Alerte à la 5G 26 GHz dans la plandémie qui se prépare

[Publication initiale : ozlecarolo.com]

Par Özler ATALAY YÜKSELOĞLU

Depuis les alentours du 13 juillet, les personnes électrosensibles et les individus ciblés par armes à énergie dirigée ressentent une montée de l’intensité de leurs symptômes et des attaques qu’ils subissent.

En effet la fréquence 5G initiale de 3,5 GHz semble avoir été relevée à, nous pensons, 26 GHz qui est la fréquence visée officiellement par la plupart des opérateurs pour les objets connectés. En 2022, la Quinta Columna avait déclaré que c’était la fréquence nécessaire pour « amplifier le signal des transistors de graphène ». Le but visé est probablement l’activation du potentiel pathogène de ce matériau.

En 2021, une étude avait apporté la preuve d’un lien entre la maladie à coronavirus-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences provenant des communications sans fil, y compris la 5G. Le rapport a été réalisé par Beverly Rubik et Robert R .Brown, scientifiques du département de médecine psycho-corporelle, Collège de médecine intégrative et des sciences de la santé à l‘Université Saybrook aux USA.

Il étaient arrivés à la conclusion que la 5G affaiblissait le système immunitaire, déréglait la fonction cardiaque, provoquait des inflammation abîmant le système cardiovascualire et provoquait de l’hypercoagulation et de l’hypoxie. Symptômes que l’on retrouve étrangement dans la maladie dit covid. Nous observons une montée de cas présentent ces symptômes.

Ces conlusions étaient déjà valables pour les gammes de la 3G, 4G, 4G+ et 5G à ce moment à la fréquence de 3.5 GHz. Le passage à une fréquence plus élevé provoque inévitablement une aggravation des dégâts cellulaires et physiologiques.

Nous avons pris connaissances que Pfizer a annoncé qu’ils s’attendent, d’ici fin 2024, à faire 95% de leur chiffre d’affaires ? C’est à dire qu’une nouvelle plandémie est en préparation dans les coulisses et qu’ils comptent écouler encore des grandes quantités d’injections expérimentales.

Il est malheureusement à prévoir une rentrée agitée et un spectacle de la peur auquel nous espérons le peuple ne sera pas dupe. Il est préférable de limiter ses contacts des personnes vaccinées et non vaccinées tout en militant dans la mesure du possible contre la 5G malgré la censure gouvernementale.

Des moments pénibles nous attendent mais nous sommes dans une guerre spirituelle dans laquelle la patience et l’endurance seront nos alliés majeurs pour surmonter cette épreuve.




Une étude suédoise indique que les antennes 5G provoquent bel et bien le syndrome des micro-ondes

[Publication initiale : ozlecarolo.com]

Par Özler Atalay Yükseloğlu

Une étude scientifique publiée le 19 juin 2024 par Lennart Hardell, oncologue suédois et Mona Nilsson, co-fondatrice de la fondation suédoise de protection contre les radiations donne des résultats très convaincants sur la toxicité des antennes 5 G.

Les symptômes du syndrome des micro-ondes décrits dans les pays de l’Europe de l’Est sont reconnus par les scientifiques de cette étude. Ils sont évalués lors de la proximité des personnes souffrantes de ces antennes-relais, puis de leur éloignement, et il s’avère que c’est à ce moment que leurs symptômes diminuent voire disparaissent.

C’est donc une étude cruciale qui peut prouver à elle seule la dangerosité des antennes 5G et des ondes de la téléphonie mobile en général. Néanmoins il est à prévoir que la « communauté scientifique » réclame d’autres études (potentiellement financée par des tiers) pour établir définitivement le principe de cause à effet. Cette étude reste néanmoins une preuve incontournable pour notre argumentation tout comme les précédentes études de cette équipe en la matière.

[Condensé de l’étude :]

Résumé :

La cinquième génération, la 5G, pour la communication sans fil est actuellement déployée en Suède depuis 2019/2020, ainsi que dans de nombreux autres pays. Nous avons déjà publié sept rapports de cas qui incluent un total de 16 personnes âgées de 4 à 83 ans qui ont développé le syndrome des micro-ondes peu de temps après avoir été exposées à des stations de base 5G à proximité de leur domicile. Dans tous les cas, le rayonnement radiofréquence (RF) élevé de la 4 G/5G a été mesuré avec un détecteur à large bande. Le rayonnement RF a atteint >2 500 000 à >3 180 000 μW/m 2 en valeur maximale dans trois des études. Au total, 41 problèmes de santé différents ont été évalués pour chaque personne, classés de 0 (aucune plainte) à 10 (pires symptômes).

Les symptômes les plus fréquents et les plus graves étaient les troubles du sommeil (insomnie, réveil nocturne, réveil précoce), les maux de tête, la fatigue, l’irritabilité, les problèmes de concentration, la perte de mémoire immédiate, la détresse émotionnelle, la tendance à la dépression, l’anxiété/la panique, la dysesthésie (sensations inhabituelles au toucher), les brûlures et les lancinations cutanées, les symptômes cardiovasculaires (pouls transitoirement élevé ou irrégulier), la dyspnée et les douleurs musculaires et articulaires. Les troubles de l’équilibre et les acouphènes étaient moins fréquents. Tous ces symptômes sont inclus dans le syndrome des micro-ondes. Dans la plupart des cas, les symptômes ont diminué et ont disparu dans un court laps de temps après que les personnes étudiées se soient installées dans un endroit sans 5 G. Ces cas cliniques sont des exemples classiques d’études de provocation. Ils renforcent l’urgence d’empêcher le déploiement de la 5G jusqu’à ce que d’autres études de sécurité aient été réalisées.

Introduction

La 5G pour la communication sans fil est mise en œuvre en Suède ainsi que dans de nombreux autres pays depuis 2019/2020. Les antennes 5G émettent des rayonnements radiofréquences (RF) et jusqu’à présent, la fréquence 3,5 GHz a été utilisée comme onde porteuse pour la 5 G dans les environnements urbains. Lorsque la 5G est installée, les générations précédentes telles que la 2G et la 3G sont démantelées (https://www.pts.se/sv/privat/telefoni/teknikskifte/informationsmote-om-avveckling-av-2g–och-3g-nat/ ; en suédois). La 5G utilise la technique MIMO, à entrées et sorties multiples, avec l’utilisation de plusieurs antennes au niveau de l’émetteur et du récepteur. La 5G est jusqu’à présent diffusée en combinaison avec la 4G+ et enverra des données jusqu’à 100 fois plus vite que la technologie précédente (https://projectgoliat.eu/emf-5g/). Selon les études pilotes préliminaires menées en France, l’exposition à la 5G varie considérablement en fonction du nombre d’utilisateurs à proximité de la station de base et de la taille des transferts de données (https://www.anfr.fr/fileadmin/mediatheque/documents/5G/20200410-ANFR-rapport-mesures-pilotes-5G-FR.pdf).

De nombreux scientifiques ont exprimé des inquiétudes avant le déploiement de la 5G quant à une augmentation massive de l’exposition du grand public aux rayonnements RF (www.5Gappeal.eu). Il a été noté que les rayonnements RF étaient déjà prouvés nocifs pour la santé humaine aux niveaux rencontrés dans l’environnement avant le déploiement de la 5G. Ces inquiétudes ont également mis en évidence qu’il n’y avait pas eu de recherche antérieure sur les effets sur les humains et l’environnement de la nouvelle exposition aux rayonnements RF 5G, notamment les nouvelles fréquences plus élevées, les modulations, les impulsions rapides intense et peut-être plus important encore, l’exposition aux rayonnements RF beaucoup plus élevée attendue. En outre, dans un rapport au Parlement européen en 2019, il a été noté que l’exposition à la 5G sera plus complexe que les systèmes précédents : « Bien que les champs soient fortement focalisés par les faisceaux, ils varient rapidement avec le temps et le mouvement et sont donc imprévisibles, car les niveaux et les modèles de signal interagissent comme un système en boucle fermée. » (https://5gfree.org/wp-content/uploads/2020/07/IPOL_IDA2019631060_EN.pdf).

Pour un moratoire sur le déploiement de la 5G dès 2017 (www.5gappeal.eu), voir également (www.emfcall.org, http://www.emfscientist.org). Ces appels sont jusqu’à présent largement ignorés par les agences gouvernementales responsables, les politiciens et l’industrie des télécoms. Les progrès de cette technique se poursuivent à leur propre rythme, apparemment motivés par des intérêts économiques considérables au sein de l’industrie des télécoms.

Il ressort clairement des mesures effectuées jusqu’à présent que la mise en œuvre de la 5G a effectivement provoqué une augmentation massive de l’exposition humaine et environnementale aux rayonnements RF modulés par impulsions.

Le syndrome des micro-ondes

Les micro-ondes sont des fréquences comprises entre 300 MHz et 300 GHz dans le spectre des radiofréquences et c’est dans cette gamme de fréquences que fonctionnent les ondes porteuses de la 5G et des générations précédentes de téléphonie mobile.

Des preuves des effets négatifs sur la santé des rayonnements RF/micro-ondes ont déjà été publiées dans les années 1960 et 1970 dans les pays d’Europe de l’Est dans le cadre d’études sur les travailleurs exposés. Les symptômes courants étaient les maux de tête, la fatigue, les difficultés de concentration, l’insomnie, la détresse émotionnelle, l’irritabilité, la dysesthésie, les lésions cutanées, y compris la sensation de brûlure, les symptômes cardiaques et pulmonaires. Ceux-ci sont inclus dans le syndrome ou la maladie des micro-ondes qui comprend une variété de symptômes cliniques et physiques. Il a été observé qu’en général, les femmes semblaient plus sensibles que les hommes et que la sensibilité individuelle variait.

Une revue de ces études, ainsi que des études sur les animaux, ont conclu qu’il faut s’attendre à une « variété étonnamment large de réactions neurologiques et physiologiques » en raison de l’exposition à des niveaux non thermiques de rayonnement RF/micro-ondes.

Un autre terme pour la maladie était le syndrome de la maladie des radiofréquences. Les effets non thermiques dépendent principalement de la modulation et/ou de la pulsation du signal ainsi que de l’intensité maximale et moyenne. Les signaux pulsés et l’exposition simultanée à plusieurs fréquences provoquaient davantage d’effets et étaient donc considérés comme plus dangereux. Les effets observés augmentaient avec la durée d’exposition. Aujourd’hui, la population est exposée simultanément à une multitude de fréquences provenant de diverses technologies sans fil. Les signaux sont pulsés et modulés et l’exposition est chronique.

Il a également été observé qu’en général, les symptômes diminuaient après l’arrêt de l’exposition. Selon Marha et coll. (voir page 31) « à un certain moment après la fin de l’exposition (parfois plusieurs semaines ou plus), l’organisme retourne généralement à son état physiologique d’origine et toutes les plaintes subjectives et objectives disparaissent ».

Les résultats de ces premières observations ont été confirmés au cours des deux dernières décennies dans des enquêtes sur les effets sur la santé des habitants à proximité d’antennes-relais ou de stations de base de téléphonie mobile. Certaines de ces études récentes ont étudié la prévalence des symptômes identifiés dans le syndrome des micro-ondes, d’autres ont étudié d’autres conséquences comme le cancer ou les effets sur les paramètres biochimiques, par exemple les hormones ou les indications de dommages génétiques.

Une étude française a étudié la fréquence de la SLA.

Selon une revue de la plupart de ces études réalisées en 2022, 17 des 23 études ont démontré l’existence d’un syndrome des radiofréquences ou d’un syndrome des micro-ondes, 10 des 13 études ont signalé une augmentation des risques de cancer et six des huit études ont constaté des changements dans les marqueurs biochimiques chez les personnes vivant à proximité des mâts ou des stations de base.

Études sur la 5 G à ce jour

La littérature est peu abondante sur les effets sur la santé causés par l’exposition au rayonnement 5 G. Jusqu’à présent, selon nos connaissances, aucun effet à long terme n’a été étudié et il n’existe que quelques études à court terme sur les animaux et une étude en laboratoire sur l’homme. Aucune des études en laboratoire n’a utilisé une exposition correspondant à une exposition réelle à la 5G.

Au début du déploiement de la 5G, aucune étude n’était disponible sur les effets biologiques sur l’homme de l’exposition aux fréquences 5G autour de 3,5 GHz.

