Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies

03/09/2024 (2020-12-09)

[Traduction de la table des matières et d’extraits du livre The Contagion Myth
par Thomas S. Cowan, MD, et Sally Fallon Morell.]

Table des matières

PRÉFACE
INTRODUCTION

Partie 1 : EXPOSER LA THÉORIE DU GERME

CHAPITRE 1 : CONTAGION
La balle de ping-pong et le mur.
Les postulats de Koch.
Les postulats de Rivers.
Louis Pasteur et comment il a triché.
CHAPITRE 2 : ÉLECTRICITÉ ET MALADIE
Premières expériences électriques.
Électrification mondiale et grippe.
La radio mondiale et la grippe espagnole.
La grippe espagnole n’était pas contagieuse.
Téléphones portables et augmentation de la mortalité.
La mise en œuvre de la 5G et la propagation de la Covid-19.
Symptômes de sensibilité électrique.
Preuve de dommages causés par la technologie des ondes millimétriques.
CHAPITRE 3 : PANDÉMIES
Les comètes et la peste noire.
Poisons d’insectes et toxines environnementales.
Le Dr Charles Campbell résout l’énigme de la variole.
Chauves-souris contre les moustiques.
Robert Koch sur la tuberculose et comment il a triché.
Les observations du Dr Weston Price sur la tuberculose.
La polio et le DDT.
Paralysie induite par le vaccin.
Maladies amérindiennes.
Stefan Lanka et le virus de la rougeole.
CHAPITRE 4 : DU SIDA AU COVID
De la guerre contre le cancer à la guerre contre le sida.
Les vraies causes du SIDA.
AZT pour les patients atteints du SIDA.
Épidémie de Covid à Wuhan.
La recherche chinoise ne trouve pas de virus.
CHAPITRE 5 : TESTER L’ARNAQUE
Le monde des tests de coronavirus d’Alice-au-Pays des Merveilles.
L’histoire de Stefan Lanka.
L’échec de la chasse au coronavirus.
Le test PCR par rapport à l’étalon-or.
Tests d’anticorps.
CHAPITRE 6 : EXOSOMES
Louis Pasteur et la théorie de la contagion.
Darwinisme social.
Microscopes et germes.
Les exosomes sont des virus.
La peur et le stress produisent des exosomes.
Nature une entreprise coopérative.
CHAPITRE 7 : RÉSONANCE
Virologie et bifurcation.
La nature de la vie.
La découverte de la résonance.
Résonance et maladies infantiles.
Résonance et évolution.

Partie 2 : QU’EST-CE QUI CAUSE LA MALADIE?

CHAPITRE 8 : L’EAU
Le travail de Gerald Pollack et Gilbert Ling.
Les quatre phases de l’eau.
L’eau et les processus électriques dans la cellule.
Les caractéristiques de l’eau vivifiante.
CHAPITRE 9 : ALIMENTATION
Les huiles végétales.
Graisses animales et intégrité de la membrane cellulaire.
La 5G et la carence en niacine.
Le transport des aliments du commerce moderne.
Régimes à base de plantes.
Lait cru.
Bouillon d’os, aliments fermentés.
Sel.
Le four à micro-ondes.
CHAPITRE 10 : TOXINES
Toxines dans le monde antique.
Toxines modernes.
Toxines dans les aliments.
Médicaments modernes.
Glyphosate et biocarburants.
L’âge de l’aluminium.
Toxines dans les vaccins.
CHAPITRE 11 : L’ESPRIT, LE CORPS ET LE RÔLE DE LA PEUR
La toxine la plus répandue de l’ère moderne.
Créer notre monde à partir de notre conscience.
Comment la peur et les mensonges mènent à la maladie.

