, les tests et procédures, sur l’efficacité des injections.
https://rumble.com/vkybzq-le-dr.-laurent-montesino-ranimateur-coeur-ouvert.html

Le témoignage de cet homme, directeur d’une entreprise de pompes funèbres australienne, est tout aussi important que courageux.
« Le témoignage capital d’un directeur des pompes funèbres » 
https://reseauinternational.net/un-temoignage-capital/
Autre source :
http://www.urantia-gaia.info/2021/09/21/un-temoignage-capital/#more-9853

« Les surprises d’analyses de sang de personnes vaccinées » Observations par plusieurs personnes, dans un laboratoire, d’anomalies sanguines dangereuses, sur une vidéo de microbiologie. Commenté en français.
La conclusion est qu’il s’agit d’un crime à grande échelle, de l’euthanasie collective.
https://rumble.com/vluavl-les-surprises-danalyses-de-sang-de-personne-vaccines.html




Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations

[Source : REINFOCOVID]

Il a circulé récemment sur les réseaux sociaux des allégations sur la présence non déclarée de nanoparticules (NP) d’oxyde de graphène (GO) dans les vaccins à ARNm contre la COVID-19. Cet article tente de faire le point au sujet des nanoparticules d’oxyde de graphène afin de démêler le faux du vrai. VERSION PDF

Les nanoparticules de graphènes (oxyde de graphène, oxyde de graphène réduit et graphène quantum dots) : Propriétés, applications, toxicité et réglementations

À RETENIR

  • Les études de toxicités des nanoparticules d’oxyde de graphène ne permettent pas encore une application pratique dans le domaine des médicaments, des vaccins ou des dispositifs médicaux.
  • L’élimination rapide par le système immunitaire des nanoparticules d’oxyde de graphène rend difficilement possible la thèse d’une administration frauduleuse.

Il a circulé récemment sur les réseaux sociaux des allégations sur la présence non déclarée de nanoparticules (NP) d’oxyde de graphène (GO) dans les vaccins à ARNm contre la COVID-19 (voir encadré). Certains sont même allés jusqu’à évoquer son utilisation (frauduleuse donc) pour une connexion des individus à la 5G et ont proposé des méthodes de détoxification au glutathion, N acétylcystéine (acides aminé précurseur du glutathion endogène), Zinc et autres [1]. Ricardo Delgado de La Quinta Columna [2] affirme avoir fait réaliser par des chercheurs espagnols des études observationnelles de doses de vaccin par microscopie optique et électronique, allant jusqu’à affirmer avoir dosé 747 ng de graphène. Certains sites vont jusqu’à affirmer que cette substance serait également présente dans les tests PCR, antigénique et les masques [3]. Mais il n’existe à ce jour aucune publication revue par des pairs.

Cet article tente de faire le point sur les propriétés physico chimiques, l’état de la recherche et les applications industrielles en cours, particulièrement dans les vaccins, la toxicité et la réglementation actuelle au sujet des nanoparticules d’oxyde de graphène afin de démêler le faux du vrai.

Composition du produit PFIZER (source : 
https://faqs.in.gov/hc/en-us/articles/360054190632-What-are-the-components-of-the-Pfizer-vaccine-shot-)

Ingredient actif

  • ARNm modifié codant pour la glycoproteine virale Spike du SARS-CoV-2

Lipides

  • (4-hydroxybutyl)azanediyl)bis(hexane-6,1-diyl)bis (ALC-3015)
  • (2- hexyldecanoate),2-[(polyethylene glycol)-2000]-N,N-ditetradecylacetamide (ALC-0159)
  • 1,2-distearoyl-snglycero-3-phosphocholine (DPSC)
  • cholesterol

Sels

  • potassium chloride
  • monobasic potassium phosphate
  • sodium chloride
  • basic sodium phosphate dihydrate

Autre

  • sucrose

1/ Propriétés chimiques et physiques de l’oxyde de grahène NP

Le GO est un isolant et un semi-conducteur électrique (cependant moins fort que le Graphène pur). Il s’agit d’une monocouche de carbone de structure hexagonale en nid d’abeille avec des groupes hydroxyde (OH) et carboxyliques COOH.

En raison de ses défauts dans la structure, des propriétés magnétiques locales ont été observées de différents types (ferromagnétique, paramagnétique, antiferromagnétique) du fait de ses propriétés semi-métalliques. Pour résumer, le magnétisme n’est pas une propriété inhérente du GO mais liée à la quantité de défauts de structures et son analyse physique est en cours.

Concernant le magnétisme des nanoparticules de ces composés, des recherches visent actuellement à régler deux problématiques pour activer leur magnétisme :

  1. la nécessité d’une consommation élevée d’énergie
  2. la contrainte d’un température ambiante (20°C) pour réussir à activer ce magnétisme

2/ Recherches et applications Industrielles

On distingue 3 structures : l’oxyde de graphène (GO), l’oxyde de graphène réduit (rGO) et le graphène quantum dots (GQD) qui sont des nanoparticules (donc de moins de 100 nm).

Les nanoparticules de GO sont actuellement étudiées et développées comme nano-supports pour une variété d’agents biologiquement actifs (biocatalyseurs, biocapteurs et médicaments).

De nombreuses applications utilisant des nanoparticules (NP) de GO sont envisagées :

  • Environnementale : formant des complexes avec des polluants organiques / métalliques, il peut être utilisé comme dépolluant, pour purifier l’eau (salée) en améliorant l’hydrophilie des membranes de purification et en facilitant la photo-oxydation des molécules polluantes de l’eau.
  • La production d’énergie par conversion de lipides en carburants par des lipases encapsulées.
  • Médecine : les quantum dots (nanocristaux semi-conducteurs) – de graphène et de nano-composites magnétiques (Fe3O4) offrent un ensemble unique de propriétés optiques et magnétiques pour les futures applications énergétiques et médicales. Ils peuvent également être utilisés en imagerie médicale comme agent de contraste. De plus, les propriétés magnétiques des nanoparticules Fe3O4 en font un excellent agent de contraste pour les applications IRM. Ils montrent également une excellente réponse à la luminescence lorsqu’ils sont exposés à la lumière UV, entraînant une émission de lumière visible.

Les GO peuvent être utilisés pour faciliter la pénétration et l’absorption d’anticorps, d’enzyme, des médicaments, des protéines. Cependant des limitations à l’usage et l’application des nanoparticules magnétiques telle que l’agrégation et la précipitation à l’intérieur des vaisseaux sanguins, peuvent entraîner de graves conséquences. Enfin il y a des applications potentielles en thérapies anticancéreuses par ciblage actif de cellules tumorales ou ciblage passif quand des NP chargées positivement s’accumulent au niveau des sites tumoraux en raison des fuites vasculaires et de la faiblesse du système immunitaire fonctionnel de la région. Toutes ces applications n’ont pas encore abouti à des applications commerciales concrètes.

3/ La nanotechnologie et les vaccins à base d’ARNm basés sur le SARS-CoV-2 

Les vaccins de Pfizer/BioNTech et Moderna utilisent un ARNm de synthèse protégé par une bicouche lipidique, elle-même constituée de nanoparticules lipidiques (McGill COVID19 Vaccine Tracker Team, 2021) afin de permettre l’entrée de l’ARNm dans la cellule. Il n’y a pas de GO déclaré par le fabricant.

Pourtant, les NP GO et Graphène ont retenu l’attention en raison de leurs propriétés antimicrobiennes et antivirales. Le graphène favorise l’absorption de médicaments et de macromolécules (acides nucléiques, protéines…). Gao et al., en 2020 [4] ont développé un nouveau vaccin contre le COVID-19 en utilisant la combinaison d’un nano adjuvant et d’oxyde de graphène. Cette étude, réalisée sur souris, montre que ce vaccin peut induire des anticorps anti-SARS-CoV-2 RBD à titre élevé neutralisant le SARS-CoV-2 chez la souris en 2 semaines. Les auteurs concluent sur l’efficacité du vaccin à induire une réponse immunitaire mais également sur la nécessité d’études complémentaires sur la dégradation du graphène in vivo afin de construire un vaccin répondant aux critères de sécurité et de biocompatibilité

Des équipes de recherches travaillant actuellement sur NP de GO-Polyethylène glycol- polyethyleneimine, dans le cadre du développement d’immunothérapies anticancéreuses, tentent de retarder leur phagocytose (absorption et destruction de molécules par certaines cellules immunitaires) afin de rendre possible leur utilisation dans de telles thérapies.

Un autre aspect limitant de son utilisation est la toxicité potentielle in vivo du graphène. Ce sujet de débat et le manque d’informations suffisantes pour autoriser légalement les applications humaines semblent sa commercialisation peu probable dans l’état actuel des connaissances. Ainsi, son instabilité et l’agrégation du graphène en solution sont un défi supplémentaire alors que la solution des médicaments et des vaccins a besoin de stabilité [5].

4/ Toxicité des nanoparticules (NP) d’oxyde de graphène (GO)

Le projet européen Graphene Flagship étudie la toxicité de ce matériau (environnemental, santé) du fait de l’utilisation prometteuse dans l’administration de médicaments, la bio-imagerie, l’ingénierie tissulaire, la biodétection [6]. Un rapport de 2016 de l’Agence suédoise KEMI fournit un état des lieux très complet en 2019 sur l’absorption et la biodistribution de NPs, étape cruciale avant la toxicité potentielle des NPs [7].

Leur toxicité est dépendante de la biodégradation qui dépend elle-même fortement du pourcentage d’oxygène, du type de groupes fonctionnels (comme des epoxy), des défauts, de la taille et du nombre de couches. Plusieurs mécanismes cellulaires de toxicité des nanomatériaux de GO ont été identifiés : le stress oxydatif (inflammation), dommages à l’ADN (impact de la réplication cellulaire), réponse inflammatoire ou encore la destruction cellulaire par différents mécanismes : apoptose, autophagie, nécrose.

Le GO serait dégradé par une enzyme (la myéloperoxydase) produite par des globules blancs (neutrophiles) arrivant sur un site d’infection.

Toxicité cutanée : Selon Wang et al, 2016 [8], la majorité des études existantes suggèrent que les graphène quantum dots (GQD) ont une toxicité in vivo et in vitro relativement faible et une excellente biocompatibilité, par rapport avec notamment l’oxyde de graphène (GO), les nanotubes de carbone et les semi-conducteurs conventionnels. Mais le profil de toxicité des GQD varie selon les tests et la production de GQD. Les GQD voient leur pénétration cutanée augmenter avec l’exposition aux UV ou si la barrière cutanée est détériorée. D’une manière générale l’absorption systémique dépend de nombreux facteurs comme la taille, la charge de surface, le revêtement des NP, l’agglomération des NP, la composition du milieu et son pH. D’une manière générale, par la voie cutanée, la voie de pénétration par les follicules pileux (cavité à la base du poil) serait considérable, surtout pour les petites NP inférieures à 20 nm.

En intramusculaire et en sous cutané chez la souris, les QD de carbone se diffusent rapidement depuis le point d’injection. Après 24h, il n’y a plus d’identification dans aucun organe, suggérant une élimination totale des nanoparticules de carbone. En injection sous-cutanée, ils se retrouvent dans les ganglions lymphatiques entraînant une importante réponse immunitaire rapide.

Administrées par voie intranasale, des NPs de polymères de carbone polyanhydre sont aussi rapidement dispersées. Certaines, hydrophobes, peuvent persister cependant dans le tissu pulmonaire. D’une manière générale, les NPs par voie intranasale, surtout quand elles sont très petites, traversent la muqueuse olfactive et sont véhiculées en quantité importante dans le bulbe olfactif et autres parties du cerveau.

Injectés directement dans le sang, les quantum dots (QD) se retrouvent principalement dans le foie, la rate et les reins, qui sont les organes de « détoxifications » et en faible quantité dans le cerveau (0.1%). D’une manière générale, injectées dans le sang, les NP, en fonction de leur taille et de leur charge, peuvent subir une adsorption ou une opsonisation (= liaison à un anticorps) par les protéines sériques. Cette opsonisation favorise sa clairance (la purification par cette voie dépend de la taille des particules : plus le diamètre est grand, plus la clairance est cependant ralentie). Les cellules endothéliales qui tapissent les vaisseaux sanguins, forment une barrière semi-sélective selon la taille des nanoparticules : au niveau de l’endothélium vasculaire, des pores de 5nm permettent le passage des QD, ce qui fait qu’ils atteignent rapidement l’espace extracellulaire extravasculaire alors que les plus grandes >5nm restent plus longtemps dans la circulation sanguine où elles subissent une phagocytose et sont donc évacuées.

En résumé, les NP de Graphène (Go, G, GQD) sont d’autant plus toxiques que leur taille est grande (micron). Les groupements époxy du GO peuvent entraîner un stress oxydatif (inflammation) pouvant conduire à la mort cellulaire. Elles sont cependant plus facilement dégradées par des enzymes comme les peroxydases.

Des études visant à réduire leur toxicité en les liant à des polymères biocompatibles sont actuellement en cours. A l’heure actuelle, la toxicité du graphène est encore insuffisamment définie et seuls les effets aigus (court terme) et subaigu (moyen terme) ont été déterminés.

Le schéma de distribution des NP confirme que les molécules sont phagocytées et donc rapidement neutralisées. Cette distribution et leur accumulation/dégradation dépendent de la taille, la forme et la charge de surface des particules mais également de l’organe cible, le flux sanguin, le nombre de cellules phagocytaires.

5/ Réglementation

L’UE ne précise pas de consignes particulières concernant les nanomatériaux utilisées dans les dispositifs médicaux, il y a peu de détails dans le règlement 2017/74/CE mais d’autres Réglementations Européennes telles que REACH 1907/2006/CE (qui concerne la mise sur le marché des produits chimiques) considèrent les propriétés et dangerosités propres aux nanomatériaux.

Il existe un guide du comité scientifique dédié aux risques émergents (SCENIHR) de 2015 qui précise certaines recommandations pour l’évaluation des risques sanitaires et environnementaux des nanomatériaux. Ces risques sont principalement liés aux NP libres dans les dispositifs médicaux et la durée d’exposition ainsi que la nécessité d’étudier la distribution et la persistance dans des organes spécifiques.

L’oxyde de graphène (GO) n’est pas officiellement classifié selon le règlement relatif à la classification, à l’étiquetage et à l’emballage, CLP 1272/2008/CE. Il existe cependant une Valeur Limite Professionnelle de 3.6 mg/m3 par inhalation.

Il est à noter également, que les nanomatériaux de la famille du graphène ne sont pas approuvés par la FDA aux États-Unis pour la consommation humaine. Selon la FDA, le graphène, l’oxyde de graphène et l’oxyde de graphène réduit provoquent des effets toxiques à la fois in vitro et in vivo et leurs utilisations ne sont donc pas autorisées.

RETOUR à LA RUMEUR ….

La présence de l’oxyde de graphène dans le vaccin est née d’une observation au microscope électronique à transmission demandée par R. Delgado Martin au Prof. Dr. Pablo Campra Madrid (Ecole supérieure d’ingénieurs Univ. Almeria, Espagne). Il ne s’agit donc pas d’un travail de recherche revu par des pairs mais d’une commande privée. Ce dernier a rendu un rapport non publié dans une revue à comité de lecture. Il a comparé le résultat à un article de Choucair publié en 2009 dans Nature Nanotechnology [9] montrant une observation de graphène. La lecture de ces deux publications souligne deux points qui s’opposent à la présence supposée d’oxyde de graphène dans les vaccins à ARNm :

  1. La publication de référence (Choucair et al., 2009) montre une analyse en microscopie électronique de graphène obtenu par pyrolyse et non d’oxyde de graphène. L’obtention de l’échantillon par pyrolyse confirme que cette référence ne montre pas un oxyde de graphène.
  2. Cette analyse proposée par Delgado est basée sur des observations par diverses techniques et il est surprenant qu’elles n’aient pas été confirmées par une analyse chimique qui validerait le résultat et la substance observée dans l’échantillon étudié.

C’est d’autant plus surprenant qu’un brevet, intitulé « Vaccin recombinant nano-coronavirus prenant de l’oxyde de graphène comme vecteur » a été déposé par Shanghai National Engineering Research Center for Nanotechnology Co Ltd depuis le 27 Septembre 2020 et n’a à ce jour pas été accepté [10].

CONCLUSION

Face à la crainte légitime qu’inspire actuellement le projet transhumaniste, il est compréhensible de s’interroger sur les intentions et applications possibles et souhaitables pour l’humanité.  Cependant il faut bien distinguer les utilisations existantes, possibles et potentielles.

L’oxyde de graphène peut jouer un rôle de vecteur ou de ciblage comme le montrent certains projets de recherche biomédicale en cours. Mais, à ce jour, peut-on répondre de la manière la plus objective possible, à la question : est –il possible qu’il y ait de l’oxyde de graphène dans les vaccins et pourquoi y en aurait-il ?

Au regard de la réglementation, les études de toxicités des NP de l’oxyde de graphène ne permettent pas encore une application pratique dans le domaine des médicaments, des vaccins ou des dispositifs médicaux. Si des progrès certains sont à noter dans le domaine de leurs propriétés de surfaces pour améliorer leur biosolubilité et leur biocompatibilité, il reste encore trop de données manquantes en toxicité in vivo, mais aussi en cancérogénèse, mutagénèse et génotoxicité ainsi que dans la compréhension de la phagocytose dans les monocytes (foie, rate, ganglions lymphatiques). Ces données issues de tests standardisés sont nécessaires aux fins d’autorisation réglementaire et cela exclut l’usage actuel dans le domaine des vaccins, même si cela est envisagé.

Dans le cas des « vaccins » actuels contre la COVID-19, administrés en injection intramusculaire, l’élimination rapide par phagocytose des nanoparticules d’oxyde de graphène rend difficilement possible la thèse d’une administration frauduleuse en vue d’une connexion furtive à la 5G qui plus est. Il paraît plus probable que si une telle connexion était à envisager entre un serveur et un individu, elle se fera d’abord par des objets connectés portés de manière volontaire ou contrainte (smartphones), puis par une micropuce sous-cutanée implantée, mais pas via une injection systémique de NP dispersées censées s’accumuler dans un organe (cerveau, cœur…), compte tenu de leur élimination rapide que ce soit par réactions d’oxydation pour le GO ou par phagocytose pour le graphène. Par la voie systémique, l’utilisation à venir dans un avenir proche ne peut qu’être ponctuelle comme en imagerie ou en thérapie anticancéreuse par exemple.

BIBLIOGRAPHIE

[1] https://rumble.com/vkipvb-comment-degrader-loxyde-de-graphene-version-franaise.html

[2] https://www.henrymakow.com/upload_docs/4_5976673186836646447.pdf

[3] https://chemicalviolence.com/2021-07-14-spanish-study-pfizer-vaccine-toxic-graphene-oxide.html

[4] Gao A., Liang H., Shen Q., Zhou C., Chen X.M., Tian J., …Cui D. Designing a novel nano-vaccine against SARS-CoV-2. Nano Biomedicine and Engineering. 2020;12(4):321–324.

[5] Ghaemi F, Amiri A, Bajuri MY,Yuhana NY,Ferrara M, Role of different types of nanomaterials against diagnosis, prevention and therapy of COVID-19. Sustainable Cities and Society, 25 May 2021, 72:103046

[6] https://graphene-flagship.eu/

[7] https://www.kemi.dtu.dk/nyheder/2019/07/opening_the_door_to_hybrid_2d_materials?id=363e4fee-645b-42ba-8aa1-ce8ca23528e6

[8] S. Wang, I. S. Cole, and Q. Li, “The toxicity of graphene quantum dots,” RSC Advances, vol. 6, no. 92, pp. 89867–89878, 2016.

[9] Mohammad Choucair, Pall Thordarson and John A. Stride, 10.1038/NNANO.2008.365 “Gram-scale production of graphene based on solvothermal synthesis and sonication, Feb 2009.

Uptake and biodistribution of nanoparticles – a review, Report 12/16, Swedish Chemicals Agency. Stockholm 2016

[10] Nano coronavirus recombinant vaccine taking graphene oxide as carrier (depuis 27/9/2020) par Shanghai National Engineering Research Center for Nanotechnology Co Ltd
https://patents.google.com/patent/CN112220919A/en




Modèles de procédures pour les soignants contre l’injection forcée de substance génique expérimentale

[Source : BonSens.org]

En étroite collaboration entre médecins, avocats, juristes et scientifiques, nous mettons à la disposition des avocats de tous les soignants des informations juridiques à télécharger ci-dessous afin de contribuer à leur défense contre l’injection forcée de substances géniques expérimentales :

1  Modèle de RÉFÉRÉ (procédure rapide) au Tribunal Administratif avec recueil d’informations scientifiques inclus – demande de suspension – Me JP JOSEPH
(PDF et WORD)

2  Modèle de procédure au FOND au Tribunal Administratif avec recueil d’informations scientifiques inclus  – demande d’annulation – Me JP JOSEPH (PDF et WORD)

3 Eléments juridiques de Me ARAUJO RECCHIA

4  Rapport scientifique du Dr STUCKELBERGER  – Experte pour l’OMS et l’UE et Curriculum Vitae

Brevet CN112220919A sur les nanomatériaux, notamment sur l’oxyde de graphène utilisé comme véhicule des outils biologiques

NOTA 1: Les éléments juridiques et scientifiques présents dans ces documents peuvent bien entendu être utilisés par les avocats diligentant les procédures prud’homales pour les salariés du privé.

NOTA 2 : Les avocats des soignants pourront prélever ces informations juridiques et scientifiques afin de compléter les mémoires ou assignations selon les spécificités de chaque dossier.

NOTA 3 : L’utilisation du rapport scientifique du Dr STUCKELBERGER – experte pour l’OMS et l’UE – est fortement recommandée dans vos procédures judiciaires afin d’informer les Magistrats des dangers de ces injections forcées.

NOTA 4 : La communication du brevet CN112220919A aux Magistrats semble indispensable également afin d’expliquer l’utilisation de l’oxyde de graphène comme véhicule des outils biologiques à usage génétique dans les “vaccins anti covid”.

Pour TÉLÉCHARGER :

1- Modèle Référé format DOC

1- Modèle Référé format PDF

2- Modèle Procédure de Fond format DOC

2- Modèle Procédure de Fond format PDF

3- Eléments juridiques Me ARAUJO RECCHIA

4- Rapport Scientifique Dr Stuckelber

5- Brevet sur les nanomatériaux (notamment oxyde de graphène)




Le test de résilience au covidisme d’État

[Source : (plumenclume.org]

Par Sébastien Renault

L’avantage des dictateurs, c’est qu’ils incitent à une mise à jour régulière de la santé mentale des peuples qu’ils victimisent, contribuant par-là, malgré eux, à la réviviscence de la conscience de leurs victimes et à la réappropriation des principes moraux qui président toujours à la construction individuelle et sociale d’êtres rationnels et libres. Macron et consorts ne font pas exception, il faut les en remercier.

La société dans laquelle nous vivons depuis des décennies était mûre pour une prise de contrôle dictatoriale des esprits bien avant l’émergence de la grande supercherie covidique d’État. La lucidité et l’honnêteté intellectuelle nous forcent à le reconnaître.  

Les malfaiteurs en chef, nouveaux dictateurs patentés à la solde de l’idéologie mondialiste et auxquels nous avons nous-mêmes donné le pouvoir, sont devenus de plus en plus puissants, sans rencontrer la moindre opposition notable, en raison de notre propre lâcheté et complicité consommatrices vis-à-vis d’un système pourtant frauduleux et pourri jusqu’à la moelle. Le problème de fond ne découle donc pas seulement des criminels qui sont derrière la « Grande Réinitialisation », mais bien de notre propre concours, jusqu’à une date récente au moins.

Dans un premier temps, l’esprit sainement septique, face aux escrocs politico-médiatiques en charge du discours officiel dogmatique, s’est développé sur le terrain délétère et contagieux de la peur, et nous avons vu la tromperie reprendre de plus belle.

D’où la pertinence de l’analogie du terrain et du virus, qui s’appuie sur la différence de paradigmes fondamentaux pour l’étude des maladies infectieuses, paradigme de l’origine interne de la maladie d’un côté ; paradigme canonique de son origine extrinsèque par l’intermédiaire de micro-organismes de l’autre. À la vue de ce qui se passe depuis maintenant un an et demi, on peut faire valoir que si les populations, analogues du terrain, n’étaient pas des proies aussi faciles, alors les élites et l’empire GAFAM, analogues du virus, ne pourraient pas si aisément les infecter.

Le déphasage fondamental entre la perception et la réalité de ce qu’on appelle, depuis début 2020, la « pandémie Covid-19 », continue de rendre possible ce phénomène psychoculturel que nous avons baptisé, dès les premiers mois de focalisation sanitaire monomaniaque et de sécuritarisme auto-aliénateur, le COVID-isme.

Le covidisme rime avec travestissement éhonté de la science. Il rime également avec hygiénisme scientiste – qui n’est évidemment pas la science (la science n’étant pas fanatique, comme le sont au contraire l’hygiénisme et le scientisme). Il rime encore avec lâcheté collaboratrice, qui sait toujours se présenter sous des airs de supériorité vertueuse et éclairée. Il rime, de surcroît, avec redéfinition de la santé par l’absence fantasmagorique d’influence virale (par-dessus tout du coronavirus), culpabilisation des innocents, interventionnisme étatique, obligation vaccinale, effémination de la société, nouvel obscurantisme, éclipse de la raison, dogmatisation de l’absurde sanitaire, …

[Note de Joseph :
Là société est-elle vraiment rendue « efféminée » (comme le pensent notamment ceux qui l’ont comparée à une jeune fille) ou plutôt infantilisée ?
Pour déterminer laquelle des analogies est la plus fidèle à la réalité observée, il est nécessaire de rappeler au moins brièvement les caractéristiques masculine, féminine et de l’enfant, adolescent y compris.
Le comportement et le tempérament de l’être humain découlent en grande partie de la biologie et des traditions ancestrales depuis notamment les sociétés primitives de chasseurs-cueilleurs.
Le masculin se caractérise ainsi plutôt par l’usage de la force physique, la tendance à l’action impulsive (par réflexe plutôt que sous l’effet d’une longue réflexion), l’exploration du monde, le goût pour la lutte et la compétition, l’esprit de conquête ou de domination, l’agressivité, la brutalité, le courage physique, la détermination, la prédation, la bestialité, le goût pour le bricolage, l’agitation, etc.
Le féminin se caractérise plutôt par la douceur, la tendresse, la réceptivité, la sensibilité, l’attention, les aptitudes éducatives, la fragilité, la tendance à protéger, le goût pour la décoration, la possessivité, la patience, le dévouement, la frivolité, la coquetterie, le courage moral, etc.
Si, dans la ligne ou la logique de l’inversion des valeurs et des choses, les femmes, sous l’impulsion du féminisme, ont tendance à développer des caractéristiques masculines, et, par réaction, les hommes ont tendance à développer des caractéristiques féminines, les deux polarités ont globalement tendance à trouver un certain équilibre, même si celui-ci reste instable et peut être dans certains pays plus marqué vers le féminin.
L’enfant lui est plutôt caractérisé par l’insouciance, le goût pour les jeux, le besoin d’être rassuré, le besoin d’attention, l’irrationalité, la curiosité, l’égocentrisme, le développement émotionnel, l’immaturité, la recherche des limites, les caprices, le manque ou la recherche de confiance en soi, etc.
L’adolescent y ajoute la rébellion, l’affirmation de soi, la recherche d’émancipation, l’angoisse existentielle, les changements rapides d’humeur, le développement mental et du raisonnement, etc.
Maintenant, quelles sont les caractéristiques de nos sociétés, au moins dans le monde occidental ?
Elles sont plutôt caractérisées de nos jours par l’irresponsabilité, l’égoïsme, le matérialisme, la recherche d’émotions fortes, la tendance aux loisirs, le goût pour la facilité, l’absence d’efforts, l’individualisme tout en recherchant le contact des foules ou des autres par instinct grégaire, la tendance à s’en remettre aux gouvernements et aux pouvoirs locaux, le manque de volonté, l’alignement sur la pensée unique ou commune, l’absence de questionnements, la faiblesse morale, la légèreté, la superficialité, l’absence de profondeur, le conformisme, etc.
De telles caractéristiques se rapprochent davantage de celles que l’on trouve chez l’enfant ou éventuellement l’adolescent et ne sont pas vraiment liées aux différenciations entre le masculin et le féminin ou au contraire peuvent parfois puiser dans les deux polarités, plutôt d’ailleurs par le manque que par la présence des caractères. Ainsi en est-il notamment de l’absence de courage. La masse des individus, et donc la société en général, tend à manquer à la fois de courage physique (caractère plutôt masculin) et de courage moral (caractère plutôt féminin). Par ailleurs, entre les tendances infantiles et celles de l’adolescence, le grand conformisme civilisationnel et la tendance à suivre les consensus et la pensée unique sont plutôt à l’opposé des tendances rebelles d’un adolescent et auraient bien plus à voir avec l’enfance. La forte et croissante tendance ludique et frivole se trouve elle autant chez le jeune enfant que chez l’ado.]

Ces derniers mois, tous ceux qui se sont courageusement évertués à mettre en garde les populations à la fois contre les dangers d’injections en phase expérimentale (alors qu’il existe déjà, comme nous le savons tous, des médicaments efficaces pour traiter les patients atteints du SARS-CoV-2) et contre la duperie de leur efficacité à triompher du virus, ont été censurés et ridiculisés comme des complotistes et des propagateurs de désinformation.

Après la proscription de traitements comme l’hydroxychloroquine [1] et l’ivermectine [2] (qui auraient pu sauver des centaines de milliers de vies), l’abolition pratique du serment d’Hippocrate et celle du consentement éclairé, voici donc venue la canonisation du « vaccin » mondialiste sous autorisation conditionnelle de mise sur le marché… Autant de faits vastement documentés et criants de scandale qui serviront, en son temps, au jugement de l’histoire.      

En attendant, que nous disent les faits du phénomène Covid politico-sanitaire à l’heure d’aujourd’hui ? En cette fin d’été 2021, la contagiosité grandissante des personnes complètement « vaccinées » parle d’elle-même. Après les flots d’aboiements accusatoires par les divers porte-drapeaux de l’autoritarisme sanitaire inflexible à l’encontre des pestiférés non-vaccinés, retour à la réalité parfaitement prévisible : le phénomène de transmissibilité aggravée du virus, en ces dernières semaines d’été, est principalement vectorisé par les vaccinés contaminés.

En appliquant à cette situation factuelle une manière toute covidique de raisonner, il faudra donc dire que ce sont ces nouveaux vecteurs vaccinés qui représentent aujourd’hui la principale menace pour la santé publique. Ce que confirment par ailleurs les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), qui les ont récemment identifiés comme des « super-diffuseurs » de nouveaux « variants » du SARS-CoV-2 [3].

Le 30 juillet dernier, les CDC ont publié un rapport d’enquête faisant état des nouvelles émergences d’infection vraisemblablement conditionnées dans le cadre d’importants rassemblements publics (où l’on suppose que le phénomène dit de « super-diffusion » se produit. Le document commence par admettre ce qui suit [4] :

« […] Environ trois quarts (346 ; 74 %) des cas sont survenus chez des personnes entièrement vaccinées (celles qui avaient complété un traitement de 2 doses de vaccin ARN messager [Pfizer-BioNTech ou Moderna] ou bien n’avaient reçu qu’une seule dose du vaccin Janssen [Johnson & Johnson] ≥14 jours avant l’exposition). […] Dans l’ensemble, 274 (79 %) patients vaccinés présentant une infection émergente étaient symptomatiques. Parmi les cinq patients atteints de la maladie COVID-19 qui ont dû être hospitalisés, quatre étaient complètement vaccinés… »

Les efforts déployés par le lobbying vaccinal absolutiste en vue d’inoculer le plus grand nombre de personnes possibles lors d’une pandémie à peine définissable comme telle (à la lumière de l’estimation du taux d’incidence des cas de SARS-CoV-2 en France à l’heure d’aujourd’hui [5] et de la spécification française du seuil épidémique des syndromes grippaux [6]), finissent toujours par déboucher sur des mutations virales qu’aucun vaccin, pas même au sens propre du terme, ne peut efficacement juguler. Encore moins des « vaccins » dont l’efficacité et la sécurité à long terme n’ont pas encore été testées (puisqu’il faut des années de recul pour parvenir à des conclusions probantes), sinon sur les populations elles-mêmes…

La mise en échec par les faits de la religion covidico-vaccinale absolue

En jouant comme toujours sur la peur et les sentiments, le gouvernement et ses relayeurs médiatiques habituels ont continué à pousser coûte que coûte la stratégie du radicalisme vaccinal comme solution consacrée, dans leur narrativité mystificatrice, par son « efficacité ». Les incompétents au pouvoir, dans leur folie covidique avancée, ont ainsi persévéré dans l’incompétence et l’arrogance qui les caractérisent depuis le début de la crise, oubliant que l’OMS elle-même a souligné à plusieurs reprises que la « vaccination » ne supprime pas le virus. 

Les médias se sont gargarisés tout l’été du slogan flagellateur de « pandémie des personnes non-vaccinées ». Sous-entendu, dans leur narrativité mystificatrice et détractrice : les personnes qui n’ont pas reçu l’injection expérimentale mondialiste constituent la majorité des personnes hospitalisées et des décès dus à la propagation du « variant delta ». Un mensonge éhonté !

Il s’agit toujours des mêmes procédés d’intimidation par les détenteurs de la bonne conscience extrémiste scientiste et humanitaire. Pour eux, toutes les contrevérités se justifient, puisque l’intégrisme de leur proposition, « hors du vaccin, pas de salut », ne saurait souffrir le doute des gens suffisamment éclairés. Tous les moyens sont donc légitimes, y compris l’atteinte aux libertés fondamentales, la diffusion de fausses nouvelles et la promotion discriminatoire, même s’ils plaident par ailleurs en faveur de tout ce qui est « antidiscriminatoire » – bienséance politicienne oblige (ne relevez pas ici la contradiction, même si elle est évidente, car elle est, elle aussi, « justifiée »).

En réalité, le nombre de cas positifs chez les personnes ayant reçu une ou plusieurs doses de l’injection expérimentale augmente régulièrement depuis la mi-juillet, comme l’attestent notamment les données de santé publique d’outre-Manche, d’Israël et d’Islande.

Au 21 août dernier, 62 % des patients britanniques hospitalisés et âgés de plus de 50 ans avaient reçu deux doses de l’injection expérimentale AstraZeneca-Oxford, contre 13 % n’en ayant reçu qu’une seule. Au total, les personnes « partiellement » ou « complètement » inoculées représentaient donc 75 % des nouvelles hospitalisations outre-Manche.

Il en va de même pour les personnes malheureusement décédées. Dans le groupe des plus de 50 ans, la nette majorité des patients (70 %) avaient reçu soit une ou deux doses du composé à vecteur adénovirus d’AstraZeneca-Oxford.

On ne sait pas si les hôpitaux britanniques désignent encore comme « patient Covid » toute personne ayant été admise et dont le test PCR est déclaré « positif ». Si tel était encore le cas (comme ça l’est, notamment dans de nombreux établissements aux États-Unis), les personnes souffrant de pathologies ne présentant aucun symptôme du SARS-CoV-2 pourraient être indûment comptées dans la catégorie des « patients non vaccinés » (histoire de maintenir aussi longtemps que possible le statu quo narratif).

En Israël, où l’adoption de l’injection expérimentale a été très élevée en raison des restrictions draconiennes de liberté imposées aux personnes qui ne s’y soumettraient pas, les données montrent que les personnes ayant reçu au moins deux doses du cocktail mondialiste sont 6 à 7 fois plus susceptibles d’être infectées que les personnes bénéficiant d’une immunité naturelle [7].

Le fameux laboratoire israélien grandeur nature n’entend d’ailleurs pas en rester là, puisque plus d’un million de ses citoyens âgés de 50 ans et plus ont déjà reçu un troisième rappel de l’injection à ARN messager concoctée par Pfizer-BioNtech. Les nouveaux cas de contamination ne s’en multiplient pas moins à l’heure actuelle à une vitesse croissante.

Selon Uri Shalit, bio-informaticien au Technion (l’Institut israélien de technologie) :

« Il y a tellement d’infections émergentes qu’elles s’avèrent prédominantes, et la plupart des patients hospitalisés sont en fait vaccinés. » [8]

Dvir Aran, expert en données biomédicales également au Technion, avertit les autres nations tentées de s’inspirer du modèle israélien pourtant catastrophique :

« Ne pensez pas que les rappels soient la solution. »

Dans leur étude mise en ligne le 25 août 2021 [9], Sivan Gazit et coauteurs montrent, comme nous l’avons pointé plus haut, que la protection naturellement conférée par une infection antérieure est largement supérieure à ce que peut conférer l’injection de Pfizer-BioNTech.

