Les vaccins contre la COVID modifient l’ADN humain. Et ce n’est plus vraiment une hypothèse…

17/03/2022 (2022-03-17)

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Laurent Aventin

Qu’il s’agisse des vaccins à ARNm (Pfizer, Moderna) ou à adénovirus (AstraZeneca, Janssen), la polémique sur les risques de modification du génome humain a été soulevée peu de temps après le début de la vaccination de masse en Occident. Le grand public n’étant globalement pas compétent en la matière, il suit les recommandations officielles qui affirment la non modification du génome humain par les vaccins, et ce à grand renfort d’information. Pourtant, une publication scientifique de 2022 vient de démontrer que la transcriptase inverse – mécanisme impliquant la pénétration et la programmation du noyau de nos cellules – provoquée par les vaccins, est une réalité.

La polémique ne date pas d’aujourd’hui ; en avril 2021, l’ANSM transmettait des informations incomplètes sur le fonctionnement des vaccins, par ailleurs dénoncés par Réinfo Covid :

« Les vaccins à vecteur adénovirus non réplicatifs (Vaccins Astra Zeneca et Janssen) sont des organismes génétiquement modifiés (OGM) de deux manières :

  • Des gènes essentiels à leur réplication ont été supprimés afin de les rendre non réplicatifs.
  • Plusieurs gènes ont été ajoutés : un gène promoteur de Cytomégalovirus (un autre virus), un fragment de gène de l’activateur tissulaire du plasminogène et enfin le gène de la protéine spike du Sars-Cov 2.

Ces gènes ont pour but d’augmenter la production et l’immunogénicité de la protéine Spike afin d’induire l’immunité contre le S Sars-Cov 2 ».

Le mécanisme des vaccins contre COVID

Selon le comité scientifique de Réinfo COVID, le schéma de l’ANSM (cf. ci-dessus) expliquant le mécanisme d’action de ces vaccins est incomplet et donc trompeur.

Sur le schéma précédent, l’adénovirus vaccinal génétiquement modifié pénètre le cytoplasme de la cellule et y déverse son génome modifié (étape 2 du schéma). Le noyau de la cellule qui contient l’ADN de la personne vaccinée est représenté à côté et semble bien séparé de cet ADN modifié de l’adénovirus. Est représentée ensuite (étape 3 du schéma), la production de la protéine spike à partir de cet ADN vaccinal toujours en dehors du noyau. Ceci est impossible ! […] car il manque sur le schéma fourni par l’ANSM l’étape de transcription qui s’effectue dans le noyau de la cellule du vacciné, c’est-à-dire la production d’un ARNm complémentaire à partir de l’ADN vaccinal génétiquement modifié.

Pour produire un ARNm, l’ADN de l’adénovirus vaccinal génétiquement modifié doit pénétrer dans le noyau des cellules de la personne vaccinée.

Ce schéma de l’ANSM a depuis été retravaillé et l’Agence a modifié ses commentaires en les ajustant pour les vaccins à ARNm et pour les vaccins à vecteur viral (adénovirus), ce qui est effectivement nécessaire pour faciliter la compréhension du mécanisme des différents vaccins. Ils conservent cependant la même conclusion pour les deux mécanismes : « Ni l’ARNm, ni l’ADN du vecteur viral ne modifient le génome de la cellule ».

AFP factuel – « grand pourvoyeur de la vérité » financé par l’Etat – explique que le vaccin a ARNm qui programme nos cellules, a pour but de synthétiser la protéine spike « étrangère (à notre organisme mais inoffensive ». Cette information est inexacte puisque le Salt Lake Institute – centre scientifique et historique de l’ARNm – affirme le contraire.

Plus loin, dans l’article AFP, on peut lire l’affirmation selon laquelle l’instruction génétique (portée par l’ARNm) ne peut pas modifier les gènes car dans le corps humain « le chemin génétique, c’est : l’ADN qui est transcrit (recopié, NDLR) en ARN. On ne voit jamais le chemin inverse », d’après le généticien français Axel Kahn.

