Les racines nazies de l’UE et de l’OTAN

02/05/2023 (2023-05-02)

Adolf Heusinger : Chef des opérations de l’état-major de la Wehrmacht (l’armée du IIIᵉ Reich à partir du 21 mai 1935 et jusqu’à sa dissolution officielle en août 1946) – Président du Comité militaire de l’OTAN, 1961-1964.

Hans Speidel : Chef d’état-major du groupe d’armées «V» de Rommel. (officier dont la carrière se déroule dans l’armée de terre allemande au service des régimes politiques qui se succèdent alors : Empire allemand, république de Weimar, Troisième Reich. – 1957-1963, commandant de l’OTAN en Europe centrale.

Johann Steinhof : As de la Luftwaffe (armée de l’air) sur le front de l’Est Militaire allemand, as de la Seconde Guerre mondiale. Il est considéré par beaucoup comme un des plus efficaces chefs de la Luftwaffe, – 1971-1974, président du Comité militaire de l’OTAN.

Johann von Kleimanseg : Officier d’état-major général au sein du haut commandement dela Wehrmacht – 1967-1968 Commandant de l’OTAN en Europe centrale.

Ernst Ferber : Inspecteur du haut commandement de la Wehrmacht. – 1973-1975: Commandant de l’OTAN en Europe centrale.

Karl Schnell : Officier d’état-major général dans le corps de chars de la Wehrmacht – 1975-1977 : commandant de l’OTAN en Europe centrale.

Franz-Josef Schultze : Officier de la Luftwaffe, croix de chevalier. – 1977-1979 : Commandant de l’OTAN en Europe centrale.

Ferdinand von Saenger und Etterlin : Adjudant du haut commandement de la Wehrmacht 1979-1983 Commandant de l’OTAN en Europe centrale.


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[Source : Lucien Pons]

Par Serge FOURNIER

Sur L’UNION EUROPÉENNE DE BRUXELLES

1— Ce que vous aviez toujours voulu savoir, mais que personne n’osait vous dire !

Et donc sans grande surprise, les architectes principaux de l’Union Européenne de Bruxelles furent recrutés parmi les technocrates qui avaient déjà conçu les projets d’une Europe d’après guerre placée sous le contrôle de la coalition des nazis et du Cartel IG Farben et ses successeurs, Bayer, BASF et HOECHST.

En 1950, après avoir menti aux alliés concernant son passé de nazi, Hallstein devint conseiller du chancelier d’Allemagne de l’Ouest, Adenauer, et le principal coordinateur de sa politique étrangère. En raison de sa vaste expérience précédente concernant la planification d’une Europe placée sous la domination du Cartel et des nazis, il devint l’architecte principal de l’UE de Bruxelles.

Le 25 mars 1957, Hallstein fut l’un des 12 signataires du traité de Rome. Le document fondateur de l’UE de Bruxelles. En 1958, il fut nommé premier président de la Commission Européenne, un poste qu’il avait détenu pendant une décennie entière.

Nous les peuples de l’Europe, devons réaliser que la fondation de la Cour Européenne de justice, l’organe le plus élevé de L’UE de Bruxelles, aujourd’hui a été élaborée et est entrée en vigueur via des acteurs de la coalition des nazis et du Cartel, y compris par des membres affiliés au parti nazi. Les héritiers des architectes d’Auschwitz sont devenus les promoteurs principaux de « l’Union Européenne de Bruxelles ». Angela Merkel en 1992, et en 2009. Son mentor, Helmut Kohl, présenta la jeune Merkel comme étant « sa fille ».

Sarkozy et Merkel sont devenus les exécutants politique de la loi d’habilitation de Lisbonne ainsi que la tentative suivante du Cartel du pétrole et des médicaments pour conquérir et contrôler L’Europe, et à partir de là, le reste du monde.

2— Les Racines nazies de l’Union Européenne de Bruxelles

Depuis que leurs deux tentatives précédentes de conquête mondiale, les première et deuxième guerres mondiales avaient échoué, les acteurs du Cartel savaient que la seule façon dont une troisième tentative pourrait réussir, consisterait à ce que son implication dans les deux tentatives précédentes puisse être fondamentalement éliminée de la mémoire de l’humanité. Sinon, comment expliquez-vous que plus de soixante mille pages provenant du tribunal de Nuremberg contre le Cartel d’IG Farben aient été dissimulées pendant plus de six décennies dans les archives internationales ?

