Le gouvernement néo-zélandais exige que les apiculteurs brûlent leurs ruches sous peine de poursuites pénales

04/07/2024 (2024-07-04)

Le producteur de miel Springbank Honey affirme que les abeilles sont en bonne santé, mais le gouvernement prétend qu’elles sont atteintes de la loque américaine, une maladie bactérienne qui peut affaiblir et tuer les colonies d’abeilles.

L’extinction des abeilles mellifères peut provoquer une crise économique avec le déclin des produits tels que les fruits et les légumes.

Ils tuent les poules, les vaches, les abeilles, les canards, etc. Réveillez-vous avant qu’il ne soit trop tard…

Silvano Trotta

[Note de Joseph : si les êtres humains réalisaient que la peur de bactéries et de supposés virus pathogènes n’est pas justifiée, ils ne céderaient plus devant des mesures prétendument sanitaires (masques, distanciation sociale, confinement, vaccins, extermination d’abeilles, de poulets, de visons, de vaches, etc.) et ne risqueraient pas du subir une famine mondiale artificielle. Voir le dossier Vaccins et virus pour y consulter notamment les articles qui évoquent la réfutation scientifique de la théorie des germes et de sa fille virale et qui montrent que la virologie est une pseudoscience ne suivant nullement la méthode scientifique.
Certains des articles de ce dossier présentent aussi un nouveau paradigme médical, une nouvelle manière de voir et de vivre la santé, la maladie étant désormais comprise comme la conséquence de déséquilibres (par déficiences ou par excès) sur un ou plusieurs plans de l’existence : physique, chimique, électrique, vital, émotionnel/affectif, mental, psychique, et même spirituel. Les bactéries sont alors reconnues comme des auxiliaires vivant habituellement en harmonie avec leurs hôtes végétaux, animaux et humains, y permettant aussi bien l’assimilation de nutriments que le nettoyage ou l’évacuation de déchets divers (biologiques, chimiques…). On découvre également que les prétendus virus pathogènes sont en réalité des productions endogènes de cellules agressées, des déchets génétiques ou protéiques qui doivent être évacuées de l’organisme et dont l’évacuation peut se révéler plus ou moins douloureuse selon la quantité de tels déchets (qui elle-même dépend de l’ampleur ou de la gravité de l’agression — chimique, électromagnétique, émotionnelle, ou autre) par les voies prévues à cet effet : peau, poumons, intestins… au besoin avec recours à la fièvre pour augmenter la transpiration et à des microcontractions musculaires. Ce ne sont nullement des êtres vivants et ne sont bien sûr pas sujets à des mutations (puisque simples molécules éventuellement entourées de l’enveloppe qui en permet plus facilement l’expulsion de la cellule), la variation génétique de ces déchets dépendant de la spécificité génétique du corps qui les expulse.]

⚠ Les points de vue exprimés dans l’article ne sont pas nécessairement partagés par les (autres) auteurs et contributeurs du site Nouveau Monde.