27/06/2023 (2023-06-27)
[Source : @Miniver]
René Quinton dans « Savants maudit, chercheurs exclus » par Pierre Lance
Pierre Lance : « Savants maudit, chercheurs exclus » Survivants illégaux et guérisons interdites au pays des « Droits de l’Homme »
Volume 1, 2, 3 et 4 en PDF gratuit :
https://jumpshare.com/b/UD0ZzdssJsbtTnGpebAS
Les 4 volumes aux éditions Tredaniel :
- https://www.editions-tredaniel.com/savants-maudits-chercheurs-exclus-t1-p-678.html
- https://www.editions-tredaniel.com/savants-maudits-chercheurs-exclus-t2-p-868.html
- https://www.editions-tredaniel.com/savants-maudits-chercheurs-exclus-t3-p-1052.html
- https://www.editions-tredaniel.com/savants-maudits-chercheurs-exclus-t4-p-3935.html
PDF Plasma marin de René Quinton :
https://www.atelierdumoi56.fr/Files/Other/Le%20plasma%20marin.pdf
René Quinton découvrit l’identité chimique de notre sang et de l’eau de mer. Il fut mondialement célèbre en 1906 pour avoir sauvé du choléra des milliers d’enfants.
Ce grand homme a sauvé plusieurs milliers de vies d’enfants et d’adultes en France et en Égypte au début du 20e siècle en utilisant un sérum (Plasma marin) qui porte aujourd’hui son nom.
Un des ouvrages les plus connus de René Quinton en PDF gratuit :
« L’eau de mer, milieu organique : constance du milieu marin originel, comme milieu vital des cellules, à travers la série animale. » C’est le livre fondateur de la théorie marine, publié en 1904.
Lien du PDF :
https://jumpshare.com/v/Vj3hFoaNUZwmz9GyTOdZ
Utilisation des sérums marins en hydrotomie percutanée
— Mémoire en défense de la méthode. Dr Vincent Reliquet, Janvier 2020 (De nombreux témoignages de patients dans la 3e partie de ce PDF)
Lien du PDF :
https://jumpshare.com/v/vvomF4ko7frgz9dlc84Q
« Il faut se rendre à l’évidence, incriminer l’utilisation des sérums marins injectés au XXIe siècle comme une technique “illusoire ou insuffisamment éprouvée relevant du charlatanisme”, article 39 du Code de Déontologie Médicale, devrait heurter d’abord ceux qui osent le prétendre. »
« Notre milieu organique est en osmose avec le milieu marin : l’eau de mer est en sympathie avec chaque infime partie de notre corps. »
René Quinton
« Il faut attribuer à une épaisse ignorance des réflexions comme celle qui me fut faite récemment, à savoir que les injections de sérum marin représentaient une vieille thérapeutique essoufflée,
André Mahé, 1962.
dépassée par les médications nouvelles, et parfaitement archaïque. C’est exactement comme si l’on disait que l’air et la nourriture sont aujourd’hui dépassés ! La mer et l’homme n’ont guère changé depuis Quinton, ni depuis Platon qui déclarait déjà : “L’eau de mer guérit tous les maux.” Confondre un agent naturel avec un médicament sous prétexte qu’on l’utilise en thérapeutique, c’est
vraiment la marque d’un esprit faux, ou du moins faussé, mais très gravement. »
« Il est donc permis de souhaiter que cette AMM injectable soit nouvellement accordée dans un avenir plus éclairé, car cette utilisation ouvre des perspectives médicales de haute tenue, non seulement en neuralthérapie, mais aussi face aux problématiques liées aux transfusions sanguines. René Quinton nous a montré la voie royale : Et cette reconnaissance d’un produit déjà pharmacologiquement injectable, comme légalement injectable, semble inéluctable à terme. »
Dr Nicolas Stelling, 2006
https://www.pressenza.com/fr/2021/06/rene-quinton-un-savant-oublie/
https://www.csbs-odemer.fr/content/13-rene-quinton
[Source : @minipiouf]
LE PLASMA MARIN DE RENÉ QUINTON
Les miracles du plasma marin.
