Coup de froid pour la doxa

15/12/2022 (2022-12-15)

[Source : neosante.eu]

Yves Rasir

Par Yves Rasir

Depuis quelques jours, je suis occupé à relire et peaufiner les articles du Néosanté de janvier avant de les envoyer à la mise en page. Et je peux vous dire que je me régale ! Dans ce numéro que je vous promets passionnant, il y aura notamment de longs entretiens avec les deux « résistants » que j’admire le plus : la merveilleuse chanteuse Ingrid Courrèges et le brillant statisticien Pierre Chaillot. Ce dernier vient d’achever un livre qui explose la doxa du covid et c’est à notre mensuel qu’il a accordé  sa première interview d’auteur. En gros, le spécialiste des chiffres démontre que tout est faux dans la narration officielle de la pseudo-pandémie : mortalité, hospitalisations, tests PCR, efficacité vaccinale, effets secondaires, rien ne résiste à son analyse minutieuse des données émanant pourtant des gouvernements et autorités de santé. Le jeune youtubeur couche ainsi sur papier toutes les révélations qu’il a distillées depuis bientôt trois ans – sa première vidéo remonte en effet à février 2020, c’est dire s’il a vite compris qu’on se foutait de nous –  via sa chaîne Décoder l’Éco et au fil des réunions publiques du Conseil Scientifique Indépendant (*). Je ne vais pas vous résumer l’ouvrage (qui sortira en janvier  chez l’éditeur bien nommé L’artilleur) ni spoiler l’interview, mais je vais partager les deux passages qui sont à mon sens les plus instructifs et les plus explosifs : celui où Pierre Chaillot exprime sa conviction qu’il n’y a pas de facteur causal viral et celui où il explique que le taux d’infection est étroitement lié aux températures, autrement dit que la grippe covid est indubitablement saisonnière et indéniablement  consécutive à un refroidissement des organismes soumis aux circonstances climatiques. L’air de rien, ces deux éléments sont de nature à faire s’écrouler le paradigme médical pasteurien et à jeter les fondations d’une toute autre compréhension des maladies dites infectieuses.

[Voir aussi le dossier Vaccins et virus dont les articles suivants :
La virologie : pseudoscience au service de la domination
Le docteur Julien Devilléger nous présente une synthèse qui expose des preuves : Le « Virus SARS-CoV-2 » est-il responsable du COVID-19 ?
Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?
Démantèlement de l’hypothèse virale
La Fin de la Théorie des Germes — Documentaire
Le mythe de la contamination épidémique (Vidéo de Pierre Chaillot)
VIRUS TUEUR ??
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS
Épidémies et contagions
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
L’enterrement de la théorie virale]

Cherche contagion désespérément

Sur l’impossibilité que le fléau soit provoqué par la propagation d’un agent infectieux, voici ce que Pierre Chaillot nous a déclaré :

« Les modèles épidémiologiques sont basés sur l’hypothèse d’une contagion et permettent de justifier des politiques coercitives pour contrer une « propagation exponentielle de la maladie ». Le modèle le plus utilisé (et médiatisé) est connu sous l’acronyme SIRD. Ces lettres désignent plusieurs « compartiments » au sein d’une population (les Susceptibles, les Infectés, les Rétablis, les Décédés). Dans ce modèle, le début d’une épidémie correspond à une fonction exponentielle, le résultat de l’équation entraîne généralement des prévisions catastrophistes.

L’épidémiologiste britannique Neil Ferguson est un multirécidiviste en matière de scénario apocalyptique. Son modèle Covid repose sur 940 paramètres, dont bon nombre sont parfaitement arbitraires. Il prétend recréer une réalité virtuelle dans laquelle on simule les déplacements des individus « Susceptibles », leurs rencontres et la probabilité de « transmission » du virus à chaque rencontre. C’est un modèle plus qu’aléatoire qui donne des résultats complètement différents à chaque fois qu’on le lance. Au cours de mes travaux statistiques ces trois dernières années, j’ai vainement essayé de représenter les différentes vagues de l’épidémie de Covid-19 selon les modèles de propagation. Force est de constater qu’il n’y a aucune trace de courbe exponentielle dans aucune des statistiques de mortalité ! L’observation du nombre de décès quotidiens en France depuis 1972 contredit l’hypothèse de propagation comme responsable de l’augmentation des décès : jamais en période déclarée comme épidémique, il n’est possible d’observer une augmentation suffisamment importante de décès d’un jour à l’autre permettant de confirmer une évolution exponentielle. Les accroissements de décès les plus importants se situent lors de périodes non épidémiques, notamment la canicule de 2003. Dans ce modèle, on pourrait ainsi prouver que la chaleur est une maladie contagieuse.. (…)

