La République en marche… vers la Mondialisation

Par Alain Nicolaï et Joseph Stroberg

La République en marche… vers la Mondialisation en deux preuves flagrantes, mais peu connues, avec d’autres documents qui vont vous le faire comprendre

Intervention commune de Macron et de Klaus Schwab lors du Forum Économique Mondial (Forum de Davos janvier 2021)

Klaus Schwab est l’ingénieur qui a fondé le Forum Économique Mondial (Forum de Davos), spécialiste de transhumanisme, à l’origine du Great Reset (La Grande Réinialisation).(([1] https://nouveau-monde.ca/le-great-reset-nest-pas-du-complotisme/)) Son père Eugen Schwab fut à la tête d’une entreprise qui participa à l’effort de guerre nazi. Nous ne savons pas s’il fut contraint et forcé. Par contre ce qui est sûr, c’est que Klaus Schwab a vraiment un parcours professionnel et des activités pour le moins particulières, qui dénotent une fascination pour le contrôle, comme le montre les passages qui le concerne dans cette rare biographie familiale.(([2] https://nouveau-monde.ca/les-valeurs-familiales-de-schwab/))

Peu de temps auparavant, Macron avait prononcé le discours d’ouverture du Sommet Finance en Commun, une initiative de la finance et des instances internationales qui se servent du prétexte de la crise sanitaire pour se refaire une virginité, mais surtout pour chapeauter toutes les décisions futures et court-circuiter les citoyens, comme les états. 12 NOVEMBRE 2020. (([3] https://nouveau-monde.ca/le-choc-en-retour-ii/))

Mesdames et messieurs,

Je suis très heureux de participer aujourd’hui, même par ce truchement d’une visioconférence, à la première réunion jamais organisée réunissant toutes les banques publiques de développement du monde et tous leurs partenaires.

Parce que nous avons tous compris qu’il nous faut changer en profondeur et reconstruire, c’est une initiative forte et utile. J’en félicite les organisateurs et tous les partenaires du Sommet Finance en commun. En particulier la Fédération mondiale des institutions financières de développement (WFDFI). Les banques multilatérales partenaires. Et l’International Development Finance Club (IDFC) que préside l’Agence Française de Développement, à l’origine de ce Sommet.

Nous venons, avec plusieurs autres chefs d’État, avec le Secrétaire Général des Nations Unies, la Directrice Générale du Fonds Monétaire Internationale, la Présidente de la Commission européenne, de débattre et de dégager les principes d’une action internationale renouvelée et renforcée pour dépasser cette crise, et changer ce qui doit l’être dans nos façons de produire, de consommer et de coopérer, pour que les liens sociaux et l’environnement soient préservés, protégés, reconstruits.

Dans la continuité de cet échange sur les principes qui doivent refonder le multilatéralisme, nous avons tenu à participer au Sommet Finance en Commun, pour passer à l’action en mobilisant le plus fortement possible nos banques publiques.

Ce sommet est une preuve. Une preuve que notre transformation est possible. En vous réunissant aujourd’hui, en faisant émerger une coalition inédite par son ampleur, sa diversité et son rôle de plateforme entre tous les acteurs financiers, vous venez nous rappeler qu’il est possible de construire des réponses communes, cohérentes, concertées, aux grands défis globaux. Votre présence à tous l’atteste : un consensus profond existe sur l’urgence de combattre le dérèglement climatique et sur la nécessité de construire un monde plus juste, équitable et durable. Mais aussi sur la nécessaire complémentarité de ces agendas. Nous ne pouvons plus parler désormais de trajectoires de développement sans prendre en compte les impacts du changement climatique. Nous ne pouvons plus agir pour le climat sans prendre en compte les inégalités sociales. 

Il y a quelques jours, les États-Unis sont sortis officiellement de l’accord de Paris sur le climat. Le résultat des élections ouvre la voie à un retour au premier jour. Nous l’avons souhaité, dès les premières heures vous le savez, nous nous sommes battus pour cela, et c’est la preuve qu’il fallait tenir bon face à tous les vents mauvais. Je me souviens des One Planet Summit, du G7 de Biarritz, du sommet Action Climat de New York en septembre 2019, et de tant d’autres réunions internationales organisées depuis trois ans pour sauver notre capacité d’action collective. Nous y sommes parvenus.

Il y a quelques semaines la Chine a confirmé sa disposition à avancer conformément aux engagements pris. L’Union européenne prendra dans les jours et semaines à venir des décisions structurantes pour elle-même. Le 12 décembre, jour du cinquième anniversaire de l’accord de Paris, sera le temps de la clarification. Des engagements tenus et à venir.

Soyons collectivement au rendez-vous. Maintenant. Plus que jamais. Make our planet great again est une possibilité. Pas seulement dans les mots. Dans la réalité.

Ici, il ne s’agit plus de rechercher un accord international — nous l’avons trouvé il y a cinq ans déjà avec l’accord de Paris sur le climat, celui de New York sur les Objectifs de Développement Durable et à Addis Abeba sur le financement du développement. Non, il s’agit de passer à l’acte, de passer à l’échelle et d’entraîner avec nous tous les acteurs de bonne volonté.

Je suis donc heureux de voir qu’aujourd’hui, à ce moment très précis de notre vie internationale, vous venez vers nous avec la volonté de « financer en commun » nos politiques et notre transformation. Avec la capacité d’agir à tous les niveaux, multilatéral, international, régional, national et local, puisqu’il existe des banques publiques de développement dans chacun des pays du monde. Avec la volonté de répondre en même temps, dans chacun des projets que vous financez, aux enjeux environnementaux et sociaux. Et avec l’ambition de démultiplier les 2 300 milliards de dollars que vous investissez déjà chaque année, en agissant comme des plateformes dans chacun des pays, comme le G20 l’a appelé de ses vœux.

Ce que vous êtes en train de créer, c’est une nouvelle infrastructure financière publique globale, qui n’avait jamais été conçue à cette échelle et dont nous avons tellement besoin, aux côtés des budgets des gouvernements et des outils des banques centrales. Une nouvelle infrastructure capable de relancer l’investissement public, de façon contra-cyclique pendant les crises, et d’accélérer la mobilisation de la finance privée au service de l’Accord de Paris et des ODD. Une architecture capable de mobiliser l’épargne partout où elle se trouve dans le monde et de l’orienter plus efficacement là où sont les opportunités d’investissement les plus prometteuses, au Sud, en particulier. Une architecture capable de stimuler les investissements de développement durable.

Je vous invite à faire entendre votre voix plus fortement, distinctement dans les débats internationaux. Une voix concrète, constructive, entrant en dialogue avec celles, tout aussi essentielles, des collectivités locales, des financiers privés, des entreprises, de la société civile, des philanthropes.

J’y suis particulièrement sensible, car les banques publiques de développement ont joué un rôle majeur dans l’histoire économique de la France. Et elles sont aujourd’hui aux avant-postes face à la crise de la COVID19 et pour la transformation que j’ai engagée depuis plus de trois ans.

C’est en France qu’est née en 1816 la plus ancienne banque publique de développement du monde, devenue le groupe Caisse des Dépôts et Consignations. Et dans la crise que nous traversons, ce groupe s’est immédiatement mis au service de la relance et consacre une part importante de ses fonds propres, à hauteur de 26 Mds € pour que la reprise économique soit la plus rapide, la plus responsable, la plus durable possible, dans de nombreux domaines comme le logement ou le soutien aux entreprises et à l’économie, le renforcement de la cohésion sociale et bien sûr de la transition écologique et énergétique. Avec la Banque des Territoires et Bpifrance, ce sont plus de 40 Mds d’euros consacrés à la lutte contre le changement climatique d’ici à 2024, en changeant d’échelle sur de nombreux sujets qui permettront de réduire nos émissions de CO2. Il n’y a donc aucune fatalité, et ce groupe aide un écosystème d’innovation en matière de développement durable pour qu’il se structure, et pour avancer aussi en matière de prêts et de fonds propres.

C’est au service de la France et de l’Afrique qu’est née également, à Londres en 1941 fondée par le Général de Gaulle pour être la Caisse de la France libre, la plus ancienne banque publique internationale du monde : le groupe Agence Française de Développement. Au service du climat, de la biodiversité et des ODD, en Afrique, dans le monde émergent et dans nos outremers, ce groupe œuvre pour un monde en commun, et atteint 14 Md€ de financement annuel en 2019. L’AFD ira plus loin dans l’appui aux politiques publiques de nos partenaires avec l’entrée d’Expertise France dans le groupe AFD. Je remercie aussi l’AFD d’aider à faire de Paris une capitale des solutions pour le développement durable, avec toutes les institutions internationales qui y résident, et avec notre Place financière, à la pointe du combat pour la finance verte et durable.

Je veux enfin souligner le rôle important des banques publiques de développement dans la nouvelle étape de la construction de l’Union Européenne. Je sais que la BEI, la BERD, la Banque de développement du Conseil de l’Europe et les banques publiques de différents États d’Europe ont participé très activement à vos travaux. Elles sont engagées avec force pour soutenir le Green New Deal européen et dans la coopération internationale, en particulier avec l’Afrique. Avec nos partenaires européens, nous allons transformer, renforcer la BEI pour en faire une véritable « Banque européenne du climat », renforcer la force de frappe des banques européennes de développement en structurant un système d’action plus lisible, plus articulé, plus coordonné. 

Vous l’avez compris, nos banques publiques proposent aujourd’hui, de contribuer à engager une nouvelle étape du développement de nos sociétés. Faite de respect, de coopération internationale, d’engagement de chacun de nos États, le local, le national, le régional, du productif au social. Nos banques nous proposent au fond de relier, de réconcilier, comme jamais, les échelles d’espace, de temps, et la cohérence d’une action pour aider au développement durable. En insistant sur notre devoir de solidarité et le souci des plus pauvres, dans le monde comme dans chacune de nos sociétés.

Alors je souhaite vraiment longue vie au mouvement « finance en commun », que vous lancez tous aujourd’hui. J’accueille très positivement la force de vos engagements collectifs et ferai en sorte que vos travaux soient reconnus et encouragés au plan international, à l’occasion des grands sommets de 2021 sur la biodiversité, le climat, le financement des économies africaines, l’égalité femme-homme et sur la sécurité alimentaire. Je souhaite en tout cas que vos travaux puissent nous éclairer au G7, au G20, et puissent surtout changer concrètement la vie de toutes celles et ceux à qui elles se destinent. Changer la vie de chacun, permettre de la rendre meilleure, c’est notre objectif à tous.

Je vous remercie

Compléments, les médias au service du Nouvel Ordre Mondial, omissions, désinformations et censures

Manipulations à tous les étages, comment faire peur à la population pour vendre des vaccins à tour de bras : l’exemple de la gestion en Belgique de l’épidémie H1N1 en 2009

Marc van Ranst (actuellement membre du Comité scientifique coronavirus qui donne des avis aux autorités de la santé en Belgique) a fait une conférence en janvier 2019 devant des membres du Royal Institute of International Affairs — plus souvent appelé Chatham House qui est l’un des think tanks (groupe de réflexion) les plus influents au monde — pour expliquer comment il a géré en 2009 l’épidémie H1N1. Il raconte comment à l’époque, après avoir été nommé responsable de cette opération, il a pu convaincre les belges à se faire vacciner pour favoriser les intérêts du lobby pharmaceutique. Tous les médias belges cherchant des infos sur l’épidémie passaient par son intermédiaire. Un quasi copié-collé de l’arnaque, vaccins covid-19. La vidéo de cette conférence, où l’on entend, de plus, l’assistance composée de gens de la haute glousser de plaisir au récit de cette manipulation, est tellement dérangeante pour les covidistes, qu’elle a été censurée il y a quelques mois.

Si cela n’était pas extrêmement grave, ce serait risible.

https://nice-provence.info/2021/12/17/mandarins-dans-petrin/

https://www.fawkes-news.com/2021/12/bfm-fait-une-entrevue-lhopital-dun.html

Palombi serait donc un antivax? Ce n’est pourtant pas ce qui ressortait de cet article de BFM en juillet dernier ou il incitait les gens à aller se faire vacciner.

Palombi était candidat La République en marche en Lozère aux élections Législatives

Pour enfoncer le clou, par les comploteurs eux-mêmes, les preuves absolues d’un gigantesque complot qui cherche à contrôler les populations :

Conclusion

La quasi-totalité des médias dominants est dans les mains d’intérêts privés,(([4] Concernant la France :
https://www.monde-diplomatique.fr/cartes/PPA)) de personnes qui cherchent à vous influencer, pour parler plus directement à vous manipuler :
n’est-ce pas « la crise sanitaire » ? Aussi, dès que vous verrez les médias du système mettre en avant à l’unisson un candidat lors des prochaines élections présidentielles, vous pouvez être sûr qu’il ne faut surtout pas voter pour lui (ou pour elle). Si nous en sommes là actuellement, c’est aussi en grande partie à cause des corrompus qui sont à la tête de l’Union Européennes. Il nous faut voter pour un candidat qui veut impérativement sortir de ce nid de vipères, car les députés européens honnêtes et lucides sont actuellement très largement minoritaires. Quand nous avons fait l’Union Européenne, nous ne l’avons pas fait pour ça !!!





Les gauchistes sont-ils des idiots utiles du Système ?

Par Alain Nicolaï et Joseph Stroberg

Cédric Herrou : « Et ces ombres sont peu à peu devenues ma lumière » (yetiblog.org)

Publié le 17 octobre 2021 par Pierrick Tillet

On a tous besoin de héros par ces temps glauques, n’est-ce pas ? Cédric Herrou est un de ceux-là. Il vient de publier un livre, Change ton monde (préface J.M. Le Clézio). Extrait :

« J’étais perché sur ma montagne, avec mes poules et mes oliviers, quand le monde est subitement venu à moi. Des ombres remontaient à pied ma vallée de la Roya, entre l’Italie et la France, risquant leur vie. Au début, je détournais le regard. Puis, un jour, j’ai recueilli une famille, et ces ombres sont peu à peu devenues ma lumière. Elles fuyaient la guerre, la misère, la dictature, avaient croisé la mort dans le désert en Libye, échappé à la noyade en Méditerranée. De leur pas si déterminé, elles me questionnaient : faut-il rejeter l’autre parce qu’il est différent ?

À partir de 2016, j’ai accueilli des milliers d’exilés. J’ai aidé ces voyageurs de l’ombre à poursuivre leur chemin et à obtenir des droits, mais je n’avais pas anticipé la violence d’État qui me frapperait en représailles. Notre action ne faisait pourtant que pallier ses renoncements.

J’ai subi des gardes à vue, des procès, des perquisitions, des saisies. Le plus souvent, l’État était en tort et fut condamné. Des centaines de fois. Jusqu’à ce que le Conseil constitutionnel consacre le principe de fraternité, un progrès capital. Ces années ont changé ma vie. Citoyen lambda éloigné du militantisme, je ne suis pas un héros, juste un Herrou têtu et décidé, sans leçons à donner, à part celle-ci : avant de changer le monde, chaque citoyen a le pouvoir de changer le sien. »

La preuve que les gauchistes en prônant l’immigration ont contribué depuis des années au plan des mondialistes (à leurs insu ?)

[Parmi les nombreuses décisions très importantes prises unilatéralement par les états participants au dernier sommet du G20, et dont certaines auront de lourdes répercussions sur la vie des citoyens,  voici celle concernant les migrations :]

Migration et déplacement forcé

Le G20 s’engage à l’inclusion complète des migrants, y compris des travailleurs immigrés et des réfugiés.

À ce stade il est nécessaire de faire un rappel historique très éclairant : l’incendie du Reichstag.

Le 23 février 1933, l’incendie du Reichstag a servi de prétexte aux nazis (qui accusaient faussement les communistes de l’avoir allumé) pour qu’Hitler fasse promulguer, dès le lendemain, le 24, la Loi d’exception qui réduisait de nombreuses libertés, puis le 24 mars 1933, la Loi des pleins pouvoirs permettant au gouvernement de gouverner par décrets.

« La loi allemande des pleins pouvoirs de 1933, également connue sous le nom de loi d’habilitation ou sous sa dénomination officielle de Gesetz zur Behebung der Not von Volk und Reich vom 24. März 1933.

La Loi du 24 mars 1933 de réparation de la détresse du peuple et du Reich, est une loi qui donna à Hitler le droit de gouverner par décret, c’est-à-dire de prendre des textes à portée législative sans aucune procédure parlementaire. »

https://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_allemande_des_pleins_pouvoirs_de_1933

Il est révélateur de faire le parallèle avec la gestion de la crise dite sanitaire par le gouvernement Macron. Après avoir proclamé l’état d’urgence sanitaire sans débat parlementaire et sans que les parlementaires songent à en débattre à l’Assemblée nationale une fois le confinement terminé (un manquement injustifiable et impardonnable), le gouvernement procède depuis lors par décrets.

