Les bloqueurs de puberté ne sont pas anodins et la chirurgie est mutilante et irréversible.
Un article de Lucas ROJOUAN, publié le 27 mai dans Ouest France, minimise les risques des bloqueurs de puberté donnés chez les enfants en malaise d’identité sexuelle.
On ne peut pas reprocher à un journaliste politique et sociétal de méconnaître des problèmes médicaux, mais on peut s’étonner des lacunes de son enquête qui ne cite aucun des rapports officiels britannique, suédois, finlandais, français et des plus de 20 états américains qui ont conduit ces pays à interdire les traitements médicaux chez les mineurs en malaise d’identité sexuelle, ni les nombreux livres qui étudient en détail ces traitements, références bibliographiques à l’appui.
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