Ces chercheurs ont également suivi de près l’évolution récente des infections dites « émergentes », et leurs études indiquent que les personnes « vaccinées » sont jusqu’à 13 fois plus susceptibles de contracter le variant covidien « delta » que les personnes « non-vaccinées » et déjà rétablies d’une infection par le SARS-CoV-2.

L’étude indique également que les personnes « vaccinées » présentent toujours un risque plus élevé d’hospitalisations liées au SARS-CoV-2 par rapport aux personnes « non-vaccinées » ayant déjà été contaminées par le virus. Plus précisément, les personnes « vaccinées » qui n’ont pas été infectées auparavant par le SARS-CoV-2 présentent désormais un risque près de 6 fois plus élevé de vectoriser l’infection dans sa nouvelle forme dite « delta » …

D’après ces données, il semble assez clair que les différentes injections « miracles » des grands cartels pharmaceutiques à la tête de la « guerre » génique expérimentale anti-Covid ne protègent pas les personnes de plus de 50 ans (sans entrer ici dans les détails des effets indésirables graves et non graves par tranches d’âge [10] potentiellement liés aux produits dits « vaccinaux » anti-Covid). De sorte que le déploiement des injections de rappel dans ces pays (pour une quatrième, puis une cinquième, puis une sixième dose, etc.) ne fait pas l’ombre d’un doute (car l’évidence de l’échec ici n’entrave nullement la détermination covidique officielle vis-à-vis de l’efficacité des « vaccins », porteurs contemporains du salut). Et il y a tout lieu de penser que les mêmes tendances apparaîtront prochainement dans d’autres pays, à commencer par la France (chose déjà en vigueur pour ce qui est de la troisième dose [11]).

Comme toujours depuis que le monde entier est en proie à un projet d’essai « vaccinal » unidimensionnel sous prétexte dela propagation du SARS-CoV-2, il est de mise de rappeler qu’un vaccin, au sens propre du terme, doit non seulement stimuler une réponse immunitaire chez le patient qui le reçoit, mais encore perturber la transmission de tel ou tel pathogène x ou y.

Ce n’est pas ce que fait l’ARN messager des injections dites « anti-Covid », dont l’information entre directement dans les cellules des personnes aujourd’hui inoculées en masse. Ce produit est un traitement synthétique (au sens où il consiste fondamentalement en la synthétisation de nanoparticules toxiques, appelées protéines de pointe), qui n’est pas conçu pour faire obstacle à la transmission du virus. Outre le mécanisme spécifique de l’ARN messager dans la production de protéines de pointe conformes au principe actif du SARS-CoV-2, la présence attestée d’oxyde de graphène, sur laquelle nous allons succinctement revenir ci-dessous, est fortement susceptible d’expliquer la montée actuelle de multiplication des nouveaux cas d’infection comprenant un grand nombre de personnes déjà plusieurs fois inoculées.  

À noter enfin qu’en Italie, l’extrémisme vaccinal n’est pas non plus en reste, avec la récente menace émise par l’ancien président de la Banque centrale européenne, l’actuel Premier ministre Mario Draghi, de rendre l’inoculation anti-Covid obligatoire pour tous [12]. Draghi attend de l’Agence européenne des médicaments (AEM) le feu vert de leur accord complet pour faire sauter la liberté au nom du covidisme qu’il professe. Le gouvernement italien, comme en France, a déjà rendu obligatoire la « vaccination » des travailleurs médicaux s’ils veulent être rémunérés.

Divergence de base virale : « en guerre » contre « quoi » ?  

Dans leur bienveillance affectée, les pouvoirs publics accordent aujourd’hui au peuple une liberté conditionnelle, qui n’est donc plus un droit naturel (au sens de droit fondamental et inaliénable), mais plutôt un privilège qui s’octroie ou non – cela dépend de la volonté des citoyens de se conformer à ce qui a été décidé pour eux par le « Conseil de défense et de sécurité nationale » (puisque nous serions « en guerre »), pour leur « plus grand bien » (c’est évident, il faudrait être tombé dans le piège du complotisme pour penser le contraire).

En guerre, mais contre qui exactement ? Ou plutôt, contre quoi ? Contre la liberté certes, cela est désormais explicitement entériné par les mesures en place, notamment un apartheid sanitaire. Mais en « guerre » déclarée, en premier lieu, sous prétexte de la mener à l’encontre d’un certain virus (chose en soi des plus absurdes), dont l’identité aurait néanmoins peut-être échappé aux va-t-en-guerre patentés de la nouvelle sanitocratie universelle.

Que voulons-nous dire ? Que Fauci et ses acolytes des CDC et de l’Institut Pasteur sont soupçonnés, non sans raison, de ne pas avoir disposé de la base virale entièrement développée du SARS-CoV-2 ; base à partir de laquelle il serait possible de calibrer un test de dépistage standard propre à la détection de ce virus particulier.

Un document [13] mis en ligne le 21 juillet dernier par l’Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux (la FDA) semble en effet indiquer que les CDC et la FDA, faute d’échantillons physiques du SARS-CoV-2, ont échafaudé un protocole de test destiné à la détection massive du « coronavirus » sur la base de cellules humaines immunitaires et épithéliales combinées à des fragments de rhinovirus (d’où procèdent les formes annuelles de la rhinopharyngite).

Or, sans matériel génétique de référence pour calibrer et confirmer le PCR, le test n’a aucune base scientifique dans le domaine de la réalité physique proprement dite. Par conséquent, si la chose était corroborée, la crédibilité matricielle de l’analyse PCR basée sur ledit protocole serait des plus douteuses (avant même de parler des amplifications de cycles qui ont eu cours sans vergogne dans le monde entier depuis plus d’un an). Car nous aurions alors affaire à une méthode falsifiée à la racine même de ce qui est devenu le test standard de dépistage PCR.

L’avantage de cette falsification est bien sûr facile à comprendre, si l’objectif était de répertorier le plus grand nombre de personnes possibles comme patients ayant été testés « positifs », donc infectés par le SARS-CoV-2, quand bien même elles ne présenteraient rien d’autre que d’infimes quantités de fragments d’ARN issues d’autres souches des Coronaviridae – d’infections virales révolues des mois auparavant, mais encore détectables au sein de l’appareil respiratoire des patients testés tous azimuts depuis le début de la crise sanitaire Covid-19.

Si, comme le document semble l’indiquer, les chercheurs travaillant au sein de l’orbite « faucien » ne purent fournir « d’isolats quantifiés du 2019-nCoV à l’usage des CDC » lors de la mise au point de ce qui allait devenir le test standard universel de dépistage PCR (à noter que la défectuosité du protocole du test PCR est désormais admise par les CDC, qui l’interdiront en conséquence d’ici la fin de l’année, affaire à suivre), c’est qu’en lieu et place de tels échantillons de référence proprement isolés, le profil de base de la maladie virale « faucienne » ne présente rien d’autre qu’un composé multicellulaire de souches de virus grippaux et de rhumes banals.

Dans la logique interne de cette histoire somme toute curieuse, les tests de dépistage PCR ont donc été configurés de manière à détecter chez les patients testés les séquences génétiques obtenues initialement à partir de banques de données numériques artificielles (donc plus ou moins forgées à partir de cellules épithéliales alvéolaires et de fragments d’ARN inventoriés de quelques picornaviridés et autres virus grippaux saisonniers communs).

Aucun médecin ou chercheur n’ayant isolé le SARS-CoV-2 à partir d’un patient infecté et symptomatique, aucun instrument de laboratoire ne peut être proprement calibré contre les caractéristiques dictées par son statut référentiel physique. En conséquence, les tests s’appuient simplement sur les propriétés des bases de données diffusées par les CDC et l’OMS, en utilisant le terme « Covid » comme étiquette numérique de référence ubiquitaire.

Cela expliquerait par ailleurs pourquoi la grippe saisonnière a quasiment disparu en 2020… Tous ceux ou presque qui en sont réellement tombés malades se sont vus attribuer, par défaut, le diagnostic « Covid » …

Il est vain de faire la guerre à un virus, puisqu’un virus ne fait qu’exécuter un programme naturel de perpétuation de lui-même, sans intelligence réflexive libre ni la moindre volonté de détruire qui que ce soit. Oui, le virus de Fauci et consorts est bien là, fabrication mondialiste au service d’un plus grand projet mondialiste. Son identité réelle (variée et variante) demeure néanmoins évasive, quoiqu’inscrite, d’abord, dans un profil de bases virales connues. Tout semble avoir été pensé pour protéger les différents coupables à court et à long terme, et finalement les exonérer (comme on le fait déjà aujourd’hui en accordant l’immunité aux consortiums pharmaceutiques), alors qu’on pénalise collectivement les victimes de cette grande expérimentation covidique mortifère.

Oxyde de graphène : confirmation (dans le silence médiatique)

À la fin du mois d’août, les résultats d’un chercheur américain, le docteur Robert O. Young, ont été rendus publics sous la forme d’un article approfondi intitulé Scanning & Transmission Electron Microscopy Reveals Graphene Oxide in CoV-19 Vaccines (une traduction en a été relayée ici sur ce site).

Nous conseillons fortement la lecture de cet article, ainsi que l’examen attentif des diverses images provenant de la microscopie électronique en transmission, des tableaux, des schémas et des graphiques particulièrement intelligibles que fournit l’auteur.

Il ne s’agit nullement de « complotisme », mais bien de science et de recherche protocolaire détaillée, faisant certes dissensus par rapport au discours public ambiant (lequel se fait l’écho du chantage gouvernemental à la liberté pour engendrer un alignement anti-libéral collectif).

Ce n’est pas notre propos de récapituler ici le contenu de cet article. Mais nous en prenons acte pour mettre en exergue les résultats remarquables de cette enquête scientifique (contre l’omission prévisible de la part des médias globaux) et ajouter quelques réflexions complémentaires. Le principal résultat que confirme cette étude, et qu’il convient de souligner en premier lieu, est le suivant : le signal d’absorption des faisceaux nanoparticulaires identifiés dans les flacons d’injections « vaccinales » (de Pfizer, de Moderna, d’AstraZeneca et de Janssen), lorsqu’on l’analyse au moyen de la microscopie électronique en transmission, indique que ces produits contiennent des quantités importantes d’oxyde de graphène, un composé carbonique caractérisé par sa très haute conductivité électrique. Chose qui avait déjà été esquissée et observée il y a plusieurs semaines par des chercheurs espagnols, mais qui nécessitait un protocole et des outils technologiques particuliers pour être corroborée par différents chercheurs dans différentes régions du monde. C’est désormais le cas. On notera au demeurant que le problème, en tant que tel, de la toxicité des nanoparticules d’oxyde de graphène, a été traité auparavant et diffusé dans le domaine public à travers diverses publications scientifiques [14].

Autre élément notoire, le fait que l’oxyde de graphène tient lieu d’ingrédient « masqué » dans les produits géniques expérimentaux présentés au public comme « vaccins » (les brevets ne le divulguent pas, contrairement à tous les autres ingrédients). Pourquoi une telle dissimulation ?

Or, on constate que les troubles de coagulation (sous forme de micro-caillotages tout-à-fait symptomatiques), plus encore que les myocardites, les maladies à prions, les divers problèmes de reproduction et autres complications à foison, sont non seulement les plus fréquents, mais également les plus directement mis en corrélation avec les propriétés thrombogènes de l’oxyde de graphène. Il y aurait donc matière à vigilance ici, si du moins la déraison covidique ne s’était pas implantée si profondément au sein de nos sociétés décadentes et subjuguées par la peur.

Il est également indiqué ici de souligner que les électro-fréquences et les phénomènes magnéto-biologiques particuliers induits par l’intermédiaire de l’oxyde de graphène dans les injections anti-Covid ont de fortes chances de modifier de manière significative les propriétés conductrices des fluides et des tissus corporels (nous ne prétendons pas avoir observé et mesuré un tel phénomène, mais soumettons simplement ici nos réflexions, à titre d’hypothèse). Le contenu ionique intracellulaire et extracellulaire d’un système biologique détermine en premier lieu les propriétés conductrices de ses organes et fluides constitutifs. Ce qui a été observé, à l’intérieur comme à l’extérieur de structures bio-corporelles animales, c’est que la résistance diminue progressivement à mesure que la fréquence augmente. Bien sûr, si l’on considère le profil conducteur interne d’un système biologique donné, la résistivité va varier d’un organe à l’autre. La question est donc de déterminer dans quelle mesure la résistance et la capacitance de structures corporelles internes sont sujettes aux fluctuations des fréquences d’éléments complexes absorbés (tels que l’oxyde de graphène) et des radiations environnementales.

Une chose semble certaine, c’est qu’après inoculation, l’oxyde de graphène ainsi biologisé acquiert une excitation électronique et une résonance magnétique qui s’alignement précisément sur la troisième bande de fréquence du rayonnement des technologies 5G.

Rappelons par ailleurs que les cellules du corps humain sont spécifiquement conçues pour conduire des courants électriques. Le flux intra-somatique d’électricité est indispensable au système nerveux pour assurer l’émission de signaux à travers tout le corps, crucialement vers le cœur et le cerveau. La membrane cellulaire elle-même fonctionne comme un dispositif de séparation ionique permettant à la cellule de générer des courants électriques. La stimulation d’une cellule permet notamment aux charges positives d’en pénétrer la structure par le biais de ce qu’on appelle des canaux ioniques. Lorsque la cellule se charge positivement, elle génère d’autres courants électriques qui vont à leur tour produire des impulsions électriques, influx neveux indispensables à la mise en action de nos mouvements et gestes moteurs quotidiens, de nos pensées et autres comportements coutumiers au jour le jour.

En outre, les réactions d’oxydoréduction revêtent une grande importance au sein des systèmes électro-biologiques, tels que le corps humain. Le processus d’oxydation biologique repose fondamentalement sur le transfert (libération et capture) de protons et d’électrons d’une molécule (dite « oxydée », par perte d’électrons) à une autre (dite « réduite », par gain d’électrons). Les processus biologiques d’oxydoréduction présentent un certain nombre de caractéristiques bien définies. Ils font partie intégrante de la préservation du bon fonctionnement et de la santé d’un organisme. Nous n’y reviendrons pas ici, mais voulons simplement rappeler que l’altération de ces processus (telles que la respiration tissulaire, la phosphorylation oxydative, les réactions constituant le cycle de Krebs, etc.) est à l’origine de perturbations métaboliques et de maladies très graves pouvant entraîner la mort (les symptômes de maladies graves associées à l’altération des processus d’oxydoréduction peuvent inclure faiblesse musculaire, tremblements incontrôlés, manque de coordination, accidents vasculaires cérébraux, diverses paralysies, …).

De ces réflexions de base, retenons et appliquons les deux principaux objets d’analyse que nous avons ici brièvement abordés: 1) l ’incidence de la fonction de fréquence par rapport à la résistivité organique, et 2) l’induction d’un déséquilibre du mécanisme de transfert des électrons inhérent aux réactions d’oxydation et de réduction dans l’organisme; appliquons-les donc à la présence électriquement active d’oxyde de graphène chez les milliards de patients aujourd’hui inoculés à travers le monde « contre » le SARS-CoV-2. 1) Lorsqu’il est excité par truchements électromagnétiques ambiants, l’oxyde de graphène multiplie en conséquence ses propres fréquences. 2) En fonction de l’intensité du signal incident, il s’oxyde beaucoup plus vite et finit notamment par rompre l’équilibre entre les niveaux (naturellement bénéfiques) de glutathion et la toxicité dont il est lui-même l’élément déclencheur une fois intégré à l’organisme au moyen d’une des quatre injections mondialistes. C’est en cela qu’il peut entraîner toute une panoplie d’altérations métaboliques redoutables et de modifications très sérieuses du comportement du système immunitaire.   

Objectif perpétuation pathogénique indéfinie, régulation démographique, et neuromodulation des peuples… On peut certainement le craindre, en prenant acte de ces découvertes, quand bien même (et surtout !) puisqu’elles ne seront pas ébruitées par les maîtres du discours.

Récapitulation : comprendre le covidisme en fonction du tout globaliste

Nous vivons une époque sans précédent de mensonges, de négation de la vérité, de propagande et de violence systémique sans précédent. Cela est d’autant plus attesté et pernicieux que cette même époque aime par-dessus tout se parer des apparences de l’illumination intellectuelle, du progrès, de la compassion inclusive à toute épreuve (sauf quand il s’agit des brebis galeuses non-vaccinées), de la philanthropie (du moins, lorsqu’elle est rentable), de l’œcuménisme non dogmatique (dont le seul dogme n’est autre que l’absence de dogme, opinionisme oblige), de la liberté de choisir (par exemple d’en terminer avec une grossesse encombrante, mais certainement pas de mettre en doute et de rejeter les nouveaux « vaccins » mondialistes), etc.

L’hypocrisie est pour le moins flagrante, d’où la violence fondamentale, à la fois intériorisée et de plus en plus extériorisée, qui caractérise notre situation historique et culturelle en ce premier quart du XXIe siècle.

Mais il fallait, semble-t-il, redonner une épaisseur nouvelle à l’hypnose collective bêtifiante. Car les récents « travers » populistes (principalement le Brexit et l’élection de Trump en 2016) indiquaient qu’une prise de conscience des peuples allait dans le sens d’un mouvement de réluctance opiniâtre capable d’interférer avec les principes et les tactiques politiques des forces organisées du mondialisme.  

Entrent en scène la peur (outil de choix des despotes), la panique mimétique, la surenchère de dépistage et de chiffres falsifiés (fraude des tests PCR, statistiques de décès des plus douteuses), l’effondrement économique, les élections américaines piratées et dérobées au profit de Biden, l’isolement forcé des peuples limitant l’accès à l’air frais et à la lumière du soleil… Entrent donc dans notre champ visuel les conditions d’existence du monde covidique façonné en 2020.

La censure technocratique, la lutte contre le changement climatique (objectif « Pacte vert mondial », au nom de la « santé publique »), la numérisation de l’éducation et de l’interaction sociale, le « vaccin » universel (comprenant, dans sa confection, des produits génétiques dérivés de lignées cellulaires d’enfants avortés), la mise en place d’une monnaie numérique mondiale, comptent parmi les principaux piliers impérieux de la refonte escomptée par les partenaires mondiaux du Forum de Davos. Les retournements orwelliens de définition et autres détournements linguistiques (« neutralité climatique », « pandémie », « seuls ensemble », « nouvelle normalité », « le pass = liberté », « vaccins », « nouveaux variants ») sont aussi au programme de la fraude épistémique généralisée – au service du dressage et de la conquête des esprits – et de la grande reconfiguration du monde, selon le projet pan-numérique de la caste technocratique.

D’où l’énumération non exhaustive suivante du programme de « Grande Réinitialisation », plus violemment que jamais à l’ordre du jour, que nous proposons ici pour mieux situer le phénomène du covidisme d’État dans son rapport au grand Léviathan du tout globaliste (le lecteur sera libre de peaufiner et de compléter la liste) :

  • un gouvernement mondial ;
  • une monnaie numérique mondiale ;
  • une banque centrale mondiale ;
  • une armée mondiale ;
  • la fin de la souveraineté nationale ;
  • la fin des races (selon la logique interne du racisme suprême de l’antiracisme institutionnalisé) ;
  • la fin de toute propriété privée (maisons, voitures, petits commerces…) ;
  • la fin de la cellule familiale traditionnelle ;
  • la fin de la conjugalité et de la fécondité naturelles ;
  • la prise en charge éducationnelle des enfants par le gouvernement ;
  • ’éradication « compassionnelle » des personnes âgées (euthanasie universelle) ;
  • la dépopulation eugénique au profit du culte néopaïen de la planète (rappelons, par contraste, ce que disait un saint Jean de la Croix, qui scandaliserait les nouveaux fondamentalistes de la révérence écologique absolue : « Une seule pensée de l’homme vaut mieux que tout l’Univers, et Dieu seul en est digne ») ;
  • la mise en place d’une sanitocratie universelle ;
  • les vaccins obligatoires partout (canonisation universelle des principes de l’Alliance globale pour les vaccins et l’immunisation, en anglais GAVI) ;
  • l’interdiction de la naturopathie et des médecines naturelles alternatives ;
  • perpétuation indéfinie des masques faciaux (suppression des visages) ;
  • l’allocation universelle ou revenu de base (l’austérité généralisée) ;
  • le sécuritarisme omniprésent ;
  • la surveillance de masse : basée sur la pan-connexion 5G (un réseau d’ondes millimétriques universalisé), les QR codes, et les micropuces ;
  • le système de crédit social (à la chinoise) ;
  • la fin des entreprises indépendantes ;
  • la fin des combustibles fossiles ;   
  • la restriction des voyages aériens non essentiels ;
  • la fin de l’irrigation, des fermes et des pâturages privées ;  
  • la concentration de la population dans les zones de peuplement ;
  • l’utilisation restreinte des terres ;

Réflexions conclusives

En 2021, la vertu maîtresse est de garantir la santé publique et le « bien-être » des peuples sous tutelle étatique, quand bien même les moyens d’y parvenir seraient irrationnels et liberticides.

Dans le prolongement de l’effémination de la société et de l’élévation désormais obligatoire de la figure homosexuelle bienpensante en Occident, la castration de l’homme covidique contemporain, par la peur et l’infantilisation, fait le jeu d’un remodelage complètement contre nature de l’humanité et des valeurs qui sous-tendent toujours l’édification et le développement de toute authentique civilisation. Aujourd’hui sous régime de liberté surveillée, l’homme covidique contemporain s’accommode très bien des prémisses émasculateurs de l’État-providence et de la destruction des valeurs, en premier lieu des valeurs masculines de courage, de résilience, de persévérance dans l’adversité, y compris face à la mort, inéluctable pour tous ici-bas.

Les mesures sanitaires prises par les autorités françaises n’ont eu aucune incidence jugulatrice sur l’épidémie, tout le monde le sait très bien (même ceux qui font semblant de ne pas le savoir). Plutôt que d’en prendre acte, ces mêmes autorités ont diffusé sans vergogne l’idée que la responsabilité de nouveaux développements et cas d’infection devait être imputée aux comportements déviationnistes des Français, particulièrement des « anti-vax complotistes » …

L’utilisation de la force et de la culpabilisation contre les citoyens pour se dédouaner de ses responsabilités colossales dans la gestion désastreuse de la crise sanitaire est une stratégie que le gouvernement français a systématiquement adoptée depuis un an et demi. Par son comportement répressif, accusateur et bien souvent bricoleur, il a fait le lit d’un vaste sinistre aussi bien économique que sanitaire et social. La dogmatisation de l’absurde sanitaire qu’il continue de professer et d’imposer au peuple est un scandale sans précédent.

La débâcle gestionnaire que nous avons vue à l’œuvre et malheureusement subie relève à la fois de ce scandale et de ce qui caractérise le plus distinctement cette ère hystérique du covidisme d’État : l’abdication de la rationalité.

Le type de rationalité qui perdure, par nécessité, nonobstant l’élaboration de politiques sécuritaires irrationnelles par nos instances étatiques entièrement soumises au covidisme, est celui qui soutient le projet aujourd’hui presque entièrement actualisé d’une hégémonie technocratique (vaccinale et numérique). Sans rationalité découlant d’abord de la technè, impossible de concevoir et de finalement mettre en œuvre le Nouvel Ordre civilisationnel de l’inoculation génique et de la surveillance universelle qui s’impose aujourd’hui.

C’est contre ce dévoiement totalitaire que continue de se lever aujourd’hui la France courageuse, la France qui fait aujourd’hui des émules dans le monde entier.  

Les représentants du pouvoir, de leur côté, restent enfermés dans leur déni péremptoire et autoritaire, coutumiers indécrottables de tactiques violant toute éthique médicale digne de ce nom. Ils se sont fourvoyés depuis le début, et l’entêtement persiste, comme si de rien n’était.

L’inversion accusatoire qui consiste à faire porter le fardeau de l’immoralité sur le dos des défenseurs des libertés fondamentales est la marque immanquable de cet orwellisme pharisaïque des détenteurs contemporains du pouvoir politico-médiatique. Dans leur suffisance « anti-complotiste » et donneuse de leçons de morale sanitaire, les accusateurs covidistes vont aujourd’hui jusqu’à faire passer les conditions d’existence en société pour un crime contre celle-ci. À commencer par le simple fait d’interagir avec autrui (sans faire de concession à l’irrationalité covidique de la peur d’autrui), parce que cela pourrait impliquer la possibilité de transmettre le virus à d’autres personnes… La logique de l’inversion morale, derrière cette manière démentielle de raisonner, pose pour prémisse que la transmission du virus, en soi, constitue un crime sans équivoque. Les restrictions en place sont dès lors moralement justifiables et justifiées. On trouve la même forme de raisonnement vicié depuis un an et demi au fondement des stratégies de contrainte préventive, d’infantilisation des peuples et d’utilisation de la force constitutionnelle et exécutive pour asseoir un monopole sanitaire illégitime.

Lorsque les exceptions qu’un État impose par rapport aux libertés et aux droits fondamentaux de ses citoyens peuvent être mises en avant et promulguées sans honte comme « libératrices », il est clair que l’inversion morale est allée beaucoup, beaucoup trop loin.

Dans ces conditions, se défendre du sécuritarisme tyrannique d’État, du covidisme hystérique et délateur, et des intimidations coercitives « légales » du pouvoir face à une menace aussi peu meurtrière que celle du coronavirus devient un devoir incontournable, une obligation morale interne surgissant de la conscience de tout homme encore rationnel et libre.

Pénaliser par « précaution », voilà une démarche qui ne pouvait tenir (on l’a vu dès l’an dernier). Le chantage à la liberté, intrinsèquement contradictoire, ne peut non plus tenir. Nous sommes une majorité à abominer la surveillance universelle, dont le « pass sanitaire » est le marchepied. Le glissement totalitaire est désormais consommé. Mais il s’agit d’un échec gouvernemental en tous points, et le grondement légitime des peuples se fait entendre des quatre points cardinaux.

Gardons espoir que la rentrée et les semaines à venir vont fournir la poussée supplémentaire à la levée de boucliers de tous les amis de la civilisation et de la loi naturelle.

Notes

[1] Et le procès condamnateur particulièrement avilissant à l’endroit du professeur Didier Raoult.

[2] Qui, entre autres effets bénéfiques, renforce de manière prouvée l’activité cellulaire antivirale naturelle en augmentant la production naturelle d’interféron. En d’autres termes, il ne s’agit pas seulement d’un médicament antiparasitaire à l’usage des vétérinaires (comme d’aucuns propagandistes du pouvoir l’ont répété à l’envi), mais bien d’un inhibiteur avéré (et sans effets secondaires) de l’activité du SARS-CoV-2.

[3] https://www.businessinsider.com/cdc-fully-vaccinated-people-can-spread-delta-variant-2021-7.

[4] Outbreak of SARS-CoV-2 Infections, Including COVID-19 Vaccine Breakthrough Infections, Associated with Large Public Gatherings — Barnstable County, Massachusetts, July 2021 | MMWR (cdc.gov).

Il convient de signaler ici un article de recherche de 2015 qui examine si les vaccins pourraient en fait favoriser l’évolution d’agents pathogènes plus virulents que le virus de base : 
Imperfect Vaccination Can Enhance the Transmission of Highly Virulent Pathogens (plos.org).  

[5] https://www.sentiweb.fr/document/5398 (« Situation observée pour la semaine 35 de l’année 2021, du 30/08 au 05/09/21 », voir p. 2/3).

[6] De 173 cas pour 100 000 habitants (ratio du seuil épidémique établi en 2016).

[7] Voir l’étude intitulée 
Comparing SARS-Cov-2 natural immunity to vaccine-induced immunity: reinfections versus breakthrough infections, par les docteurs Sivan Gazit et son équipe de recherche au 
Maccabi Research and Innovation Center (nous allons y revenir quelque peu ci-dessous). 

[8] https://www.science.org/news/2021/08/grim-warning-israel-vaccination-blunts-does-not-defeat-delta

[9] Voir en note [7].

[10] Thromboses (artérielles, veineuses, cérébrales), ischémies, myocardites, péricardites, cas d’hyperperméabilité capillaire, pneumopathies, fausses-couches spontanées, cas de syndrome de Guillain-Barré, …

Voir, par exemple en France, d’après les données répertoriées par l’ansm (et, plus spécifiquement, 
https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/covid-19-suivi-hebdomadaire-des-cas-deffets-indesirables-des-vaccins), les enquêtes de pharmacovigilance pour l’injection de Pfizer-BioNTech
(le rapport nº 17 : période du 28 mai 2021 au 1er juillet 2021, ce qui date déjà quelque peu), notamment les pages 8 et 9, ainsi que les tableaux récapitulatifs des cas non graves et graves en pages 43 à 51 ; et pour l’injection Vaxzevria/AstraZeneca
(le rapport nº 14 : période du 04 juin au 08 juillet 2021).

[11] https://www.vie-publique.fr/en-bref/280887-covid-19-la-has-rend-son-avis-sur-une-3e-dose-de-vaccin

[12] https://francais.rt.com/international/90331-covid-19-mario-draghi-pret-imposer-vaccination-obligatoire-italie

[13] https://www.fda.gov/media/134922/download

[14] Voir le bulletin d’alerte du 21 juillet 2021 : 
https://www.cdc.gov/csels/dls/locs/2021/07-21-2021-lab-alert-Changes_CDC_RT-PCR_SARS-CoV-2_Testing_1.html   

Une étude de 2016 sur les nanomatériaux dérivés du graphène et sur leur toxicité in vivo et in intro : 
Toxicity of graphene-family nanoparticles: a general review of the origins and mechanisms | Particle and Fibre Toxicology (biomedcentral.com).

Une autre étude, datant de 2014, sur les nanoparticules magnétiques (à l’œuvre dans les thérapies géniques) : Superparamagnetic nanoparticle delivery of DNA vaccine – PubMed (nih.gov).

Également cette étude de 2010 portant spécifiquement sur la toxicité provoquée par les nanoparticules lipidiques chargées positivement : The systemic toxicity of positively charged lipid nanoparticles and the role of Toll-like receptor 4 in immune activation – ScienceDirect.




Particules métalliques dans les vaccins : les complotistes ont encore frappé !

[Source : Michel de Lorgeril]

Par Michel de Lorgeril – Docteur en Médecine, Chercheur au CNRS
Expert international en cardiologie et nutrition – Membre de la Société Européenne de Cardiologie

L’été 2021 a été marqué par une étrange information, confirmée par de multiples sources conspirationnistes, stipulant que les vaccins antiCOVID contenaient des particules métalliques qui excitaient les aimants.

[Voir :
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes]

Évidemment, bandes d’idiots, cette information n’avait aucun sens : pourquoi y aurait-il des particules métalliques dans les seringues vaccinales ?

Encore une idée de quelques zombies qui voient le mal partout. Les autorités sanitaires, les scientistes de service et les médias ont aussitôt [et à juste raison] rejeté ces théories farfelues.

Par exemple, le subtile Figaro est allé interviewé des gens sérieux…

Et l’incomparable crétin-décodeur du journal du soir des gens accomplis (le fameux Adrien Sénécat) s’est précipité pour nous informer que ces informations… étaient bien sûr des fake news !

Seulement voilà, le Ministère Japonais de la Santé (ou quelque chose d’équivalent) est lui-aussi complotiste : ses experts ont identifié des particules métalliques dans les vaccins Moderna.

Beaucoup plus ennuyeux pour le déconneur du Monde (payé pour mentir) et l’experte du Figaro (payée pour quoi ?), Moderna l’a implicitement confirmé.

Ce n’est plus une fake news, c’est une enquête à diligenter…

C’est encore plus ennuyeux pour les Agences sanitaires internationales (payées pour quoi ?) qui vont devoir expliquer à quoi elles servent… sinon à faire génuflexion devant les stars du grand Kapital Pharma, comme dirait un célèbre Karl…

Que va dire le Grand manitou qui gouverne le Ministère de la Santé en France ?

Tout cela devient quelque peu nauséabond.

Outre que les informateurs des grands médias s’avèrent n’être que des vulgaires propagateurs de fausses informations, il semblerait que les conspirationnistes aient eu raison avant tout ce « sale petit monde » de la désinformation organisée.

Ne pourraient-ils pas, de temps en temps, dire vrai ?

Ils viendront ensuite se plaindre de faire faillite parce que le public va s’informer sur les réseaux sociaux.

Ils n’ont pas encore compris que les médias conventionnels et les réseaux sociaux sont des vases communicants : plus les médias officiels sont mauvais et menteurs et plus les réseaux sociaux enflent !

La jeunesse l’a compris ; la jeunesse ne lit pas le Figaro et encore moins Le Monde !




Big Pharma échec et mat ?

[Source : Profession Gendarme (profession-gendarme.com)]

Profession Gendarme :

« A priori, Trump est plus malin que nos gouvernements et que l’UE qui ont laissé les labos exciper du secret industriel pour ne pas donner la composition des “toxines” et au surplus refusent la responsabilité des conséquences. »

Voir aussi :
La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle
la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19




La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19

[Source : Ciel Voilé (cielvoile.fr)]

Dr Robert Young – Le 20 août 2021

https://www.drrobertyoung.com/post/transmission-electron-microscopy-reveals-graphene-oxide-in-cov-19-vaccines

La microscopie à contraste de phase, la microscopie électronique à transmission et à balayage et la spectroscopie à rayons X à dispersion d’énergie révèlent les ingrédients des vaccins contre le CoV-19 !

Résumé

Il existe actuellement quatre grandes sociétés pharmaceutiques qui fabriquent un vaccin contre le SRAS-CoV-2, maintenant appelé SRAS-CoV-19. Ces fabricants et leurs vaccins sont Pfizer– le vaccin ARNm BioNTech, Moderna- le vaccin ARNm Lonza -1273, Serum Institute- le vaccin Oxford Astrazeneca et le vaccin Covid-19 Janssen, fabriqué par Janssen Biotech Inc, une société pharmaceutique Janssen de Johnson & Johnson, un adénovirus recombinant, inapte à la réplication, exprimant la protéine de pointe du SRAS-CoV-2. L’objectif de ces vaccins est de conférer une immunité contre le nouveau coronavirus infectieux ou SARS-CoV-2, désormais appelé SARS-CoV-19. Ces quatre sociétés pharmaceutiques n’ont pas fourni de divulgation complète à la FDA sur leur boîte de vaccin, leur fiche d’information ou leur étiquette pour bon nombre des ingrédients majeurs et/ou mineurs contenus dans ces soi-disant vaccins. Le but de cet article de recherche est d’identifier les ingrédients majeurs et mineurs spécifiques contenus dans le vaccin Pfizer, le vaccin Moderna, le vaccin Astrazeneca et le vaccin Janssen en utilisant divers tests scientifiques anatomiques, physiologiques et fonctionnels pour chaque vaccin SRAS-COV-2-19. En tant que droits de l’homme, régis en vertu du droit international par le Code de Nuremberg de 1947, l’information sur les ingrédients spécifiques du vaccin est essentielle, requise et nécessaire à connaître pour que tout être humain de n’importe quel pays au monde puisse prendre une décision éclairée quant à son consentement ou non à l’inoculation du SRAS-CoV-2-19. Nous avons effectué les tests scientifiques sur chaque vaccin et avons identifié plusieurs ingrédients ou adjuvants non divulgués qui sont contenus dans ces quatre vaccins contre le SRAS-CoV-2-19. Actuellement, ces vaccins sont administrés à des millions d’êtres humains dans le monde entier en vertu d’une autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) délivrée par chaque pays sans que tous les ingrédients soient divulgués et, dans certains cas, à la demande de gouvernements ou d’employeurs, ce qui constitue une violation des droits de l’homme en vertu du Code de Nuremberg de 1947.

Méthodologie et techniques

Quatre « vaccins » ont été analysés, à savoir le vaccin Pfizer-BioNtech, Moderna-Lonza mRNA-1273, Vaxzevria d’Astrazeneca, Janssen de Johnson & Johnson, en utilisant différents instruments et protocoles de préparation selon les nouvelles approches technologiques des nanoparticules. Les différents instruments comprennent la microscopie optique, la microscopie à champ clair, la microscopie à contraste de pHase, la microscopie à champ sombre, l’absorbance UV et la spectroscopie de fluorescence, la microscopie électronique à balayage, la microscopie électronique à transmission, la spectroscopie à dispersion d’énergie, le diffractomètre à rayons X et les instruments de résonance magnétique nucléaire, qui ont été utilisés pour vérifier la morphologie et le contenu des « vaccins ». Pour les mesures de haute technologie et le soin de l’enquête, tous les contrôles ont été activés et les mesures de référence adoptées afin d’obtenir des résultats validés.