Un exemple parmi une multitude : 

Afin de limiter la propagation du Coronavirus, le port du masque est désormais obligatoire dans les lieux publics clos, depuis le 20 juillet 2020. Publié au journal officiel le 18 juillet, le décret du 17 juillet 2020 précise les lieux où il doit être porté par les adultes comme par les enfants de plus de 11 ans.

Maintenant, il est bon de connaître une des raisons de la situation actuelle :

Macron et ses collègues du G20, des démocrates ? Vous voulez rire.

« Celui qui ne connaît pas l’histoire est condamné à la revivre. »

Karl Marx, Manifeste du parti communiste

Pour ne pas faire le jeu du système :

L’immigration

Depuis les origines de l’Humanité, le mouvement éventuel des différents groupes humains a été surtout conditionné par la présence ou non des ressources indispensables à sa survie, spécialement les ressources alimentaires. Le nomadisme avait plutôt lieu dans les régions désertiques, semi-arides ou périodiquement couvertes de neige. Les autres connaissaient une vie plus sédentaire. Les grandes migrations ou invasions ont pu aussi être provoquées par certains chefs avides de s’emparer de ressources étrangères. Depuis un ou deux siècles, la découverte de nouvelles ressources énergétiques et la création de nouveaux moyens de transport à base de moteurs énergivores ont favorisé une nouvelle tendance : les déplacements touristiques, modèles de gaspillage dans une société oisive et irresponsable.

Parallèlement à la surconsommation énergétique et alimentaire occidentale, particulièrement par le biais d’un commerce maritime et aérien excessif (produit des délocalisations industrielles massives en Orient), des pays voient leurs populations affamées ou en proie à la guerre. Si elles ne veulent pas mourir, ces dernières n’ont guère d’autre choix que de chercher le salut dans des pays réputés pour avoir une vie plus confortable, souvent d’ailleurs ceux qui sont à l’origine de leur misère. Que ferions-nous à leur place ? Nous laisserions mourir de faim ? Ou tenterions-nous le tout pour le tout, au besoin sur des rafiots de fortune ?

Qui est donc l’immigrant qui vient — quel culot ! — envahir les peuples confortablement installés depuis des siècles en Europe et ayant décimé les Amérindiens pour vivre encore plus confortablement en Amérique du Nord ? Qui est-il donc cet enfant de…? Cet immigrant, c’est nous ! C’est nous si nous avions eu la malchance de naître à sa place. Sa mère, c’est la nôtre si elle avait eu elle aussi la malchance de vivre dans ces contrées riches en pétrole, en gaz ou en d’autres ressources, mais pauvres en moyens de se défendre face à la violence et à l’absence de conscience, d’empathie et de compassion de ceux qui viennent les voler, les violer, les affamer et les tuer.

Que peut donc faire l’immigrant qui cherche à sauver sa vie et celle de ses enfants survivants ? Que peut-il faire d’autre que de chercher refuge dans les pays qui ne connaissent pour l’instant ni la guerre ni la faim ? Que ferions-nous à la place de ce frère qui n’a pas eu notre chance ?

Maintenant, nous, dans nos pays que nous sentons envahis par des mécréants ou par de dangereux terroristes, que pouvons-nous faire pour réparer les torts que notre passivité a largement contribué à créer ? Que pouvons-nous entreprendre face au phénomène d’immigration visiblement entretenu par nos gouvernements ou par ceux qui les financent via le système de la dette ?

Jusqu’à maintenant, la réaction des peuples occidentaux a été alimentée par la peur, savamment stimulée par nos médias qui se veulent pourtant des modèles de journalisme et non de propagande. Et on peut les comprendre au moins partiellement (les peuples, pas les médias) lorsque l’on voit qu’à peine arrivés chez nous, les immigrants, ces étrangers généralement pas du tout bienvenus, sont parqués dans des camps de concentration ou qui en ont tout l’air. Comment nous sentirions-nous à leur place ? Serions-nous ravis de l’accueil chaleureux reçu ? Ou bien plutôt quelque peu… en colère ? Ou encore prêts à tout pour recevoir les dons de la terre promise ?

La solution à rechercher ne devrait idéalement léser ni les uns ni les autres. L’une des plus simples serait de s’arranger pour offrir aux immigrés la possibilité de retourner chez eux et de retrouver leurs racines, plutôt que de s’imaginer qu’ils vivront mieux chez nous quand de plus en plus des nôtres s’enfoncent sous le seuil de pauvreté pendant que nos élites deviennent riches à milliards. Cependant, pour cela, il faudrait peut-être commencer par cesser de détruire leur pays pour s’en approprier les ressources. Le seul petit pouvoir qu’il nous reste pour une telle direction, la seule once de souveraineté dont nous disposons généralement dans nos pays « démocratiques » est le vote de nos représentants, ou du moins de ceux qui sont censés nous représenter. Le plus difficile alors est de trouver un candidat qui a vraiment a cœur le bien des peuples et pas seulement sur le plan matériel. C’est ici que le discernement devient indispensable.

Une autre solution consiste à s’efforcer d’intégrer au mieux les arrivants, pour qu’ils se sentent le plus rapidement possible comme chez eux, ou au moins comme une partie intégrante de ce qui pour eux sera comme une nouvelle famille d’accueil. Souhaiterions-nous autre chose que l’une de ces deux voies si la situation était inversée ?

L’immigration est un phénomène de friction entre un mouvement — celui de ceux qui fuient la mort — et la résistance face à ce mouvement, ne serait-ce que par l’inertie ou la non-action. Et toute friction engendre de la chaleur, physique, émotionnelle ou sociale, selon le type de friction. Un bon moyen de réduire la friction est d’utiliser un lubrifiant, comme l’huile ou le beurre sur le plan physique, ou comme l’amour sur le plan affectif ou sociétal. Un tel amour peut se manifester de différentes manières, comme la recherche de conciliation et d’harmonie. Dans ce cas, les individus de type conciliateur ont un rôle à jouer. Cependant, la situation engendrée par l’immigration est devenue assez complexe pour que sa résolution complète demande la bonne volonté et la coopération de tous les types d’individus.

Maintenant, que préférons-nous ? Laisser la friction se poursuivre au risque de mettre le feu à nos différents pays et d’y amener révolutions sanglantes ou guerres civiles ? Ou bien, à notre petit niveau, orienter nos actes et nos choix vers l’utilisation du lubrifiant, l’amour et la compassion, pour favoriser soit l’assimilation des immigrants, soit leur retour chez eux dans les meilleures conditions ?




Simplissime : les contrats d’assurance-vie et de prêts interdisent la vaccination anti-covid

Par Alain Nicolaï

Quand les tricheurs et les mécréants trichent trop, cela se retourne contre eux.

Explication d’Éric Perroud sur une clause essentielle des contrats d’assurance-vie et de prêts :



Pour ceux qui ont souscrit une Assurance Vie, ces contrats stipulent que le signataire ne peut pas participer à des expérimentations médicales, cela est logique, et se comprend très facilement. Comme les assureurs savent pertinemment que les vaccins anti-covid sont encore en phase expérimentale, ils ne verseront rien à vos bénéficiaires. Les contrats de prêts comportent parfois cette clause de non-paiement. Vérifiez.

Deux liens pour expliquer la complexité de la mise en place de ce que l’on nomme Essais cliniques :

De plus, en France les participants à des essais cliniques doivent souscrire une assurance :


Les financiers ont souvent des intérêts dans les assurances et les assureurs dans les banques. Ils sortent du même moule. Ils font partie du même monde.

Les financiers veulent faire des bénéfices en investissant dans les vaccins, et les assureurs profitent de la crise sanitaire, pour ne pas payer les primes de ceux qui sont tombés dans le piège de la vaccination et qui décéderont. L’affaire est apparemment belle, mais seulement en apparence. Sont-ils conscients qu’ils sont en pleine contradiction, en effet, d’un côté ils poussent à la vaccination et de l’autre il est écrit sur les contrats que les bénéficiaires de ceux qui participent à des essais cliniques ne toucheront rien !!!  D’un côté, ils vous vaccinent, et de l’autre par cette clause, ils vous interdisent de vous faire vacciner. Peut-on être plus bête ?!

Actuellement, ils essayent de gérer un tel bazar, qu’ils ne se rendent plus compte des conséquences de leurs décisions et de leurs actes, ils ne se rendent même pas compte qu’ils sont en train de se tuer.

À vouloir gagner sur tous les tableaux, ils vont tout perdre


Maintenant, passons aux politiques, nous avons vu, en étant gentils, que depuis le début de la crise beaucoup n’étaient pas à la hauteur comme le démontre les deux liens suivants :

Avec les votes prochains qui vont avoir lieu dans les hémicycles vont-ils encore se déconsidérer un peu plus ?
Vont-ils se ridiculiser encore une fois ?
Prouvant leur incapacité, pour le moins, à comprendre ce qui se passe.
Si c’est le cas, ils montreront définitivement aux yeux des gens censés et raisonnables qu’en groupe ce sont, pour le moins, des imbéciles, et que donc nous n’avons plus besoin de leurs services

Conclusion

Source Nice Provence info :




Alain Nicolaï

.

Ancien vice-président de l’Institut de Préhistoire et d’Archéologie Alpes Méditerranée, auteur de plusieurs études publiées dans des revues scientifiques : Mémoires de l’IPAAM, dont deux articles sur la Vallée des Merveilles (Sud de la France), Le Mont Bégo, un sanctuaire grandeur nature, 1994 et Du Mont Bégo au mont Olympe, 1996, et en collaboration avec Lucy Vallauri (Ingénieur CNRS), des articles dans Archéologia, Atti dei Convegni Internazionali della Ceramica, Archéologie du Midi Médiéval.




Emmanuel Macron sans masque ou Le Président qui fait tirer sur son peuple

Par Alain Nicolaï

Macron par Macron, son vrais visage, dans le  Wall Street Journal, le journal des « élites financières » qui n’est pas lu par les manants.

Pour Macron être banquier c’est être… une « prostituée »

1 MILLION €
Emmanuel Macron touchait jusqu’à un million d’euros par an
lorsqu’il était banquier chez Rothschild

Article de Paolo Garoscio du 10/03/2015 publié dans Economie Matin au sujet d’une interview de Macron dans le Wall Street Journal.
http://www.economiematin.fr/news-macron-banquier-pute-metier-ministre-interview

Comment a-t-il osé ? le ministre de l’Économie, qui a été également un banquier au salaire de millionnaire chez Rothschild a-t-il vraiment dit, que les banquiers sont des putes ? Non, en fait il n’a pas dit ça. Comme il donnait une interview au Wall Street Journal il ne pouvait certainement pas utiliser des mots insultants. Il a donc préféré le terme « prostituée »… Oui, c’est pareil.

Emmanuel Macron : le banquier qui attaque… le métier de banquier ?

Ce n’est qu’une anecdote que celle relatée par le Wall Street Journal : au cours d’une interview donnée lors de son séjour à Las Vegas le ministre de l’Économie français s’est un peu lâché. Un peu beaucoup même.

Pas étonnant alors qu’aux États-Unis le politiquement correct est loin de faire partie du quotidien des personnalités publiques… mais la comparaison qu’il a faite ne devrait guère être appréciée par les banquiers de France qui ne sont autres que ses anciens collègues.

 » D’une certaine manière, [quand on est banquier] on est comme une prostituée. Le boulot, c’est de séduire » a déclaré Emmanuel Macron. On est déçus, on aurait aimé un peu plus de détails. Après le « séduire » il y a quoi ?

Sans compter qu’Emmanuel Macron ne considère sans doute pas que les banquiers sont comme une « prostituée » de rue, pas chère, issue des réseaux clandestins d’Europe de l’Est ou de Chine. Rappelez-vous : il aurait gagné plus de 2,5 millions d’euros entre 2008 et 2012.


Il faut croire qu’Emmanuel Macron a pris de bien mauvaises habitudes avant son mandat quand il a travaillé dans le privé, notamment à la Banque Rothschild, un des fiefs de la finance internationale, puisqu’on a pu le constater, notamment depuis le début de la crise sanitaire, il ne respecte pas les lois, et sa grande spécialité est la manipulation des gens et des masses. Il a foulé aux pieds maintes fois les lois républicaines sans sourciller et maintenant, avec son discours du 12 juillet 2021, la Convention internationale d’Oviedo (([1] https://rm.coe.int/090000168007cf99)). Depuis le premier trimestre 2020, il a profité, pour le moins, de l’apathie des membres du Parlement et du Sénat. Il a bénéficié de la complicité de la quasi-totalité de nos institutions et des médias, dont on peut se demander si tous ces gens sont anesthésiés ou corrompus. Les parlementaires et les sénateurs se sont particulièrement distingués en se discréditant, démontrant aux yeux des personnes conscientes l’absence d’entendement de l’écrasante majorité du personnel politique que nous entretenons à nos frais. Très rares en effet sont ceux qui ont compris les colossaux enjeux politiques et surtout sociétaux de cette crise. Car il ne faut pas se voiler la face, le véritable but des manœuvres sournoises de Macron et de l’Union Européenne n’est pas de soigner la population, mais d’établir, à l’aide d’une menace invisible, réelle, mais amplifiée par des ignorants ou des complices, le règne centralisé d’une élite autoproclamée que certains nomment Nouvel Ordre Mondial, et qui exercera son pouvoir sur l’ensemble de la planète sous prétexte de mieux gérer les crises qui d’après eux vont se répéter.

Nous sommes en face d’une révolution planétaire qui se passe sous nos yeux et qui remet en cause totalement, et totalitairement, les principes républicains ; notamment la souveraineté du Peuple sur ce que l’on dénomme l’État ou la Nation. Leur but est de les dissoudre dans une entité supranationale mondiale où ils seront les seuls aux commandes, et dont nous ne serons plus que les manants soumis à leur bon vouloir, bref, ils nous proposent de ne plus qu’être que des pions, des numéros… Tel est l’avenir qu’ils proposent à vos enfants.


Par son discours du 12 juillet 2021, Emanuel Macron  vient de rendre obligatoire la vaccination anti-covid pour les soignants qui doivent tous se faire vacciner avant le 15 septembre 2021.

Un des problèmes est que ces soi-disant vaccin anti-covid ne sont pas des vaccins comme le démontrent les Drs Nicole et Gérard Delépine :
https://nouveau-monde.ca/linjection-genique-anti-covid-nest-pas-un-vaccin/
et de plus ces injections sont dangereuses :
https://nouveau-monde.ca/effets-secondaires-et-deces-lies-aux-injections-experimentales-anticovid/

Une multitude de professionnels de la santé ont déjà alerté sur le caractère frauduleux et dangereux de ces injections et comble du foutage de gueule  le directeur de l’ARS de Nouvelle-Aquitaine, un proche d’Olivier Véran, a osé faire ces aveux sur BFMTV, informations reprises et commentées sur CNEWS :

Pascal Praud : « Ils veulent nous imposer une dictature sanitaire » – Jacques Séguéla : « C’est satanique, c’est un discours satanique » (lemediaen442.fr)

Face aux propos ahurissants du directeur de l’ARS Benoît Elleboode sur BFMTV,  assurant que tous les non-vaccinés seront contaminés par le variant Delta, Pascal Praud s’emporte. Il s’exclame : « J’ai envie de lui dire : à quoi servent les gestes barrières et le masque, si personne n’y échappera… Il faut immédiatement retirer le masque. » L’animateur de CNews a continué sur sa lancée en ciblant Olivier Véran, l’accusant de vouloir imposer une dictature sanitaire. Ce à quoi Jacques Séguéla lance : « C’est satanique, c’est un discours satanique ! »

Pascal Praud : « Ils sont de retour, ils sont là, ils veulent nous imposer — le ministère de la Santé — une dictature sanitaire. Tant que vous ne comprenez pas ça, vous ne comprenez rien. »

Il est bien évident que si la plupart des Français ne sont pas au courant de tous ces problèmes, tellement ils sont soumis à un bourrage de crâne permanent sur les « avantages » de la « vaccination », les soignants par contre sont plus informés, et savent par leurs études, qu’un vaccin ne s’élabore pas en quelques mois, mais en plusieurs années. En toute conscience, ils comprennent qu’avec ces injections pseudo vaccinales, ils risquent leur santé et même leur peau : ils ne veulent pas être de la chair à canon.

Conclusion

En République, le peuple souverain transmet son pouvoir à son Président pour le guider et le protéger.

Pour Macron ce n’est pas le cas.

En 2017, il déclarait que s’il était élu il ne serait pas un président « normal ». Ci-dessous, début de l’article de Jefferson Desport, publié par le journal Sud Ouest le 10/03/2017.

Face aux lecteurs de Sud Ouest, Emmanuel Macron a expliqué quel président de la République il sera s’il gagne l’élection.