Alors que les acteurs militaires et politiques du Cartel durant la Seconde Guerre mondiale furent reconnus comme responsables de la mort et de la destruction qu’ils avaient causées, leurs maîtres économiques poursuivirent leurs efforts inlassables afin d’atteindre leur objectif ultime. Dans ce but, ils financèrent tout simplement la montée d’une nouvelle génération d’acteurs politiques dans les pays principaux.

Helmut Kohl, un ancien employé de chez BASF, fut promu afin de devenir chancelier d’Allemagne, un poste qu’il détint pendant 16 ans.

Pendant cette période, il dépensa des milliards de dollars provenant de l’argent des contribuables afin de financer la Construction de L’UE de Bruxelles. Angela Merkel, sa protégée politique, détient ce poste aujourd’hui. En parallèle en France, les héritiers des architectes d’Auschwitz amenèrent Nicolas Sarkozy au pouvoir. Après le rejet de l’UE de Bruxelles par les populations de France et des Pays-Bas en 2005, ces deux exécutants politiques du Cartel forcèrent les dirigeants du reste de l’Europe à signer la « loi d’habilitation » de Lisbonne.

3— Les populations de l’Europe. Ont-elles abandonné volontairement des siècles de démocratie ?

Pour le Cartel du pétrole et des médicaments, « l’UE de Bruxelles » est simplement une base de manœuvre à partir de laquelle il projette de conquérir le monde en utilisant la force politique, économique, et si cela s’avère nécessaire la force militaire. À cette fin, le Cartel est actuellement en train d’essayer d’exporter le concept antidémocratique de « l’UE de Bruxelles » vers d’autres régions du monde. L’Union africaine (ua) est déjà modelée d’après l’UE de Bruxelles avec, y compris, une « Commission de l’UA » !

Les acteurs politiques du Cartel, de façon trompeuse, font étalage de « l’UE de Bruxelles » comme un modèle de démocratie et de paix pour le 21e siècle. En partant de la simple portée de cette campagne de promotion mondiale, les populations du monde pourraient avoir l’impression que « l’UE de Bruxelles » fut approuvée par les peuples d’Europe au cours d’une élection démocratique, et que son corps politique reflète leur volonté.

Mais rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité. Les faits réels jettent une lumière révélatrice sur la nature fondamentalement antidémocratique de l’UE de Bruxelles-ce qui constitue un signe d’avertissement pour le monde : le seul pays où les citoyens furent autorisés à voter concernant le « traité de Lisbonne » la loi d’habilitation pour l’UE de Bruxelles fut l’Irlande, dont la population constitue moins de 1 % de la population totale de l’Europe. Et même ce vote fut le résultat d’un mépris pour la démocratie : en juin 2008, les citoyens d’Irlande avaient rejeté le concept de l’UE de Bruxelles par un non retentissant. Mais les acteurs politiques du Cartel à Bruxelles décidèrent d’ignorer ce vote. Ils soudoyèrent le gouvernement irlandais, afin qu’il tienne un second référendum et qu’il force le vote du oui, avec une quantité d’argent phénoménale canalisée depuis les acteurs du Cartel vers Dublin.

Plus de 99 % des populations d’Europe, qui comptent plus de 500 millions de personnes ont été privés du droit démocratique de voter par référendum concernant le traité de Lisbonne.

4— La planète est au bord d’une dictature globale, et de la troisième guerre mondiale.

L’histoire nous montre qu’il y a eu deux conditions préalables aux tentatives de conquête mondiale menées par le Cartel :

a— l’établissement d’une dictature dans le territoire à partir duquel cette conquête mondiale est lancée. Le traité de Lisbonne fournit la base juridique pour ceci.

b— la planification systématique d’actions militaires, comprenant une nouvelle guerre mondiale. La constitution d’une armée européenne, l’lorsqu’elle est combinée à des menaces ouvertes effectuées par les principaux acteurs politiques du Cartel afin d’utiliser des armes nucléaires, est une étape indubitable vers ceci.