Microscopie à contraste de phase et à champ sombre du sang vivant

Des images des fractions aqueuses des vaccins ont ensuite été obtenues pour évaluer visuellement la présence éventuelle de particules de carbone ou de graphène.

Les observations en microscopie optique ont révélé une abondance d’objets laminaires 2D transparents qui présentent une grande similitude avec les images de la littérature (Xu et al, 2019), et avec les images obtenues à partir de la norme rGO (SIGMA)(Figures 1, 2 et 3).

Des images de grandes feuilles transparentes de taille et de formes variables ont été obtenues, montrant des formes ondulées et plates, irrégulières. Des feuilles plus petites de formes polygonales, également similaires aux flocons décrits dans la littérature (Xu et al, 2019) peuvent être révélées avec la microscopie à contraste de pHase et à champ sombre (Figure 3).

Tous ces objets laminaires étaient répandus dans la fraction aqueuse de l’échantillon de sang (Figure 1) ou de vaccin (Figures 2 et 3) et aucun composant décrit par le brevet déposé ne peut être associé à ces feuilles.
 

Figure 1, vous pouvez voir à quoi ressemble une bombe à fragmentation d’oxyde de graphène réduit (rGO) dans le sang humain vivant non taché après une inoculation de CoV-19 provoquant une coagulation sanguine pathologique ![1][2][55][56][57]
 

La figure 1 est une micrographie d'un amas de carbone d'oxyde de graphène réduit (rGO) visualisé dans le sang humain vivant non coloré avec une microscopie à contraste de pHase à 1500x. Notez que les globules rouges s'agglomèrent dans et autour du cristal rGO dans une condition connue sous le nom de Rouleau ! Un mot français qui signifie "empiler".

La figure 1 est une micrographie d’un amas de carbone d’oxyde de graphène réduit (rGO) visualisé dans le sang humain vivant non coloré avec une microscopie à contraste de pHase à 1500x. Notez que les globules rouges s’agglomèrent dans et autour du cristal rGO dans une condition connue sous le nom de Rouleau ! Un mot français qui signifie « empiler ».

Quels sont les ingrédients non divulgués contenus dans les vaccins CoV-19 soi-disant Pfizer, Moderna, Astrazeneca et Janssen ?

Pour répondre à cette question, une fraction aqueuse des vaccins Pfizer, Moderna, Astrazeneca et Janssen a été prélevée dans chaque flacon, puis examinée séparément sous microscope à contraste de pHase à des grossissements de 100x, 600x et 1500x, montrant des preuves anatomiques de particules d’oxyde de graphène réduit (rGO) qui ont été comparées à des micrographies de rGO de Choucair et al, 2009 pour identification et vérification[3].

Étapes de l’analyse des fractions aqueuses du vaccin

Les échantillons réfrigérés ont été traités dans des conditions stériles, en utilisant une chambre à flux laminaire et du matériel de laboratoire stérilisé.

Les étapes de l’analyse sont les suivantes :

1. Dilution dans du sérum physiologique stérile à 0,9 % (0,45 ml + 1,2 ml)

2. Fractionnement par polarité : 1,2 ml d’hexane + 120 ul d’échantillon RD1

3. Extraction de la phase aqueuse hydrophile

4. Balayage de l’absorbance UV et de la spectroscopie de fluorescence
 

La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d'oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19

5. Extraction et quantification de l’ARN dans l’échantillon

6. Microscopie électronique et optique de la pHase aqueuse.

Les ingrédients non divulgués du « vaccin » de Pfizer

Les micrographies des figures 2 et 3 ont été obtenues par microscopie optique à contraste de pHase 100X, 600X et 1500X, à champ sombre et à champ clair [3].

À gauche de chaque micrographie, vous verrez des micrographies obtenues à partir de la fraction aqueuse du vaccin Pfizer contenant du rGO.

À droite de chaque micrographie, vous verrez une correspondance avec des sources connues contenant du rGO pour la validation anatomique.

Les observations en microscopie à contraste de pHase, à champ sombre, à champ clair, en microscopie électronique à transmission et à balayage du produit vaccinal de Pfizer, ainsi que des produits vaccinaux de Moderna, Astrazeneca et Janssen ont révélé certaines entités qui peuvent être des bandes de graphène, comme le montre la figure 3 ci-dessous.

La figure 2 montre une image de la fraction aqueuse de l'échantillon de vaccin Pfizer (à gauche) et de l'oxyde de graphène réduit (rGO) standard (à droite) (Sigma-777684). Microscopie optique, 100X

La figure 2 montre une image de la fraction aqueuse de l’échantillon de vaccin Pfizer (à gauche) et de l’oxyde de graphène réduit (rGO) standard (à droite) (Sigma-777684). Microscopie optique, 100X

Figure 3 - Images de fractions aqueuses contenant de l'oxyde de graphène réduit provenant de l'échantillon de vaccin Pfizer (à gauche) et de l'oxyde de graphène réduit (rGO) standard soniqué (à droite) (Sigma-777684). Microscopie optique à contraste de pHase, 600X

Figure 3 – Images de fractions aqueuses contenant de l’oxyde de graphène réduit provenant de l’échantillon de vaccin Pfizer (à gauche) et de l’oxyde de graphène réduit (rGO) standard soniqué (à droite) (Sigma-777684). Microscopie optique à contraste de pHase, 600X

La figure 4 montre la capside du liposome contenant le rGO que Pfizer utilise pour son produit pour véhiculer l'oxyde de graphène en attachant la capside du liposome à des molécules d'ARNm spécifiques pour conduire le contenu du liposome de rGO vers des organes, des glandes et des tissus spécifiques, à savoir les ovaires et les testicules, la moelle osseuse, le cœur et le cerveau. L'image a été obtenue par une préparation SEM-Cryo.

La figure 4 montre la capside du liposome contenant le rGO que Pfizer utilise pour son produit pour véhiculer l’oxyde de graphène en attachant la capside du liposome à des molécules d’ARNm spécifiques pour conduire le contenu du liposome de rGO vers des organes, des glandes et des tissus spécifiques, à savoir les ovaires et les testicules, la moelle osseuse, le cœur et le cerveau. L’image a été obtenue par une préparation SEM-Cryo.

Pour une identification définitive du graphène par TEM, il est nécessaire de compléter l’observation par une caractérisation structurelle en obtenant un échantillon standard caractéristique par diffraction électronique (comme la figure ‘b’ montrée ci-dessous).

L’échantillon standard correspondant au graphite ou au graphène a une symétrie hexagonale, et présente généralement plusieurs hexagones concentriques.

La figure 4b révèle le diagramme de diffraction des rayons X des particules de graphène. Identification définitive de l'oxyde de graphène par microscopie TEM dans les 4 vaccins CoV-2-19

La figure 4b révèle le diagramme de diffraction des rayons X des particules de graphène. Identification définitive de l’oxyde de graphène par microscopie TEM dans les 4 vaccins CoV-2-19

En utilisant la microscopie électronique à transmission (MET), nous avons observé une matrice ou un maillage complexe de feuilles de rGO flexibles, translucides et pliées, avec un mélange d’agglomérations multicouches plus sombres et de monocouches dépliées de couleur plus claire, comme le montre la figure 5. [3]

La figure 5 montre un amas de nanoparticules de graphène dans un vaccin Pfizer. Elles semblent être agrégées.

La figure 5 montre un amas de nanoparticules de graphène dans un vaccin Pfizer. Elles semblent être agrégées.

Les zones linéaires plus sombres de la figure 5 semblent être un chevauchement local des feuilles et un arrangement local des feuilles individuelles parallèlement au faisceau d’électrons [4].

Après le maillage, une forte densité de formes claires arrondies et elliptiques non identifiées apparaît, correspondant peut-être à des trous générés par le forçage mécanique du maillage rGO pendant le traitement, comme on peut le voir sur la figure 6.[4]

La figure 6 montre une observation en microscopie TEM où l'on retrouve des particules d'oxyde de graphène réduit dans un vaccin Pfizer". La diffractométrie des rayons X révèle leur nature de nanoparticules cristallines de rGO à base de carbone.

La figure 6 montre une observation en microscopie TEM où l’on retrouve des particules d’oxyde de graphène réduit dans un vaccin Pfizer ». La diffractométrie des rayons X révèle leur nature de nanoparticules cristallines de rGO à base de carbone.

La spectroscopie aux rayons X à dispersion d’énergie révèle la présence de rGO dans un vaccin Pfizer [5] [6] [7].

Le contenu chimique et élémentaire de la fraction liquide du vaccin Pfizer a ensuite été analysé par spectroscopie à rayons X à dispersion d’énergie (EDS), comme le montre la figure 6. Le spectre EDS a montré la présence de carbone, d’oxygène, vérifiant les éléments rGO, ainsi que de sodium et de chlorure, puisque les échantillons des figures 2, 3, 5 et 6 ont été dilués dans une solution saline.

La figure 7 montre un spectre EDS d'un "vaccin" Pfizer sous un microscope ESEM couplé à une microsonde à rayons X EDS (axe X =KeV, axe Y =Comptes) identifiant le carbone, l'oxygène, le sodium et le chlorure.

La figure 7 montre un spectre EDS d’un « vaccin » Pfizer sous un microscope ESEM couplé à une microsonde à rayons X EDS (axe X =KeV, axe Y =Comptes) identifiant le carbone, l’oxygène, le sodium et le chlorure.

La quantification de l’ARNm dans le vaccin Pfizer

La quantification de l’ARN dans l’échantillon Pfizer a été effectuée selon les protocoles conventionnels (Fisher).

Selon le logiciel spécifique de vérification de l’étalonnage du spectrophotomètre NanoDropTM 2000 (Thermofisher), le spectre d’absorption UV de la fraction aqueuse totale était corrélé à 747 ng/ul de substances absorbantes inconnues.

Cependant, après extraction de l’ARN à l’aide d’un kit commercial (Thermofisher), la quantification à l’aide de la sonde de fluorescence Qbit spécifique à l’ARN (Thermofisher) a montré que seuls 6t ug/ul pouvaient être liés à la présence d’ARN. Le spectre était compatible avec le pic du rGO à 270nm.

Selon les images microscopiques présentées ici, la majeure partie de cette absorbance pourrait être due à des feuilles de type graphène, abondantes dans les fluides en suspension dans l’échantillon.

Ces conclusions sont également étayées par la forte fluorescence de l’échantillon, avec un maximum à 340 nm, en accord avec les valeurs de pic pour le rGO. Il faut rappeler que l’ARN ne présente pas de fluorescence spontanée sous exposition aux UV.

Figure 8 - Spectre UV de la fraction aqueuse de l'échantillon de vaccin Pfizer. [1] [2] [3] [5] [6]

Figure 8 – Spectre UV de la fraction aqueuse de l’échantillon de vaccin Pfizer. [1] [2] [3] [5] [6]

Test de fluorescence Ultra Violet de la fraction aqueuse de Pfizer pour l’oxyde de graphène réduit (rGO) [5]

Les spectres d’absorption et de fluorescence ultraviolets ont été obtenus avec le spectrophotomètre Cytation 5 Cell Imaging Multi-Mode Reader (BioteK). Le spectre d’absorption UV a confirmé un pic maximum à 270nm, compatible avec la présence de particules de rGO.

Le maximum de fluorescence UV à 340 nm suggère également la présence de quantités importantes de rGO dans l’échantillon (Bano et al, 2019).

Figure 9 - Les spectres d'absorption UV et de fluorescence ont été obtenus avec le spectrophotomètre Cytation 5 Cell Imaging Multi-Mode Reader (BioteK). Le spectre d'absorption UV a confirmé un pic maximal à 270 nm, compatible avec la présence de rGO. Le maximum de fluorescence UV à 340 nm suggère également la présence de quantités importantes de rGO dans l'échantillon (Bano et al, 2019).

Figure 9 – Les spectres d’absorption UV et de fluorescence ont été obtenus avec le spectrophotomètre Cytation 5 Cell Imaging Multi-Mode Reader (BioteK). Le spectre d’absorption UV a confirmé un pic maximal à 270 nm, compatible avec la présence de rGO. Le maximum de fluorescence UV à 340 nm suggère également la présence de quantités importantes de rGO dans l’échantillon (Bano et al, 2019).

Figure 10 - L'analyse spectroscopique UV a montré une adsorption due à la présence d'oxyde de graphène réduit, ce qui est confirmé par l'observation en microscopie visible ultraviolette.

Figure 10 – L’analyse spectroscopique UV a montré une adsorption due à la présence d’oxyde de graphène réduit, ce qui est confirmé par l’observation en microscopie visible ultraviolette.

Les figures 11 et 12 ci-dessous montrent une micrographie de différentes micro et nano particules qui ont été identifiées dans les vaccins Pfizer, Moderna, Astrazeneca et Janssen, dits  » vaccins  » et analysées sous un microscope électronique à balayage environnemental (SEM) couplé à une microsonde à rayons X d’un système dispersif en énergie (EDS) qui révèle la taille des particules, la distribution de la composition et la nature chimique des micro et nano particules observées[5][6][7].

La figure 11 montre des débris de 20 microns de longueur identifiés dans le soi-disant "vaccin" Pfizer contenant du carbone, de l'oxygène, du chrome, du soufre, de l'aluminium, du chlorure et de l'azote.

La figure 11 montre des débris de 20 microns de longueur identifiés dans le soi-disant « vaccin » Pfizer contenant du carbone, de l’oxygène, du chrome, du soufre, de l’aluminium, du chlorure et de l’azote.

 La figure 12 montre une particule de 20 microns de longueur identifiée dans le soi-disant "vaccin" Pfizer. Elle est composée de carbone, d'oxygène de chrome, de soufre, d'aluminium, de chlorure et d'azote.

La figure 12 montre une particule de 20 microns de longueur identifiée dans le soi-disant « vaccin » Pfizer. Elle est composée de carbone, d’oxygène de chrome, de soufre, d’aluminium, de chlorure et d’azote.

Les figures 13 et 14 ci-dessous montrent une micrographie de différentes micro et nanoparticules qui ont été identifiées dans les vaccins Pfizer, Moderna, Astrazeneca et Janssen et analysées au microscope électronique à balayage (MEB) couplé à une microsonde à rayons X d’un système à dispersion d’énergie (SDE) qui révèle la taille des particules, la distribution de la composition et la nature chimique des micro et nanoparticules observées.

Y a-t-il des parasites dans les « vaccins » de Pfizer ?

Un corps allongé de 50 microns, comme on peut le voir sur la figure 13, est une présence mystérieuse et nette dans le vaccin Pfizer. Il apparaît et est identifié anatomiquement comme un parasite Trypanosoma cruzi dont plusieurs variantes sont létales et constituent l’une des nombreuses causes du syndrome d’immunodéficience acquise ou SIDA [Atlas of Human Parasitology, 4e édition, Lawrence Ash et Thomas Orithel, pages 174 à 178] [8].

La figure 13 montre un parasite Trypanosoma d'environ 20 microns de long trouvé dans le soi-disant "vaccin" Pfizer. Il est composé de carbone, d'oxygène, de chrome, de soufre, d'aluminium, de chlorure et d'azote.

La figure 13 montre un parasite Trypanosoma d’environ 20 microns de long trouvé dans le soi-disant « vaccin » Pfizer. Il est composé de carbone, d’oxygène, de chrome, de soufre, d’aluminium, de chlorure et d’azote.

Une micrographie par microscopie à contraste de phase : parasite Trypanosoma cruzi [8] vivant dans du sang

Une micrographie par microscopie à contraste de phase : parasite Trypanosoma cruzi [8] vivant dans du sang

La figure 14 identifie une composition de nanoparticules comprenant du carbone, de l’oxygène, du chrome, du soufre, de l’aluminium, du chlorure et de l’azote, que l’on retrouve également dans les « vaccins » CoV-19.

La figure 13 identifie une composition de nanoparticules

La figure 13 identifie une composition de nanoparticules

Les figures 15 et 16 ci-dessous montrent une micrographie de différentes micro et nanoparticules qui ont été identifiées et analysées sous un microscope électronique à balayage (MEB) environnemental couplé à une microsonde à rayons X d’un système à dispersion d’énergie (SDE) qui révèle la nature chimique des micro et nanoparticules observées et leur morphologie.

La particule blanche de 2 microns de long est composée de bismuth, carbone, oxygène, aluminium, sodium, cuivre et azote.

La figure 15 montre les particules de taille nanométrique et micronique identifiées dans le "vaccin" Pfizer. La particule blanche de 2 microns de long est composée de bismuth, carbone, oxygène, aluminium, sodium, cuivre et azote.

La figure 15 montre les particules de taille nanométrique et micronique identifiées dans le « vaccin » Pfizer. La particule blanche de 2 microns de long est composée de bismuth, carbone, oxygène, aluminium, sodium, cuivre et azote.

La figure 16 montre que la particule blanche de 2 microns trouvée dans le "vaccin" Pfizer est composée de bismuth, de carbone, d'oxygène, d'aluminium, de sodium, de cuivre et d'azote.

La figure 16 montre que la particule blanche de 2 microns trouvée dans le « vaccin » Pfizer est composée de bismuth, de carbone, d’oxygène, d’aluminium, de sodium, de cuivre et d’azote.

Les figures 17 et 18 montrent l’identification de particules organiques de carbone, d’oxygène et d’azote avec un agrégat de nanoparticules incorporées comprenant du bismuth, du titane, du vanadium, du fer, du cuivre, du silicium et de l’aluminium, qui ont toutes été trouvées dans le soi-disant  » vaccin  » Pfizer.

La figure 17 montre un agrégat organique (carbone-oxygène-azote) avec des nanoparticules de bismuth, de titane, de vanadium, de fer, de cuivre, de silicium et d'aluminium incorporées dans le "vaccin" Pfizer.

La figure 17 montre un agrégat organique (carbone-oxygène-azote) avec des nanoparticules de bismuth, de titane, de vanadium, de fer, de cuivre, de silicium et d’aluminium incorporées dans le « vaccin » Pfizer.

La figure 18 montre un agrégat organique (carbone-oxygène-azote) avec des nanoparticules de bismuth, de titane, de vanadium, de fer, de cuivre, de silicium et d'aluminium incorporées dans un "vaccin" Pfizer !

La figure 18 montre un agrégat organique (carbone-oxygène-azote) avec des nanoparticules de bismuth, de titane, de vanadium, de fer, de cuivre, de silicium et d’aluminium incorporées dans un « vaccin » Pfizer !

Les ingrédients non divulgués du « vaccin » d’Astrazeneca

Les figures 19 et 20 montrent un agrégat de fer, de chrome et de nickel, également connu sous le nom d’acier inoxydable, composé de micro et nanoparticules incorporées et identifiées dans le « vaccin » d’Astrazeneca, observé au microscope électronique à transmission (MET) et quantifié à l’aide d’une microsonde à rayons X d’un système à dispersion d’énergie qui révèle la nature chimique des micro et nanoparticules observées et leur morphologie.

Figure 19 - Agrégat manufacturé de fer, de chrome et de nickel, également connu sous le nom d'acier inoxydable.

Figure 19 – Agrégat manufacturé de fer, de chrome et de nickel, également connu sous le nom d’acier inoxydable.

La figure 20 montre les particules de nano quantifiées dans le "vaccin" Astrazeneca à l'aide d'une microsonde à rayons X d'un système à dispersion d'énergie qui révèle la nature chimique des micro et nanoparticules observées.

La figure 20 montre les particules de nano quantifiées dans le « vaccin » Astrazeneca à l’aide d’une microsonde à rayons X d’un système à dispersion d’énergie qui révèle la nature chimique des micro et nanoparticules observées.

L’instrument XRF (X-ray fluorescence) a été utilisé pour évaluer les adjuvants du « vaccin » Astrazeneca, ce qui a permis d’identifier les molécules suivantes : histidine, saccharose, polyéthylène glycol (PEG) et alcool éthylénique, également contenues dans les « vaccins » Pfizer et Moderna. Les résultats de ce test sont présentés figure 20 [9].

Le PEG et l’alcool éthylénique sont tous deux connus pour être cancérigènes et génotoxiques[9]. Le PEG était le seul adjuvant déclaré sur la fiche technique énumérant les ingrédients du « vaccin » Astrazeneca, mais contenu dans les « vaccins » Pfizer et Moderna.

La figure 21 identifie le spectre des adjuvants des vaccins AstraZeneca. Des couleurs différentes sont utilisées pour les quatre molécules identifiées à l'aide de spectres de référence. La concentration relative est calculée sur les intégrales des signaux de référence pour les molécules dans un spectre quantitatif acquis avec un rapport cyclique de 5 secondes. Le plus long T1 calculé étant de 5 secondes.

La figure 21 identifie le spectre des adjuvants des vaccins AstraZeneca. Des couleurs différentes sont utilisées pour les quatre molécules identifiées à l’aide de spectres de référence. La concentration relative est calculée sur les intégrales des signaux de référence pour les molécules dans un spectre quantitatif acquis avec un rapport cyclique de 5 secondes. Le plus long T1 calculé étant de 5 secondes.

Les ingrédients non divulgués du « vaccin » de Janssen

Les figures 22 et 23 montrent un agrégat organique-inorganique identifié dans le « vaccin » de Janssen. Les particules sont composées d’acier inoxydable et sont collées ensemble avec une « colle à base de carbone » d’oxyde de graphène réduit[10]. Cet agrégat est hautement magnétique et peut déclencher une coagulation sanguine pathologique et « l’effet Corona » ou « l’effet protéine en pointe » créé par la dégénérescence de la membrane cellulaire due aux interactions avec d’autres dipôles[10]. Vous pouvez voir ces réactions biologiques ou transformations cellulaires dans le sang vivant sous pHase Contraste et microscopie à fond noir dans les figures 24, 25 et 26[1][11].

Figure 22 : Agrégat d'acier inoxydable composé de carbone, d'oxygène, de fer et de nickel, maintenu par de l'oxyde de graphène.

Figure 22 : Agrégat d’acier inoxydable composé de carbone, d’oxygène, de fer et de nickel, maintenu par de l’oxyde de graphène.

La figure 23 montre des éléments de carbone, d'oxygène, de fer et de nickel réunis par de l'oxyde de graphène.

La figure 23 montre des éléments de carbone, d’oxygène, de fer et de nickel réunis par de l’oxyde de graphène.

L’effet Corona et l’effet protéine Spike

L' » effet Corona  » et la  » protéine de pointe  » créés de manière endogène sont causés par un empoisonnement chimique et radiologique dû à l’oxyde de graphène réduit et aux rayonnements micro-ondes ![11]

Figure 24 "L'effet Corona" et la création endogène d'exosomes due à l'empoisonnement chimique et radiologique des fluides vasculaires et interstitiels de l'interstium.

Figure 24 « L’effet Corona » et la création endogène d’exosomes due à l’empoisonnement chimique et radiologique des fluides vasculaires et interstitiels de l’interstium.

La figure 25 montre "l'effet Corona" et la naissance endogène de pics de protéines S1 causés par les radiations et l'empoisonnement chimique ou ce que j'appelle "l'effet de pic de protéines".

La figure 25 montre « l’effet Corona » et la naissance endogène de pics de protéines S1 causés par les radiations et l’empoisonnement chimique ou ce que j’appelle « l’effet de pic de protéines ».

Figure 26 Cette micrographie montre la création endogène des "pics de protéines" comme une infection et non une infection !

Figure 26 Cette micrographie montre la création endogène des « pics de protéines » comme une infection et non une infection !

Les figures 24 et 25 ci-dessus montrent « L’EFFET CORONA » sur les globules rouges et la figure 26 montre « L’EFFET PROTÉINE SPIKE », tous deux causés par une acidose décompensée des fluides interstitiels et vasculaires provenant d’un mode de vie acide et plus particulièrement d’une exposition à des champs électromagnétiques pulsés toxiques à 2,4 GHz ou plus, d’un empoisonnement chimique provenant de la nourriture et de l’eau ingérées, d’une pollution atmosphérique acide toxique, de chemtrails et, pour couronner le tout, d’une inoculation de CoV-19 à base de nana particules chargées de produits chimiques ! S’il vous plaît, laissez vos sentiments et vos fausses croyances à la porte avant que VOUS ne vous fassiez du mal prématurément[11] !

Les ingrédients non divulgués du « vaccin » Moderna

Les figures 26 et 27 ont identifié une entité mixte de matières organiques et inorganiques contenue dans le « vaccin » Moderna.  
La microscopie électronique à transmission (TMS) et la quantification à l’aide d’une microsonde à rayons X d’un système à dispersion d’énergie (EDS) ont révélé la nature chimique des micro et nanoparticules observées.

Le « vaccin » Moderna est un substrat d’oxyde de graphène réduit à base de carbone dans lequel sont incorporées des nanoparticules. Ces nanoparticules sont composées de carbone, d’azote, d’oxygène, d’aluminium, de cuivre, de fer et de chlore[12].

Figure 26 La microscopie électronique à transmission révèle un composite d'oxyde de graphène dans lequel sont intégrées des matières organiques et non organiques.

Figure 26 La microscopie électronique à transmission révèle un composite d’oxyde de graphène dans lequel sont intégrées des matières organiques et non organiques.

La figure 27 révèle la présence de nanoparticules cytotoxiques intégrées.

La figure 27 révèle la présence de nanoparticules cytotoxiques intégrées.

Les figures 27 et 28 montrent une analyse qui a également été effectuée sous microscope électronique à transmission (TEM) et quantifiée avec une microsonde à rayons X d’un système dispersif en énergie (EDS) et qui a révélé la nature chimique des micro et nano particules observées. De nombreux corps étrangers ont été identifiés avec une morphologie sphérique avec quelques cavités en forme de bulles.

La figure 29 montre qu’ils sont composés de carbone, d’azote, d’oxygène, de silicium, de plomb, de cadmium et de sélénium. Cette composition de nanoparticules hautement toxiques sont des points quantiques de séléniure de cadmium qui sont cytotoxiques et génotoxiques [13] [14].

La figure 27 montre les nano-points dans l'oxyde de graphène trouvé dans le "vaccin" Moderna.

La figure 27 montre les nano-points dans l’oxyde de graphène trouvé dans le « vaccin » Moderna.

La figure 28 montre les nano-points dans l'oxyde de graphène trouvé dans le "vaccin" Moderna.

La figure 28 montre les nano-points dans l’oxyde de graphène trouvé dans le « vaccin » Moderna.

La figure 29 révèle la composition cytotoxique et génotoxique des nanoparticules d'oxyde de graphène trouvées dans le "vaccin" Moderna.

La figure 29 révèle la composition cytotoxique et génotoxique des nanoparticules d’oxyde de graphène trouvées dans le « vaccin » Moderna.

Les figures 30 et 31 analysent plus en détail le « vaccin » Moderna et révèlent un symplaste de 100 microns de composite de nanoparticules d’oxyde de graphène réduit. Le rGO est composé de carbone et d’oxygène avec une contamination de nanoparticules d’azote, de silicium, de phosphore et de chlore [15].

Figure 30 La microscopie électronique à transmission révèle un grand composite d'oxyde de graphène réduit de 100 microns.

Figure 30 La microscopie électronique à transmission révèle un grand composite d’oxyde de graphène réduit de 100 microns.

La figure 31 révèle le complexe de nanoparticules contenu dans le "vaccin" Moderna

La figure 31 révèle le complexe de nanoparticules contenu dans le « vaccin » Moderna

Les figures 32 et 33 montrent des entités d’oxyde de graphène réduit à base de carbone dans le « vaccin » Moderna, mélangées à des agrégats remplis de nanoparticules de silicate d’aluminium[16].

La figure 32 révèle un complexe d'oxyde de graphène et de silicate d'aluminium par microscopie électronique à transmission.

La figure 32 révèle un complexe d’oxyde de graphène et de silicate d’aluminium par microscopie électronique à transmission.

La figure 33 révèle les nano-éléments d'oxyde de graphène et de silicate d'aluminium contenus dans le "vaccin" Moderna

La figure 33 révèle les nano-éléments d’oxyde de graphène et de silicate d’aluminium contenus dans le « vaccin » Moderna

Discussion

La pandémie de SRAS-CoVid-2-19 a incité les industries pharmaceutiques à développer de nouveaux médicaments qu’elles ont appelés vaccins.

Le mécanisme d’action de ces nouveaux médicaments, tel qu’il est déclaré par l’industrie pharmaceutique, associé à ce qui est indiqué dans la fiche technique des vaccins, n’est PAS clair pour les savants médicaux actuels qui comprennent que ces nouveaux médicaments produits par Pfizer – le vaccin ARNm BioNTech, le vaccin ARNm-1273 Moderna-Lonza, le vaccin Serum Institute Oxford Astrazeneca et le vaccin Janssen COVID -19, fabriqué par Janssen Biotech Inc, une société pharmaceutique Janssen de Johnson & Johnson, ne sont PAS des vaccins mais des médicaments nanotechnologiques fonctionnant comme une thérapie génétique.

Le nom « vaccin » est probablement un escamotage (ruse) utilisé pour des raisons bureaucratiques et technocratiques afin de recevoir une approbation d’urgence, en ignorant toutes les règles normales nécessaires pour les nouveaux médicaments, en particulier pour ceux qui impliquent de nouveaux mécanismes nanotechnologiques qui n’ont jamais été développés ni expérimentés par l’homme, où que ce soit, à n’importe quel moment de l’histoire du monde.

Tous ces soi-disant « vaccins » sont brevetés et leur contenu réel est donc tenu secret, même pour les acheteurs, qui, bien sûr, utilisent l’argent des contribuables. Ainsi, les consommateurs (les contribuables) n’ont aucune information sur ce qu’ils reçoivent dans leur corps par inoculation.

L’humanité est maintenue dans l’ignorance en ce qui concerne les processus technologiques de nanoparticules impliqués, les effets négatifs sur les cellules du corps, mais surtout l’effet possible de la nano-bio-interaction magnétotoxique, cytotoxique et génotoxique sur le sang et les cellules du corps.

Cette étude actuelle, qui consiste en une analyse directe des soi-disant « vaccins » susmentionnés à l’aide d’instruments technologiques à nanoparticules, révèle des informations troublantes et susceptibles de changer la vie des personnes concernées, concernant la vérité sur le contenu acide toxique réel de ces soi-disant vaccins.

La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d'oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19

Les médicaments Pfizer, Moderna, Astrazeneca et Janssen ne sont PAS des « vaccins » mais des agrégats complexes de nanoparticules d’oxyde de graphène composés de divers nano-éléments fixés à des acides nucléiques génétiquement modifiés d’ARNm provenant de cellules animales ou vero et de cellules fœtales humaines avortées, comme nous l’avons vu et décrit ci-dessus. Une fois de plus, les ingrédients de ces soi-disant vaccins sont hautement magnétotoxiques, cytotoxiques et génotoxiques pour les membranes cellulaires des plantes, des insectes, des oiseaux, des animaux et des humains, ainsi que pour leur génétique, ce qui a déjà entraîné de graves accidents (estimés à plus de 500 millions) et/ou la mort (estimée à plus de 35 millions)[17][18] à [54].

Les soi-disant « experts » ou « savants médicaux » VOUS disent que les vaccins contre le CoV -2 – 19 sont le SEUL moyen d’arrêter la propagation du CoV-19… même lorsqu’il n’y a AUCUNE PREUVE de son existence et AUCUNE PREUVE de sa propagation telle que déterminée par la méthode scientifique des postulats de Koch ou de Rivers ! [53]

La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d'oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19

Qu’ils sont sûrs – malgré les preuves documentées du contraire…[53]

Qu’ils sont efficaces – même si des millions de personnes « doublement piqués » tombent malades, s’exposent théoriquement à un VIRUS NON EXISTANT appelé CoV – 19, et meurent…[54] NON pas d’une infection virale fantôme mais de la PEUR ou de fausses preuves semblant réelles et du contenu acide toxique de l’oxyde de graphène réduit délivré via l’ARNm génétiquement modifié à des cibles spécifiques du corps humain entraînant une coagulation sanguine pathologique, un manque d’oxygène, une hypercapnie, une hypoxie et ensuite la mort par suffocation. [55][56][57]

 Coagulation intravasculaire disséminée (CIVD) ou coagulation sanguine pathologique [56][57].

Coagulation intravasculaire disséminée (CIVD) ou coagulation sanguine pathologique [56][57].

Que VOUS DEVEZ recevoir au moins deux injections PLUS des « rappels » pour vivre une « vie normale »…

Et bientôt, ils vous diront que VOUS n’avez pas d’autre choix que de vous conformer à TOUTES leurs OBLIGATIONS, même si le CDC et d’autres gouvernements, universités et instituts médicaux ont reconnus par écrit qu’ils n’ont AUCUN « STANDARD D’OR » d’isolement du CoV – 2 maintenant appelé le virus CoV-19 !

Il n’y a PAS DE VIRUS CORONA et il n’y en a JAMAIS eu ![55].

Rappelez-vous…

NE LAISSEZ PERSONNE VOUS ENLEVER VOTRE LIBERTÉ DE SANTÉ !

C’est VOTRE corps, VOTRE vie et VOTRE choix !

La connaissance est le pouvoir. Et c’est la clé pour comprendre pourquoi les vaccins expérimentaux CoV -19 sont si dangereux – malgré le récit officiel des médias aux ordres qui suppriment et censurent quiconque ose s’exprimer.

Vous avez le contrôle de votre propre santé. Ne soyez pas victime des gouvernements et des bureaucrates mondiaux qui poussent tout le monde à se faire vacciner. Le « philanthrope » milliardaire Bill Gates et les activistes milliardaires de Big Tech pensent savoir ce qui est le mieux pour vous et votre famille.

Vous devez être libre de décider ce qui est bon pour vous. Ne laissez PAS les gouvernements et les employeurs vous forcer à vous faire « vaxxer » « pour votre bien ».

Et ne laissez jamais la culture de la censure vous rendre trop effrayé pour défendre vos droits !

Selon les mots du grand médecin et scientifique français, Antoine Béchamp, « Il n’y a rien de si faux qui ne contienne un élément de vérité et il en est ainsi de la théorie des germes ». Dans ce cas, la théorie des virus, des vaccins et de l’immunité ![58]

La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d'oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19

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2- NanoDrop™ https://www.thermofisher.com/order/catalog/product/ND-2000#/ND-2000

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[53] Young, RO, « Forget Everything Else! Look at THE VAER’s NUMBERS on Injuries and Deaths!. » https://www.drrobertyoung.com/post/forget-everything-else-you-ve-heard-just-look-at-the-numbers5

[54] Young, RO, « CDC NOW Admits NO ‘Gold Standard’ for the Isolation for ANY Virus! » https://www.drrobertyoung.com/post/cdc-now-admits-no-gold-standard-for-the-isolation-for-any-virus

[55] Young, RO, « The Genesis of Severe Acute Respiratory (Syndrome) or SARS & Corona Virus or COVID – 19. » https://www.drrobertyoung.com/post/the-genesis-of-severe-acute-respiratory-syndrome-or-sars-corona-virus-or-covid-19

[56] Young, RO, « What Causes Oxygen Deprivation of the Blood(DIC) and Then Lungs(SARS – CoV 2 & 19)? » https://www.drrobertyoung.com/post/what-causes-oxygen-deprivation

[57] Young RO, Migalko G (2020) What Causes Oxygen Deprivation of the Blood(DIC) and Then Lungs(SARS – CoV 2 & 12)?. Integ Mol Bio Biotechnol 1: 001-007. http://sciaeon.org/articles/What-Causes-Oxygen-Deprivation-of-the-Blood-DIC-and-Then-Lungs-SARS-CoV2and12.pdf

[58] Young RO (2016) Who Had Their Finger on the Magic of Life – Antoine Bechamp or Louis Pasteur?. Int J Vaccines Vaccin 2(5): 00047. DOI: 10.15406/ijvv.2016.02.00047




Teinture Mère d’aiguilles de pin sylvestre

[Source : NewsLetter de Michel Dogna]

Par Michel Dogna

Cette newsletter s’adresse particulièrement à trois catégories de gens :

  • Ceux qui se sont laissés vaxxer à regret pour avoir le droit de continuer à gagner leur vie et nourrir leur famille.
  • Ceux qui, bernés par les mensonges de la télé, se sont fait vaxxer volontairement et sont maintenant très inquiets par ce qu’ils ont appris depuis sur les risques de santé graves, voire mortels, qu’ils encourent maintenant.
  • Ceux qui ne sont pas vaxxés mais qui risquent d’être infectés par la proximité permanente ou imprévisible de vaxxés qui sont en fait des pollueurs ambulants de graphène.