S’il est élu en mai prochain à l’Élysée, quel président sera Emmanuel Macron ? C’est l’une des questions qui a été posée ce vendredi par une des lectrices de Sud Ouest invitée à rencontrer le leader d’En Marche ! au siège du journal à Bordeaux, en compagnie de sept autres lecteurs. Sur ce point l’ex-ministre de l’Économie a été clair : il ne sera pas un président normal.

« Les Françaises et les Français ne cherchent pas la normalité. D’abord, parce que ce n’est pas une fonction normale. Ensuite, parce que la normalité se déconstruit toujours. Je ne sais pas ce que c’est la normalité. C’est, à un moment, ce qui est dominant dans les représentations sociales. »

Et d’ajouter :

« La normalité se définit par le regard de l’autre. Un président de la République n’est pas défini par le regard de ses concitoyens. C’est lui qui explique et éclaire l’avenir par son regard. C’est une vraie différence ».

Les propos de Macron, que ce soit dans le Wall Street Journal où dans Sud Ouest, mettent bien en perspectives les actes de Macron Président, il n’a aucun respect pour le peuple, il se fout complètement de ce que pensent les citoyens, il exerce le pouvoir comme un despote qui n’a de compte à rendre qu’à ses maîtres financiers.

C’est incontestablement un individu machiavélique qui abuse de la confiance des citoyens pour les trahir. Il ne faut pas qu’il s’étonne quand il en payera le prix.


Bonus :

1– Voici un communiqué récent  du Collectif des Syndicats et  Associations Professionnels Européens :
Covid : plainte déposée contre la France devant la Cour pénale internationale pour crime contre l’humanité

2– Piège pour ceux qui ont des prêts en cours, et autres informations :

3– Pour ceux qui n’ont pas encore compris :
« Nous sommes en guerre » ou L’inversion de toutes les valeurs

4– La résistance se renforce jours après jour :






La conspiration des imbéciles

Par Alain Nicolaï

[Illustration : De haut en bas et de gauche à droite quelques participants du complot avec le badge de l’Agenda 2030 de l’ONU :
►Enrico Giovannini, Ministre de l’Infrastructure, Italie.
►Boris Johnson, Premier ministre du Royaume-Uni.
►Tédros Addhamon Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS.
►Bill Gates, Fondation Bill et Mélinda Gates.
►Emmanuel Macron, Président de la République française.
Merci à Maurizio Blondet, https://www.maurizioblondet.it]

Le site Lifesite a publié le 1er juillet 2021 un article détaillant une publication tirée du site internet du Forum Économique Mondial (Forum de Davos) un des sites quasiment officiels de la finance et du nouvel ordre mondial qui a sorti l’an dernier son plan machiavélique pour l’avenir de la planète « The Great Reset » calqué en grande partie sur l’agenda 2030 de l’ONU.

Voici le lien de l’article original publié par le FEM qui vous permettra de vous rendre compte que les termes et les propos du FEM ont été parfaitement respectés par le journaliste de LifeSiteNews
(https://www.weforum.org/agenda/2021/06/3-tactics-to-overcome-covid-19-vaccine-hesitancy/).

Ci-dessous la première partie de l’article uniquement consacré à ce que propose le Forum Économique Mondial pour encourager la population à se faire vacciner.

Article de Michael Haynes publié sur LifeSiteNews le 1er juillet 2021

« Surmonter l’hésitation, la procrastination et le rejet du vaccin COVID-19 » est « le plus grand défi de communication marketing de notre vie », a déclaré récemment un article sur le site Web du Forum économique mondial (WEF).

L’article a été rédigé par trois professionnels du marketing : Rohit Deshpandé, professeur de marketing Sebastian S. Kresge à la Harvard’s Business School ; Ofer Mintz de l’Université de technologie de Sydney; et Imram Currim, professeur de marketing à la Paul Merage School of Business, Université de Californie, Irvine.

Les chercheurs veulent utiliser la psychologie pour promouvoir les vaccins, en notant comment les clients prennent des décisions dans un processus de réflexion, de ressenti et d’action. L’ensemble du processus est répliqué lorsqu’un individu doit décider de recevoir une injection de COVID-19, ont déclaré les auteurs.

Le groupe avait mené des recherches sur la façon de lutter contre ce qu’ils ont décrit comme un « problème de demande » pour les injections de COVID, l’offre dépassant la demande. Cela les a amenés à suggérer « de créer et de mettre en œuvre de telles solutions pour informer, persuader et convaincre les segments de clientèle d’agir, et nous pensons que ce type d’approche pourrait également stimuler les efforts de communication sur le vaccin COVID-19 »

Alors que l’accent a été mis sur la promotion de la troisième partie de ce processus – le « faire » ou l’événement de vaccination lui-même – le groupe a déploré le fait que beaucoup de travail était encore nécessaire pour convaincre réellement ceux décrits comme « le vaccinateur procrastinateur, hésitant et populations de rejet.

Afin de convaincre ce segment de la population, « nous devons nous concentrer sur les étapes de « penser » et de « ressentir » de la prise de «décision», ont déclaré les experts en marketing.

À ce titre, Deshpandé, Mintz et Currim ont élaboré trois recommandations « pour éradiquer les hésitations vaccinales ».

Connaissance et désinformation

Les trois auteurs ont appelé à une campagne contre la « désinformation » sur le vaccin, expliquant comment aborder la façon dont les gens pensent du vaccin. Notant que beaucoup de ceux qui hésitaient à propos de l’injection pensaient qu’elle était « précipitée, avec des effets secondaires sous-déclarés », le groupe a suggéré une politique de confrontation directe avec ces personnes.

« Cela peut être résolu par les dirigeants locaux qui contactent et éduquent de manière proactive les sceptiques via des médias tels que les appels téléphoniques, le publipostage, la télévision, les panneaux d’affichage et les canaux numériques. »

Cela seul n’a cependant pas été jugé suffisant : des « approches plus affirmées » ont été demandées dans la lutte contre la soi-disant « désinformation sur les vaccins, en particulier sur les réseaux sociaux ». Pour ce faire, une « formation et un financement » devraient être fournis pour aider les professionnels de la santé ou les groupes à but non lucratif.

La guerre des sentiments

Ceux qui se sont opposés à l’injection ont de forts sentiments contre elle, ont déclaré les trois auteurs, et en tant que tels, « l’utilisation de sources d’informations auxquelles ces personnes ont confiance pourrait améliorer leurs sentiments à propos du vaccin ».

Dans ce contexte, le WEF a énuméré les « prestataires médicaux, les dirigeants politiques et religieux », mais a également souligné l’importance des « communautés ».

Les trois auteurs ont suggéré une forme d’alarmisme émotionnel à utiliser contre les « sceptiques vis-à-vis des vaccins ». « Une autre façon d’améliorer les sentiments des sceptiques vis-à-vis des vaccins est de jouer sur la peur de manquer (FOMO), à la fois socialement et économiquement », a écrit le groupe.

Promotion incessante du vaccin

La dernière étape concerne la disponibilité pratique du vaccin, car les auteurs lui ont présenté une série de suggestions à la population.

« Les incitations peuvent fonctionner », ont-ils écrit. Les entreprises et les États pourraient lancer un programme d’incitation aux vaccins en « fournissant des congés payés, des produits gratuits et des cadeaux de loterie ».

Certaines des suggestions du WEF ont déjà été mises en œuvre dans un certain nombre d’États. Le gouverneur de New York Andrew Cuomo (D) a offert un billet de loterie « vax and scratch » gratuit avec un jackpot de 5 millions de dollars. Les billets coûtent généralement 20 $.

Le gouverneur républicain de l’Ohio, Mike DeWine, a offert aux résidents de son État la chance de gagner 1 million de dollars pour se présenter pour un vaccin COVID, tandis que les résidents de Virginie-Occidentale de moins de 35 ans recevront un bon d’épargne de 100 $ pour se faire vacciner.

« Nous pensons que l’application de l’approche centrée sur le patient « penser – ressentir – faire » au problème de communication du vaccin COVID-19 améliorera les efforts visant à accélérer l’immunité collective mondiale », ont écrit Deshpandé, Mintz et Currim. « Assurer une réouverture et une reprise économiques sûres et surmonter cet important défi sanitaire et économique pourraient dépendre de telles tactiques. »


Constat

Sans rentrer dans les détails techniques plus complexes, il s’avère que :

  1. tous ces produits n’ont obtenu qu’une mise sur le marché conditionnelle.
    https://professionnels.vaccination-info-service.fr/FAQ/Repondre-aux-questions-sur-la-vaccination-COVID/Qu-est-ce-qu-une-autorisation-de-mise-sur-le-marche-conditionnelle
  2. aux USA, aucun de ces produits n’a pas été approuvé par la Food Drug Administration. Celle-ci poursuit ses investigations et donnera son avis en 2021 ou en 2022.
  3. tous ces produits sont injectés chez les humains alors que la phase III, phase d’expérimentation chez les animaux, était en cours. Les phases IV et V (phase clinique) obligatoires pourtant pour tous les vaccins ont été supprimées, violant ainsi tous les principes légaux et de précautions.
  4. ceux qui se font injecter ces produits dans le corps signent avant une décharge exemptant le fabricant qui l’a conçu de toute poursuite. Ce qu’il faut savoir aussi, c’est que la composition de ces injections n’est pas portée à la connaissance des patients.

Conclusion

Ce qu’ils appellent désinformation est en fait de l’information que les médias à leurs ordres censurent.

Ce qu’ils appellent hypocritement marketing n’est en fait que de la propagande. Propagande encore plus pernicieuse que celle que notre pays a connue sous la botte allemande. Plus pernicieuse, puisque nos ennemies n’ont pas d’uniformes, mais se font passer pour d’authentiques républicains qui défendent nos intérêts. Sournoise, puisqu’une grande partie de la population fait confiance aux injonctions des autorités politiques relayées à longueur de journée par les médias, ne réfléchit plus, mais suit un mouvement qui vient d’en haut.

Vous ne remarquez pas ce bourrage de crâne incessant ? Vous ne trouvez pas suspects ces spots publicitaires de Santé France payés par vos impôts et qui vous poussent à vous faire injecter des solutions dont vous ne connaissez même pas la nature, mais qui vous rendront soi-disant libres ?

Braves gens, sachez que maintenant il est prouvé qu’il existe d’autres solutions très efficaces pour guérir du covid19, comme l’ivermectine ou le protocole Raoult bien appliqué. Ces traitements ont sauvé de nombreuses vies notamment en Afrique et aux Indes, mais actuellement ils n’en ont que pour la vaccination.

Vous devez comprendre que les variants dont le gouvernement et les médias vous serinent, tôt ou tard, entraîneront des rappels, « des mises à jour. »

Un point capital, qui devrait vous interpeller : avez-vous entendu depuis le début de l’épidémie en 2020 sur les chaînes publiques ou privées, au Parlement, au Sénat… d’honnêtes débats contradictoires comme l’exige impérativement la démocratie ? Cette absence de dialogue est extrêmement révélatrice de l’émergence d’un système dictatorial. (Voir le lien 3)

Réalisez une fois pour toutes que l’on vous trompe, que l’on vous prend pour des imbéciles. Ne restez pas là sans rien faire, mais ne cherchez pas à attaquer en justice Pfizer, Moderna… Ils sont couverts. Non. Mais attaquez en justice les membres du gouvernement qui vous ont sciemment amenés dans ce traquenard, et les hauts fonctionnaires qui ont suivi aveuglément les ordres, même s’ils étaient contraires à la déontologie. Leur pouvoir est temporel et ils en ont abusé sans vergogne. La roue tourne, ils ne pourront pas éternellement fuir leurs responsabilités. De nombreux collectifs d’avocats vous attendent. Certains ont près de 70000 membres. Comme beaucoup de choses censurées actuellement, vous n’en avez sans doute jamais entendu parler. Deux  adresses email de collectifs parmi ceux qui reçoivent encore des adhérents : reaction19fr@gmail.com et contact@mysmartcab.fr

Définitivement, il faut leur faire comprendre qu’en France il y a des lois et que l’on n’est pas au Far West.

Ils se croient intouchables, ils vont sentir leur douleur…

Compléments

  1. https://nouveau-monde.ca/nous-sommes-en-guerre-ou-linversion-de-toutes-les-valeurs/
  2. Vaccination Covid-19 – Dernier avertissement par le dr Vanden Bossche | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation
  3. https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-dr-amine-umlil-defie-olivier-veran-de-venir-debattre-contre-lui-sur-un-plateau



Comment la démocratie a été détournée de son but

Comment la démocratie a été détournée de son but par des salopards (en étant gentil)

Par Alain Nicolaï

En république, les élections présidentielles donnent l’occasion au peuple d’élire le chef de l’état pour une période déterminée. En théorie, celui-ci doit en retour œuvrer pour le bien de tous. Le coronacircus a démontré aux yeux des personnes sensées, des personnes qui réfléchissent en mettant les faits en connexion rationnellement que ce n’était malheureusement pas le cas.

Voici ce que dit à ce propos Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer :



Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, lance un dernier avertissement. Les mensonges des gouvernement cachent quelque chose. Restez à l’écart des vaccins expérimentaux. Réagissez avant qu’il ne soit trop tard.

Source : https://www.brighteon.com/e1caeb15-7d67-4ba0-9af9-02e8df3d7f98

Voir aussi :

▪ Mike Yeadon sonne l’alerte du pass sanitaire : 
https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/YeadonSenta:d
▪ « Si j’ai raison, nous sommes en pleine 3ème guerre mondiale » : 
https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/YeadonFS:a
▪ L’ancien vice-président de Pfizer déclare à RFK Jr. que les jeunes gens en bonne santé ne devraient pas être contraints de prendre des vaccins  » expérimentaux  » : 
https://childrenshealthdefense.org/defender/dr-mike-yeadon-rfk-jr-the-defender-podcast-safety-mrna-vaccine-technology/

Nous sommes face à une attaque d’une ampleur inégalée, nous avons donné le pouvoir à des personnes qui nous trahissent pour des intérêts privés. Nous avons donné le pouvoir à des personnes qui préfèrent œuvrer pour les profits des multinationales et de la finance : nous nourrissons en notre sein des vipères.

[Illustration : Allégorie révolutionnaire montrant Voltaire et Rousseau sous l’œil de Dieu (1794)]




Sous nos yeux, le suicide de l’Union Européenne, des institutions, et de tous les politiques qui prônent la vaccination anti-covid

Par Alain Nicolaï

« Celui qui ne fait pas la différence entre le bien et le mal
n’est pas un homme »
*

Combien de temps faut-il pour élaborer un vaccin?

Photo: Données: Potkins’s Vaccines et FDA

Dans le contexte actuel, le développement suit un paradigme complètement différent. D’abord, les phases d’essais cliniques s’enchaînent à une vitesse inédite. Ensuite, les compagnies pharmaceutiques consacrent tous leurs efforts pour trouver un vaccin contre la COVID-19, tandis qu’elles se penchent habituellement sur plusieurs maladies en parallèle. Des usines sont préparées pour la production industrielle des milliards de doses nécessaires, même si on ne sait pas encore quel type de vaccin va fonctionner. Du côté de la recherche universitaire, les cordons de la bourse des subventions se sont déliés et permettent aux scientifiques d’engager plus d’assistants et d’acheter du meilleur matériel. Pour sa part, Santé Canada a déjà indiqué qu’il s’efforçait d’accélérer les demandes d’essais cliniques pour les vaccins candidats contre la COVID-19. On peut également parier que les organismes régulateurs vont tout faire pour rapidement boucler l’homologation finale. En temps normal, cette étape peut parfois être très longue: il a fallu 11 ans pour que la FDA approuve le vaccin contre la varicelle, aux États-Unis.

Vaccin contre le coronavirus : sprinter un marathon

PAR ALEXIS RIOPEL ET ANTOINE BÉLAND

Le coup de départ a été donné le 10 janvier, quand des chercheurs chinois et australiens ont publié en ligne le génome du mystérieux virus surgissant à Wuhan. Le fil d’arrivée, c’est le début de la distribution à grande échelle d’un vaccin contre le SRAS-CoV-2. D’ici là, tous espèrent voir une équipe courir ce marathon à la vitesse d’un sprinteur. Le Devoir vous propose un aperçu visuel de cette course historique.

L’élaboration d’un vaccin s’échelonne habituellement sur 10 à 15 ans. Le vaccin développé le plus rapidement, celui contre Ebola, a exigé cinq ans d’efforts. Pour mettre un terme à la pandémie de COVID-19, un échéancier encore plus rapide, de l’ordre de 18 mois, est envisagé.

Voyons d’abord quelles sont les étapes du développement traditionnel d’un vaccin. Les durées indiquées le sont à titre indicatif seulement.

Recherche universitaire et études précliniques

D’abord, les scientifiques déterminent la séquence génétique du virus. Ils tentent de comprendre quels anticorps sont efficaces pour s’en prémunir. Ils conçoivent une ébauche de vaccin, qu’ils testent sur des animaux.