Aucune étude n’avait donc examiné une exposition semblable à celle rencontrée par des millions de personnes actuellement exposées au rayonnement des antennes 5G en combinaison avec la technologie 4 G.

Quelques études animales ont examiné les effets sur les animaux après une exposition au rayonnement RF de 3,5 GHz à des niveaux inférieurs aux limites de l’ICNIRP. Des études exposant des animaux à la fréquence de 3,5 GHz (et non aux signaux 5G réels) ont révélé des effets négatifs tels qu’un stress oxydatif dans le foie, les reins, le plasma, une dégénérescence des neurones dans le cerveau ainsi qu’un stress oxydatif dans les muscles et des effets négatifs sur la solidité des os. De plus, des modifications du comportement après une exposition fœtale ont été signalées.

Études en laboratoire sur l’homme

Une étude publiée en septembre 2023, examinant les effets sur les ondes cérébrales humaines, a exposé 34 jeunes volontaires en bonne santé à une modulation d’impulsions GSM de 3,5 GHz à un niveau moyen compris entre 1,5 et 2 V/m ou jusqu’à 10 610 μW/m 2 pendant seulement 26 min. La densité de puissance de pointe (PD) estimée a été calculée à 680 000 μW/m 2.

Les auteurs ont signalé « une différence globale non significative dans les oscillations cérébrales bêta, alpha, thêta et delta par rapport à l’exposition 5 G. Cependant, quelques électrodes dans les périodes d’exposition corrigées à la ligne de base et post-exposition ont présenté une modulation significative correspondant à l’état oculaire uniquement dans les rythmes alpha, thêta et delta, qui n’ont pas survécu à la correction statistique postérieure. ».

Des changements dans les ondes cérébrales humaines ont ainsi été observés. Cependant, le signal était modulé par GSM et n’était donc pas représentatif d’une exposition réelle à la 5G. L’exposition n’a duré que 26 minutes et n’était donc pas représentative des effets d’une exposition chronique dans la vie réelle. De plus, l’exposition dans la vie réelle comprend l’exposition simultanée à plusieurs autres signaux, par exemple à la 4G.

Études de cas sur l’exposition humaine à la 5G dans la vie réelle

Nous avons déjà publié sept rapports de cas sur les effets sur la santé des humains exposés au rayonnement RF 5 G. Les études ont été réalisées entre 2021 et 2023 et ont examiné les effets sur la santé décrits précédemment comme étant associés à l’exposition au rayonnement RF sur un total de 16 personnes. Des mesures du rayonnement RF ont également été effectuées.

Objectif de cette étude

L’objectif de cette étude était de faire un résumé de nos sept rapports de cas. L’un des objectifs était d’étudier la gravité et tout schéma de différentes maladies/symptômes sur la base du matériel total.

Matériel et méthodes

Les sept études de cas ont été initiées après un contact avec des personnes qui ont développé des symptômes identifiés dans le syndrome des micro-ondes peu après l’installation d’antennes 5G à proximité de leur domicile. Les personnes participantes ont été invitées à répondre à des questions sur la prévalence de différents symptômes liés au syndrome des micro-ondes. Le questionnaire structuré a été adapté d’après Belpomme (Dominique) et coll.. Une échelle de gravité à 10 degrés a été utilisée, grade 0 = aucun symptôme, grade 10 = douleur et/ou inconfort insupportables.

Le questionnaire comprenait au total 41 symptômes/problèmes de santé. Aucun examen clinique n’a été effectué. Les études comprenaient également des mesures de l’exposition aux rayonnements RF.

Nous avons fait une agrégation de tous les résultats de ces sept études de cas individuelles. Cinq groupes de symptômes ont été utilisés en fonction du site anatomique, notamment les maladies du système nerveux et des organes sensoriels (n=18), les maladies du système cardiovasculaire et respiratoire (n=9), les maladies de la peau et des organes musculo-squelettiques (n=6), les maladies du système digestif et urinaire (n=4) et les maladies de l’oreille et du système vestibulaire (n=4). La somme du degré de gravité rapporté pour chaque maladie/symptôme a été calculée pour tous les sujets de l’étude. Le degré minimum et maximum pour chaque élément est également rapporté, ainsi que les degrés moyens et médians calculés pour l’ensemble du matériel.

Dans la plupart des études, le compteur RF à large bande Safe and Sound Pro II a été utilisé pour mesurer le rayonnement RF. La plage de détection de réponse réelle est comprise entre 400 MHz et 7,2 GHz. Il a été étalonné par le fabricant et a une précision de ±6 dB. Les niveaux de crête où le rayonnement RF ont été enregistrés (https://safelivingtechnologies.com/products/safe-and-sound-pro-ii-rf-meter.html). Une description détaillée des méthodes est disponible dans toutes les publications. Dans l’une des sept études, le GigaHerz Solution HF 59B a été utilisé pour mesurer la gamme de fréquences 0,7–3,3 GHz, et le GigaHerz Solution HFW 59D pour la gamme de fréquences 2,4–10 GHz.

Le mesureur de champ à large bande Narda NBM-550, avec la sonde EF-1891, mesurant des fréquences entre 3 MHz et 18 GHz, a également été utilisé dans une étude [5] en plus du mesureur RF à large bande Safe and Sound Pro II. Ce dernier compteur ainsi que le compteur GigaHerz Solution affichent les niveaux de pointe du rayonnement RF tandis que le compteur Narda affiche les résultats en moyenne quadratique (RMS) pour le minimum, le maximum et la moyenne.

Études de cas 5G

Nous présentons ci-après un résumé de nos sept études de cas.

Étude [1] : deux personnes auparavant en bonne santé, un homme de 63 ans et une femme de 62 ans, ont développé des symptômes du syndrome des micro-ondes après l’installation d’une base 5G station de communication sans fil sur le toit au-dessus de leur appartement. Une station de base pour la technologie de télécommunication de génération précédente (3G/4G) était présente au même endroit depuis plusieurs années. Un rayonnement RF très élevé avec des niveaux maximaux (valeur de crête mesurée la plus élevée) de 354 000, 1 690 000 et > 2 500 000 μW/m 2 a été mesuré à trois reprises dans la chambre située à seulement 5 m sous la nouvelle station de base 5 G.

Un niveau maximal (de crête) de 9 000 μW/m 2 a été mesuré avant le déploiement de la 5G. Les symptômes qui sont apparus rapidement après le lancement de la 5G étaient typiques du syndrome des micro-ondes : fatigue, troubles du sommeil, détresse émotionnelle, saignements de nez, acouphènes, étourdissements, troubles cutanés, problèmes de concentration, troubles de l’équilibre, troubles de la mémoire à court terme, confusion, symptômes cardiaques et pulmonaires (palpitations, sensation de lourdeur dans la poitrine) et sensation de chaleur dans le corps. Les symptômes étaient plus prononcés chez la femme. En raison de la gravité des symptômes, le couple a quitté son logement et a déménagé dans un petit bureau avec un rayonnement RF maximal (crête) de 3 500 μW/m 2. En quelques jours, la plupart de leurs symptômes se sont atténués ou ont complètement disparu.

Étude [2] : dans cette étude de cas, nous décrivons deux hommes, cas 1 et cas 2, travaillant dans trois bureaux à proximité de stations de base situées sur le toit au-dessus de leur bureau. Après le déploiement de la 5G, les deux hommes ont développé des symptômes typiques du syndrome des micro-ondes, par exemple, fatigue, maux de tête, acouphènes, étourdissements, troubles de la concentration et de l’attention, et troubles de l’équilibre. Le rayonnement RF après le déploiement de la 5G a été mesuré dans les trois bureaux. Dans le bureau 1, à seulement 3 m en dessous de la station de base 5G la plus proche, le rayonnement RF maximal (crête) pendant 1 min a varié de 463 à 1 800 000 μW/m 2, dans le bureau 2 de 6 230 à 501 000 μW/m 2 et dans le bureau 3 de 13 700 à 61 000 μW/m 2. FrançaisLes symptômes ont disparu chez les deux hommes en quelques semaines (cas 1) ou immédiatement (cas 2) après avoir quitté le bureau pour d’autres bureaux et espaces de vie avec des émissions de rayonnement RF maximales beaucoup plus faibles, maximum pour le cas 1=16 μW/m 2, et pour le cas 2=2 920 μW/m 2.

Les tableaux cliniques chez les deux hommes étaient clairement liés à l’exposition.

Étude [3] : dans ce rapport de cas, nous avons présenté une femme âgée de 52 ans qui a développé des problèmes de santé compatibles avec le syndrome des micro-ondes après l’installation d’une station de base 5G face à son appartement à 60 m de distance. Ces symptômes consistaient par exemple en des maux de tête, des étourdissements, des difficultés de concentration, de la fatigue, de l’arythmie, des brûlures cutanées et des saignements de nez.

Des niveaux élevés de rayonnement RF ont été mesurés dans son appartement en particulier dans la partie la plus proche de la station de base. À la fenêtre de son salon, des niveaux de pointe de rayonnement RF de 17 500 à 758 000 μW/m 2 ont été obtenus au cours de 10 mesures, chacune sur 1 min. Près du canapé du salon, des niveaux de pointe de 36 800 à 222 000 μW/m 2 ont été mesurés. Un rayonnement très élevé a été mesuré sur le balcon faisant face à la station de base, où les 10 mesures ont été effectuées dans un délai de 10 à 15 s — niveaux de pointe > 2 500 000 μW/m 2. Après avoir temporairement quitté l’appartement pour un autre logement avec un rayonnement RF beaucoup plus faible, 96–2 810 μW/m 2 niveaux de pointe, presque tous les symptômes ont disparu en peu de temps. Après être retournée dans son propre appartement, les symptômes sont réapparus.

Étude [4] : dans cette étude, nous avons examiné une famille de trois personnes vivant à des distances de deux stations de base 5G d’environ 50 et 70 m, respectivement. Les stations de base sont situées au sommet de deux immeubles de 6 étages et les antennes sont dirigées vers l’appartement de la famille au quatrième étage de l’autre côté de la rue. Les mesures dans l’appartement ont été effectuées 10 fois à chaque endroit, chaque mesure pendant 1 min. Les niveaux les plus élevés ont été mesurés près des deux fenêtres de la chambre principale, variant de 320 000 à 1 200 000 μW/m 2. Des niveaux élevés ont également été trouvés à la fenêtre de la chambre du fils, de 121 000 à 490 000 μW/m 2, et de la chambre de la fille, de 34 800 à 166 000 μW/m 2. Des niveaux légèrement inférieurs ont été trouvés à l’endroit de l’oreiller dans le lit pour tous les membres de la famille. Les membres de la famille ont signalé des symptômes inclus dans le syndrome des micro-ondes à des degrés divers auto-estimés. La fille avait les problèmes de santé les plus graves, par exemple des troubles du sommeil, des maux de tête, des problèmes de concentration et de mémoire, des troubles cutanés, un rythme cardiaque irrégulier, une sensibilité à la lumière, de l’anxiété et des crises de panique.

Étude [5] : dans ce rapport de cas, un homme de 49 ans auparavant en bonne santé a été décrit. Après l’installation d’une station de base 5G à 20 m de son appartement, il a immédiatement développé une variété de symptômes qui font partie du syndrome des micro-ondes. Les plus graves étaient des maux de tête, une dysesthésie (sensation anormale), une perte de mémoire immédiate, un pouls élevé et irrégulier, une compression thoracique, des brûlures et des lancinations cutanées. De très fortes radiations RF ont été mesurées dans son appartement. Les niveaux mesurés avec le compteur Safe and Sound Pro II ont atteint le niveau maximal mesurable du compteur Safe and Sound Pro utilisé, > 3 180 000 μW/m 2, en 10 à 15 s pour chacune des 10 mesures effectuées pendant 1 min dans le salon. Dans la chambre de l’homme, les niveaux mesurés au niveau de l’oreiller du lit allaient de 105 000 à 240 000 μW/m 2.

Des mesures de suivi ont également été effectuées avec un appareil de mesure à large bande Narda-550 affichant des résultats en moyenne quadratique (RMS) pour les valeurs maximales et moyennes. Le niveau RMS maximal le plus élevé dans l’appartement était de 1 368 021 μW/m 2.

Le niveau RMS maximal le plus élevé dans le salon était de 571 624 μW/m 2. Après avoir déménagé dans un autre appartement avec un faible rayonnement RF, les symptômes ont diminué ou ont disparu dans un court laps de temps, mais ils réapparaissent à chaque fois qu’il revient dans son appartement avec un rayonnement RF 5G élevé.