Mes rencontres avec d’autres chercheurs ont contribué à modifier mes croyances sur la genèse des épidémies. Denis Rancourt, chercheur canadien, a contribué à m’ouvrir les yeux : aucune mortalité hivernale ne s’est jamais propagée. Tous les pays de l’hémisphère nord ont des pics de mortalité simultanés. Il n’y a pas de « propagation » épidémique expliquant la mortalité, il y a une apparition, partout en même temps, de malades, suivie d’une hausse des décès. S’il y avait propagation, on observerait nécessairement sur les courbes de mortalité des décalages de plusieurs semaines à plusieurs mois entre les pics de décès de deux pays. Or les décès sont parfaitement synchronisés tous les ans, tous les hivers pour tous les pays.  Différents échanges stimulants avec d’autres scientifiques, comme Eusèbe Rioché et Jacques Colin de Verdière, qui ont contribué à la rédaction du livre, m’ont conduit à abandonner des présupposés que je croyais « scientifiques ». Au final, je suis arrivé à la conclusion, cohérente sur le plan statistique, que les conditions climatiques sont un facteur majeur dans la survenue des maladies saisonnières et que l’intervention d’un virus tueur n’est pas forcément nécessaire pour expliquer le phénomène. » 

Le rôle capital du froid

Pierre Chaillot a approfondi cette question du rôle du froid et voilà ce qu’il a répondu à notre journaliste Pryska Ducœurjoly :

« Dans une partie co-écrite avec Jacques Colin de Verdière, ingénieur chimiste, nous montrons que les variations dans les décès correspondent parfaitement aux variations de température. On peut superposer les deux courbes avec une corrélation parfaite, notamment dans la classe d’âge la plus âgée. J’en ai été le premier surpris. On peut même produire des estimations de décès attendus en fonction des courbes de températures. Ces estimations sont bien plus performantes que les modèles épidémiques actuels ! (…)

Que certains soutiennent le fait qu’un virus se propage dans la population, pourquoi pas ?  En revanche, l’analyse statistique ne permet pas de dire que ce quelque chose qui se propage a un impact sur la mortalité ou les hospitalisations. Malheureusement, malgré ses multiples failles, l’hypothèse de la contagion virale fait partie des théories non réfutables. [NDLR une théorie non réfutable est par essence non scientifique, puisqu’au contraire toute théorie réellement scientifique admet la discussion, la mise à l’épreuve des arguments, la contre-expérimentation…] On croit fermement que les malades et les morts sont causés par un mystérieux virus et toute déviation des faits par rapport à l’hypothèse sera expliquée par un caprice du virus :
il a muté,
il est en sommeil,
il y a des asymptomatiques,
il se propage non-linéairement,
ils sont en fait plusieurs,
il y a des super-spreaders,
il manque des compartiments dans le modèle, etc.

Mon analyse et celles des auteurs contributeurs ne montrent pas que la baisse de température extérieure est l’élément causal de la mortalité. Elle montre uniquement que l’élément causal est à chercher prioritairement parmi les caractéristiques de la personne, dont l’âge est de très loin prédominant, et en second lieu parmi les changements de conditions de vie, notamment celles liées aux saisons. Le changement d’humidité de l’air peut très bien jouer un rôle. Il y a en effet une corrélation presque parfaite entre température extérieure et taux d’humidité.