Études cliniques

Ensuite, les chercheurs passent aux essais cliniques sur des humains.

Phase I / On administre le vaccin candidat à quelques dizaines de volontaires en bonne santé afin de s’assurer qu’il n’est pas dangereux. On détermine la dose idéale, qui déclenche une bonne réaction immunitaire sans produire d’effets secondaires.

Phase II / On tente de confirmer la sécurité du vaccin en le donnant à quelques centaines de volontaires représentatifs de la population qu’on veut protéger. Les volontaires appartiennent à différents groupes d’âge et leur état de santé varie.

Phase III / On évalue finalement l’efficacité du vaccin pour protéger de la maladie infectieuse en l’administrant à des milliers de personnes. Cette phase se déroule dans le contexte « naturel » de la maladie.

Fabrication

En parallèle au développement, la compagnie doit préparer une usine pour le vaccin. Puisque ces installations coûtent des centaines de millions de dollars, les investisseurs attendent habituellement que les essais cliniques soient bien avancés avant d’accorder leur financement.

Homologation

Finalement, les organismes régulateurs, comme Santé Canada ou la FDA aux États-Unis, révisent les études avant d’homologuer le vaccin. Ils peuvent demander des travaux supplémentaires en cas de doutes. Le processus peut être long : il a fallu 11 ans pour que la FDA approuve le vaccin contre la varicelle.

Réaliste ?

Ainsi, la durée de 18 mois souvent évoquée par les gouvernements apparaît assez audacieuse.

« Quand on parle d’un à deux ans, il faut savoir que c’est extrêmement rapide pour le développement d’un vaccin », souligne le virologue Alain Lamarre, de l’Institut national de la recherche scientifique.

Durée variable

Plusieurs facteurs entrent en ligne de compte lorsqu’il s’agit de développer un vaccin : le financement, bien sûr, ainsi que l’évolution des connaissances scientifiques, mais aussi le type de maladie et ses répercussions à court et long terme sur la santé publique.

Certains virus sont toujours orphelins de vaccins, même des décennies après qu’ils aient été identifiés. L’absence d’un vaccin contre le VIH est un des exemples les plus utilisés pour illustrer les difficulté de la démarche.Recherche universitaire2 ansÉtudes précliniques2,5 ansÉtudes cliniques de phase I6 moisÉtudes cliniques de phase II2 ansÉtudes cliniques de phase III1 anFabrication6 ansHomologation1 an015 ans18 moisObjectif de la créationd’un vaccin contre la COVID-1915 ansVaricelle30 ansInfluenza30 ansVirus du papillome humain16 ansRotavirus16 ansVaccins pédiatriques combinés12 ansEbola5 ansVaccin contre la COVID-1918 mois

Textes par Alexis Riopel. Visualisations de données et développement par Antoine Béland. Design par Cédric Gagnon.

Commentaire : à la lecture de ce qui précède il est très facile de constater que l’élaboration des vaccins anti covid19, faite ici en 18 mois, a battu tous les records de vitesse de l’histoire. Très étrange, non ?!


Les vaccins sont expérimentaux

Par Dr Gérard Delépine

Dans une « fast check » [Note : non pas “fact check” qui signifierait “vérification de faits”, mais “fast check” pour “vérification rapide” ou hâtive.] du 11 mars 2021, Juliette Mansour et l’AFP nous accusent de diffuser de fausses informations. Cet article trompeur se contente d’affirmer les croyances de la pensée unique du politiquement correct, sans rapporter les faits établis, car ils confirmeraient nos dires. Nous fournissons ici les preuves de leurs erreurs.

Non, les essais phase trois des vaccins ne sont pas terminés ! Il suffit de consulter le site « clinical trials.gov » pour le vérifier

Juliette Mansour et l’AFP prétendent que « cette dernière phase [phase 3] avant la mise sur le marché, qui se déroule sur des milliers de volontaires, est bien terminée pour les quatre vaccins homologués. » Cette affirmation est totalement fausse !

Pour connaître l’état d’avancement d’un essai, il suffit de se référer au site américain officiel « clinical trials.gov[1] » chargé de les lister. En l’interrogeant par Internet (vous pouvez le faire en français) vous obtiendrez les mentions : aucune étude phase 3 terminée.

En poursuivant la lecture de ce site, vous pourrez lire que la phase 3 du vaccin Pfizer, essai plus avancé que ceux de ses concurrents, se poursuit selon le schéma prévu avec une première analyse provisoire prévue en août 2021, et la fin de l’essai espérée en janvier 2023, soit dans à peu près deux ans.

L’essai phase 3 de Pfizer est donc loin d’être terminé ! Et il en est de même avec tous autres vaccins covid actuels.

Pour le vaccin Astra Zeneca, second dans l’avancement des essais phase 3, la fin de l’essai phase 3 est prévue en février 2023 :

Pour le Janssen, l’essai ne se terminera pas avant 2024 :

Malheureusement la journaliste de l’Agence France presse n’a pas pris le temps de vérifier ces faits indiscutables, avant de prétendre que les essais phase 3 étaient terminés ! Les écoles actuelles de journalistes ne leur apprendraient-elles plus à enquêter ?

Les publications des résultats cliniques définitifs des phase 3 n’existent pas

Juliette Mansour aurait pu aussi s’étonner de l’absence de publications détaillant les résultats cliniques définitifs des essais phase 3 chez l‘homme en les recherchant dans cette même base bibliographique « clinical trials.gov » dans chaque essai, ou dans « PubMed »[2] qui recensent les articles médicaux publiés dans la littérature internationale.

Interrogée le 14/3/2021 avec les mots clefs « Covid vaccine trials Results ». PubMed listait 26 articles dont aucun ne rapporte de résultats définitifs d’un quelconque essai phase 3 de vaccin Covid. La vérification est facile pour tous, l’accès PubMed étant libre et possible en français. Alors pourquoi Juliette Mansour n’en a pas pris le temps ?

Avant de publier sa tribune mensongère, nocive pour les citoyens crédules, elle aurait aussi pu nous interroger sur nos sources et nous demander ces preuves que nous lui aurions volontiers fournies. Mais au lieu de confronter les opinions dans un débat contradictoire honnête, elle a choisi le camp des corona terroristes trahissant ainsi l’éthique des journalistes qui doivent se comporter en observateurs impartiaux.

Mais où sont passés les journalismes d’investigation d’antan ?

Nous réaffirmons que les essais n’ont pas été conduits correctement et surtout ne sont pas terminés

Jusqu’à la crise COVID-19, un essai vaccinal suivait un parcours long nécessitant de nombreuses années, avant d’arriver à la commercialisation. Il comprenait de multiples phases aux objectifs précis avant de passer à la suivante, chaque étape apportant des informations nécessaires à la conception de la suivante.

Beaucoup de candidats-vaccins étaient abandonnés (comme pour le Sida où deux candidats ont été éliminés, car ils augmentaient paradoxalement le risque d’attraper la maladie). Rappelons-en schématiquement le parcours habituel qui nécessitait de 9 à 12 ans (en moyenne 10) cette lenteur étant indispensable à la sécurité.

Essais précliniques

Depuis le code de Nuremberg (1947), les essais sur l’homme doivent être précédés d’expériences sur les animaux. Cette étape indispensable ne préjuge pas des résultats chez l’homme, mais permet d’éliminer des médicaments très toxiques et de préciser les organes susceptibles d’en souffrir. Prétextant l’urgence de la crise actuelle ou le manque d’animaux adéquats[3], le développement très rapide de plusieurs vaccins anticovid n’a été possible que parce que de nombreuses expériences animales ont été ignorées.

La presse anglo-saxonne l’a souvent dénoncé en titrant que les protocoles de certains essais “sautaient” cette phase, sans que l’AFP ni les médias hexagonaux les relaient. D’autres tests animaliers ont été abrégés ou effectués simultanément, voire après les essais sur l’humain. Ainsi les vaccins de la société pharmaceutique allemande BioNTech et de la société américaine Moderna ont été testés sur des singes seulement après avoir été injectés à des sujets humains.

Cette étape préclinique animalière est pourtant importante pour la sécurité : ce sont les essais sur des animaux qui ont mis en évidence le risque d’anticorps facilitants des candidats vaccins contre les précédents coronavirus SARS et MERS.

 Chez le chat, le vaccin contre le coronavirus responsable de la péritonite virale féline a été abandonné à cause de cette complication. Chez les macaques vaccinés contre le SARS-COV spike protéine, les infections post vaccinales ont été marquées par l’aggravation de la pathologie pulmonaire. Lors d’essais de vaccins contre le coronavirus du Mers, les lapins développent des anticorps, mais leur pathologie pulmonaire est aggravée. Ces complications inattendues ont conduit au rejet des candidats vaccins contre les précédents coronavirus et sont peut-être aussi responsables de l’accroissement de mortalité constatée juste après le début des campagnes de vaccination dans les pays qui se sont érigés en champions de celle-ci.

Les essais cliniques humains bien faits sont indispensables à la sécurité

Les essais thérapeutiques nécessaires à l’obtention de l’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) chez l’homme comprennent schématiquement trois phases successives, les conclusions de chaque phase permettant d’optimiser la suivante.

La phase I porte sur quelques dizaines de volontaires a pour objectif de déterminer la toxicité du candidat-vaccin chez l’homme à court terme et la réponse immunitaire en mesurant les anticorps générés par le vaccin. 

La phase II nécessite quelques centaines de malades et dure en moyenne un à quatre ans. Elle doit confirmer les résultats précédents (tolérance et innocuité du candidat-vaccin, réponse immunitaire), mais son but principal est de déterminer la dose optimale et le schéma d’administration le plus efficace, de vérifier si le vaccin procure bien une protection durable contre l’infection et s’il empêche la transmission du virus.

La phase III visant à préciser l’efficacité et les risques sur un groupe représentatif de la population cible dure de trois à cinq ans. Les essais portent sur des milliers, de personnes pour évaluer le rapport bénéfices/risques du vaccin à court et moyen terme. Ces études permettent de préciser les conditions et les précautions d’emploi du vaccin et constituent le document (sous le terme d’étude pivot) le plus attendu du dossier de la demande d’Autorisation de Mise sur le Marché soumis à l’agence du médicament.

La phase IV appelée aussi pharmacovigilance commence avec la commercialisation du vaccin ou du médicament (ici avancée). 

Laboratoires fabricants, patients et médecins sont invités à déclarer à l’ANSM, agence française du médicament, des effets secondaires non signalés. Mais l’expérience des scandales sanitaires récents montre que la pharmacovigilance française est tout à fait insuffisante et les sous-déclarations considérables.

Les insuffisances majeures des essais des vaccins anticovid menacent la sécurité sanitaire

Absence ou diminution considérable des essais sur les animaux

Regroupement des phases, I et II ou II et III, ne permettant pas d’utiliser les résultats de la phase précédente pour concevoir convenablement la phase suivante.

Durée de suivi des sujets des essais totalement insuffisante (en moyenne 2-3 mois lors des évaluations intermédiaires présentées aux agences), ne permettant d’avoir aucune estimation sérieuse, ni sur la durée de l’immunité éventuelle, ni sur les éventuelles complications (les narcolepsies causées par les vaccins antigrippe H1N1 ne sont apparues qu’après plusieurs mois).

Autorisation de mise sur le marché transitoire « conditionnelle accordée alors que les résultats définitifs des essais phase III ne sont ni obtenus, ni publiés, et que la durée insuffisante de leur suivi ne permet pas d’estimer leurs complications à moyen terme.

Personnes âgées à forte comorbidité trop peu représentées dans les essais alors qu’elles constitueraient l’indication préférentielle d’un vaccin qui serait efficace et sûr.

Critères de jugement non pertinents

 Le but d’un vaccin est de diminuer la mortalité et de supprimer la transmission de la maladie dans la population. Or le critère de mortalité a été négligé par les firmes et le critère de contamination souvent réduit à la positivité de tests PCR seuls dont la non-fiabilité est maintenant reconnue unanimement (être positif au test PCR ne signifie pas être porteur du virus entier, ni malade, ni contagieux)

Aussi, lorsque l’Agence nationale du médicament prétend que : “l’AMM conditionnelle rassemble tous les verrous de contrôles d’une autorisation de mise sur le marché standard pour garantir un niveau élevé de sécurité pour les patients“, elle nous rappelle tristement les affirmations de l’agence de sécurité nucléaire sur le nuage de Tchernobyl ou ses dénégations répétées dans l’affaire du médiator (entre autres …).

Présentation biaisée des résultats provisoires

Un avis du BMJ[4] souligne que Pfizer / BioNTech et Moderna ont signalé la réduction du risque relatif de leurs vaccins en donnant des chiffres supérieurs à 90%, mais les fabricants n’ont pas signalé de réduction du risque absolu correspondante, qui « semble être inférieure à 1% ».

L’insuffisance des essais est d’autant plus critiquable que certains vaccins utilisent des techniques totalement nouvelles

Les vaccins conçus par Pasteur injectent des antigènes spécifiques de la maladie pour susciter la création d’anticorps neutralisants spécifiques qui protègent de l’affection. Pour abaisser les coûts de production en diminuant les quantités d’antigènes spécifiques, les firmes ont rajouté des adjuvants (tels que l’aluminium) stimulant la réponse immunitaire non spécifique dont le rôle dans l’augmentation des maladies allergiques et auto-immunes est fortement suspecté, mais ils restent des vaccins au sens pasteurien.

Les produits Pfizer, Moderna et Astra Zeneca et Janssen qui sont des médicaments nouveaux, ne contiennent pas d’antigènes, mais des produits génétiques (ARN messager, virus vecteurs pour Astra Zeneca) destinés à en faire fabriquer par notre propre corps en donnant des ordres à nos cellules.

OUI, les vaccins ARN messagers exposent au risque de modifier notre ADN

On sait depuis une cinquantaine d’années, que jusqu’à 10% de notre patrimoine génétique est d’origine virale.  Une partie de ces 10% provient de rétrovirus, mais pas la totalité évoquant la possibilité d’une inclusion dans l’ADN de mécanismes différents pour l’instant inconnus.

Introduire un ARNm ou un virus dans nos cellules, comme dans les autres thérapies géniques expose donc à un risque potentiel de modifier à terme notre ADN et constitue une technique dont la sécurité génétique n’a pas été évaluée, car plusieurs décennies seraient nécessaires pour en avoir le cœur net. Ces pseudo vaccins-thérapies géniques, dont la technique n’a jamais été utilisée auparavant pour un vaccin exposent donc à des risques non maîtrisés, en opposition totale avec le principe de précaution.

Nos contradicteurscités par l’AFP ont oublié de citer leurs liens d’intérêts avec les firmes vaccinales. Certaines de leurs affirmations telles que « le vaccin à ARN reste localement, il ne va pas se promener partout dans vos testicules, qui sont un sanctuaire immunologique et on n’a jamais vacciné quelqu’un dans les testicules » frisent le ridicule, car personne ne peut un instant croire qu’un médicament à ARN injecté dans l’organisme ne va pas circuler dans l’ensemble du corps qu’il est censé protéger. Par la circulation sanguine, il se répand partout comme les antibiotiques, les hormones, l’oxygène, le glucose…et ce médicament ne serait pas véhiculé par le sang jusqu’aux testicules ?

Oui : les vaccins mis actuellement sur le marché sont expérimentaux

Tant que les résultats définitifs et complets des essais phase III n’ont pas été analysés et publiés, l’utilisation d’un vaccin ou d’un médicament est expérimentale.

Les campagnes de vaccination en cours dans le monde constituent des essais phase III, simultanés de la phase IV qui a été instaurée par l’attribution d’AMM conditionnelle, en totale contradiction avec le schéma traditionnel des essais qui doivent respecter la hiérarchie des phases.

Le caractère expérimental de la vaccination actuelle se reflète d’ailleurs dans la fréquence très inhabituelle des complications observées après vaccination entraînant des alertes des agences sanitaires et la suspension de la vaccination dans de très nombreux pays.

Alerte de l’agence norvégienne après 28 morts post vaccinales chez des vieillards, abandon du vaccin Astra Zeneca par l’Afrique du Sud pour inefficacité, arrêt de l’utilisation de ce même vaccin par l’Autriche, abandon de ce même vaccin pour les plus de 65 ans en France et en Allemagne, puis suspension de l’utilisation de ce même vaccin dans la majorité pays européens après plusieurs décès post vaccinaux par phlébites et embolie.

