09/02/2022 (2022-02-09)
[Source : Kla.tv]
Arne Burkhardt et Walter Lang, pathologistes de Reutlingen, ont pu confirmer pour la première fois que la protéine Spike, produite dans le corps par le vaccin Covid-19, pourrait être responsable d’inflammations et de lésions des vaisseaux sanguins pouvant entraîner la mort.
Des militants américains ont montré, en analysant les dommages causés par les vaccins, à quel point les lots de vaccins ont des effets extrêmement variables, allant de l’absence quasi-totale d’effets secondaires à des milliers de complications très graves, souvent mortelles. Cela est dû à une composition différente des doses de vaccin, ce qui ne devrait pas exister et qui est passé sous silence par Big Pharma, la politique et les médias.
Regardez maintenant les conclusions novatrices et les recommandations urgentes que le Dr Wodarg, spécialiste allemand en immunologie, donne sur ces faits.
Bonjour chers « promeneurs » ! [à l’écran : nom que se donnent en Allemagne les manifestants depuis l’interdiction de manifester]
Je suis heureux de pouvoir m’adresser à vous. Ces derniers temps, j’ai beaucoup réfléchi et j’ai appris beaucoup de nouvelles choses. Après m’être occupé des virus pendant de nombreuses années, je n’ai en fait plus guère envie de m’occuper de ce sujet, car il n’y a en fait rien de nouveau en matière de virus. Il y a du nouveau dans la biotechnologie. La biotechnologie prend un essor prodigieux, car elle s’est mise au service de ceux qui veulent changer le monde, qui veulent étendre leurs intérêts, étendre leur pouvoir. Avant, ils le faisaient avec des guerres. Aujourd’hui, les guerres sont difficiles. Aujourd’hui, celui qui déclenche une guerre doit s’attendre à devenir lui-même une victime. Aujourd’hui, on utilise d’autres choses pour faire peur et la biotechnologie s’y prête très bien. Elle fait des choses qui sont très petites, on ne peut les voir qu’avec des appareils spéciaux. On peut y croire ou ne pas y croire. Les effets des interventions biotechnologiques arrivent parfois beaucoup plus tard.
Cette pandémie à laquelle on nous fait croire à l’aide du test PCR, est en totale contradiction avec ce que la plupart des gens vivent. Et ils font à nouveau l’expérience de la grippe cet hiver. Certains l’ont attrapée ; elle a touché un grand nombre de personnes, certaines en meurent. Mais ce qui est nouveau cette année, cet hiver, c’est qu’après un an d’applications génétiques et biotechnologiques imposées à des milliards de personnes, les prétendus vaccins, qui sont en fait des interventions génétiques, ont des conséquences. Au début, il était très difficile de savoir quelles étaient ces conséquences, ce n’était pas toujours le cas. Certaines personnes ont eu des effets secondaires très graves, d’autres n’ont rien ressenti du tout ou ont seulement ressenti quelque chose à l’endroit de l’injection. Il y a eu des séries où, dans une maison de retraite, beaucoup de ces personnes qui avaient reçu cette injection sont mortes peu après. Il y a ces nombreux sportifs, ces jeunes hommes musclés qui ont reçu une injection dans le muscle et qui ont ensuite eu une myocardite ou une insuffisance cardiaque. Donc il y a eu beaucoup de phénomènes différents que nous avons vus, mais ce n’était pas non plus chez tout le monde. Maintenant, on voit un peu plus clair dans cette obscurité : après que quelques scientifiques très, très intelligents ont analysé de plus près les données de la base de données des effets secondaires VAERS [Vaccine Adverse Event Reporting System] aux États-Unis. Ils ont en effet constaté que seuls quelques lots provoquaient ces effets secondaires graves. La plupart des lots ne provoquent presque pas d’effets secondaires, pas plus d’effets secondaires que d’autres vaccins connus également. Mais quelques lots sont très dangereux. Certains ont entraîné un risque trois mille fois plus élevé que les vaccins normaux, d’autres un risque mille fois plus élevé, deux mille fois plus élevé. Et des centaines, voire des milliers de personnes en sont mortes. Cela signifie qu’en fait, ce n’est pas possible, parce que les seringues qui sont vendues doivent contenir la même chose partout. Et cela n’existe pas ailleurs, qu’un prétendu vaccin contienne parfois quelque chose de dangereux et parfois non.