Partie 3: CHOIX

CHAPITRE 12 : QUESTION DE COVID
Les chiffres – Covid est-il sous-estimé ou surestimé ?
Symptômes alarmants.
Traitement.
Masques.
Distanciation sociale.
5G et l’apparition de contagion.
CHAPITRE 13 : UN VACCIN CONTRE LE COVID-19
Jenner et le vaccin contre la variole.
Pasteur et le vaccin antirabique.
La doctrine de l’immunité.
Fabriquer des vaccins modernes.
Problèmes avec le vaccin.
Une nouvelle étiquette.
Nettoyer l’électro-smog.
CHAPITRE 14 : 5G ET L’AVENIR DE L’HUMANITÉ
Qu’est-ce que l’homme ?
La 5G et l’avenir de la Terre.

ÉPILOGUE
ANNEXE A : EAU
ANNEXE B : BIO-GÉOMÉTRIE ET ATTÉNUATION DES CEM
ANNEXE C : QUE MANGER ?
Notes de fin
Remerciements
Autres livres des auteurs
Index


Extraits

[Note : les numérotations correspondant aux notes de fin de livre ont été retirées.]

Les postulats de Koch sont les suivants :

  1. Le micro-organisme doit être trouvé en abondance dans tous les organismes souffrant de la maladie, mais pas dans les organismes sains.
  2. Le micro-organisme doit être isolé d’un organisme malade et cultivé dans une culture pure.
  3. Le micro-organisme cultivé devrait provoquer des maladies lorsqu’il est introduit dans un organisme sain.
  4. Le micro-organisme doit être isolé de nouveau de l’hôte expérimental maintenant malade qui a reçu l’inoculation des micro-organismes et identifié comme étant identique à l’agent causal spécifique d’origine.

Si les quatre conditions sont remplies, vous avez prouvé la cause infectieuse d’un ensemble spécifique de symptômes. C’est la seule façon de prouver la causalité. Fait intéressant, même Koch n’a pas pu trouver de preuve de contagion en utilisant ses postulats. Il a abandonné l’exigence du premier postulat lorsqu’il a découvert des porteurs du choléra et de la fièvre typhoïde qui ne sont pas tombés malades. En fait, les bactériologistes et virologues estiment aujourd’hui que les postulats sensés et logiques de Koch « sont reconnus comme largement obsolètes par les épidémiologistes depuis les années 1950. »

Les postulats de Koch concernent les bactéries et non les virus, qui sont environ mille fois plus petits. À la fin du XIXe siècle, la première preuve de l’existence de ces minuscules particules est venue d’expériences avec des filtres qui avaient des pores suffisamment petits pour retenir les bactéries et laisser passer d’autres particules.

En 1937, Thomas Rivers a modifié les postulats de Koch afin de déterminer la nature infectieuse des virus. Les postulats de Rivers sont les suivants :

  1. Le virus peut être isolé des hôtes malades.
  2. Le virus peut être cultivé dans les cellules hôtes.
  3. Preuve de filtrabilité — le virus peut être filtré à partir d’un milieu qui contient également des bactéries.
  4. Le virus filtré produira une maladie comparable lorsque le virus cultivé est utilisé pour infecter des animaux de laboratoire.
  5. Le virus peut être isolé de nouveau de l’animal de laboratoire infecté.
  6. Une réponse immunitaire spécifique au virus peut être détectée.

Veuillez noter que Rivers abandonne le premier postulat de Koch — c’est parce que de nombreuses personnes souffrant d’une maladie « virale » n’abritent pas le micro-organisme incriminé. Même si le premier postulat de Koch n’a pas été établi, les chercheurs n’ont pas été en mesure de prouver qu’un virus spécifique cause une maladie spécifique en utilisant les postulats de Rivers. Une étude affirme que les postulats de Rivers ont été satisfaits pour le SRAS, considéré comme une maladie virale, mais un examen attentif de cet article démontre qu’aucun des postulats n’a été satisfait.