Nous essayons d’élargir la réflexion pour entrevoir d’autres pistes comme par exemple la prise en compte des conditions d’assèchement de l’air par temps froid qui peuvent favoriser la pénétration de particules fines au fond des bronches. Ces particules ne sont pas forcément virales et peuvent aussi bien provenir d’une pollution de l’air ambiant, comme c’était le cas à Wuhan au moment du début de l’épidémie de coronavirus. Cela permet d’entrevoir des solutions peu coûteuses mais qui ne font pas les choux gras de l’industrie pharmaceutique et de leurs sponsors. On pourrait par exemple installer des humidificateurs d’air dans les hôpitaux et les EHPAD. 

Modifier notre conception des épidémies ne sera pas chose aisée. Nous avons tous été biberonnés à la théorie virale. Dès que plusieurs personnes tombent malades au sein d’un même foyer, on accuse immédiatement un virus. Or cela pourrait simplement être dû au fait qu’on partage les mêmes conditions de vie, qu’on respire le même air ou qu’on est exposé en même temps à un changement climatique. Des études montrent que la composition cellulaire du sang peut varier selon la saison. Il existe très probablement des liens entre « l’état de santé » (le terrain individuel) et les conditions météorologiques. »

Une étude qui tombe à pic

Le hasard faisant toujours bien les choses,  j’avais à peine envoyé à notre graphiste les propos de Pierre Chaillot que je découvrais une publication scientifique traitant de l’influence du froid sur la survenue du rhume et des pathologies grippales. Je me suis  évidemment empressé d’en faire le sujet de ma petite rubrique ZOOM dans la page Santéchos du prochain Néosanté. Vous voulez la lire en primeur ? Allez, puisque c’est bientôt Noël et que le temps hivernal lumineux qui règne actuellement me met toujours de bonne humeur, je vous communique cette réflexion avant son impression dans notre mensuel de janvier :

« Dans son livre (lire pages suivantes), le statisticien Pierre Chaillot démontre que les flambées de grippe covid sont indubitablement et inversement corrélées aux températures :  plus il fait froid dehors, plus les cas de syndromes grippaux attribués au coronavirus augmentent.  Les deux courbes évoluent de manière strictement identique et cela prouve imparablement que la « pandémie » n’était rien d’autre qu’une offensive grippale de moyenne intensité. Cette révélation fracassante tombe à pic car une équipe de scientifiques nord-américains vient justement de découvrir pourquoi le froid facilite le rhume et les autres infections hivernales. Les chercheurs de la Harvard Medical School (USA)  et de la Northeastern University (Canada) ont découvert, à l’intérieur du nez,  une réponse immunitaire jusqu’alors non identifiée à l’égard des virus impliqués dans les troubles des voies respiratoires supérieures.  Selon leur étude publiée en décembre dans le Journal of Allergy and Clinical Immunology,  cette réponse protectrice est inhibée lorsque les températures sont plus froides, ce qui augmente le risque d’infection.

Jusqu’à présent, la science médicale supposait que la saison du rhume et de la grippe se produisait pendant les mois les moins chauds parce que l’air froid et sec fragilise les muqueuses et parce que les gens se confinent à l’intérieur en accroissant ainsi les occasions de contamination.  Ces nouveaux travaux mettent cependant en évidence une autre explication biologique  – la variation de la réaction immunitaire en fonction du climat  – au caractère saisonnier des infections respiratoires. Bien sûr, les chercheurs sont chaussés de lunettes pasteuriennes et ils imputent la causalité pathogène principale aux particules virales. Leur myopie les empêche également de percevoir que les conflits psycho-émotionnels affectant la sphère ORL et les poumons surviennent fatalement plus souvent lorsque les gens s’enferment dans des espaces clos. Leur découverte d’un mécanisme protecteur  entravé par le froid est néanmoins majeure car elle devrait très logiquement conduire à privilégier la prévention naturelle des refroidissements, vu qu’aucun vaccin ni médicament n’empêchera jamais le mercure de plonger. » 

