10/03/2021 (2020-11-19)
[Source en italien : Maurizio Blondet]
[Traduction automatique corrigée]
« Ils ont osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir le plus vite possible »
Maurizio Blondet 18 novembre 2020
La rumeur circulait depuis des mois dans le monde médical français. Le Monde avait écrit un article pour dire qu’ils étaient sans fondement, faux, intoxiqués. Maintenant, un titre apparaît où un médecin dit : « Ils ont osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir le plus tôt possible » . Elle s’est déroulée dans des maisons de retraite pour non autosuffisantes (EPHAD en France, comme nous avons RSA [en Italie]). Et cela est confirmé sur la chaîne France 3 par la diffusion le 18 novembre à 21h05 de l’enquête « Covid-19: que se passe-t-il vraiment dans les maisons de retraite? ». Le site Internet de la chaîne consacre un article et une vidéo à cette enquête, dont le thème principal est le tristement célèbre « décret Rivotril » du 29 mars et ses conséquences pour les professionnels de santé et leurs patients.
Rivotril sous forme injectable est mortel pour les patients souffrant d’insuffisance respiratoire. Le gouvernement a autorisé l’utilisation du Rivotril, par ce décret, au motif que l’Hypnovel manquait, ce qui était nécessaire pour les soins palliatifs de fin de vie; ces vieillards devaient être tenus à l’écart des unités de soins intensifs…
« Au milieu de la première vague de l’épidémie de Covid-19, au printemps 2020, le gouvernement a autorisé l’utilisation de médicaments palliatifs qui sont généralement interdits » , indique désormais le rapport sur France 3. Le programme s’intitule « Evidence against » ( Pièces à conviction), et a recueilli des témoignages d’agents de santé scandalisés par cette décision. « Lorsque nous avons reçu ces directives, nous avons été stupéfaits », raconte Sandra Rotureau, directrice de la santé. « Lorsqu’une personne âgée n’est pas hospitalisée [faute de lits] et que ce qui lui est proposé, c’est une sédation dès qu’elle a des difficultés à respirer… ma première réaction est de me souvenir : « Comment, on nous demande de pratiquer une euthanasie passive avec nos résidents ? » ». […] Notez la formulation. « Euthanasie » est le moment où le patient a demandé à être activement aidé à mourir. « L’euthanasie passive » n’existe pas. Ça s’appelle un meurtre.
Dans une autre résidence publique non identifiée, un médecin EPHAD, le visage couvert, avoue « un sentiment d’horreur ». « Je ne suis pas autorisé à prescrire quelque chose qui guérirait les gens [fait allusion à l’hydroxychloroquine] s’ils étaient affectés, mais je suis autorisé « à les faire partir… doucement » ».
« Nous avons raccourci la souffrance des gens? J’appelle ça de l’euthanasie », poursuit-elle, extrêmement bouleversée. « Que nous ayons osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir plus vite est insupportable.[…] ».
Il a également été constaté que les médecins qui travaillaient pour les EHPAD avaient demandé aux infirmières d’injecter [le contenu de] la seringue mortelle, les chargeant ainsi d’un sentiment de culpabilité qui n’aurait pas dû leur peser. Ceci ressort d’une audition de la commission d’enquête de l’Assemblée nationale.
La bassesse et la lâcheté. Et le silence complice, le silence des médias alors que le nombre de décès dans les maisons de retraite assistées augmentait de façon spectaculaire grâce au décret Rivotril. « Certains soignants ont déclaré qu’ils ne faisaient que soulager les malades, mais ils se taisent sur le fait que sur le certificat de décès, ils ont pu écrire la « cause du décès: Covid » sans aucune preuve ni test », utilisant également une euthanasie passive pour augmenter le nombre de décès par Covid, ce qui rapporte aussi en France aux hôpitaux, même si ce n’est pas les 2 mille euros par jour de l’Italie [NdNM : la subvention reçue par l’hôpital en cas de décès par la covid-19 est plus importante que pour d’autres causes déclarées de décès. Même chose au Canada].
