20/11/2021 (2021-11-20)
[Source : sudradio.fr]
[Illustration : Le Pr Luc Montagnier invité d’André Bercoff dans « Bercoff dans tous ses états” sur Sud Radio]
[Mise à Jour : voir plus bas]
Le Pr Luc Montagnier, biologiste, virologue et Prix Nobel de médecine en 2008, était l’invité d’André Bercoff le 17 novembre 2021 sur Sud Radio dans son rendez-vous du 12h-14h, « Bercoff dans tous ses états ».
Pour le professeur Luc Montagnier, « on est dans une situation très sérieuse« . « Pour parler de l’origine du virus« , explique-t-il, « on ne la connaît pas encore dans les détails mais on commence à avoir une idée« . « On peut penser qu’il y a des choses imprévues, non attendues par les chercheurs chinois« , juge le virologue. « C’est une affaire chinoise au départ. Ils ont, très probablement, travaillé sur des schémas provenant des virus des chauves-souris. Mais bien sûr, il y a des constructions nouvelles à partir de la chauve-souris qui permettent le passage à l’homme« , juge le biologiste.
« Il y a une grosse participation, au moins financière, américaine probablement aussi technique, dans cette affaire« , explique le professeur Luc Montagnier. « Au début on a un virus chinois et après on a autre chose. C’est-à-dire on a des nouveaux variants qui apparaissent à partir du virus chinois mais qui sont assez éloignés de sa structure de départ« , explique le virologue au micro de Sud Radio. « L’affaire n’est pas close et bien sûr, plus le temps passe, plus les gens parlent« . « Nous allons peut-être finir par savoir la vérité. ça va prendre du temps« , juge-t-il.
Pour le Pr. Luc Montagnier toute mort par un médicament doit être comptée sérieusement
« On est quand même dans une situation très sérieuse à l’heure actuelle. Parce que ces nouveaux variants donnent des effets secondaires« , explique le biologiste. « Même le virus de départ donne des effets secondaires, et des effets immédiats qui sont supportables si on peut dire mais ensuite, il provoque des myocardites, des effets cardio-vasculaires et qui tuent. Il y a des gens qui meurent de ces myocardites, un des effets du vaccin« , juge le professeur Luc Montagnier.
« Médecin-chercheur de formation, j’ai mon éthique« , explique le professeur Luc Montagnier. « Toute mort par un médicament, un vaccin, doit être comptée comme quelque chose de sérieux et quand il y a plusieurs morts, c’est vraiment un problème« , juge le virologue. « Je ne supporte pas l’idée qu’on dise que dans le rapport bénéfices-risques, vous avez des risques mais le rapport bénéfices est bien meilleur pour les autres« , explique le biologiste au micro de Sud Radio. « Ce n’est pas vrai parce que beaucoup de souffrance vient de cette conception« .
« Maintenant, vous avez l’effet des prions »
Aujourd’hui, « on en est à la troisième phase » pour le professeur Luc Montagnier. « La première phase, c’est les effets secondaires assez communs mais qui ne durent pas très longtemps mais qui donnent déjà des morts« , explique-t-il. « Vous avez ensuite les effets cardio-vasculaires« , continue le biologiste. « Et maintenant, vous avez l’effet des prions« , explique le professeur Luc Montagnier.
« Ce sont d’autres morts qui arrivent, et ces gens sont morts de la maladie de Creutzfeld Jacob« , explique le professeur Luc Montagnier au micro de Sud Radio. « Cette maladie est très rare, normalement, quand elle est sporadique, c’est un cas sur un million« , explique-t-il. « Là, c’est un groupe de 7 personnes indépendantes les unes des autres avec des médecins différents qui sont atteints de cette maladie. Le facteur commun est qu’ils ont été vaccinés par deux doses de vaccin Pfizer« , continue le virologue. « C’est à la deuxième dose que ça apparaît des petits signes et puis les signes généraux de la maladie apparaissent« . « On ne peut pas prouver que c’est causé par les vaccins« , explique-t-il, « mais il faut quand même regarder cette hypothèse« . « Parce que le seul facteur commun entre ces personnes c’est d’avoir été vacciné par le même vaccin« .
Cliquez ici pour écouter l’invité d’André Bercoff dans son intégralité en podcast.