Ainsi, le parallèle historique de la saisie du pouvoir par le Cartel du pétrole et des médicaments via L’UE de Bruxelles, est la prise de pouvoir du gouvernement allemand par les mêmes groupes d’intérêt il y a 75 ans. L’année 1933 est le parallèle de l’année 2009, où le Cartel du pétrole et des médicaments imposa sa « loi d’habilitation ».

L’année 1934 est le parallèle de l’année 2010, où la dictature montrera son véritable visage en soumettant les secteurs importants à sa domination. Le projet soutenu par Sarkozy et de Hollande pour un contrôle central de l’économie européenne n’est que le début.

À la lumière de ces faits, les populations d’Europe et du monde doivent réagir. Le succès de leurs efforts dépendra des conditions préalables suivantes :

c— la bonne analyse politique. Ce livre a été écrit pour la fournir.

d— La dissémination efficace de ces informations aux populations du monde.

e— L’organisation d’un mouvement de personnes qui se sont engagées à protéger la démocratie et la paix en Europe et dans le reste du monde.

Ce livre relate une histoire que de nombreux lecteurs pourraient dire que si l’information de portée historique capitale documentée ici était vraie, ils en auraient certainement entendu parler auparavant. Conscients de cela, nous en tant qu’auteurs, considérons qu’il est de notre responsabilité d’encourager nos lecteurs non seulement à lire ce livre, mais aussi de les encourager à visiter et étudier la source des documents.


1— Quelques extraits de ce livre

La plupart de ces documents pourraient avoir été obtenus par quiconque étant intéressé par le fait d’apprendre la vérité concernant les origines de « l’Union européenne de Bruxelles » et les rôles de ses « pères fondateurs » autodésignés. Le fait que le « discours de conquête » d’Hallstein était inconnu jusqu’à la publication de ce livre est tout simplement inexcusable.

Cette omission essentielle vous dit, à vous lecteurs, que soit vos dirigeants politiques ne sont pas informés sur Hallstein et les sombres racines de « l’Union Européenne de Bruxelles » liées à IG Farben ou, s’ils étaient au courant, qu’ils n’ont pas osé vous informer de ces faits.

Suite à la publication de ce livre, les dirigeants politiques de l’Europe ne peuvent plus se cacher derrière l’excuse qu’ils ne « savaient pas ». À présent, il dépendra de vous, lecteur, de confronter vos représentants politiques, grands et petits, aux faits historiques.

Nous devons tirer les leçons des erreurs du passé, éviter que l’histoire se répète, et aider à construire une nouvelle Europe démocratique.

Ce livre constitue également une occasion unique pour tous les politiciens et partis politiques qui ont été leurrés afin de soutenir l’UE de Bruxelles sans en connaître le fond ou sans en comprendre le véritable but. Ceci inclut les 27 chefs d’État qui ont signé le « traité de Lisbonne », et dont la majorité n’a pas compris que leurs signatures constituaient une « loi d’habilitation » ou « loi des pleins pouvoirs » pour que le Cartel et ses acteurs prennent le contrôle de l’Europe. Ces politiciens de ces partis politiques ont à présent la chance de faire demi-tour et de révoquer publiquement leur appui à un modèle européen qui a été construit sur des décennies de mensonges et de tromperies.

2— La démocratie se transforme en dictature. La façon dont l’Union Européenne est contrôlée par les intérêts industriels

L’UE de Bruxelles se présente au monde comme un brillant exemple de démocratie du 21e siècle. En réalité, cependant, rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité.

Dans une démocratie véritable, tout le pouvoir appartient au peuple. Le principe de séparation des pouvoirs entre les trois niveaux du gouvernement exécutif législatif et judiciaire établit, vérifie et équilibre afin de protéger contre les excès. Ce principe a été universellement accepté après que l’humanité se soit battue pendant des milliers d’années en faveur de cette valeur. En revanche, l’UE de Bruxelles ne possède pas ce principe fondamental de « séparation des pouvoirs ». De plus, les populations de l’Europe n’exercent de contrôle ni sur le pouvoir exécutif ni sur le processus législatif. Pire : le parlement qu’elles élisent ne possède pas, lui non plus, les moyens de contrôler efficacement ces branches du pouvoir.