Même chez les jeunes adultes qui ne risquent guère du Covid19, les vaccins sont suivis de complications comme le confirme l’alerte de l’agence française du médicament demandant ne pas vacciner en même temps les soignants d’une même équipe hospitalière pour éviter que de trop nombreux arrêts de travail empêchent la poursuite des activités[5] [6] [7], la suspension de la vaccination des pompiers dans les bouches du Rhône[8] après un arrêt cardiaque survenu 48 heures après vaccination…

OUI la vaccination est suivie de nombreux morts et incidents majeurs

Ne pouvant pas contester les chiffres d’Eudravigilance de 2500 morts survenues après vaccination, l’AFP avance l’absence de preuve de liens de causalité.

Pourtant lorsqu’une personne entre à l’hôpital pour une maladie cardiaque ou un cancer en phase critique et qu’elle meurt après un test PCR de dépistage positif, la cause de la mort est systématiquement étiquetée Cocid19 même si aucun signe clinque ou autopsique ne le suggère. Présomption de culpabilité en cas de test Covid19 positif.

Mais si un décès succède à une vaccination, il est systématiquement attribué à autre chose par les Agences. Présomption d’innocence en cas de vaccination anti covid.

Dans un jugement du 26 juin 2017, le tribunal européen de Luxembourg[9] a statué :

en cas de complication post vaccinale grave

« même en l’absence de consensus scientifique, les juges nationaux peuvent s’appuyer sur certains éléments de fait invoqués par le demandeur »

et ces éléments, s’ils constituent des « indices graves, précis et concordants » peuvent permettre « de conclure à l’existence d’un défaut du vaccin et à celle d’un lien de causalité entre ce défaut et ladite maladie ».

Les attendus de ce jugement paraissent ignorer des membres des agences. Ce refus systématique de la responsabilité de la vaccination représente un frein considérable à l’analyse objective des liens éventuels de causalité et à la recherche de cofacteurs qui pourraient éventuellement constituer des contre-indications et constitue la cause principale de la perte de confiance envers la parole publique et de la méfiance croissante envers les vaccinations.

Si les essais avaient été convenablement conçus en incluant un grand nombre de personnes âgées à forte comorbidité et si les témoins avaient reçu de vrais placebos totalement inactifs, les complications des vaccins auraient pu être reconnues et le lien de causalité analysé.

Mais les agences ont accepté des essais biaisés et bâclés, et autorisé l’injection de vaccin à des groupes de personnes pour lesquelles elles ne disposent d’aucune donnée de tolérance. Nous en payons actuellement le prix.

OUI la vaccination a partout été suivie d’une augmentation de la mortalité

Qu’il s’agisse des Émirats Arabes Unis :

D’Israël :

Ou en Grande-Bretagne :

La vaccination, comme tout traitement actif expose à des complications. Celles -ci sont d’autant plus graves qu’elles des touchent des personnes saines et non pas des malades et que pour elle le bénéfice éventuel n’est qu’incertain.

Seule une totale transparence peut rétablir la confiance. Les mensonges et les volte-face répétés du gouvernement et des médias, les mesures inutiles et parfois ridicules, voire grotesques, qu’on nous impose et la censure des opposants ne font qu’aggraver la méfiance.

Si on veut rassembler le pays, il faut changer de politique et arrêter de mentir et cesser la propagande mensongère qu’illustre la tribune de Juliette Mansour et de l’AFP.

Le ministre des Affaires étrangères de Taiwan, Wu avait proclamé fin février[10] :

« la véracité totale des informations sur la maladie et la transparence des motivations des décisions sanitaires sont les meilleures armes dans la lutte contre le Covid19 ».

Pourquoi nos gouvernants et nos médias ne l’ont-ils pas écouté au lieu de suivre l’exemple totalitaire chinois ?


[1] La base de données sur les résultats du ClinicalTrials.gov a été créée en septembre 2008 pour mettre en œuvre l’article 801 de la Food and Drug Administration Amendments Act of 2007 (FDAAA) (PDF), qui exige la présentation de « résultats de base » pour certains essais cliniques, généralement au plus tard un an après leur date d’achèvement (voir date d’achèvement primaire le ClinicalTrials.gov).

[2] Principal moteur de recherche de données bibliographiques de la biologie et de la médecine. PubMed est gratuit et donne accès à la base de données bibliographique MEDLINE.

[3] « Nous ne trouvons plus de macaques rhésus. Ils ont complètement disparu », témoigne ainsi Mark Lewis, PDG de Bioqual, sur le site américain the Atlantic.

[4] Ronald B. Brown Biais de déclaration des résultats dans les essais cliniques sur le vaccin à ARNm COVID-19 – Medicina 2021, 57 (3), 199 ;
https://doi.org/10.3390/medicina57030199

[5] France Info Vaccins Astra Zeneca : 149 soignants vaccinés ont présenté des “syndromes grippaux de forte intensité” après leur injection d’après l’ANSM 5/2/2021
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/vaccins-astrazeneca-149-soignants-vaccines-ont-presente-des-syndromes-grippaux-de-forte-intensite-apres-leur-injection-ansm_4293231.html[]

[6] FR3 Normandie Pourquoi l’hôpital de Saint-Lô a-t-il suspendu la vaccination des soignants par le vaccin Astra Zeneca ? 12/2/2021

[7] FR3 Normandie Vaccin Astra Zeneca : près de Rouen, des soignants inquiets après leur première injection Sur les 20 soignants de l’établissement hospitalier vaccinés durant la semaine, sept ont présenté d’importants effets secondaires qui ont mené à des arrêts maladie. Cela représente 30% du nombre de personnes ayant reçu une dose du sérum Astra Zeneca.

[8] par le Colonel Grégory Allione, Président de la Fédération Nationale des Sapeurs-Pompiers de France[]

[9] https://www.village-justice.com/articles/cjue-tranche-question-admission-preuve-par-presomption-defaut-vaccin-son-lien,26650.html

[10] Victor (Lin) Pu L’épidémie de coronavirus : comment Taiwan démocratique a surpassé la Chine autoritaire
le Diplomat 27 février 2020


Texte Dr Gérard Delepine.

Commentaire : à la lecture de ce qui précède, il est très facile de constater que les vaccins actuellement disponibles en Europe sont incontestablement en phase III, la phase d’expérimentation sur des cobayes.


Question

À la suite, nous pourrions continuer en présentant de très nombreuses études faites récemment par des scientifiques reconnus, démontrant la nocivité de ces soi-disant vaccins, mais nous préférons dans cet article nous arrêter sur un point précis en posant une question très simple.

Avant la « vaccination » anticovid, il avait fallu cinq ans pour élaborer et tester le vaccin contre le virus Ebola dont la mise sur le marché a été la plus rapide. Cinq ans, notamment pour avoir le temps d’effectuer les essais sur les animaux et les tests cliniques qui sont indispensables.

Comment peut-on donc définir, en étant sûr de ne pas se tromper, les personnes qui ne savent pas qu’un vaccin ne s’élabore pas en moins d’un an, mais en plusieurs années ?

Ce sont des ignorants.


Conclusion

Il n’est pas nécessaire d’être un grand clerc pour comprendre que cette crise a fait ressortir au grand jour – au minimum – la nullité crasse de ceux qui poussent aujourd’hui à la vaccination, qu’ils soient des politiques ou non.

Il en résulte que, issues du monde politique, des médias, ou de la santé, tous ceux qui incitent les gens à se faire vacciner sont désormais complètement discrédités. Ils ne méritent plus du tout notre confiance, définitivement plus !!!!

C’est la première fois dans l’histoire, que d’une manière aussi flagrante et massive, se dévoile aux yeux des gens sensés un tel degré d’ineptie.

En conséquence, déjà en ce qui concerne plus particulièrement les politiques, il est grand temps de se débarrasser rapidement de tous ces individus qui ont montré leurs limites, atteint et révélé – pour le moins – leur niveau d’incompétence à l’occasion de la crise sanitaire.

C’est à tout cela que nous songerons, quand nous mettrons notre bulletin de vote en papier dans une urne classique lors des prochaines élections.

Il est en effet hors de question, après ce qui s’est passé aux USA, de nous faire voter par l’intermédiaire de machines électroniques. Pour défendre les valeurs démocratiques, s’ils osent cependant nous les proposer, nous préférons les brûler.

Il est maintenant grand temps, pour les êtres éclairés, de passer à l’action et d’envisager sérieusement à reprendre légitimement les pouvoirs que des individus dominateurs et sans conscience ne méritent pas de détenir.

Un magnifique exemple à suivre étant celui de la doctoresse et députée Martine Wonner, puisse-t-elle faire de très nombreux enfants…


La convergence des vices cachés de l’Union Européenne va la couler définitivement

Pour ne pas lasser le lecteur nous nous limiterons à six.


L’Union Européenne coulée par l’objectivité




« Nous sommes en guerre » ou L’inversion de toutes les valeurs

Par Alain Nicolaï, auteur du  Livre des Sept Sceaux (Le Retour à l’Évidence)

.

« Nous sommes en guerre. »

Macron le 16 mars 2020

.

Aux naïfs qui ne se sont pas encore rendu compte que la politique de Macron et de son gouvernement(([1] Gouvernement dont il faut se demander si une partie n’est pas manipulée par Macron, de même que la plupart des députés LREM. Remarque : ce qui ne les excuse en aucun cas, puisque, en théorie, ils devraient avoir un cerveau.)), loin d’être incohérente, est en fait simplement l’exécution d’un plan machiavélique préparé de longue date par la finance (le banco-centralisme), certains milliardaires et les partisans du nouvel ordre mondial, il va être présenté dans cet article une suite d’informations cachées au grand public qui le prouvent abondamment. Il est très facile de le démontrer, puisqu’une grande partie des textes et des vidéos ci-dessous proviennent de leurs propres sources. 

Au cours de l’histoire de France on n’a jamais vu un gouvernement provoquer une dépression économique. Cette pandémie de Corona a commencé en janvier 2020, pourquoi ?  

Extrait de la conférence faite le 20/11/2020 à Berlin par Paul Schreyer, journaliste d’investigations :

On peut bien sûr se dire : il y a un virus qui apparaît, et voilà. Si nous restons dans l’explication officielle, et après, ça a suivi son cours. C’est arrivé comme le destin l’a voulu. Si nous supposons maintenant que cela ne s’est pas produit de manière aussi fatale, mais que cela a été dirigé par certains cercles, une sorte de gymnastique mentale, alors il n’est peut-être pas inintéressant d’éclaircir ce qui s’est passé en septembre 2019.

Parce que c’est à ce moment-là qu’un très gros tremblement de terre s’est produit sur les marchés boursiers. Je n’avais presque rien remarqué. A l’époque, j’y ai vaguement fait attention, c’était juste un petit événement, mais je n’avais pas suivi et ce n’est que maintenant, lors de la préparation de ma conférence, que je l’ai examiné de plus près.

Comme je l’ai déjà dit au début, je n’ai pas encore abordé ce sujet dans mon livre. Pour vous donner une idée de ce qui s’est réellement passé, je vais simplement vous montrer un court article de presse qui résume assez bien la situation. C’est un article de la « Zeit » (un journal allemand). Il a été publié en octobre 2019, et on y lit:

« Court-circuit dans le système financier. La Réserve fédérale américaine veut empêcher une défaillance totale du marché monétaire en injectant des milliards de dollars. À quel point la situation est-elle critique? »

Je vais vous lire les informations clés de l’article pour que vous compreniez ce qui se passait : « La crise est survenue du jour au lendemain. Les banques étaient à court d’argent. Les banques centrales ont injecté des centaines de milliards de dollars sur le marché monétaire, juste pour éviter le pire. Tout cela ressemble à l’apogée de la crise financière mondiale il y a onze ans — mais en fait, il s’agit de l’avant-dernier lundi. » Donc septembre 2019. « C’est à ce moment-là qu’une partie essentielle du système financier mondial était au bord de l’effondrement, et le public n’a quasiment rien remarqué. »

« Dans la nuit du 17 septembre, un certain taux d’intérêt (…) a grimpé sans prévenir : le taux qui s’applique aux banques qui veulent emprunter à court terme. Normalement, les banques sont approvisionnées en argent liquide pour un intérêt d’environ deux pour cent (…) Mais soudain, l’argent liquide y coûtait dix pour cent. (…) La dernière fois que les banquiers centraux ont dû intervenir sur marché Repo (le marché des pension) — c’est le nom de cette place financière —, c’était après la disparition de la banque d’investissement Lehman Brothers en 2008. À l’époque, la détresse de cette banque d’investissement avait déclenché un état d’urgence dans cette partie du système financier, ce qui avait presque conduit à l’effondrement de l’économie mondiale. »

J’ai trouvé cela très intéressant et je le trouve toujours très intéressant. J’ai donc essayé de vérifier ça, de jeter un coup d’œil sur les chiffres. Je suis allé sur le site de la Réserve fédérale, la Réserve fédérale américaine. Et là, j’ai trouvé le graphique suivant. (Min. 53.32 * graphique)

Pour ceux d’entre vous qui ne sont pas familiers avec la finance et les chiffres, ne vous inquiétez pas, ce graphique n’est pas magique. Pas aussi compliqué qu’il n’y paraît à première vue. Je vais essayer de l’expliquer brièvement : Le graphique montre le « bilan », c’est-à-dire le total des actifs de la banque centrale.

On pourrait le traduire ainsi : Le graphique montre la quantité d’argent que la Réserve fédérale apporte à l’économie américaine. Alors, combien d’obligations d’État achète-t-elle, et combien d’obligations de sociétés achète-t-elle.

Cela signifie que la Réserve fédérale crée de l’argent et le met sur le marché pour compenser le fait que les banques ne se prêtent plus d’argent parce qu’elles ont perdu confiance. C’est ce qui se passe. On pourrait nommer cela également, de manière un peu simplifiée, la courbe de température de l’économie américaine. En fait, c’est excatement ça. (*Min. 54.21).

Commençons par la gauche. En 2008, avant la crise financière, la Réserve fédérale avait des actifs totaux d’environ un trillion, 1’000 milliards de dollars. Ça a doublé en quelques semaines, à l’automne 2008. Oui, pourquoi ça a doublé ? Parce que les banques ont arrêté de se prêter de l’argent entre elles. La confiance a disparu. Et c’est à ce moment-là que la banque centrale doit intervenir, sinon le système s’effondre. C’est ce qui s’est passé.

Ce qui est intéressant, c’est qu’il n’a pas été réduit, le niveau est resté le même au cours des années suivantes. En 2010, 2011, il a été augmenté. 12,13,14, il a encore été augmenté. Ensuite, il y a eu une phase de plateau de 2015 à fin 2017. Avec une phase de plateau très élevée, quatre mille milliards, donc quatre fois le niveau d’avant la crise. Si vous regardez cela avec le recul d’aujourd’hui, vous pouvez voir que cette bulle était gigantesque. Il est clair pour nous qu’une bulle aussi importante ne peut être maintenue éternellement. À un moment donné, il faut la dégonfler ou elle va éclater. Et c’est exactement ce que la Réserve fédérale a essayé de faire à la fin de 2017. Elle a décidé de dégonfler lentement et délibérément cette bulle de manière continue. Vendre des actifs et ainsi dégonfler l’argent du système à nouveau. Et ça a bien marché pendant deux ans. De fin 2017 à fin 2019 — et là, nous allons zoomer — vous pouvez le voir à nouveau. Comment, continuellement, donc mois après mois, la banque centrale essaie de dégonfler la bulle. Et les marchés ont joué le jeu. Les investisseurs l’ont accepté.

Et en septembre 2019, quelque chose s’est produit. Je ne sais pas quoi, je ne peux pas vous le dire. Mais le fait est que la confiance dans ce marché financier, dans ce « marché repo » s’est effondrée en septembre 2019. Et cela a conduit la banque centrale à devoir changer totalement de cap. Ce qu’elle avait fait pendant deux ans, elle a dû l’inverser complètement. Il fallait recommencer à acheter. Cela a donc été un choc pour cette banque. Et vous pouvez voir, ce pic ici, n’a rien à voir du tout avec la Corona. Nous sommes en janvier 2020, et puis en mars, c’est la montée dans l’ombre de la Corona. Mais ce qui se passe ici, en octobre, novembre et décembre 2019, n’a rien à voir avec la crise de la Corona. Mais c’est le même mouvement qui s’est intensifié par la suite.

Si vous regardez ça maintenant… Oh non … D’abord, je voudrais vous montrer un rapport de janvier 2020, un rapport du 16 janvier, c’est-à-dire avant même que la Corona ne devienne le grand sujet médiatique. Le journaliste du Handelsblatt Norbert Häring a écrit un article sur cette augmentation. Et il y écrit :

« La FED a justifié son intervention — de manière peu convaincante — par une erreur de calcul temporaire de sa part (…). Il ne faut en aucun cas en conclure que les banques ne se font plus confiance. La prétendue erreur de calcul est apparemment assez persistante. Quatre mois plus tard, les prêts d’urgence (…) sont toujours disponibles en quantités illimitées, et il n’y a pas de fin en vue. 

