Le climat entre tragédie humaine et stratégie politique

[Source : @jeremieMercier]

La mystérieuse affaire du climat une tragédie humaine

Jusqu’en 1995, la prudence en ce qui concerne un éventuel réchauffement anthropogénique était de mise dans les sphères scientifiques et politiques par absence d’une quelconque preuve empirique.

Le 27 nov. 1995, on assiste à un retournement de la situation : après une opposition ferme à toute déclaration forte et le départ de plusieurs délégations, très tard dans la nuit, le groupe de travail 1 du GIEC réuni à Madrid donne son accord à une affirmation faible de détection du réchauffement climatique : « L’ensemble des preuves suggère une influence humaine perceptible sur le climat mondial. »

Le 11 déc. 1997, le GIEC réuni à Kyoto approuve le protocole d’action sur le changement climatique

Que s’est-il donc passé pour ce revirement soudain ? Cette affirmation même faible tient-elle la route ? Y a-t-il vraiment un consensus scientifique ? Dans cette émission, nous essaierons de répondre à ces questions.



La politique cachée du changement climatique

Dans la première partie, nous avons vu l’absence de raisons scientifiques pour justifier un changement climatique anthropique. Alors pourquoi et comment est-ce devenu le moteur de la politique à travers le monde ?

Dans ce second volet, nous verrons que c’est l’outil principal qui a permis le déploiement du mondialisme unipolaire des multinationales et des banques, rendu possible par leur financement, celui de leurs fondations et des grosses fortunes qui aujourd’hui se réduisent à un très petit nombre, à la suite de l’effort fait pour concentrer l’argent en quelques mains.

Cependant, seuls, ils n’auraient pas eu la possibilité de faire progresser cet agenda. Si celui-ci a tant progressé, c’est bien parce que d’autres y ont participé, d’autres ont laissé les préoccupations légitimes concernant l’impact sur l’humanité de la pollution anthropique être perverties et retournées contre cette humanité.

Cette seconde partie tâchera de replacer cette tragédie dans un contexte plus large, et ainsi désamorcer les visions anxiogènes et apocalyptiques qui gangrènent les discours critiques.

Crédit musique générique : Erik Baroux