Oui, De Fontenay a raison : une femme à pénis est « contre-nature »

Par Lucien SA Oulahbib

Ce n’est pas l’homosexualité qui l’est (c’est une donnée de base), mais le fait de considérer qu’une femme (ou un homme) serait, en soi, une chose fabriquée « augmentée » voilà la réelle « contre-nature » ; aussi le fait d’attaquer Geneviève de Fontenay pour « homophobie » est un non-sens puisqu’elle veut préserver la biodiversité humaine en considérant qu’il ne faut pas mélanger sexe et orientation : on peut être femme et lesbienne, mais on ne peut pas être homme et décider d’être femme en s’augmentant de seins ou en cachant, transformant son organe ; à moins, et ce comme le propose de Fontenay, en participant à un autre concours, celui de Trans-France par exemple, mais par contre non même pas « Madame France » comme elle le propose pourtant si gentiment…

Il faut en fait sinon arrêter (ce qui semble pour l’instant difficile tant le Pouvoir veut en être le Souteneur) du moins déjà dénoncer, voire perturber par des actions de Salut Public, ce totalitarisme désuet qui fait que même des lesbiennes refusant des « femmes à pénis » se font attaquer à Bruxelles et ailleurs par les mêmes nervis qui sévissent partout, jusqu’à même défendre des djihadistes palestinistes au nom d’une « intersectionnalité » qui n’existe en réalité que dans leur intellect, kleenex, y déblatérant via les médias de grand chemin à leur disposition la démagogie néo-léniniste putride en mal de recyclage apocalyptique et devenu aujourd’hui le bras armé de la Secte SHAA qui veut sévir jusque dans nos sillons à même nos cellules avec leurs injections expérimentales présentes et à venir….

Nous sommes de plus en plus face à un vrai lavage de cerveau un bourrage de crâne inédit qui veut à nouveau nous faire prendre des vessies pour des lanternes, mais cette fois au cœur de l’intime en nous sommant de croire que des hommes en talons aiguilles seraient non seulement des femmes, mais les seules vraies femmes, le « vrai » impliquant pourtant à la fois l’exactitude biopsychologique qui ne réduit pas une femme à ses organes extérieurs puisque toute une disposition en interne la constitue différemment à un homme, et à la fois le vrai souligne le sens, la raison. Ceci fait qu’il ne s’agit pas seulement de biochimie, mais d’organisation spécifique se socialisant (Nuttin, 1980, p.166) en vue d’une mise en forme au sein d’un visage civilisationnel donné. C’est ce que ne peuvent guère comprendre les férus du scientisme, de ce mécanisme désuet propre au 18ème siècle nous réduisant à un buvard, un mélange qu’il suffirait d’imbiber de malaxer pour en faire la malléabilité nécessaire à des « liaisons dangereuses » fantasmées.

Ce sont en effet des « apprentis sorciers » stipulant qu’il suffirait de vouloir pour pouvoir, être « attiré » y compris par un enfant ferait alors office de « besoin » pour l’insérer dans son « champ » Borg, ou la malignité élevée au rang d’une éthique inversée et portée par toute une génération élevée cultivée et moissonnée dans cette optique.

C’est ce qu’il faudrait aujourd’hui limiter pour ne plus être ainsi défiguré.