Afin de cacher cette impuissance, l’article 225 surnommé « l’article feuille de vigne » fut inséré dans le « traité de Lisbonne. » Cette clause offre une possibilité pour le parlement européen « demande à la Commission de soumettre une proposition » pour la législation. La Commission, bien sûr, peut simplement refuser de le faire.

Œuvrant en dehors des principes démocratiques élémentaires, l’UE de Bruxelles par définition est une dictature. Le pouvoir que le peuple possédait afin de choisir son gouvernement a été transféré à des intérêts industriels.

3— La façon dont le Cartel essaie de contrôler l’Europe

L’UE de Bruxelles se présente à la face du monde comme une démocratie parlementaire, avec le Parlement européen qui joue un rôle décisif. Cependant, les décisions exécutives et l’élaboration de toutes les lois sont effectuées par la Commission européenne et son personnel de bureaucratie. Des carriéristes et bien payés élaborent les lois européennes au nom des intérêts industriels. En revanche, les 754 membres du Parlement européen se composent de politiciens provenant des 27 pays et qui ne possèdent aucun pouvoir de contrôle sur cette armée de bureaucrates. Le Parlement n’est à peine plus qu’une vitrine, dont le but est de présenter l’UE de Bruxelles aux peuples de l’Europe sous le masque d’une démocratie parlementaire.

4— Hallstein et le Projet « Terre brûlée »

Comment Hallstein a-t-il pu, avec son passé ténébreux lié à l’histoire des nazis et du Cartel, devenir l’architecte en chef de l’UE de Bruxelles, et le premier président de la Commission européenne ? La réponse à cette question est étonnamment simple : d’abord Hallstein, dans l’Allemagne d’après guerre, a dû s’assurer que ses nombreuses publications et présentations en tant que croisé de la conquête européenne des nazis et du Cartel, étaient détruites.

La page suivante reprend une impression provenant de la bibliothèque nationale allemande après avoir utilisé, pour une recherche, les mots-clés « Walter Hallstein » cette bibliothèque qui est la bibliothèque en ligne la plus complète de toute l’Allemagne énumère les publications suivantes rédigées par celui-ci.

De façon étonnante, en 1933 et 1945, durant le régime de terreur de la coalition des nazis et du Cartel, on ne peut trouver qu’une seule publication rédigée par Hallstein. Cette liste ridiculement courte d’une publication en 12 (!) ans mérite une explication en particulier si l’on tient compte du fait que, durant cette période, Hallstein était le doyen de la faculté de droit de deux grandes universités allemandes.

5— Il n’y a qu’une explication à ce fait

Hallstein et ses complices du Cartel ont essayé de s’assurer qu’aucun de ses discours et publications en tant que défenseur de la coalition des nazis du Cartel et de sa prise de pouvoir de l’Europe, n’aient survécu. Cette politique de la terre brûlée constituait une condition préalable pour l’ascension politique d’Hallstein, afin qu’il devienne le père fondateur de l’UE de Bruxelles.

6— Dévoiler un demi-siècle de tromperie

Si le rôle capital du Cartel qui se trouve derrière la Première et la Seconde Guerre mondiale avait été dénoncé par le passé, ces intérêts industriels n’auraient jamais eu la chance de lancer une autre tentative de conquête de l’Europe et du monde.

En tant que telle, la dissimulation du passé criminel du Cartel fut une condition préalable pour la construction de son « UE de Bruxelles. »

Dans les pages précédentes de ce livre, nous avons dévoilé la stratégie perfide du Cartel. La page suivante résume les faits essentiels : alors que les acteurs politiques et militaires du Cartel étaient condamnés à Nuremberg, ses acteurs juridiques et économiques étaient chargés de préparer et de mettre en application la troisième tentative de conquête européenne et mondiale du Cartel.