Comment prévenir les refroidissements ?  Mère Nature nous procure bien sûr toutes sortes de remèdes efficaces. Dans ce même Néosanté de janvier 2023, on vous rappelle les vertus du miel et on vous révèle que des chercheurs belges viennent de vérifier l’efficacité de l’échinacée sur le covid, ce qui n’a rien d’étonnant puisque cette fleur est déjà une parade éprouvée du rhume et de la grippe. De notre point de vue holistique et psychobiologique, ces précautions « matérielles » seront cependant inutiles si vous ne veillez pas particulièrement à votre hygiène émotionnelle et relationnelle durant la saison froide. C’est si –  et seulement si –  vos relations humaines sont refroidies et qu’un conflit existentiel vous contrarie au point de ressentir le climat comme  glacial et l’atmosphère  comme irrespirable que la maladie respiratoire vous guette. Elle vous tombe dessus ?  Restez sereins  car la médecine nouvelle du Dr Hamer enseigne aussi que les symptômes d’une affection surviennent très généralement lorsque la guérison est déjà en chemin. Pour franchir ce cap parfois délicat, pensez à  relire le « protocole anticovid 100% naturel » que nous avons publié dans le Néosanté n° 125 de septembre dernier.

Yves Rasir

(*) Décrypteur infatigable des mensonges officiels,  Pierre Chaillot vient encore de débusquer une  tromperie statistique,  celle du taux de non-vaccinés en France qui est minoré par les autorités et qui est beaucoup plus important qu’elles l’admettent. Dans la dernière visioconférence du CSI, le statisticien revient également sur la dissimulation des effets secondaires du vaccin et de TOUS les vaccins. Vous pouvez visionner cette émission du 8 décembre en cliquant ici.

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⚠ Les points de vue exprimés dans l’article ne sont pas nécessairement partagés par les (autres) auteurs et contributeurs du site Nouveau Monde.

(11 commentaires)

  1. L’absence de preuve n’est pas la preuve de l’absence.

    C’est assez triste de devoir ferrailler toujours et encore contre les mêmes faux arguments. Que les « preuves » de l’existence des virus soient sujette à caution est un fait.

    MAIS il est évident qu’il se passe quelque chose et les conditions climatiques n’en sont pas les seules responsables. Ces mensonges remontent à loin : On attribuait déjà la totalité de la surmortalité hivernale à la grippe, histoire de vendre le vaxXxin. C’était malhonnête mais cela ne veut pas dire que la grippe n’existe pas. De la même manière dire que la totalité des morts 2020 sont des morts DU covid est un profond mensonge, cela ne veut pas dire que le covid n’existe pas.

    Le virage manqué de pierre est lorsqu’il a voulut comprendre ce qui se passait, quand il a voulu apporter une réponse aux question en suspens, il est tombé sur rancourt qui a sa petite théorie hallucinatoire et en même temps sur le groupe des « les virus n’existent pas ». Ainsi il a décide de jouer un peu avec le décalage des débuts d’épidémies (pour une raison rancourienne de centrer les courbes) et d’un seul coup cela ne correspondait plus à des épidémies qui se propageaient puisque toute commençait en même temps (forcément le centrage des courbes amène mathématiquement à cela). Toute sa « théorie » repose sur cela. mais c’est une erreur d’hypothèse.

    Maintenant, il est certain que la grande majorité des morts sont morts euthanasiés, laissés sans soins, soignés n’importe comment, ou par le vaxXxin… mais cela ne veut en aucun cas dire que le virus n’existe pas et que les contagions sont une vue de l’esprit.

    La contagion est une évidence pour tout le monde qui fait un peu attention, vouloir détruire ceci en arguant qu’en décalant les courbes cela ne correspond plus, oublie juste que décaler les courbes c’est manipuler les données.

    Ainsi PERSONNE de censé n’arrivera à occulter le fait que l’épidémie (ou une des épidémies) à commencé à wuhan, est arrivé à la BA de creil avec le rapatriement du personnel de wuhan qu’on a lâché dans la nature et qu’une personne de creil est allé se perdre à mulhouse dans ce grand rassemblement qui fut le foyer de départ dans le grand est.