Étude [6] : cette étude a porté sur une femme âgée de 82 ans avec une hypersensibilité électromagnétique (EHS) depuis près de quatre décennies. Après le déploiement de deux stations de base 5G, à 528 et 489 m de sa maison respectivement, elle a développé des symptômes plus graves, par exemple, fatigue, dysesthésie, étourdissements, troubles de l’équilibre, sensibilité à la lumière et troubles cutanés qui sont tous inclus dans le syndrome des micro-ondes. Elle a aussi 83 ans. Le mari a été affecté, bien que dans une moindre mesure. Les solutions GigaHerz HF 59B et GigaHerz HFW 59D ont été utilisées pour les mesures. Des niveaux élevés de rayonnement RF de pointe maximal ont été mesurés dans la cuisine 166 700 μW/m 2 et dans le salon, 147 100 μW/m 2.

Étude [7] : dans ce rapport de cas, une famille auparavant en bonne santé comprenant un homme, une femme et leurs trois enfants a été étudiée. Les membres de la famille ont rapidement développé des symptômes du syndrome des micro-ondes après leur arrivée dans un chalet d’été situé à 125 m de distance d’une tour de téléphonie mobile haute de 24 m avec des antennes 5 G. Les symptômes les plus graves pour les adultes étaient des troubles du sommeil, des maux de tête, de la fatigue et un rythme cardiaque irrégulier. Les enfants ont eu des troubles du sommeil, de la diarrhée, des douleurs à l’estomac, des éruptions cutanées, des maux de tête et des symptômes émotionnels. Tous les symptômes ont disparu et la santé a été rétablie lorsque la famille est retournée dans sa propre maison à un autre endroit sans stations de base 5G à proximité. Aucune mesure n’était disponible à l’intérieur du chalet pendant le temps où la famille est restée près du mât. Des mesures ultérieures ont montré que le niveau de rayonnement variait de 9 000 à 43 400 μW/m 2 à l’extérieur du chalet du côté de la station de base 5G, par rapport à 2 500 μW/m 2 au maximum dans leur domicile habituel sans station de base 5G à proximité. On peut raisonnablement supposer que les niveaux RF étaient considérablement plus élevés au moment où la famille séjournait au chalet pendant la haute saison des vacances, lorsque le camping voisin était plein de monde. La zone était presque vide lorsque les mesures ont été effectuées. Le nombre d’utilisateurs et la taille des transferts de données influent sur le rayonnement RF émis par les stations de base 5 G.

Résultats

Maladies/symptômes du système nerveux et des organes des sens :

  • Les plus fréquents étaient les troubles du sommeil. Ainsi, sur les 16 sujets inclus, tous sauf trois ont signalé une insomnie. Les trois enfants âgés de 8, 6 et 4 ans souffraient d’insomnie de grade 10, qui est la pire catégorie. Toutes les personnes interrogées, sauf une, ont signalé des réveils nocturnes et 11 des 14 personnes incluses ont signalé un réveil précoce. Ces symptômes étaient les plus graves chez les enfants.
  • Les autres symptômes graves étaient les maux de tête, la détresse émotionnelle et l’irritabilité. La fatigue était fréquente, mais peut également être associée aux troubles du sommeil. Les idées suicidaires étaient le seul symptôme qui n’a été signalé par aucune personne participante. Maladies/symptômes du système cardiovasculaire et respiratoire : un pouls transitoirement élevé a été signalé par un homme (grade 10) et trois femmes (grades 5, 9 et 10, respectivement). Un homme (grade 10) et trois femmes (grades 9, 8 et 10, respectivement) ont signalé un pouls irrégulier. Aucune personne n’a signalé un pouls lent. Une variabilité de la pression artérielle a été signalée par deux hommes (degrés 5 et 3, respectivement) et une femme (degré 5).
  • Un saignement de nez a été signalé par deux hommes (tous deux de degré 5) et trois femmes (degrés 5, 10 et 3 respectivement). Cinq cas masculins sur 10 ont signalé une dyspnée (degrés 1 à 9) ainsi que trois femmes sur six (degrés 4 à 9). Une compression thoracique, une douleur thoracique et une toux ont également été signalées, bien que dans une moindre mesure. Maladies/symptômes de la peau et des organes musculo-squelettiques : parmi les symptômes les plus répandus, il y avait ceux affectant le visage, les bras et les jambes. Ainsi, cela a été signalé par cinq hommes (degrés 1 à 8) et trois femmes (degrés 6 à 10).
  • Des brûlures et/ou des lancinations cutanées sur les mains et les bras étaient communes chez quatre hommes (grades 3 à 10) et quatre femmes (grades 2 à 10). Une perte de cheveux a été signalée dans une mesure mineure ; trois hommes (grades 1 à 3), mais aucune femme.
  • Trois hommes et quatre femmes ont signalé une myalgie (grades 3 à 8 et grades 2 à 10, respectivement). Une arthralgie est survenue chez quatre hommes (grades 5 à 10) et trois femmes (grades 2 à 6).
  • Maladies/symptômes du système digestif et urinaire : sur six hommes, deux ont signalé des nausées (grades 3 et 1, respectivement). Les résultats correspondants pour les femmes étaient deux répondants sur trois (grades 10 et 3, respectivement).
  • Six personnes n’ont signalé aucune douleur abdominale. Aucun homme n’a eu d’urgence urinaire, contre deux femmes sur cinq (grades 10 et 1, respectivement).
  • Maladies/symptômes de l’oreille et/ou du système vestibulaire : un homme a noté une chaleur de l’oreille et/ou une otalgie (douleur auriculaire ; grade 5 par rapport à deux femmes [grades 1 et 2, respectivement],
  • Des acouphènes ont été signalés par trois hommes [grades 6, 5 et 1, respectivement] et trois femmes [grades 6, 2 et 2, respectivement]. Un seul homme a noté une sensibilité au bruit [hyperacousie] par rapport à trois femmes [grades 2, 1 et 4, respectivement].
  • Des troubles de l’équilibre ont été signalés par trois hommes [degrés 2, 1 et 3 respectivement] et quatre femmes [degrés 7, 10, 2 et 7 respectivement].

Conclusions

Nos sept études de cas, comprenant 16 personnes, sur les effets sur la santé d’une exposition réelle aux rayonnements RF 5G, ont montré que les personnes étudiées ont développé le syndrome des micro-ondes après l’installation de stations de base 5G à proximité de leur domicile. Les symptômes les plus fréquents concernaient le système nerveux : troubles du sommeil, maux de tête, fatigue, irritabilité, symptômes émotionnels et déficit de concentration/attention. Des niveaux de rayonnement RF très élevés, bien que bien inférieurs aux limites recommandées par l’ICNIRP et la FCC, ont été mesurés avec le détecteur à large bande. Certaines des personnes étudiées ont développé des symptômes graves. La plupart des personnes ont déménagé dans une autre habitation sans 5G, ce qui a atténué et fait disparaître le syndrome des micro-ondes en peu de temps.

Source: Summary of seven Swedish case reports on the microwave syndrome associated with 5G radiofrequency radiationPubMed




Existe-t-il un programme secret de répression, de torture et d’élimination contre les dissidents ?

Par Özler ATALAY YÜKSELOĞLU

Si les plus éveillés sont conscients que s’opposer trop frontalement à l’establishment peut-être risqué, une grande partie des chercheurs de vérité internautes ou autres reste non informée des méthodes dissimulées par les gouvernements pour réprimer les contestations.

En effet, les décennies de la Guerre froide furent rythmées par un conflit opposant à la fois les blocs atlantistes et communistes, mais également par une guerre civile et une répression non déclarées qui ont toujours cours avec un degré plus violent et pervers.

Nous allons dans cet article dresser un tableau du passé, du présent et tenter d’entrevoir l’avenir du programme secret de répression des peuples par des forces auparavant obscurs.

Opération Gladio et CoIntelPro, l’histoire se répète-t-elle ?

Au sortir de la Seconde Guerre Mondiale, en Europe, se mettaient en place par plusieurs services secrets des réseaux militaires et paramilitaires généralement d’extrême-droite sous l’égide de la CIA (OSS avant 1947), du MI6 britannique et de l’OTAN qui, officiellement, étaient destinés à organiser la résistance en cas d’invasion soviétique. Ils portaient des noms divers, mais étaient désignés « réseaux Gladio » en référence au réseau italien du même nom. Ces structures répondant aux mêmes ordres étaient dans l’ensemble méconnues des gouvernements à cause de l’omerta criminelle de plusieurs ministres de la défense et personnels du renseignement. D’après les travaux très sérieux de l’historien suisse Daniele Ganser ainsi que ceux d’autres chercheurs, ces réseaux ont, dans les faits, servi à commettre des assassinats politiques, des attentats terroristes sous faux drapeau (false flags) et coups d’État violents (Grèce et Turquie). Le recours à des réseaux mafieux est également documenté comme cela a été le cas pour la Turquie avec le scandale de Susurluk. Bien qu’étant sous le commandement de l’OTAN, des pays « neutres » tels que la Suisse et l’Espagne étaient concernés par le scandale. En ce qui concerne la France, même après avoir quitté l’OTAN en 1966 sous le Général de Gaulle, ses activités continuèrent avec entre autres la collaboration du Service de documentation extérieure et de contre-espionnage (SDECE) et ensuite la DGSE. Il y a fort à parier que les disparitions de Coluche et de Daniel Balavoine leur soient imputables.

Ainsi, sous couvert de lutte cachée contre le communisme, des personnalités de la gauche ou de l’extrême gauche comme l’homme politique belge Julien Lahaut ont été liquidées froidement. L’agent des services secrets belge André Moyen a avoué que Gladio avait pour objectif la lutte contre la « subversion » en général, il faudrait traduire cela par « dissidence » et que cela a eu cours dans tous les autres réseaux européens. Bien que la divulgation ait démarré en 1990 en Italie et que le scandale a effleuré tous les pays d’Europe, les réactions des officiels ont été dans l’ensemble fébriles comme cela a été le cas en France sous Mitterrand, seuls certains états comme la Belgique ont exigé leur dissolution. Le 22 novembre 1990, au parlement européen, l’eurodéputé Falqui prononça : « qu’il n’y aurait aucun avenir, Mesdames et Messieurs, si nous ne dissipons pas ce sentiment d’avoir vécu dans ce que l’on pourrait appeler un État double, l’un ouvert et démocratique, l’autre clandestin et réactionnaire ».

Au même moment, aux États-Unis, se mettait en place l’infâme programme secret du FBI « CoIntelPro » qui se voulait « protéger la sécurité nationale, prévenir la violence et le terrorisme et maintenir l’ordre social et politique existant ». Tout comme l’opération Gladio, la lutte contre le communisme a été un prétexte pour une lutte contre une « subversion » jugée et a donc été un moyen de lutte contre la dissidence. Officiellement démarré en 1956 et « cloturé » en 1971 suite à une divulgation arrachée par la « Commission Citoyenne pour Enquêter sur le FBI » en faisant irruption dans leurs bureaux, la même année, le directeur J. Edgar Hoover a « déclaré » que le COINTELPRO centralisé était terminé et que toutes les futures opérations de contre-espionnage seraient traitées au cas par cas. D’après la Commission sénatoriale Church en 1975, ces activités ont eu cours depuis les années 20.

Les techniques de « lutte » contre les cibles allaient de la surveillance à l’infiltration, au discrédit et à la perturbation des organisations politiques nationales américaines. Ainsi, le FBI avait recours à des « campagnes de calomnies » (anglais : smear campaigns), des opérations psychologiques, du harcèlement via le système judiciaire (emprisonnements illégaux, élimination de preuves ou création de fausses preuves, intimidation des témoins…) et même à l’usage illégal de la violence policière contre les dissidents (perquisitions, tabassages, assassinats…).

Les groupes historiques qui ont été ciblés étaient : les Black Panthers (organisation nationaliste noire américaine), des organisations féministes, le parti communiste américain, le mouvement des droits civiques de Martin Luther King, les mouvements antiguerre du Vietnam, le mouvement des Indiens d’Amérique et beaucoup d’autres.

De nos jours, avons-nous le droit de penser différemment ?

À la suite de l’effondrement de l’Union soviétique, un faux sentiment de paix fut propagé dans l’Occident amenant plusieurs générations dans un état d’insouciance malgré la divulgation des réseaux Gladio mis en second plan après les aventures de l’OTAN en Irak (Guerre du Golfe) et en Yougoslavie.

