08/07/2021 (2021-07-08)
[Source : francesoir.fr]
[Voir aussi : Inde : condamnation à mort possible pour la scientifique de l’OMS après avoir déconseillé l’Ivermectine]
Auteur(s): FranceSoir
L’Indian Bar Association (Association des Avocats Indiens) a adressé un courrier au Premier ministre de l’Inde Shri Narendra Modi et au ministre de l’Intérieur Shri Amit Shah, qui les invite à prendre note de la plainte DHLTH/E/2021/09973 en date du 1er juillet 2021 déposée par le Secrétaire général du Conseil de sécurité des droits de l’homme (HRSC) M. A. Shaikh, contre le Dr Soumya Swaminathan, scientifique en chef de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et d’autres.
Cette plainte les invite à prendre des mesures immédiates contre les accusés et à émettre des directives appropriées aux autorités légales pour qu’elles examinent l’affaire et prennent des mesures immédiates. Cela fait suite aux deux mises en demeure que l’IBA a envoyées à l’OMS (contre le Dr Soumya Swaminathan ainsi que Tedros Ghebreyesus) qui sont à ce jour restées sans réponse.
L’avocate Dipali Ojha explique cela en détail dans son debriefing.
La plainte de 132 pages enjoint les ministres à considérer en urgence la situation et surtout la « gravité » ou « extrême gravité »
des questions qui sont posées qui ne concernent pas seulement les citoyens indiens, mais aussi la sécurité, la survie et le bien-être de l’humanité tout entière.
Cette plainte annoncée et attendue prend en considération les éléments de réponse à la gestion d’une épidémie (les quatre piliers listés par le Pr McCullough) ainsi que les publications de diverses associations de médecins (FLCCC, AFLDS, IHU) en faveur des traitements précoces qui sont une alternative à la vaccination de masse, dixit Pierre Kory. Ceci est corroboré par le retour d’expérience de nombreux médecins indiens dans les Etats ayant mis en place les directives du ministère de la Santé sur l’ivermectine et l’hydroxychloroquine. Au sein de cet immense pays, on a pu observer l’effet de la vaccination de masse ainsi que celui des traitements précoce et prophylactique des Indiens, afin de gérer au mieux l’épidémie. Les Indiens ont subi les mêmes effets de censure, de suppression du « narratif » et des données scientifiques que ceux observés dans d’autres pays. Le summum étant une agence de santé (DGHS) périphérique qui a supprimée les traitements précoces alors qu’elle n’avait jamais exprimé d’opinion auparavant à ce sujet, démontrant la capture probable de certaines autorités par des influences externes. Rappelons que le ministère de la Santé a conservé les traitements précoces dans ses recommandations et est le seul compétent. A l’inverse de la France, les autorités sanitaires (ministère) ont défendu par deux fois leur position en faveur des traitements précoces, remettant en cause les avis de l’OMS contre des associations d’avocats dont les commanditaires ne sont pas identifiés.
Le périmètre et les demandes de la plainte sont clairement établis :
- une orientation immédiate pour la mise en œuvre du 72e rapport de la Commission parlementaire et des recommandations d’enquête et de poursuite des membres du bureau du « philanthrope toxique » et de la Fondation Bill & Melinda Gates du Syndicat des vaccins (GAVI) et des responsables concernés du Conseil indien de la recherche médicale (ICMR) qui sont considérés responsables de la mort de huit filles suite à l’usage de vaccins non autorisés, illégaux et non approuvés;
- une directive immédiate au Bureau central d’enquête (CBI) pour l’enregistrement du premier rapport d’information (FIR) pour enquête et action stricte (en vertu des articles 115, 109, 302, 307, 304, 419, 420, 471, 474, 188, 505, r / w 120 (B) &34 de l’IPC & sections de la loi de 2005 sur la gestion des catastrophes et d’autres dispositions des actes spéciaux contre tous les éléments contre l’intérêt national, contre l’humanité, et bio-terroristes) sur les « Groupements Pharma», « Groupement Tech » et les « Cyber Harceleurs » qui sont impliqués dans des infractions contre l’humanité entière entrainant un génocide, causés par leurs actes de commission et d’omission liés à la pandémie de Covid-19.