    Maintenant c’est peut être une coïncidence, de la même nature que les vaxXxiné ont tendance à mourir soudainement de cause inconnue (tout sauf le vaxXxin), mais pour le moment on n’a aucune base intellectuelle sérieuse pour réfuter cette chaîne de contamination. Manipuler les données pour retomber sur ces pieds est mal honnête. Quand à l’influence du froid, les morts covidé d’aout ne vous remercient pas.

    1. Il n’est nullement nécessaire de fréquenter des grippés pour avoir une bonne grippe ni de fréquenter des enrhumés pour avoir un rhume.
      Inversement, en avoir n’implique pas que tout notre entourage (ni même qu’un seul membre de cet entourage) va l’avoir à son tour.
      Par contre, un bon coup de froid, ça facilite les choses (même en plein été avec de l’air conditionné).

      Je vous invite à lire les articles du dossier Vaccins et virus et notamment :
      https://nouveau-monde.ca/la-virologie-pseudoscience-au-service-de-la-domination/
      https://nouveau-monde.ca/confirmation-ecrite-les-scientifiques-ne-peuvent-apporter-aucune-preuve-de-lexistence-dun-virus-pathogene/
      https://nouveau-monde.ca/demontage-de-la-theorie-virale/
      https://nouveau-monde.ca/covid-arnaque-lhistoire-de-la-grippe-une-histoire-importante-pour-en-parler-autour-de-vous/
      https://nouveau-monde.ca/preuve-dun-lien-entre-la-covid-19-et-lexposition-aux-rayonnements-radiofrequences-des-communications-sans-fil-y-compris-la-5g
      https://nouveau-monde.ca/paquet-dondes-radio/
      https://nouveau-monde.ca/la-maladie-des-ondes-radio-lhistoire-de-lelectrohypersensibilite/
      https://nouveau-monde.ca/go-virus-go/ (sur l’histoire des procès de Lanka concernant le prétendu virus de la rougeole)
      https://nouveau-monde.ca/le-docteur-julien-devilleger-nous-presente-une-synthese-qui-expose-des-preuves-le-virus-sars-cov-2-est-il-responsable-du-covid-19/
      https://nouveau-monde.ca/le-covid-a-travers-la-theorie-des-germes-150-ans-descroquerie-scientifique-sur-les-virus/
      https://nouveau-monde.ca/demantelement-de-lhypothese-virale/
      https://nouveau-monde.ca/toxicologie-contre-virologie-linstitut-rockefeller-et-la-fraude-criminelle-de-la-polio/
      https://nouveau-monde.ca/epidemies-et-contagions/
      https://nouveau-monde.ca/virus-mania-comment-big-pharma-et-les-medias-inventent-les-epidemies/
      Et en supplément :
      https://nouveau-monde.ca/communication-entre-organismes-vivants-par-biophotons/

      1. Alors , je vais le dire autrement. Nous allons faire une expérience ou vous en serez le sujet. Je vous propose d’aller faire quelques soirées coquines dans le milieu homosexuel du marais, sans protection. Je vous propose d’avoir de multiples relations sexuelles complètes non protégées avec des gens « faussement appelés » malades du sida et vous en sortir indemne avec votre régime alimentaire. Cela aurait de la gueule. Une personne qui défend un truc et qui paie de sa personne pour prouver ses dires… Cela changerait des affirmations derrière un clavier qui n’engagent à rien.

        Comme il était expliqué dans un long double article sur la tuberculose,(dans le blog de l’aimsib) il y a des tuberculoses autogènes, des tuberculoses exogènes (contamination), il y a des tuberculose qui ne sont pas contagieuses et des qui le sont.

        Pour le dire autrement, il est assez compliqué d’avoir des avis tranchés sur la question. MAIS il est tout simplement débile d’affirmer que LA contagion n’existe pas. D’abord parce que l’expérience le montre. qui n’a pas été convié étant jeune à ces après-midi rougeole où la quartier au complet allait passer l’après-midi chez un enfant pour « faire la rougeole » (actuellement, il reste encore des proximités varicelle pour arriver au même but.)