Un tournant majeur dans le fascisme mondial a eu lieu après le 11 septembre qui a ouvert la voie au Patriot Act qui a renforcé les prérogatives des services de renseignement, a accru la surveillance de la population et a permis au gouvernement des États-Unis de détenir sans limites et sans inculpation toute personne soupçonnée de projet terroriste (cours FISA). Dans le cadre de l’Alliance atlantique de l’OTAN, cette loi a des ramifications jusqu’en Europe et probablement dans le monde étant donné la collaboration entre les services de renseignement et la soumission aux États-Unis. Ainsi des « centres de fusion » (anglais : fusion centers) ont été établis dans tous les états des USA pour récolter des informations sur les citoyens et améliorer leur circulation entre leurs départements de sécurité. L’ex-analyste de la NSA (renseignement national US) Karen Stewart affirme que ces centres sont utilisés pour espionner les civils physiquement à l’aide d’informateurs volontaires, d’où des délations et diffamations constantes et des fichages terroristes en hausse et un harcèlement organisé ou harcèlement en réseau (anglais : Gang Stalking). Nous ne disposons pas d’informations pour les autres états de l’OTAN, mais la présence de ces centres de fusion est fortement probable en dehors des USA.

L’un des éminents spécialistes de la question est Nicolas Desurmont, consultant en criminologie belge, il y a dédié une étude nommée « vers une problématique du harcèlement criminel en réseau » dans la revue internationale de criminologie et de police technique et scientifique en 2006. Dans celle-ci, il documente la participation active des services de renseignement, de la police et des réseaux du crime organisé dans la persécution des cibles. Il affirme également qu’il existe une infiltration bidirectionnelle entre ces protagonistes. À ce moment, il affirmait que les victimes étaient sujettes à des « filatures », menaces de mort et écoutes illégales. Mais le tableau actuel est plus alarmant encore.

Une part non négligeable de la population collabore avec ceux-ci, un article de 2002 dans le journal américain Sunday Morning Herald déclarait déjà que le gouvernement US envisageait de recruter 1 américain sur 24 comme espion, ce qui fait environ 4 % de la population. Les victimes du harcèlement criminel en réseau suggèrent qu’au moins de 10 % de la population collabore activement dont des membres importants de la police, de la santé, de l’administration et de la justice, c’est ce qu’affirmait en 2003 Josselyne Abadie, consultante en éthique dénonciatrice de ce phénomène, par l’entremise de réseaux de franc-maçons et leurs pions omniprésents dans la société y compris les entreprises de toutes tailles. Ce qui explique la mise au ban du marché de l’emploi des cibles, car de véritables réseaux de pouvoirs secrets se sont installés dans la société.

Les méfaits les plus fréquemment subis sont la traque automobile ou piétonnière, le cambriolage, l’intrusion à domicile avec changement d’emplacements d’objets (violence psychologique — gaslighting), l’agression de rue, l’interception de courrier et de colis, les accidents routiers prémédités, le tapage nocturne ou diurne, le cyberharcèlement, la persécution policière, administrative ou judiciaire, le piratage informatique, le sabotage et dégradations de biens et de véhicules, l’emprisonnement et la psychiatrisation illégale, l’empoisonnement, le viol et le meurtre. La majeure partie a été documentée en 2007 par l’agent du FBI Geral Sosbee et en 2011 par Ted Gunderson, également agent du FBI, selon ce dernier ce « programme » a cours depuis au moins les années 80.

La seconde partie du « programme » de répression secret consiste en un « harcèlement ou torture électromagnétique ». C’est la partie qui est la plus violemment censurée par les autorités et les médias mainstream après des décennies de ridiculisation dans la culture populaire. Elle est d’application depuis au moins les années 90 et la divulgation a démarré progressivement dans les années 2010 grâce au scientifique de la CIA Robert Duncan qui a travaillé sur les technologies de contrôle mental électromagnétique et qui est devenu un ferme opposant suite au détournement de ceux-ci à des fins illégales et répressives. Dans cette interview de 2012 avec Jesse Ventura, il divulgue devant le grand public américain ces technologies à des fins de torture.



Le physicien Barrie Trower ayant travaillé avec le MI-5 britannique a divulgué en 2015 la possibilité d’utiliser les antennes relais pour envoyer des faisceaux de micro-ondes (énergie dirigée) grâce à la technologie «Celldar » qui est un radar à micro-ondes. Il a également affirmé que les satellites pouvaient attaquer des cibles avec des micro-ondes. Le scientifique Paul Batcho ayant travaillé pour la DARPA (Agence des Projets de Recheches Avancés de la Défense) et le le DoD (Département de la Défense) américains a averti en 2016 que les antennes relais servaient à faire de la télépathie synthétique (faire entendre des voix à des cibles et faire de la suggestion mentale) connue également sous le nom de V2K – Voice to Skull, n° de brevet : US 4 877 027 A. Le brevet déclassifié US 3 951 134 A témoigne de la possibilité de faire de la « Télé-Surveillance Neuronale » (anglais : Remote Neural Monitoring), de lire dans les pensées en temps réel et sans électrodes à l’aide d’ondes électromagnétiques, il est également possible d’interférer avec l’esprit et de le manipuler avec ce procédé. Les infrastructures de communication jouent donc un rôle crucial dans la violation de notre esprit et dans les agressions électromagnétiques. Le scientifique Tim Rifat affirmait en 1999 que des criminels pouvaient avoir des armes électromagnétiques portables.

Le harcèlement électromagnétique survient souvent après l’isolation de la victime par élimination sociale ou diffamations à son encontre ou bien le devient suite aux pathologies infligées par les attaques. Beaucoup perdent leur emploi suite à cela enchaînant un cercle vicieux d’isolation et d’agressions aboutissant à une véritable torture.

Les symptômes les plus courants d’agression électromagnétique sont : fatigue soudaine et chronique, insomnies, réveils nocturnes répétés avec ou sans sueurs, vieillissement, dysfonctionnements voire crises cardiaques, douleurs intenses (organes, muscles, os…) assimilables à de la torture, migraines, acouphènes, vieillissement prématuré, nausées, démangeaisons, brûlures (externes ou internes), apnées du sommeil, pertes de mémoire et de concentration, manipulations de la libido (inhibitions ou excitations artificielles), spasmes, saignements du nez, électrochocs, sensations de vibrations internes, sensations d’aiguilles enfoncées, problèmes visuels, épilepsies, Alzheimer précoce, leucémies et cancers précoces, amnésies, troubles de la coordination, mouvements involontaires et incontrôlés des membres ou des organes internes, vertiges, troubles immunitaires, évanouissements, AVC, thromboses, etc. Nous voyons donc la possibilité d’aller jusqu’à l’assassinat des victimes, ce qui pourrait expliquer les décès récents et prématurés de lanceurs d’alerte.

[Note de Joseph : ces symptômes font partie des effets des ondes électromagnétiques artificielles, surtout lorsque celles-ci sont sous forme pulsée (comme la 3G, la 4G, la 5G, le Wi-Fi et le Bluetooth). Voir https://nouveau-monde.ca/paquet-dondes-radio/. Ils ne sont pas ressentis par tous les individus lanceurs d’alerte ou diffuseurs d’informations non autorisées. Existe-t-il néanmoins une proportion plus importante de ces derniers que dans la population générale à en ressentir ? Si ce n’est pas le cas, il sera difficile de démontrer que des opposants au Système de contrôle mondialiste sont spécifiquement ciblés, en dehors peut-être d’individus particuliers très encombrants pour ce dernier, mais en nombre réduit. Par contre, comme les technologies sans fil se multiplient, avec notamment l’installation de nouvelles antennes 5G, et comme les effets de ces dernières peuvent être aggravés par la présence de graphène dans les vaccins (voir https://nouveau-monde.ca/quest-ce-que-loxyde-de-graphene-et-les-nanotechnologies-ont-a-voir-avec-la-5g/), il est probable qu’un nombre croissant d’individus pourront avoir l’impression d’être ciblés à cause des symptômes ressentis, sans l’être nécessairement en réalité.

Précision d’Özler : les douleurs et les sensations de brûlure peuvent être toutefois particulièrement intenses chez les individus qui se disent ciblés.]

Parmi les symptômes psychologiques (psychotroniques), la victime peut percevoir des voix ou des sons oppressants que personne d’autre ne peut entendre (technologie Voice of God ou V2K, Voice to Skull). Elle peut également souffrir de « pseudo-psychoses » induites, de cauchemars synthétiques induits et d’instabilité émotionnelle. Une série d’autres maladies psychiatriques peut être induite. Dans une certaine mesure, du contrôle mental peut-être induit à cause de messages subliminaux et radiofréquences, mais les résultats peuvent varier.

Cette violence délibérée est motivée apparemment par la prévention et la répression des dissidents ou des internautes insoumis, mais après analyse des témoignages des victimes, on observe que le sadisme et la revanche (conflit avec un membre influent de l’état profond ou un de ses pions) sont le plus souvent à la source de la problématique. En effet, la plupart sont parfaitement innocents et n’ont jamais eu de quelconque activité politique ou subversive. Le harcèlement démarre souvent donc sans aucune raison apparente bien que des fois, une dénonciation, un conflit de voisinage ou un procès judiciaire peut en être à l’origine. Des scientifiques lanceurs d’alerte comme le médecin américain John Hall affirment que cela peut se faire dans le cadre d’expérimentations.

L’objectif recherché est l’élimination sociale dans un premier temps et physique (soit par les différents harcèlements soit par la provocation de suicides) par la suite. Il n’est pas rare que l’on cherche à provoquer des comportements violents chez la cible, plusieurs tueries de masses et attentats ont certainement été provoqués par cette technologie abjecte. La docilité et l’apathie de la population sont causées par l’écosystème d’ondes mortifères et de contrôle mental selon nous.

On observe fréquemment chez les victimes un profil intellectuel (parfois Haut Potentiel, Asperger, TDAH…), parfois spirituel, sensible, honnête, original, libre penseur et intègre. Ils peuvent parfois disposer de talents rares et avoir des connaissances profondes sur les manigances de l’état profond. Si elles tentent de parler de ce qu’elles vivent à la police, elles sont redirigées fréquemment et injustement en psychiatrie à cause des directives dictées par des cadres corrompus. Notre message est qu’elles ne sont pas folles et méritent de regagner leur amour propre.

L’ingénieur et individu ciblé Frédéric Laroche est actuellement à l’avant-garde de la lutte contre les velléités meurtrières de l’état profond. Il défend la thèse partagée avec plusieurs experts qu’une IA maléfique gère les harcèlements mondiaux des individus ciblés.

« C’est insupportable, je subis une torture épouvantable depuis 27 ans, je dois régulièrement quitter mon domicile pour me réfugier chez des amis ou dans la nature. Je suis privé de sommeil et exténué à cause des douleurs extrêmes ainsi causées » nous témoigne-t-il. Malgré cela Mr Laroche se bat pour divulguer ce sujet sous omerta sévère. N’hésitez pas à parcourir ses travaux sur Crowdbunker pour le soutenir.

Des sondages effectués sur Telegram et VK sur un échantillon de 99 individus montrent que près de 40 % des internautes éveillés et chercheurs de vérité se reconnaissent dans les symptômes du ciblage et se sentent donc ciblés. Les symptômes les plus fréquents sont la fatigue soudaine, les insomnies, les douleurs, les pertes de mémoire et de concentration, le sentiment d’être traqué et le piratage.

Bien qu’il y ait une multiplication d’articles sur le sujet des armes électromagnétiques suite au Syndrome de La Havane et plus récemment la capacité de la Chine d’infliger des « Neurotrikes » (attaques électromagnétiques pour dégâts cérébraux et contrôle mental), ces sujets sont minimisés dans les journaux parlés et seuls des lecteurs assidus comprennent vers où se dirigent les avancées militaires, mais sans savoir que cela a été utilisé illégalement sur des civils pendant plus de 30 ans.

Les moyens de protection élémentaires, sont le passage à l’internet filaire, rétrograder de la 4 G à la 3 G et bien évidemment boycotter la 5 G, s’entourer d’aimants néodymes et mettre de l’aluminium sur les fenêtres (résultats variables). La firme Suisse YShield propose des tentes, peintures et des films pour fenêtres protecteurs. La supplémentation en vitamines et NAC (N-acétylcystéine) peut aider à surmonter la fatigue et le vieillissement et il est important de pratiquer une bonne pureté spirituelle pour soi et dans son habitat. Le jeûne peut également apporter plusieurs bienfaits.