La FED garde secrets les noms des bénéficiaires des prêts afin de ne pas les marquer d’une réputation d’indigence. (…) 

Peut-être que le boom des marchés financiers alimenté par les banques centrales est dans sa phase finale avant l’effondrement. »

Norbert Häring

Permettez-moi de replacer cela dans un contexte temporel plus large. J’ai choisi un graphique des actifs totaux de la Réserve fédérale remontant non pas à 10 ans, mais à 100 ans. C’est le nombre d’années d’existence de cette banque. (Min. 57.45 graphique) Voilà, c’est cette courbe.

C’est fait là où vous voyez dans quelle mesure la Réserve fédérale est impliquée dans l’économie américaine. Et nous voyons — nous sommes ici en 2008 — la crise financière. La dernière fois qu’une crise de cette ampleur s’est produite, c’était lors de la Grande Dépression de 1930. Les valeurs jusqu’à la Deuxième Guerre mondiale ont été lentement réduites après la guerre mondiale. C’est le niveau, c’est la gravité que nous avons atteinte avec la crise financière de 2008 et aussi avec la crise qui a éclaté à nouveau en septembre 2019. C’est la dimension dans laquelle nous nous trouvons, sur le plan fiscal.

L’Event 201, l’ultime simulation basée sur les Relations Publiques

En octobre 2019, l’exercice suivant était  » l’événement 201 « . Voici l’endroit, l’hôtel où cet exercice a eu lieu. Nous voyons un hôtel chic de Manhattan, sur la 5e avenue. Et là-bas, c’est Central Park. Oui, et si vous descendez un peu la rue, à quelques rues d’ici, vous trouverez la tour Trump. C’est donc la rue la plus chère de Manhattan ici. Et cet hôtel a ouvert en 1930, en pleine crise économique, avec l’argent des grandes banques de Wall Street.

Et l’architecture de cet attique s’est inspirée de la chapelle de Versailles, la splendeur baroque de Louis XIV. C’est dans cette splendeur que les banquiers de Wall Street qui l’ont financé voulaient vivre. Ils se voyaient un peu à ce même niveau. Oui, l’hôtel est toujours là aujourd’hui. Et c’est là, à New York, qu’a eu lieu l’exercice « Event 201 », au cours duquel une pandémie de coronavirus a été répétée.

Laissez-moi vous dire qui est assis à cette table, afin que vous puissiez vous faire une idée des personnes qui répétaient : voici le modérateur du Center for Health Security (min 59:32), à côté de lui se trouve Christopher Elias. Nous l’avons vu tout à l’heure, il fait partie de la Fondation Bill Gates et a été conseiller du gouvernement fédéral, comme nous l’avons appris tout à l’heure. À sa droite, le directeur du Centre de contrôle des maladies. Ici, c’est le chef de l’agence chinoise de contrôle des maladies. Ils ont également participé à cet exercice. Et puis le vice-président de Johnson & Johnson, la plus grande société pharmaceutique du monde en termes de valeur marchande. Et elle, c’est l’ancienne vice-présidente de la CIA, elle était aussi dans ce panel. Et le monsieur en face est le président de l’agence de relations publiques Edelmann, la plus grande agence des relations publiques au monde.

Lors de cette conférence, lors de cet exercice, comme je l’ai dit, une pandémie de coronavirus a été jouée, également en termes de relations publiques.

Il est dit dans les documents relatifs à cet exercice que « les gouvernements devront travailler avec les sociétés des médias pour rechercher et développer des approches plus sophistiquées pour contrer la désinformation. Il va donc falloir développer la capacité d’inonder les médias d’informations rapides, précises et cohérentes. (…) Pour leur part, la presse devrait s’engager à faire en sorte que les messages officiels soient prioritaires et que les faux messages soient supprimés, y compris par le biais de la technologie. » Et c’est exactement ce qui se passe en ce moment même.

Voici une autre photo de cette conférence ; nous voyons l’organisatrice ici, il s’agit de la directrice du Centre pour la sécurité sanitaire, Anita Cicero. Elle est avocate. Elle a œuvré, avant de travailler pour cet institut, pour un grand cabinet d’avocats en tant que lobbyiste pharmaceutique. Elle avait trois cents avocats sous ses ordres et ses interlocuteurs comprenaient des membres de la Commission européenne, des hommes politiques du Sénat américain, auxquels elle a fait valoir les intérêts de l’industrie pharmaceutique avant de devenir ensuite vice-directrice de ce centre et d’aider à organiser des exercices comme celui-ci.

Ce que je trouve très intéressant, c’est la présentation en haut à gauche de l’image, où l’on voit comment cette crise, qui a été fictivement mise en scène, est illustrée. Vous pouvez donc voir ici un graphique, les numéros de cas, comment ils se développent. Vous pouvez voir quels pays sont touchés dans quelle mesure, vous pouvez voir comment les cours boursiers évoluent au même moment, combien de décès il y a, projeté sur les mois suivants.

M Schreyer montre l’infographie présentée lors de l’Event 201 et sa ressemblance avec celles qui nous accompagnent depuis plus d’une année.

Voir la transcription intégrale de la conférence sur le site de Liliane Held Khawam.(([2] https://lilianeheldkhawam.com/2021/04/18/une-serie-de-simulations-de-pandemie-a-precede-la-crise-du-covid-19-partie-1-paul-schreyer/)) (([3] https://lilianeheldkhawam.com/2021/04/21/une-pandemie-qui-survient-au-lendemain-du-crash-du-marche-des-repo-suite-et-fin-de-la-traduction-de-la-conference-de-paul-schreyer/))

À notre connaissance le premier à avoir dénoncé la crise sanitaire comme étant une manœuvre de la haute finance est un trader italien Andreas Cecchi.(([4] Version italienne et française de l’article original en partie flouté par la censure, repris par Nouveau Monde https://nouveau-monde.ca/le-bon-virus-au-bon-moment/))

Voici un court extrait de son article publié dès le 12 mai 2020 qui résume bien la situation :

« Le virus est vraiment arrivé au bon moment. S’il n’était pas arrivé, les taux d’intérêt auraient grimpé en flèche et le marché de la dette et le marché des produits dérivés (2,5 milliards de milliards — estimation BRI) auraient explosé en une supernova aux proportions bien pires que ce qui s’est passé (en 2008). Une crise pour laquelle il n’y a pas d’outil pour la gérer.

Arrêter l’économie et donc la demande de prêts et inonder les banques de liquidités nouvelles semblait être la solution la moins dommageable. Au moins pour eux. Le slogan “tout ira bien” qu’ils ont mis dans la bouche des zombies sans tête, a servi à réitérer que tout ira bien pour eux, pas pour nous, et que pour l’instant, l’effondrement monétaire n’aura pas lieu, car ils ont arrêté l’économie en jetant tout le monde. Nous restons immobiles, immobiles dans un coin, comme dans une prison planétaire. En sauvant les REPO, les Hedge Funds et donc les fonds de pension ont également été sauvés. Pour l’instant, les retraités peuvent se reposer tranquillement. Leur pension est assurée. »


À ces manœuvres, s’ajoutent de multiples projets préparés de longue date, comme on le comprend facilement en lisant :
l’Agenda 2030 de l’ONU,(([5] Voir sur https://www.lilianeheldkhawam.com))
la déclaration de la Banque Européenne(([6] https://finance.orange.fr/actualite-eco/article/covid-19-une-annulation-de-la-dette-est-inenvisageable-affirme-christine-lagarde-CNT000001wZxp0.html))
ou celle de Klaus Schwab, Président fondateur du Forum Économique Mondial(([7] https://nouveau-monde.ca/dici-2030-nous-naurons-rien-et-nous-en-serons-heureux/ Ce qui se résume ainsi : pour le remboursement des dettes créer par votre gouvernement nous saisirons tous vos biens.)) 
qui convergent tous vers la prise de pouvoir qu’ils voudraient planétaire par la caste des fascistes.

La France est bloquée et privée de liberté depuis plus d’un an alors que Plus de 90 % des décès du Covid-19 surviennent chez les plus de 65 ans (lefigaro.fr)Il n’y a vraiment que les naïfs pour croire que derrière tout ceci il n’y a pas d’intentions cachées.

L’instrumentalisation de l’épidémie de Covid 19 rappelle les heures les plus sombres de l’histoire, avec la propagande nazie qui a fait d’une nation cultivée la victime d’un des plus grands criminels de l’histoire. Mais avec ce qui se passe actuellement en France et dans de nombreux pays, à l’exception notoire de la Fédération de Russie et de la République Populaire de Chine,(([8] La Chine et la Russie lancent une « économie mondiale de la résistance ». — Nouveau Monde  États qui ne sont plus confinés et qui ont repris leur marche en avant.)) nous avons franchi un pas de plus dans l’abjection :
l’Union Européenne, les gouvernements et les chefs d’État qui trahissent leur propre population.

Pour couronner  le tout, la dernière de Macron, l’entrepreneur de démolition :

« Nous devons déconstruire notre propre histoire. »

(([9] https://www.nice-provence.info/2021/04/22/chronique-decomposition-francaise-le-retour-des-barbares/))


La devise de la République française est Liberté — Égalité  Fraternité,
pour être parfaite elle devrait être, Équité Liberté Objectivité,
car cela donne :

Équité + Liberté + Objectivité = Fraternité.

Le peuple souverain transmet son pouvoir à son Président pour le guider.

Certes Nicolas Sarkozy et François Hollande étaient des partisans du nouvel ordre mondial comme l’indiquent certaines de leurs déclarations… , mais dans les faits, le seul président qui a osé — dans le pays qui a proclamé le premier les Droits de l’homme — ouvertement briser le Pacte Républicain, est le dénommé Macron. Aussi il ne faudra pas qu’il s’étonne le jour où il en paiera le prix cash !!!!!


Notes




À la vitesse de la lumière Bergoglio entraîne l’Église catholique dans sa chute

Par Alain Nicolaï

« Je ne veux pas me mentir, il est vrai que je suis un pécheur qui a eu le privilège d’être aimé par la miséricorde de Dieu. »

« Mais, j’insiste, j’ai toujours été aimé par Dieu, qui m’a relevé après chaque chute tout au long du chemin… »

« Mais le moment où je vis le plus intensément l’expérience religieuse, c’est quand je reste un temps indéfini devant le tabernacle. Parfois je m’endors, assis, en me laissant regarder. J’ai l’impression d’être entre les mains de quelqu’un comme si Dieu me prenait par la main. »

Bergoglio

Quand vous avez en face de vous une personne qui est persuadée d’avoir le privilège d’être aimée et regardée par Dieu vous pouvez être sûr que celle-ci n’a rien compris à la Religion et notamment au Christianisme. DIEU est Amour et nous aime tous, tel est l’enseignement de Notre Seigneur Jésus Christ, c’est ce qu’avaient compris les premiers chrétiens, et c’est pourquoi ils ne craignaient pas le martyre, or il s’avère que celui qui a prononcé ces paroles n’est autre que le Cardinal Jorge Bergoglio, le futur pape François qui dirige actuellement l’Église. Ces textes se trouvent dans l’ouvrage, Je crois en l’homme, aux pages 52 et 53 de l’édition française du livre, Le Pape François, Je crois en l’homme, Conversations avec Jorge Bergoglio, Francesca Ambrogetti et Sergio Rubin, Éditions de Noyelles, 2013.

De plus, ce texte qui a été publié d’abord à Buenos Aires en 2010, et qui est la transcription d’une conversation avec Francesca Ambrogetti et Sergio Rubin, met en relief la conduite pour le moins équivoque de l’Église en Argentine. Dans les chapitres 13, Le dur chemin vers une patrie de frères et 14, Plongée dans une nuit obscure, ces deux journalistes interrogent le futur pape sur son comportement à cette époque, et pour le moins ses réponses ne sont pas claires ! Il faut savoir qu’une grande partie de la carrière de Bergoglio en Argentine se passa pendant la dictature de Jorge Rafael Videla Redondo responsable de nombreuses exactions dans ce pays et qui dirigea l’Argentine après le coup d’État militaire du 24 mars 1976 qui destitua Isabel Perón. Les auteurs de cet ouvrage font comprendre aux lecteurs que le futur pape s’en est très bien accommodé, et même, après qu’il fut intronisé cardinal, le 21 février 2001 par Jean Paul II, dans son homélie à l’occasion du premier Consistoire public ordinaire du XXIe siècle.

Ce livre étant à la disposition de tous, comment les Cardinaux ont-ils pu être amenés à élire un tel personnage ? Ils portent donc aussi une très lourde responsabilité sur le devenir de l’Église catholique.

Mais concernant Bergoglio, il y a encore beaucoup plus grave, voici un article publié en novembre 2013 par Courrier International :
https://www.courrierinternational.com/article/2013/03/14/jorge-bergoglio-n-est-pas-le-pape-des-pauvres

Après c’est très lourdes accusations, passons à d’autres très graves problèmes qui entachent définitivement le pontificat de Bergoglio. Henri Sire, qui était l’historiographe de l’Ordre de Malte, a publié en 2018 un livre Le Pape dictateur, au titre sans équivoque :
https://www.babelio.com/livres/Sire-Le-Pape-dictateur–Lhistoire-cachee-du-pontifica/1105018
Le Pape dictateur, Henri Sire, Presse de la Délivrance, 2018.

Dans cet ouvrage l’auteur démasque avec de nombreux arguments irréfutables cette face plus que sombre de Bergoglio. Il révèle la mentalité autoritaire de cet homme, qui en fait, ne croit qu’en ses décisions, puisqu’il est persuadé, comme on l’a vue au début de cet article qu’elles lui viennent directement de Dieu. Aussi, il n’hésite pas à les imposer avec l’aide des êtres démoniaques qui ont infiltré l’Église depuis des décennies et qui sans doute l’influencent d’une manière ou d’une autre.

La lecture de l’ouvrage d’Henri Sire est extrêmement pénible, tellement est sinistre ce que l’on apprend sur le fonctionnement d’une institution qui devrait être un modèle de vertu. On est littéralement transporté au cœur d’un milieu sordide où les bons sont rabaissés et les mauvais encouragés. C’est révoltant et écœurant jusqu’à la nausée…

Après la publication de cet ouvrage Henri Sire fut suspendu par l’Ordre de Malte :
https://www.orderofmalta.int/fr/2018/03/23/auteur-ivre-le-pape-dictateur-suspendu/

Si nous devons évoquer qu’un seul être démoniaque pour illustrer nos propos citons simplement Peter Sunderland, décédé début 2018, qui fut pendant plusieurs années, donc sous Bergoglio, Conseiller de l’Administration du Patrimoine du Siège apostolique et directeur de la Commission Internationale Catholique sur la Migration (ICMC) :
https://www.agoravox.fr/actualites/international/article/peter-sutherland-ou-le-visage-de-176554

Ce mondialiste fut sans doute introduit au Vatican par quelques « âmes bien intentionnées. »

Se pose maintenant la question :
Le cas Bergoglio est-il du domaine de la psychiatrie ou simplement révèle-t-il une malignité fondamentale ?

Petit complément pour enfoncer quelques clous

Sur l’idolâtrie au Vatican :
https://fsspx.news/fr/la-veneration-des-statuettes-de-la-pachamama-ete-objectivement-une-idolatrie-52050

Sur la crèche du Vatican en 2020 :
https://www.cath.ch/newsf/vatican-la-creche-horribilis-2020/

Sur le capitalisme inclusif :
http://force-ouvriere44.fr/connaissez-vous-le-capitalisme-inclusif/

Conclusion : Une vertigineuse descente aux enfers…

« Tout arbre qui ne porte pas de bons fruits est coupé et jeté au feu. »

Matthieu 7.19




Propriétaires et prolétaires, même combat

Par Alain Nicolaï et Joseph Stroberg

La présidente de la BCE, Christine Lagarde, est — il ne faut pas se le cacher — sur la même ligne de conduite que Klaus Schwab, le président fondateur du Forum Économique Mondial (Forum de Davos). Elle, qui fait partie du cartel des financiers dominants (que certains appellent avec juste raison le banco-centralisme), vient encore d’affirmer que la dette des États ne sera pas effacée.

Invitée de BFM Business et BFMTV le 7 février 2021, Christine Lagarde a réagi à la proposition de plus de 100 économistes d’annuler les dettes publiques détenues par la BCE.

Pour elle, cette annulation est

  • « légalement impossible. Ça serait une violation du traité de la zone euro » ;
  • « Ce traité dit que l’on ne peut pas faire tourner la planche à billets pour financer la dépense des États » ;
  • « Annuler cette dette publique, contreviendrait à l’article 123 » ;
  • alors qu’« il n’y a pas unanimité des États membres à ma connaissance pour réviser le traité » ;
  • « Ça coûtera beaucoup plus cher de se refinancer » ;
  • « Les Français savent bien qu’une dette, ça se rembourse, ne pas rembourser ça coûte très cher ».