Imaginez un cas dans lequel certaines personnes qui boivent le lait d’une certaine vache développent une diarrhée abondante et sanglante. Votre travail consiste à trouver la cause du problème. Vous vous demandez s’il y a un agent transmissible dans le lait qui est consommé par les malheureux, ce qui les rend malades. Cela semble parfaitement raisonnable jusqu’à présent. Vous examinez ensuite le lait sous l’appareil de microscope nouvellement inventé et trouvez une bactérie dans le lait. Vous pouvez dire par son apparence qu’elle est différente des bactéries habituelles que l’on trouve dans le lait. Vous examinez attentivement le lait et découvrez que la plupart des personnes atteintes de diarrhée sanglante, sinon toutes, ont en fait bu ce lait. Vous examinez ensuite le lait consommé par les personnes qui n’ont pas développé de diarrhée et vous constatez qu’aucun des échantillons de lait ne contient cette bactérie particulière. Vous nommez la bactérie « listeria » d’après un collègue scientifique. Ensuite (…) vous purifiez les bactéries, afin qu’il ne reste plus rien du lait. Vous donnez cette culture bactérienne purifiée à une personne qui développe alors une diarrhée sanglante. L’argument décisif est que vous trouvez ensuite ces mêmes bactéries dans leurs selles. Affaire classée. Infection prouvée.

Pasteur a fait ce type d’expérience pendant quarante ans. Il a trouvé des malades, prétendu avoir isolé une bactérie, donné la culture pure à des animaux souvent en l’injectant dans leur cerveau et les a rendus malades.

(…)

N’est-il pas possible que les toxines dans le lait peut-être parce que la vache n’est pas bien nourrie et ne peut pas facilement se débarrasser des toxines expliquent la présence de listeria (qui est toujours présente dans notre corps, avec des milliards d’autres bactéries et particules appelées virus) ? La listeria est simplement en train de biodégrader les toxines qui prolifèrent en raison de l’état malsain du lait.

La question centrale est alors de savoir comment prouver que la listeria, et non quelque chose de toxique dans le lait, est à l’origine de la diarrhée ? (…) Nourrir une personne en bonne santé avec du lait, (…) cela ne prouve rien. Vous devez isoler (…) la listeria et nourrir la personne ou l’animal en bonne santé uniquement avec [cette bactérie] pour voir ce qui se passe. C’est ce que Pasteur prétend avoir fait dans ses papiers.

Pasteur remit ses cahiers de laboratoire à ses héritiers à condition de ne jamais les rendre publics. Cependant, son petit-fils, Louis Pasteur Vallery-Radot, qui ne se souciait apparemment pas beaucoup de Pasteur, fit don des cahiers à la bibliothèque nationale française, qui les publia. En 1914, le professeur Gerard Geison de l’Université de Princeton a publié une analyse de ces cahiers, qui a révélé que Pasteur avait commis une fraude massive dans toutes ses études. Par exemple, lorsqu’il a dit qu’il avait injecté des spores virulentes d’anthrax dans des animaux vaccinés et non vaccinés, il pouvait clamer le fait que les animaux non vaccinés étaient morts, mais c’était parce qu’il avait également injecté des poisons aux animaux non vaccinés.

Dans les cahiers, Pasteur déclare sans équivoque qu’il était incapable de transférer la maladie avec une culture pure de bactéries (il n’était évidemment pas capable de purifier les virus à ce moment-là.) En fait, le seul moyen de transférer la maladie était d’insérer le tissu infecté entier dans un autre animal (il injectait parfois le cerveau broyé d’un animal dans le cerveau d’un autre animal pour « prouver » la contagion) ou de recourir à l’ajout de poisons à sa culture, qui, selon lui, provoqueraient des symptômes chez les receveurs.

Il a admis que tout l’effort pour prouver la contagion était un échec, conduisant à sa célèbre confession sur son lit de mort : « Le germe n’est rien; le terrain est tout ». Dans ce cas, le terrain fait référence à l’état de l’animal ou de la personne et du fait que l’animal ou la personne a été soumis au poison.

Depuis l’époque de Pasteur, personne n’a démontré expérimentalement la transmissibilité de la maladie avec des cultures pures de bactéries ou de virus.