Mais elle ne s’adresse pas à ceux qui pensent avoir fait un choix judicieux et sage.
À ce sujet, je voudrais ici mettre en défaut un raisonnement tronqué venant des « Zélites médico-politiques » concernant les sujets fragiles, que par une grande mansuétude on place prioritaires pour bénéficier du « vaxxin sauveur », il s’agit bien sûr des gens âgés, particulièrement ceux des EHPADs, mais aussi des gens à risques comme les diabétiques et les obèses, dont les défenses immunitaires sont souvent déficientes.

Or on sait que la première ligne de défense anti graphène (poison confirmé) est le L-glutathion, alors que celui-ci est automatiquement en déficit chez ces gens-là. Devinez qui risque de gagner la partie… Alors ne pensez-vous pas qu’il s’agirait plutôt d’une volonté de « débarrasser le plancher » des éclopés considérés comme des encombrants inutiles ?

Comment peut-on encore croire des politiques qui depuis toujours n’ont fait que nous mentir sur tout ? Ceux qui n’ont pas encore compris que nous vivons dans un monde à l’envers où les cadeaux sont toujours empoisonnés, sont bien naïfs.

Une compartimentation regrettable des spécialités médicales

Différentes sommités de la recherche en virologie ont sonné l’alarme en affirmant qu’il n’y aurait aucun retour en arrière possible pour les doubles vaxxés, particulièrement au niveau des dégâts physiologiques et neurologiques résultant de ces faux vaxxins ARNm. Cela n’a pas empêché des millions de gens sous hypnose TV de courir les yeux fermés se faire injecter le poison libérateur… Evidemment les alerteurs indépendants n’ont jamais eu accès TV.

En outre, je me demande pourquoi les sommités connues de la virologie qui ont accès au moins à Internet continuent à tourner en rond, centrés sur les coronas V, persistant à ignorer les vrais agents du crime parfait contenus dans les vaxxins, en l’occurrence l’oxyde de graphène, la protéine Spike S (au graphène) et le gel hydroalcoolique. Je rappelle que c’est ce qu’ont trouvé plusieurs labos espagnols selon La Quinta Columna, après avoir analysé des ampoules de « vaxxin » Pfizer, mis à part quelques mini ingrédients d’usage et aucune trace de souche corona ! Ce qui prouve bien que ce n’est pas fait pour vaxxer mais pour empoisonner.

L’histoire compliquée de la suramine

De son côté, le Docteur Judy Mikovits, chercheuse de haut niveau, pensait qu’il était impossible que les promoteurs criminels de l’holocauste vaxxinal n’aient pas prévu une échappatoire pour eux-mêmes et leurs protégés.

Ainsi, Judy Mikovits et ses collaborateurs ont fini par découvrir la botte secrète que ces gens avaient à disposition confidentielle dans le corps médical depuis près de 100 ans, la Suramine, utilisée pour le traitement de la maladie du sommeil humaine (causée par des parasites, les trypanosomes).

Or cette suramine est dérivée du bleu trypan appelé ainsi parce qu’il tue les trypanosomes. Celui-ci a été synthétisé pour la première fois par le scientifique allemand Paul Ehrlich en 1904. Mais ce n’est pas tout, car lorsque l’on remonte la filière des chimistes, on apprend que le trypan est lui-même dérivé de la toluidine, issue du toluène… qui est extrait de l’huile de pin !
Et cela a été la piste de Judy Mikovits.

Bref historique des aiguilles de pin sylvestre

L’histoire nous montre que les aiguilles de pin sylvestre, ou de différentes autres espèces de pin, ont été largement utilisées depuis des millénaires chez différents peuples comme les amérindiens, si bien que ce pin était surnommé « l’arbre aux mille vertus ». Les herboristes du monde entier connaissent depuis longtemps les bienfaits de ces aiguilles de pin en tisane, en Teinture Mère, en poudre, ou en huile essentielle.
Aussi, la richesse des aiguilles de Pin sylvestre en pinène et multiples autres constituants volatils ou non volatils, et en vitamine C (le Pin a été utilisé dans le soin du scorbut) et A, leur confère un pouvoir guérisseur reconnu ciblant particulièrement les affections respiratoires en tant que :

  • Antiseptique,
  • Anti-inflammatoire,
  • Expectorant,
  • Mucolytique,
  • Antioxydant puissant (d’après une étude sud-coréenne en 2011),
  • Stimulant de la corticosurrénale.

Mais aussi de :

  • Booster l’état général,
  • Améliorer la circulation sanguine et lymphatique,
  • Favoriser la diurèse et donc éliminer les toxines.

Une piste en impasse

Là nous entrons dans un sac d’embrouilles avec la recherche de la suramine – version naturelle – supposément concentrée dans les aiguilles, celle-là non agressive comparée à celle qui est de synthèse :

L’analyse d’une teinture mère réalisée à partir d’aiguilles de Pin sylvestre fraîchement récoltées, étude faite par un laboratoire sérieux et doté d’appareillages performants, n’a révélé aucune trace de suramine.
La teinture mère contient le précurseur de cette molécule, le toluène (découvert initialement dans le Baumier de Tolu, un grand arbre d’Amérique du sud, d’où le nom de ce composant) : le toluène est en effet soluble dans l’éthanol contenu dans l’alcool impliqué dans la fabrication de la teinture mère.

Mais cet extrait ne contient pas de suramine, molécule obtenue par voie de synthèse, comme expliqué ci-dessus : la suramine n’est présente dans aucune plante, elle ne se trouve pas à l’état naturel : cette molécule est une création de la chimie analytique ! L’infusion d’aiguilles de Pin sylvestre ne contient pas non plus de suramine, pas plus que la teinture mère ou tout autre extrait du Pin sylvestre, ou tout autre espèce de Pin !

Alors pourquoi ça marche ?

Il est clair que si Judy Mikovits avait raconté des sottises, pourquoi l’aurait-on empêché de parler en la mettant en prison (comme JB Fourtillan) ? A notre avis, elle ne s’est pas trompée sur les résultats, mais a dû mal interpréter la complexité du processus réel de l’action thérapeutique des aiguilles – la suramine serait donc un faux drapeau, et il y aurait autre chose qui fait le travail, mais quoi ?

  1. Notre problème central est la neutralisation du graphène qui est un peroxydant. Or les extraits d’aiguilles de pin étant, nous l’avons vu, un puissant antioxydant apportent une aide extérieure importante au L-glutathion, principal antioxydant endogène qui peut être très insuffisant.
     
  2. Par ailleurs tout le monde sait que les pinèdes dégagent beaucoup d’ions négatifs extrêmement tonifiants qui donnent une sensation de légèreté. Les aiguilles en sont en grande partie le siège.

D’un autre côté l’oxyde de graphène étant électropositif a besoin d’être dans un milieu électropositif pour pouvoir fonctionner. A noter aussi sa capacité exceptionnelle de conduction électrique et magnétique.
Ceci a donné lieu, chez des milliers de personnes à des phénomènes amusants d’aimantation de petits objets ferreux sur le point d’inoculation du vaccin.
Mais malheureusement aussi à des réactions dramatiques presque immédiates de gesticulations violentes incontrôlables et continues insupportables à voir (pauvres gens !) – Il semble que tout le système cérébro-spinal soit en court-circuit.

La vérité est que les extraits d’aiguilles de pin peuvent neutraliser l’électropositivité du graphène le rendant inactif et le piégeant magnétiquement. Pour en savoir plus, je vous renvoie en référence à la thèse d’un scientifique anglais – cliquez sur :

https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01325244

Comme le dit Hugo Barès :

La suramine, c’est l’antidote du graphène pour les élites,
mais les aiguilles de pin, c’est l’antidote du peuple.

Conclusion

Les gros dommages physiques et psychiques post-vax peuvent être grandement évités ou atténués grâce aux aiguilles de Pin sylvestre en préventif avant le vax, ceci permettant de se mettre en règle naturellement sans trop de risques avec le scandaleux passeport vert.

En curatif post vax, il parait aussi possible dès le départ de bloquer le graphène, mais je ne suis pas sûr que par la suite il soit possible de rattraper tous les dégâts déjà occasionnés.

  • NOTA :
    Vu sur ProFide Catholica : en Espagne les produits dérivés d’aiguilles de Pin ont été interdits courant mai 21 !
    C’est bien la preuve que ça marche !…

Recommandations PRÉ ET POST VAX

Alcoolature ou Teinture Mère d’aiguilles fraiches de pin sylvestre

  • 15 gouttes dans de l’eau avant chacun des 3 repas, pendant 25 jours, cure à renouveler après arrêt d’une semaine. Un flacon de 100 ml suffit pour deux cures. 
     

Nota : Hélas, il est possible que beaucoup de gens
n’aient pas accès à ces informations ou n’y croiront pas,
parce que cela ne sera pas diffusé à la télé…

Garantie Qualité

  • Les aiguilles de Pin sylvestre sont coupées et mises en macération sur le site même de la cueillette, dans de la Blanche d’Armagnac 55°, certifiée Demeter et Ecocert.
  • La teinture mère est labellisée Ecocert, Nature et Progrès, Demeter. Elle a un titre alcoolique de 35° environ.

Commande

Vous pouvez vous procurer la Teinture Mère d’aiguilles de pin sylvestre ici :




L’Homme génétiquement modifié devient-il brevetable ?

[Source : euronews (en français)]

L’ADN humain naturel ne peut pas être breveté, c’est ce qu’a tranché la Cour suprême des Etats-Unis dans une décision très attendue jeudi 13 juin. Les neuf Sages ont débouté à l’unanimité la société de biotechnologies Myriad, qui revendiquait la propriété de deux gènes défectueux liés à des cancers, sur laquelle elle avait deposé neuf brevets, sous prétexte de les avoir isolé dans les années 90.

« Cependant, l’ADN complémentaire, c’est-à-dire synthétisé artificiellement, peut lui être breveté. »


Dr Chinda Brandolino : « Si l’ADN est génétiquement modifié il peut être breveté »




[Source : Scandal (1scandal.com)]

Nous savons déjà que le vaccin imposé à la population en ce moment est suffisamment nocif car il contient effectivement de l’oxyde de graphène.

ANNONCE: COVID-19 est causé par l’oxyde de graphène introduit de plusieurs manières dans le corps – Scandal (1scandal.com)

Mais il s’avère qu’il s’agit d’un véritable cauchemar si l’on considère que ceux qui utilisent la technologie de l’ARNm modifient l’humain, l’ADN, transformant les gens en transhumains.

Orwell City a traduit pour vous les propos du Dr Chinda Brandolino sur le sujet :

Eh bien, vous savez qu’en 2013, aux États-Unis, la Cour suprême a statué que l’ADN humain, le génome humain, ne peut pas être breveté car il est un produit de la nature. Mais s’il est génétiquement modifié, il est breveté.

Lorsque vous modifiez le génome avec un vaccin adénoviral, cette personne vaccinée est déjà une personne transgénique et transhumaine.

Et, selon ce qui est légalement établi en droit international, il sera la propriété du titulaire du brevet.

Mais la chose la plus dramatique de toutes est que, lorsqu’elle est transhumaine, cette personne ne sera pas considérée comme humaine selon les droits de l’homme que nous connaissons.

Je n’ai pas encore eu le temps de vous le dire, mais la situation est extrêmement grave et j’ai le sentiment que même notre peuple, comme cela nous est arrivé récemment, ne se rend pas compte de la gravité à laquelle nous sommes confrontés. Ce n’est pas seulement la maladie qu’elle va produire, souvent mortelle, mais aussi le fait que les survivants auront un génome modifié et que cette modification sera transmise à leurs descendants .

Et que parce que leur génome est modifié, cette modification est brevetée. Et tout ce qui est breveté appartient au titulaire du brevet.

Je ne sais pas si vous comprenez ce que je dis. Et cela doit vous faire partir d’ici aujourd’hui, aujourd’hui, avec toute la force de recourir à tous les moyens pour alerter la population, car c’est la dernière possibilité que nous ayons. Où, comme l’a dit récemment Maria José : ‘transmets-le et combats-le’.

Ces gens ont assez d’argent pour accomplir, peu importe à quel point c’est mal fait, pour donner l’approbation définitive à cela. Nous sommes perdus aujourd’hui.

Vous devez être des soldats. Nous devons être des soldats.

Il faut alerter la population.

Je ne sais pas si vous m’avez compris. Je ne vais pas étendre scientifiquement la synthèse.

Et j’ai vu les morts et j’ai vu les causes de la mort.

Mais ce n’est pas le plus grave, mais qu’arrivera-t-il aux survivants?

Donc la seule chose que je demande et vous rappelle, c’est que nous sommes des soldats de la vie et des défenseurs de l’espèce humaine. C’est tout.

Dr. Chinda Brandolino

Plus d’informations sur l’affaire :

Dans une affaire judiciaire en 2013, dans laquelle l’Association of Molecular Pathology v Myriad Genetics, Inc était impliquée, la Cour suprême des États-Unis a statué que l’ADN humain ne pouvait pas être breveté car il était «un produit de la nature». Mais à la fin de la décision, la Cour suprême a statué que si un génome humain était modifié par des vaccins à ARNm (qui sont actuellement utilisés), alors le génome peut être breveté.

Supreme court pdf

[Ndlr : ce document est tiré de la section « Opinions » du site de la Cour suprême et mentionne lui-même au tout début du texte : « (Slip Opinion) », soit « (Opinion préliminaire) » en français.]

Cela signifie que toutes les personnes qui ont reçu le vaccin sont désormais techniquement « brevetées » et que quelque chose qui est breveté est une « propriété » et relèvera de la définition de « transhumain ». Les personnes qui sont légalement identifiées comme « transhumains » n’ont pas accès aux droits de l’homme ou aux droits accordés par l’État. C’est parce qu’ils ne sont pas classés comme 100% biologiques ou humains .

Par conséquent, techniquement, toute personne ayant ce vaccin ne pourrait plus avoir accès aux droits de l’homme. Il y a eu des documents juridiques sur ce sujet récemment, donc des éclaircissements devraient être disponibles bientôt.

L’ARNm est la technologie CRISPR (Moderna l’a décrit comme son « système d’exploitation ») et étudie la technologie pour inverser les effets secondaires, comme vous le feriez avec un ordinateur. Il existe actuellement un brevet lié à cette technologie :

WO2020060606 – SYSTÈME DE CRYPTO -MONNAIE UTILISANT DES DONNÉES D’ACTIVITÉ CORPORELLE

La technologie sera placée sur votre corps, puis assignée à un code-barres et attachée à la crypto-monnaie. La technologie suit votre activité corporelle et lorsque vous atteignez un « niveau d’activité satisfaisant », vous recevrez votre crypto-monnaie. Il s’agit de la version courte du brevet, mais vous devez l’examiner correctement.

Si vous voulez en savoir plus sur le sujet, regardez la vidéo suivante :

Source


Question

Si un « vaccin » anti-Covid peut effectivement modifier l’ADN humain du noyau ou des mitochondries (ne serait-ce qu’accidentellement à cause de la présence naturelle de transcriptase inverse dans l’organisme), est-ce que l’entreprise pharmaceutique qui l’a produit devient propriétaire du vacciné ?




Serait-il imaginable que l’élite globale ait déclaré la guerre à l’humanité ?

[Source et auteur : Liliane Held-Khawam]

Deloitte ne met pas au conditionnel le modèle de la nouvelle médecine. Il vous l’affirme en invitant ses clients à se mettre à jour avec ce qui s’en vient. Écoutez plutôt. (Comme ce genre de vidéos n’est pas censuré, profitez de la traduction offerte par YouTube).

Deloitte, en champion des cabinets de conseil, qui couvre le secteur de la santé, nous offre cette vidéo qui remonte à mars 2019. Bien avant les histoires covidiennes donc.

Dans ce document, nous démontrons que l’individu sain devient, par une volonté de mettre en place une autre forme de médecine, un malade qui s’ignore et que les appareils vont prédire ses maladies avant même que les symptômes apparaissent. Pour ce faire, le personnel de santé est invité à faire évoluer ses compétences pour être capable de répondre à la demande. Le contrôle sera sévère, n’en doutons pas.

Ainsi, les populations humaines sont sommées d’accepter un nouveau paradigme techno-médico-sanitaire qui doit changer en profondeur leur identité, leur droit à disposer de leur corps, ET de leur intimité. Sont-elles consentantes ou pas est le dernier des soucis de ces individus qui s’acharnent à modifier la nature humaine afin de réaliser leur rêve, au minimum centenaire : contrôler la vie sur terre par la technologie.

Dans une étude sur la surveillance sanitaire permanente d’un individu connecté, les auteurs ont eu un sursaut d’inquiétude au niveau éthique. Ils y soulignent en passant les problèmes que poserait la collecte massive de données.

« Des quantités considérables de données seront générées avec le développement des technologies de capteurs et de la science des matériaux en raison de la détection omniprésente allant de l’Internet des objets (IoT) aux soins de santé. Ainsi, des méthodes statistiques et informatiques, telles qu’une gamme de techniques d’apprentissage automatique, peuvent être utilisées dans le traitement des données et l’extraction efficace d’informations. Des capacités d’analyse de données en temps réel sont souhaitées pour une gestion robuste des données (Paulovich et al., 2018). Les problèmes éthiques et moraux dans la collecte, l’analyse et le stockage des données, en particulier les données concernant la santé personnelle, doivent être correctement résolus pour protéger la vie privée. » 

Dans la même étude, on a une représentation d’un individu infiltré de capteurs à base de graphène qui permettent la surveillance permanente de la santé.

… Voici en écho une représentation compatible de l’humain posé sur un téléphone portable qui semble scanné et dont les données sont numérisées et donc récupérées par le Big data.

Regardez cette image incroyable publiée début 2019 par le numéro1 des consultants (secteur de santé inclus). L’individu est représenté sur son cellulaire avec une lumière qui sert à décoder les informations sur sa santé qui sont par la suite numérisées et transmises à un centre de gestion (envie d’écrire plutôt commandement) sanitaire. Vous constaterez le biocapteur au niveau du front. Image déjà présente en mai 2019

the-future-of-health-deloitte-us (Télécharger)

Une étude de Nature confirme que la technologie et son Big Data représentent une dimension incontournable de la Nouvelle médecine (envoyée 7 avril 2020)

Fig. 1 : The interconnected digital technologies used in the public-health response to COVID-19.

En avril 2020, ce schéma était prêt avec tout le protocole que nous connaissons aujourd’hui ! Bluetooth du smartphone au centre du processus. Comme sur l’image de Deloitte d’avant 2019 !

Télécharger

L’élite globalisée livre sa guerre contre le virus

Larry Summers, président du panel de hauts responsables (comprenez de délégués de la Planète finance) pour la prévention des pandémies, appelle la communauté internationale à investir 15 milliards de dollars par an dans des fonds supplémentaires et pour une refonte majeure de l’infrastructure mondiale de gouvernance de la santé.

« C’est un moment profond dans les relations internationales et dans la politique étrangère », a déclaré Summers plus tôt cette semaine.

« Pour la première fois dans l’histoire, la sécurité de la plupart des peuples du monde dépendra moins de la résistance aux adversaires étrangers et de l’équilibre des pouvoirs que de la réponse à des menaces communes et de la promotion de la coopération.» 

https://lilianeheldkhawam.com/2021/07/22/devinez-qui-dicte-les-ordres-a-vos-autorites-sanitaires/

On voit la terminologie liée à la sécurité, ou à la résistance aux adversaires. Et même si elle n’est utilisée que dans un but rhétorique, elle interpelle et renvoie à cette phrase du président Macron qui avait dit ‘Nous sommes en guerre face à un ennemi invisible’.

Et maintenant, regardez cette présentation de Bill Gates qui use de visuel digne des militaires. Sauf que dans son cas, il a remplacé les soldats de plomb en miniatures en blouse blanche. La nouvelle armée du Nouveau Monde.

Les soldats ont été remplacés par le personnel de santé pour faire face à une promesse de pandémies à répétition.

L’Onu a entendu les responsables des cordons de la bourse sans lesquels les salaires onusiens risqueraient d’avoir quelques petits soucis. Ainsi en mai 2021, le chef de l’ONU lança lui aussi un : ‘Nous sommes en guerre’ contre le Covid. Et de préciser : le monde est ‘en guerre’ contre le Covid-19, appelant la communauté internationale à aller au-delà de la solidarité et à entrer en ‘économie de guerre’ pour stopper le virus.
https://www.lexpress.fr/actualites/1/monde/nous-sommes-en-guerre-contre-le-covid-dit-le-chef-de-l-onu_2151430.html

Gates mandate les consultants dans le cadre de sa guerre sanitaire

Gates mandate des consultants que l’on retrouve en train de coacher des gouvernants, voire plus si entente.
https://lilianeheldkhawam.com/2021/08/09/jusquou-va-linfluence-de-la-firme-mckinsey-en-france-dans-la-promotion-du-vaccin-et-de-la-mise-en-place-du-pass/

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À noter que McKinsey ne pointe qu’à la 6e place dans le classement Gartner. Deloitte est le numéro 1

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Et en bons généraux, les gouvernants se chargent du terrain

Afin de réaliser sur le terrain la formation d’une armée de personnel médical soumis aux ordres, il va falloir restreindre les libertés individuelles par un contrôle piloté par l’État. Tout comme le sont les soldats militaires. Les médecins et autres infirmiers doivent devenir des gens qui appliquent des protocoles/règlements/procédures/etc. sans trop se poser de questions. Mais ils doivent aussi s’adapter à la médecine personnalisée et prédictive hautement connectée comme vu ci-dessus dans la vidéo de Deloitte.

Les médecins contemporains et autres intervenants dans le domaine médical doivent se former et s’adapter à la techno-médecine, ou disparaître.
https://lilianeheldkhawam.com/2021/07/25/nanosante-le-metier-de-medecin-voue-a-disparaitre-changement-du-paradigme-medical/.

C’est à cela que servira le Conseil national de certification. À faire changer les mentalités des médecins qui veulent encore soigner avec des molécules. Ils doivent passer à la technologie. Et c’est un ordre.

Ainsi, en France, sous le titre de Conseil national de certification, le Conseil des ministres du 19 juillet 2021 a ordonné la mise en place d’une Certification périodique de certains professionnels de santé. Et voici en quoi elle consiste :

Le ministre des Solidarités et de la Santé a présenté une ordonnance relative à la certification périodique de certains professionnels de santé. L’article 5 de la loi n° 2019-774 du 24 juillet 2019 relative à l’organisation et à la transformation du système de santé habilite le Gouvernement à prendre par ordonnance toute mesure relevant du domaine de la loi afin, d’une part, de créer une procédure de certification indépendante de tout lien d’intérêt permettant, à échéances régulières au cours de la vie professionnelle, de garantir le maintien des compétences, la qualité des pratiques professionnelles, l’actualisation et le niveau des connaissances, et, d’autre part, de déterminer les professionnels concernés par cette procédure de certification, les conditions de sa mise en œuvre et de son contrôle, les organismes qui en sont chargés, les conséquences de la méconnaissance de cette procédure ou de l’échec à celle-ci, ainsi que les voies de recours ouvertes à l’encontre de ces conséquences.
L’ordonnance détermine les principes structurants applicables à la certification périodique, dont les modalités d’application seront largement définies par voie réglementaire après concertation avec l’ensemble des parties prenantes.

Elle complète le titre II du livre préliminaire de la quatrième partie du code de la santé publique consacré au « Développement professionnel continu ». Un chapitre II relatif à la certification périodique des professionnels de santé est ainsi ajouté :

https://www.vie-publique.fr/discours/280808-conseil-des-ministres19072021-certification-periodique-professions-sante

  • il définit les objectifs de la certification périodique, le champ des actions qui participent à celle-ci (actualisation des connaissances et des compétences, amélioration de la qualité des pratiques professionnelles et de la relation avec le patient, prise en compte de la santé individuelle du praticien), la périodicité de l’obligation (tous les six ans), ainsi que les sept professions qui sont assujetties à l’obligation de certification (médecins, chirurgiens-dentistes, sages-femmes, pharmaciens, infirmiers, masseurs-kinésithérapeutes et pédicures-podologues) ;
  • il crée un Conseil national de la certification périodique chargé de définir la stratégie, la promotion, le déploiement ainsi que les orientations scientifiques de la certification périodique ;
  • il prévoit que les actions de certification sont librement choisies par le professionnel de santé, le cas échéant en lien avec son employeur, parmi une liste figurant dans un référentiel national de certification périodique ;
  • les référentiels sont élaborés par les conseils nationaux professionnels, sur la base d’une méthode arrêtée par le ministre chargé de la santé sur proposition de la Haute Autorité de santé et après avis du Conseil national de la certification périodique. Ces référentiels sont approuvés par arrêté du ministre chargé de la santé, qui peut saisir au préalable pour avis la Haute Autorité de santé ;
  • il confie le contrôle du respect de l’obligation de certification périodique aux ordres professionnels ;
  • il instaure, au bénéfice de chaque professionnel, des comptes individuels qui retracent les actions de certification périodique suivies. Il prévoit que ces comptes seront gérés par une autorité administrative qui sera désignée par voie réglementaire. (lire la suite sur le site de vie-publique.fr

Un cabinet d’avocat traduit cette décision. Ainsi, le texte définit la notion de certification, crée une instance nationale de pilotage, prévoit la création de référentiels et institue un dispositif de contrôle.
https://accens-avocats.com/blog/2021/07/22/professions-de-sante-creation-dun-dispositif-obligatoire-de-certification-individuelle-periodique-des-competences/

Cette décision a amené le site ‘Observatoire du mensonge’ à publier un article qui est devenu viral et qui est combattu par les médias du système :

Bref, nous retiendrons 2 données incompressibles. D’abord, l’élite se sent en guerre, ensuite le nouveau paradigme qui change la pratique médico-sanitaire doit changer la nature humaine, la vie en société, en famille, ainsi que l’intrusion dans la sphère intime du couple, des toilettes, etc.

Ce changement de paradigme, s’il était expliqué clairement, serait probablement rejeté par tout un chacun. Alors, comment le mettre en place sans faire la guerre aux populations ?

Liliane Held-Khawam




Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent

[Source : soleilverseau.com extraite de LA UNE TV – édition spéciale 14/08/2021]

[Ndlr : d’autres causes sont possibles et envisageables, puisque notamment la Covid-19 couvre notamment les symptômes de la grippe. La protéine Spike présente dans les vaccins procure aussi certains des symptômes de cette « maladie ».]

Petit extrait vidéo de la deuxième partie santé de l’émission du 14 Août 2021, de la nouvelle chaîne d’information ALTERNATIVE Française LA UNE TV (launetv.com), présentée par Richard BOUTRY. Écoutons le Dr Astrid Stuckelberger. Ses propos à propos du vaccin et du test PCR font froid dans le dos ! L’humanité est en danger.

Durée : 8 min



[Voir aussi, sur le graphène :
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine

sur le magnétisme dans les vaccins anti-Covid :
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène

sur les nanoparticules et l’hydrogel :
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?

sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

sur la contagion :
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions :

Selon une nouvelle approche théorique, les phénomènes de contagion épidémique n’impliqueraient jamais de bactéries et de virus naturels en tant que causes initiales (mais tout au plus comme conséquences, le rôle des bactéries et virus étant notamment de décontaminer, nettoyer, purifier, éliminer des déchets, permettre l’assimilation de certaines substances…). Ils proviendraient en réalité de diverses autres causes, éventuellement combinées :
►environnement pollué (air, eau, aliments contenant notamment pesticides et additifs alimentaires, électromagnétisme, radioactivité, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins (avec notamment les adjuvants),
►etc.
Concernant les causes électromagnétiques (notamment le Wi-Fi, le Bluetooth, la 3G, la 4G, la 4G+ et la 5G), électriques (par les champs en provenance des lignes électriques, spécialement à haute tension) et magnétiques (par les conducteurs électriques dès qu’ils sont parcourus par des courants), il est utile de se rappeler que le corps humain — comme l’a mentionné Astrid Stuckelberger dans la vidéo — est électrique, parcouru en permanence par de minuscules courants (dans les influx nerveux, dans les mitochondries lors de la production d’ATP à partir du glucose, etc.), et magnétique, et qu’il suffit de très faibles valeurs de champs électriques ou magnétiques ou d’intensité d’ondes électromagnétiques pour perturber plus ou moins gravement ces délicats processus.

sur la protéine spike :
Appel aux autorités sanitaires et politiques à reconsidérer la vaccination de masse au vu des observations scientifiques récentes sur le SARS-CoV-2 et la protéine Spike
Dr Antoine Achram : traitement préventif covid, et antidote contre la molécule Spike produite par les vaccinés
“La protéine Spike est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme” déclare le Pr Bridle

sur l’inefficacité des “vaccins” anti-covid :
L’obligation vaccinale : sans aucune logique médicale !
“Vaccins” anti-covid : témoignage d’une pédiatre texane devant le Sénat US
Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulé

sur la vaccination :
Citations médicales sur les vaccinations
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Dossier Vaccins

sur l’écouvillon du test PCR :
Oui les écouvillons nasaux sont dangereux !
Les écouvillons du test PCR pourraient contenir des « microdispositifs en forme d’étoile » délivrant un vaccin
Test PCR et écouvillons : attention si vous prenez des anti-coagulants!
Ce que cache le test PCR ?

sur la fraude des tests PCR :
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR
Union Européenne — TESTS PCR ET AFFAIRE COVID : UN SCANDALE INTERNATIONAL
Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants !
Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs

sur le dépeuplement possible :
Le dépeuplement et le vaccin à ARNm
Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses
L’ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon estime que les vaccins à ARNm COVID causeront des réactions indésirables graves
Les médias alternatifs sont-ils des oiseaux de mauvais augure ? Les vaccinés contre la Covid-19 seraient-ils prédisposés à mourir dans les mois suivants ?
Comment les « vaccins » Covid-19 pourraient détruire la vie de millions de personnes
Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?]




Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

Par Mike Adams.

Dans cet article :

  • Aucun matériel de référence certifié isolé pour le virus « Covid-19 ».
  • Les tests PCR qui trouvent des résultats « positifs » pour Covid enregistrent simplement le résultat d’un fond amplifié d’instrument.
  • La FDA admet que les tests PCR ont été développés sans aucun échantillon de virus covid-19 isolé. Donc, ils ont simulé le virus.
  • La virologue Dr Judy Mikovitz confirme que les coronavirus courants et les virus de singe sont frauduleusement étiquetés « Covid ».
  • Le Dr Jane Ruby explique l’absence de tout isolat viral et pourquoi la pandémie est basée sur une fraude scientifique coordonnée.
  • Les documents du CDC FOIA révèlent la preuve que le CDC n’a jamais isolé Covid-19.
  • L’arme biologique à protéines de pointe – spike – est réelle, et les « vaccins » contre le virus sont des piqûres mortelles pour parvenir à la dépopulation.
  • La directrice  du CDC, Walensky, admet que le vaccin contre le Covid n’arrête pas les infections covidiennes.
  • Le sénateur Rand Paul appelle les Américains à résister à la tyrannie covidienne.

[Voir aussi :
40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
« Virus », des décennies d’escroqueries ?
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19
À quel point les virus sont-ils morts ?
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
Dr Sam Bailey — Pourquoi les pathogènes n’existent pas]

L’année dernière, lorsque les sceptiques de l’arnaque covid disaient « qu’il n’y a pas de virus covid », je n’étais pas du tout d’accord. En tant que scientifique de l’alimentation publié, propriétaire de laboratoire et inventeur de deux brevets publiés basés sur l’analyse par spectrométrie de masse, je savais que le SARS-CoV-2 avait été séquencé génomiquement. J’ai sûrement pensé à tort qu’il avait été isolé, purifié et déterminé comme étant la cause de la maladie de Covid-19.

Un an plus tard, il s’avère que les sceptiques avaient raison. Et les avertissements de personnes comme le Dr Thomas Cowan, Sally Fallon, le Dr Andrew Kaufman, Jon Rappoport, David Icke et d’autres étaient justes. (Je me suis depuis excusé auprès d’eux dans un podcast public.)

Comment ai-je réalisé que l’establishment médical et scientifique avait fabriqué tout cela ? Et quelle est l’explication de la maladie très réelle que les gens connaissent ?

Je vais partager cette histoire ici, mais en bref, les virus du rhume et les fragments de virus de singe trouvés dans les vaccins contre la grippe sont mal étiquetés « Covid », et il existe une arme biologique à protéine de pointe armée qui est distribuée via des injections de vaccin. Tout cela est réel. Mais il n’existe pas de virus Covid-19 réel, physique et isolé qui a été récolté sur des personnes malades et dont il a été démontré qu’il infecte d’autres personnes et les rend malades. Ce à quoi nous assistons vraiment ici, semble-t-il maintenant, ce sont trois choses distinctes :

1) Un cocktail de virus du rhume étiquetés « Covid » qui circulent et provoquent des maladies chez certaines personnes, très probablement en raison du manque d’exposition du système immunitaire aux virus de type sauvage pendant tous les blocages mondiaux.

2) Une nanoparticule toxique de protéine de pointe armée qui est injectée à des personnes sous forme de « injection  de caillots »… et elle est probablement en train de se détacher/disperser, provoquant des effets secondaires nocifs chez d’autres personnes non vaccinées.

3) Un schéma PCR « casdémique »(([1] « “Casdémie” Covid : le cartel bancaire est le moteur de l’agenda »)) entièrement frauduleux conçu pour signaler presque tout le monde comme « positif » basé presque entièrement sur le nombre de cycles que les instruments de préparation d’échantillons PCR doivent effectuer, amplifiant ainsi le bruit de l’instrument jusqu’à devenir « positif ». Presque tout peut être signalé comme « positif », y compris les fragments de matériel génétique provenant des vaccins antigrippaux des années précédentes.(([2] « Le mystère des 3 présidents décédés après avoir bloqué la distribution des vaccins anti-covid dans leur pays »))

Ces trois choses – combinées à la programmation d’hystérie de masse par les médias – ont atteint un niveau de peur mondiale et de terrorisme psychologique que le monde n’a jamais vu auparavant. Mais tout est basé sur des mensonges. Et voici comment nous le savons.

Aucun matériel de référence certifié pour le virus SARS-CoV-2 « covid-19 » isolé

En tant moi-même propriétaire de laboratoire, publiant des analyses scientifiques et analyste des spécifications de masse, je suis extrêmement familier avec le processus d’utilisation de matériaux de référence certifiés (certified reference materials CRM) pour valider les méthodes d’analyse et les séquences d’étalonnage des instruments. (J’ai passé beaucoup trop de soirées à créer des dilutions en série d’étalons à l’aide d’une pipette Gilson, croyez-moi…)

Voici comment le processus fonctionne normalement dans un laboratoire scientifique légitime :

Étape 1) Acquérir le CRM de la chose que vous souhaitez tester (« analyte »). Cela signifie acquérir un étalon purifié et isolé avec une concentration connue, généralement dans un support tel que l’eau, ou sous forme de poudre sèche. Par exemple, lorsque je teste le mercure dans les aliments, j’ai une norme de mercure certifiée avec une concentration connue de mercure, dissous dans l’eau, l’acide nitrique et l’acide chlorhydrique.

Étape 2) Exécutez le CRM en tant qu’échantillon, à différentes concentrations, pour créer une « courbe » qui enseigne efficacement à l’instrument à quoi ressemble l’analyte et comment le détecteur de l’instrument réagit aux différentes concentrations de l’analyte.(([3] Dans le domaine de la métrologie et plus particulièrement de la chimiométrie, un analyte est une substance ou un produit chimique constituant le centre d’intérêt d’une procédure d’analyse chimique, toxicologique ou écotoxicologique.)) Le résultat final est une « courbe quantique » qui sera utilisée à l’étape 3.

REMARQUE : Les instruments « correspondront » à la chose que vous recherchez par une variété de méthodes, en filtrant toutes les autres choses qui ne correspondent pas. Dans le travail de spécification de masse, les molécules sont identifiées par leur masse moléculaire, les schémas de fragmentation des ions et le temps d’élution sur les colonnes de chromatographie. Pour qu’une substance corresponde, elle doit atteindre tous ces paramètres. Dans les tests PCR, une « correspondance » est une séquence génomique constituée de paires de bases, définie dans une bibliothèque numérique qui peut ou non avoir été exécutée par rapport à une norme physique réelle dans le monde réel.