Il devient évident que certains se servent de cette crise pour encore endetter un peu plus leur pays, un exemple manifeste est le cas Macron, n’a-t-il pas répété à satiété ceci : « Quoi qu’il en coûte. »

« L’actuelle crise économique et sociale mise à bon compte sur le dos de l’épidémie, à grand renfort de “liquidités” abondamment déversées par les Banques Centrales, dont la BCE en Europe, et qui sont devenues les véritables maîtres du jeu de Monopoly, alimentant sans cesse la partie que continuent de jouer, comme potentats locaux à leur solde, les différents gouvernements “nationaux”, dont celui de Macron, en France »

(Luniterre)

Macron a tenu à en rajouter une couche ainsi nous apprenons, grâce au site Politico, que depuis mars dernier six cabinets privés pour 26 missions en lien avec la gestion de la crise du coronavirus ont reçu 11,2 millions d’euros, le cabinet américain McKinsey choisi comme conseil pour placer le soi-disant vaccin anti-covid se taille la part du lion avec 4 millions. Insuffisances méthodologiques des essais des vaccins anti-COVID-19

Lors de son discours du lundi 16 mars 2020 à 20 heures, à six reprises, Emmanuel Macron a utilisé la même expression : « Nous sommes en guerre ! » sur un ton martial visant à sonner la « mobilisation générale » contre un « ennemi (…) invisible, insaisissable ». À la lumière des décisions qui ont été prises depuis par le gouvernement, dont Macron est le responsable, il faut se poser la question fondamentale : de quelle guerre voulait-il parler ? De celle contre le virus ou de celle contre les peuples ?

Dans un précédent article, nous avons vu la parfaite entente de Macron et Klaus Schwab (le président fondateur du Forum Économique Mondial) qui sont intervenus en cœur en dialoguant lors du Forum de Davos 2021 : Les comploteurs démasqués : Macron cheval de Troie du Nouvel Ordre Mondial et de la finance

Sachant que le gang de Davos et son président nous ont concocté un programme aux petits oignons pour la prochaine décennie : le point d’orgue en 2030, Vous n’aurez plus rien et vous serez heureux (D’ici 2030, nous n’aurons rien et nous en serons heureux). Il peut y avoir de quoi s’inquiéter !

Surtout que ce n’est pas tout : Le masque, premier pas vers le transhumanisme.

Bel aveu, non ?!

C’est l’asservissement par la dette :  ils veulent recréer le système infernal des castes.

Sachez que 30000 médecins français ont demandé fin janvier un retour à la normale : 30 000 médecins français s’organisent, réclamant le retour à la normale — 2e conférence du collectif Coordination Santé libre (suite de l’appel du 9 janvier 2021).

Sachez que l’épidémie est terminée en Inde, en Chine,  en Russie…

Le Nouvel Ordre Mondial est en route et nous devons le combattreRav Dynovisz

Propriétaires et prolétaires, même combat ! Aussi, nous en appelons donc, pour la première fois dans l’histoire, à la convergence des luttes

Remarque terminale

Fermés à tous les débats contradictoires, prenant des décisions unilatérales, sans concertations avec des scientifiques indépendants, les exécutifs de quasiment tous les pays européens  s’enferment dans la démagogie. Prenons n’importe lequel de ces nuisibles, traînons-le dans un tribunal, il se dégonflera comme une baudruche. Cela ne vous rappelle pas ce qui s’est passé  au Tribunal de Nuremberg ?

Perspective

Un nombre croissant d’êtres humains s’ouvre à l’idée (hypothèse ou réalité) que l’Humanité est engagée dans un combat mondial qui n’est pas celui mis en avant par les médias dominants. Il ne s’agit pas d’un prétendu combat contre un virus que l’on veut faire passer pour un ennemi invisible, sachant que par ailleurs chaque corps humain accueille naturellement et en permanence plusieurs centaines de milliers de milliards de virus en son « virome », parallèlement aux dizaines de milliers de milliards de bactéries de son microbiote. Il ne s’agit pas non plus d’un combat entre droite et gauche politiques, ni même d’un combat entre « croyants » et athées. Non. Le combat qui apparaît de plus en plus manifestement est un combat épique, titanesque, planétaire. Celui qui a cours entre une petite minorité élitiste (devenue progressivement ultra riche) et le reste de l’Humanité. Il est le résultat de deux mouvements antagonistes d’origine millénaire, de deux forces qui s’affrontent depuis la nuit des temps et qui ont été observées et interprétées sous différentes formes tout au long de l’histoire humaine. Nous en arrivons de nos jours à la conclusion et la tension est maintenant maximale, de l’ordre des forces tectoniques en présence le long d’une faille sismique à la veille d’un tremblement de terre majeur. Le résultat de ce conflit, qu’il passe ou non par une explosion mondiale, sera la libération de l’Humanité.




Les comploteurs démasqués : Macron cheval de Troie du Nouvel Ordre Mondial et de la finance

Par Alain Nicolaï et Joseph Stroberg

Le 1er décembre 2020, nous avons publié cet article : Le Choc en Retour II ou Macron en Place sur son siège… éjectable.

Le 26 janvier 2021, Macron a participé au Forum Économique Mondial virtuel de Davos 2021 en faisant une intervention en compagnie de Klaus Schwab.

Forum Économique Mondial de Davos

Le Forum Économique Mondial (weforum.org)

Klaus Schwab

Klaus Schwab est le fondateur et le président du Forum de Davos (Forum Économique Mondial) depuis 1971. C’est sans aucun doute un des plus fervents promoteurs du Nouvel Ordre Mondial, il y a consacré toute sa carrière !
Le livre de Klaus Schwab écrit avec un collaborateur (Thierry Malleret) et publié en 2020.

COVID-19: The Great Reset | Malleret, Thierry & Schwab, Klaus

Analyse de cet ouvrage par des journalistes dissidents de The Guardian :
• en anglais : https://off-guardian.org;
• traduction en français : Le « Great Reset » n’est pas du complotisme.

Intervention commune de Klaus Schwab et de Macron

Transcription

INTERVENTION DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE DANS LE CADRE DE L’AGENDA DE DAVOS ORGANISÉ PAR LE WORLD ECONOMIC FORUM

26 JANVIER 2021 — SEUL LE PRONONCÉ FAIT FOI

Le Président de la République

Bonjour, Professeur SCHWAB, je suis très heureux aussi de vous retrouver par ce biais, et merci en effet d’avoir organisé ces échanges qui, je crois, s’imposent encore plus dans la période.

Je voudrais faire le lien entre le monde d’aujourd’hui et le monde d’après. D’abord parce que dans tous nos pays, les sociétés se transforment avec l’expérience qu’on est en train de vivre. Et je crois qu’on a quelques leçons à retenir de ce qu’on vit tous ensemble depuis un peu plus d’un an, et qui va encore durer, on le sait, pendant des mois, certains nous disent, des années. Avec en tout cas une présence plus ou moins forte de ce virus.

Je crois que la première chose que ça nous a enseigné, c’est qu’on ne peut pas penser l’économie sans l’humain. Alors, ça paraît être une banalité de dire ça, mais enfin, nous avons fait, dans tous nos pays, quelque chose qui était considéré comme impensable, c’est-à-dire qu’on a arrêté toutes les activités économiques pour protéger des vies. Première leçon. Et on s’est rappelé que l’économie dont vous parlez, c’était une science morale et donc que la vie des hommes primait sur les échanges et les chiffres.

La deuxième chose, c’est que cette période nous rappelle notre vulnérabilité, à titre personnel, si je puis dire (j’en ai fait les frais en l’attrapant), mais comme organisation, entreprise, société, pays. Et la vulnérabilité, ça veut dire qu’on ne peut pas penser nos organisations de notre économie sans l’intégrer. Et c’était au fond une idée qui nous paraissait – certains avaient plus conscience que d’autres sur ce sujet – mais qui nous paraissait parfois lointaine quand on parlait de l’écologie et du climat. Mais c’est la même notion. C’est de dire : ce qui se passe autour de nous a un impact sur notre quotidien et peut, en quelque sorte, briser les chaînes, changer nos vies.

Une fois que j’ai dit ça, ça veut dire qu’on ne peut rien reconstruire, à mes yeux, dans le monde d’après- Covid, qui ne tire les leçons de ces deux éléments fondamentaux. L’économie est redevenue une science morale, et rien n’est au-dessus de la valeur humaine ; et nos sociétés sont vulnérables parce que la nature nous le rappelle et elles sont vulnérables face à des événements pandémiques, climatiques et autres.

Et donc, l’économie de demain, forte de ces enseignements, mais de ce qu’on savait aussi avant, parce qu’il y a aussi, on parle beaucoup des variants dans cette période, il y a aussi des invariants, eh bien, l’économie de demain, c’est à mes yeux, une économie qui va devoir penser à la fois l’innovation, la vulnérabilité et l’humanité, et donc qui va devoir construire une autre compétitivité compatible et même aidant à la résolution des problèmes climatiques : réduction du CO2, adaptation de nos sociétés parce qu’on en a déjà les conséquences, agenda biodiversité. Ça veut dire une économie qui devra être plus résiliente aux chocs et donc intégrer dans ses modes de protection des individus, dans ses organisations des éléments de résistance, soit dans ses chaînes de production, soit dans ses organisations logistiques très fines des éléments de résilience -on pourra y revenir si vous le souhaitez- et une économie qui prenne en compte ce principe d’humanité, qu’il s’agit d’ailleurs du sanitaire ou des inégalités sociales. Et on avait ce problème, on en avait parlé ensemble il y a un an. Et je crois qu’on ne sortira pas de la Covid-19 avec une économie, je dirais, qu’on sortira plutôt de la Covid-19 avec une économie qui aura encore plus en son cœur la problématique de la lutte contre les inégalités. Voilà les quelques convictions rapidement brossées.

Pr Klaus SCHWAB

Monsieur le Président, je crois, l’année passée, vous avez dit dans une réunion de l’OID que le capitalisme est devenu fou, et dans le contexte que vous dites d’une économie morale, quelle est votre conception du rôle de l’entreprise, de la philosophie de l’entreprise ? Je pose la question parce que j’ai publié aujourd’hui un livre qui s’appelle « Stakeholder capitalism », which means un capitalisme des parties prenantes. Quelle est votre philosophie ?

Le Président de la République

Je me retrouve dans la formule du stakeholder capitalism, mais au fond, ce qui est vrai, c’est quand on regarde l’évolution des dernières décennies, nous avons un capitalisme qui, d’abord, capitalisme et économie de marché ont des vraies réussites dans cette dernière décennie, parce qu’il ne faut pas caricaturer les choses. Elle a permis l’ouverture des économies. Le commerce mondial, le capitalisme ont permis de sortir de la pauvreté des centaines de millions de personnes. Donc ça, ça a eu un intérêt. Ça a permis de procéder à beaucoup d’innovations, ça a permis de répondre à des demandes du citoyen consommateur de nos économies de manière extraordinaire, avec de l’accès aux biens et à des services comme rarement dans l’humanité, nous y avons eu accès. Donc ça, c’est le formidable succès des dernières décennies. Il y a une façon à tout cela. C’est que tout cela est allé avec, un, évidemment, de la création d’inégalités dans nos sociétés ; c’est-à-dire que l’ouverture et la théorie des avantages comparatifs a permis de sortir de la pauvreté à l’autre bout du monde des gens et d’autres concitoyens pour accéder à la production, mais à la sortie de la production et donc de l’activité, de l’utilité sociale, d’un rôle réel et d’un accès aux salaires, beaucoup de nos concitoyens qui ont eu à souffrir des crises de délocalisation que toutes les économies développées ont eu à vivre. Et c’était un choc à la fois économique et social pour des centaines de millions dans le monde, dans mon pays des centaines de milliers, voire des millions de personnes qui ont eu ce sentiment de perte d’utilité, qui ont perdu leurs emplois avec une vraie crise économique et morale. Et en quelque sorte ce problème, il a été externalisé par le capitalisme des dernières décennies.

Le deuxième sujet, c’est la déconnexion entre la création de valeur et les profits. Il y a une financiarisation de ce capitalisme. La financiarisation, c’est une très bonne chose quand elle permet d’aller plus vite, quand elle permet de procéder à la bonne allocation de l’épargne vers les besoins de financement. C’est une mauvaise chose quand elle sur-alloue en quelque sorte de la rémunération, alors qu’il y a peu de prise de risque et donc qu’elle permet des enrichissements qui ne sont pas liés ni à un travail ni à un phénomène d’innovation. Et c’est ce qui s’est passé. Donc, il y a eu une espèce d’emballement qui a accru ce premier phénomène d’inégalité. On a revu dans toutes nos sociétés une inégalité croissante en leur sein.

Troisième phénomène, avec l’accélération des réseaux sociaux, elle a mondialisé l’imaginaire en créant aussi une insoutenabilité, si je puis dire, des systèmes de comparaison, je dirais ce terme, de plus en plus difficiles.

Quatrième problème, elle a totalement externalisé le problème climatique pendant des décennies, c’est- à-dire qu’on a créé une logistique mondiale, des échanges mondiaux. On a dit au fond, il y a deux rois dans ce système : le consommateur et l’actionnaire, et le système a très bien produit pour le consommateur et l’actionnaire, mais il a ajusté sur le travailleur et sur le reste de la planète. Et en quelque sorte, on a créé des externalités négatives, comme on dit pudiquement, en termes climatiques.

Ces quatre phénomènes ont alimenté la crise des inégalités sociales, la crise de la démocratie et la crise climatique. Et donc, le modèle capitaliste marié à l’économie de marché ouverte, il ne peut plus fonctionner dans cet environnement. Pourquoi ? Parce qu’il a été le fruit historiquement d’un compromis qui étaient des sociétés démocratiques, l’individu libre, des libertés individuelles, le progrès des classes moyennes qui ont créé la soutenabilité dans chacune de nos sociétés. Et il est en quelque sorte complètement percuté, cet équilibre, ce consensus qu’il y avait, par ces 4 accélérations. Et donc, moi, je crois très profondément dans votre Stakeholder Capitalism, entre autres, c’est-à-dire dans l’idée de dire qu’on doit remettre au cœur du modèle la réponse à ces problématiques.

On a au fond, durant les dernières années, essayé d’y répondre par une réponse des États. L’État seul ne peut pas le faire parce que sinon on a un problème, c’est que l’État est le seul à corriger des externalités négatives. Et donc, il s’endette de plus en plus pour payer tout seul la réponse aux problèmes climatiques, pour payer tout seul la réponse aux inégalités. Et vous avez en quelque sorte un modèle où la dette publique devient trop importante et/ou c’est le contribuable qui vient payer pour toutes ces crises. Le contribuable est en quelque sorte le sédentaire de ce modèle et celui qui ne peut pas non plus en tirer tous les bénéfices. C’est pourquoi ma conviction, c’est que le modèle capitaliste, parce que je crois malgré tout que nous construirons l’avenir de l’humanité en gardant quelques fondamentaux : la propriété privée, la coopération, les libertés individuelles et collectives qui ont fait nos sociétés. Et donc, que tout ça doit simplement conduire à repenser nos organisations pour réintégrer au cœur de l’entreprise. Eh bien, la prise en compte des inégalités sociales dans nos pays, des inégalités entre les différents espaces géographiques, des conséquences climatiques que nous vivons, entre autres.

Et au fond, ce qu’on a ces dernières années appelé la responsabilité économique, environnementale, sociale de nos entreprises, l’approche par l’impact de nos entreprises, ce sont des innovations qu’il nous faut maintenant pousser beaucoup plus loin et nous devons réformer nos entreprises en leur sein pour qu’en leur cœur, pour que, en quelque sorte, l’ensemble des parties prenantes, donc stakeholders, les employés, les dirigeants, les actionnaires intègrent dans leurs comportements, mais aussi dans ce qu’on mesure, eh bien, l’impact de leurs actions en termes économiques, sociales, environnementales et démocratiques.

Pr. Klaus SCHWAB

Vous avez mentionné qu’en mesure, je suis très heureux, monsieur le président, de vous dire qu’aujourd’hui même, on a annoncé l’engagement de la société ici virtuellement, de reporter régulièrement selon des critères très exacts sur le progrès qu’ils font dans leur responsabilité sociale, écologique et aussi en ce qui concerne la goutte [inaudible]. J’aimerais bien reprendre l’écologie. Je crois avec aussi l’engagement maintenant du Gouvernement de la nouvelle administration américaine pour les objectifs du traité de Paris. Ma question, on a certainement fait beaucoup de progrès, mais je vous demande : est-ce que vous êtes satisfait avec ces progrès ? Ou est-ce que vous souhaiterez une sorte de nouveau consensus qui va au-delà de ce qu’on a discuté et décidé auparavant ?

