06/06/2021 (2021-06-06)
Par Alain Tortosa
[Photo : iStock]
Peut-être aurez-vous du mal à le croire, mais un homme de 44 ans a été retrouvé chez lui, en parfaite santé, 4 semaines après sa 2e dose de vaccin.
Étrangement, celui-ci ne présentait strictement aucun effet secondaire, pas même un petit mal de crâne.
Il a été transféré en urgence à l’hôpital par une cellule spécialement équipée pour les accidents chimiques afin de procéder aux premiers examens.
Bien évidemment son entourage a été mis à l’isolement comme il se doit et ses effets personnels ont été incinérés.
Lui-même et sa famille ont reçu (de force) 2 nouvelles doses panachées de vaccins en espérant que la solution permette d’endiguer la situation qui, si elle se répandait, pourrait s’avérer dramatique pour le monde libre.
Contacté par notre correspondant, le directeur local de la compagnie pharmaceutique, M. Bad Isvéri, ayant fourni les doses s’est voulu rassurant.
Celui-ci a déclaré à notre micro :
« Je peux vous assurer que tout est mis en œuvre depuis le début afin que nos vaccins développent un maximum d’effets secondaires. S’il y a bien une chose que l’on ne peut pas nous reprocher, c’est bien d’avoir court-circuité toutes les sécurités possibles et corrompu un maximum de soignants et de politiques. Nous avons même procédé aux premiers essais sur l’homme dès le mois d’avril 2020 pour épargner un maximum de rats de laboratoire. Hélas, nous sommes humains et il peut parfois y avoir des incidents. Croyez bien que la population est à l’abri et qu’elle peut continuer à s’injecter nos produits présents et futurs sans se poser la moindre question. »
Le directeur de l’hôpital le professeur Ted Caurup, député et président du conseil de l’ordre régional, s’est aussi voulu rassurant :
« Je confirme tout à fait les propos de mon très généreux bienfaiteur. Nous-mêmes n’avons fait strictement aucun test d’innocuité avant de vacciner en masse adultes, enfants et femmes enceintes. Je vous rappellerais aussi qu’en cas d’effets secondaires, même graves, nous interdisons tout traitement, seul du paracétamol est proposé afin de ne pas risquer de perturber le processus. »
Nous continuons nos investigations, mais d’ores et déjà il semblerait que cet individu peu recommandable ne respectait ni les confinements ni les gestes barrières.
Celui-ci avait même retiré ses enfants de l’école afin qu’ils ne portent pas de masques « maltraitants » selon ses propos incohérents.
Une expertise psychiatrique a été immédiatement diligentée par la procureuse de la République chargée de l’enquête, Mme Jay Padcouye, chargée de déterminer le degré de folie et de dangerosité de l’individu.
L’enquête de voisinage a permis de déterminer que celui-ci ne portait pas de masque, faisait du sport, se promenait souvent en forêt, qu’il prenait des vitamines et avait une vie saine.
D’autre part, fait étrange qui souligne la bizarrerie de l’individu, celui-ci ne prenait jamais de médicaments malgré son âge.
Une voisine, Mme Aimée Vichy, nous a confié que rien n’avait été fait malgré les dizaines d’appels téléphoniques anonymes qu’elle avait passés à la gendarmerie depuis le mois de mars dernier.
Le maire de Bourgnon sur Oiseuse, qui se serait bien passé de cette publicité, a quant à lui déclaré qu’il ne cautionnait absolument pas ce type d’agissements et que l’ensemble de ses concitoyens respectait scrupuleusement les mesures sanitaires surtout et y compris les plus absurdes !
Afin de limiter le brassage, il avait même été décidé que les habitants ayant un numéro pair pourraient se rendre au marché de la ville les semaines paires et inversement tout en alternant une semaine pour les hommes et une semaine pour les femmes. Les enfants pouvant s’y rendre, en toute logique, une semaine sur quatre, sauf les mois qui comportent 31 jours. Des cours du soir avaient été proposés par la ville afin de rappeler ces règles de bon sens.
Qui aurait pu prédire un tel drame ?
Nous vous rappelons que selon les données officielles de Santé Publique France, le risque de décès pour une personne jeune et en bonne santé n’est que 10 fois plus important pour les personnes vaccinées que de décéder du Covid.
Nous fondons de grands espoirs sur les variants favorisés par les vaccins afin que ce risque augmente de façon significative.
Hélas, l’objectif de plus de décès par la vaccination que par le Covid prévu pour la fin 2021 risque de ne pas se produire avant 2023 si aucun progrès significatif n’est apporté dans les vaccins actuels.
Espérons que les défenses immunitaires réduites à la fois par les gestes barrières, les confinements, les masques, le stress, l’épuisement psychologique, mais aussi surtout par les vaccins puissent accélérer les choses.
Nous ne manquerons pas de revenir vers vous surtout si nous n’avons rien à vous dire de plus…
Merci
Alain Tortosa correspondant CGN pour Facture Portes.
2 juin 2021
https://7milliards.fr/tortosa20210602-vaccin-pas-effet-secondaire.pdf
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