22/01/2021 (2021-01-22)
[Source : kla.tv]
Le Pr. Christian Drosten, virologue allemand, est LE visage de la crise actuelle du coronavirus ! L’hebdomadaire Stern en a même fait sa une en mars 2020 : « Le coronavirus a fait du virologue Christian Drosten l’homme le plus recherché de la République. Et une star. »
Car c’est Christian Drosten qui, en janvier 2020, a mis au point le test PCR du coronavirus, qui sert désormais de méthode standard pour détecter le virus de la covid-19 dans le monde entier. En tant que directeur de l’institut de la Charité de Berlin, il est un conseiller très influent du gouvernement allemand et a participé en tant qu’expert à de nombreuses conférences de presse gouvernementales. Ainsi, par ses analyses, il a également influencé de manière significative des décisions politiques de grande envergure, telles que le port obligatoire de masques, la suspension des cours réguliers à l’école ou la fermeture de tout le secteur de la restauration.
Parmi une série de décorations, on peut citer l’attribution de la Croix fédérale du mérite avec ruban en 2005 et de la Croix fédérale du mérite de 1ère classe en 2020.
Dans cette émission, cependant, un dossier en quatre parties doit maintenant être ouvert, qui montre un visage complètement différent de Christian Drosten et met en lumière des arrière-plans peu connus mais lourd de conséquences :
« Le dossier Drosten » Partie 1 : Christian Drosten et ses faux pronostics
En raison de la multitude des plus hautes distinctions, on devrait s’attendre à ce que ses analyses et pronostics se réalisent dans chaque cas. Voici juste deux exemples de ses pronostics toujours inquiétants comparés à l’évolution réelle :
Prévision 1 : 2003 / SRAS
« Si l’épidémie ne peut pas être endiguée dans un avenir proche, il pourrait y avoir de nouveaux cas répétés de SRAS. […] Si des épidémies de ces maladies pulmonaires devaient se produire régulièrement dans certains pays, cela pourrait avoir de graves conséquences pour leur économie. On ne peut s’attendre à un vaccin efficace avant au moins un ou deux ans. »
Évolution réelle :
selon l’OMS, depuis le début de l’épidémie dite de SRAS en 2003, il n’y a eu que 8 096 cas de SRAS dans le monde avec 774 décès ; en Allemagne, 9 cas au total et pas un seul décès.
Prévisions 2 : 2009 / Grippe porcine
« La maladie est une infection virale générale grave, avec des effets secondaires beaucoup plus graves que ce qu’on peut imaginer du pire vaccin. »
Bien qu’il n’y ait pas d’informations fiables sur le nombre de cas, M. Drosten a exhorté les gens à se faire vacciner contre la grippe porcine.
Développement réel :
L’épidémie prévue ne s’est jamais produite. Néanmoins, les vaccins ont été commandés par les gouvernements occidentaux pour un coût de plusieurs centaines de millions d’euros, mais la grande majorité de la population les a rejetés malgré la recommandation urgente de Drosten. En outre, les vaccins ont causé des dommages bien plus graves que la grippe porcine elle-même.
Conclusion :
Les pronostics effrayants de Drosten, qui visaient toujours la « solution standard de la vaccination », se sont révélés être de mauvaises estimations fatales, qui ont entraîné des dommages économiques gigantesques.
Comment est-il possible que Drosten, avec ses pronostics d’horreur répétés, continue d’apparaître crédible comme LE conseiller du gouvernement ?
« Le dossier Drosten » Partie 2 : Christian Drosten et son doctorat
Christian Drosten est probablement devenu le scientifique le plus célèbre d’Allemagne en raison de la crise du coronavirus mais sa thèse de doctorat a également suscité de plus en plus de questions.
D’étranges incohérences ont été mises en évidence :
- 1ère incohérence :
Drosten aurait reçu son doctorat de l’université Goethe de Francfort en 2003. Cependant, la bibliothèque de l’université de Francfort n’a pas été en mesure de fournir un seul exemplaire de sa thèse de doctorat. - 2ème incohérence :
Interrogé par Markus Kühbacher, un chercheur spécialisé dans la fraude académique, le porte-parole de l’université a déclaré que les copies avaient été endommagées lors de dégâts des eaux. Selon M. Kühbacher, le porte-parole de la presse a dû admettre par la suite qu’il lui avait « communiqué de fausses affirmations factuelles concernant la thèse de M. Drosten ». La Bibliothèque nationale allemande ne disposait pas non plus d’un seul exemplaire avant 2020. C’est normalement obligatoire pour les thèses de doctorat. - 3ème incohérence :
Il est également très étrange que dans le catalogue de la Bibliothèque nationale allemande – dans lequel toutes les publications universitaires doivent être répertoriées – aucune entrée ne soit trouvée pour Christian Drosten pour les années 2000-2003. - 4ème incohérence :
Le 15 octobre 2020, l’université Goethe de Francfort-sur-le-Main a publié une déclaration de rectification concernant les « fausses allégations concernant la procédure de doctorat du Pr.Christian Drosten ». Elle indique que M. Drosten est autorisé à utiliser le titre de Docteur en médecine depuis le 4 septembre 2003.
