Crise de confiance entre les Français et le corps médical

28/02/2022 (2022-02-28)

[Source : RL]

Par Christophe Sévérac

Je suis Covid+. Grosse fièvre, fatigue, courbature, perte partielle du goût. Je ne suis pas vacciné, mais je suis en bonne santé et surtout, je sais à peu près comment me soigner. J’appelle mon docteur, lui explique mes symptômes. Il me demande si je suis vacciné… et me prépare une ordonnance pour un test PCR en labo. Avec une seule consigne : isolement, isolement, isolement. C’est beau la médecine en France en 2021. Ça sait remplir des papiers et vous coller l’ARS aux fesses.

Ils ont oublié leur mission qui était de soigner les gens. Les docteurs renvoient chez eux des milliers de personnes malades, sans traitements, sans soins, et quand leur état se détériore, direction les urgences et pour beaucoup (surtout au début), hélas, la morgue.

Comment appeler cela? Un crime de masse. L’état est le premier responsable qui a interdit pêle-mêle quasiment tous les traitements précoces. Mais on peut interroger néanmoins l’attitude pour le moins servile de la majorité des médecins.

Flavia Groșan, pneumologue roumaine affirme que c’est le protocole Covid appliqué dans les hôpitaux qui tue les malades ! Ce qui compte selon elle, c’est un traitement précoce, elle a donné des antibiotiques comme la clarithromycine, utilisé pour les pneumonies. Elle n’a eu aucun décès dans ses patients, même parmi les personnes âgées. En France, le professeur Raoult a eu de trop bons résultats dans son hôpital, il est maintenant harcelé par la meute.

Comme ils n’ont rien côté remèdes précoces, les médecins matraquent côté vaccination.

Mon grand frère (54 ans) s’est fait vacciner deux  fois Moderna. Depuis sa vie a basculé dans l’horreur. Péricardites à répétition, douleurs cardiaques insupportables, impossibilité de réaliser le moindre effort, aucune amélioration depuis six mois. Les médecins ne comprennent pas, ils évoquent peut-être une péricardite auto-immune…

Il a voulu faire un signalement ANSM, les médecins ont cherché à l’en dissuader, puis devant son insistance, on lui a fait remplir un papier, depuis il n’a eu aucune nouvelle.

Les victimes d’effets indésirables du vaccin témoignent de la difficulté des médecins à les écouter et les prendre au sérieux…

Ça va du condescendant « c’est psychologique, vous êtes dépressif», en passant par l’agacement « vous deviez avoir ça avant, c’est le hasard » ou le scientifique « désolé, mais statistiquement c’est infime », pour finir par l’autoritaire «  il n’y a aucun rapport, le vaccin n’y est pour rien ».

Un ami infirmier me disait que ces personnes dérangent. Leurs souffrances dont le vaccin est responsable est une accusation silencieuse de tout le système médical. Celui-ci se protège en ignorant, minorant, en rejetant tout lien de causalité.

Pourtant les chiffres sont affolants, le nombre de signalements concernant ces vaccins est sans commune mesure avec ceux des autres vaccins ou médicaments, même sur des décennies !

Peut-on encore faire confiance à ce système médical ?

La médecine est censée être le fer de lance du progrès et de la science, en réalité elle a toujours été inféodée au pouvoir en place. La médecine n’est pas une science et elle n’est aucunement neutre. En France, elle est intrinsèquement lié aux groupes pharmaceutiques et aux puissances dirigeantes. Le conseil de l’ordre, sorte de chien de garde, se charge de ramener les rebelles dans le droit chemin ou de les expulser.

Il faudrait un article entier pour parler de toutes ces personnes, ostracisées pour avoir oser chercher et trouver des solutions hors du cadre fourni par l’institution.

Dès les premiers symptômes, puisque je savais que mon docteur ne me donnerait rien,  j’ai pris des antibiotiques et antiviraux naturels, des huiles essentielles. Le Ravintsara est pratique d’utilisation car même les enfants et femmes enceintes peuvent en prendre et j’ai complété avec du pin sylvestre, très efficace pour les voies respiratoires. Ce sont des substances puissantes, il faut toujours faire attention à la posologie et aux allergies éventuelles.

Les Français ne s’y trompent pas, la consommation d’huiles essentielles explose, +45 % en 6 ans (chiffres 2017).

L’industrie pharmaceutique ne pouvait pas rester sans réagir, le programme Reach de l’union européenne, qui a l’origine devait lutter contre les substances chimiques toxiques dans les produits de consommation, s’attaque aux huiles essentielles, en les considérant comme des produits industriels ! Elles risquent de disparaître. L’enjeu est crucial : la possibilité de se soigner quand le gouvernement vous prive des médicaments efficaces.

Le système médical s’est transformé en une espèce d’accélérateur de la numérisation de l’individu, compte virtuel, dossier médical numérique dès la naissance. On sent la nasse se refermer, ce mouvement de numérisation de notre santé et de nos identités est mondial. Pour ma part, j’ai refusé l’ouverture de ces comptes pour mes enfants et pour moi-même.

En prenant un peu de hauteur, on peut voir que le système de santé a été dévoyé de sa mission première qui est de soigner, pour vacciner et contrôler la population. Il a été déshabillé par des fermetures de lits, des manques de moyens, la maltraitance des soignants, la persécution de nombreux médecins et infirmiers.

Nous avons glissé en deux ans dans le monde merveilleux de Kafka.

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