- des ordonnances avec effet immédiat aux autorités concernées :
- i) émettre des avis de garde à vue et des mandats d’arrêt contre l’accusé dont l’implication est prouvée à première vue ;
- ii) D’engager une action en saisie conservatoire de tous les accusés et de leurs sociétés ;
- iii) Commencer l’interrogatoire de l’accusé en détention ;
- iv) Effectuer un test de détection de mensonges, un test de cartographie cérébrale, un test narco de tous les accusés principaux tels que le Dr Soumya Swaminathan, le Dr Randeep Guleria, M. Arvind Kejriwal Le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, le Dr Anthony Fauci, Bill Gates, Mark Zuckerberg, Jack Dorsey et d’autres.
- des directives immédiates à toutes les autorités pour
- i) examiner sérieusement le Livre blanc de l’association American Frontline Doctors (AFLDS) sur le Covid-19 et les vaccins expérimentaux.
- ii) ne forcer personne à se faire vacciner et se conformer strictement à l’arrêt de la Cour suprême et de diverses hautes cours concernant le droit fondamental de chaque citoyen à choisir son traitement.
- iii) informer le public des dangers réels du vaccin.
- iv) informer le public sur les autres médicaments éprouvés, sûrs et plus efficaces.
- v) ne pas répandre la peur d’une nouvelle vague sans vérifier les preuves scientifiques.
- une directive appropriée selon le rapport soumis par le Comité d’experts au bureau du Premier ministre avec des recommandations de ne pas administrer de vaccins sur les personnes qui se sont rétablies de l’infection à Covid-19 et qui ont développés des anticorps.
- Des directives immédiates pour fournir une protection à tous les dénonciateurs et à leurs témoins qui ont déjà exposé et continuent d’exposer le Syndicat comprenant BIG PHARMA, BIG TECH et BIG SCIENCE.
- Direction pour la constitution d’un comité d’enquête distinct concernant le vent de la panique soudain pendant la deuxième vague de coronavirus en Inde, qui a été alimenté par des reportages incessants dans les médias sur la pénurie d’oxygène. Et pourquoi ledit battage médiatique a disparu dès l’apparition de l’enquête sur le ‘Tool Kit’ (kit contre la covid) a été commencée par la police de Delhi.
Accusation principale de complot contre les accusés
La plainte (paragraphe 26) porte contre tous les accusés qui sont tenus de répondre à l’accusation principale sur la base des documents, de preuves et de preuves de nature remarquable :
Le principal accusé Bill Gates et ses alliés de GAVI (Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination) ont ourdi un complot visant à créer un marché fixe pour leurs vaccins et autres médicaments et dans ce complot, ils se sont joints à d’autres accusés.
Les autres sont Dr Anthony Fauci, conseiller médical en chef du président des États-Unis, M. Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS, Dr Soumya Swaminathan, scientifique en chef à l’OMS, Mark Zuckerberg, PDG de Facebook, Jack Dorsey, PDG de Twitter, Steve Chen, Chad Hurley et Jawed Karim, YouTube (Google), Arvind Kejriwal, Ministre principal, Delhi et que les autres personnes citées dans l’annexe T13 ou celles qui pourraient être accusés après enquête approfondie.
Au paragraphe 26.3, on peut lire que les accusés ont commis un acte public dans la droite lignée d’un complot. Ils sont accusés par des actes de commission et d’omission, d’avoir :
- i) créé de fausses données.
- ii) supprimé et dissimulé de manière malhonnête des données réelles.
- iii) distordu des faits importants.
- iv) créé un narratif et un complot.