        Donc comme je le dis souvent, l’absence de preuve n’est pas la preuve de l’absence. Ainsi, si ce que l’on nous présente comme des « virus » n’en sont pas cela ne veut pas dire qu’il y a pas des pathogènes qui contaminent des gens, et que la contamination n’existe pas, juste que l’on a pas (encore) trouvé. Nous le covid on l’a attrapé, et je peux déterminer exactement quand et où. Je ne peux pas dire quelle personne en particulier, mais avant cette sortie je ne l’avais pas et après oui, et rien de changement dans les activités avant. Et ensuite toute la maisonnée l’a eu, avec aucun changement des habitudes.

        Que le bon coup de froid fragilise les organismes est un fait, mais si c’était le responsable, les inuits seraient déjà décimés, or, ils sont encore vivants… (et je parle pas des islandais, lapons et autres habitants des pays froid.) Par exemple la suede qui est un pays largement plus froid que le notre à eu très beaucoup moins de morts… et il y a fait plus froid.

        De mon point de vue, la base de son raisonnement est de recentrer les courbes sur le pic permet juste de les aligner et montrer qu’il n’y a pas contagion puisque tout apparaît en même temps. Mais recentrer les courbes est un artifice qui modifie les données : c’est mal. disons que cela en fait une théorie, et pas une vérité. Et je ne parle pas du fait que l’on doit approximer le soit disant début parce que le début de la courbe n’est pas la première personne contaminé, mais la première personne _enregistrée_ comme contaminé. Ainsi il y a une suite d’approximation qui permet de faire dire ce que l’on veut aux courbes.

        Maintenant, comme il y a aussi des « vagues » en période chaude, cela invalide la théorie que le froid est la cause. Le froid est un facteur aggravant. MAIS la même erreur avait déjà été faire pour la grippe « influenza del frio » avant qu’on s’aperçoivent que dans les zones intertropicales les grippes sont pendant la saison chaude, et mystère de l’univers un voyageur contaminé avec la grippe d’été ne contamine pas chez nous, mais on a des cas avérés de contamination de la grippe.

        Et si votre corps peut probablement produire ses « virus » ou les rendre pathogènes suivant certains circonstances, l’expérience montre que des civilisations entière ont été éteintes ou largement décimés par une « contamination » occidentale..

        Tout n’est pas contamination mais cela ne veut pas dire que LA contamination n’existe pas et décaler des courbes dans un tableur n’en fait pas une preuve scientifique.

        1. Vous n’avez manifestement pas lu les articles indiqués.
          Je n’ai pas dit que le froid était la cause, mais un facteur facilitant.
          La cause des maladies prétendument virales est très probablement un empoisonnement par divers éléments nocifs (dont les émotions négatives comme la peur). Dans le cas de la grippe et de la Covid symptomatiquement voisine, la cause principale sera un jour probablement reconnue comme étant les champs électriques et les ondes électromagnétiques pulsées (Wi-Fi, 4G, Bluetooth, 5G…). Cependant, il a également été démontré l’existence de masques et d’écouvillons de tests PCR contaminés au graphène (qui donne des symptômes voisins). Voir notamment https://nouveau-monde.ca/preuve-dun-lien-entre-la-covid-19-et-lexposition-aux-rayonnements-radiofrequences-des-communications-sans-fil-y-compris-la-5g
          Pour ce qui est du SIDA, voir les articles sur le sujet dans le dossier Virus et vaccins, dont https://nouveau-monde.ca/vous-aviez-raison-president-thabo-mbeki/
          Pour ceux qui ont quelques connaissances en logique et en méthodologie scientifique, avec les données dont nous disposons maintenant, il apparaît que la théorie virale n’a rien de scientifique, surtout depuis qu’elle est devenue incontestable avec toutes ses rustines incohérentes pour survivre, alors qu’elle aurait déjà dû disparaître il y a environ 70 ans.
          Si dans certains rares cas des contagions semblent réellement apparaître entre individus malades et individus préalablement sains, et si alors tous les contaminants possibles ont été scientifiquement écartés comme cause commune au malade initial et à celui qui ne l’était pas au départ (toxines alimentaires, eau contaminée par quelques poisons, polluants atmosphériques, ondes électromagnétiques artificielles, champs électriques, etc.), il reste que des découvertes assez récentes ont démontré que les organismes naturels communiquaient depuis les niveaux cellulaires par biophotons et pouvaient se transmettre de l’information sur leur état et, mieux, pouvaient influencer celui-ci.