A l’argument que la transcriptase inverse existe pour les rétrovirus du VIH et des spuma-virus, le Pr Lelièvre explique qu’ils ne retranscrivent que leur propre ARN et non d’autres ARN. Ainsi le dogme actuel en biologie moléculaire qui consiste à affirmer que le code génétique de l’ARN ne peut recoder l’ADN du noyau cellulaire, resterait inchangé.

Les découvertes récentes confirment la modification de l’ADN humain par les vaccins  

Pourtant, l’étude de Markus Alden et al. sur le vaccin de PfizerBioNtech (BNT162b2 ou Comirnaty) apporte des informations nouvelles. Après avoir constaté qu’il y a des effets hépatiques réversibles après inoculation du vaccin sur l’animal, les chercheurs ont vérifié in vitro si ces effets se vérifiaient chez l’homme, ce qui impliquerait une transcriptase inverse ou rétrotranscription. Après exposition aux cellules Huh7 humaines, ils confirment une rétrotranscription endogène et constatent des changements dans l’expression et la distribution de LINE-1.1 Ils ont également montré que l’ARNm du vaccin Pfizer est transcrit intracellulairement en ADN seulement 6 h après que les cellules humaines aient été exposées au vaccin. Ça va donc très vite.

Si cette équipe a travaillé sur ces mécanismes, c’est parce que la transcriptase inverse induite par les ARNm avait déjà été démontrée par une autre équipe. Celle-ci a découvert en 2021 que des copies d’ADN des séquences du Sars-CoV 2 peuvent être intégrées dans le génome des cellules humaines infectées et qu’il existe un mécanisme de transcription inverse et de rétroposition médié par le rétrotransposon LINE-1.

Mais il semble important que le grand public ne soit pas vraiment informé et que la vaccination ne soit pas contestée par des découvertes scientifiques. On comprend qu’une telle situation mettrait de nombreuses personnes en difficulté.

A l’occasion du Sommet mondial de la santé 2021 en novembre dernier, Stefan Oelrich, président de la division pharmaceutique de Bayer a déclaré « J’aime toujours dire : si nous avions fait un sondage il y a deux ans dans le public – seriez-vous prêt à prendre une thérapie génique ou cellulaire et à l’injecter dans votre corps ? – nous aurions probablement eu un taux de refus de 95 % », et d’ajouter : « Je pense que cette pandémie a ouvert les yeux de beaucoup de gens sur l’innovation ». Il s’agit malheureusement moins d’une prise de conscience que de mesures liberticides et coercitives qui ont obligé de nombreuses personnes à accepter une injection expérimentale. En revanche les laboratoires et les gouvernements sont parfaitement conscients de ce qui est programmé dans la formulation des vaccins contre Covid et qui n’apparait pas dans la composition de ces derniers.

La logique de cette politique transhumaniste que les principaux intéressés – les vaccinés -n’auraient jamais accepté s’il y avait eu un réel consentement libre et éclairé sur les produits inoculés et leurs effets sur l’organisme humain – est de façonner l’être humain, de le recréer. Il ne s’agit plus ici de soigner les gens, ni de les protéger contre une maladie dont on peut légitimement se demander si elle n’a pas été créée et répandue volontairement pour dérouler un programme ? Celui de l’élite mondialiste du Forum économique mondial (FEM) de Davos. « Dans l’annonce de l’initiative du Grand Reset, le FEM a également crédité la pandémie de Covid-19 de les mettre dans une position avantageuse pour marcher vers leurs objectifs révolutionnaires mondiaux ». Le meilleur moyen d’atteindre ses objectifs n’est-il pas de déterminer les conditions qui permettent de les atteindre ?

[Voir aussi :
Surprise : les cellules humaines peuvent finalement convertir l’ARN en ADN
La 1ère preuve que les segments d’ARN peuvent être réécrits dans l’ADN. Et ça change tout !
Les thérapies géniques à ARN messager ne sont pas des « vaccins » et peuvent modifier le génome humain ! MàJ]

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  1. [1] Le génome humain contient des éléments transposables actifs, comme LINE-1 (L1) et SINE. Ils se déplacent via un système de copier-coller utilisant un ARN intermédiaire et une transcriptase inverse. Leur déplacement aléatoire peut modifier le génome en engendrant des mutations et une large gamme de problèmes d’origine génétique.[]