- v) mis en place des politiques « préméditées » sur YouTube, Twitter, Facebook, etc. pour supprimer la vérité et empêcher l’information réelle de se propager
- vi) supprimé des informations originales et scientifiques de plateformes telles que YouTube, Twitter et d’autres sur la base de « fausses politiques et conditions générales » allant à l’encontre des données scientifiques.
- vii) publié des « vérification de faits » fausses et sponsorisées afin d’aller à l’encontre de la vérité et par la même d’entraîner la confusion dans l’esprit du public ; cela avait pour but de décourager les personnes, les scientifiques et les médecins qui possèdent des données scientifiques.
- viii) réussi à « capturer » les agences de santé gouvernementales de nombreux pays pour obtenir les politiques et les règles formulées en fonction de leurs objectifs inavoués.
- ix) entraîné la mort de personnes en s’assurant que ceux-ci ne devraient pas accéder ou obtenir les médicaments facilement disponibles, sûrs et abordables tels que l’ivermectine, l’hydroxychloroquine, la vitamine D3, etc. et ayurvédique ainsi que les traitements naturopathes.
- x) généré la peur dans l’esprit des gens afin que le vaccin puisse être présenté comme la seule alternative pour traiter et ainsi sauver les gens ; facilitant ainsi la voie à une autorisation d’utilisation en urgence (EUA) du vaccin non approuvé.
- xi) supprimé les données sur les effets dangereux du vaccin ainsi que l’usage de nombreux médicaments « ad hoc » couvrant ses effets.
- xii) dévoyé, dissimulé ou supprimé les données sur l’inefficacité des vaccins et la mort de nombreuses personnes et de nombreux médecins. Ceci a entraîné des pertes de repères des gens causés par les sophismes des « hommes de paille ».
- xiii) sous-déclaré les décès dus aux vaccins au travers de la création de règles à leur convenance.
- xiv) essayé d’aller à l’encontre de la science réelle à l’aide de la rhétorique, c’est-à-dire la fausse science portée par les sophismes « de l’homme de paille », la malhonnêteté intellectuelle et les théories du complot pseudo-scientifiques.
- xv) en outre, le cerveau de la conspiration et chef du Syndicat des vaccins M. Bill Gates a déjà été reconnu coupable d’essais illégaux et non autorisés de vaccins et d’avoir causé la mort de huit filles. Dans son 72e rapport du 28.08.2013, la Commission parlementaire de l’Inde Rajya Sabha a déjà recommandé une action en justice contre les membres du bureau de la Fondation Bill &Melinda Gates , des responsables de l’ICMR et d’autres accusés divers responsables de ces crimes odieux contre l’humanité.
- xvi) tous les accusés étaient et sont bien conscients que par leur acte de commission et d’omission, ils vont causer la mort de millions d’innocents. Cependant ils ont choisi l’argent plutôt que les valeurs humaines. Ce sont eux les délinquants de l’humanité. Ils sont coupables de génocide. Ils ont commis des meurtres de masse avec sang-froid.
Ils ont enlevé les moyens de subsistance de l’homme du peuple et ont fait un enfer de la vie des pauvres. En raison de leurs conspirations, de nombreuses personnes qui ont réussi à survivre en prenant leurs médicaments toxiques souffrent maintenant d’effets secondaires graves ayant rendu leur vie misérable.
Ils ne méritent aucune sympathie ou indulgence. Sinon, ce sera une injustice pour toutes les victimes et une injustice pour toute l’humanité.
La peine minimale dans ce cas sera :
a) la peine de mort
et
b) La saisie de tous leurs biens meubles et immeubles et leur distribution égale à tous les peuples du monde.
D’autres questions importantes sont aussi mentionnées dans la plainte au paragraphe 2 mais suivent les mêmes bases qui comprennent la mise en cause des tests PCR, la censure et l’impossibilité pour les médecins d’échanger sur les réseaux sociaux sans risquer la censure.
La plainte a été déposée le 1er juillet 2021 et signée par la représente de l’association Me Dipali Ojha.
La plainte complète est disponible ci-après : Plainte [PDF]
Auteur(s): FranceSoir
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