Nous assistons actuellement à l’apparition d’une toute nouvelle technologie censée nous immuniser, mais ce n’est pas le cas. Car ces injections dans le muscle ne nous empêchent pas de continuer à être infectés par des virus et de transmettre ces virus. Même de transmettre les Coronavirus, même le variant Omicron, qui est l’un des nombreux variants à venir, elle se transmet. Et nous nous contaminons avec eux. Mais ce n’est pas ce qui nous rend si malades, ce qui nous rend malades maintenant, ce qui rend beaucoup de gens malades, ce sont les effets secondaires de ces injections. Ce sont les thromboses dues aux protéines Spike. Ce sont aussi les inflammations, les déficiences immunitaires qui apparaissent. Tous ces effets sont dus en partie aux protéines formées dans le corps, ou au fait que le système immunitaire est réorienté dans le corps et que le système immunitaire n’est pas confronté à des parties de virus là où il le fait habituellement, c’est-à-dire dans la bouche et le pharynx, mais quelque part dans le corps. Et ça irrite le système immunitaire, ça le perturbe et ça conduit à des réactions erronées. En outre, comme on le sait maintenant, les protéines Spike peuvent pénétrer dans le noyau des cellules immunitaires et peuvent y provoquer de graves perturbations et entraîner une déficience immunitaire. Cela aussi est de plus en plus observé, mais curieusement, ce n’est pas le cas partout. Sinon, des millions de personnes mourraient et des millions de personnes tomberaient malades dès maintenant. Nous ne savons pas si des millions de personnes ne tomberont pas malades plus tard à cause des effets à long terme. Mais ce qu’on observe dans la banque de données, c’est que justement, pour certains lots, beaucoup tombent malades, mais ça veut dire que les entreprises pharmaceutiques ne mettent pas toujours la même chose dans les seringues.
Et ça ne doit pas se produire, nous avons en fait des autorités de contrôle qui garantissent que c’est une norme, que ce qui est écrit est bien ce qu’il y a dedans. Elles ne le font pas. Et ça s’explique à mon avis par le fait que nous avons maintenant, ce qu’on appelle la « procédure télescopique ». Nous sommes soi-disant en situation de pandémie, et dans cette situation beaucoup de choses sont autorisées, qui ne le seraient jamais autrement.
Il y a des phases où les vaccins sont testés : Phase un – deux – trois – et ensuite l’autorisation de mise sur le marché et ensuite une étude d’observation – phase quatre – encore après. En fait, nous sommes dans la phase quatre, où toutes les autres étapes devraient déjà avoir eu lieu. Mais nous savons que pour beaucoup de ces vaccins, il n’y a pas eu de véritables tests sur les animaux. Et beaucoup de choses n’ont pas été exclues. Des essais n’ont été réalisés que sur des personnes en bonne santé, bien que ces vaccins soient maintenant recommandés pour les malades et même pour les femmes enceintes ! Cela signifie que beaucoup de choses sont inconnues et que beaucoup de choses sont en train d’être testées.
Et c’est bien sûr une énorme opportunité. Il y a maintenant 128 fabricants de vaccins différents qui font des essais cliniques – certains même avec des virus qui se reproduisent eux-mêmes ; c’est-à-dire des vaccins qui se reproduisent eux-mêmes – jadis cela n’aurait jamais été autorisé. Et le patron de Bayer a lui-même déclaré lors du « Global Health Summit » à Berlin : « Il est étonnant de voir tout ce que les gens acceptent maintenant. Il y a deux ans, personne n’aurait accepté ce qu’on injecte aujourd’hui. Et l’industrie est ravie ; ils ont de nombreux brevets, ils peuvent maintenant tout essayer, et personne ne le remarque. Le comité d’éthique approuve tout…, après tout, c’est une pandémie. Et maintenant, beaucoup se réjouissent déjà des nouveaux vaccins, des vaccins qu’on prétend meilleurs. Ils essaient quelque chose qui n’existait pas auparavant. Et ils ne savent pas comment ils vont l’essayer. Il existe les études pour la détermination de la dose, le vaccin est injecté à forte dose à des gens et à dose plus faible à d’autres. Nous observons la même chose actuellement, par exemple Biontech l’a fait avec des millions de personnes aux États-Unis. Ils ont eu des seringues, des lots, qui ont eu 3 000 fois plus de létalité – 3 000 fois plus d’effets toxiques, d’autres ont eu 2 500 fois plus, puis ils en ont eu une avec 2 000 fois d’effets toxiques, puis avec 1 500, 1 000 et 500. Ils ont donc correctement titré, et cela pendant la phase quatre. D’habitude, on le fait avec peu de gens en phase deux. Et maintenant, on le fait comme ça, sans que personne ne le remarque.
Et vous, chers médecins, vous êtes d’accord avec cela ! Vous faites ces injections. Vous transformez vos patients en cobayes. Saviez-vous que ce sont des expériences qui sont faites ici ? Vous pouvez le lire, c’est publié dans les données VAERS. J’ai mis les sources sur mon site et je l’explique également. Ce qui se passe actuellement est un crime. Ce sont des essais sur l’homme – ; et les gens ne sont pas d’accord, ils sont contraints de le faire. C’est une chose très grave que de transformer en cobayes des personnes qui n’ont pas le choix. Cela s’est déjà produit en Allemagne et a conduit aux procès de Nuremberg. Et ces personnes qui ont fait cela ont été condamnées. Ce qui se passe actuellement ce n’est pas un hasard ; mais ce sont des expériences qu’on fait volontairement, et intentionnellement. Et on profite de la peur des gens et de la prétendue « situation d’urgence » et de la stupidité des politiciens qui laissent passer ça, et de la corruption des institutions qui sont censées nous protéger. Ils nous exposent à ces expériences. La biotechnologie donne des possibilités inimaginables. Maintenant pendant la pandémie, ils peuvent essayer tout ce qu’ils voulaient essayer depuis longtemps. Mais les politiques qui sont censés nous protéger ne le comprennent manifestement pas, ou alors ils sont corrompus.