C’est très surprenant, car dans un document de l’OMS, il est déjà mentionné comme docteur en avril 2003, soit cinq mois plus tôt.
Cette incohérence et de nombreuses autres ont amené l’avocat Reiner Füllmich à qualifier Drosten de « capitaine de Köpenik » (prononcer queu peunik) (un imposteur allemand du 19ème siècle) dans la commission d’enquête extra-parlementaire sur le coronavirus.
Le 2 décembre 2020, Markus Kühbacher a déposé une plainte auprès du tribunal régional de Stuttgart concernant le « dépôt de copies de la thèse de M. Drosten et leur conservation prétendument trop humide ». Cette affaire pourrait mettre en lumière d’autres incohérences juteuses.
Pour Drosten, cela pourrait cependant devenir encore plus désagréable, car une première demande de dommages-intérêts contre lui a été déposée par l’avocat Füllmich au nom de l’un de ses mandants qui a subi des dommages par suite des mesures coronavirus. Une action collective aux États-Unis est en préparation.
En fin de compte, il ne s’agit pas du doctorat de Christian Drosten., mais de la question de sa crédibilité. Pourquoi s’est-il obstiné à garder le silence pendant des mois et n’a-t-il pas clarifié sans réserve ces graves allégations ? Ce n’est certainement pas bon pour sa crédibilité !
« Le dossier Drosten » Partie 3 : Christian Drosten et son test PCR Covid-19
Le test PCR Covid-19 pour la détection du coronavirus, développé par Drosten en janvier 2020 à une vitesse foudroyante, est « le test de l’année » ! Les résultats de ces tests sont la légitimation pour les gouvernements nationaux du monde entier d’appliquer aux citoyens des restrictions massives des droits fondamentaux !
Pas plus tard qu’en 2014, M. Drosten a déclaré à propos de cette méthode de test PCR, « la méthode est si sensible qu’elle peut détecter une seule molécule héréditaire de ce virus. Si un tel agent pathogène, par exemple, traverse la muqueuse nasale d’une infirmière pendant une journée sans qu’elle tombe malade ou remarque quoi que ce soit d’autre, elle est soudainement un cas MERS. Là où auparavant des personnes étaient déclarées comme étant mortellement malades, maintenant des cas bénins et des personnes qui sont en fait en parfaite santé sont soudainement inclus dans les statistiques de déclaration. Cela pourrait également expliquer l’explosion du nombre de cas en Arabie Saoudite. Ajoutez à cela le fait que les médias locaux ont mis de l’huile sur le feu dans cette affaire. »
Cette citation de Drosten ne reflète-t-elle pas fidèlement la situation actuelle du coronavirus ?
« Les statistiques des rapports incluent soudainement des personnes en parfaite santé et les déforment ! »
« Explosion du nombre de cas ! »
« Les médias mettent de l’huile sur le feu dans cette affaire au-delà de toute croyance ! »
Drosten a-t-il choisi cette méthode PCR avec calcul pour déclencher une « pandémie de tests » ?
Un récent document de recherche scientifique rédigé par 22 scientifiques de haut niveau confirme ce soupçon, car ils nient le fondement scientifique de l’étude Drosten, qui a servi de base à l’introduction du test par l’OMS.
Les premières décisions de justice confirment également le caractère non scientifique de l’étude de Drosten et de son test Covid-19 !
Avec son étude non scientifique et son test PCR Covid-19 inapproprié basé sur celle-ci, un seul homme a piloté de manière significative l’ensemble du scénario du coronavirus : Christian Drosten ! Non seulement lui, mais aussi son test développé s’avère peu plausible après un examen plus approfondi !
« Le dossier Drosten » Partie 4 : Christian Drosten et ses multiples conflits d’intérêt
Un critère décisif pour la crédibilité des scientifiques est leur neutralité et leur impartialité !
1 : la neutralité et l’impartialité de Drosten sont-elles possibles – compte tenu de son lien avec Olfert Landt ?
