(3 commentaires)

  1. il a réussie à faire passé la réforme des retraites « la motion de censure refusé par la NUPS »il a réussie a être président grâce à la Nups

  2. Il existe cependant quelques questions par rapport à son exposé.
    Est-on obligé de s’en tenir à un objectif politique tel que faire « prospérer » un pays si l’on veut créer un nouveau monde qui parte sur des bases plus saines ? Et prospérer dans quels domaines ? Économiquement ? Industriellement ? Matériellement ?… Tout cela du domaine de l’avoir. Et l’aspect humain ? L’être ? La conscience ?
    Pourquoi mettre seulement l’accent sur l’Humilité dans le message christique quand le fondement de l’enseignement du Christ inclut aussi l’Amour, le Pardon et la Charité (la capacité à donner sans rien attendre en retour, et pas seulement sur le plan purement matériel, sachant que l’on peut aussi notamment donner de son temps pour écouter l’autre ou pour l’accompagner sur son chemin) ?
    Pourquoi pratiquement justifier que la fin justifie les moyens, que l’on peut se comporter en « fripouille » sous le prétexte que l’on est tous pécheurs ? Si nul n’est parfait en ce bas monde, est-ce une raison suffisante pour ne pas chercher à agir non pas seulement en fonction de buts à atteindre, même sous prétexte d’un bien ou d’une prospérité collectifs, mais aussi et surtout selon la règle d’or : « ne pas faire à autrui ce que l’on ne voudrait pas que l’on nous fasse » ? Car c’est aussi sous de telles excuses politiques que celle de la prospérité, de supposés objectifs nobles comme celui de la sauvegarde du groupe que les élites mondialistes nous ont en réalité confinés, muselés, séparés les uns des autres et même piqués.
    S’il est entendu que le Christ s’est opposé aux pharisiens victimes de la lettre au détriment de l’esprit, ne les encourageait-il pas aussi à aimer leur prochain comme eux-mêmes, ce qui inclut le laisser libre et arbitre de son destin comme nous-mêmes aimons l’être ?
    Pourquoi chercher encore et toujours à réformer un système qui n’a d’autres fins que contrôler au contraire les actions des individus et des groupes, alors que miser sur la conscience, sur le sens moral et sur celui de la responsabilité individuelle face aux autres et au monde permettrait l’établissement de la souveraineté des individus et des divers groupes qu’ils composent ? Car le « bien » n’est pas tant la capacité à suivre des règles établies par d’autres individus que celle de sentir de manière innée ce qui va dans le sens de la création naturelle.

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