Découvert par René Quinton,
un homme incroyable qui en une vie aura révolutionné l’aviation et la santé.
Après avoir soigné des milliers d’enfants d’une mort certaine lors de l’épidémie de choléra en 1832 grâce à son procédé de plasma marin, il sera comme tous les hommes de bien, effacé de l’histoire.
LE PLASMA DE QUINTON PEUT REMPLACER LE SANG POUR LES PERFUSIONS ET POURRAIT ÊTRE UN DES OUTILS MAJEURS POUR SOIGNER LES INJECTÉS.
Drainage, régénération du liquide interstitiel…
[Source : @Histoire-et-revelations]
QUINTON la présentation :
L’eau de Quinton est une solution liquide dont la composition se rapproche très fortement de celle de l’eau de mer. En effet, la mise au point de celle-ci résulte du travail de René Quinton (1866-1925), qui fit en 1897, le constat que notre plasma sanguin ainsi que les liquides qui entourent nos cellules avaient une composition très similaire a celle de l’eau de mer au niveau de la concentration en oligo-éléments et en minéraux exception faite de l’iode bien entendu.
Sources :
https://quinton.fr/
https://quinton.fr/produits/eau-de-quinton
Qui est le Dr Marc-François Payà ?
Docteur Marc-François Payà : médecin spécialiste pluridisciplinaire, spécialiste de la douleur, diplômé en acupuncture, en homéopathie, ostéopathie, auriculo-médecine, ancien Directeur de département universitaire, médecin consultant et expert auprès des tribunaux, orateur et conférencier, exerce en parallèle des fonctions de responsable scientifiques et anime des formations dans ses domaines d’expertise et en particulier la nutrition et le métabolisme.
Directeur des laboratoires Quinton.
Les Thèmes :
La découverte de L’eau Quinton
Qu’est-ce que c’est ?
Comment est-elle fabriquée ?
…
https://www.youtube.com/watch?v=BziFBwUUOxQ
[Source : csbs-odemer.fr]
TOUT SAVOIR SUR RENÉ QUINTON
René Quinton est un biologiste, naturaliste et physiologiste français, né le 15 décembre 1866 dans la commune de Chaumes-en-Brie de Marie Amyot et de Paul Quinton, médecin et maire de Chaumes. Il s’est éteint le 9 juillet 1925 à Paris à l’âge de 59 ans.
Après l’obtention de son baccalauréat de sciences et de lettres au lycée Chaptal à Paris, René Quinton, inspiré par Flaubert, se consacre pendant quelques années à la littérature en écrivant des romans et des pièces de théâtre. À 22 ans, il entreprend des voyages dans des pays du pourtour méditerranéen suite auxquels il revient à Paris pour faire des études en géologie, paléontologie et biologie au Museum d’histoire naturelle.
Tout a commencé avec une vipère
René Quinton était quelqu’un de très intrigué par le mystère des origines de la vie humaine. Un jour de 1895, en observant une vipère engourdie par le froid qu’il exposera par la suite à la chaleur, il trouve le fil rouge de sa pensée scientifique qui deviendra « la loi de la constance thermique ». Celle-ci stipule qu’il existe une température optimale pour que l’activité vitale cellulaire s’exprime au maximum. Son raisonnement est simple, si le reptile retrouve son activité normale sous l’effet de la chaleur, c’est qu’il s’agit d’une espèce apparue sur terre quand la température de celle-ci était élevée et constante.
En approfondissant sa pensée avec des recherches, René Quinton constate que la température dégagée par la terre au moment de la création de la vie était de 44 °C. Mais au fil du temps, avec le refroidissement progressif du globe terrestre à partir de ses pôles, de nouvelles espèces sont apparues avec un pouvoir calorifique qui permet d’augmenter et de réguler la température de l’organisme. Les espèces les plus anciennes, quant à elles, n’ont pas réussi à garder la température optimale. En étudiant ces deux groupes d’espèces selon leur milieu originel, René Quinton conclut que les premières cellules vivantes proviendraient de la mer.