Avec la découverte de la nature électrique du soleil, les scientifiques ont fait des observations intéressantes. La période 1645-1715 est celle que les astronomes appellent le minimum de Maunder, lorsque le soleil était calme. Les astronomes n’ont observé aucune tache solaire pendant cette période et les aurores boréales étaient inexistantes. En 1715, les taches solaires réapparurent, tout comme les aurores boréales. L’activité des taches solaires a ensuite augmenté, atteignant un sommet en 1727. En 1728, la grippe est apparue par vagues sur tous les continents. Les activités des taches solaires sont devenues plus violentes jusqu’à leur pic en 1738, lorsque les médecins ont signalé la grippe chez l’homme et les animaux (y compris les chiens, les chevaux et les oiseaux, en particulier les moineaux). Selon certaines estimations, deux millions de personnes ont péri au cours de la pandémie de dix ans.

Ces faits et d’autres sur la relation entre la grippe et les perturbations électriques proviennent d’un livre remarquable, The Invisible Rainbow [L’arc-en-ciel invisible] par Arthur Firstenberg. Firstenberg raconte l’histoire de l’électricité aux États-Unis et dans le monde, et les épidémies de maladie qui ont accompagné chaque pas vers une plus grande électrification. La première étape consistait à installer des lignes télégraphiques. En 1875, celles-ci formaient une toile d’araignée sur la terre totalisant sept cent mille miles, avec suffisamment de fil de cuivre pour encercler le globe près de trente fois. Avec elle est venue une nouvelle maladie appelée neurasthénie.

Comme ceux qui souffrent aujourd’hui de syndrome de fatigue », les patients se sentaient faibles, épuisés et incapables de se concentrer. Ils avaient des maux de tête, des étourdissements, des acouphènes, des flotteurs [des points dansants] dans les yeux, des battements de pouls, des douleurs dans la région du cœur et des palpitations; ils étaient déprimés et avaient des crises de panique. Le Dr George Miller Beard et la communauté médicale ont observé que la maladie se propageait le long des voies ferrées et des lignes télégraphiques. Elle ressemblait souvent au rhume ou à la grippe et saisissait souvent des personnes dans la fleur de l’âge.

En 1889, nous marquons le début de l’ère électrique moderne et aussi d’une pandémie de grippe mortelle, qui a suivi l’avènement de l’électricité dans le monde entier. Selon Firstenberg : « La grippe a frappé de manière explosive et imprévisible, encore et encore par vagues jusqu’au début de 1894. C’était comme si quelque chose de fondamental avait changé dans l’atmosphère. »

Les médecins sont perplexes face à la propagation capricieuse de la grippe. Par exemple, William Beveridge, auteur d’un manuel de 1975 sur la grippe, a noté: « Le navire de guerre anglais Arachne naviguait au large de Cuba « sans aucun contact avec la terre ». Pas moins de 114 hommes sur un équipage de 149 sont tombés malades de la grippe et ce n’est que plus tard qu’on a appris qu’il y avait eu des flambées à Cuba au même moment. »

Pendant la Première Guerre mondiale, les gouvernements des deux côtés du conflit ont installé des antennes, qui ont fini par recouvrir la terre de signaux radio puissants et pendant la dernière partie de 1918, une catastrophe s’est produite. La grippe espagnole a touché un tiers de la population mondiale et tué environ cinquante millions de personnes, soit plus que la peste noire du XIVe siècle. Pour arrêter la contagion, les communautés ont fermé les écoles, les entreprises et les théâtres. Les gens ont reçu l’ordre de porter des masques et de s’abstenir de se serrer la main.

Ceux qui vivent sur des bases militaires hérissées d’antennes sont les plus vulnérables. Un symptôme courant était le saignement des narines, des gencives, des oreilles, de la peau, de l’estomac, des intestins, de l’utérus, des reins et du cerveau. Beaucoup sont morts d’hémorragie dans les poumons, noyés dans leur propre sang. Les tests ont révélé une diminution de la capacité du sang à coaguler. Ceux qui sont proches de la mort souvent développé « cette couleur bleue particulière qui semblait marquer tous les premiers cas mortels. »

[Note : voir aussi : L’aspirine a peut-être aggravé la pandémie de grippe de 1918. Il y a eu un usage massif d’aspirine pendant cette période, un médicament connu pour ses propriétés anticoagulantes.]