        2. Pour répondre plus particulièrement à ce point : « Donc comme je le dis souvent, l’absence de preuve n’est pas la preuve de l’absence ».
          C’est bien comme une religion : l’absence de la preuve de l’existence de Dieu n’est pas la preuve de son inexistence.

        3. Dans les années 50, j’étais au lycée, une épidémie de grippe a mis au lit la quasi totalité des élèves, soit environ 600. Seuls 5 élèves dont j’étais n’ont absolument rien eu. Nous étions pensionnaires donc en contact permanent avec la population malade.
          Avez vous une explication à me donner ?
          Comment la contagion a t’elle pu nous épargner ?

          Vous allez me dire qu’on avait un système immunitaire plus robuste ?
          Je prends note.

          1. On peut d’ailleurs remarquer que les atteintes au système immunitaire ne sont jamais signalées depuis trois ans et bien plus par les autorités « qui nous veulent du bien ». La liste est longue, très longue. C’est il me exemple ce que Joseph Stroberg essaie de vous faire comprendre.

            Le microbe n’est rien, le terrain est tout. Antoine Béchamp et Claude Bernard

            Tout est fait au contraire pour que ce système immunitaire s’affaiblisse.

            C’est normal puisque tout régime totalitaire conduit inexorablement à l’autodestruction complète dans tous les domaines.

            Le grave déficit du système immunitaire dû aux injections expérimentales ne présente pas l’avenir sous un jour radieux.

      2. accessoirement, il y a des histoires qui sortent qui semblent montrer que les gouvernements dynamitent de l’intérieur les « complotistes » en les faisant adhérer à des choses délirantes. Ainsi ceux qui se battent contre les vaxXxins, ont arrive à leur faire dire que les virus n’existent pas et ils passent pour des débiles auprès de la population et deviennent inaudible.

        Vous remarquerez que dans le cas du covid, ici, on explique que le virus du covid n’existe pas et qu’il n’y a pas contamination ? SANS PREUVE. juste des artifices mathématiques.

        1. Après des siècles de croyance en la Terre plate, les rares lucides qui la démontraient comme étant ronde étaient aussi largement contestés, inaudibles ou éventuellement passaient pour débiles auprès de la population générale.
          Dans le cas de la Covid, prenez d’abord en compte les lieux d’implantation de la 5G et la similarité des symptômes avec la grippe (qui s’explique historiquement très bien par les champs électriques et les ondes électromagnétiques).
          Si les médias n’avaient pas mondialement fait tout un cirque, personne ne se serait rendu compte d’une éventuelle nouvelle maladie baptisée Covid-19. Il n’y a pas eu de surmortalité notable, sauf auprès de la population âgée euthanasiée au Rivotril et par absence de soins dans certains pays comme la France et le Canada.

  2. Pour toutes les affections hivernales et biens d’autres le CDS (Andréas Kalcker) ou le MMS (Jim Humble) et on n’en parle plus. Le dioxyde de chlore à dose pondérale fait des miracles. C’est bon marché, sans effets secondaires en s’y prenant doucement pour ne pas provoquer de réaction de désintoxication brutale.

    Le dioxyde de chlore est produit par le mélange de chlorite de sodium à 25% (ou 22,5%) avec une solution d’acide chlorhydrique à 4%.
    Vous trouverez les protocoles dans le livre d’Andréas Kalcker :
    https://andreaskalcker.com/fr/component/sppagebuilder/?view=page&id=108

    Ou dans le dernier livre de Jim Humble (2016) : (en anglais)
    https://www.pdfdrive.com/mms-health-recovery-guide-book-e176061397.html

    Sur yandex.com vous trouverez beaucoup d’informations en français sur Jim Humble, mais la référence est son livre de 2016 ou la nouvelle édition de 2019.

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