27/02/2021 (2021-02-27)
Transmis par Baryton
« L’utilisation prolongée du N95 et des masques chirurgicaux par les professionnels de la santé pendant le COVID-19 a provoqué des effets indésirables tels que des maux de tête, des éruptions cutanées, de l’acné, des lésions cutanées et une altération de la cognition chez la majorité des personnes interrogées. »
Source: 2020–Rosner : Elisheva Rosner E (2020)
https://clinmedjournals.org/articles/jide/journal-of-infectious-diseases-and-epidemiolo…
« Il a été démontré que le port de masques faciaux avait des effets physiologiques et psychologiques négatifs importants. Ceux-ci incluent l’hypoxie, l’hypercapnie, l’essoufflement, l’augmentation de l’acidité et de la toxicité, l’activation de la peur et de la réponse au stress, l’augmentation des hormones de stress, l’immunosuppression, la fatigue, les maux de tête, la baisse des performances cognitives, la prédisposition aux maladies virales et infectieuses, le stress chronique, l’anxiété et dépression. Les conséquences à long terme du port d’un masque facial peuvent entraîner une détérioration de la santé, le développement et la progression de maladies chroniques et la mort prématurée. »
Source: 2021–Vainshelboim : Vainshelboim B
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7680614/
« Le port du masque peut provoquer des tensions de céphalée musculaire [soit des tensions au niveau du crâne]. Avec le masque sur le visage, on force sur les muscles faciaux sans forcément s’en rendre compte, et on crée une tension à l’origine du mal de tête. Pour celles et ceux déjà sujets aux migraines, ces tensions peuvent provoquer des crises plus régulières. »
Source: Dominique Valade, neurologue
https://madame.lefigaro.fr/bien-etre/masque-boutons-demangeaisons-respiration-migraines…
« Le fait d’avoir une barrière collée près de la bouche et du nez permet aux bactéries inoffensives qui se trouvent dans notre organisme de proliférer à l’aide du niveau d’humidité, leur permettant de devenir dans certains cas des pathogènes menant à des infections sérieuses ou des maladies chroniques. »
Source: Antoine Khoury, microbiologiste et président-directeur général de l’entreprise Vacci-Vet à Saint-Hyacinthe
https://www.lecourrier.qc.ca/une-mesure-dangereuse-selon-un-microbiologiste/
« Les revues de la littérature ont confirmé que le port d’un masque pendant la chirurgie n’a aucun impact sur les taux d’infection des plaies pendant une chirurgie propre. Un rapport récent de 2014 déclare catégoriquement qu’aucun essai clinique n’a jamais montré que le port d’un masque prévient la contamination des sites chirurgicaux. »
Source: Why Face Masks Don’t Work: A Revealing Review. John Hardie, BDS, MSc, PhD, FRCDC
http://archive.is/My2jr
Initialement publié sur Oral Health Group.
« C’est une véritable pandémie de problèmes de peau liés au port du masque! Lorsqu’on porte le masque, une sorte de microclimat chaud se développe dans la zone couverte, avec une prolifération de microbes et de bactéries, ce qui peut provoquer des symptômes, des rougeurs ou des éruptions cutanées. Quand la peau n’est pas bien oxygénée, il y a un excès de production de sébum, ce qui mène à l’obstruction des pores de peau et des boutons. »
Source: Joseph Doumit, dermatologue à la clinique Union MD de Montréal
https://www.lapresse.ca/societe/sante/2020-08-28/que-faire-pour-eviter-le-mascne.php
« Nous savons que le port d’un masque à l’extérieur des établissements de santé offre peu de protection, voire aucune, contre les infections. »
Source: M Klompas, C Morris, et al. Universal masking in hospitals in the Covid-19 era. N Eng J Med. 2020
https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMp2006372
« On a constaté que les chirurgiens avaient une saturation en oxygène plus faible après des chirurgies, même aussi courtes que 30 minutes. »
Source: A Beder, U Buyukkocak, et al. Preliminary report on surgical mask induced deoxygena on during major surgery.
http://scielo.isciii.es/pdf/neuro/v19n2/3.pdf
La citation provient de la revue systématique Borovoy et al.
(https://pdmj.org/papers/masks_are_neither_effective_nor_safe/index.html)
« Les masques chirurgicaux se sont également avérés être un réservoir de contamination bactérienne. Il a été déterminé que la source de la bactérie était la surface corporelle des chirurgiens, plutôt que l’environnement de la salle d’opération. »
Source: L Zhiqing, C Yongyun, et al. J Orthop Translat. 2018 Jun 27; 14:57- 62
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30035033/
La citation provient de la revue systématique Borovoy et al.
(https://pdmj.org/papers/masks_are_neither_effective_nor_safe/index.html)
« Divers agents pathogènes respiratoires ont été trouvés sur la surface extérieure des masques médicaux usagés, ce qui pourrait entraîner une auto-contamination. Le risque s’est avéré plus élevé avec une durée d’utilisation plus longue du masque. »
Source: A Chughtai, S Stelzer-Braid, et al. Contamination by respiratory viruses on our surface of medical masks used by hospital healthcare workers.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31159777/
La citation provient de la revue systématique Borovoy et al.
(https://pdmj.org/papers/masks_are_neither_effective_nor_safe/index.html)
« Les chercheurs s’inquiètent du fardeau possible des masques faciaux pendant l’activité physique sur les systèmes pulmonaire, circulatoire et immunitaire, en raison de la réduction de l’oxygène et du piégeage de l’air réduisant les échanges substantiels de dioxyde de carbone. En raison de l’hypercapnie, il peut y avoir une surcharge cardiaque, une surcharge rénale et un passage à une acidose métabolique »
Source: B Chandrasekaran, S Fernandes. Exercise with facemask; are we handling a devil’s sword – a physiological hypothesis
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32590322/
La citation provient de la revue systématique Borovoy et al.
(https://pdmj.org/papers/masks_are_neither_effective_nor_safe/index.html)
« Les masques faciaux bloquent la signalisation émotionnelle entre les enseignants et les élèves »
Source: 2020–Spitzer : Spitzer M
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7417296/
« Les déficiences causées par le port du masque ont été rapportées par 68% des parents. Celles-ci comprenaient l’irritabilité (60%), les maux de tête (53%), la difficulté à se concentrer (50%), moins de bonheur (49%), la réticence à aller à l’école / à la maternelle (44%), le malaise (42%), les troubles d’apprentissage (38%) et somnolence ou fatigue (37%) »
Source: 2021–Shwarz
https://www.researchsquare.com/article/rs-124394/v2
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