Le système 5G est également installé sur les navires de croisière modernes. Par exemple, le bateau de croisière Diamond Princess annonce « le meilleur Wi-Fi en mer ». Le 3 février 2020, le navire a été mis en quarantaine à Yokohama, au Japon, après que de nombreux passagers se sont plaints de maladie. Au final, 381 passagers et membres d’équipage sont tombés malades et quatorze sont morts.

Le bateau de croisière Diamond Princess.
Les quatre objets ronds sur le dessus du navire sont des antennes et des émetteurs 5G.

Il est intéressant de noter que l’armée possède des dispositifs de contrôle des foules qui fonctionnent dans les mêmes gammes: 6–100 GHz. Le système de déni actif à 95 GHz est une arme qui peut pénétrer dans la peau et produire des sensations de chaleur intolérables, poussant les gens à s’éloigner du faisceau.


Une revue de recherche de près de deux cents études a noté que « les effets non thermiques ont été clairement démontrés dans des milliers de publications évaluées par des pairs ». Alors que certains modèles de bandes de fréquences EMF sont cohérents et peuvent être bénéfiques pour la santé, « les fréquences 5G choisies appartiennent en grande partie aux zones nuisibles ». Les auteurs ont noté que les études gouvernementales revendiquant la sécurité de la 5G n’ont pas tenu compte du fait que le rayonnement 5G peut être pulsé et modulé et émis par plusieurs antennes. Il est intéressant de constater que « les ondes électromagnétiques peuvent également être polarisées circulairement par interaction avec la poussière atmosphérique et peuvent donc pénétrer beaucoup plus profondément dans l’organisme. En outre, les ondes 5G peuvent présenter des interférences avec d’autres fréquences d’onde EMF, ce qui se traduit par des ondes stationnaires et des «points chauds» environnementaux de rayonnement qui peuvent être très éprouvants pour les personnes hypersensibles aux CEM. » La pollution atmosphérique et la 5G ne font pas bon ménage !

Une étude publiée dans Frontiers in Oncology décrit les lésions pulmonaires causées par la radiothérapie. La radiothérapie utilise des ondes plus courtes à courte distance pendant une période plus courte, mais il va de soi que les ondes millimétriques 5G, avec des émetteurs à proximité, pulsant des quantités massives de fréquences à tout moment, pourraient également causer des lésions pulmonaires. Selon les auteurs, « En fonction de la dose et du volume de poumon irradié, une pneumopathie radique aiguë peut se développer, caractérisée par une toux sèche et une dyspnée (essoufflement). »

Il est intéressant de noter que la Lloyd’s of London et d’autres compagnies d’assurance ne couvriront pas les blessures causées par les téléphones portables, le Wi-Fi ou les compteurs intelligents. Les champs électromagnétiques sont classés comme polluants, aux côtés de la fumée, des produits chimiques et de l’amiante : « L’exclusion des champs électromagnétiques (exclusion 32) est une exclusion d’assurance générale et est appliquée en standard sur le marché. Le but de l’exclusion est d’exclure la couverture des maladies causées par exposition continue et à long terme aux rayonnements non ionisants, c’est-à-dire par l’utilisation du téléphone portable. »

Selon le Dr Cameron Kyle-Sidell, travaillant dans une salle d’urgence (ER) à New York, les affligés sont littéralement à bout de souffle. « Nous n’avons jamais rien vu de tel ! » Les symptômes des patients atteints de Covid-19 ressemblent à ceux d’une maladie de haute altitude plutôt qu’à une pneumonie virale. En fait, les ventilateurs que les hôpitaux se sont efforcés d’obtenir peuvent faire plus de mal que de bien et peuvent expliquer le taux de mortalité élevé, car ils augmentent la pression sur les poumons. Ces patients n’ont pas besoin d’aide pour respirer ils ont besoin de plus d’oxygène lorsqu’ils respirent. Beaucoup deviennent bleus au visage. Ce ne sont pas des signes d’une maladie contagieuse mais d’une perturbation de nos mécanismes de production d’énergie et d’acheminement de l’oxygène vers les globules rouges.


[Voir aussi :

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