Que nous réserve l’avenir ?

Insatisfaits des résultats aléatoires sur les premiers individus ciblés, l’état profond a décidé de mettre les bouchées doubles en nous inoculant des nanotechnologies par tous les moyens à savoir l’alimentation, les injections en tout genre, les tests PCR et peut-être même les chemtrails.

James Giordano, neurologue à la DARPA, a avoué que des nanoparticules seront utilisées pour lire dans les pensées des individus, mais que cela pourrait également être détourné pour exercer du contrôle mental. En 2016, Klaus Schwab avait dévoilé sur RTS que dans les 10 années à venir, nous serions équipés de puces portables (anglais : wearables), mais qu’il est « possible » que par la suite elles soient directement implantées dans le cerveau, un cap a été franchi en janvier dernier lorsqu’Elon Musk a annoncé avoir implanté la première puce Neuralink chez un homme.

[Voir aussi :
dossier Implants numériques et contrôle mental
et Le contrôle de l’esprit ou la bataille ultime de l’humanité]

Les nanoparticules couplées avec les dispositifs Bluetooth MAC(([1] Voir Nanotechnologie et « vaccins »)) et les futures puces cérébrales seront utilisés pour connecter les individus à des interfaces cerveaux-machines (ICM, anglais : BCI) qui seront certainement contrôlées par l’IA maléfique. En 2020, le GCSP (Centre de Genève pour les Politiques de Sécurité), qui se présente comme une fondation internationale pour promouvoir la paix dans un monde de plus en plus connecté, reconnaissait que ces interfaces comprennent un risque de « Brain-Hacking » ou piratage cérébral.

Les chercheurs les mieux informés et conscients du potentiel détournement ces technologies comme Rafael Yuste et Jared Genser ont crée la fondation pour les Neuro-Droits avec ses 5 axes :

  • 1) Protection de l’identité personnelle
  • 2) Protection contre les biais (liberté de penser)
  • 3) Droit à la vie privée mentale et contrôle des neuro-données
  • 4) Droit à la liberté de penser et protection du libre arbitre
  • 5) Un accès équitable à ces technologies

La communauté des individus ciblés considère que ces « neuro-droits » sont dérisoires face à la menace dissimulée des neuro-armes psychotroniques meurtrières, de l’IA et de la 5G. En effet ce « réseau » qui attend d’être surpassé par une 6G et même plus utilisera le « beamforming » (faisceau dirigé) pour attaquer les cibles avec plus de violence. Jose Delgado de la Quinta Columna a dévoilé en 2022 que la fréquence 26 GHz de la 5G est « le signal optimal » pour la multiplication du signal des transistors de graphène, nous l’interprétons comme la fréquence de couplage parfaite pour le harcèlement des cibles et le contrôle mental total. Selon le témoignage d’une victime, son harcèlement s’est aggravé après avoir reçu ses injections covid.

Ainsi les individus ciblés prévoient l’aggravation du génocide qu’ils ont vécu en génocide global avec un contrôle mental de plus en plus inévitable et au mieux une augmentation de maladies psychologiques artificielles maquillées en « schizophrénies » par la psychiatrie complice ainsi que des maladies organiques provoquées dont une sorte de fibromyalgie pour punir tous ceux qui commettent le « crime de pensée » orwellien. En effet, l’écosystème d’armes électromagnétiques et de contrôle mental est établi pour tuer toute contestation authentique dans l’œuf et les étouffer avec l’opposition contrôlée.

Nous appelons à l’union des individus ciblés et non ciblés et des vaccinés et non vaccinés contre la tyrannie post-dystopique que nous réserve l’oligarchie et les fascistes invisibles qui dépasse peut-être le WEF et le sionisme. Nous souhaitons également que la sécurité physique et mentale soit ajoutée à ces droits et que les infrastructures de communications ne soient plus militarisées. La meilleure stratégie et de sensibiliser un maximum de personnes en partagent cet article par exemple et en témoignant si vous vous sentez ciblés. Il est urgent de lever l’omerta sur ces technologies et d’avertir les masses sur ce qui se passe pour les victimes et ce qui les attend si nous restons assis à attendre que l’on nous sauve.

Özler ATALAY YÜKSELOĞLU — Journaliste Citoyen et Individu Ciblé




Comprendre l’Islamophobie au XXIe siècle

[Publication initiale : ozlecarolo.com]

Par Özler ATALAY YÜKSELOĞLU

Dans les nombreuses polarisations artificielles imposées par l’élite de l’ombre se trouve celle entre le monde musulman et l’Occident.

Bien évidemment plusieurs médias traditionnels ou soi-disant indépendants sont complices, le plus souvent consciemment, de ce piège tendu aux peuples du monde, que ce soit au niveau national ou international.

Notre époque est fortement tendue suite à plusieurs crises sanitaires, sociales, politiques, économiques. De nombreux conflits mondiaux ont cours actuellement et certains tentent d’en raviver, dont celui dont il est question dans cet article.

L’objet ici est dans un premier temps de démystifier l’Islam politique, ensuite de comprendre les origines de l’Islamophobie moderne et finalement de corriger plusieurs incompréhensions sur la religion islamique.

L’Islam politique : fatalité ou outil de l’état profond ?

Pour mieux comprendre ce mouvement, il faut dissocier l’Islam politique propre aux communautés conservatrices (plus ou moins en accord avec la modernité) du monde musulman au XXe siècle qui est similaire aux mouvements contre-révolutionnaires ou intégristes en Occident, de l’Islam politique des frères musulmans, organisation transnationale prônant un retour au califat et à la loi canonique musulmane (charia).

Cette dernière est la plus conflictuelle avec le reste du monde, car elle n’hésite pas à recourir ouvertement à la violence et à la subversion pour parvenir à ses objectifs. Ses origines sont également obscures, mais l’écrivain et chercheur canadien David Livingstone dans son ouvrage « Terrorism and the Illuminati » en fait une généalogie surprenante de précision et de détails.

Il nous apprend que le salafisme, Islam militant prôné par les frères, découle de Jamal ud Din al Afghani, originaire d’Iran et initialement chiite, mais affichant des origines afghanes pour mieux présenter ses doctrines au monde musulman sunnite.

Il fut régulièrement chassé de ses lieux de prêche pour « sédition » et « sorcellerie ». Présenté parfois comme figure réformiste musulmane, il fut en réalité Grand Maître de la franc-maçonnerie égyptienne, chef de la fraternité hermétique de Luxor et « maître ascensionné » d’Helena Blavatsky qui l’a rencontré personnellement, d’après l’historien K. Paul Johnson.

Il eut une influence profonde sur l’ordre oriental du temple (OTO) et le sataniste Aleister Crowley dont la déviance est toujours hurlée. Ses idées ont fortement influencé la Nahda (éveil ou lumières arabes) et la montée des nationalismes dans le monde musulman, en particulier l’Empire ottoman.

Ses disciples Muhammed Abduh et Rashid Ridha furent à l’origine de l’infiltration du wahhabisme hors de l’état saoudien et à son intégration au salafisme en arguant que ce fut le seul état qui conserva son indépendance après la Première Guerre mondiale. Il fut peu probable qu’ils ne surent pas l’aide britannique derrière ce « succès ». La succession de « l’Afghanisme » leur fut transmise et dont l’un des élèves allait être le père de Hassan Al Banna, fondateur de la secte des « frères musulmans » (ikhwan al muslimum en Arabe).

Quant au wahhabisme, sa doctrine est fortement liée à l’infiltration britannique dans l’Empire ottoman au XVIIIe siècle, notamment l’espion Hempher. Mustafa Turan, doctorant turc avait fait en 1989 la divulgation des origines sabbatéennes (musulmane crypto-juive) de Muhammed ibn Abdul Wahhab dans son livre « The Dönme Jews » le faisant descendre de Tjen Shulman, juif de Bassora. Dans le livre « The Wahhabi Movement: The Truth and Roots », Ibrahim Al Shammari nous apprend que le premier roi d’Arabie Saoudite Abdul Aziz Ibn Saoud était descendant de Mordechai ben Ibrahim ben Moishe, marchand juif également de Bassora. Un rapport des services de renseignements irakiens de 2002 confirme cela.

Le mouvement des frères musulmans a donc exporté cette doctrine dans tout le monde musulman, ce qui n’aurait pas été possible sans l’appui des services secrets anglo-saxons. En effet, l’actuel prince héritier de l’Arabie Saoudite, Muhammad Ben Salamane, avait avoué que les dirigeants de l’OTAN l’avaient exigé durant la guerre froide pour contenir l’influence soviétique, ce qui a balayé en grande partie la pratique de l’Islam traditionnel dans plusieurs pays musulmans. À cela s’ajoute le financement des frères musulmans par la CIA par l’intermédiaire de Saïd Ramadan, gendre du fondateur de l’organisation des frères.

Nous voyons donc la main de l’état profond dans la montée de l’Islam politique radical et anti-occidental.

Origines de l’Islamophobie moderne

Dans la seconde moitié du XXe siècle, après la Seconde Guerre mondiale, plusieurs penseurs occidentaux commencèrent à louer l’Islam, comme ce fut le cas de certains philosophes du XVIIIe siècle. Des ouvrages positifs furent écrits à son sujet.

Néanmoins, dès 1957, le néoconservateur anglo-Israélien Bernard Lewis affirmait qu’il existait une « opposition » (clash) entre les civilisations, essentiellement l’Islam et que seul le conflit pouvait résoudre le problème. Cette époque était marquée par la guerre froide où le monde arabe était dans l’ensemble fort proche de l’Union soviétique. Ses propos n’avaient pas fait couler d’encre à ce moment.

Dans les années 90, après la chute du mur de Berlin, les provocations islamistes se sont étrangement multipliées et il a écrit son article « les racines de la rage musulmane » dans l’Atlantic Monthly en 1990.

Un autre néoconservateur, Samuel Huntington, a théorisé ses idées en « choc des civilisations » en 1993 dans un article du même nom dans la revue Foreign Affairs et allait en faire le sujet d’un livre nommé « le choc des civilisations et la recréation de l’ordre mondial » en 1996. À cette époque, il a soutenu qu’un affrontement entre l’Occident et le « Monde musulman » serait la question clé de la politique étrangère des États-Unis et qu’en raison de leurs valeurs différentes, il ne leur serait pas possible de s’unir pour vaincre la myriade de problèmes communs à l’humanité (tels que le changement climatique, la pauvreté et l’inégalité entre les sexes…).

Suite au 11 septembre, qui soulève toujours des questions sur les commanditaires et la méthode utilisée, leurs écrits ont suscité un regain d’intérêt (ou ont été mis en avant à dessein).

Pour préciser, le néoconservatisme est un mouvement politique de la droite radicale US et qui a eu un impact significatif dans la politique de Georges Bush Jr et de la « guerre contre le terrorisme ».

Il est à noter que selon ces idéologues, le salafo-wahhabisme est la véritable expression de l’Islam. Ainsi durant tout le début du XXIe siècle, la cohorte d’écrits se voulant critiques à son égard s’est concentrée sur cette déviance dont nous avons dévoilé les origines. Le penseur américano-palestinien Edward Saïd était le premier à dénoncer ce biais en 1997 lors de sa conférence « Le mythe du Choc des Civilisations » prononcée à l’Université de Columbia.

Un regard différent sur l’histoire de l’Islam

Un argument souvent repris par les détracteurs de l’Islam et de ses pratiquants est son histoire parsemée de violences et d’exactions.

Il est très tentant de se laisser piéger par ce biais, mais une étude rigoureuse de l’histoire musulmane est nécessaire pour ne pas tomber dans le piège qui attend ceux qui veulent comprendre cette religion.

La première chose à garder à l’esprit dans la quête de vérité est que l’histoire de l’Islam est un drame en soi. Les musulmans chiites et alévis (présents en Turquie) gardent une mémoire vive de cela dans leurs divers deuils et remémorations rituels.

Premièrement, le fondateur et guide de l’Islam, le Prophète Muhammed (Paix sur lui), selon les biographies les plus anciennes, est mort prématurément empoisonné. On l’a empêché de rédiger son testament, et bien qu’il ait proclamé, dans un Hadith (tradition) reconnu authentique par toutes les obédiences musulmanes, qu’il lègue le livre d’Allah (le Coran) et sa famille, sa descendance a été soit décimée, soit emprisonnée ou empoisonnée par des rivaux qui ont réalisé un véritable coup d’État sur la tradition islamique originale.

