Cruauté accrue de la Secte Affairiste Répulsive Sadique (la SARS) suite…

01/08/2021 (2021-07-30)

Par Lucien Samir Oulahbib

Cette Secte (étudiée depuis bientôt vingt ans maintenant dans ses racines par exemple en 2002) s’avère donc de plus en plus cruelle, manipulant férocement et frénétiquement depuis dix-huit mois les chiffres (passant ces temps-ci de… quatre à huit ou seize, ici et là, alors que le Delta est bien moins létal), le tout toujours pour faire peur (aujourd’hui des « jeunes-aussi-en-réa », bon(ne) d(r)ame), minima du dressage d’esclaves S.M (avec l’injection synthétique comme foutre mécanique, abaissant même l’âge de sa pénétration à 16 ans là aussi), alors qu’elle interdit toujours dans les faits de soigner de façon précoce (pas recommandé, tout en ne l’interdisant plus officiellement), menaçant toujours de casser l’IHU de Marseille (empêchant cependant des collègues de Raoult d’être qualifiés par le CNU au rang de professeur), poursuivant tous ceux (soignants, pourtant) qui contestent leurs mensonges, tout en continuant à fermer des lits d’hôpitaux…

Ce sont donc bien des sadiques, des criminels de plus en plus immoraux, mais qui se veulent « artistes » contemporains (j’en ai également étudié la philosophie dans de nombreux autres ouvrages et articles), affichant bien sûr visage d’ange, sourire, voix douce, compassion, mais — en même temps — visage atroce du zombi sans états d’âme, monstres passés maîtres dans l’art du Simulacre ou comment faire de la mort une œuvre avec ses chiffres en courbes seyantes — « je vais, je viens entre tes reins ».

Il faut bien comprendre que ce sont bien sûr des gens sans foi ni loi, ayant brisé tous les tabous, tous. Tous ? Vraiment ? Il en restait en effet encore un, le fait de ne pas mettre à mort des humains innocents en bonne santé tout en les nommant « malades qui s’ignorent », comme dans ces bons vieux récits antiques où l’on cherche à empoisonner pour asseoir son Pouvoir, ce must désormais pour certains « artistes » post Auschwitz :

« L’acte surréaliste le plus simple consiste, revolvers aux poings, à descendre dans la rue et à tirer au hasard, tant qu’on peut, dans la foule » 1.

C’est chose faite, la seringue en guise de flingue.

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