Étape 3) Faites passer des échantillons inconnus dans l’instrument (sérum sanguin, urine, salive, eau, extraits d’échantillons alimentaires, etc.) et voyez si l’échantillon inconnu contient l’un des éléments que vous recherchez (l’analyte). Comme vous avez construit une courbe quantique, vous pouvez également déterminer la concentration de l’analyte dans l’échantillon d’origine. Ceci est généralement décrit comme la masse sur le volume, telle que ng/ml (nanogrammes par millilitre). Un nanogramme est un milliardième de gramme. Lorsque nous testons les aliments pour le glyphosate, nous pouvons détecter aussi peu que 1 nanogramme par millilitre, ce qui vous en dit long sur l’extrême sensibilité des instruments haut de gamme.

C’est le processus pour tester quelque chose et identifier la quantité de quelque chose qui se trouve dans quelque chose d’autre. Par exemple, si vous deviez déterminer si quelqu’un est malade du « Covid », vous devrez déterminer la concentration de virus Covid-19 dans son sang (c’est-à-dire la « charge virale »). C’est la science/biologie 101.

Alors, quel est le problème ?

Vous seriez stupéfait de réaliser à quel point la fraude scientifique est profonde. Considérez ces points critiques :

Point n° 1 : Il ne semble pas y avoir de matériaux de référence certifiés isolés et purifiés disponibles pour le SARS-CoV-2 « Covid ». J’ai vu des entreprises qui prétendent vendre des « isolats » contenant des virus Covid, mais dans leur propre description, elles expliquent que leurs flacons contiennent du matériel génétique provenant de « cellules hôtes » (cellules humaines) ainsi que de cellules de sérum bovin, ce qui signifie que c’est un ragoût de cocktail de je-ne-sais-quoi. Pourtant, cela s’appelle un « isolat ».

Exemple concret: BEI Resources, qui propose ce qu’ils appellent un « isolat » de covid-19, que vous pouvez trouver sur ce lien. Comme la description l’indique pour ce covid-19 « isolat : »

… Ce produit ne convient pas comme préparation d’antigène de cellule entière car la teneur en protéines est largement apportée par la cellule hôte et le sérum bovin fœtal utilisé lors de la propagation du virus.

En d’autres termes, la plupart du matériel génétique de l’« isolat » provient en fait de cellules humaines. Ce n’est donc pas du tout un isolat. Le virus Covid n’est pas isolé. En fait, cet « isolat » contient du matériel génétique viral, du matériel génétique humain et du matériel génétique bovin, ainsi que tous les autres virus présents dans le sang des humains et des vaches. Cela pourrait être des millions de nanoparticules différentes présentes, chacune contenant ses propres séquences de matériel génétique.

Point #2 : Si vous n’avez pas de matériaux de référence isolés et certifiés, vous ne pouvez pas développer un test d’analyse légitime. Et c’est exactement ce qu’admet la FDA dans ses propres documents, qui indiquent que puisque les virus Covid-19 n’étaient pas disponibles pour le développement du test PCR, ils l’ont « simulé » en utilisant des cellules humaines et des fragments de coronavirus de banque de gènes. D’après le propre document de la FDA :

Étant donné qu’aucun isolat de virus quantifié du 2019-nCoV n’était disponible pour une utilisation par les CDC au moment où le test a été développé et où cette étude menée, des tests conçus pour la détection de l’ARN 2019-nCoV ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN complet transcrit in vitro… dopés dans un diluant composé d’une suspension de cellules humaines A549 et d’un milieu de transport viral (VTM) pour imiter l’échantillon clinique.

En d’autres termes, ils ont truqué le virus Covid en utilisant des cellules de banque de gènes qui ont été délibérément et faussement étiquetées « Covid ». C’est ainsi que le test PCR a été développé. La FDA admet tout. Le test PCR est une fraude.

Point n°3 : Si vous n’avez pas d’isolat CRM, vous ne pouvez pas étalonner les instruments par rapport à un échantillon connu. Et cela signifie que les tests PCR ne sont pas calibrés par rapport à quoi que ce soit de réel et de physique. Au lieu de cela, ils s’appuient sur des bibliothèques numériques téléchargées fournies par nul autre que le CDC, le même groupe paravent de Big Pharma qui est le fer de lance de cette arnaque covid.

Point n°4 : les instruments de PCR sont incapables d’analyse quantitative. Les coups « positifs » ne sont que des bruits de fond amplifiés. Aucun instrument PCR ne peut vous dire quelle quantité de matériel génétique a été trouvée dans un échantillon original. Il peut simplement détecter la présence de matériel sur une base oui/non. En science de laboratoire, cela s’appelle une analyse « qualitative », pas une analyse quantitative.

Dans l’analyse qualitative, le facteur clé est la « limite de détection » (« Limit of Detection » LOD) de l’instrument. Dans quelle mesure l’échantillon créera-t-il encore un « hit » ( succès/coup ) pour l’instrument ? Dans tous les instruments, pour que la LOD soit scientifiquement valide, elle doit être quelque chose qui dépasse le bruit de fond, sinon elle n’a aucun sens scientifique. Tous les instruments produisent un bruit de fond, qui sont des « pics » ou des « hits » qui représentent la statique du détecteur, pourrait-on dire. Ceux-ci existent à un niveau d’arrière-plan même lorsque vous n’exécutez rien dans l’instrument.

Pour vous montrer à quoi cela ressemble, considérez le graphique suivant.

Il montre des résultats de spécification de masse sur un spectre de masses. L’axe horizontal ici est m/z (masse sur charge), qui est simplifié en « masse » pour une discussion générale. C’est la masse des molécules ou des particules détectées.

Remarquez les lignes rouges et oranges au bas de chaque graphique. C’est en grande partie un bruit de « fond » dans toutes les masses. Remarquez ensuite le très haut pic orange qui s’élève au-dessus de l’arrière-plan. C’est la masse de la molécule qu’ils recherchent. Il peut s’agir d’un pesticide, d’un contaminant, d’un nutriment, etc.

Il est important de noter que si je devais augmenter l’amplification du détecteur, le « bruit de fond » au bas de l’écran s’étendrait verticalement pour remplir l’écran. L’écran entier serait un « hit » sur chaque masse, car l’amplification est augmentée. C’est l’équivalent de ce que font les instruments PCR lorsqu’ils exécutent plus de 30 cycles. Ils amplifient le bruit, puis prétendent avoir eu un « hit » sur le covid.

Mais parce qu’ils l’ont amplifié tant de fois, ils ont effacé toute capacité de dire avec certitude ce qu’ils ont, ou même combien ils ont. Parce que le LOD (Limit of Detection) est scientifiquement invalide s’il ne peut pas extraire un pic du bruit de fond.

En règle générale, dans la validation de méthode, votre LOD doit être au moins trois fois plus élevé que le bruit de fond, ce qui signifie qu’un « pic » doit être trois fois plus élevé que le bruit de fond. Tout ce qui est inférieur à cela est considéré comme un faux bruit de fond. Et lorsque vous effectuez un travail quantitatif, vous avez généralement besoin d’un signal au moins 10 fois supérieur au bruit de fond.

Pourtant, les instruments PCR prennent le bruit de fond et l’amplifient jusqu’à ce qu’ils obtiennent un résultat « positif ». Ce « positif » est alors absurdement appelé un « cas de Covid », même s’il ne signifiait littéralement rien d’un point de vue scientifique légitime.

L’ensemble du processus utilisé aujourd’hui via la PCR est une science complètement bidonnée qui ne passerait même pas l’audit d’un laboratoire scientifique le plus élémentaire. C’est d’ailleurs pourquoi la plupart de ces habillages du PCR ne sont pas accréditées ISO. Ils ne pouvaient pas passer un seul audit. (Mon laboratoire est accrédité ISO avec un audit annuel, y compris les tests de précision de quantification à l’aveugle des instruments de spécification de masse pour s’assurer que nous atteignons la précision de nos objectifs.)



Dr. Judy Mikovitz confirme tout dans une récente interview

Dr. Judy Mikovitz, auteur de Ending Plague (PlagueTheBook.com), a confirmé tout cela dans une récente interview avec moi. Non seulement a-t-elle confirmé qu’il n’y a pas de virus Covid-19 isolé qui a été récolté et purifié sur une personne malade et dont il a été prouvé qu’il provoque une maladie chez une autre personne ; Elle a également confirmé que le Dr. Fauci a spécifiquement choisi un échantillon militarisé/armé de laboratoire qui a été infecté par un cocktail de coronavirus à utiliser comme base pour la recherche sur le gain de fonction.

En d’autres termes, le Dr. Fauci savait qu’il était en train de construire un ragoût viral frankensteinien, que le frauduleux CDC et ses complices de la communauté scientifique ont labellisé « covid ». Soutenus par l’hystérie des médias de masse, ils pourraient amener la plupart de la population à se soumettre à un vaccin pour inoculer à la population des bio-armes que sont les protéines de pointe, conçues et développées dans le cadre du financement et des directives de Fauci.

Ainsi, la vraie histoire ici est que Fauci et le CDC ont utilisé les coronavirus communs pour simuler la pandémie de Covid afin d’injecter aux gens une véritable arme biologique : la protéine de pointe augmentée.

Surtout, le Dr. Mikovitz confirme que tout cela provient de l’armée américaine qui est impliquée  dans le développement et le déploiement de cette arme biologique de dépopulation mondiale (la protéine de pointe) ;



Dr. Jane RUBY offre une explication exceptionnelle du canular de Covid lors d’une récente émission Stew PETERS

Dans une autre vidéo accablante, Dr. Jane Diamond, une contributrice à l’émission de Stew Peters (StewPeters.TV) confirme toute cette histoire, révélant que le virus Covid-19 n’a jamais été isolé, ni purifié et ou montré comme provoquant une maladie de Covid. La plandémie est une colossale arnaque :



Les documents FOIA(([4] Loi sur la liberté d’information (FOIA) – Comme toutes les agences fédérales, le CDC est tenu de divulguer les dossiers demandés par écrit par toute personne, à moins que les dossiers (ou une partie des dossiers) ne soient protégés contre la divulgation par l’une des neuf exemptions contenues dans la loi.)) du CDC ne révèlent aucun « Covid-19 » isolé du virus existant.

Enfin, de nouveaux documents FOIA ont fait surface, révélant que le CDC n’a jamais isolé de virus covid-19. Une Canadienne du nom de Christine Massey aurait déposé de multiples demandes auprès du CDC, en vertu de la loi sur la liberté d’information :

Toutes les études et/ou rapports en possession, sous la garde ou le contrôle du CDC et/ou de l’Agency for Toxic Substances and Disease Registry (ATSDR) décrivant la purification de tout virus « COVID-19″ (y compris B.1.1.7, B.1.351, P.1 et toute autre « variante ») (via la macération, la filtration et l’utilisation d’une ultracentrifugeuse ; également appelé parfois par certaines personnes « isolement »), directement à partir d’un échantillon prélevé sur un humain malade, où l’échantillon du patient n’a pas été préalablement combiné avec une autre source de matériel génétique (c’est-à-dire des cellules rénales de singe alias cellules Vero ; du sérum bovin fœtal).

Dans une lettre de réponse datée du 7 juin 2021, le CDC a répondu :

Une recherche dans nos dossiers n’a révélé aucun document relatif à votre demande. Plus précisément, le National Center for Immunization and Respiratory Disease informe que le CDC ne purifie ni n’isole aucun virus COVID-19 de la manière décrite par le demandeur.

La demande FOIA est identifiée sous le numéro 21-01075-FOIA.

En d’autres termes, le CDC n’a jamais isolé ni purifié aucun virus COVID-19, point final.

Le site web du Dr Robert O. Young révèle des documents supplémentaires montrant que le CDC n’a jamais isolé et purifié le virus HPV, le virus de la rougeole, le virus MERS, le virus Zika ou le virus de la polio, entre autres.

(Nous nous efforçons d’entrer en contact avec Christine Massey pour confirmer l’étendue de ses demandes de FOIA et l’inviter à une interview).

Le 21 juillet de cette année, le CDC a annoncé qu’il retirait son autorisation pour le test PCR actuel pour le covid-19, déclarant que le test PCR ne serait plus considéré comme une science valide après le 31 décembre de cette année. Il est ensuite indiqué qu’un nouveau test PCR « facilitera la détection et la différenciation du SRAS-CoV-2 et des virus de la grippe », ce qui signifie que le nouveau test serait capable de faire la différence entre le covid et le rhume. Cela implique que le test actuel — celui qui a été utilisé pour pousser l’hystérie mondiale de la pandémie de covid — ne permet pas une telle différenciation.

En fait, il semble que le CDC ait fabriqué la science derrière les « pandémies » mondiales pendant des décennies, en utilisant les médias pour répandre l’hystérie de masse là où aucune pandémie n’existait. L’un des meilleurs cas, et le plus récent, est celui du virus Zika, où les médias grand public criaient que les bébés nés de nouvelles mères en Floride naîtraient avec des têtes réduites (microcéphalie) à cause du virus Zika. Tout comme dans le cas du covid, des milliards de dollars ont été versés à des sociétés pharmaceutiques pour la recherche d’un vaccin contre le Zika, qui s’est avéré n’être rien de plus qu’un battage publicitaire.

La directrice du CDC Walensky admet que le vaccin contre le Covid n’empêche pas l’infection ou  la transmission du variant Delta du Covid

Pour ajouter au démantèlement de ce canular du vaccin contre le covid-19, le directeur du CDC, le Dr Rochelle Walensky, vient d’admettre quelque chose d’étonnant sur CNN : Les vaccins contre le covid-19 ne préviennent PAS les infections au covid-19. Ils n’empêchent pas non plus les gens de transmettre la « variante Delta » de ce que le CDC appelle le virus covid.

En fait, Walensky vient d’admettre que les passeports vaccinaux sont inutiles et ne prouvent rien. Si une personne « totalement vaccinée » peut quand même attraper et transmettre le covid, alors le passeport vaccinal n’est rien de plus qu’une preuve d’obéissance, et non une preuve d’immunisation.

Voici le Dr Walensky qui dit tout cela sur CNN, et non, ce n’est pas une vidéo « deep fake ». C’est aveu clair :



Le virus du Covid-19 est un canular, mais la protéine Spike est très réelle et assez meurtrière comme arme.

Alors que le virus covid-19 semble n’être rien d’autre que des virus du rhume ou des virus de singe renommés, la nanoparticule toxique de protéine spike — qui est maintenant injectée par le biais de vaccins — est une arme biologique mortelle initiée aux États-Unis, puis augmentée à Wuhan en utilisant l’argent des contribuables américains.

Il semble maintenant évident que l’objectif de l’hystérie des covidés était d’inciter les gens à accepter des injections de protéines spike, intentionnellement mal étiquetées « vaccins ». Ces protéines, à partir desquelles le vaccin covid est maintenant appelé « piqûre de coagulation », provoquent des caillots sanguins, des lésions neurologiques, des accidents vasculaires cérébraux, des crises cardiaques, des avortements spontanés et des lésions vasculaires universelles, même selon le Salk Institute, un organisme à vocation généraliste. Extrait de leur article sur la protéine spike et ses effets néfastes sur le système cardiovasculaire humain :

Aujourd’hui, une nouvelle étude majeure montre que les protéines spike du virus (qui se comportent très différemment de celles codées en toute sécurité par les vaccins) jouent également un rôle clé dans la maladie elle-même.

… Le document fournit pour la première fois une confirmation claire et une explication détaillée du mécanisme par lequel la protéine endommage les cellules vasculaires. On s’accorde de plus en plus à dire que le SRAS-CoV-2 affecte le système vasculaire, mais on ne comprenait pas exactement comment il le faisait. De même, les scientifiques qui étudient d’autres coronavirus soupçonnent depuis longtemps que la protéine spike contribue à endommager les cellules endothéliales vasculaires, mais c’est la première fois que ce processus est documenté.

Dans la nouvelle étude, les chercheurs ont créé un « pseudovirus » qui était entouré de la couronne classique de protéines spike du SRAS-CoV-2, mais qui ne contenait pas de véritable virus. L’exposition à ce pseudovirus a entraîné des lésions des poumons et des artères d’un modèle animal, ce qui prouve que la protéine spike seule suffit à provoquer la maladie. Des échantillons de tissus ont révélé une inflammation des cellules endothéliales qui tapissent les parois des artères pulmonaires.

La protéine spike a été développée en tant qu’arme biologique afin de provoquer des symptômes généralisés qui peuvent ensuite être faussement étiquetés « covid », puis cités pour promouvoir encore plus d’injections de vaccins contenant davantage d’armes biologiques à base de protéine spike. Le « virus » covid-19 n’est qu’un cocktail de virus de singe et de virus du rhume, tandis que la protéine spike – qui est la cible antigénique des vaccins – provoque des lésions vasculaires, des problèmes d’infertilité, des dommages au système immunitaire, etc.

Quel est l’objectif de tout cela ? La dépopulation, bien sûr.

C’est une arme de dépopulation pour réaliser l’extermination massive de la race humaine.

La protéine spike est une arme de dépeuplement. Le « vaccin » est une piqûre d’extermination/suicide à la Soleil vert qui a été reconditionnée en « médicament ». La « pandémie » était une hystérie médiatique montée en épingle pour créer la panique et une demande généralisée pour le vaccin afin que les gens ne résistent pas aux piqûres d’extermination.

Et cela signifie que beaucoup de ceux qui ont pris le vaccin seront bientôt morts parce que le but de cette fausse pandémie était de débarrasser le monde de milliards d’êtres humains.

https://youtu.be/3TGqLsnao5o
Preview du film Soleil vert avec Charlton Heston

Cela signifie également que toute personne qui suit ce mouvement est complice d’un meurtre génocidaire et de crimes contre l’humanité. Cela inclut les journalistes, les scientifiques, les médecins, les gouverneurs, les responsables de la FDA/CDC/OMS, et même les pharmaciens et les infirmières locaux qui administrent ces injections mortelles à des hommes, des femmes, des enfants et même des personnes âgées. Leurs crimes contre l’humanité font passer l’Holocauste de la Seconde Guerre mondiale pour un jeu d’enfant en comparaison. L’holocauste des vaccins covidés risque de massacrer des milliards d’êtres humains avant que les criminels ne soient arrêtés.

En fait, vous assistez à une campagne mondiale d’extermination massive déguisée en réponse de santé publique à une pandémie.

Il s’agit de l’escroquerie « scientifique » la plus sinistre et la plus diabolique jamais perpétrée dans l’histoire de la civilisation connue. Il s’agit, en toute honnêteté, d’une tentative mondialiste d’extinction de l’homo sapiens, d’une sorte de « nettoyage ethnique à l’échelle planétaire » visant à débarrasser le monde des humains et à faire place à un scénario insensé qu’ils espèrent voir se réaliser.

Il est temps pour tous les êtres humains qui souhaitent préserver la race humaine de se lever pacifiquement et de résister à cette tentative d’extermination génocidaire contre l’humanité.

C’est pourquoi le sénateur américain Rand Paul appelle maintenant les Américains à résister aux verrouillages et aux mandats de masquage, déclarant : « Nous n’avons pas à accepter les mandats, les verrouillages et les politiques nuisibles des petits tyrans et des bureaucrates sans cervelle. Nous pouvons simplement dire non, pas encore. » Il poursuit :

« Ils ne peuvent pas tous nous arrêter. Ils ne peuvent pas empêcher vos enfants d’aller à l’école. Ils ne peuvent pas fermer tous les bâtiments gouvernementaux — bien que j’aie une longue liste de ceux qu’ils devraient fermer. Nous ne sommes pas obligés d’accepter les mandats, les fermetures et les politiques néfastes des petits tyrans et des bureaucrates incompétents. Nous pouvons simplement dire non, pas encore.

Monsieur le Président Biden, nous n’accepterons pas les mandats de vos agences ni les mesures de confinement que vous avez annoncées », a déclaré Paul. « Personne ne devrait suivre les mandats de masque anti-science du CDC.

Nous ne vous permettrons pas de faire plus de mal à nos enfants cette année encore. »

Nous avons tous été trompés, les amis. Tout cela n’a rien à voir avec la santé publique, le sauvetage de vies ou l’arrêt d’une quelconque pandémie. Il s’agit d’une mise en scène élaborée et coordonnée visant à inciter les gens à se suicider par des injections d’armes biologiques afin que les mondialistes puissent éliminer quelques milliards de personnes de la planète et faire progresser leur tyrannie et leur contrôle autoritaire sur les survivants.

Il peut également s’agir d’une couverture pour leur plan de réinitialisation financière, qui fera s’effondrer les monnaies fiduciaires du monde, détruira tous les actifs monétaires des moutons et consolidera la propriété de tout dans les mains de l’élite mondialiste.

C’est pourquoi les gouvernements du monde entier retiennent maintenant leurs propres citoyens en otage, exigeant que des quotas de vaccins soient atteints afin de débloquer une « liberté » limitée qui sera bien sûr complètement révoquée une fois que la prochaine « variante » sera identifiée.

J’explique tout cela dans ce podcast puissant et urgent qui a été publié pour la première fois vendredi dernier :



Toute l’arnaque des covidés est en train de s’effondrer. Restez à l’écoute pour en savoir plus. Regardez les vidéos sur Brighteon.com et Banned.video pour apprendre la vérité que Big Tech ne permet à personne de partager. Si vous voulez vivre et survivre à ce génocide mondial, lisez NaturalNews.com et suivez ma chaîne sur Brighteon :
brighteon.com/hrreport


source : https://www.naturalnews.com





Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid

[Source : cv19.fr]

Karen Kingston, ancienne employée de Pfizer et actuellement analyste pour les industries pharmaceutiques et des dispositifs médicaux, présente une documentation factuelle sur la possible présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid, une substance toxique à l’origine du rappel massif de masques FFP2 en France.

Voir l’interview complète ici :



[Mise à jour 26/08/2021]

Transcription par Michel Dogna

Stew Peters (présentateur) : Nous avons eu de nombreuses  discussions polémiques avec les « pacts checker » et des chercheurs indépendants qui ont tenté de discréditer les conclusions de chercheurs espagnols, présentées dans le Stew Peter Show, par le Dr Jane RUBY. Cette vidéo révélait que l’oxyde de graphène, une substance toxique, un poison, a été trouvé en quantité dans le vaXX Pfizer… Ces chercheurs espagnols ont ensuite découvert qu’il en est de même pour les vaXXs Moderna et AstraZénéca.

USA Today, Lead Story, tous financés par la Cabale, étaient tous contre moi et le Dr Jane Ruby – ils nous traitent de menteurs pour avoir révélé cette découverte au monde, dans une vidéo maintenant vue, je pense 1 million de fois sur Rumble.

Nous avons depuis demandé l’avis de nombreux experts médicaux, de médecins de renommée mondiale comme Dr Jane Ruby, Dr Tenpenny, Dr Judy Micovitz, Dr David Martin ; ils ont tous confirmé ce rapport – mais malgré toutes ces confirmations, les attaques contre notre vérité continuent sur Tweeter. Nous voulons donc savoir de quoi il s’agit, si c’était planifié, qui est derrière tout cela.

Karen Kingston : (ancienne employée de Pfizer et actuellement analyste pour les industries pharmaceutiques et de matériels médicaux.)

« C’est extrêmement difficile de trouver les informations et de les relier entre elles, mais j’ai un éventail unique de compétences, c’est mon métier. Dans le secteur, j’analyse la propriété industrielle et le contexte juridique, tant pour les médecins, les pharmas que les consommateurs, et je suis également rédacteur scientifique. Donc, vous ne pouvez pas vous attendre à ce que tout le monde ait ces compétences pour trouver ces informations.

La réalité est que les médias grands publics nous mentent, et que les Big Tech et les médias sociaux bloquent la vérité. Cela viole le premier amendement de notre constitution (US). »

Question – Alors, dites-nous est-ce que l’oxyde de graphène est dans ces injections ?

Réponse – A 100% OUI ! Je vais vous le démontrer. Ce qu’il est vraiment important de savoir, c’est que tous les vaXXs ARNm contiennent ce que l’on appelle une nanoparticule de lipide Pegylée (PEG). C’est ce que nous allons expliquer. Si vous regardez le brevet de Moderna, il est écrit qu’il contient une composition de nanoparticules lipidiques, et au fur et à mesure que vous parcourez le document ça parle spécifiquement de divers ingrédients et formulations Pegylée qui ont des codes alpha numériques. Vous pouvez également les trouver dans le dossier de dépôt à la FDA, avec l’IND (Investigational New Drug) dans les essais de phase 3 de Pfizer et Moderna. Vous pouvez également les trouver à travers le formulaire de dépôt de l’EPA (Environnemental Protection Agency).

Alors voici la chose la plus importante avec le brevet que j’ai lu. Il y a 193 pages, plus les pièces jointes. J’ai lu le brevet pour trouver de l’oxyde de graphène. Il n’est pas listé dans le brevet, parce que c’est un secret commercial. Vous souvenez-vous de B. Gates qui disait qu’il y avait un secret commercial ? Les secrets commerciaux ne sont pas destinés à être divulgués au public. Ils ne peuvent donc pas être dans le dossier. Donc l’oxyde de graphène n’est pas dans le brevet. Tout est listé sauf ça, mais je vais vous montrer la preuve que ceci contient de l’oxyde de graphène dans le brevet déposé en Chine.

Q – Laissez-moi juste vous demander : Pourquoi auraient-ils mis tous les autres ingrédients dans le brevet à l’exception du graphène ?

R – Je dirais que la première raison est que c’est un poison pour les humains. L’autre raison est que c’est l’ingrédient principal de l’hydrogel, qui est le liquide. C’est le modèle IA (intelligence artificielle) qui est utilisé pour certaines recherches d’Elon Musc et B. Gates, en ce qui concerne une interface entre l’humain et l’Internet.

Q – Donc il existe une théorie légitime que ces injections sont en fait conçues pour créer une sorte de connectivité entre les humains, la 5G ou peu importe ce que c’est pour contrôler vos pensées et votre mémoire. Ce sont des possibilités réalistes et plausibles ?

R – Ce n’est pas possible au stade actuel. Ils se précipitent pour sortir ce truc, ils essaient de voir combien ils peuvent en injecter aux gens avant qu’ils ne meurent. Je pense honnêtement que c’est une recherche de dosage en direct. Ceux qui meurent ont : SEP, Guillain Barré, des tremblements, du magnétisme… rappelez-vous que nous sommes censés avoir des rappels tous les 6 mois, pour voir combien on peut en accumuler dans ce système. On va voir ça parce que quand vous voyez les nations qui sont injectées, nous (USA) sommes des cobayes de cette technologie, je pense qu’il y aura un deuxième plan.
Je ne suis pas vraiment à l’aise pour vous parler de ce genre de choses parce que je n’aime pas donner mon avis et faire des hypothèses ; je préfère en rester aux données. Donc si vous regardez les nouvelles sur l’ingénierie et la chimie, il y a des journaux d’articles de recherches non révisés par des Pairs que nous appelons RAAG (Ressource Available After Graduation) dans le secteur, toutes les industries en ont.
Ce sont en fait les gros bonnets de l’industrie, les acteurs principaux, et ils se vantent de ce qu’ils font. Or cet article parle des nanoparticules (ajout de PEG) qui sont dans les vaXX C19.
Il y a 4 lipides :
• Le premier est le cholestérol, c’est un élément moins crucial, ça le fait passer dans le sang.
• Ensuite il y a un phospholipide qui est là pour les membranes cellulaires, cela permet la perméabilité pour entrer dans les membranes cellulaires.
Il y a un lipide ionisable ce qui donne une charge ionique positive, pour faciliter la pénétration de l’ARNm dans la cellule.
• Enfin les lipides Pegylés. La raison pour laquelle ils ont créé ça est que l’ARNm est très instable qu’il soit synthétique ou zoonique, donc qui provient d’un animal ou d’un humain. C’est très instable.
Une température de 80°F (27°C) le détruit, la lumière du soleil le détruit, si vous respirez dessus il meurt, les chercheurs disent tout cela, il arrive rarement à franchir la zone isotherme d’un individu sain, votre salive le détruit, il ne peut pas survivre par lui-même.

Donc, il avait besoin de cette biosphère qu’ils ont créée. C’est pour cela que nous avons ces quatre lipides et ensuite ils ajoutent de l’oxyde de graphène. Alors, ce qui est intéressant avec l’oxyde de graphène, c’est qu’il est 4.000 fois plus résistant que le Titane et peut résister à une température de 17.000° F (7700°C).
Donc ils ont pris ce virus très instable et l’ont rendu indestructible.  Or le lipide Pegylé, si vous regardez « PEG » est fabriqué par une entreprise qui s’appelle SinoPeg, qui sont basés en Chine.

Maintenant, comment ai-je découvert ceci ? (accrochez-vous)

Eh bien si vous jetez un coup d’œil à l’EUA (Emergency News Autorisation) de Pfizer, ils citent les quatre lipides. Ils ont deux lipides, chacun d’entre eux contenant quatre lipides. Et il y a Moderna et Moderna les a appelés, ça s’appelle la fiche de données de sécurité MSDS. C’est ce qu’ils utilisent pour les produits industriels. Il y a un numéro CAS et il y a le SM-102 pour Moderna – et ensuite si vous allez au dossier de Pfizer au Royaume Uni, les numéros des deux lipides sont là : A LC 0315 et ALC 0159.

Donc, quand j’ai cherché sur Google : MSDS CAS, (ne me demandez pas comment je connais toutes ces informations), quand j’ai mis certains de ces numéros, j’ai trouvé SinoPeg. Or je n’ai pas trouvé SinoPeg en cherchant SinoPeg sur Google. Alors j’ai simplement mis le numéro MSDS. Et si vous allez sur le site internet, vous verrez des centaines de noms alphanumériques de ces liquides. Et vous verrez un onglet sur les excipients pour le vaXX Covid 19. Et l’on voit : polyéthylène glycol 2000. Ici, vous verrez, c’est ALC 0159 et cette entreprise est basée en Chine !

Et puis, si vous prenez le brevet Moderna, il y est répertorié tous les différents polyéthylènes : alcool 200PEG, PEG 2000 et vous les trouverez dans l’onglet : excipients pour le Covid 19 de SinoPeg. Donc, c’est juste là : c’est fabriqué en Chine.

Il y a d’autres vaxxs ARNm qui ne sont pas vendus au USA, vous pouvez trouver ces excipients ici aussi avec le numéro CAS que vous chercherez dans la fiche de données de sécurité MSDS.
Donc, si vous voulez savoir ce qu’est le graphène, ce qu’ils expliquent sur SinoPeg est qu’il s’agit d’une structure centrale, fonctionnalisée par du polyéthylène, pour le stockage d’énergie diélectrique polymère combinée avec des performances mécaniques et diélectriques.

Ce que cela veut dire, c’est que le graphène est un conducteur – il peut être un conducteur d’électricité. Si le graphène a une charge positive, cela annihile tout ce qui entre en contact avec lui (c’est dans toutes les études du NIH, Moderna, etc.). A cet instant, ils ne sont pas chargés, ils sont juste neutralisés.

Q – Comment une charge positive entre-t-elle dans vos cellules ?

R – C’est l’autre lipide – celui qui est ionisable – qui donne la charge positive pour la pénétration cellulaire, mais ce n’est pas le cas actuellement. Ils sont neutres. Mais s’il y a un champ électromagnétique qui active les charges positives, potentiellement, il y aura des dégâts et probablement des morts, selon où ces nanoparticules vont se retrouver dans le corps des gens et quelle quantité s’y trouvera. Il est évident pour moi qu’ils mentent au monde entier. Ils essaient de cacher cela, c’est l’ingrédient secret.

Q – LEAD Story, USA today, toutes ces publications qui fact-checkent ce programme, il me semble bien aussi qu’ils mentent. Nous verrons qui est impliqué dans tout ça, dans une minute, car je vais vous le demander, mais… pourquoi utilisent-ils cela ?

R – L’oxyde de graphène est une substance toxique, un poison. Pourquoi l’utilisent-ils ? Parce que c’est un formidable conducteur d’électricité ! Et il peut héberger un champ magnétique, il peut littéralement vous connecter à Internet.

Q – OK, je voulais juste m’assurer que c’était clair, parce que je sais que vous n’êtes pas à l’aise pour donner votre avis. Je voulais juste être sûr que c’est ce qu’il peut faire dans les faits.

Oui, je n’ai pas eu l’occasion, mais je pourrais probablement aller sur des publications techniques sur l’IA et trouver plus d’informations sur : comment l’oxyde de graphène est un problème. La conclusion est que c’est un poison ! Ça annihile tout ce qui entre en contact avec lui s’il a une charge positive. C’est toxique pour les humains, ça ne devrait pas être là-dedans et ça l’est !

Q – Qui est derrière ça ?

R – Une société qui s’appelle Shangai Nanotechnologies a déposé un brevet pour l’oxyde de graphène en vue de son utilisation dans les excipients du Covid 19. Et ils ont eu une réunion à leur siège social, et je crois qu’il y a Tal Zachs, le directeur technique de Moderna, et si vous allez sur le site de l’OMS, il y a une page où ils expliquent que le monde entier doit travailler ensemble sur ces vaXXs Covid 19. C’était l’an dernier !
On y trouve les suspects habituels, comme Peter Daszak, d’autres noms de Moderna et plusieurs acteurs du NIH et NIAID.

Q – Il existe donc un grand groupe de milliardaires et de millionnaires très coordonnés pour le développement et l’exécution de ces produits ? Donc comme vous parlez et confirmez cela, pourquoi quand il s’agit de donner votre opinion, dites-moi si vous ne vous sentez pas de le faire, si pour des gens comme le Président Trump, Ron de Santis, Sean Hamity, quel est leur intérêt là-dedans ? Comment ne peuvent-ils pas être au courant de cela ?

R – Non, impossible qu’ils puissent savoir ce genre de choses ! Désolée ! Quand j’ai découvert ces informations, je ne savais pas qu’une femme puisse pleurer autant que j’ai pleuré.

Donc, j’ai envoyé un mail le 26 mai à une trentaine de supports avec toutes infos résumant qu’il s’agissait d’armes biologiques, j’ai même parlé à America’s Frontline Doctors, et après leur avoir parlé, certains docteurs ont continué de dire que si vous avez moins de 30 ans, vous devriez vous faire vacciner. Je les ai appelés pour leur dire : « Mais que faites-vous ?… Ce sont des armes biologiques !!! On ne peut pas dire ça !!! »

La dissonance cognitive face à la perversion et au caractère diabolique de ces injections fait qu’il est très difficile pour les gens de comprendre, et il faut aussi réaliser que pendant ces 18 mois où ils ont été développés, quiconque disait : eh, ce virus n’est pas si grave ! se faisait moquer de lui, ridiculiser, marginaliser. Des médecins se sont vus menacés de se faire retirer leur licence, pour que la vérité ne puisse pas sortir. Quiconque s’interrogeait sur la rapidité de la mise sur le marché de ces vaXX, sur leur nécessité, même les documents de la FDA disent : « On ne pense pas que les moins de 18 ans devraient se faire injecter, nous sommes inquiets de la diffusion virale. »

Personne, en bonne conscience n’aurait dû approuver cela, mais le lavage de cerveau est ce que le contrôle des Big Tech voulait que nous sachions comme étant la vérité. En comparaison si votre conjoint vous trompe, vos amis peuvent vous dire qu’il vous trompe, qu’il y a des tonnes de preuves, vous n’y croyez pas ! Là, tous vos conseillers de confiance vous ont dit que ce truc était sûr. Tous les médias vous disent que c’est sûr, mais si quelqu’un arrive et vous  dit : « Non ! C’est mortel ! C’est un génocide planifié ! » C’est impossible d’y croire ! Vous comprenez ?

Q – Oui c’est difficile, essayer de déterminer ce qui est vrai de ce qui ne l’est pas, ce qu’il manque, déceler les informations venant de l’Etat Profond qui essaye par tous les moyens de nous embrouiller. J’essaie juste de digérer tout que vous dites. Je pense aux gens des médias, je pense aux gens qui ne réalisent pas qu’il y a des milliards de vies en jeu.
Ou peut-être que si, ce qui est encore pire, parce que ça fait d’eux des complices qui font perdurer la situation. Je pense à tous ceux à qui on va imposer ces injections.

[………………………………………………………………………………..]

R – Pour en finir, l’étiquetage des flacons est faux et trompeur parce que cette chose n’est pas un vaxxin. Il n’y a aucun bénéfice pour votre santé quand vous vous faites injecter. La seule chose que ça peut faire c’est empoisonner, blesser, tuer !