À la lueur de cela, les biographies tardives du Prophète Muhammed ainsi que le corps de Hadith qui constituent la tradition et une partie de la jurisprudence musulmane (toutes obédiences comprises) ne peuvent qu’être remis en cause si l’on sait que la chaîne d’autorité spirituelle a été rompue brutalement. Les méfaits historiques attribués à la communauté musulmane sont donc à rechercher dans une clique de califes qui ne semblent pas s’être beaucoup préoccupés de la spiritualité musulmane authentique.

Quant aux versets du Coran qui peuvent sembler violents, il ne faut pas perdre de vue que dans l’ensemble, le dialogue a été mis en avant et il est bien mentionné que les transgressions sont interdites et nous y trouvons également des directives de bonne conduite. Bien qu’il puisse sembler étrange à l’heure actuelle qu’un livre et courant spirituel légifère sur la guerre, n’oublions pas que si nous n’avons toujours pas réussi à l’éradiquer, il est difficilement pensable qu’elle puisse l’avoir été au Moyen-Âge. Le gendre du Prophète Muhammed, Ali ibn Abi Talib (Paix sur lui) qui a été désigné comme figure d’autorité première par lui peu de temps avant son décès (évènement de Ghadir Khumm) a proclamé dans une tradition que « la violence est le plus haut degré d’égarement ».

Conclusion

Nous avons observé que la communauté occidentale est victime d’une propagande sale qui vise l’ostracisme et qui ne sert en rien à sa cohésion sociale en des temps de division et de troubles civils en hausse.

Pour gommer les amalgames, il convient de souligner qu’une grande part des musulmans issus de l’immigration est apolitique et, que ce soit en Occident ou dans les pays musulmans, le discours des frères musulmans ne séduit pas les masses et ceux-ci ont été plusieurs fois refoulés. Il revient donc aux deux communautés de combattre mutuellement cette idéologie et le combat semble bien engagé, car elles sont conscientes de la dérive que cela fait risquer.

Ironiquement, comme le souligne le journaliste américain Paul Berman, le monde musulman est dans son ensemble acquis aux bénéfices du mondialisme et collabore activement à une paix durable. Les pages sombres de l’Islam sont similaires à celles de la plupart des courants politico-religieux passés et il est temps de faire cesser son détournement par des activistes aux motivations douteuses.

Pour citer le défunt Stéphane Blet (Paix sur lui), les divisions et radicalisations actuelles sont toujours le fruit de l’oligarchie maçonnique qui supervise attentivement les différents camps. Et d’ajouter que plusieurs braves journalistes ont déchiffré la « stratégie de la tension » de l’OTAN » consistant à mener des « false flags » [opérations sous faux drapeau] et à accuser fallacieusement un camp désigné. À une plus large échelle, les oppositions mondiales comme capitalisme-communisme, OTAN-Russie et finalement Occident-Islam ne sont que le fruit d’un état profond global qu’il presse de dénoncer.

Özler ATALAY YÜKSELOĞLU




Le détournement de la psychiatrie pour répression

Publié par [Publication initiale : ozlecarolo.com]

Par Özler ATALAY YÜKSELOĞLU

Depuis plusieurs années, il est devenu de plus en plus flagrant que les libertés fondamentales des peuples sont exposées à la montée du totalitarisme des états modernes.

Néanmoins, pour une nette frange de la population, ce totalitarisme n’est pas chose neuve. En effet, leurs droits élémentaires sont bafoués depuis des décennies au prétexte de vouloir maintenir l’« ordre social » par l’intermédiaire de la psychiatrie.

Des lanceurs d’alerte aux innocentes victimes isolées, ce système pseudo-médical a détruit des millions de vies de par le monde à travers des diagnostics douteux et des pratiques anticonstitutionnelles.

Si auparavant dans l’Allemagne nazie, l’URRS et actuellement la Chine communiste, elle est ouvertement utilisée à des fins répressives contre la dissidence, dans nos contrées son implémentation est plus pernicieuse et sournoise, car abuse des motifs de « maintien de l’ordre » et de « protection » des malades mentaux et de la société.

Ainsi des « diagnostics » de « schizophrénie paranoïde » ou de « bipolarité » sont arbitrairement distribués aux victimes de ce système perfide pour les décrédibiliser après une entrevue de cinq minutes parfois moins avec des psychiatres parfois corrompus et des dénonciations pouvant être totalement calomnieuses. De plus, le mouvement antipsychiatrique avance qu’elle ne serait pas, ou pas assez scientifique, notamment car elle ne se base sur aucune haute technologie et (en dehors des traitements médicamenteux) sur aucun fonctionnement scientifique (pour les diagnostics notamment).

L’état profond n’est pas loin

Quant à l’aspect judiciaire, nous observons une collusion de procureurs, préfets, juges et avocats corrompus pour emprisonner les victimes dans les griffes des institutions étatiques ainsi que dans les camisoles chimiques de Big Pharma qui sont prescrites à l’encontre de la convention de Genève, celle-ci stipule que nul n’a le droit d’inoculer des substances médicamenteuses à un individu contre son consentement. Évidemment, la logique parfois détournée du « maintien de l’ordre public » et de la « protection » des « malades mentaux » viole outrageusement cette convention. Ces produits ont des effets secondaires gravement délétères sur la santé allant du diabète aux désordres neurologiques incapacitants et peuvent même amener à la mort. L’artiste américain Kanye West a avoué que son psychiatre avait insisté pour qu’il prenne un traitement qui aurait pu lui provoquer de lourds dégâts.

Le Dr Fourtillan, intervenant du documentaire Hold Up qui avait dénoncé la supercherie de la crise covid avait fait les frais de cette conspiration en novembre 2020. En effet, le juge d’instruction avait délivré un mandat d’amener à une maison d’arrêt à Nîmes. Après une entrevue avec un « médecin », il a été « jugé » que son état de santé nécessitait un placement dans un établissement psychiatrique. Il a été libéré en juillet 2021 par l’armée française. J’avais également présenté le cas de harcèlement étatique et psychiatrique de Fabio Traina.

[Voir aussi :
La pathologisation de la dissidence
Le Pr Fourtillan, apparu dans « Hold-Up », interné en hôpital psychiatrique contre son gré? MàJ 12/12/2020
Le harcèlement des opposants ne passera pas !
William Sargant, MK Ultra, conditionnement — Le détournement cognitif ou la psychologie qui consiste à façonner la réalité d’autrui]

Comme cela a été le cas pour eux, ces lieux de pénitence psychiatriques peuvent être infiltrés par des agents du renseignement pour pourrir la vie des victimes, des agressions, viols et empoisonnements peuvent se produire et comme elles sont discréditées, leur voix est étouffée. De plus, le personnel « soignant » peut également infliger des mauvais traitements, essentiellement lors d’injections forcées de neuroleptiques, mais également lors de la mise en contention.

Un système de harcèlements organisés

Tristement, un nombre considérable de victimes sont amenées dans ce système suite à une agression psychotronique et du harcèlement criminel en réseau (les deux pouvant être appelés Gang Stalking) qui sont également des outils du système répressif des états développés pour conduire de personnes initialement en bonne santé mentale à la folie. La réputation des victimes en sort gravement entachée à cause du tabou entourant la psychiatrie et le mal-être provoqué peut les pousser parfois au suicide.

La psychotronique utilise les infrastructures de communication (satellites, antennes relais, box wi-fi et smartphones/PC) pour induire des psychoses et autres désordres psychologiques, voire cet article à ce sujet. Le harcèlement criminel en réseau est implémenté à l’aide des services de renseignement et de civils mafieux pour traquer les individus ciblés et saboter leurs vies et leurs biens, les plaintes contre ces délits mènent très fréquemment à une expertise psychiatrique à cause de la corruption ou l’incompétence policière.

À l’heure de la résistance contre le totalitarisme sanitaire, numérique, électromagnétique (5G) et climatique, elle doit également s’étendre au totalitarisme psychiatrique qui est un frein à l’émancipation des peuples, car les individus ciblés sont les personnes les plus valeureuses pour la lutte globale en cours. D’ailleurs au même moment de la survenue de la crise covid, les placements sous contrainte se vont vus augmenter.

Özler ATALAY YÜKSELOĞLU – Journaliste citoyen




Plaidoyer pour une société sans ondes artificielles

Par Özler Atalay Yükseloğlu

À l’heure où cet article est écrit, le monde retient son souffle. Après que tous les regards aient été tournés vers l’Ukraine, ils le sont maintenant sur le Moyen-Orient avec la flambée du conflit israélo-palestinien. Les craintes de 3e guerre mondiale nucléaire sont à leur paroxysme après une année et demie fortement anxiogène.

Néanmoins, il ne faut pas perdre de vue les combats que nous avons la responsabilité de continuer, que ce soit la justice pour les victimes du covid et des injections associées ou la cessation de la frénésie du WEF pour amener son agenda 2030. Les différents conflits peuvent tout à fait être des moyens de distraction pour mettre en œuvre les plans des élites.

La vérité est que la 3e guerre mondiale aurait très bien pu commencer à la sortie de la 2e au vu des conflits incessants qui se sont déroulés et de la répression secrète des dissidents par les réseaux obscurs (GLADIO) de l’OTAN, cette guerre combine certainement les philosophies des guerres de 4e et 5e génération qui sont respectivement menés sans distinction entre civils et militaires pour la 4e et bénéficiant des dernières avancées technologiques pour la 5e.

Que ce soit pour le déroulement de cette guerre ou la mise en place d’un nouvel ordre mondial technocratique et totalitaire, l’un des outils de premier plan est les ondes électromagnétiques, que ce soit pour la survenue de l’IoT (Internet des choses) ou l’IoB (Internet des corps) et beaucoup d’autres ainsi que le crédit social et un système financier entièrement numérique. D’où un engouement effréné vers la 5G, la 6G et pourquoi pas une 7G et une 8G ?

Un scandale en approche

Mais l’objet de ce plaidoyer n’est pas exclusivement de dénoncer cette dérive basée sur des réseaux de plus en plus délétères sur la santé publique, mais d’exiger une révolution drastique de nos habitudes en ce qui concerne l’utilisation des ondes électromagnétiques.

En effet, les réseaux mobiles sont devenus après trois décennies un outil quasi indispensable pour les plus jeunes qui ne peuvent concevoir un monde non connecté en tout lieu et en tout temps. Or, l’heure est venue de prendre conscience mondialement de la nocivité scandaleuse des OEM (Ondes Électromagnétiques) qui ne date pas des réseaux récents, mais bien des ondes les plus primitives.

En 2020, le docteur en médecine alternative américain Thomas Cowan a fait fureur en attribuant l’origine de la plandémie covid à la 5G et suggère que les grandes pandémies précédentes ont été causées par des « sauts quantiques » dans l’électrification de la Terre et de la performance des réseaux mobiles. Il affirme que la grippe espagnole de 1918 a été causée par l’introduction des ondes radio et que les pandémies suivantes ont été causées par l’introduction de radars et de satellites. Il s’était basé sur le livre « L’arc-en-ciel invisible » d’Arthur Firstenberg. Bien entendu, il a souffert de pressions et d’exclusion du corps médical pour ses assertions.

À ce jour, les grandes organisations de santé comme l’OMS et autres utilisent un langage oscillant entre la négation pure et simple ou une langue de bois pour admettre à demi-mot qu’il « pourrait » y avoir un risque pour la santé à « long » terme.

Ce qui est vraiment un mensonge faramineux si l’on sait que la Naval Medical Research Institute américaine a publié en 1971 un rapport sur les effets biologiques des micro-ondes (à partir de la 3G) et ondes radio (inférieures à 300 GHZ). On y retrouve un cortège de maladies allant aux pathologies cardiaques, aux pathologies neurologiques, psychologiques et endocriniens. Il est également utile de savoir que dans le bloc soviétique, les effets des micro-ondes comme des maux de tête, fatigue, perte d’appétit, somnolence, difficultés de concentration, mauvaise mémoire, instabilité émotionnelle et fonction cardiovasculaire labile étaient reconnus.

En ce qui concerne les ondes EBF (anglais ELF, ondes à fréquences extrêmement basses) allant de 0 à 30 Hz, les risques sont également évalués et même les grandes organisations de santé reconnaissent un « potentiel » risque cancérogène ou neurodégénératif. D’autres effets délétères sont connus, mais restent évidemment occultés.