René Quinton a poussé son raisonnement plus loin en examinant le représentant le plus récent et le plus élevé du règne animal : l’oiseau. À sa surprise, il découvre que ses cellules baignent dans un plasma sanguin qui, au point de vue minéral, est exactement le même que l’eau de mer. Cette identité du milieu intérieur à celle de l’eau de mer sera démontrée par René Quinton qui, après ses expériences, formule « la loi de la constance marine » :
« La vie animale, apparue à l’état de cellule dans les mers, tend à maintenir, pour son haut fonctionnement cellulaire, à travers la série zoologique, les cellules constitutives des organismes dans le milieu marin des origines. »
Création du plasma de Quinton
Sur la base de ses théories, René Quinton est persuadé que l’eau de mer contient tous les oligo-éléments nécessaires au corps humain pour lui assurer une vie cellulaire optimale. Il pousse alors ses recherches scientifiques en fixant un programme expérimental avec de l’eau de mer ramenée à l’isotonie organique, c’est-à-dire au taux de concentration des sels minéraux du milieu intérieur. Il ajoute donc cinq parties d’eau distillée pour deux parties d’eau de mer, mais il se demande si l’eau distillée ne ferait pas perdre quelques propriétés à l’eau de mer.
Après d’autres expériences, il trouve la solution qui permettra aux œufs d’oursins d’éclore et aux globules blancs de survivre : c’est une eau de source filtrée, « l’eau vivante » comme il l’appelait. Le plasma marin sera donc désormais de l’eau de mer additionnée à de l’eau de source filtrée. Il n’a jamais pensé à ce plasma comme un médicament, mais comme un fluide extracellulaire, exactement adapté aux besoins des cellules vivantes.
Un des ouvrages les plus connus de René Quinton est « L’eau de mer, milieu organique ». C’est le livre fondateur de la théorie marine, publié en 1904.
La fameuse expérience du chien
C’est en 1897, dans le laboratoire de Marey au Collège de France que René Quinton espère apporter la preuve de ce qu’il avance en présence de Marey et d’autres chercheurs.
Pendant huit heures on injecte à un chien de 10 kg, par voie intraveineuse, une quantité d’eau de mer de 10,4 kg, soit 104 % de son poids, sans inconvénient même mineur, l’élimination rénale étant parfaite.
Par la suite le chien a eu presque tout son sang prélevé par l’artère fémorale et il reste inerte, le réflexe de la cornée de l’œil ayant disparu. On lui injecte de l’eau de mer pendant onze minutes : le réflexe reparaît, le chien revient à la vie, se remet sur pied, le lendemain il trotte dans le laboratoire. Ce chien, rebaptisé « Sodium » mourra 5 ans plus tard, écrasé par un autobus.
La conclusion de René Quinton est sans appel : si le plasma marin a permis une reconstitution rapide du tissu sanguin, c’est qu’il a les mêmes propriétés physiologiques que celui des êtres vivants.
Ouverture des dispensaires marins
À la suite du succès de l’expérience précédente, René Quinton décide alors de reconduire l’essai, mais sur des sujets humains cette fois. De 1897 à 1904, il commence ses expérimentations dans des hôpitaux parisiens où on lui confie des cas désespérés, notamment un premier malade atteint de la typhoïde (maladie infectieuse et contagieuse, aussi transmise par l’eau et les aliments, entraînant fièvre et troubles digestifs). On lui injecte le plasma de Quinton, et dès le lendemain, le patient se sent déjà mieux et se nourrit avec appétit. Quelques jours plus tard, il est même totalement guéri. Il réitère sur un second cas, un patient suicidaire, qui confirme le succès thérapeutique du premier.
Les expérimentations connaissent du succès à chaque fois : les mourants, contre toute attente, sont sauvés. Ainsi, René Quinton ouvre des dispensaires, dont le premier dispensaire Quinton à Paris en 1907. Il en crée dans presque tous les quartiers de Paris, en province et à l’étranger (Angleterre, Belgique, Égypte, USA…). C’est ainsi que des milliers de vies, notamment d’enfants atteints de maladies infantiles, ont été sauvées au début du XX° siècle.