7— Le projet principal de la coalition de nazis et du Cartel : un plan directeur pour mener à l’Union européenne de Bruxelles

En 1957 à peine 18 ans après son « discours de conquête », Haslltein incorpora ce « principe de Leadership » dans les « traités de Rome », les documents fondateurs de l’Union européenne de Bruxelles.

La « Commission européenne » des bureaucrates engagés au nom du Cartel devint le nouveau « Leadership » dictatorial de l’État (du Cartel européen), et possédant un pouvoir inconditionnel et définitif dans toutes les décisions s’apparentant à l’architecture de cette communauté (européenne).

En 2009, 27 dirigeants politiques européens adoptèrent la « loi d’habilitation de Lisbonne », complétant ainsi les projets de conquête d’Hallstein. 70 après son discours en 1939 et faisant avancer la troisième tentative de conquête européenne du Cartel.

8— La tradition des symboles

En tant que récompenses pour avoir complété les missions du Cartel durant son premier mandat de 5 ans comme chef du poli-bureau, les acteurs du Cartel commandèrent, pour le « nouveau roi de l’Europe », un « château » approprié et un « personnel royal » se composant de plusieurs milliers de bureaucrates serviles.

La construction du bâtiment du Berlaymont qui, encore aujourd’hui, reste le quartier général de la « Commission européenne », commença en 1963 et marqua le début du second mandat de 5 ans d’Hallstein en tant que son chef.

Lorsque l’on regarde les plans de son futur château, Hallstein doit avoir été fou de joie : la forme du quartier général de la « Commission européenne » ressemble de façon frappante à l’emblème situé sur le badge qu’il porta avec fierté pendant de nombreuses années, et seulement deux décennies auparavant.

9— Les traités de l’Union européenne

Les tentatives du Cartel du pétrole et des médicaments visant à consolider son pouvoir politique sur l’Europe.

Dans l’arène politique, les années 1990 ainsi que la première décennie du 21e siècle virent le Cartel du Pétrole et des médicaments prendre des mesures de plus en plus ambitieuses afin de consolider son pouvoir politique sur l’Europe. Le but ultime étant la création d’un poli-bureau mondial afin de protéger le Cartel de la menace provenant des médecines naturelles, et afin d’assurer un monopole mondial de ce Cartel avec des médicaments brevetés. Les principales étapes de ce mouvement impliquèrent la signature du traité de Maastricht, en 1992 ; traité d’Amsterdam, en 1997 ; traité de Nice, en 2001 ; et du traité de Lisbonne, qui entra en vigueur en décembre 2009.

Il devrait être souligné que, pour chacun de ces traités, on ne donna aucune possibilité à la grande majorité des peuples d’Europe de rejeter les décisions de leurs gouvernements, décisions visant à supprimer les droits et libertés de ces peuples via les traités en question. Si l’Union européenne de Bruxelles était une véritable démocratie, bien sûr, tous les citoyens européens auraient d’abord eu le droit d’exprimer leur volonté par des référendums publics et, selon toute vraisemblance, ces traités n’auraient jamais été signés.

10— UN MONDE POUR LE PEUPLE ET PAR LES PEUPLES

Puisqu’il est évident que les représentants politiques d’un continent entier, l’Europe, ont échoué à protéger la démocratie, nous, les peuples du monde, devons prendre conscience de nos responsabilités et agir. Ce dont nous avons besoin à présent, c’est d’un mouvement mondial qui protégera les habitants de cette planète, aujourd’hui et à l’avenir, d’être sacrifiés sur l’autel des intérêts du Cartel du pétrole et des médicaments. L’essence même de ce mouvement consiste à protéger la santé et la vie de millions de personnes ; par conséquent, ce sera un « mouvement de vie ».

Ce livre fournit l’analyse historique expliquant la nécessité et l’urgence d’un tel mouvement. Les leçons d’histoire documentées dans ce livre mettront fin aux décennies de tromperies qui ont constitué la base du règne du Cartel du pétrole et des médicaments jusqu’à présent.