Témoignage de Marc Doyer
[Mise à jour :]
[Source : francesoir.fr]
Pr Luc Montagnier : des cas de Creutzfeldt-Jakob liés au vaccin contre le Covid ?
Auteur(s): FranceSoir
C’est à nouveau pour endosser le costume de « lanceur d’alerte » que le professeur Luc Montagnier est de retour chez FranceSoir. La première fois que le prix Nobel de médecine 2008 s’était rendu sur notre plateau, il avait expliqué que le virus du Covid-19 était issu d’une manipulation en laboratoire. La seconde, il avait averti que les vaccins contre le Covid-19 auraient de graves effets secondaires. Deux hypothèses balayées d’un revers de main par l’intelligentsia à l’époque. Depuis, le temps, l’analyse et l’information ont donné du crédit à ces analyses.
Cette fois, le professeur de médecine, âgé de 89 ans mais « toujours actif intellectuellement » et prompt à donner son avis, surtout « s’il y a des vies humaines en jeu », alerte sur les liens entre les vaccins et des cas de maladies à prions.
« Mortelles et non curables »
De quoi s’agit-il exactement ? « Une maladie à prions est une protéine qui change de conformation. […] La pathologie [intervient] quand la protéine prend une forme anormale. C’est une sorte d’aplatissement de la structure, ce qu’on appelle des Beta sheets. À ce moment-là, cette structure devient insoluble dans les cellules et ne fonctionnent plus », détaille Luc Montagnier. Pour le dire plus simplement, les maladies à prions se caractérisent par une dégénérescence du système nerveux central. « Elles sont mortelles et non curables ».
La plus connue d’entre elles est celle de Creutzfeldt-Jakob, qui est attachée à un scandale sanitaire survenu en France au début des années 1980. « 120 enfants sont morts de cette maladie. Pourquoi ? Parce qu’ils avaient reçu une injection d’hypophyses prélevées chez des personnes âgées dans une maison de retraite. »
Mais quel est le lien avec les vaccins Covid-19 ? L’ancien chef du service Sida et rétrovirus à l’Institut Pasteur explique : « Grâce à une étude en Espagne, on a montré que l’aluminium présent dans les vaccins pouvait, par lui-même, induire des maladies à prions. » Or, il est fort probable qu’il y ait de l’aluminium dans les vaccins Covid. Au même titre que dans les vaccins contre la grippe. « Je me demande si les maladies à prions développées par certaines personnes âgées sont liées aux injections répétées contre la grippe, car on se vaccine contre la grippe tous les ans. » Accumulant ainsi de l’aluminium dans le cerveau.
« Il faut cesser le vaccin. Le plus tôt sera le mieux »
À l’heure actuelle, le professeur Montagnier affirme avoir détecté de façon formelle cinq cas de maladies à prions chez des personnes jeunes et en bonne santé, quelques semaines après avoir reçu des injections Pfizer. Et selon lui, il pourrait y en avoir « des dizaines et des dizaines ». « Il y a des gens qui décrivent le même phénomène que moi, mais ils disent : « Cela ne peut pas être le vaccin. » C’est une folie. C’est le vaccin. Il faut le cesser. Le plus tôt sera le mieux. On sauvera des vies. Surtout à l’heure où l’on parle de vacciner des enfants. »
Pourtant, Luc Montagnier est loin d’être un « anti-vax ». Pour lutter contre le Covid-19, il conseille d’utiliser le vaccin BCG (contre la tuberculose) – lequel n’est plus obligatoire en France depuis 2007 – car il stimule l’immunité cellulaire. « À Mayotte, où le BCG est toujours obligatoire, il y avait très peu de cas de Covid-19 jusqu’au moment où les autorités françaises ont décrété qu’il fallait utiliser les vaccins ARNm. À partir de ce moment-là, il y a eu un pic du nombre de cas. »
Le professeur compte envoyer le résultat de ses recherches à l’éditeur (rédacteur en chef) du BMJ (British Medical Journal), à travers une lettre cosignée avec un groupe de chercheurs. Seront-ils entendus, cette fois ?
Auteur(s): FranceSoir
⚠ Les points de vue exprimés dans l’article ne sont pas nécessairement partagés par les (autres) auteurs et contributeurs du site Nouveau Monde.