Un médecin, le docteur Jean JARRICOT, écrira en 1933, évoquant ces débuts de la cure marine : « Rien n’effacera en nous l’inoubliable vision : les mères découvrant sur leurs genoux, désespérées, leurs enfants mourants et Quinton, secret, silencieux, mais les lèvres frémissantes, et versant sur elles toute la pitié, toute l’éblouissante intelligence, toute l’impérieuse certitude dont peut être chargé un regard humain. »
Reconstitution de la masse sanguine
L’eau de mer a été employée avec succès chez certains grands blessés ou opérés pour remplacer la masse sanguine et sans problème de compatibilité avec les groupes sanguins. Ces expériences ne font pas stricto sensu partie de la méthode marine, mais elles ont corroboré les expériences initiales de René Quinton. Le Plasma de Quinton est également un adjuvant précieux lors de traitements visant surtout à remonter l’état général du malade (perte d’appétit, perte de poids, nausées…).
Le « protocole » de René Quinton
Son protocole est basé sur le fait de récupérer de l’eau de mer dans une zone où l’on trouve des marées importantes ce qui permet d’avoir une richesse naturelle en phytoplancton. Une microfiltration à froid pour pouvoir éliminer les polluants, les microorganismes pathogènes et les impuretés est fortement conseillée.
De plus, le plasma marin doit être conservé dans un récipient neutre qui ne modifiera pas et ne réagira pas avec le produit tel que le verre.
« Notre milieu organique est en osmose avec le milieu marin : l’eau de mer est en sympathie avec chaque infime partie de notre corps. » de René Quinton
[Source : fundacionrenequinton.org]
Qui était René Quinton
Quinton a basé sa théorie sur une prémisse universelle qui constitue le socle de sa thérapeutique : reconstruire avec l’Eau de Mer les cellules endommagées.
René Quinton a abordé plusieurs domaines de la connaissance. De formation humaniste et scientifique, il était considéré comme un sage. À travers ses œuvres, y compris les inédites, il a fait sienne cette maxime « Science de la sensibilité », c’est à dire, la conjugaison du matériel et du spirituel en un tout harmonieux.
Outre ses études dans les domaines de la biologie et de la physiologie, il fut philosophe, héros de guerre, mécène, promoteur de l’aviation, etc. Un enthousiaste de l’humanisme de son époque.
« Face au monde physique qui obéit à des lois stables, l’évolutionnisme nous avait habitués à voir la matière vivante comme une substance plastique modifiée par son environnement, s’adaptant pour survivre aux conditions variables de la terre », écrivait-il dans l’un de ses ouvrages. Cependant, en 1897, René Quinton formule un nouveau principe, qui, sans nier l’Évolution, montre l’objectif final poursuivi par la vie sous toutes ses formes. Ainsi, il découvre que la vie animale apparue dans la mer, en dépit des variations au fil du temps, tend à maintenir les conditions de ses origines. Au lieu d’obéir passivement à l’influence de l’environnement, la vie résiste à ces modifications. Les formes anatomiques changent pour permettre le maintien de la température et de la concentration saline de l’environnement marin des origines.
Finalement, l’être vivant — quelle que soit la place qu’il occupe dans l’échelle animale — demeure un véritable aquarium marin dont les cellules continuent à vivre dans les mêmes conditions aquatiques qui étaient celles des cellules primitives. La maladie apparaît comme une altération de cet environnement fondamental. Cette formulation conduisit René Quinton à baser sa théorie scientifique sur une prémisse universelle qui constitua sa thérapeutique de base : reconstruire la cellule endommagée en utilisant l’eau des océans, environnement vital dont la minéralisation est toujours identique à notre milieu interne.
Son œuvre culmine en 1904 lorsqu’il publie le livre « L’eau de Mer, milieu organique » qui pose des bases solides en démontrant scientifiquement les vertus thérapeutiques de l’eau de mer. Par exemple, il mit en évidence que « toute altération de la matrice extracellulaire altère la nutrition cellulaire ».
L’expérience
Il fallait mener des expériences afin de démontrer que l’eau de mer, réduite à l’isotonie, est identique au milieu interne humain.
En 1897, dans le laboratoire du professeur Marey au Collège de France, a lieu la première expérience : saigner complètement des chiens.
