Et si la biologie moderne avait (presque) tout faux ?

15/01/2023 (2023-01-15)

[Source : Jérémie Mercier via RI]

La biologie moderne repose grandement sur la vision de Louis Pasteur à la fin du 19ème siècle, vision qui a encore en 2023 un statut de quasi-religion.

Pourtant, des visions alternatives du vivant permettent de mieux le comprendre et ainsi de mieux appréhender la santé de manière générale. Ainsi, les travaux du chercheur français Antoine Béchamp (1816-1908) et en particulier sa découverte des microzymas pourraient revenir sur le devant de la scène et casser le dogme pasteurien afin de contribuer à une médecine d’avenir réellement scientifique.

Pour ce 36e épisode de « Science en Conscience », Jérémie Mercier reçoit Alain Scohy, médecin et psychothérapeute, habitué des observations de tissus biologiques au microscope à fond noir, et qui livre une interprétation différente du vivant par rapport à celle de la biologie moderne, en s’appuyant sur les découvertes d’Antoine Béchamp.

[Voir aussi :
Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
La théorie des germes : Une erreur fatale
Le mystère des microzymas et le polymorphisme microbien
L’eau PI
Sensibilité de l’eau morphogénique aux ondes électromagnétiques]

Retrouvez le site d’Alain Scohy : ► https://www.alain-scohy.com/
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(6 commentaires)

  1. laisser de l’eau claire et pure à l’air libre pendant un certain temps, genre 15 jours et ensuite buvez là.

    vous allez voir si c’est le terrain

      1. Le soucis est que l’eau se polluait aussi à l’époque de pasteur qui n’avait pas toute cette pollution électromagnétique. Elle se polluait donc de choses organiques ou inorganiques. je ne suis pas persuadé que l’eau puisse « croupir » avec des polluants inorganiques.

        Entendons nous bien, je comprends qu’il y a aussi également des pollutions qui peuvent être les causes de maladies. Cependant les grandes épidémies que l’humanité à connues ont existé avant le monde moderne et les perturbateurs endocriniens.
        Ainsi même si les malades de la pestes mourraient surtout de complications bactériennes, ils mourraient quand même et il n’y avait pas de 5G à l’époque (enfin je suis presque certain).

        Que les pathogènes n’expliquent pas tout, c’est un fait évident, que les médecins se trompent dans de nombreux ça l’est tout autant. MAIS expliquer que tout n’est que terrain ne me semble porté par aucune observation.

        La contagion et contamination existe. qu’elle soit le fait de bactéries, d’exosome, de virus, d’ondes ou d’une arme extra terrestre ne change rien au fait qu’elle existe. que les mesures barrières ne servent à rien (ou à pas grand chose) est devenu une évidence ces 3 dernières années pour celui qui a encore 2 neurones qui fonctionnent. que la théorie du Ro et de l’immunité de groupe soit une foutaise est devenu une évidence.

        Cela n’enlève pas le fait qu’aucune observation ou expérience autre que théorique sur l’homme ne montre un début de preuve de ces théories alternatives avec application _médicale_ pour l’individu.

        Ainsi si je prends une tisane de cerfeuil, qui peut dire que la tisane modifie le terrain me rendant impropre à la maladie qui me rongeait ou que la mollécule de la substance active ferme la porte de telle récepteur. Que la maladie soit endogène ou exogène ne change pas le problème.
        Alors fermer la porte est-ce combattre la maladie ou changer son terrain ? Lors d’une péritonite aiguë est-ce que l’opération chirurgicale soigne la pathologie ou « modifie » le terrain.

        C’est, je pense, un point de discussion que l’on devrait avoir pour pouvoir discuter de la même chose.

        ps : j’avais déjà vu une ITW sur l’eau morphogènique et son absbortion des ondes suivant le spectre.

        1. https://nouveau-monde.ca/nouvelle-lumiere-sur-la-peste-noire-la-connexion-cosmique/

          Voir aussi les conditions d’hygiène déplorables à certaines époques, avec notamment l’eau contaminée par les excréments animaux ou humains.

          Les biophotons permettent la transmission d’informations sur l’état d’un corps et l’influence de l’un à l’autre à distance comme certaines expériences ont pu le démontrer.
          La peur est contagieuse sans l’intervention de microbes, de même que la bâillement, par exemple.
          La vidéo évoque deux phénomènes qui peuvent contribuer à une contagion à distance d’états pathologiques ou de symptômes (ce qui bien sûr devrait également être vérifié expérimentalement de manière scientifique rigoureuse, mais cela offre des alternatives possibles comme axe d’étude).

          Par contre, il n’a jamais été scientifiquement démontré une contagion bactérienne (encore moins virale) qui respecte tous les postulats de Koch sans lesquels il ne peut être démontré (et encore qu’imparfaitement) l’existence d’un lien de causalité entre un microbe et la maladie qu’il est censé provoquer.

          Votre problème, comme celui de beaucoup de médecins est que vous croyez que les symptômes représentent la maladie, alors que dans l’approche alternative proposée ils n’en sont que la conclusion, voire la phase de guérison. La maladie est avant tout un état de déséquilibre. Et la cause de ce dernier peut être multiple autant que singulière, selon les cas. Notamment une toxine est une cause possible d’un tel déséquilibre du corps. Celui-ci y réagit et fait alors apparaître les symptômes (parfois mortels, selon la létalité de la toxine). Également, un choc psychologique, une peur particulière, une émotion excessive… engendrent aussi un déséquilibre qui finit par se traduire en symptômes physiques, comme l’apparition d’un cancer.
          Selon les cas et les substances impliquées (notamment au niveau des toxines contaminantes), une tisane peut aussi bien seulement soulager les symptômes et dans d’autres cas il arrive peut-être que certaines de ses substances servent d’antidotes aux toxines.
          Une péritonite est une inflammation. Pour la soigner sans altérer manifestement le terrain comme le fait une chirurgie (on ampute une partie de ce terrain) nécessiterait de trouver la cause de l’inflammation et de corriger rapidement celle-ci. Une chirurgie n’agit pas sur les causes, mais sur les effets produits sur le terrain.

    1. En absence de présentation des affirmations en question et d’une argumentation suffisante, un tel commentaire est stérile et relève de dénigrement gratuit.

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