Nano-vaccin recombinant contre le coronavirus avec oxyde de graphène comme support
Google Patent [archive]

Page 10 : https://patentimages.storage.googleapis.com/ef/0c/d4/2ed14dae3576f1/CN112220919A.pdf

La présence d’oxyde de graphène ne serait pas mentionnée dans les brevets des vaccins Pfizer et Moderna en tant que secret industriel, ce qui reste possible légalement.

Également une étude sur le graphène pour les vaccins Covid : Graphene Oxide Nanosheets Interact and Interfere with SARS-CoV-2 Surface Proteins and Cell Receptors to Inhibit Infectivity

Le Dr Astrid Stuckelberger évoque aussi la présence de cette toxine dans une interview récente.

En attendant plus d’informations sur la composition complète de ces vaccins, Ricardo Delgado de La Quinta Columna propose une solution simple pour dégrader l’oxyde de graphène.


[Voir aussi :
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?]




Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive

[Source : AIMSIB]

Cette histoire d’aimantation post-vaccination Covid tourne en boucle sur les réseaux sociaux depuis des mois, parfaitement niés par les médias officiels et ce de manière franchement dérisoire. Un jour Amar Goudjil, Trésorier de EFVV-Luxembourg décide d’évaluer ce prétendu phénomène au-dessus des zones d’injections de 100 vaccinés et de les comparer à 100 non vaccinés, voici son récit. Puis le Dr Julien Devilleger, cardiologue en Charente (France), assisté de Jessy Duthil, infirmière, réitèrent l’opération sur 75 vaccinés et 30 non-vaccinés. Aucune des deux équipes n’a prétendu se livrer à une enquête épidémiologique digne de ce nom, il s’agissait juste de lever le doute sur une possible légende urbaine. Au final c’est une surprise terrible qui devait attendre nos trois investigateurs, immédiatement transmise au Conseil de l’Ordre des Médecins. Et comme il ne se passe toujours rien à ce jour alors, vaccinés ou non, pour tous un énorme scandale approche… Bonne lecture.

[Voir aussi :
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes]

 

1- ÉTUDE SUR L’ELECTROMAGNÉTISME DES PERSONNES VACCINÉES AU LUXEMBOURG

Introduction

Depuis quelques mois, ce sont des centaines de vidéos amateurs qui fleurissent un peu partout sur les réseaux sociaux mettant en scène des personnes visiblement devenues électromagnétiques suite à la vaccination.
Après que de nombreuses questions nous ont été posées par un certain nombre de nos membres sur cet effet d’électromagnétisme « supposé » apparaissant chez les sujets vaccinés, notre association a pris la décision de s’intéresser concrètement à ce sujet pour le moins intriguant.
En commun accord avec Jean-Pierre Eudier, notre président, et Toni Fernandes, notre coordinateur au Grand-duché du Luxembourg, il a donc été décidé de mener une enquête de terrain sur ce phénomène.
Cette enquête, à caractère purement statistique et sociologique portant sur cet effet d’électromagnétisme supposé et dont il est question ici, soulève à minima et au préalable trois questions importantes :
1- Est-il vrai que les gens présentent un effet d’électromagnétisme après acte de vaccination ?
2- Si tel est le cas, est-il vrai que seuls les individus vaccinés présentent cet effet ?
3- Qu’est-ce qui est réellement injecté aux individus sous la qualification de vaccin et qui provoque cet effet ?
Pour tenter de répondre à ces questions, l’enquête a été confiée à Monsieur Amar GOUDJIL, trésorier de l’association et membre chargé de traiter des questions démographiques et sociologiques.

Présentation des paramètres de l’enquête

À des fins de réalisation accélérée, il a été décidé :
 D’interroger un panel de 200 individus domiciliés ou travaillant au Luxembourg.
 Que ce panel serait divisé en 2 groupes. Le premier serait composé de 100 individus vaccinés au Luxembourg et le second de 100 individus non vaccinés à des fins de comparaison.
 Que chacun de ces groupes devrait compter 50 femmes et 50 hommes.
 Que seuls les individus actifs seraient retenus pour participer à l’étude en raison du fait qu’ils sont beaucoup plus contraints à la vaccination que les individus inactifs.
 Que le lieu de l’étude serait le centre commercial Belle-Étoile et la route d’Arlon à Strassen.
 Que les variables retenues seraient donc le sexe, l’âge, la profession, le nombre d’injections, l’origine pharmaceutique des injections, la date des injections, l’attraction magnétique, l’émission-réception d’un champ électrique et la ville du lieu de résidence de la personne interrogée.
 Il convient par ailleurs de préciser que pour des raisons de praticité, seules les personnes portant des vêtements à manches courtes ou des vêtements sans manches seraient interrogées.

Présentation de la méthode d’approche et de réalisation

 L’interrogateur se présente aux individus, présente l’association puis il présente l’enquête.
« Bonjour Madame ou Monsieur, je vous prie de bien vouloir m’excuser de vous déranger mais je m’appelle Amar GOUDJIL, je travaille pour l’association European Forum for Vaccine Vigilance (EFVV) et je réalise actuellement une enquête statistique et anonyme sur les personnes vaccinées et les personnes non vaccinées vivant au Luxembourg » … « C’est une enquête qui porte sur des informations stipulant que les gens vaccinées présentent des effets électromagnétiques et nous, à EFVV, nous cherchons à savoir quelle est la réalité observée ».
 L’interrogateur demande ensuite aux interrogés s’ils veulent bien, en connaissance de cause, participer, de leur gré, à l’enquête.
« Est-ce que vous auriez quelques minutes à m’accorder s’il vous plaît et est-ce que cela vous intéresserait de participer à notre enquête ? ».
 L’enquêteur explique ensuite aux interrogés les intérêts de l’enquête et introduit les individus dans le vif du sujet en leur présentant un aimant qui adhère, par effet magnétique, à un objet métallique (poteau, voiture, etc). Il explique ensuite que les aimants n’adhèrent pas à l’homme et qu’ils n’adhèrent qu’aux objets métalliques mais que des informations nous sont parvenues prétendant que les gens vaccinés généraient une attraction à l’aimant en raison du fait qu’ils ont été vaccinés.
 L’enquêteur demande ensuite à l’interrogé(e) si, il ou elle, veut bien se prêter au jeu et appliquer l’aimant sur l’endroit où, il ou elle, a été injectée.
 Lorsque l’aimant colle à la peau au niveau de l’épaule, l’enquêteur demande alors à la personne de coller l’aimant sur l’autre épaule.
 L’enquêteur demande ensuite à l’interrogé(e) si, il ou elle, veut bien se laisser passer un testeur de champs électriques et de champs magnétiques (marque Meterk, modèle MK54) au niveau des épaules en expliquant que des informations avaient également été rapportées à notre association et qui disaient que les gens vaccinés étaient également générateurs de champs électriques.
 L’enquêteur continue la discussion et continue de répondre, dans la mesure du possible, aux personnes interrogées qui s’intéressent à l’expérience menée et aux résultats de l’enquête.

Présentation synthétique des résultats pour la semaine d’étude du 1er juin au 5 juin 2021

 Seuls 30 personnes vaccinées et 30 personnes non vaccinées ont finalement été interrogées alors que l’objectif était d’en interroger 100 pour le premier groupe et 100 pour le second.
 La condition de la répartition par genre a été respectée. Dans chaque groupe, il a été interrogé 15 femmes et 15 hommes.

 Dans le groupe des non-vaccinés, sur les 30 individus interrogés, le nombre de personnes présentant une attraction à l’aimant est de 0 (zéro). L’expérience s’arrête donc là pour ce groupe.
Dans le groupe des vaccinés en revanche, sur les 30 individus interrogés, 29 présentent une attraction à l’aimant. C’est-à-dire que l’aimant adhère à leur peau sans difficulté.
Sur ces 29 mêmes individus, 22 ont l’aimant qui adhèrent sur une seule épaule et uniquement sur la zone de l’injection. Ces 22 personnes sont celles qui n’ont reçu qu’une seule injection.
Les 7 autres personnes de ce même groupe ont l’aimant qui adhèrent sur les deux épaules.

 Dans ce groupe dit des vaccinés domiciliés ou travaillant au Luxembourg, il ressort que :
– 17 ont reçu au moins une injection du laboratoire Pfizer
– 7 ont reçu au moins une injection du laboratoire Astra Zeneca
– 3 ont reçu au moins une injection du laboratoire Moderna
– 3 ont reçu l’injection unique de Johnson & Johnson
– 6 ont reçu les 2 injections du laboratoire Pfizer
– 1 a reçu les 2 injections du laboratoire Astra Zeneca
– 1 reçu les 2 injections du laboratoire Moderna

 Deux des individus de ce groupe, un infirmier travaillant au CHL et ayant été un des premiers à se faire vacciner, et un analyste financier, ont présenté des émissions de champs électrique totalement anormales. Pour l’infirmier, il a même été réalisé une vidéo qui montre les valeurs émises par le testeur aux environs de l’épaule gauche. Pour l’analyste, les valeurs émises par le testeur étaient approximativement les mêmes mais l’individu a brusquement mis fin à sa participation.

 Sur les 30 personnes interrogées faisant partie du groupe des vaccinés, 29 résident ou travaillent à Strassen. 1 seule habite à Metz mais travaille à Strassen.

Il semblerait que les personnes qui ont été vaccinées plus tôt dans le programme de vaccination gouvernemental sont beaucoup plus électromagnétiques que les personnes qui l’ont été de façon plus récente. L’aimant adhèrent plus vite et tient mieux que chez les personnes fraîchement vaccinées.

 Il conviendrait de prendre des mesures plus précises en relation avec ce dernier constat.

Remarque : L’exercice étant totalement déstabilisant pour les interrogés, à aucun moment il ne leur est demandé d’appliquer l’aimant sur une autre zone que les épaules. Il aurait été très intéressant de savoir si l’aimant adhère également sur les zones du cou, de la poitrine, du front ou des jambes ainsi que de savoir si d’autres objets tels que des cuillères, ciseaux et smartphones adhéraient également.

Conclusion

Il ressort que les personnes vaccinées dégagent bien un champ électromagnétique et que, plus les individus ont été vaccinés tôt, plus ils dégagent un champ fort. Cette sensation et cette appréciation qui relève uniquement de l’expérience tactile à l’application et au retrait de l’aimant à l’épaule devrait faire l’objet d’une vérification beaucoup plus précise avec des appareils beaucoup plus précis.

Il a été extrêmement difficile de trouver des individus acceptant de se prêter au jeu de cette expérience extrêmement déstabilisante. Les individus s’intéressent à l’expérience par curiosité et puis quand ils voient que l’aimant s’accroche à leur peau, ils deviennent dubitatifs dans un premier temps, puis d’un coup ils deviennent froids. Certains d’entre eux deviennent même extrêmement nerveux, voir complètement sous le choc. Les personnes s’interrogent sincèrement sur le fait de voir comment un aimant peut adhérer à leur peau aussi facilement que celui-ci adhère à un poteau métallique.

Ils demandent des explications et l’enquêteur les rassure en leur disant qu’il doit bien y avoir une explication. Ils sont renvoyés vers le médecin qui leur a conseillé de se faire injecter. Une dame a même pleuré en me disant qu’elle ne voulait pas se faire vacciner mais qu’elle a été contrainte parce que son employeur l’y a obligée au prétexte qu’elle travaille au contact de la clientèle.

 Dans les discussions, il ressort que les gens ne se vaccinent même pas pour des raisons médicales ou des raisons de santé, par conviction ou par peur de la maladie mais souvent dans l’espoir de revenir à une vie normale et de pouvoir à nouveau voyager librement.

 Lors des échanges, les gens expriment clairement leur désarroi en disant, après coup, qu’ils sont pris en otages. Beaucoup reconnaissent que cette injection est non consentie et qu’à aucun moment on leur a donné des explications rationnelles ne serait-ce que du point de vue de la balance bénéfices-risques. Ils qualifient ensuite, après réflexion et discussion, cet acte de : « erreur, folie, échappatoire, solution, ou encore même de chantage».
Ce sont exactement ces termes qui revenaient souvent.
Il conviendrait, là encore, de mener une enquête psychosociale sur les motivations réelles qui ont mené les individus vaccinés à accepter de se faire injecter. L’idéal serait de pouvoir enregistrer et filmer toutes les conversations avec les vaccinés pour ensuite les analyser.

L’enquête est prématurément arrêtée pour des raisons de conscience et de morale car l’enquêteur n’arrive plus à faire face au désarroi et à l’impuissance des gens dont le visage se pétrifie lorsqu’ils réalisent qu’ils ont été injectés d’une substance dont ils ne savent finalement rien.

L’enquêteur, qui a étudié les techniques de management et la psychosociologie par le passé, est très mal à l’aise face à ces personnes qui s’interrogent sur ce qui leur arrive. Les personnes deviennent pâles, blanches, nerveuses, se mettent une main vers le front ou alors croisent les bras en se pinçant la lèvre du bas. Certaines transpirent des mains car on les voit qui se les essuient sur les hanches ou sur les cuisses. Ces effets et ces expressions surviennent généralement dans des états d’angoisse, de stress extrême ou de tension réellement mesurable. Chez les interrogés, ces manifestations physiques incontrôlées sont révélatrices d’un profond mal-être quand ils réalisent après coup qu’ils ont sans doute commis l’irréparable. L’acte de vaccination étant un acte irréversible.

A la question, « Est-il vrai que les gens présentent un effet d’électromagnétisme après avoir subi au moins un acte de vaccination ? », la réponse est affirmative et oui, effectivement, les individus deviennent bien électromagnétiques sur zone d’injection à minima.
A la question, « Qu’est-ce qui est injecté aux individus et qui provoque cet effet ? », nous répondons que c’est aux gouvernements et aux autorités garant de la santé des luxembourgeois de répondre à cette question car ce sont eux qui ont pris la décision lourde, en amont, de vacciner les populations.

Nous ne répondrons pas ici de la responsabilité des uns et des autres mais il est certain que si des nanoparticules paramagnétiques (« nanocarriers » ou « magnetic beads ») sont entrées dans la composition de ces dits vaccins, il y a fort à parier que nous pourrions entendre parler très rapidement d’une catastrophe sanitaire sans précédent. C’est aux toxicologues et aux pharmacologues à qui il revient maintenant la responsabilité de découvrir les origines et les causes de ces effets d’attraction sur les sujets vaccinés et c’est aux garants de la santé des citoyens de ce pays de demander très rapidement l’ouverture d’une enquête sur la composition exacte et réelle de ces dits vaccins.

Synthèse et conclusion du travail d’enquête effectué par Amar GOUDJIL
pour European Forum for Vaccine Vigilance, Mamer, le 06 juin 2021.

  

2-Etude SECRET 16’

Introduction et résumé

Depuis plusieurs mois, des internautes ont tenté de mettre en évidence un magnétisme qui serait lié au vaccin (« Magnet challenge »), avec des objets fantaisistes (téléphones, clés, ciseaux, « cuillère-code »…) collés sur des zones diverses de l’anatomie : bras, front, torse, dos…entre autres !
Une seule étude observationnelle (cf supra) a été menée de façon sérieuse au Luxembourg, retrouvant une aimantation chez 29/30 personnes vaccinées ayant participé au test, mais aucune aimantation chez les 30 personnes non vaccinées participant au test à l’aimant. D’autres expériences de terrain retrouvaient des résultats comparables ou au contraire ne mettaient pas en évidence d’aimantation chez les vaccinés, mais la population étudiée concernait des groupes de quelques personnes.
L’étude observationnelle « Secret 16 », réalisée par un cardiologue et une infirmière de Charente (France) a pour objectif d’étudier l’aimantation d’une pièce d’un euro chez 75 patients vaccinés contre la Covid, en comparaison à un groupe témoin de 30 personnes non vaccinées.
Elle retrouve une aimantation beaucoup plus fréquente de la pièce chez les vaccinés (35/75) par rapport au non-vaccinés (2/30), p=0,0027. Cette aimantation est beaucoup plus fréquente en cas de vaccination Astra (17/28 vaccinés) par rapport aux non vaccinés (2/30), p=0,0014.

Population et méthodes

Opérateurs : Dr Julien DEVILLEGER, cardiologue et Jessy Duthil, infirmière libérale (Charente, France) du 11 juin au 27 juillet 2021
Statistiques : Test de Fisher (logiciel Biostat TGV)
Méthode de recherche d’aimantation:
-Pièce tenue entre le pouce et l’index, avec majeur plié (en sécurité).
-Personne debout, bras ballants, peau sèche, pilosité non développée aux bras, crème nettoyée à l’eau, puis peau séchée, sueur absorbée par serviette sèche à usage unique.
-Pièce tenue à 20 centimètres sous le moignon de l’épaule, en effleurant la peau, sans appuyer, et en glissant de bas en haut jusqu’à 3 travers de doigts environ sous le moignon de l’épaule.
-Technique à réaliser 2 fois de suite, en cas d’aimantation avec alternance bras gauche/bras droit.
-Aimantation si pièce tenue au – 10 secondes

Résultats

Groupe non vacciné Covid, 2/30 personnes ont eu une adhérence de la pièce>10 secondes (1)
Groupe vacciné Covid, 35/75 ont démontré une aimantation de la pièce au site d’injection, et 10 ont eu une aimantation bilatérale (2)

A noter qu’en cas d’aimantation bilatérale, la zone aimantable était large d’environ 10-15 centimètres du côté vacciné, et environ la moitié au niveau de l’autre bras.

Détail en fonction des vaccins :
-12/33 Pfizer (1/3 avec une dose) aimantaient la pièce
-17/28 Astra Zeneca (2 doses)
-4/10 Moderna (2 doses)
-1/2 Johnson&Johnson
-1/2 mi-Astra, mi-Pfizer, 100% bâtard

3. Discussion et remarques

Cette étude montre une différence statistiquement significative d’aimantation chez vaccinés (43,3% vs 6,7% p=0,0014)
Cette aimantation semble plus fréquente pour les vaccinés Astra (60,7% vs 38,7%), mais sans significativité statistique (p=0,37), en raison de la taille de l’échantillon.
Elle est beaucoup plus souvent bilatérale en cas de vaccination Astra (28,6%) qu’avec les autres vaccins (3,5%), p=0,016.

Il a été rapidement que les 1ers vaccinés Pfizer n’aimantaient pas, contrairement aux Pfizer récents.

Même si la recherche de magnétisme post-vaccinal est simple, il est important de faire cette recherche dans des conditions rigoureuses, pour éviter les fausses aimantations (crème, sébum+++). La moitié des patients testés par Le Dr J. Devilleger l’ont été sans connaître au préalable le statut vaccinal et en cas de vaccination, sans en connaître le côté. Sur 27 patients qui aimantaient, il a trouvé 25 fois le bon côté, et 2 fois, il s’est trompé ( cas des aimantation bilatérale).

Autres expériences :
-aimant en ferrite : ne marche pas, n’a servi que pour montrer que la pièce d’un euro est aimantable.
-aimant en néodyme : Très difficiles à décoller, un aimant s’est cassé en 2, ces produits sont de manipulation dangereuse
-lecteur RFID : 0/12 sur vaccinés (5 aimantaient), alors que le lecteur fonctionne sur chien pucé.
-lampe UV : RAS
-magnétomètre (Phyphox) : pas de variation significative du champ magnétique

4- Conclusion

Ces résultats confirment ceux retrouvés par l’étude du Luxembourg, avec une différence très significative d’aimantation entre vaccinés et non-vaccinés, et cette dernière est plus fréquente et surtout plus souvent bilatérale en cas de vaccination Astra.
Tous les vaccins utilisés semblent concernés par ce phénomène.

Cela doit nous interroger sur la composition des vaccins utilisés, afin de mieux apprécier les éventuels risques d’interactions magnétiques, notamment en cas d’IRM programmée (dernières IRM 7 Teslas+++).

Dr Julien Devilleger
Jessy Duthil
Juillet 2021

Deux témoignages, trois interrogations

 

1- Et si ce produit était constitué d’un dérivé de graphène?

L’hypothèse a été soulevée par  les espagnols de Quinta Columna (3) après que le Pr Pablo Campra (Univ. Almeria, Esp) ait affirmé dans un rapport préliminaire avoir isolé des quantités imposantes d’oxyde de graphène dans un flacon de Comirnaty©. (4)(5)

il y montre une similarité des images en microscopie électronique entre un échantillon du vaccin Cominarty© de Pfizer et des images d’oxyde de graphène tirées d’une publication de 2009.  Cette utilisation demeure parfaitement possible car déjà très sérieusement évaluée à plusieurs reprises comme par exemple ici:

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1742706120303305

ou encore là, s’agissant d’un dépôt de brevet:

https://patents.google.com/patent/CN112220919A/en

On redit que les travaux de Campra n’ont été réalisés que sur un seul flacon issu d’un seul façonnier (Pfizer) et des doutes ont rapidement été soulevés quant à la provenance peu traçable de cet échantillon d’analyse.

Mais cette mise en évidence d’oxyde de graphène est également évoquée par le Dr Martin Monteverde pour certains vaccins anti-grippaux (d’où peut-être l’aimantation des non-vaccinés Covid), pour le vaccin Pfizer et AstraZeneca et une équipe Argentine aurait réalisé la même mise en évidence pour un échantillon issu de chez Moderna (6)

  2- Et si ça n’était pas de l’oxyde de graphène?

Voici l’opinion du Pr Marc Henry, Professeur de Chimie à l’Université de Strasbourg et spécialiste de physique quantique appliquée aux matériaux complexes, que nous remercions une nouvelle fois pour avoir accepté d’apporter son éclairage à ce nouveau débat: (7)

 » Bonjour Vincent,
Le graphène et l’oxyde de graphène sont deux nanomatériaux très différents. Beaucoup de gens font la confusion entre ces deux notions. Il faut donc être très clair là-dessus. Vous voulez sûrement plaisanter quand vous me demandez quelques lignes sur un sujet de recherche les plus brûlants de ce début de XXIe siècle. Il y a énormément d’articles publiés dont beaucoup sont en relation avec la COVID-19. Impossible donc de vous résumer une littérature aussi vaste et foisonnante. Néanmoins, pour vous aider, j’ai traduit partiellement deux articles de revue de 2020 qui sont très bien faits (8). Pour plus de détails, je vous conseille de lire les deux publications en entier. L’une parle du spécifiquement du graphène et l’autre spécifiquement de l’oxyde de graphène qui en dérive, tous deux en relation avec la COVID-19. Impossible de faire plus court si vous voulez vraiment avoir une vue la plus large possible de ce qui a été fait et de ce qui reste à faire. Vous pouvez donc partir de cette base, scientifiquement très solide, pour …/… sortir quelque chose de plus court, en relation directe avec la position que vous souhaitez défendre sur ce sujet à l’AIMSIB. Notez bien, que malgré ce gigantesque travail de recherche, il n’y a encore eu aucune application clinique et encore moins d’applications grand public. Ceux qui fantasment sur l’idée que ces deux nanomatériaux seraient présents dans les vaccins font donc preuve d’une grande ignorance du sujet. Si de tels nanomatériaux étaient vraiment introduits dans des vaccins commerciaux, cela serait criminel. Je vois donc mal des sociétés pharmaceutiques courir un tel risque, alors qu’il existe des tas d’autres adjuvants tout aussi efficaces. Si les médecins n’ont encore jamais entendu parler de ces deux nanomatériaux, c’est tout à fait normal. Car, avant qu’un résultat en provenance d’un laboratoire de recherche perce dans le commerce, il faut souvent attendre des dizaines d’années. Ici, le sujet est beaucoup trop récent pour en être à ce stade. Pour ce qui concerne le magnétisme des vaccins, il existe d’autres nanomatériaux (les SPIONS) que l’on utilise déjà depuis des années dans des produits commerciaux. Il vaudrait donc mieux regarder de ce côté-là puisque l’oxyde de graphène ne possède aucune propriété magnétique. Seul le graphène peut être magnétisé et encore, très difficilement. En revanche, les SPIONS sont naturellement magnétiques, peu toxiques et peuvent être facilement greffés sur des protéines elles-mêmes magnétiques comme la ferritine, par exemple.
Bien à Vous »

3- Graphène ou pas graphène, quel produit non divulgué dans les notices peut autant aimanter chez certains vaccinés?

On rappelle que depuis le scandale dénommé Pfizerleak (9) on sait que les Etats qui ont commandé des vaccins chez les industriels n’ont aucun moyen de cesser leurs achats sauf à pouvoir démontrer  la non conformité des produits mis sur le marché.

La présence de molécules non décrites dans les RCP de ces produits ne suffit-elle pas à déclencher une impitoyable enquête sanitaire à l’échelle internationale et interrompre par respect du principe de précaution le plus élémentaire la distribution de ces lots suspects? A l’heure où l’on se prépare à vacciner de manière obligatoire une frange très réticente de la population, n’est-ce pas de leur droit le plus strict que de connaître parfaitement la liste exacte des produits qui composent ces assemblages dits vaccinaux? 

Réclamons de toutes nos forces une enquête immédiate sur la constitution réelle de ces produits vaccinaux, possiblement certains de leurs composés n’ont jamais reçu la moindre autorisation d’utilisation en médecine humaine.  

Notes et sources:

(1) 1 femme gardant une peau moite après 10 minutes de séchage (mais test non renouvelé) avait une adhérence bilatérale, un homme ayant une tuméfaction au bras liée à injections répétées de Victoza avait une adhérence au dessus de la tuméfaction).
(2) injection datant de – de 15 jours chez 9 patients, et 2 mois pour 1 patiente), dont 8 vaccinés Astra. 4 patients ont eu une recherche sur peau jugée trop moite (malgré séchages par serviette sèche), et la recherche à domicile par le conjoint du patient (après explication de la technique), a confirmé l’aimantation chez 3 patients. 4 patients ont eu une recherche sur peau jugée trop moite (malgré séchages par serviette sèche), et la recherche à domicile par le conjoint du patient (après explication de la technique), a confirmé l’aimantation chez 3 patients.
(brevet)
(3) https://www.laquintacolumna.net/
(4) version espagnole https://www.docdroid.net/TOPBZJY/microscopia-de-vial-corminaty-dr-campra-firma-e-1-horizontal-pdf
(5) Version anglaise https://www.docdroid.net/Ov1M99x/official-interim-report-in-english-university-of-almeria-pdf#page=2
(6) https://www.orwell.city/2021/07/absorption-signal.html
(7) https://www.aimsib.org/2020/01/26/homeopathie-medecine-science-et-ignorance-lavis-du-professeur-marc-henry/
(8) Traduction partielle de l’article concerant le graphène :
Srivastava AK, Dwivedi N, Dhand C, et al. « Potential of graphene-based materials to combat COVID-19: properties, perspectives, and prospects. » Mater Today Chem. 2020;18:100385. doi:10.1016/j.mtchem.2020.100385
Qu’est-ce que le graphène ?
Le graphène est un nanomatériau formé une monocouche d’atomes de carbone d’hybridation sp2 liés disposés selon un motif hexagonal. Le graphène monocouche (GMC) présente des propriétés exceptionnelles. Dans le GMC, les bandes π et π* se touchent au point de Dirac, ce qui en fait un matériau à bande interdite nulle, et au point de Dirac, les électrons du GMC se comportent comme des fermions sans masse. Le GMC présente une mobilité élevée des porteurs qui peut atteindre environ 105-106 cm2V-1s-1, soit deux à trois ordres de magnitude de plus que le silicium ; une résistance mécanique élevée d’environ 130 GPa, plusieurs fois supérieure à celle de l’acier ; des conductivités électrique et thermique supérieures à celles du cuivre et du diamant, respectivement ; une transmission élevée d’environ 97,7 % ; un excellent pouvoir lubrifiant ; des propriétés antimicrobiennes à large spectre, etc.
Applications
Le graphène et les matériaux dérivés du graphène (MDG) pour les applications de soins de santé est l’un des domaines de la science et de la technologie qui connaît la plus forte croissance. En particulier, le graphène et les MRG se sont révélés prometteurs pour combattre les maladies virales via le développement d’excellents dispositifs de diagnostic, et pour contrôler la propagation des infections grâce au développement de divers composants et revêtements. Dans cet article, nous avons compilé la littérature et discuté de l’utilisation du graphène et des MRG dans les revêtements antiviraux, les composants de protection et les dispositifs de diagnostic pour lutter contre les maladies virales, notamment le COVID-19. Nous avons discuté en détail des diverses propriétés fonctionnelles du graphène, des MDG et de leurs composants. Plus précisément, le graphène, les GRM et leurs composites avec des métaux et des polymères pourraient être utilisés pour le développement :
(i) de revêtements antimicrobiens et antiviraux pour empêcher la propagation de l’infection à partir de surfaces très touchées
(ii) de biocapteurs électrochimiques, FET, piézoélectriques et basés sur la technologie CRISPR pour un diagnostic rapide et sensible
(iii) des biocapteurs basés sur les technologies électrochimique, FET, piézoélectrique et CRISPR pour un diagnostic précoce, rapide et sensible des virus, y compris le SRAS-CoV-2,
(iv) divers EPI et autres systèmes de soins de santé basés sur la technologie d’impression 3D
(v) des nanomousses à pores contrôlés et plus petits pour un masque facial amélioré, (v) des substrats SPR pour un diagnostic sensible des biomolécules et des virus.
Bien que le graphène, les MDG et leurs composites aient montré d’excellentes propriétés fonctionnelles pour les applications de santé, les composants médicaux, les dispositifs, etc. n’ont pas encore atteint le stade des essais cliniques. Cela indique que le chemin du graphène et des MDG pour les applications de santé est encore long. En effet, l’un des sujets les plus critiques de la recherche actuelle et future sur le graphène et les MRG pourrait être l’avancement des travaux jusqu’au stade des essais cliniques, puis le développement de produits en termes d’appareils de diagnostic commerciaux, de composants de protection, de revêtements de surface, etc. Il est intéressant de noter que, même dans le scénario COVID-19 actuel, de nombreux équipements/composants de protection à base de graphène ont été développés, tels que des masques faciaux, des composants imprimés en 3D, des biocapteurs et des revêtements de surface, et certaines de ces technologies devraient être converties en produits commerciaux dans un avenir proche. Dans l’ensemble, bien que le chemin à parcourir pour que le graphène et les GRM atteignent le niveau du produit semble long, les progrès récents dans la science et la technologie de ces matériaux pour les applications médicales pourraient aider à atteindre l’objectif de commercialisation bientôt.
Traduction partielle de l’article concernant l’oxyde de graphène (GO)
Wanjun Caoa, Lin Hea, Weidong Caob, Xiaobing Huanga, Kun Jiac, Jingying Daia, « Recent progress of graphene oxide as a potential vaccine carrier and adjuvant », Acta Biomaterialia 112 (2020) 14–28.
Qu’est ce que l’oxyde de graphène ?
Le GO est une structure cristalline typiquement bidimensionnelle avec des groupes fonctionnels oxygène et une couche atomique unique. Cette couche est composée d’atomes de carbone sp2 et sp3 disposés dans une grille hexagonale comme son squelette binaire, ce qui confère au GO une grande surface et une nature hydrophobe. Les groupes oxygénés tels que les groupes hydroxyle, les groupes carbonyle et les groupes époxy sont répartis sur les plans de base et les bords du squelette. En général, il est dérivé du graphite par diverses stratégies d’oxydation. Bien que le GO dérivé de différentes méthodes de synthèse soit fondamentalement cohérent, il est susceptible de présenter quelques différences dans certains aspects ou propriétés tels que les dimensions latérales et le nombre de groupes fonctionnels oxygénés. Les groupes contenant de l’oxygène comprennent les groupes hydroxyle, les groupes carbonyle et les groupes époxy, dont l’introduction rend le GO soluble dans l’eau. Cependant, le plus important de ces groupes est le groupe carboxyle, car il constitue la base de la synthèse du GO fonctionnalisé (FGO). Le réseau aromatique constitue également la base de la modification du GO par empilement π-π ou interaction hydrophobe. Ces éléments sont détaillés dans la troisième partie. Après modification avec des biomatériaux hydrophiles, la solubilité et la stabilité dans les solutions biologiques sont améliorées. En outre, le FGO obtenu présente une biocompatibilité supérieure et une meilleure capacité de libération que le GO nu. Le rGO est considéré comme le produit de réduction du GO, souvent obtenu en traitant le GO avec des agents réducteurs tels que l’hydrate d’hydrazine au cours des dernières décennies. Cependant, ces agents réducteurs sont toxiques et nocifs pour le corps humain. Récemment, diverses stratégies de réduction verte ont été appliquées avec succès pour la réduction du GO, telles que la réduction par extrait de plante, la réduction par acide aminé, la réduction électrochimique et la réduction photocatalytique. La réduction du GO vise à restaurer le réseau graphitique en éliminant les groupes fonctionnels de l’oxygène. Après traitement avec différentes stratégies de réduction, on obtient différentes espèces de rGO avec différents rapports d’atomes de carbone et d’oxygène (C/O), qui sont augmentés par rapport au GO correspondant (le groupe hydroxyle phénolique, le groupe époxy ou le groupe carboxyle, etc. sont complètement ou partiellement éliminés). Par conséquent, contrairement au GO, le rGO tend à être modifié par des substances aromatiques ou des copolymères aliphatiques via l’empilement π -π et l’interaction de van der Waals. En outre, la structure et la surface du rGO peuvent également être différentes selon les méthodes de synthèse. Par exemple, une étude récente a observé que contrairement à la forme de feuille de GO, le rGO est une particule circulaire dont la largeur est manifestement plus grande que la hauteur, ce qui attribue une hydrophobie accrue.
Applications
Le GO peut adsorber une grande variété d’antigènes et présente un grand potentiel en tant que support en raison de sa grande surface, de son squelette aromatique hydrophobe à six chaînons et de ses groupes fonctionnels oxygène facilement modifiables. Il présente également une activité adjuvante pour activer le système immunitaire par les voies médiées par les TLR. Cependant, il présente une solubilité et une stabilité médiocres en raison de son agrégation rapide dans les liquides biologiques. On a observé que le GO et le rGO provoquent de nombreux effets indésirables, notamment l’hémolyse, l’apoptose cellulaire, les lésions de l’ADN et les lésions pathologiques des poumons et du foie. Par conséquent, les problèmes liés à sa biocompatibilité, à sa biodégradation et à sa toxicité limitent son application dans les vaccins.
De nombreuses stratégies de modification du GO par divers matériaux ont été développées au cours des dernières décennies, dans le but d’augmenter la biocompatibilité et la stabilité du GO tout en conservant le potentiel du GO en tant que support et adjuvant. Il est important de noter que les FGOs dérivés de la modification fonctionnalisée du GO montrent une plus grande capacité de délivrance d’antigènes et d’activation immunitaire que le GO vierge, comme le montre le tableau 1. La plupart de ces modifications sont cruciales pour moduler l’interaction des FGO avec les antigènes et les cellules immunitaires, ce qui contribue à l’amélioration des fonctions des FGO. Par exemple, dans le système rGO-dextrane, le rGO offre une surface unique pour charger l’antigène et interagir avec le dextrane, tandis que le dextrane se lie au récepteur d’hydrates de carbone à la surface des DCs pour promouvoir l’interaction du rGO avec les DCs. Dans le système GO-PEG-PEI, sur la base de la surface unique du GO pour interagir avec les DCs, le PEG peut améliorer la biocompatibilité du système, et le PEI chargé positivement favorise les interactions du GO avec l’Ure B et les DCs chargés négativement. Par conséquent, les FGO sont des candidats prometteurs pour une application biomédicale dans le domaine des vaccins. Au cours des dernières décennies, de nombreux types de FGO ont été conçus pour d’autres applications biomédicales, comme les films rGO fonctionnalisés par des anticorps pour la détection de l’aflatoxine et les GO fonctionnalisés par des molécules ciblées pour l’administration de médicaments anti-tumoraux. Cependant, les études sur les FGO pour l’application vaccinale n’en sont qu’à leurs débuts, et elles doivent encore faire face à des problèmes et des défis sur la voie de l’application clinique. Aucune étude n’a encore confirmé la biosécurité des OGF dans le corps humain. Des essais cliniques et davantage d’études précliniques in vivo sont nécessaires pour fournir des informations sur la biocompatibilité, la biodégradation, la biodistribution et la toxicité des FGO. En ce qui concerne les études réalisées à ce jour, la plupart d’entre elles n’ont examiné que le rôle unique des FGO en tant qu’adjuvants ou transporteurs. En outre, les chercheurs ont étudié la capacité des FGO à charger et à délivrer seulement quelques types d’antigènes et d’adjuvants, tels que l’OVA et les ODN CpG. Des antigènes plus spécifiques pour la thérapie des cancers ou des maladies infectieuses devraient également être étudiés plus avant dans le système d’administration de vaccins basé sur les FGO. En outre, il n’est pas clair si les différentes voies d’immunisation des vaccins à base de FGOs affectent les résultats biologiques, ce qui est également important pour l’application des vaccins à base de FGOs. Cette question doit être étudiée de manière plus approfondie. Les mécanismes impliqués dans l’activité adjuvante des FGO ne sont pas encore totalement compris, ce qui doit être clarifié par des recherches sur les voies associées à l’activation immunitaire.
En résumé, les FGO présentent un grand potentiel en tant que vecteurs et adjuvants de vaccins. La combinaison de l’antigène et des FGO en tant que formulation de vaccin est une stratégie importante et prometteuse pour l’immunothérapie de diverses maladies.
PEG = Polyethylene glycol
PEI = Polyethylenimine
DCs = Cellules dendritiques
OVA = Ovalbumine
ODNs = Oligodeoxynucleotides
CpG = Unmethylated cystein-guanine motifs
Ure B = Urease-B
(9) https://www.francesoir.fr/societe-sante/pfizerleak-les-contrats-surprenants-vaccins-pfizer




L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes

[Source : For life on Earth.weebly.com]

[Traduction : changera.blogspot.com]

Par Claire Edwards, 26 juillet 2021

Dans une nouvelle vidéo, La Quinta Columna révèle que de l’oxyde de graphène (GO) a été trouvé dans une solution saline et ils en déduisent que l’utilisation du GO est beaucoup, beaucoup plus répandue et a commencé bien plus tôt que les seuls vaccins « Covid ».(([1] Solution saline physiologique contenant du graphène : 
https://www.brighteon.com/36a8d0c6-0c43-4acc-b5ea-5d6cc642f97d)) On a constaté que les bébés sont magnétiques, et les personnes qui n’ont pas pris le vaccin « Covid » ou qui n’ont pas été testées par PCR ou qui n’ont pas porté de masques montrent également du magnétisme, donc cela doit venir d’ailleurs. Ils en déduisent que le GO est utilisé depuis quelques années dans tous les vaccins, y compris le tétanos, la méningite, les vaccins pour enfants, etc. La Quinta Columna affirme que le GO était aussi dans le vaccin contre la grippe de 2018 et que cela pourrait expliquer pourquoi des personnes présentent du magnétisme alors qu’elles n’ont pas eu le vaccin « Covid ». Cela pourrait également expliquer le nombre élevé de décès dus à la « grippe » après la campagne de vaccination contre la grippe de 2018. Cela explique aussi le fait que tant de personnes soient mortes à Wuhan. Le gouvernement chinois avait rendu le vaccin contre la grippe obligatoire pour la population juste avant d’allumer les dizaines de milliers d’antennes 5G flambant neuves à Wuhan.  De même, les personnes âgées décédées à Milan avaient également été vaccinées contre la grippe et il y avait un grand nombre d’antennes 5G à Milan (voir les cartes des installations d’antennes en Italie en mars/avril 2020, qui montrent que la région de Milan a enregistré le plus grand nombre de cas de « coronavirus »).  