Pendant huit heures, par voie intraveineuse, sont injectés 10, 4 litres d’eau de mer -104 % du poids de l’animal — sans aucun inconvénient, l’élimination rénale est parfaite.
Un second chien est complètement vidé de son sang par l’artère fémorale. Il est à deux doigts de la mort, perdant le réflexe cornéen. On lui injecte de l’Eau de Mer pendant 11 minutes : le réflexe réapparaît, le chien revient à lui, il se lève et le lendemain il déambule dans tout le laboratoire. Baptisé « Sodium », il mourra 5 ans plus tard, écrasé par un tramway.
Entre 1887 et 1904, René Quinton applique son traitement marin et accumule des observations qui lui permettent de mettre au point une « méthode » conjointement à de jeunes médecins enthousiastes, à des Professeurs émérites et des Chefs de cliniques.
René Quinton débute sa thérapeutique dans les hôpitaux de Paris, où on lui permet de traiter des cas désespérés : un patient atteint de typhus en coma terminal dont la mort est prévue le jour même, un empoisonnement à l’acide oxalique, une syphilis, un homme atteint de cirrhose hépatique, une jeune femme vidée de son sang par accouchement…
L’eau de mer isotonique, alors appelée Plasma de Quinton, injectable, produit toujours des résultats inespérés : les moribonds sont sauvés dans de nombreux cas.
Afin de clore ses expériences, René Quinton passe à l’étude des globules blancs qui, par leur fragilité, sont difficiles à maintenir vivants en milieu artificiels. René Quinton fait porter son étude sur toutes les espèces : poissons, batraciens, reptiles, mammifères et oiseaux. Dans tous les cas, les globules blancs immergés dans du liquide marin continuent de présenter tous les signes d’une vie normale.
Dans une étude récente, le Dr. José Sempere, Professeur de l’Université d’Alicante (Espagne) du Département de Biotechnologie, conclut :
« je suis convaincu que les globules blancs se maintiennent plus longtemps dans la solution Quinton Isotonic, au-delà des 96 heures mesurées jusqu’ici. »
L’eau de mer contient la totalité des éléments du tableau de Mendeleïev et dans la même proportion que dans notre milieu interne…
La découverte
Au début de son étude, René Quinton découvrit que l’Eau de Mer contenait 15 éléments de la classification périodique de Mendeleïev ; en poursuivant ses recherches, il en ajouta 5 de plus, tout en ayant l’intuition qu’ils y seraient tous.
Et, en effet, avec les progrès des moyens d’analyse clinique, de plus en plus d’éléments sont découverts pour en arriver à la même conclusion pressentie par le biologiste : l’Eau de Mer contient l’ensemble des éléments du tableau de Mendeleïev et dans la même proportion que dans notre milieu interne composé de différents liquides organiques comme le liquide extracellulaire, le plasma sanguin, les larmes, le liquide céphalorachidien.
C’est Henry Doffin, docteur en biologie (Faculté des Sciences de Poitiers, France) qui fait cette découverte en 1950. Plus récemment, ce sont les recherches menées à l’université de Coral Gables (Miami-USA) qui utilisent une approche molaire par « spectrométrie de diffraction de neutrons » — la méthode la plus précise jusqu’à aujourd’hui—, pour vérifier la composition qualitative du TOTUM ionominéral de l’Eau de Mer et sa concentration, qui nous donnent 78 éléments BIO-DISPONIBLES dans l’Eau de Mer naturelle à température biologique.
À l’origine, l’Eau de Mer était moins concentrée en sels minéraux que de nos jours, c’est pour cette raison qu’il faut abaisser sa concentration avec de l’eau de source peu minéralisée.
Chaque litre d’Eau de Mer contient en moyenne 300 milligrammes de dérivés prébiotiques du carbone, comme les acides aminés, les sucres, les vitamines, etc. Les ions (présents à l’état liquide, absents à l’état solide) sont des éléments chimico-électroniques naturels, transformés par le phytoplancton et le zooplancton, en chaînes naturelles. Ils agissent par effet de synergie, dans une symbiose biologique avec notre organisme dont la formulation minérale est identique à l’Eau de Mer.
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