Ce livre montre que les efforts désespérés, effectués par le Cartel afin de consolider l’UE de Bruxelles et afin d’étendre son influence autour du globe, ne relèvent pas du hasard. Ils reflètent la peur des défenseurs du statu quo, peur selon laquelle ils pourraient perdre le contrôle politique et économique de notre planète. Des formes alternatives d’énergie menacent de mettre fin à la « tyrannie du pétrole ». De façon similaire, des approches efficaces de santé naturelle sont sur le point de mettre fin à la dépendance de l’humanité aux médicaments brevetés, chimiques et toxiques.

Les parties prenantes du statu quo ont pris conscience qu’elles ne peuvent plus préserver leurs intérêts économiques en démocratie. La seule façon dont leurs marchés — qui pèsent des milliards de dollars et qui comportent des technologies largement obsolètes — peuvent se maintenir consiste à avoir recours à des formes totalitaires de gouvernement. Donc, les tentatives du Cartel visant à prendre le pouvoir en Europe et dans le monde, comme cela est documenté dans ce livre, ne sont pas un signe de force, mais de désespoir.

FOURNIER Serge

Nota :

Les auteurs de ce livre sont : Paul Anthony Taylor, Aleksandra Niedzwiecki, Matthias Rath et August Kowalczyk.

Pour acheter ce livre intitulé « Les racines nazies de l’Union européenne » :

DR. Rath EDUCATION SERVICES B.V
Postbus 656 NL 6400 AR HEERLEN PAYS-BAS.

Ce livre est au prix de 12 euros, 80 plus 4 euros de frais de port.

  • Pour commander par fax : 0031-457-111-229.
  • Par téléphone : 0031-457-111-225.
  • e-mail : info@rath-eduserv.com

Ce livre parle de la Première et Deuxième Guerre mondiale, des camps de concentration et de la construction de l’Union européenne. 


[Source : memoiresdeguerre.com]

Opération Paperclip

L’opération Paperclip (originellement appelée « Opération Overcast ») fut menée à la fin de la Seconde Guerre mondiale par l’état-major de l’armée des États-Unis afin d’exfiltrer et de recruter près de 1 500 scientifiques allemands issus du complexe militaro-industriel de l’Allemagne nazie pour lutter contre l’URSS et récupérer les armes secrètes du Troisième Reich. Ces scientifiques effectuèrent des recherches dans divers domaines, notamment sur les armes chimiques (Zyklon B), sur l’usage des psychotropes, sur la conquête spatiale, sur les missiles balistiques et sur les armes à longue portée (bombes volantes V1 et V2).

Loin de les affecter à des postes subalternes, le département de la Défense des États-Unis leur confia la direction d’une part de ses programmes de recherches. Ils furent affectés aux bases de White Sands, dans le Nouveau-Mexique, et à Fort Bliss, au Texas. Grâce en partie à l’aide de ces scientifiques, l’avancée technologique des États-Unis fut considérable pendant la guerre froide. Elle est arrêtée en 1957, lorsque l’Allemagne de l’Ouest proteste auprès du gouvernement des États-Unis qui la dépouille de ses compétences scientifiques. L’opération Paperclip est rendue publique en 1973. 

Préambule

Avec l’entrée en guerre des États-Unis, est créé un camp d’internement à Fort Hunt près d’Alexandria en Virginie en 1942 pour interroger les prisonniers de guerre allemands ayant des connaissances techniques et scientifiques sur le complexe militaro-industriel allemand et ses systèmes d’armes perfectionnés tels les officiers de U-Boot, officiers de l’Afrika Korps ou scientifiques. Près de 3 400 détenus sont ainsi passés par Fort Hunt entre 1942 et 1946 ; 600 interrogateurs avaient pour mission de leur soutirer des informations, en particulier sur les avancées technologiques du Reich. Une partie de ceux-ci rejoindra la Joint Intelligence Objectives Agency chargée de l’opération Paperclip. En juillet 1945, un mémorandum confidentiel de l’état-major américain recommande que « ces esprits talentueux et rares, à la productivité intellectuelle hors du commun, soient placés à notre service », prédisant une « guerre totale » contre l’URSS d’ici 1952, anticipant donc la future confrontation entre les deux grands vainqueurs de la guerre. Une dizaine de scientifiques, jugés lors du procès des savants au sein des procès de Nuremberg, voient ainsi leurs peines atténuées, malgré leur évidente responsabilité dans certains crimes (à l’image de Theodor Benzinger). 

