Quand l’EMA fait disparaître les effets secondaires des vaccins

21/01/2024 (2024-01-21)

[Source : covid-factuel.fr]

Par Gérard Maudrux

C’est bien connu, pour faire baisser la température, il suffit de casser le thermomètre. Pour qu’on ne parle plus des effets secondaires de tel ou tel traitement, il suffit de ne plus les enregistrer, voire d’effacer ceux qui ont déjà été enregistrés. Ainsi plus d’effets secondaires, plus de problèmes, le traitement devient sûr et efficace.

Catherine Theilhet est programmatrice retraitée de la mairie de Paris. Elle aime bien les chiffres et nous a déjà fait des billets (1, 2, 3), épluchant notamment les publications statistiques VAERS, EMA, et ANSM, interrogeant régulièrement ces institutions pour avoir plus de précisions. Elle conserve ces données pour mieux suivre et comparer, et vient de faire des découvertes concernant la base de données de l’EMA, Agence Européenne du Médicament. En comparant les chiffres de l’EMA de 2021 à 2023 avec ceux publiés au 1er janvier 2024, elle constate que des dizaines de milliers de cas, autrefois répertoriés, ont disparu dans les dernières publications.

Voici le fruit de ses découvertes, comparant les chiffres de 2021 à 2023 avec ceux publiés au 1er janvier 2024 : 

Pour la source EMA : https://www.adrreports.eu/fr/search_subst.html#

Ont disparu : 2 827 cas de surdité, 2 282 cas de cécité, 14 969 myocardites, 11 424 péricardites, 7 079 thromboses, 7 295 embolies, 10 566 aménorrhées, 11 541 dysménorrhées, 4 241 morts, etc. Et quand Catherine Theilhet interroge l’EMA sur les dossiers qui disparaissent (et parfois réapparaissent), on lui répond qu’une base de données est « vivante » et qu’il est donc normal qu’elle change… 

Des pays ne communiquent plus ces statistiques. D’autres, comme la Nouvelle-Zélande, mettent en prison ceux qui les communiquent, non parce qu’ils donneraient de fausses informations, mais parce qu’ils communiquent les bons chiffres officiels. On dissuade de faire des autopsies pour éviter de connaître les vraies causes, entretenant le doute. On décourage ceux qui veulent transmettre, on les montre du doigt pour qu’ils se sentent coupables en faisant bien leur travail. J’en connais qui ne transmettent plus pour être tranquilles. Il est anormal de voir toutes ces déclarations faites par les familles ou les patients, alors que toutes devraient être faites par les médecins, c’est leur rôle, pire, c’est leur devoir.

Le témoignage de la femme de Jean-Pierre Pernaud est édifiant et résume bien la situation : son médecin, avant de présenter ses condoléances, lui a tout de suite dit « surtout, vous dites bien qu’il est mort de son cancer », alors que les derniers bilans montraient une rémission complète et que depuis sa dernière dose, il faisait AVC sur AVC jusqu’à l’accident mortel.

Dans ces conditions, avec le peu déclaré dont une partie est effacée, ce qui est relaté, ce que nous voyons, n’est que la partie émergée d’un iceberg.

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⚠ Les points de vue exprimés dans l’article ne sont pas nécessairement partagés par les (autres) auteurs et contributeurs du site Nouveau Monde.

(3 commentaires)

  1. « Oui, il existe un lien entre vaccins ARNm et turbo cancers »
    Jean-Marc Sabatier, Docteur en Biologie Cellulaire et Microbiologie, HDR en Biochimie, Directeur de Recherche au CNRS explique :
    « Oui, il existe un lien entre les turbo cancers et les vaccins anti-Covid-19 (notamment à ARNm) : la suractivation du récepteur AT1R du SRA. Le SRA est impliqué dans la différenciation et la multiplication cellulaire, autrement dit il commande la multiplication des cellules. Or, le cancer correspond à une prolifération anarchique de cellules. »

    Il précise : « La protéine spike vaccinale en se fixant sur le récepteur ECA2 gêne la dégradation de l’angiotensine 2 qui, en excès, va suractiver sa cible cellulaire, le récepteur AT1R. Le récepteur AT1R est pro-tumoral, pro-angiogénique (il favorise la vascularisation des tumeurs), pro-inflammatoire, et pro-oxydant (il relargue les particules réactives de l’oxygène, radicaux libres ou précurseurs de radicaux libres et engendrent un stress oxydant délétère pour les cellules).
    Les substances anti-angiogéniques sont anti-tumorales, elles empêchent le développement des tumeurs.
    Il a été largement décrit que les antagonistes (bloqueurs) du récepteur AT1R ont une activité anti-tumorale contre les cancers du sein, de la prostate, des poumons, etc. Finalement, il existe bien un lien entre vaccins anti-Covid-19 et l’explosion des cas de turbo cancers. »

    https://infodujour.fr/sante/72954-y-a-t-il-un-lien-entre-les-turbo-cancers-et-les-vaccins-arnm
    21 janvier 2024

  2. Pour comprendre aussi les problématiques profonde avec ces vaxXxins (et ceux qui vont arriver), il y a cette excellent vidéo didactique du docteur zizi…

    un must-seen comme ils disent…

    https://www.youtube.com/embed/KF-3DHJQS-s

    ps : avoir une action pro-active à camoufler des résultats sera compliqué à défendre devant un tribunal, parce qu’ils est évident qu’il y aura un tribunal, pas forcément l’année prochaine mais avant la fin de la décennie. Et comme ces gens ne sont pas vieux, ils comparaîtrons en personne.

    C’est l’avantage des quarantenaires aux commandes, on a 40 ans pour les juger.

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