« Covid: attitudes criminelles? ». Gérard Maudrux, chirurgien urologue, demande à voix haute dans un magazine du domaine [l’urologie], de raconter comment [les membres de] sa famille ([qui travaillent] tous dans le secteur hospitalier) ont été malades de la Covid, assez gravement, avec comme seule thérapie recommandée par les autorités : « Le paracétamol. L’utilisation d’antibiotiques n’est expressément pas recommandée. Pour mes trente premiers patients traités de cette manière j’ai eu 3 problèmes : un décès à domicile, une fibrillation auriculaire le deuxième et une hospitalisation de réanimation de trois semaines le troisième ». Puis, en étudiant, le médecin découvre dans un journal australien les effets de la vermectine (un anti-helminthes!) « Je connais bien le traitement de deux épidémies de gale dans la maison de retraite; les résultats après 48 heures sont stupéfiants : la disparition des signes cliniques pour tous. Trop heureux de partager ces résultats, je pense que je fais une faveur, j’en parle, ce qui m’a valu de sévères critiques de la part de collègues et d’un pharmacien. Et l’ avertissement de l’Ordre ».
Et il cite « les confrères de StopCovid19, qui ont collecté plus de 700 cas traités [à la chloroquine et aux antibiotiques] et qui ne publient pas en raison des menaces reçues. N’oublions pas qu’au 19 avril, contre la Covid, 100 000 patients avaient reçu de l’azithromycine, 41 000 de la chloroquine et 10 000 les deux (source Assurance Maladie). Combien de vies avez-vous sauvées? Combien d’hospitalisations évitées? L’observation sur le terrain a-t-elle encore une valeur? ».
Un autre médecin parle de la mort sur ordonnance. Et il écrit: « En d’autres temps, des procédures judiciaires auraient été mises en place et la justice pénale aurait été adressée pour se prononcer sur l’éventuel caractère pénal du décret Rivotril, adopté en contradiction avec tous les textes et la jurisprudence en matière de fin de vie. Aujourd’hui, le virus a le dos large pour permettre des actes injustifiables, susciter la peur et l’angoisse généralisées, établir une dictature que nos ploutocrates réclament depuis des années »; et expose le nombre de flacons de Rivotril (« remboursé par le service de santé », précise-t-il) énormément augmenté pendant la « pandémie », et en relation directe avec la surmortalité dans les maisons de retraite ces semaines-là.
Tribunaux vers lesquels il est inutile de se tourner pour dénoncer ces crimes et cette imposture, le paracétamol comme seule thérapie « recommandée » par les comités technico-scientifiques, menaces aux médecins qui découvrent des remèdes efficaces, interdiction de l’hydroxychloroquine. Et, à la place, Rivotril en ampoules pour injection létale. Il est impressionnant de découvrir que les directives sont identiques en Italie et en France.
Mais plus encore, voir à quelle vitesse la dictature de la ploutocratie totale est tombée, dans son Grand Reset, au niveau qu’on nous apprend depuis 50 ans à considérer comme un mal absolu : l’attitude génocidaire du nazisme, l’euthanasie des bouches inutiles à grande échelle, l’injection mortelle par décret, l’asservissement volontaire des juges et le silence total des médias dans ce qui se profile comme le plus gigantesque crime contre l’humanité jamais commis. Des décennies de cours moralisateurs dans les écoles, des documentaires sur l’Holocauste, des journées de mémoire répétées de manière obsessionnelle, des visites d’écoliers à Auschwitz, des appels à la vigilance : prenez garde que le nazisme ne revienne pas ! Regardez ! Le voici, et les journaux télévisés appellent des « négationnistes » les foules qui, dans toute l’Europe, se rebellent contre l’esclavage et contre cette barbarie indescriptible, Le titre de la République
[Voir des vidéos sur le site originale en italien, en fin d’article.]
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