Je peux bien imaginer que certains le comprennent très bien, ceux qui sont particulièrement bruyants et qui nous disent : c’est nécessaire, il faut le faire. Ceux qui ont aussi de très bonnes relations avec l’industrie. Je suis consterné par cette énergie criminelle que nous observons, et surtout que les médecins acceptent ça et y participent. Je me réjouis qu’il existe désormais une base de données dans laquelle on peut faire des recherches. Si on va sur Google, on la trouve sous le titre : « How bad is my batch » « A quel point mon lot est mauvais ». Là, on peut voir lesquelles de ces doses étaient très dangereuses, lesquelles sont moins dangereuses. Bien sûr, il est possible que les doses futures n’y figurent pas encore. Mais si vous devez ou voulez vous faire injecter ou si vous y êtes contraint et que vous voulez quand même le faire, demandez à votre médecin s’il sait de quel lot il s’agit, s’il s’agit d’un des lots dangereux ou d’un lot qui ne l’est pas, où il n’y a que du sel de cuisine, ou qui ne contient rien de nocif.
Demandez à votre médecin, ne vous faites pas injecter n’importe quoi. Chaque médecin devrait savoir quels lots lui sont livrés et devrait être sûr qu’on a vérifié ce qu’il y avait dedans, non ? Nous savons maintenant qu’il n’y a pas la même chose dans tous les lots. C’est interdit. Nous savons que cela se fait quand même. On nous force à prendre ces injections. Et c’est pourquoi, chers médecins, vous devez demander ces informations, demandez ce que vous avez reçu, ce qu’on vous a livré. Chers pharmaciens, demandez : « qu’est-ce que vous me livrez-là ? Comment puis-je être sûr de ce qu’il y a dedans ? » Et chers patients, dites NON. Dites non à l’injection si vous n’êtes pas sûr qu’il s’agisse d’un produit contenant ce qui est écrit. Et même dans ce cas, dites non. Car vous ne pouvez toujours pas être sûr – ce sont des criminels qui sont à l’œuvre. Et vous ne devez pas vous livrer à ces criminels. J’espère vraiment que notre justice se remettra en marche. Elle pourrait bien sûr se rendre immédiatement chez Biontech, confisquer les ordinateurs, aller immédiatement voir ce qui se passe réellement. Vérifier immédiatement, dans les livres, dans les ordinateurs, partout, pour voir ce qu’ils ont fait. Mais notre justice préfère aller voir les médecins qui essaient de protéger les patients de ces injections et elle fouille le cabinet de ceux-ci plutôt que d’aller voir ces criminels. Nous vivons dans un monde terrible.
Les gens qui sont responsables de tout cela, qui ont planifié cela depuis longtemps, ils abusent des biotechnologues et des virologues et des pharmacologues pour entretenir notre peur. Les gens qui meurent maintenant dans les hôpitaux, prétendument avec le Covid, la plupart d’entre eux meurent des effets secondaires des injections. Et quand on dit que ceux qui se trouvent dans les hôpitaux sont tous des non vaccinés ! Vous savez, les non vaccinés, ce sont aussi des gens qui ont reçu le vaccin, l’injection, au cours des 14 derniers jours et qui ne sont pas encore comptés parmi les vaccinés. Mais c’est justement pendant ces 14 premiers jours que se produisent les effets secondaires aigus et graves. Cela signifie que de nombreuses personnes sont rendues malades en recevant une injection et on les compte parmi les non vaccinés. Ce qui est bien sûr totalement faux et c’est délibérément un aveuglement épidémiologique.
C’est incroyable tout ce qu’on nous demande de faire. Et je trouve merveilleux que vous descendiez dans la rue. Je trouve ça merveilleux que vous vous défendiez et que vous ne vous laissiez pas transformer en victimes d’un projet criminel. Je vous remercie tellement de vous engager et je vous souhaite tout le bonheur possible, une bonne santé et beaucoup de plaisir les uns avec les autres quand vous vous promenez dans les rues lors des manifs pacifiques. Vous ne devez pas avoir peur les uns des autres, les personnes vaccinées qui ont survécu ne doivent pas non plus avoir peur. Et j’espère qu’il n’y aura pas de conséquences à long terme pour ceux qui n’ont pas eu d’effets secondaires. Restons unis, vaccinés et non vaccinés. Et chassons les criminels de la maison, afin que nous puissions à nouveau débattre et nous entendre démocratiquement, conformément à notre loi fondamentale, dans des conditions de vie normales, comme nous en avons l’habitude. Restez courageux. Restez engagés. Restez unis.
Et oui, à la prochaine fois. Au revoir, Wolfgang Wodarg.
de hm
Sources / Liens : Dr. Wodarg zu den verschwiegenen Covid-19-Impf-Zusammensetzungen
https://www.bitchute.com/video/JqINeUu312v3/
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