Sachant que toutes ces gammes de fréquences se retrouvent dans les boxs Wi-Fi et les antennes relais, la vie des électrosensibles se fera d’autant plus rude. À ce sujet, nous estimons que ce terme est un euphémisme, car définirait une sensibilité « en dessous » des normes d’expositions publiques. Sachant que ces normes sont relatives à l’intensité pour provoquer une élévation de température, ces souffrants devront endurer des gammes de plus en plus larges, la gamme EBF étant déjà préjudiciable. Tout citoyen est potentiellement électrosensible et peut développer des pathologies.

Toutes les ondes artificielles sont nocives

D’un point de vue technique, toutes les ondes artificielles sont néfastes. Le biophysicien grec Dimitris J. Panagopoulos affirme que c’est par ce qu’elles sont polarisées et cohérentes et peuvent donc « produire des interférences constructives et amplifier leur intensité à certains endroits, et aussi forcer toutes les particules chargées (par exemple les ions mobiles) dans les cellules/tissus vivants à osciller en parallèle et en phase avec eux. La polarisation et la cohérence expliquent pourquoi les CEM de ~ 0,1 mW/cm2 émis par un téléphone portable sont nocifs, alors que les CEM solaires de ~ 10 mW/cm2 (100 fois plus forts) sont vitaux. ». Les CEM (Champs Électromagnétiques) naturels (par exemple la lumière, les résonances de Schumann, les micro-ondes cosmiques, etc.) ne sont ni polarisés ni cohérents, c’est-à-dire que les ondes individuelles oscillent sur tous les plans possibles et avec une phase aléatoire, et ce n’est qu’en certaines occasions qu’ils sont partiellement ou localement polarisés (comme les champs terrestres et les champs des membranes cellulaires). (Pour développer)

Conclusion

Si notre réclamation peut sembler utopique, c’est pourtant une nécessité absolue, à l’heure où un nombre incalculable de civils souffre passivement ou activement (attaques) des ondes artificielles.

L’humanité a passé la majeure partie de son existence sans ces technologies sans fil et s’en est très bien portée. La technologie filaire est également assez efficace et stable.

En tant qu’individus ciblés victimes d’armes électromagnétiques, nous sommes les plus sensibilisés contre la prolifération d’ondes mortifères et souffrant pour beaucoup de symptômes proches de ceux du syndrome de La Havane, nous faisons nôtre la souffrance des électrosensibles qui sont peut-être des ciblés qui s’ignorent. À l’heure du déploiement du système d’armes 5G dénoncé par le spécialiste en armement britannique Mark Steele, toute la société est potentiellement victime d’agressions électromagnétiques, particulièrement les vaccinés. En définitive, peu importe la gamme d’ondes, nous sommes tous concernés, alors exigeons la désinstallation de ces technologies ou à défaut un rétropédalage progressif jusqu’à ce qu’il ne reste que des ondes naturelles. L’ingénieur et individu ciblé Frédéric Laroche avait fait cette proposition audacieuse en 2020 déjà.

Manifestation européenne du 10 juin 2023 à Bruxelles
contre l’utilisation d’armes électromagnétiques sur civils

Özler ATALAY YÜKSELOĞLU – Journaliste Citoyen et Individu Ciblé




Le Docteur Yves Couvreur dénonce le harcèlement électromagnétique et en réseau

Par Özler Atalay Yükseloğlu

Le Dr belge Yves Couvreur, connu pour ses positions contre la plandémie covid et les injections associées sensibilise le public à un phénomène occulté, mais qui concerne l’entièreté de la société : le harcèlement électromagnétique et en réseau (Gang Stalking).

C’est une forme de criminalité d’État qui est prévue de monter à la hausse suite à la montée des contestations générales. Des civils enrôlés par le Renseignement ainsi que des armes électromagnétiques et psychotroniques sont utilisés.

Les signes d’un harcèlement en réseau sont la traque piétonnière ou automobile avec comportements étranges (regards menaçants, allusions à votre vie privée et signes de la main), sabotage de biens (véhicule, maisons, etc.), piratage, harcèlement administratif, policier, judiciaire, professionnel et de voisinage, interception de courriers, intrusions à domicile et cambriolages, tapage et dans de rares cas empoisonnement et agressions physiques.

Les signes d’un harcèlement électromagnétique sont : fatigue intense soudainement, problèmes cardiaques soudains, insomnies, réveils nocturnes avec ou sans sueurs, problèmes cognitifs (perte de mémoire et de concentration), spasmes, électrochocs, douleurs intenses, acouphènes douloureux, migraines et beaucoup d’autres. Des attaques psychotroniques peuvent également se produire avec psychoses et paranoïa induites ainsi qu’hallucinations auditives oppressantes, cauchemars synthétiques et instabilité émotionnelle. Dans de rares cas des « cybermeurtres » avec AVC, crises cardiaques et cancers induits peuvent être causés. Les antennes relais et satellites sont à la source de ce harcèlement avec également des appareils mobiles qui émettent des micro-ondes (énergie dirigée) à la portée de malfaiteurs.

Il a recueilli plusieurs témoignages pour valider la souffrance de ces victimes souvent redirigées injustement vers la psychiatrie et a subi des menaces et intimidations suite à ses investigations sur ce sujet.

Devant ce scandale le plus important est de ne pas céder à la peur, même si l’on est ciblé et que l’on subit ces harcèlements depuis des années. Il ne faut pas s’isoler, mais se regrouper (en faisant le tri, car des harceleurs peuvent se faire passer pour victime) et dénoncer cette criminalité collectivement pour espérer y mettre un terme.

Vidéo n° 1 : introduction du Dr Yves Couvreur

https://crowdbunker.com/v/7bc4J1nJKg



Vidéo n° 2 : premier témoignage

https://crowdbunker.com/v/zBDDxDKq2R



Vidéo n° 3 : second témoignage

https://crowdbunker.com/v/JFnw3bUEjd






Révélations sur le harcèlement criminel d’État

Le journaliste américain Greg Reese divulgue le harcèlement d’État (ou harcèlement criminel en réseau — Gang Stalking en Anglais) qui consiste à harceler physiquement et numériquement des individus ciblés placés abusivement dans une liste antiterroriste.

Parmi les méfaits : harcèlement policier, judiciaire, administratif, sur les réseaux sociaux, sabotage, piratage, usurpation d’identité, traque, intrusion à domicile…

Ces cibles souffrent également de harcèlement (ou mise à mort) électromagnétique par armes à énergie dirigée portables ou dans les antennes relais et satellites. Les pathologies psychiatriques comme les psychoses et entente de voix synthétiques sont également abordées.

On y voit également le neurologue de la DARPA, James Giordano se vanter de pouvoir contrôler mentalement des individus ciblés, de leur provoquer des AVC à l’aide de nanoparticules et de manipuler les insectes pour faire des bioarmes.

0,1 % des citoyens de l’OTAN en est victime dont les lanceurs d’alerte.

Sous-titres : Özler ATALAY YÜKSELOĞLU

[Voir aussi :
Divulgation des armes électromagnétiques (énergie dirigée et micro-ondes) pour attaquer les lanceurs d’alerte
Du danger de la militarisation des ondes électromagnétiques
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?
Vers une tyrannie virtuelle gérée par l’intelligence artificielle ?
DU HARCÈLEMENT ÉLECTROMAGNÉTIQUE DES POPULATIONS À LA NEURO-POLITIQUE DU NOUVEL ORDRE
Les armes électromagnétiques ne sont pas de la science fiction
Opération Crimson Mist
Une intervenante du Forum Économique Mondial vante une technologie qui va permettre à votre patron de lire dans vos pensées
Des armes gouvernementales silencieuses pour mener une guerre secrète contre vous
Le contrôle des émotions et des pensées par la technologie
Actionner un interrupteur dans la tête]


[Source : Résistance
Oz Le Carolo
]




Vers une tyrannie virtuelle gérée par l’intelligence artificielle ?

[Voir aussi sur ozlecarolo.com]

Par Özler ATALAY YÜKSELOĞLU

À l’heure où les débats sur les dangers de l’intelligence artificielle battent leur plein et que des désaveux de la part de leurs pionniers (ex. ceux de Geoffrey Hinton) se dévoilent, il est crucial de prendre conscience de leur utilisation en cours et en voie de perfectionnement à des fins de persécution électromagnétique et de contrôle mental.

Nous voyons se multiplier des articles vantant les capacités de ces IA à « lire dans les pensées », faire de la télépathie, taper sur un clavier virtuel et mouvoir des objets voire des drones. À ce stade, les articles scientifiques parlent d’interface cerveau-machine, mais la réalité est que cela peut déjà se faire à distance sans électrodes grâce à des procédés qui utilisent des champs magnétiques et qui sont synchronisés à notre empreinte et signal électrique cérébraux.

Interface cerveau-ordinateur

Lecture de la pensée

Dans cet article de Venture Beat (portail d’innovations technologiques) de 2021, il est révélé qu’il est possible de mesurer l’état émotionnel d’un individu en l’irradiant et en mesurant le signal retour, la réalité est que l’entièreté du contenu de l’esprit et donc les pensées peuvent être interprétées. J’avais fait état précédemment du brevet déclassifié US3951134A qui permet surveiller et d’affecter à distance (sans électrodes) l’activité cérébrale à l’aide de rayonnement électromagnétique, le brevet datant de 1974, qui sait où en sont actuellement les technologies de contrôle mental ?

Le scientifique américain ayant travaillé avec la NASA Richard LIGHTHOUSE affirme que les métaux lourds (mercure, aluminium…) qui nous ont été inoculés depuis l’enfance dopent le signal électrique émis par le cerveau et fait de nous des « antennes ». La DARPA (Agence Américaine de Projets de Recherche Avancée) envisage d’utiliser des nanoparticules pour lire cette activité cérébrale, sachant que les injections covid contiennent des nanoparticules de graphène et d’autres dispositifs ayant une adresse MAC, il est tout à fait plausible que la visée de cette campagne massive soit la fusion des individus avec les dernières technologies de surveillance et de contrôle mental.

D’autres articles scientifiques évoquent cette fusion des cerveaux humains dans un « cloud » à l’avenir où les pensées et connaissances de chacun seront connectées et centralisées à l’aide de nanotechnologies, ce qui mènerait à une méga-intelligence artificielle ou « borg ». Ceci et tout ce qui est cité précédemment sont en fait une programmation prédictive (démonstration anticipée pour préparer à la mise en place en gagnant le consentement inconsciemment) pour un monde dystopique où l’humanité sera assimilée et gérée par la technologie.

Et si ce cloud était déjà en place ?

Les réponses à ces questions viennent de la communauté des individus ciblés (en anglais « Targeted individuals » — T.I.) qui ont été choisis au hasard dans la population souvent pour leur profil intellectuel et leurs dénonciations sur internet. Ils témoignent être harcelés par une technologie invisible qui scrute leurs pensées et les persécute instantanément par agressions électromagnétiques. Leurs rêves sont également piratés par cette technologie, à ce sujet le physicien japonais Michio Kaku avait révélé en 2014 que l’on pouvait les enregistrer. Les individus ciblés se plaignent d’intrusion dans leur esprit, de manipulation de leur comportement (anxiété, voix implantées dans la tête, cauchemars, psychoses…) et de torture (douleurs, brûlures, problèmes cardiaques, privation de sommeil, fatigue, acouphènes, migraines…). Dans une certaine mesure il est également d’infliger un « cybermeurtre » par irradiation lente « Slow Kill » ou en provoquant un AVC, crise cardiaque ou cancer. Leur nombre étant estimé à 6 millions dans le monde, il est évident que les services de renseignement et les agents des complexes militaro-industriels ont accès à des systèmes autonomes et des IA pour la surveillance et la persécution h24 7 j/7 des cibles (guerre de 5e génération).

Dans cette vidéo, le journaliste américain Stew Peters interviewe la vétérane de l’armée US Amy Holem qui révèle l’utilisation à armes à énergie dirigée (à micro-ondes) placées dans les antennes relais, satellites et drones pour attaquer des lanceurs d’alerte.

Le Sentient World Simulation, un cloud militaire ?

Depuis 2007, les agences de la défense US ont mis en place un univers virtuel parallèle appelé simulation du monde conscient (anglais : Sentient World Simulation — SWS) où chaque être humain d’à l’époque 62 états ont été modélisés en un avatar et surveillés par une IA qui détecte l’activité cérébrale des cibles en temps réel pour des motifs de prédictibilité d’un futur proche en cas de catastrophes. La vidéo ci-bas explique son fonctionnement et son objectif.