Magda Havas a constaté que les cas de Covid-19 par million étaient supérieurs de 95% et les décès de Covid-19 par million étaient supérieurs de 126% dans les États américains dotés de la 5G. La Quinta Columna rappelle que la 4G LTE utilise également des ondes millimétriques et que la 5G n’est donc pas la seule à être impliquée. Bartomeu Payeras i Cifre a publié une étude sur la corrélation 5G-Covid en avril 2020. Il a souligné le fait que Saint-Marin a été le premier État européen doté de la technologie 5G et l’État qui a enregistré le plus grand nombre de cas de « coronavirus » pour 1.000 habitants, soit 4,07 fois plus de cas que l’Italie et 27 fois plus que la Croatie, qui ne disposait pas de la 5G à l’époque (voir la carte ci-dessous).

M. Payeras i Cifre a également observé que le « coronavirus » semblait peu enclin à franchir les frontières. Le nombre moyen d’infections pour les quatre États américains limitrophes du Mexique était de 0,242, soit plus de 2.000 % de plus que le Mexique. La moyenne pour l’ensemble des États-Unis était de 0,814, soit 7.000 % de plus qu’au Mexique (voir la carte ci-dessous). L' »effet frontière » entre le Mexique et les États-Unis

Données pour le 3 avril 2020 – infections pour 1.000 habitants

Californie Arizona Nouveau-Mexique Texas Mexique USA
0.28 0.31 0.20 0.18 0.012 0.814

Je me demande comment il se fait que toutes ces informations utiles émanent d’Espagne. Même Andreas Kalcker (basé en Espagne) est sur une vidéo discutant de GO en espagnol. Ricardo Delgado, de La Quinta Columna, souligne que nous devrions prendre note du fait que chaque période de vaccination a été liée à un saut technologique. Le graphique ci-dessous illustre comment chaque expansion de l’utilisation des rayonnements électromagnétiques (EMR) et chaque nouvelle génération de technologie sans fil a été accompagnée d’une nouvelle maladie. 

On pourrait ajouter que la grippe dite espagnole est apparue six mois après que l’armée américaine a commencé à utiliser des émetteurs radio très puissants à la fin de la Première Guerre mondiale, en 1917. La grippe asiatique s’est produite en 1957-1958 lorsqu’un puissant système de surveillance radar a été mis en service. La grippe de Hong Kong est apparue en 1968, lorsque 28 satellites militaires de surveillance de l’espace ont été mis en service. En 1997, lorsque les téléphones portables ont été utilisés en masse, on a constaté une augmentation de 31% du diabète aux États-Unis en un an. Au Royaume-Uni, entre 1994 et 2002, parallèlement à l’adoption soudaine de la technologie des téléphones portables, la population de moineaux domestiques a diminué de 75% et elle a été classée parmi les espèces en voie de disparition. Notons également qu’en octobre 2018, juste après que des centaines d’avions aient été équipés d’un tout nouveau WiFi embarqué venant directement du satellite, des cas massifs de « grippe » se sont déclarés à bord des vols et des ambulances ont dû être appelées et des vols détournés.

De même, alors que nous avons commencé à entendre parler de cas de « coronavirus » à bord de bateaux de croisière début 2020, nous avons appris simultanément que les paquebots venaient de déployer la 5G complète et la reconnaissance faciale à bord, tous les passagers étant irradiés avec des brassards et des pendentifs prêts pour la 5G. Ce sont deux médecins italiens, Montanari et Gatti, qui ont été les premiers à alerter sur les vaccins contenant mystérieusement des nanoparticules non déclarées dans un article publié début 2018. Ils ont notamment trouvé de l’acier inoxydable et du carbure de tungstène, hautement toxique, dans des vaccins. Pour leur peine, leurs domiciles ont été perquisitionnés par la police, qui leur a retiré toutes leurs données et ordinateurs. Dans une interview, les deux chercheurs ont expliqué qu’il est interdit que des nanoparticules se trouvent dans toute solution injectable car, contrairement aux autres nanoparticules auxquelles nous sommes exposés et que nous pouvons respirer et expulser en grande partie si nos poumons sont sains, les nanoparticules injectées restent piégées à jamais et peuvent circuler dans tout le corps, y compris dans le cerveau, provoquant des démences et des maladies comme le cancer et le diabète.
Si l’on ajoute à cela le fait que les téléphones portables ouvrent la barrière hémato-encéphalique pour laisser entrer les toxines, y compris les particules de l’air et les nanoparticules des vaccins, nous avons un mélange très dangereux de menaces.(([2] Le portail EMF de l’université d’Aix-la-Chapelle répertorie 34 études traitant de la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique. Disponible sur 
www.emf-portal.org/en/article/overview/mobile-communications-med-bio/g-84/t-84003#level-3)) Je dis depuis le début de tout cela, fin 2019, qu’il n’y a pas de « Covid ». « Covid » est une désignation générale pour une collection de symptômes discrets, qui sont tous les mêmes que l’exposition aux rayonnements électromagnétiques. Et, fait intéressant, nous apprenons que l’hôpital de Barcelone, en Espagne, a décidé de changer le nom du service où sont traitées les personnes réagissant à l’exposition aux rayonnements électromagnétiques, dites « électrohypersensibles » ou EHS, en un service « post-Covid ». Comme c’est approprié !

Mais ce que je ne savais pas en 2020, c’est que cette exposition est massivement renforcée par l’implantation de nanoparticules métalliques dans l’organisme. C’est reconnu dans la littérature scientifique, même par la Commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants (ICNIRP ; pas internationale, pas une commission, et ne protégeant personne contre quoi que ce soit, sauf peut-être l’armée et les sociétés de télécommunications contre des poursuites pour des crimes contre l’humanité remontant à des décennies) qui déclare dans ses propres directives de « sécurité » sur l’exposition aux CEM que si vous avez du métal dans votre corps, il va agir avec les champs électromagnétiques (CEM) pour vous rendre malade(([3] Directives de l’ICNIRP pour limiter l’exposition aux champs électromagnétiques (100 kHz à 300 GHz). Health Phys. 118(5):483-524 ; 2020. Disponible à l’adresse
www.icnirp.org/cms/upload/publications/ICNIRPrfgdl2020.pdf)): 

« Les procédures médicales peuvent utiliser des CEM, et les implants métalliques peuvent modifier ou perturber les CEM dans le corps, qui à leur tour peuvent affecter le corps à la fois directement (via une interaction directe entre le champ et le tissu) et indirectement (via un objet conducteur intermédiaire). Par exemple, l’ablation par radiofréquence et l’hyperthermie sont toutes deux utilisées comme traitements médicaux, et les CEM de radiofréquence peuvent indirectement causer des dommages en interférant involontairement [je ne savais pas que les CEM possédaient une intention] avec des dispositifs médicaux implantables actifs (voir ISO 2012) ou en modifiant les CEM en raison de la présence d’implants conducteurs. » 

Les nanoparticules sont utilisées dans les traitements contre le cancer. Elles sont injectées dans la tumeur, puis un rayonnement électromagnétique est appliqué afin que chaque nanoparticule brûle les cellules cancéreuses adjacentes. C’est ce qu’on appelle la « thérapie par ablation thermique ».(([4] Ablation par radiofréquence (RFA) : Il s’agit probablement du type d’ablation thermique le plus couramment utilisé. La RFA utilise des ondes radio à haute énergie pour le traitement. Une fine sonde en forme d’aiguille est insérée dans la tumeur pendant une courte période, généralement de 10 à 30 minutes. La sonde est guidée en place à l’aide d’ultrasons, d’une IRM ou d’un scanner. L’extrémité de la sonde émet un courant à haute fréquence qui crée une chaleur très élevée et détruit les cellules dans une zone donnée. Les cellules mortes ne sont pas éliminées, mais deviennent des tissus cicatriciels et rétrécissent avec le temps. L’hyperthermie pour traiter le cancer.
www.cancer.org/treatment/treatments-and-side-effects/treatment-types/hyperthermia.html)) 

Que se passe-t-il donc lorsque vous remplissez tout le corps de nanoparticules d’oxyde de graphène et que vous exposez tout le monde aux rayonnements électromagnétiques inéluctables et omniprésents qui couvrent toute la planète, y compris depuis les satellites et les plates-formes de haute altitude (HAPS) telles que les planeurs et les drones dans la stratosphère ?(([5] « Des constellations massives de … satellites en orbite terrestre basse sont en cours de planification et de fabrication et … couvriront le globe d’une capacité à faible latence et à large bande passante » afin d’étendre la portée de l’Internet mondial aux zones rurales et reculées et de compléter les réseaux terrestres 5G. » Union internationale des télécommunications ; Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture. Commission du haut débit pour le développement durable. Groupe de travail sur les technologies dans l’espace et la haute atmosphère. Identifier le potentiel des nouvelles technologies de communication pour le développement durable. Septembre 2017. 
www.broadbandcommission.org/Documents/publications/WG-Technologies-in-Space-Report2017.pdf))

Ricardo Delgado, de La Quinta Columna, a la réponse : 

« Chaque personne qui a été inoculée avec cette nanotechnologie de l’oxyde de graphène a maintenant une mèche, de la dynamite, une bombe à retardement qui est prête à exploser par l’activation d’une micro-onde. » 

La réponse est que vous avez un génocide. C’est ce qu’a expliqué avec force détails graphiques un ingénieur français dans une vidéo de 2020 (supprimée depuis par Youtube), mais dont nous avons la transcription :

« Pour moi, ces nanoparticules font partie d’un système d’armes qui permettra la dépopulation sans résistance de masse. Si vous comparez cela à un système d’explosifs, la nanoparticule serait la barre de l’explosif plastique, c’est-à-dire la matière active qui va exploser. La deuxième chose qui serait nécessaire est un détonateur. Pour moi, c’est l’onde électromagnétique qui va faire vibrer la nanoparticule, et la troisième chose c’est le contrôle, je pense qu’on l’a trouvé maintenant, c’est l’idée de 2020 060606,(([6] Brevet Microsoft 060606 – Monnaie numérique à interface corporelle. 
www.disclose.tv/t/microsoft-patent-060606-body-interfaced-digital-currency/298))(([7] Pour une discussion détaillée du vaccin proposé, voir Rapport d’enquête des officiers de réserve de l’armée française sur la pandémie de Covid-19 et ses relations avec le SRAS-COV-2 et d’autres facteurs, chapitre 13 : Vaccin et puce électronique. 
French Army Reserve Officers’ Investigative Report on the Covid-19 Pandemic and its Relationship to SARS-COV-2 and Other Factors, chapter 13: Vaccine and electronic chip.)) c’est-à-dire la vaccination sous-cutanée que les maîtres du monde vont proposer pour qu’ils puissent savoir où nous sommes et puissent nous tracer avec la 5G. L’avantage de la 5G comme détonateur est qu’elle peut nous tracer. C’est une arme à énergie dirigée. Donc, on est tracé, ils savent où envoyer l’onde et ils savent qui ils vont chauffer. De quoi avez-vous besoin pour que ce système d’armement soit opérationnel ? Il faut être capable d’injecter les nanoparticules dans le corps. Le seul moyen qui semble cohérent au regard de l’histoire est de les mettre dans les vaccins. »

Ce que cela signifie, c’est que chaque adulte ou enfant qui a reçu les vaccins « Covid », et apparemment n’importe quel autre vaccin au cours des deux dernières années, est maintenant une antenne relais et risque de mourir à tout moment d’une exposition aux CEM, mais cela se manifestera par toute une série de maladies différentes.  N’oublions pas non plus que la géo-ingénierie qui se déroule au-dessus de nos têtes pendant tout ce temps est également pleine de nanoparticules, et inclut probablement aussi le GO.

Les canaris dans la mine de charbon à l’heure actuelle sont les pilotes qui ont été vaccinés. Les pilotes et le personnel navigant sont exposés professionnellement à des niveaux de radiation très élevés. Faut-il s’étonner, dès lors, que quatre pilotes de British Airways soient morts après avoir reçu les vaccins et cinq autres de Jet Blue Airlines ?  Un vol de Singapore Airlines a dû se dérouter vers l’aéroport de Moscou parce qu’une hôtesse de l’air a eu une attaque. D’autres rumeurs font état de décès de pilotes d’autres compagnies aériennes. 

Je pense que nous avons été la cible d’une énorme opération psychologique et que pratiquement tout le monde regarde dans la mauvaise direction.  Tout tourne autour des radiations électromagnétiques et c’est la clé.  Maintenant que tous ceux qui se sont fait piquer sont pleins d’oxyde de graphène, leur seul recours est de suivre les précautions que prennent les personnes dites électrohypersensibles (EHS) et de se débarrasser de leurs téléphones portables et de tous les appareils sans fil et de s’assurer qu’ils n’entrent jamais en contact avec une quelconque technologie sans fil. 

Et bien sûr, si les gouvernements ne désactivent pas immédiatement toutes les antennes partout dans le monde (et ils n’ont pas besoin de nous dire que c’est une notion ridicule alors qu’ils étaient tout à fait heureux de fermer l’économie mondiale entière pour le Covid inexistant), alors c’est une preuve prima facie d’intentions génocidaires, parce que la littérature scientifique est sans équivoque que les métaux dans le corps deviennent des antennes lorsqu’ils sont exposés aux EMR. Le pistolet fumant de la conspiration de Covid est les nanoparticules d’oxyde de graphène dans les vaccins. Maintenant que nous le savons, la priorité de chacun doit être d’éteindre toutes les technologies sans fil et toutes les antennes de la planète, ainsi que tous les satellites 5G. Ne pas le faire sera une condamnation à mort pour les vaccinés.


[Voir aussi :
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?]


RÉFÉRENCES




Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène

[Source : agoratv]



[Voir aussi :
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Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?]




Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?

[Source : henrymakow.com]

Traduction : MIRASTNEWS

Par Steven Fishman

On me pose souvent la question : « Si j’ai pris le « vaccin », combien de temps vivrai-je ?

J’ai renvoyé cette question à un de mes amis, le Dr Mylo Canderian, Ph.D. [né Milos Iskanderianos, Corfou, Grèce, 1938], qui a développé le brevet pour l’oxyde de graphène à utiliser comme arme biologique hématologique en 2015.

En toute transparence, le Dr Canderian est ce que j’appellerais un « mondialiste génocidaire », qui suit le précepte dix des Georgia Guidestones, qui est très rarement discuté, déclarant « Ne soyez pas un cancer sur la Terre ; Laissez place à la nature. »

Le Dr Canderian est un contributeur médical de l’Organisation mondiale de la santé et soutient également Klaus Schwab et la « grande réinitialisation », inaugurant une monnaie numérique mondiale qui est un objectif secondaire de l’OMS pour 2022.

Le Dr Canderian est d’avis que 95 % de la population mondiale sont des « mangeurs inutiles » qui doivent être euthanasiés le plus rapidement possible.

« Regardez le centre-ville de Chicago, Baltimore ou Los Angeles », a-t-il déclaré, « et vous verrez clairement pourquoi les mangeurs inutiles doivent être réprimés comme des chiens enragés. »

Il a exprimé son dédain pour les « éducateurs infectieux » qui promeuvent la théorie critique de la race, et est convaincu que le « vaccin » mettra fin au « cancer humain sur la Terre ».

Le Dr Canderian est un ardent partisan du devoir et de l’obligation de la franc-maçonnerie de débarrasser le monde de la « peste de l’humanité ».

Pourtant sur le plan personnel, lui et moi partageons une passion pour le même plat exotique servi à L’émince de Veau à Genève : la Crème de Colibri suivi de Elk Tongue.

Nous sommes tous les deux fans du Chef Gaston Sere de Rivières, qui est un génie culinaire.

Alors, j’ai demandé à Mylo : « Comment les « vaccinés » peuvent-ils savoir avec certitude combien de temps ils doivent vivre une fois qu’ils ont été piqués ? »

Il m’a présenté l’information, appelée la «Formule de fin de cycle».

Il a expliqué à quel point il est facile de calculer.

« Le pouvoir de la simplicité », a-t-il déclaré. « Il y a un cycle maximum de dix ans entre l’injection et la fin du cycle », [ou la mort], a-t-il précisé. « Et c’est extrêmement facile à déterminer. »

Il a déclaré que tout hématologue peut le voir en quelques secondes au microscope, et encore plus facilement au microscope électronique. « Le pourcentage de sang affecté [ou contaminé] par ou avec l’oxyde de graphène est la réciprocité du calcul de fin de cycle », a-t-il divulgué.

En d’autres termes, un « inoculé » [comme il appelle toute personne ayant reçu l’autorisation d’utilisation expérimentale de l’eugénisme pour l’injection mortelle par injection biologique] ayant une détérioration de 20 % d’oxyde de graphène dans son sang vivra, à l’exception de tout autre critère d’entrée, pendant 8 ans. [10 ans moins 20%].

Quelqu’un avec une détérioration de 70% d’oxyde de graphène ne vivra pas plus de 3 ans. [10 ans moins 70%].

ruby-peters.jpg

Le Dr Jane Ruby a récemment été interviewé par Stew Peters sur son podcast et a montré des exemples de ce à quoi ressemble le sang détérioré lorsqu’il est exposé à l’oxyde de graphène.

L’oxyde de graphène, pour ceux qui ne le savent pas, est le composant des protéines de pointe de l’ARN messager et des prions, qui est en guerre avec le cœur, les poumons, le cerveau et le sang pour l’oxygène.

L’oxyde de graphène est une éponge à oxygène qui prive le corps de l’oxygène nécessaire et provoque de nombreuses complications, y compris, mais sans s’y limiter, un choc anaphylactique, une coagulation sanguine toxique, une paralysie pulmonaire mortelle, un cancer mitochondrial et un cancer endothélial.

Le point de vue du Dr Mylo Canderian est à peu près le même que celui de Klaus Schwab, Bill Gates et du PDG de Big Pharma : LAISSEZ-LES TOUS MOURIR !

J’ai demandé à Mylo quel était l’effet des deuxième et troisième injections et des boosters et comment cela changeait le tableau de fin de cycle.

Mylo a répondu : « Tout est mesurable par des tests hématologiques. Plus les imbéciles reçoivent de piqûres et de boosters, plus leur sang sera mauvais au microscope, et plus vite ils se transformeront en engrais.

Enfin, je lui ai demandé comment le complot visant à tuer autant de milliards de personnes pouvait être tenu secret par un tel groupe d’élites.

Sa réponse fut : « Tu ne connais pas grand-chose à la franc-maçonnerie, n’est-ce pas, Steve ? Et voilà.


[Voir aussi :
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine]




Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA

[Source : cv19.fr]

Alors que de plus en plus de personnes prennent conscience de la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins covid, une société appelée INBRAIN Neuroelectronics démontre que la technologie de “neuromodulation” basée sur le graphène et utilisant la neuroélectronique alimentée par l’IA est bien réelle.

Un communiqué de presse du 30 mars 2021 publié par BusinessWire.com dévoile cette affaire :

INBRAIN Neuroelectronics obtient un financement de série A de 17 millions de dollars pour la première interface graphène-cerveau alimentée par l’intelligence artificielle.

Le financement permet à l’entreprise de faire progresser les premières études sur l’homme pour son produit phare, un dispositif de neuromodulation moins invasif destiné à traiter les troubles neurologiques et utilisant l’intelligence artificielle et des électrodes en graphène.

INBRAIN Neuroelectronics – Restaurer des vies en décodant les signaux du cerveau et des nerfs dans des solutions médicales – Systèmes neuronaux intelligents en graphène à haute densité et haute résolution.
https://www.inbrain-neuroelectronics.com/

Pour être clair, nous ne prétendons en aucun cas qu’INBRAIN est impliqué dans les vaccins covid. Ils affirment plutôt que leur technologie est utilisée “pour traiter l’épilepsie et la maladie de Parkinson”. L’intérêt de présenter INBRAIN est de révéler que les “biocircuits” de contrôle du cerveau basés sur le graphène sont, en fait, une technologie bien réelle.

Les soi-disant “fact-checkers” – qui ne sont rien d’autre que des organes de propagande et de désinformation – affirment régulièrement que le graphène n’est pas présent dans les vaccins et que les biocircuits en graphène sont une théorie du complot. INBRAIN Neuroelectronics démontre que les fact-checkers mentent.

En fait, comme INBRAIN l’indique dans son propre communiqué de presse, son objectif est “d’établir la sûreté du graphène comme nouvelle norme de soins pour les dispositifs neurotechnologiques”.

Ils décrivent également les biocircuits en graphène comme une sorte de plateforme évolutive :

Des technologies neuroélectroniques moins invasives et plus intelligentes comme les nôtres pourraient fournir des thérapies plus sûres, évolutives et adaptables en temps réel…

Si cela vous semble familier, c’est probablement parce que Moderna, créateur du vaccin covidien à ARNm, a décrit sa technologie comme un “système d’exploitation” qui peut être mis à jour et reprogrammé à tout moment, lui aussi.

Sur le site Web d’INBRAIN Neuroelectronics, la société se décrit ainsi :

Nous sommes des scientifiques, des médecins, des techniciens et des amoureux de l’humanité, dont la mission est de construire des interfaces neuroélectroniques pour soigner les troubles cérébraux. Nous utilisons le GRAPHENE, le matériau le plus fin connu de l’homme, pour construire la nouvelle génération d’interfaces neuronales pour la restauration du cerveau afin d’aider des patients à travers le monde.

Elle cite également le professeur A. Fasano, qui a déclaré : “Le graphène est la prochaine grande nouveauté dans le domaine des matériaux de bio-ingénierie, qui sont des composants piliers de la prochaine génération d’électrothérapies dans le domaine en croissance constante de la neuromodulation.”

La société présente sa technologie comme étant capable de “lire” le cerveau d’une personne, de détecter des schémas neurologiques spécifiques, puis de contrôler la neurologie de cette personne pour modifier ses fonctions cérébrales. Selon ses propres termes :

Nos interfaces graphène-cerveau ont la capacité de lire à une résolution jamais vue auparavant, ainsi que de détecter des biomarqueurs spécifiques à la thérapie et de déclencher une neuromodulation adaptative hautement focale pour de meilleurs résultats dans les thérapies neurologiques personnalisées.

Le graphène est également décrit comme “le matériau connu le plus fin pour adapter parfaitement la stimulation à l’anatomie ciblée du cerveau”.

Quiconque affirme que le graphène n’est pas utilisé pour contrôler la neurologie humaine fait preuve d’une ignorance totale de l’état des neurosciences modernes ou vous ment délibérément.

Pour clarifier encore une fois, nous n’affirmons pas qu’INBRAIN Neuroelectronics est engagée dans un quelconque programme néfaste, ni qu’elle est impliquée dans les vaccins contre le covid. Comme toute technologie, les biocircuits à base de graphène peuvent être utilisés pour le bien ou le mal, selon l’éthique et les motivations de ceux qui contrôlent la technologie. Il existe sans aucun doute des applications très positives pour cette technologie, mais comme pour la plupart des technologies qui étaient autrefois présentées comme un moyen d’émancipation de l’humanité – la télévision, les vaccins, Internet, l’énergie nucléaire, la robotique, etc. – elles finissent toutes dans les mains de mondialistes fous et génocidaires qui les utilisent comme des armes contre l’humanité.

En d’autres termes, il n’existe aucune technologie que des cinglés n’exploiteront pas pour asservir l’humanité et accroître leur propre pouvoir et leur contrôle. Les biocircuits en graphène donnent aux cinglés avides de pouvoir un accès direct à votre cerveau, et selon de nombreux analystes (voir ci-dessous), les vaccins fournissent l’excuse pour injecter aux victimes humaines des substances à base de graphène qui s’auto-assemblent en biocircuits dans le cerveau humain.

ALLÉGATION : les vaccins Covid contiennent des niveaux élevés d’oxyde de graphène, qui s’auto-assemble en biocircuits en récupérant des éléments (tels que le fer) du sang humain.

Comme le rapporte Orwell.city, un groupe appelé La Quinta Columna a analysé des vaccins contre le covid et a découvert que 98% à 99% de la masse non-liquide du vaccin semble être de l’oxyde de graphène. Ricardo Delgado, parlant au nom de La Quinta Columna, déclare :

Un phénomène qui a longtemps été nié, mais qui aujourd’hui a déjà été prouvé. Il y a des millions de vidéos de personnes dans le monde entier. Des vidéos sur ce phénomène, appelons-le “pseudo-magnétisme acquis après inoculation”, mais il peut aussi être acquis par d’autres moyens. Donc, une fois que nous avons mené cette étude épidémiologique de base, nous avons commencé à nous demander quels matériaux ou nanomatériaux peuvent provoquer le magnétisme dans le corps. Et pas seulement du magnétisme, mais qui pourraient agir comme des condensateurs d’énergie, car j’ai aussi mesuré dans un multimètre une charge importante…

Il s’agit d’un phénomène d’induction électromagnétique dans le métal qui adhère près de la zone d’inoculation. De plus, nous avons constaté que le magnétisme se déplace ensuite vers la tête. Et ceci est très important. Sûrement dans le but qu’ils recherchent. De plus, une différence de potentiel est mesurée avec un multimètre : la personne devient un supraconducteur. C’est-à-dire qu’elle émet et reçoit des signaux. Et quand nous avons trouvé les matériaux qui peuvent provoquer ce type d’altérations dans le corps, nous avons commencé à parler du graphène. Nous avons soupçonné qu’il s’agissait d’oxyde de graphène car il présentait toutes les caractéristiques que les personnes magnétisées exprimaient après inoculation.

Le graphène est toxique, c’est un produit chimique, un agent chimique toxique. Introduit dans l’organisme en grande quantité, il provoque des thromboses. Il provoque des caillots sanguins. Nous avons tous les articles scientifiques qui le prouvent. Il provoque un syndrome post inflammatoire, il provoque une altération du système immunitaire. Et lorsque l’équilibre redox est rompu, en ce sens qu’il y a moins de glutathion de réserve dans l’organisme qu’un toxique introduit comme l’oxyde de graphène, cela génère un effondrement du système immunitaire et une tempête de cytokines. En d’autres termes, quelque chose de très similaire à la maladie à la mode, n’est-ce pas ?

Voir la vidéo ici :



Delgado poursuit :

Et étant donné que toutes les personnes qui sont inoculées avec le vaccin Pfizer, qui était celui que nous avons envoyé pour analyse, ainsi que Moderna, AstraZeneca, Johnson&Johnson, Janssen, Sinovac, et tous les types de vaccins acquièrent des propriétés magnétiques, nous soupçonnons avec beaucoup de preuves qu’ils contiennent tous plus ou moins de doses de graphène, d’oxyde de graphène.

…nous savons que précisément la N-acétylcystéine ou le glutathion dégrade lui-même l’oxyde de graphène. C’est pourquoi nous pensons que nous avons probablement touché directement l’agent causal ou étiologique de la maladie.

Dans le podcast Situation Update d’aujourd’hui, j’aborde plus en détail cette nanotechnologie exotique, y compris les nanostructures de biocircuit en graphène “auto-assemblées” et la manière dont elles peuvent construire une antenne pour recevoir des commandes ou des instructions de champs électromagnétiques externes.

Si c’est bien ce qui se passe, cela signifie que les gouvernements mondiaux pourraient être en mesure de contrôler les masses vaccinées en diffusant des signaux à partir des tours cellulaires 5G. Bien que cela ressemble à de la science-fiction, cette technologie a déjà fait ses preuves dans des expériences sur des souris, impliquant à la fois des SPION (nanoparticules d’oxyde de fer super paramagnétiques) pour l’administration ciblée de médicaments dans les tissus et des protéines “magnétiques” qui permettent la neuromodulation (contrôle du cerveau).

Article original : https://www.naturalnews.com/2021-07-19-graphene-based-neuromodulation-technology-is-real-inbrain-neuroelectronics.html (anglais)


[Voir aussi :
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine]




Pas vacciné ? Antisémite, complotiste !

[Source : lemediaen442.fr]

Par Jaqueline

Yeux crevés, mains arrachées : les Gilets Jaunes ont déserté les ronds-points. Mais d’autres résistants sont apparu (les mêmes souvent, mais sans panoplie). Ils résistent à la vaccination obligatoire. 

Et c’est là que les médias nous sortent un rescapé de la rafle du Vel d’Hiv’, indigné devant les étoiles jaunes brandies par les anti-vaccins (comme s’ils étaient contre tous les vaccins). Entre larmes indignées (Libérationet discours poignant (Ouest France), l’émotion permet d’insulter les Résistants à la dictature sanitaire. 

Manipuler les masses par l’émotion, un vieux truc de publicitaires et de politiques

Voilà ce que Le Figaro rapporte : « Ce dimanche 18 juillet, lors de la journée nationale à la mémoire des victimes des crimes racistes et antisémites, un rescapé du Vel d’Hiv a témoigné son “indignation” face à la comparaison “odieuse” du vaccin contre le Covid-19 à l’étoile jaune. Il appelle “à ne pas laisser passer cette vague outrancière et antisémite ». C’est drôle, en 1941, Le Figaro était antisémite, maintenant non. C’est comme ça.

Les médias du côté du manche

Le Figaro a toujours été du côté du manche. Anticommuniste en 1941 (voir « La répression des menées communistes » du 17 janvier 1941), qualifiant les résistants d’agitateurs et se félicitant de l’arrestation de Robert Giudicelli et Marc Baudois (tous deux tués ensuite par la Gestapo). Quant à la condamnation à mort de gaullistes (par contumace), cela ne lui fait ni chaud ni froid (le 22 mai 1941). 

Le Figaro n’a rien eu à redire non plus à la loi anti-juive du 2 juin 1941 (13 juillet 1941). Les Juifs doivent être recensés, normal. Certaines fonctions leur sont interdites à eux et leurs familles, normal. 

Le Figaro est d’autant plus méritant de soutenir les Juifs à présent. Il a commencé par titrer sur l’antisémitisme des Gilets Jaunes. Par exemple (le 3 février 2019) : « Gilets jaunes : la communauté juive de Strasbourg dénonce des propos antisémites ». Libération le 18 février 2019 avait lui aussi dénoncé tout aussi courageusement l’antisémitisme en titrant : « Les gilets jaunes, étouffés par la gangrène antisémite ».

Il y a les faux complots et les vrais complots

Le peuple a tout d’abord été complotiste, nous explique l’Union européenne dans « Reconnaître les théories du complot ». Qu’est-ce qu’un complot ? Un vrai complot, c’est, par exemple, celui des fabricants de cigarettes. En 2006, le tribunal fédéral de district de Washington DC (États-Unis) a jugé que de grands fabricants de cigarettes étaient coupables d’entente délictueuse, pour avoir dissimulé pendant des dizaines d’années les preuves de risques sanitaires liés au tabagisme.

L’Europe nous donne ensuite l’exemple type d’un faux complot : le covid-19. N’oubliez pas : 

« Personne n’est responsable de l’apparition du virus, mais nous pouvons tous contribuer à enrayer la pandémie »

Traduction en 4-4-2  : le virus n’est pas venu d’un laboratoire, bande de « complotistes » ! Effectuons les gestes barrières et vaccinons-nous.

On continue cette instructive brochure : 

« Les théories du complot désignent un ennemi et une machination secrète qui menace la vie ou les convictions des gens, déclenchant ainsi un mécanisme de défense qui peut alimenter les discriminations, justifier les crimes haineux et faire le lit de groupes extrémistes violents. »

Traduction en 4-4-2 : l’ennemi, c’est le non-vacciné, le haineux qui manifeste contre le vaccin obligatoire. L’hydroxychloroquine est un poison. En revanche le Remdésivir, le Rivotril et les vaccins, sont bons pour notre santé. Haine et violence sont du côté des Français. Et la bienveillance du côté de la police et du gouvernement. 

« Les théories du complot propagent la méfiance à l’égard des institutions publiques, ce qui peut conduire à l’apathie politique ou à la radicalisation. »

Traduction en 4-4-2 : l’abstention c’est la faute aux non-vaccinés !

Le philo-sémitisme, arme de destruction massive

La brochure se termine par un chapitre clé : « Théories du complot et antisémitisme » Oh ! on ne pensait pas qu’ils iraient jusque-là. Mais si ! De la mise en doute des vaccins anti-covid, à l’antisémitisme il n’y a qu’un pas. L’Europe l’a franchi : 

« Parmi les signes à repérer : le fait de lier un prétendu complot à des personnes ou à des communautés juives (par exemple, la famille Rothschild ou George Soros (un philanthrope) ou à l’État d’Israël. » 
Vous ne rêvez pas, ce sont vraiment les termes employés par l’Europe.

Traduction en 4-4-2  : envisager que Rothschild, Soros et Israël aient quoi que ce soit à se reprocher est de l’antisémitisme. Ils ont osé !

« L’incertitude, la peur et la complexité de la pandémie de covid-19 ont alimenté des théories du complot. Celles-ci prétendent “expliquer” les causes de la pandémie et désigner qui en bénéficie. »

Traduction en 4-4-2 : les neuf nouveaux milliardaires qui ont profité de la vaccination à tout-va sont tous actionnaires de laboratoires pharmaceutiques. Eh bien, voilà un authentique argument complotiste !

Sont également complotistes :

« les affirmations selon lesquelles certaines mesures sanitaires visant à lutter contre la propagation du virus (comme les vaccins et les masques) sont intentionnellement utilisées pour nuire aux populations ou pour les contrôler. »

Traduction en 4-4-2 : la vaccination avec des produits en phase d’essai, dont personne n’est responsable en cas d’effets secondaires graves, c’est pour votre bien, un point c’est tout. Les masques au graphène imposés aux enfants, c’est également pour leur bien.