Olfert Landt est l’un des coauteurs habituels des études de Drosten, dont l’actuelle étude sur le coronavirus. Il est également propriétaire de la société de biotechnologie berlinoise TIB Molbiol Syntheselabor GmbH, qui produit des tests PCR Covid-19. Drosten et Landt ont apparemment découvert un « modèle économique » de réussite : dans le cas des pandémies et des épidémies virales les plus divers, ils développent conjointement le test PCR pour ces dernières : c’était déjà le cas en 2002/2003 pour le SRAS, en 2011 pour l’EHEC, en 2012 pour le MERS, en 2016 pour le virus Zika, en 2017 pour la fièvre jaune. Toujours le même schéma, auquel ils ont de nouveau eu recours maintenant pour le coronavirus. Landt l’a également admis dans le « Berliner Zeitung » : « Le test, la conception, le développement, sont venus de la Charité. Nous l’avons immédiatement converti en format kit. Et si vous n’avez pas ce virus, qui n’était initialement disponible qu’à Wuhan, nous pouvons produire un gène synthétique pour simuler le génome du virus. Nous l’avons fait très rapidement. » Au tout début de la crise du coronavirus, Landt et sa société de biotechnologie basée à Berlin produisaient des kits de test Covid-19 à raison de 1 500 000 tests par semaine, et en février, ils avaient déjà triplé leurs ventes.
À l’heure actuelle, il est probable qu’il ait tiré des profits gigantesques de ces tests. On peut douter qu’Olfert Landt remporte tous les succès économiques ici, ne laissant à Drosten que la renommée.
Indépendamment de combien Drosten a tiré d’avantages personnels, la question se pose de savoir comment il est possible que des développements soient menés à bien avec des fonds publics et que des entreprises privées en profitent ensuite à ce point ?
2 : la neutralité et l’impartialité de Drosten sont-elles possibles – compte tenu de ses liens avec l’industrie pharmaceutique ?
Drosten a reçu, entre autres choses :
- le « Prix d’encouragement pour l’infectiologie clinique », parrainé par Aventis Deutschland Pharma GmbH et doté de 5 000 euros,
- le « Prix de la société européenne pour la virologie clinique » de la société pharmaceutique américaine Abbott Laboratories, doté de 2 500 euros et assorti d’autres privilèges intéressants pour le lauréat, et
- actuellement via la Charité Berlin, dont Drosten est le directeur de l’institut, en décembre 2019 et mars 2020 environ 335 000 dollars de la Fondation Bill et Melinda Gates. Cette fondation n’est en aucun cas altruiste, mais elle est connue pour sa proximité avec l’industrie des vaccins.
Les prix et les subventions créent-ils des conflits d’intérêts pour M. Drosten, ce qui l’a amené par le passé à toujours promouvoir la vaccination comme solution ?
La crise actuelle du coronavirus semble également confirmer cette suspicion, car Drosten lui-même ne craint pas de violer illégalement le code de conduite professionnel de l’association médicale de l’État en recommandant certains fabricants de vaccins.
Par conséquent, les déclarations et les études de Drosten ne doivent-elles pas être complètement réévaluées sous l’angle de la partialité ? Qui pourrait croire un scientifique qui promeut le tabagisme comme étant inoffensif et qui reçoit en même temps des prix et des fonds de l’industrie du tabac ?
CONCLUSIONS :
Des mauvais pronostics fatals, de nombreuses incohérences inexpliquées concernant sa thèse de doctorat, un « test PCR Covid-19 » développé à la hâte et présentant des erreurs scientifiques fondamentales, et un bourbier insoupçonné d’embrouilles financières, privent Christian Drosten de toute crédibilité !
Si le personnage central de la crise du coronavirus s’avère être indigne de confiance après un examen plus approfondi, cela soulève de sérieuses questions :
- Sur la base de ce fondement non scientifique, l’événement du coronavirus dans son ensemble, avec la menace inévitable d’un effondrement économique et financier de nations entières, ne doit-il pas enfin être analysé pour reconnaître les tireurs de ficelles et les profiteurs en arrière-plan ?
- Se pourrait-il donc que tout cela mène à une prise de pouvoir mise en scène et même à la mise en place d’une surveillance numérique de peuples entiers sous prétexte de lutter contre une pandémie ?
- Pourquoi est-ce que les médias de masse, qui sont chargés de faire des reportages critiques, ne dévoilent pas le « dossier Drosten », mais le gardent même secret ?
Chers téléspectateurs,
Pensez-vous aussi que ces faits doivent être connus de tous ? Si oui, aidez à faire connaître le « dossier Drosten » sans tarder.
Seul un mouvement populaire peut garantir que le silence des médias monopolistiques mis au pas soit brisé et qu’un débat public ait lieu !
Vous pouvez y contribuer, en rendant publics ces faits cachés ! Diffusez donc cette vidéo révélatrice ! Informez le plus grand nombre possible de vos connaissances par mail, via WhatsApp, Twitter, Vimeo ou publiez la vidéo sur Facebook.
[Voir aussi : Christian Drosten : l’heure des comptes ?]
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