L’ingénieur en informatique et individu ciblé français Frédéric LAROCHE affirme que les épandages de chemtrails servent à modéliser l’environnement en 3D à l’aide de nanoparticules. Le but de cette simulation est de détecter les comportements « déviants » par rapport à sa propre déviance et de les « corriger » avec l’arsenal de neuro-armes et du renseignement renégat (voir article sur le harcèlement criminel en réseau — gang stalking) pour assurer le contrôle mental total de la population qui pensera et agira comme un individu unique sous un esprit de ruche (anglais : Hive Mind). Nous arrivons ainsi à uncerveau global (anglais : Global Brain)où chaque individu aurait le même rôle qu’un neurone.

Conclusion

À la lueur de ces informations, il devient clair que George Orwell avait vu juste dans son roman 1984 sur l’instauration d’une « police de la pensée » envahissant à un niveau jamais atteint et que dorénavant les citoyens ayant des pensées, croyances et convictions « non-orthodoxes » seront susceptibles d’être inculpés de « crime de pensée ». La psychiatrie sera un fer de lance de la ré-éducation des individus non conformes qui les décrédibilisera et maquillera les pathologies infligées par les neuro-armes psychotroniques et à énergie dirigée en maladies mentales comme de la fibromyalgie, de l’électrohypersensibilité ou des cénesthésies.

Le but de cet article n’est pas susciter la peur, mais d’informer afin d’exiger la fin de la militarisation interminable et illégale des neurotechnologies. La triste expérience des individus ciblés aura été une phase de test pour les élites sans scrupules dans leur plan de domination sans limites, ils sont maintenant dénonciateurs et précurseurs de la lutte contre la tyrannie technotronique rêvée par Klaus Schwab et consorts. Les avancées classifiées et déclassifiées en la matière ont provoqué la crainte de nombreux observateurs avertis y voyant les potentielles violations de l’espace mental des citoyens du monde et appelant à l’implémentation d’une « neuro-éthique ». Le Chili est devenu un pionnier fin 2021 en matière de « neuro-droits » pour protéger l’intégrité mentale, le libre arbitre et la non-discrimination dans l’accès des citoyens aux neurotechnologies pour prévenir leur « piratage » comme s’en vante Yuval Noah Harari, conseiller du WEF.

Özler ATALAY YÜKSELOĞLU — Journaliste Citoyen et Individu Ciblé




Divulgation des armes électromagnétiques (énergie dirigée et micro-ondes) pour attaquer les lanceurs d’alerte

Dans cette vidéo d’août 2022, le journaliste américain Stew Peters interviewe la vétérane de l’armée US Amy Holem(([1] Voir https://icator.be/icator-lawyers-association-conference/ (en anglais) pour l’accès à des vidéos ou des audios avec Amy Holem et d’autres spécialistes du domaine, comme Barrie Trower.)) qui divulgue les technologies d’armes électromagnétiques utilisées depuis près de 30 ans sur des civils pour répression invisible. Amy impute la mort d’Isaac Kappy à ces armes top secrètes.

Les symptômes d’un ciblage secret sont : fatigue, douleurs, migraines, brûlures, problèmes cardiaques, insomnies, réveils nocturnes, problèmes endocriniens, cancers, psychoses.

Vous pourriez en être la cible sans le savoir.

Partagez SVP pour conscientiser sur les dérives militaires et le totalitarisme électromagnétique.

Sous-titres : Özler ATALAY YÜKSELOĞLU pour Oz Réinfo

[Voir aussi :
Du danger de la militarisation des ondes électromagnétiques]

Transcription de la vidéo :

Stew : tout le monde a un four à micro-ondes chez soi. Vous savez peut-être ou pas comment ils fonctionnent. Ils tirent une forme d’énergie à micro-ondes qui fait que les molécules gagnent de l’énergie et chauffent. Mais voilà, il n’y a pas de raisons qu’ils soient faits pour autre chose que de réchauffer la nourriture. Ils peuvent être utilisés pour toutes sortes de choses, y compris blesser des gens.

Depuis des années, la police et les tyrans ont développé leurs propres canons qui peuvent forcer les manifestants à se disperser en les cuisant de l’intérieur. Ils en ont utilisé en Australie contre des manifestants anti-confinement et vous pouvez croire qu’ils les utilisent ici aussi. En fait, ils ont envisagé de l’utiliser ici à Washington durant les émeutes de Georges Floyd.

Une condition médicale appelée syndrome de La Havane, où des espions US font face à des maladies mystérieuses, est soupçonnée d’être causée par des armes à micro-ondes. Selon la CIA, il y a peu ou pas de preuves que ces attaques aient été commanditées par une puissance étrangère. Et si elles étaient faites par notre propre gouvernement ?

Amy Holem est la directrice d’une agence d’échantillonnage acoustique subliminal. Elle est spécialisée dans les investigations mortuaires numériques et est également membre du conseil de l’agence des armes à énergie dirigée. Elle est également une vétérane de l’armée US, spécialement dans la police militaire qui peut déployer des appareils comme les armes que nous dévoilons.

Ce samedi nous nous sommes entretenus durant environ une demi-heure, voici ce qu’elle a dit :

Amy : les armes électromagnétiques sont utilisées depuis 1932. Ça fait donc près de 80 ans qu’ils travaillent sur ces technologies. J’ai aidé près de 3500 victimes dans le monde, près de 2500 aux USA et environ 1200 dans des pays étrangers.

Stew : comment est-ce déployé ? Qui sont les commanditaires ? Tant de questions. Pourquoi ciblent-ils ? Comment décident-ils et comment sont-elles déployées ? SVP. Je suis très curieux.

Amy : bon, cela dépend de comment c’est décidé. Le DoD [Département de la Défense] et le FBI ont une liste de personnes qui ont été pucées ou implantées. Donc ces listes sont utilisées par les Centres de Fusion et les officiers locaux de police pour cibler et harceler en utilisant différents types de technologies. La plupart d’entre elles sont déployées à travers des avions, des drones et des satellites qui sont en fait connectés à des systèmes de défense de missiles ou de vecteurs air-air ou air-sol ou sol-sol qui sont utilisés pour attaquer des victimes quotidiennement.

Stew : Isaac Kappy a dit qu’il était victime d’armes de ce genre et est mort mystérieusement. Nous ne pensons pas qu’il se soit suicidé ou jeté d’un pont. Il dénonçait la cabale satanique et pédophile, dont Tom Hanks avec un tweet crypté sur sa mort : « Nous aurons à faire face à eux lundi 1er août [2022] et visiblement beaucoup n’aiment pas ce que nous faisons. »

Doit-on être implantés par une puce afin que ce type d’arme soit utilisé contre nous ?

Amy : non, pas forcément. En fait, nos corps produisent des fréquences, ils peuvent se focaliser sur ces fréquences personnelles et vous attaquer avec des ondes radio. C’est fait avec des transpondeurs et des émetteurs AM-FM. Donc les antennes relais, tours radio, sont toutes utilisées pour vous attaquer.

Stew : qui a la main sur cette technologie ?

Amy : en grande partie l’armée US. Plusieurs États étrangers disposent de ces armes : l’OTAN, l’armée britannique, les Russes, les Chinois et même l’armée US. Ils utilisent les systèmes Northcom.






Du danger de la militarisation des ondes électromagnétiques

[Initialement publié sur ozlecarolo.com]

Par Özler ATALAY YÜKSELOĞLU – Journaliste citoyen victime de harcèlement électromagnétique

Depuis quelques années, les risques sur la santé des ondes électromagnétiques alimentent craintes et débats. Ce fut le cas notamment avec la polémique sur les compteurs communiquant Linky et plus récemment avec le réseau 5G.

Un grand nombre d’activistes nous a donc alertés sur les dangers d’une exposition « passive » à ces ondes qui forment un « electrosmog » (brouillard électromagnétique).

Néanmoins une certaine part de la population est victime d’une exposition « active », à comprendre qu’elle est victime d’agressions électromagnétiques délibérées depuis des décennies que nous nommerons harcèlement électromagnétique.

[Voir aussi :
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Elle se regroupe sous l’appellation d’individus ciblés (anglais : targeted individuals). Le gouvernement est directement incriminé par des officiels devenus lanceurs d’alerte.

Cela est le cas pour Barrie Trower, ancien spécialiste des micro-ondes ayant travaillé pour le MI-5 (renseignement militaire britannique). Dans la vidéo ci-bas, il explique qu’il est possible de cibler des individus pour leur induire des pathologies et des symptômes psychiatriques.

Nous y voyons également le scientifique et chercheur américain Nick Begich expliquer les technologies de contrôle mental. En effet, il cite la DARPA (Agence pour les projets de recherche avancée de défense) américaine pour avoir mis au point ce qu’ils ont baptisé la « télépathie électronique » ou « télépathie synthétique » qui est capable de lire dans les pensées de la cible et d’interférer avec son comportement sans électrodes. Il y a dédié un livre nommé « techniques de contrôle mental » et est aujourd’hui l’un de ses plus fermes opposants.

Les infrastructures de communication (satellites, antennes relais et boxs wi-fi) constituent le socle du harcèlement électromagnétique, les smartphones et PC complètent le tableau. En effet, le scientifique américain Richard Lighthouse ayant travaillé avec la NASA, nous livre un diagramme de ce crime d’État.

Nous y voyons que les civils sont traqués par des satellites GPS qui en combinaison avec des superordinateurs et les antennes relais nous livrent des « microwave bullets » (balles à micro-ondes) à fréquence élevée (2,3 à 3,7 GHz). C’est faisable, car elles sont équipées d’armes à énergie dirigée, ce type de technologies a été utilisé pour agresser des diplomates US et canadiens à La Havane, Cuba. Elles peuvent également émettre des signaux subliminaux et des voix implantées par la technologie V2K (Voice to Skull ou voix au crâne), n° de brevet : US4.877.027A. La seconde technologie pour exercer du contrôle mental est appelée RNM (Remote Neural Monitoring ou Monitoring neuronal à distance), n° de brevet US3.951.134A.

Des armes à énergie dirigée portables sont également à portée de mafias en collusion avec le gouvernement, elles sont plus efficaces et dangereuses encore.

Dans cette vidéo en anglais, Richard Lighthouse livre des informations très précises sur le fonctionnement du harcèlement EM :

Une large gamme de pathologies comme des problèmes neurologiques (perte de mémoire et de concentration, migraines, fatigue, insomnies, réveils nocturnes, douleurs confondues avec de la fibromyalgie, spasmes, entente d’infrasons, acouphènes, apnées du sommeil, électrochocs, troubles de la vision…), cardiaques, à différents organes, des pertes de libido, des apnées du sommeil, un vieillissement prématuré et des brûlures peuvent survenir. Il est donc possible d’exercer de la torture et de tuer une cible à petit feu.

Pour ce qui est des pathologies psychiatriques (psychotroniques) cela peut produire des hallucinations, de l’anxiété, de la paranoïa, des cauchemars, des psychoses et des voix implantées.

Le nombre de victimes augmente de jour en jour, d’après une enquête sur mon canal Telegram, une part non négligeable a commencé à être ciblée après la survenue de la crise covid. Les motifs de ce ciblage sont variés et peuvent aller de la répression des lanceurs d’alerte et des personnes éveillées à « la prévention », le sadisme, la revanche et les expérimentations, car les travaux sur le contrôle mental servent à mettre en place des intelligences artificielles, cela avait été documenté par le praticien américain John Hall.

Dans cette vidéo, des moyens de protections sont proposés :

J’y ai également dédié un article.

Les victimes se retrouvent isolées et impuissantes face à une machine de guerre bien huilée, leurs plaintes sont classées sans suite et peuvent les mener à l’internement psychiatrique.

Nous espérons que cet article ait conscientisé un maximum de personnes sur ce phénomène frappé par l’omerta, car en effet, ces technologies sont classées top secret. Nous estimons que 0,1 % de la population des états de l’OTAN en est victime à divers degrés, mais cela représente près de 10 % des personnes éveillées qui militent ou pas. Nous devons donc agir vite pour éviter un avenir dystopique et exiger la fin de ce programme inhumain même s’il est à prévoir que les autorités nieront leur existence.

Pour conclure l’article, voici une vidéo de témoignage de victimes :