Comment agir concrètement contre les théories du complot ? 

« Sur les réseaux sociaux : étayez vos commentaires par des informations vérifiées (issues par exemple de sites de vérification des faits). »

Traduction en 4-4-2 : fiez-vous au Décodex du Monde, le journal de Bill Gates, plus qu’à un prix Nobel ou un quelconque scientifique mal coiffé.

Et surtout 

« ne relayez PAS la publication en cause ».

Traduction en 4-4-2 : censurez, la méthode a fait ses preuves. Ce n’est pas l’homme des lumières Alain Finkielkraut  qui vous contredira.

Jacqueline pour Le Média en 4-4-2.




Graphène et 5G

[Source : Michel Dogna]

Par Michel Dogna

Savez-vous pourquoi on continue à vous obliger à porter le masque même si vous êtes vaXXiné, en plus qu’il ait été démontré cent fois que sa protection est illusoire contre les virus ?

[Voir : Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins.
Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine]

  • La réponse est que tous les masques contiennent des nanoparticules d’oxyde de graphène que l’on veut vous faire inhaler.

Savez-vous pourquoi on continue à nous dépister avec le test PCR bien qu’il ait été dit cent fois que ce test est non fiable à 95 % ?

  • La réponse est que le bout de l’écouvillon est chargé d’oxyde de graphène nano qui va aller directement au cerveau.

Savez-vous réellement pourquoi ils veulent absolument vaXXiner tout le monde ?

  • Parce que les vaccins ARNm, sont bourrés d’oxyde de graphène nano qui va vous transformer en antenne ambulante et renforcer le travail et la dissémination du dangereux couple protéine SPIKE/HYDROGEL DARPA.

Savez-vous réellement pourquoi ils veulent nous revaXXiner tous les 6 mois contre des hypothétiques nouveaux variants (grippaux) ?

  • Pour refaire le plein de graphène, qu’à l’encontre de ce qu’affirment certains, le corps élimine petit à petit. Savez-vous enfin que les athlètes de haut niveau perdent 10 à 20 % de leurs performances après une vaccination ARNm ?

[Voir :
En Belgique aussi, les athlètes se préparant aux Jeux olympiques constatent que leurs performances sont en baisse depuis leur vaccination
Sportifs de haut niveau, les vaccins covid diminuent vos performances !]

Découverte du pot aux roses

J’avais déjà signalé les centaines de témoignages curieux sur Internet de gens vaccinés qui collent magnétiquement des petits objets en fer ou inox sur la zone d’injection — ce n’est ni un trucage ni un gag de magie burlesque.

Le site Orwell City a été le premier à dénoncer la présence d’oxyde de graphène dans les injections, masques et tests, grâce à ses traductions en anglais du site La Quinta Columna, qui a publié une vidéo synthèse titrée « l’arme du crime parfait » sur Rumble.

La Quinta Columna

résume le résultat des recherches

Dr José Luis Sevillano

depuis un an et demi, mais surtout depuis les derniers mois, car celui-ci a pu mesurer à l’aide de teslamètres, magnétomètres, etc., les phénomènes magnétiques ou pseudo-magnétiques qu’acquièrent les gens après inoculation, et des stockages d’énergie à certains endroits, comme le front qu’on peut mesurer avec un multimètre.

Il est apparu que les vaXXinés en plus d’être très magnétiques deviennent aussi super conducteurs électriques. C’est ce dernier aspect qui a orienté la recherche du Dr Luis Sévillano dans l’analyse des échantillons d’ampoules vaXXinales, vers le graphène qui est au départ un super conducteur industriel servant à stocker et condenser l’énergie électrique. Cette preuve a été ensuite confirmée par la spectroscopie aux UV, la microscopie électronique, et les fréquences électromagnétiques.

La société NANOGRAFI a avoué que l’oxyde de graphène est présent dans les masques, dans les tests PCR, les tests antigéniques, dans l’hydrogel, et aussi dans les vaccins antigrippe ainsi qu’en aérosol dans le vaccin intranasal de la Turquie.

  • Coïncidence : le marché de l’oxyde de graphène nano a explosé lors du départ de l’alerte Covid en décembre 2019 et janvier 2020, mais aussi durant la campagne de vaccination antigrippe qui avait précédé, spécialement à Wuhan et en Italie du Nord.

Dégâts possibles dans l’organisme des vaxxinés ARNm

L’équipe a alors étudié la toxicité spécifique de l’oxyde de graphène nano ce qui nous fait rejoindre le bilan des effets indésirables connus associés à la vaXXination en vogue — pour rappel :

  • Double pneumonie surtout par inhalation.
  • Écroulement du système immunitaire.
  • Goût métallique dans la bouche.
  • Inflammations multiples.
  • Inflammations des muqueuses.
  • Milliers de mini caillots circulant dans le sang.
  • Mouvements incontrôlables.
  • Myocardites et péricardites possiblement irréversibles.
  • Perte de l’odorat et du goût.
    Et surtout Thromboses soudaines et imprévisibles pouvant entraîner :

    • Aphasie,
    • AVC fatal,
    • Cécité d’un œil ou des deux,
    • Embolie cardiaque fatale,
    • Embolie pulmonaire fatale,
    • Paralysies,
    • Surdité d’une oreille ou des deux.

L-Glutathion : parade à l’oxyde de Graphène ?

Le L-GLUTATHION est un puissant antioxydant synthétisé par le sang qui contrecarre les radicaux libres, les peroxydants, et toutes les toxines qui entrent dans le corps. Or il s’avère qu’il détruit aussi l’oxyde de graphène nano, mais à condition d’être présent en quantité suffisante, sinon le graphème, va le manger — c’est donc une véritable partie de bras de fer qui a lieu !

Et c’est là que l’on peut aider le corps en apportant du L-glutathion extérieur, ou mieux encore, de la N-acétylcystéine qui est son précurseur.

  • De fait les chercheurs espagnols ont découvert qu’il existait environ 300 études cliniques sur l’usage par certains hôpitaux et universités, de la N-acétylcystéine avec d’incroyables résultats. Par exemple, 100 patients mourants avec des doubles pneumonies ont été sauvés en une heure après l’administration intraveineuse de glutathion ou de N-acétylcystéine.

Hélas, le problème de l’apport extérieur du L glutathion est que sa synthèse nécessite de grandes quantités de lait — qui est, nous le savons, du sang transformé. On parle de 600 litres de lait pour obtenir 1 litre de glutathion, ceci lui occasionnant un coût élevé — et par ailleurs, que sa conservation est éphémère.

Il est donc préférable de s’orienter vers la N-acétylcystéine (NAC à 200 mg) un acide aminé soufré hautement bio disponible, que l’on trouve facilement sur Internet ou dans les parapharmacies — sans ordonnance puisqu’elle n’est pas considérée médicament, mais complément alimentaire : 1 sachet 3 fois par jour chez l’adulte — traitement 8 à 10 jours maxi.

À noter par ailleurs qu’à partir de 60 ans le sang fabrique de moins en moins de glutathion. C’est pour cela que le 3e âge est le plus touché par la vaXXination. Mais cela est vrai aussi pour les obèses de tous les âges ! Par contre, normalement, les enfants qui en fabriquent abondamment sont peu touchés… quand la rafale de vaccinations du calendrier vaccinal n’a pas trop endommagé leurs défenses immunitaires à large spectre.

Le roman des « Variants »

[Voir aussi :
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !]

On nous parle maintenant de 3e puis de 4ème vague, etc., bref une histoire sans fin, qui justifie des nouvelles privations de libertés et des nouvelles vaXXinations soi-disant adaptées. Aussi, il est couramment entendu de la part des sommités médicales sincères que les dits variants sont générés par les vaXXins. Ils sont sur la bonne voie, mais il leur manque une pièce du puzzle. Il faut considérer que les gens en bonne forme qui ont passé avec succès l’épreuve de la première vague, vaccinés, demi vaccinés, ou pas, sont ceux dont le glutathion était suffisamment abondant pour éliminer progressivement le graphène — le seul but du nouveau vaxxin n’est pas de protéger d’un variant qui n’est en fait qu’un rhume ou une grippette banale, mais d’effectuer une recharge importante d’oxyde de graphène, donc une nouvelle estocade contre les individus « durs à cuire », dont les dégâts seront mis à la charge d’un virus fantôme de plus en plus méchant.

Pourquoi la 5G ?

[Voir :
Les 13 Phases SCENARIOS du Complot COVID-19 par Richard Boutry, Ancien Présentateur TV (Censuré)
Les pensées sont libres – mais avec la digitalisation mondiale, c’est fini !
Covid-19 et contrôle des masses — Le principal but de la vaccination n’est pas d’ordre sanitaire
5G : installation à marche forcée malgré les risques
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Science-fiction ou réalité ? Contrôler le cerveau via des vaccins ARNm ?
Localisation des antennes 5G en France
La principale finalité de la vaccination n’est pas sanitaire
Un cimetière d’abeilles sous les antennes 5G à Toulouse]

Ce n’est pas tout. L’establishment criminel a voulu avoir toutes les chances de réussite dans son œuvre sinistre en faisant jouer la fréquence de résonance de l’oxyde de graphène que l’on nomme techniquement « bande d’absorption électronique » dans le but d’une émulation le rendant encore plus méchant face au glutathion. Cette émulation va être initialisée par la 5G — et c’est pour cela que contre toutes les mises en garde et réticences de toutes parts, la prolifération des antennes continue à battre son plein comme si rien n’était.

Janvier 2020 fut une grande répétition à Wuhan, alors que :

  1. Une campagne de vaccination antigrippe avait précédé (pour charger les gens en graphène).
  2. Plus de 10 000 antennes relais 5G avaient été installées.
  3. Au jour J de la déclaration de la catastrophe pandémique covid, due prétendument à une fuite accidentelle du laboratoire P4 et une histoire à dormir debout de pangolins et de chauves-souris, l’enclenchement du réseau 5G a été effectué en même temps.
  4. Rappelez-vous des gens apparemment pas malades qui tombaient de mort subite dans la rue (ce n’était pas un montage [Ndlr : ceci reste à démontrer]).

À l’époque j’avais parlé de la fréquence de résonance 60 gigahertz de la 5G qui rendait l’oxygène ambiant partiellement inexploitable par l’hémoglobine du sang — ceci devait être vrai, mais ni moi ni personne ne connaissions à l’époque l’existence surajoutée du graphène (la ceinture et les bretelles…).

  • Le but de tout ce montage fut donc de faire croire au monde entier que l’ennemi fatal était un nouveau virus afin de détourner l’attention de la vraie corrélation : « oxyde de graphène/5G » — cela a parfaitement marché, même chez les scientifiques… du grand art dans le crime parfait !

Toutes les inepties apparentes depuis 18 mois s’expliquent maintenant d’une façon claire.

Ceux qui ne croiront pas encore, après cette lecture, que nous sommes sous l’emprise du plus grand mensonge de tous les temps pour assurer le plan de dépopulation de l’humanité prévu par le plan Blue Beam des Illuminatis (voir sur Internet), en ont parfaitement le droit en leur âme et conscience.

Jésus avait raison lorsqu’il a dit :

« Bienheureux les simples en esprit, car le royaume des cieux leur appartient. »

C’était vrai à son époque pour les fins de vie.

Et c’est toujours vrai maintenant, mais cette fois sans délai !

PARADES DES VIOLS VAXXINAUX

EN CLAIR
Les (faux) vaxxins c’est :

  • (1) Protéine Spike + hydrogel Darpa
  • (2) Oxyde de graphène (et aucune souche contre le corona !)

[Voir : La tisane aux aiguilles de pin est-elle la réponse à la transmission du vaccin contre le covid ?]

  • Parade pour le (1) Suramine dans tisane de pin TM d’aiguilles de pin sylvestre (dispo vers le 15 août, sera précisé par une News).
  • Parade pour le (2) L-Glutathion N-Acétylcystéine (NAC 200 mg) (pharmacie ou Internet).

Et enfin, pour SORTIR DU JEU PERVERS

Écoutez, ré-écoutez, faites écouter EMA KRUSI et ses précieux conseils
Sa beauté extérieure est le reflet de sa beauté intérieure,

Elle vous tirera peut-être les larmes…




Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?

[Source : Russie politics: Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?]

Par Karine Bechet-Golovko

Alors que la grande fête du vaccin bat son plein en Russie, que la mortalité attribuée au Covid semble suivre la courbe ascendante de la furie vaccinale, une vidéo surprenante du forum de la santé 2020 à Saint-Pétersbourg, qui s’est déroulé lors du Forum économique, vient de me tomber entre les mains. Sur quelles bases sont développés les vaccins ? Je ne suis pas médecin, je ne propose qu’une traduction et quelques questions, surtout lorsqu’il est question de nanotechnologies.



Dans le cadre du Forum économique de Saint-Pétersbourg, n’oublions pas que le Covid est toute une économie, s’est ouvert le 3 juin 2020 le Healthy Life Forum. Comme présenté sur le site : « The Forum is one of the leading discussion platforms concerning the development of healthcare, creating a healthy lifestyle, and boosting Russians’ healthy life expectancy. » [« Le Forum est l’une des principales plateformes de discussion concernant le développement des soins de santé, la création d’un mode de vie sain et l’augmentation de l’espérance de vie en bonne santé des Russes. »]

Et puisque le vaccin est le must du healthy lifestyle, n’ayons pas peur des mots…, la discussion a porté sur les plateformes de création des vaccins en Russie. La question de la plateforme de fabrication des vaccins en Russie est posée par Anna Popova, à la tête de l’Agence fédérale de la consommation, en charge de la lutte contre le Covid (logique). La réponse apportée, claire et nette, par Natalia Bieloziorova, directrice du Centre de recherche et de développement de l’Institut des vaccins de Saint-Pétersbourg, est pour le moins surprenante :

Les vaccins, dans le Centre de l’Institut de recherche de Saint-Pétersbourg, sont développés sur la base de trois plateformes : d’ADN modifié, de protéines recombinées et de nanotechnologies.

Je ne suis pas médecin, je ne suis pas virologue, mais lorsqu’un centre de recherche développe des vaccins sur la base de nanotechnologies, est-ce à dire que l’on injecte des nanotechnologies dans les gens lors de la vaccination ? Et en quoi consistent ces nanotechnologies concrètement ?

À l’heure de ce fanatisme vaccinal, il serait bon d’avoir un peu plus de recul et sur les modalités de fabrication des vaccins, et sur les effets secondaires de ce qui est injecté dans le corps des gens. 


[Voir aussi :
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Fraude ou médecine ? Ces concoctions bizarres et profondément dangereuses que l’on appelle encore « vaccins »
Ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd nous met en garde contre les vaccins à ARNm anti-ADN Covid-19 qui nous rendront transhumains
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?
Dr Joseph Mercola : Une biopuce injectable pour la détection du SARS-CoV-2 sera prochainement approuvée par la Food and Drug Administration
Bill Gates explique que le vaccin covid utilisera une technologie expérimentale et modifiera de façon permanente votre ADN…
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine]




Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine

[Source : Le blog de Liliane Held-Khawam (lilianeheldkhawam.com)]

Par Liliane Held-Khawam

Comment transformer notre monde, la société, et donc l’humain ?

Révolutionner l’organisation sociétale est une obsession des dirigeants européens en vue de la réalisation des objectifs du Programme de développement durable 2030 des Nations Unies. Le nom complet de celui-ci est d’ailleurs: » « Transformer notre monde : le Programme de développement durable à l’horizon 2030 ». Les 3 premiers mots de ce titre sont indispensables à la compréhension de ce qui se passe. Ce site et les livres qui y sont présentés poursuivent tous le même objectif: comprendre et faire comprendre les stratégies et moyens utilisés pour réaliser cette révolution qui vise rien de moins que la restructuration de la vie la vie sur terre. Et cela passe par la révolution numérique et l’industrie qui la sous-tend.

Le graphène en fait partie, et occupe une bonne place dans le Digital Single Market de l’UE. Une thèse relevait en 2015 que le graphène est une nanoparticule bidimensionnelle d’épaisseur atomique présentant des propriétés uniques, qu’elles soient mécaniques, électriques ou thermiques. Ceci ajouté à une faible densité et une très grande surface spécifiquefait que l’ajout de graphène et de nanoparticules dérivées (oxyde de graphène, graphite exofilé) pour renforcer des matrices polymères est devenu un sujet d’études d’intérêt majeur dans le domaine des nanocomposites

https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01138100/
Les terrains d’application dans le but d’aller toujours plus vite, toujours plus haut, pour toujours moins cher.
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L’oxyde de graphène, un outil de disruption technologique indispensable à la révolution digitale

L’oxyde de graphène est semble-t-il un composant majeur qui doit participer à cette révolution globale. Ce mot est évité au profit de la disruption technologique, histoire de ne pas trop expliquer en quoi cette chose consiste. Au final, il s’agit de la même chose. En fait, il s’agit ni plus ni moins de faire advenir la 4ème révolution dont parle Klaus Schwab qui devrait mener au transhumanisme, lui-même n’étant qu’un phase transitoire vers le posthumanisme.

Et les révolutionnaires ne lésinent pas sur les moyens. Et c’est à cela que l’on reconnait le degré d’importance accordé à un projet: le fric mis à disposition. Ainsi, la Commission européenne, les Etats membres et Etats associés financent un programme de 1 milliard d’euros afin de réaliser les objectifs de disruption basés sur le graphène.

Selon des membres du Laboratoire fédéral d’essai des matériaux et de recherche , « le programme phare sur le graphène est la plus grande initiative de recherche de l’UE à ce jour et, selon la Commission européenne, « la plus grande distinction de l’histoire pour l’excellence de la recherche ». Doté d’un budget d’un milliard d’euros, le programme Graphene Flagship a pour mission de faire passer le graphène du domaine des laboratoires universitaires à la société européenne dans dix ans – générant ainsi de la croissance économique, de nouveaux emplois et de nouvelles opportunités pour les Européens en tant qu’investisseurs et employés. Avec le programme Graphene Flagship, l’Europe a lancé une nouvelle forme d’initiative de recherche commune et coordonnée d’une ampleur sans précédent. Graphene Flagship réunit un consortium académico-industriel visant une percée en matière d’innovation technologique. L’effort de recherche couvrira l’ensemble de la chaîne de valeur, de la production des matériaux à l’intégration des composants et des systèmes, et visera un certain nombre d’objectifs spécifiques qui exploitent les propriétés uniques du graphène.« 

https://graphene-flagship.eu/

L’oxyde de graphène, le matériau qui permet la surveillance de la santé! Étude à lire. INDISPENSABLE

L’orientation des soins de santé humaine s’est progressivement déplacée des hôpitaux vers les communautés (familles, individus) nous dit une étude qui présente la médecine idéale où la santé humaine est sous surveillance permanente grâce à des capteurs composés de graphène. Les hôpitaux classiques et autres personnels soignants qui ne sont pas préparés à la télémédecine risquent de se retrouver hors du système dans peu de temps. Souvenez-vous d’ailleurs quand nous avions abordé les sujets qui semblaient lointains. Eh bien le lointain est devenu actuel. 

https://lilianeheldkhawam.com/2018/10/28/etes-vous-daccord-davoir-un-clone-numerique-vous-laurez-quand-meme-lhk/

Extraits de l’étude

Des efforts considérables ont donc été consacrés aux capteurs et aux dispositifs de surveillance de la santé. En raison de ses caractéristiques uniques, notamment ses propriétés chimiques et physiques, le graphène est extrêmement attrayant pour l’électronique flexible et les capteurs.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Dans cette revue, les réalisations récentes dans les capteurs à base de graphène pour la surveillance de la santé humaine, y compris les capteurs portables flexibles non invasifs et les dispositifs invasifs ont été examinées. Les capteurs à base de graphène ont été explorés pour mesurer un large éventail de signes vitaux et de biomarqueurs du corps humain, qui sont très prometteurs dans un avenir prévisible pour des applications dans les soins de santé, la médecine personnalisée/préventive, le traitement des maladies, l’interaction homme-machine, comme ainsi que les interfaces cerveau-ordinateur.De nouvelles structures ont été utilisées pour améliorer les performances, tandis que leurs mécanismes de détection et les innovations technologiques ont également été discutés en profondeur.

Les capteurs portables non invasifs sont plus acceptables et souhaitables dans les applications de soins de santé, car ils sont moins invasifs et réduisent les risques tout en maintenant leur fonction et leurs performances. L’attitude du public envers les appareils portables est passée de la curiosité aux soins de santé de qualité clinique (Rogers et al., 2019). Cependant, il reste encore un long chemin à parcourir avant de répondre aux exigences des dispositifs médicaux. Avec les progrès des matériaux et des techniques de fabrication, les dispositifs médicaux implantables deviennent de plus en plus attractifs, en raison de leur capacité à surveiller de manière précise et à long terme l’état des tissus, des organes, du système, tout en fournissant également des conseils/des assistants/des pronostics pour diagnostic et thérapeutique, qui remplacent progressivement les appareils portables et portables traditionnels. Cependant, pour les dispositifs implantables, plusieurs défis tels que la biocompatibilité, l’encrassement biologique ainsi que l’alimentation électrique doivent être résolus. L’électronique transitoire/biodégradable présente un immense potentiel dans les applications implantables, qui peuvent être dégradées de manière contrôlée et/ou auto-déclenchante sans chirurgies secondaires ni risques d’infection. Par ailleurs,la chose intéressante est que les feuilles de GO hautement dispersées peuvent être biodégradées par la myéloperoxydase qui est dérivée des neutrophiles humains, qui peut être utilisée dans l’électronique biodégradable pour les implants (Kurapati et al.,2015).

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

En général, les capteurs pour la surveillance de la santé humaine, qu’il s’agisse de capteurs invasifs ou non invasifs, peuvent être considérés comme un « sens augmenté », qui est une extension des sens humains.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Un fichier externe contenant une image, une illustration, etc. Le nom de l'objet est fchem-07-00399-g0001.jpg
Présentation de la plate-forme de capteurs à base de graphène (y compris oxyde de graphène)
pour la surveillance de la santé.
Une distinction majeure peut être faite entre les applications non invasives et invasives, y compris les capteurs portables pour surveiller les signaux biophysiques, biochimiques, environnementaux et les dispositifs implantables pour le système nerveux, cardiovasculaire, digestif et locomoteur. 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Des quantités considérables de données seront générées avec le développement des technologies de capteurs et de la science des matériaux en raison de la détection omniprésente allant de l’Internet des objets (IoT) aux soins de santé. Ainsi, des méthodes statistiques et informatiques, telles qu’une gamme de techniques d’apprentissage automatique, peuvent être utilisées dans le traitement des données et l’extraction efficace d’informations. Des capacités d’analyse de données en temps réel sont souhaitées pour une gestion robuste des données (Paulovich et al., 2018). Les problèmes éthiques et moraux dans la collecte, l’analyse et le stockage des données, en particulier les données concernant la santé personnelle, doivent être correctement résolus pour protéger la vie privée.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Bien que les capteurs à base de graphène aient reçu une attention considérable dans la surveillance de la santé et les applications biomédicales, il est crucial de considérer l’impact du graphène et de ses dérivés sur la santé humaine, tels que sa biocompatibilité, sa toxicité, ainsi que ses risques potentiels pour l’environnement avant que le graphène ne soit intégré à la peau humaine, en particulier lorsqu’il est implanté dans le corps humain. De nombreuses études ont été consacrées aux nanomatériaux à base de graphène (GBN). Cependant, il y a encore un manque de recherche systématique sur la santé humaine ou les effets environnementaux (Dasari Shareena et al., 2018).

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Cependant, il est encore trop tôt pour tirer des conclusions en raison de la rareté des données et du manque de compréhension des effets d’accumulation à long terme (Fadeel et al., 2018).

À lire : 
https://lilianeheldkhawam.com/2020/05/31/vos-donnees-biologiques-et-medicales-sont-lenjeu-et-ce-nest-pas-facultatif-vincent-held/

Méconnaissance de l’impact de l’oxyde de graphène sur la santé. Étude internationale

L’euphorie due à ce produit miracle peut se transformer un de ces jours en catastrophe aussi bien pour la santé humaine que pour celle de l’environnement. Une étude publiée à fin 2018 tirait la sonnette d’alarme:

« Le graphène et ses dérivés sont présentés comme des matériaux « miracles » avec de nombreuses applications dans différents secteurs de la société, de l’électronique au stockage d’énergie en passant par la médecine. L’exploitation croissante des matériaux à base de graphène (GBM) nécessite une évaluation complète de l’impact potentiel de ces matériaux sur la santé humaine et l’environnement. Ici, nous discutons de la synthèse et de la caractérisation des GBM ainsi que de l‘évaluation des risques humains et environnementaux des GBM à l’aide de systèmes modèles in vitro et in vivo dans le but de comprendre les propriétés qui sous-tendent les effets biologiques de ces matériaux ; tous les GBM ne se ressemblent pas et il est essentiel de démêler les relations structure-activité pour cette classe de matériaux. »

https://pubs.acs.org/doi/10.1021/acsnano.8b04758

Laboratoire fédéral d’essai des matériaux et de recherche 
https://www.admin.ch/gov/fr/accueil/documentation/communiques.msg-id-73908.html

En novembre 2018, ces scientifiques écrivaient que « La caractérisation des matériaux, à son tour, est un élément clé de l’évaluation des dangers. L’évaluation toxicologique des nanotubes de carbone en est un exemple. Il y a dix ans, il a été suggéré que les nanotubes de carbone présentent une pathogénicité « de type amiante » dans un modèle animal en ce sens que les nanotubes de carbone longs et rigides, mais pas courts ou enchevêtrés, ont provoqué la formation de granulomes et une inflammation après injection intrapéritonéale chez la souris. Nous comprenons maintenant que les nanotubes de carbone adhèrent dans une certaine mesure au paradigme dit de la fibre pathogène, et que certains types de nanotubes de carbone multiparois peuvent être considérés comme potentiellement cancérigènes pour l’homme. Cependant, d’autres membres de la même famille de matériaux se sont révélés non toxiques et peuvent même subir une dégradation, suggérant que tous les nanotubes de carbone ne ressemblent pas à l’amiante (examiné dans la réf). En fait, les nanotubes de carbone, s’ils sont purifiés de manière appropriée et modifiés en surface, offrent des perspectives prometteuses en nanomédecine, par exemple pour l’administration et/ou l’imagerie de médicaments ou de gènes. » 

https://pubs.acs.org/doi/10.1021/acsnano.8b04758

Quelques remarques finales de l’étude citée ci-dessus sont plus que fascinantes au vu des textes que nous aborderons plus bas dans cette publication. En voici quelques-unes:

  • Le présent aperçu de la littérature a montré que même si l’évaluation des dangers des GBM arrive à maturité, avec un nombre toujours croissant d’études portant sur l’impact potentiel des GBM sur les systèmes vivants, des lacunes dans les données subsistent, ce qui, par conséquent, empêche la prédiction de toxicité basée uniquement sur les propriétés matérielles des GBM.
  • Pour conclure, le battage médiatique qui suit inévitablement les progrès technologiques devrait être tempéré par une évaluation scientifique solide de l’impact potentiel sur la santé humaine et l’environnement afin d’assurer le développement sûr et durable de nouveaux produits et applications. La présente étude de la littérature peut peut-être servir de première étape vers une collecte systématique de données sur la sécurité ou la biocompatibilité des GBM.

L’oxyde de graphène dans le vaccin induit la mort cellulaire! Étude chinoise

Il y a un an, une étude chinoise portant le titre de « Progrès récents de l’oxyde de graphène en tant que vecteur potentiel de vaccin et adjuvant » a été publiée après avoir été transmise en février 2020. Un troublant just in time puisqu’elle arrive au moment du démarrage de la crise covidienne dont le vaccin pourra bénéficier de la technologie.

Encore plus intriguant, ils admettaient dans leur publication l’usage de l’oxyde de graphène en médecine. L’oxyde de graphène (GO), largement utilisé pour l’administration de biomolécules, excelle dans le chargement et l’administration d’antigènes et montre le potentiel d’activation du système immunitaire. Or dans la phrase suivante, on peut lire Cependant, GO s’agrège dans le liquide biologique et induit la mort cellulaire, et il présente également une faible biosolubilité et biocompatibilité. Plutôt effrayant non?

Des adjuvants et des transporteurs ont été ajoutés de manière appropriée à la formulation du vaccin pour améliorer l’immunogénicité de l’antigène et induire une immunité de longue durée. Cependant, il existe un besoin urgent de développer de nouveaux adjuvants tout usage car certains adjuvants approuvés pour un usage humain ont une fonctionnalité limitée. L’oxyde de graphène (GO), largement utilisé pour l’administration de biomolécules, excelle dans le chargement et l’administration d’antigènes et montre le potentiel d’activation du système immunitaire. Cependant, GO s’agrège dans le liquide biologique et induit la mort cellulaire, et il présente également une faible biosolubilité et biocompatibilité. Pour pallier ces limitations,divers protocoles de modification de surface ont été utilisés pour intégrer des substances compatibles aqueuses avec GO afin d’améliorer efficacement sa biocompatibilité.

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1742706120303305

Vous constaterez que hormis une personne pharmacienne, les auteurs chinois de ladite étude sont actifs à l’ École de médecine ou des matériaux de l’Université des sciences et technologies électroniques de Chine. Le profil de cette école de médecine est troublant et nous rappelle notre papier qui se demandait si la santé avait été transmise aux ingénieurs…
https://lilianeheldkhawam.com/2020/08/02/notre-sante-livree-aux-ingenieurs/comment-page-1/
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1742706120303305

L’étude espagnole qui montre que malgré toutes les mises en garde, les industriels envoient de l’oxyde de graphène dans le corps humain!

Voici une étude qui témoigne que l’oxyde de graphène est envoyé dans le corps humain par plusieurs voies: les masques, les écouvillons des PCR, et les vaccins. Ce produit toxique que nous pourrions qualifier de poison est non seulement présent dans les masques, mais aussi dans les écouvillons et dans les vaccins. Des chercheurs espagnols ont jeté un gros pavé dans la mare en apportant la preuve de cette présence inquiétante. La chose est édifiante, scandaleuse et très probablement criminelle. Il faut le dire et le faire savoir. Bref, la vidéo est sous-titrée en anglais.



[Ndlr : version doublée en français :]



Le biostatisticien Ricardo Delgado, le Dr José Luis Sevillano et l’équipe de chercheurs et de professeurs avec lesquels le site LA QUINTA COLUMNA ont mené leurs recherches ont confirmé la présence de nanoparticules d’oxyde de graphène dans les flacons de vaccination. Traduit et sous-titré par Orwell City (www.orwell.city).

Merci au site « Ciel voilé » qui nous a remis le document en espagnol.

deteccion-de-oxido-de-grafeno-en-suspension-acuosa.-informe-preliminar-1-dr.-pablo-campra-madrid

Les médias mainstream admettent enfin la présence du graphène dans les masques… pas encore dans les vaccins.

Si votre enfant ne supporte pas le port du masque, c’est dû au fait que celui-ci héberge très probablement des intrus indésirables qui portent le nom de nanoparticules d’oxyde de graphène. (Voir la vidéo ci-dessus). Il y a quelques semaines, les médias mainstream ont dû rendre compte de la présence problématique de nanoparticules d’oxyde de graphène dans certains masques testés. Et ces particules qui sont inhalées ne sont pas neutres en matière de santé. De fait, elles sont hautement dangereuses.

« Tout a commencé cette année au Canada, au Québec précisément, où 30 millions de ces masques FFP2 ont été distribués notamment dans les écoles. Les autorités constatent alors une multiplication de remontées de symptômes qui vont de difficultés à respirer à des irritations de la peau.

BFMTV.com

Fin mars, le ministère de la Santé décide de rappeler tous les masques en circulation qui ont été distribués et émet un avis radical. « Santé Canada conseille aux Canadiens de ne pas utiliser de masques faciaux contenant du graphène, car ils pourraient inhaler des particules de graphène, ce qui pourrait poser des risques pour la santé ».

En avril, un particulier lance même une action collective contre un distributeur. « Les masques en graphène ont été faussement présentés comme sûrs pour les humains, malgré de nombreuses connaissances contraires », peut-on lire dans le libellé de la poursuite déposée par le Groupe de Droit des Consommateurs, cité par Le Journal de Montréal. » 

Dans le cas de l’équipe espagnole on n’a analysé que certains masques. Mais voilà, il y a tous ceux qui ne l’ont pas été et qui continuent d’inonder la place publique, dont les écoles! Et plutôt que de faire retirer ces masques et de laisser les enfants respirer librement, on préfère palabrer sur la question. « Y-a-t-il un vrai risque pour la santé? La question est loin d’être tranchée. Comme tout nanomatériau, le graphène peut présenter des risques, surtout s’il est ingéré ou respiré. Mais on ne sait pas s’il y a un vrai risque d’inhalation par les humains à travers un masque. Les études sont encore en cours. » 

https://www.bfmtv.com/sante/faut-il-interdire-les-masques-ffp2-contenant-du-graphene_AN-202106020283.html

Les « normes qui entourent le graphène ont été établies pour un contexte d’utilisation classique du nanomatériau, c’est-à-dire installé à l’intérieur d’appareils électroniques, pas dans un masque qui est à proximité de la bouche et du nez d’êtres humains. »

https://www.bfmtv.com/sante/faut-il-interdire-les-masques-ffp2-contenant-du-graphene_AN-202106020283.html

Que les études prennent du temps n’est pas un problème, mais que des autorités sanitaires totalement débordées depuis un an ne sonnent pas l’arrêt du port du masque au nom du principe de précaution est un immense scandale!

Et alors que certains produits empoisonnent littéralement les citoyens, on nous tient des discours abracadabrants sur des molécules qui ont soigné depuis des de nombreuses décennies… Nous pensons évidemment aux antibiotiques, à l’Hydroxychloroquine et l’Ivermectine.

HeiQ Materials AG dépose un brevet conjointement avec l’École polytechnique de Zurich (ETHZ). But fabriquer des membranes de graphène

HeiQ, une entreprise zurichoise spécialisée dans les technologies qui rendent les tissus « intelligents », avait développé un traitement antiviral appelé Viroblock, que l’on peut appliquer sur des masques chirurgicaux, des blouses médicales ou des gants. Voici donc le masque qui détruit les virus. Et ce miracle de la technologie est présenté par la société HeiQ en tant qu’outil antiviral pouvant combattre entre autres le Covid-19. Il est donc plus qu’un outil de protection.

Et cette entreprise est associée à l’EPFZ (ETH) dans le cadre d’un brevet qui concerne la fabrication de membranes de graphène:  » La présente invention concerne un procédé de production de membranes poreuses (« trouées ») de graphène qui sont imperméables tout en étant hautement respirantes en raison de la transmission améliorée de la vapeur à travers les pores perforés à l’intérieur des couches de graphène ». Vous pouvez lire le brevet (ou pas) et découvrir l’association qui est faite avec les matériaux (cuivre, argent, etc.)… Et tout ces trésors incluant l’oxyde de graphène sont travaillés à l’échelle nanométrique.

Annexes

Le marché des masques traités anti-virus en plein boom grâce au Covid-19. La société HeiQ Materials AG.

Le port du masque n’est pas près d’être suspendu. Il fait partie de la nouvelle société en cours de transhumanisation.

https://lilianeheldkhawam.com/2020/08/23/vers-le-port-permanent-dun-masque-connecte-la-maltraitance-morale-de-nos-jeunes-en-question/
https://lilianeheldkhawam.com/2021/01/28/le-masque-premier-pas-vers-le-transhumanisme/comment-page-1/

Les investisseurs se régalent de cette innovation prometteuse de gros sous. De plus, les autorités sanitaires regardent ailleurs, et même vont jusqu’à financer… Un régal financier! 

https://resources.swissquote.com/sites/default/files/2021-02/swi_1_epaper_fr.pdf

Masques et tissus « intelligents » pour désactiver le Covid-19…

Le brevet n’étant pas disponible, il nous est impossible de dire si la société HEIQ, co-détentrice du brevet concernant le graphène (ci-dessus), fabrique ses masques en tissus intelligents avec ou sans graphène…

… et beaucoup d’autres virus

Vous trouverez dans cette vidéo la manière dont fonctionne l’une des inventions qui permet à ces tissus « intelligents » de combattre les virus. Des particules d’argent (nanoparticules ?) vont détruire les virus en les attirant d’abord (effet magnétique ?).