Des « rockets men » sont chargés d’aller récupérer, sur leurs confidences, leurs matériel, plans, machines et formules encore enfouis dans leurs laboratoires en Allemagne, et de les expédier aux États-Unis. Plusieurs oppositions se sont exprimées au nom du respect de la démocratie et de l’éthique, notamment du New York Times, de l’ancienne Première dame Eleanor Roosevelt, du scientifique Albert Einstein ou encore du docteur Léopold Alexander, un médecin juif d’origine autrichienne exilé aux États-Unis en 1933. La société américaine ignore toutefois ces opérations jusqu’à leur révélation dans les années 1970. Le président Harry Truman, mis tardivement dans la confidence, décide de médiatiser uniquement leurs inventions « utiles » dans la vie quotidienne : « la stérilisation des jus de fruits et du beurre, les collants féminins qui ne glissent plus, les thermomètres auriculaires », etc. Outre les avancées considérables que ces savants ont apportées à l’armée américaine en ce qui concerne son programme balistique, ceux-ci ont également mis au point des combinaisons anti-G pour les pilotes de chasse (à l’origine de cette découverte, le scientifique Sigmund Rascher avait immergé des déportés du camp de Dachau, nus dans de l’eau glaciale afin de tester leur résistance). 

Quelques scientifiques et responsables allemands

Photo des membres de l’équipe de Werner Von Braun à Fort Bliss en 1946.

Opérations parallèles à l’Est, en Europe, en Argentine

L’Union soviétique chercha aussi à récupérer le savoir des spécialistes allemands (surtout pour les moteurs d’avions et de fusées) encore présents sur le territoire qu’elle occupait. Ce fut le Département 7 (opérations scientifiques) qui fut chargé de l’opération. Tout d’abord, les personnels furent regroupés et purent continuer leurs recherches. Au bout d’un certain temps, ils furent tous emmenés avec leurs familles dans le cadre d’un déménagement surprise dans plusieurs villes d’Union soviétique où tout avait été préparé pour les recevoir. L’opération Alsos permit l’exploitation d’une installations atomiques allemandes, du savoir intellectuel associé, des ressources matérielles et du personnel scientifique au profit du projet de bombe atomique soviétique. 

Ils furent cependant renvoyés en République démocratique allemande à partir de 1952, lorsque les spécialistes russes qui les entouraient eurent rattrapé leur retard technologique. Le Royaume-Uni et la France menèrent des opérations similaires avec des moyens plus limités pour récupérer le savoir technologique de l’Allemagne. Par exemple, plusieurs installations d’essais aéronautiques furent démontées en Allemagne et reconstruites en France (dont, par exemple, la soufflerie S1MA de Modane, encore unique au monde). En Normandie à Vernon (Eure), au Laboratoire de recherches balistiques et aérodynamiques créé en 1946, une soixantaine de techniciens et ingénieurs allemands issus de la base militaire de Peenemünde, installés avec femmes et enfants dans une cité provisoire, le Buschdorf, travaillèrent à la mise au point des premiers moteurs à réaction de la chasse française (SNECMA Atar), du premier Airbus et des premières fusées françaises. 

De même, le premier hélicoptère construit dans l’usine devenue plus tard Eurocopter à Marignane, le SNCASE SE.3000, était une évolution d’un modèle récupéré en Allemagne, le Focke-Achgelis Fa 223 Drachen. L’Argentine fut aussi dans la course et ses services secrets proposèrent à partir de 1944 à des ingénieurs allemands comme Kurt Tank, le concepteur du Focke-Wulf Fw 190, de travailler dans son industrie aéronautique. Quand le président Juan Perón perdit le pouvoir en 1955, l’équipe des anciens de Focke-Wulf se dispersa, beaucoup partant aux États-Unis ou en Inde. Tardifs, ces départs pour les États-Unis seraient les premiers signes du phénomène de la fuite des cerveaux. 

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