Le Président de la République

Je pense plusieurs choses sur ce sujet. D’abord, on a une question de mise en œuvre, on a discuté et on s’est mis d’accord sur beaucoup de choses : un agenda climatique, l’agenda de Paris. Et aujourd’hui, nous ne sommes pas au rendez-vous tous ensemble, exactement de nos actes. Et donc, je pense que la priorité des priorités, c’est de manière coordonnée, de tout faire pour tenir nos engagements. Je dis de manière coordonnée parce qu’en quelque sorte, le passager clandestin peut détruire tout le système. Tout cela ne marche que si on avance ensemble au même rythme pour ne pas créer des biais de compétitivité. Et c’est en cela que les dernières années ont été capitales au moment où les États-Unis d’Amérique avaient décidé de quitter l’accord de Paris, à l’été 2017, il y avait un grand risque. Et moi, je regarde quand même les années qui viennent de s’écouler comme des années de résistance formidable où le château de cartes ne s’est pas effondré parce qu’on a tous ensemble tenu, on a créé cette initiative du One Planet Summit le 12 décembre 2017 avec ces coalitions. Tous ensemble on a tenu, Européens, avec beaucoup de pays émergents, développés, avec la Chine il faut bien le dire aussi qui a coopéré très fortement et avec le secteur privé et les États fédérés américains. Et là on a une administration américaine dont le premier geste est de revenir dans les accords de Paris.

Donc, moi, mon premier objectif, c’est qu’on tienne ces accords de Paris ; rehaussement de nos objectifs 2030, nous l’avons fait en européen en décembre dernier avec la réduction d’émissions comme on l’a dit, -55%, ce qui est un objectif très important. Deuxième point, neutralité carbone 2050. Ce sont les deux points de passage absolument décisifs pour, dans les prochaines années, structurer nos comportements. Derrière, il faut qu’au niveau régional et national, on décline ces stratégies et c’est là le plus dur, c’est-à-dire avoir un prix carbone suffisamment élevé, des mécanismes qui incitent nos entreprises et nos investisseurs à aller plus vite dans la direction, des mécanismes d’accompagnement et de sanction pour que les entreprises et les ménages puissent aller plus vite et plus fort, qu’on renouvelle plus rapidement notre parc automobile, qu’on change plus vite la rénovation de nos bâtiments, etc. etc. Donc ça, c’est le premier pilier, il est essentiel.

Le deuxième pilier, il est d’embarquer véritablement tout le secteur financier et toutes les entreprises et ça rejoint la discussion qu’on avait juste avant. On a des coalitions très importantes à cet égard, et moi je crois beaucoup à l’initiative qu’on a mise en place avec le One Planet Summit, des sovereign wealth funds, asset managers et private equity. Et on l’a réuni le 12 décembre dernier en mode virtuel. Et maintenant, on a réussi à généraliser, en effet, une même nomenclature. Tout le monde s’est engagé avec la task force for Climate-related financial disclosure, TCFD, qui est une vraie avancée à cet égard. On a une même méthodologie et on avance. Donc les investisseurs se sont engagés sur une méthodologie de mesure qui correspond exactement à ce que vous venez de dire et qui, maintenant, est en train de se décliner sur les entreprises. Et par exemple, on a obtenu en décembre dernier, le 12 décembre dernier, que les 40 entreprises du CAC 40 français intègrent cette méthodologie. Ce qui veut dire qu’elles vont devoir reporter à leurs actionnaires, aux marchés, le fait qu’elles sont justement elles- mêmes conformes à ses engagements et qu’elles font des efforts.

Troisième pilier de notre action, c’est qu’on fasse la même chose sur la biodiversité. Moi je crois beaucoup qu’on ne tiendra l’engagement climatique que si on arrive à engager nos entreprises, nos investisseurs, nos pays sur un agenda biodiversité. C’est tout le sens d’ailleurs de ce qu’on a fait avec One Health, qui est de rassembler notre sujet santé humaine, biodiversité, lutte contre le réchauffement climatique et contre la désertification. Mais je crois véritablement qu’on n’est encore qu’au début sur le climat, sur la biodiversité. Et c’est très important parce que c’est des changements de production dans notre agriculture, c’est des changements de notre mode de consommation, de notre mode de vie. Et donc là, nous avons à bâtir cette année les règles communes. Et donc quand vous dites qu’est-ce que l’on doit réussir à négocier de plus ? Eh bien moi, je pense qu’à la COP de Kunming, on doit réussir à négocier l’équivalent de l’accord de Paris pour la biodiversité. Nous avons réuni, il y a quelques jours à Paris et en mode virtuel, un One Planet Summit biodiversité, c’était le premier du genre. On a pris plusieurs initiatives très fortes : la Grande Muraille verte, justement, pour dans 11 pays du Sahel et de la Corne de l’Afrique, réussir à lutter contre la désertification ; beaucoup d’initiatives en matière de biodiversité. Et on a lancé une initiative, là aussi, de disclosure en matière financière pour intégrer la biodiversité dans ces critères, avec un rendez-vous qui se tiendra cet été. Et donc, ça, c’est le point clé. Voilà les trois piliers.

Pr. Klaus SCHWAB

Monsieur le Président, si on prend tous ces changements, est-ce que ça signifie aussi un nouveau mode de mondialisation ? Est-ce c’est aussi, comme on dit, un « new normal » pour la mondialisation ?

Le Président de la République

Alors complètement. Je vais vous dire, tout ce qu’on est en train de se dire converge pour moi vers trois éléments. Le premier, on doit bâtir un nouveau consensus. Le 11 novembre dernier, lors du Forum de Paris pour la paix, on a essayé de réunir des chefs d’Etat et de gouvernement, des ONG, des organisations internationales, des intellectuels pour essayer de réfléchir à ce qu’on a appelé très immodestement le consensus de Paris. C’est le consensus de partout, qu’importe, mais de se dire plusieurs décennies après le consensus de Washington, il nous faut bâtir un nouveau consensus dont les règles ne sont pas la réduction de l’État, la baisse du secteur public et la création de valeur uniquement pour justement l’actionnaire. Et donc on doit bâtir, et c’est exactement la discussion qu’on a depuis tout à l’heure ensemble, un nouveau consensus qui intègre tout cela et qu’il remet au cœur du modèle. Deuxième point, il faut trouver un nouveau mode de coopération entre les États, c’est-à-dire retrouver un multilatéralisme efficace. C’est ce à quoi je crois depuis des années. Il était bloqué, en effet, par une administration américaine qui n’y croyait pas. Je nourris beaucoup d’espoirs en ce début d’année avec un partenaire américain, je l’espère, qui va se réengager, et donc nous devons construire un multilatéralisme efficace qui permettra de répondre et de mettre en œuvre ce nouveau consensus. Et puis, troisième chose, on a besoin de bâtir ces nouvelles coalitions, celles-là même qu’on a essayé de construire dans le cadre des One Planet Summit. C’est-à-dire qu’au fond, pour répondre à ces défis, le « new normal » dont vous parlez est une interaction et je salue à cet égard le caractère très innovant de votre forum, depuis des décennies, vous avez pensé ça, c’est-à-dire la coopération, mais au concret entre les États, les ONG, les entreprises, les investisseurs. C’est-à-dire que ce « new normal » dont on parle, la mise en scène du consensus, ce n’est pas qu’un multilatéralisme intergouvernemental, ce sont des coalitions d’acteurs hétérogènes qui se donnent les mêmes objectifs pour avoir des résultats.

Pr. Klaus SCHWAB

Monsieur le Président, ça me donne justement une raison de vous demander : je sais votre intérêt pour toutes les nouvelles technologies, pour ce qu’on appelle la quatrième révolution industrielle, mais dans toute sa conception, disons, le numérique joue un très grand rôle.

Comment voyez-vous l’impact de la puissance de l’écosystème numérique sur tout ce que vous avez dit ?

Le Président de la République

Je pense qu’il y en a plusieurs. Le premier, c’est que nous sommes en effet en train de multiplier les révolutions, quand on parle de numérique. Il y a plusieurs révolutions en une. Nous sommes au début de plusieurs révolutions technologiques qui nous font complètement changer de dimension. On a la révolution de l’intelligence artificielle, qui va totalement changer la productivité et même aller au-delà du pensable dans énormément de verticaux, de l’industrie à la santé en passant à l’espace. À côté de la révolution de l’intelligence artificielle, il y en a une deuxième qui, pour moi, est totalement fondamentale, qui est celle du quantique, qui va là aussi, par la puissance de calcul et la capacité d’innovation, profondément changer notre industrie, en changeant l’industrie des capteurs et donc ce qu’on peut faire dans l’aéronautique, ce qu’on peut faire dans le civil, changer totalement la réalité du cyber, par exemple ; et notre puissance de calcul, ce qui veut dire aussi la capacité qu’on a à résoudre des problèmes. Je prends l’épidémie que nous sommes en train de vivre, l’intelligence artificielle et le quantique sont des instruments de gestion, de transformation de gestion de l’épidémie. C’est-à-dire que vous pourrez régler des problèmes qui aujourd’hui prennent des semaines, en un jour. Vous pourrez régler des problèmes de diagnostic, peut-être en quelques secondes, grâce au croisement de l’imagerie médicale et de l’intelligence artificielle. Et donc dans la grande famille de ce qu’on appelle le numérique, on a en fait une convergence entre des innovations, celles du numérique, qui est au fond, quand on appelle ça génériquement, des réseaux sociaux et d’une hyper connectivité avec celle de l’intelligence artificielle et des technologies quantiques.

Le mariage de tout ça fait que nous allons rentrer dans une ère d’accélération de l’innovation, de rupture très profonde d’innovation et donc de capacités à commoditiser certaines industries et créer de la valeur très vite. Par rapport à ce que j’ai dit, qu’est-ce que cela a comme impact ? Un, on va continuer

àinnover et à accélérer. C’est sûr. Deux, il y aura des impacts en termes d’ajustement sociaux et il nous faut les penser dès maintenant. C’est-à-dire que le sujet des inégalités sociales va être encore plus prégnant dans un monde comme celui que je viens d’évoquer parce que nous aurons des impacts, des ajustements qui seront réels et qui sont à penser dès maintenant. Trois, tout cela a des impacts en termes démocratiques qui sont massifs. Et donc si vous voulez, pour moi, ces innovations vont être des accélérateurs de nos problèmes sur le plan social et démocratique. L’expérience américaine des dernières semaines l’a montré sur le plan démocratique, si besoin était. Quatre, la bonne nouvelle c’est que je pense que sur la résilience de nos systèmes et la réponse à la crise climatique, on a sans doute sous-estimé l’apport de l’innovation et je pense aussi que toutes ces technologies vont nous permettre, beaucoup plus vite, de répondre aux défis climatiques.

Et donc si je regarde, que je prends deux pas de recul par rapport à tout ce qu’on est en train de se dire, je pense que nos économies vont devoir de plus en plus investir dans ces innovations et il faut y aller à fond. Je pense que si on s’y prend bien et qu’on coopère entre nous, ces innovations vont nous permettre de créer de la valeur, de répondre aux défis économiques. Elles vont nous permettre, je l’espère, je le crois possible, de répondre plus vite aux défis climatiques. Et c’est aussi pour ça que moi je crois à ce que j’appelle l’économie du mieux, la réponse climatique par l’innovation plutôt que par l’arrêt des activités. Mais elles vont nous poser des problèmes sur lesquels nous n’avons pas assez réfléchi en termes démocratiques, en termes de libertés publiques et d’augmentation des inégalités sociales dans nos différentes nations.

Pr Klaus SCHWAB

Monsieur le Président, c’était vraiment une vision intégrale de notre avenir. Mais notre avenir ne va arriver automatiquement, il faut le construire. Et je suis heureux, on a vu, à travers votre présentation, qu’il y a des gens et des leaders qui ont une perspective très claire comment devrait cet avenir – qu’est- ce que devrait être cet avenir qu’on veut construire pour le bien de tout le monde. Alors un grand merci, Monsieur le Président, et je suis désolé que la technologie, pendant un moment, avec la ligne entre Paris et Genève, nous a réservé certaines surprises. Mais je crois que c’était un grand événement en regardant l’avenir. Merci bien Monsieur le Président de la République.

Le Président de la République

Merci Professeur, merci cher Klaus et je remercie tout le monde. En effet, nous sommes parfois plongés dans le quotidien mais je pense que c’est aussi important – et merci de m’en avoir donné l’occasion – d’essayer de regarder ensemble le cap et d’échanger sur ces sujets. Et votre conclusion le dit très bien, je la partage et je m’arrêterai là dessus, n’oublions jamais que notre objectif est toujours en société de construire la vie bonne, avec les vertus qui vont avec et la volonté de respecter l’autre. Et je pense que c’est au service de cet objectif qu’on doit mettre chacune de nos actions. Donc merci beaucoup, tous mes vœux et j’espère à très bientôt physiquement.

Pr Klaus SCHWAB

A bientôt, au revoir Monsieur le Président.

Le Président de la République

Merci beaucoup, merci Klaus, merci Professeur.

26 JANVIER 2021 — SEUL LE PRONONCÉ FAIT FOI

Commentaire

À l’évidence, les deux sont entièrement sur la même longueur d’onde. Ils partagent les mêmes idées. Ils prônent les mêmes solutions. Culs et chemises, ils sont ! D’après eux, le virus covidien les a fait réfléchir. Le système capitaliste est injuste. Il faut le modifier, le transformer, l’améliorer… L’écologie devient subitement une de leur priorité, alors que ce sont leurs petits copains qui pendant des décennies, en prônant le libéralisme économique, ont le plus contribué à saloper notre planète. La préservation de la santé de l’homme devient tout aussi subitement la priorité absolue. Elle justifie les confinements et la dépression économique. Ce qu’ils oublient de dire est que cette dépression, ils l’ont voulue. Ce sont eux qui l’ont créée, pour une raison très simple : tout le système financier a failli s’effondrer en automne 2019 ; les banques ne voulaient plus se prêter entre elles. (Voir : Le bon virus au bon moment). Mais ce n’est pas tout, au passage ils en ont profité pour faire quelques profits, et saigner les pigeons (voir : Lettre ouverte à Maître Di Vizio, aux Professeurs Raoult et Perronne et au Docteur Fouché).

En cas de crise majeure, tout était planifié depuis de nombreuses années, comme le prouve la mise en place dès le printemps 2020 des éléments contenus sur le site du Forum Économique Mondial.

Ce qui est très significatif dans cette histoire, c’est le silence médiatique : aucun écho un tant soit peu élaboré de ces manigances et de ces bacchanales : ni à la télévision, ni à la radio, ni dans la presse… À votre avis pourquoi ?

Intervention du Ministre allemand de la Santé

[Source :  Maurizio Blondet]

Le ministre allemand de la Santé admet au forum en ligne de Davos qu’il n’arrêtera pas de propager la terreur du Coronavirus tant que l’ADN de la population entière ne sera pas modifié avec l’ARNm et le Great Reset ne sera pas terminé.

Vidéo en allemand [Nécessité de vérifier la traduction ci-dessus]

Voir aussi :


Tranquillement le ministre de la santé québécois : “On a hâte de commencer à vacciner pour éliminer nos personnes vulnérables”




« Celui qui ne fait pas la différence entre le bien et le mal n’est pas un homme »*. Mise à jour

Par Alain Nicolaï et Joseph Stroberg

[*] Proverbe touareg, Mali – Niger (Guide de la sagesse africaine, Liliane Prevost et Barnabé Laye, L’Harmattan, Paris /Toronto, 1999, page 180).


Les documents officiels français : Direction de l’information légale et administrative (Premier ministre)

https://www.dila.premier-ministre.gouv.fr/

[Extraits]

Vaccination contre le Covid-19 : quel calendrier ?

Publié le 18 janvier 2021 – Direction de l’information légale et administrative (Premier ministre)

Illustration 1
Crédits : © Rido – stock.adobe.com

Les publics concernés et le calendrier

Dans un premier temps :

Le déploiement de la vaccination se fait progressivement avec une priorité donnée depuis le 27 décembre 2020 et tout au long du mois de janvier 2021 aux publics les plus vulnérables au virus et les plus susceptibles de développer des formes graves de la maladie. Il s’agit :

  • des personnes âgées en établissements : établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad), unités de soins de longue durée (USLD), résidences autonomie, résidences services seniors ;
  • des personnels qui travaillent dans ces établissements lorsqu’ils sont à risque de développer une forme grave du Covid-19 ;
  • des professionnels des secteurs de la santé (y compris libéraux) et du médico-social, des pompiers et des aides à domicile âgés de 50 ans et plus et/ou présentant des comorbidités depuis le 4 janvier 2021 ;
  • des personnes handicapées hébergées dans des établissements spécialisés et leurs personnels âgés de 50 ans et plus et/ou présentant des comorbidités ;
  • des personnes âgées de 75 ans et plus vivant à domicile à partir du 18 janvier 2021. La prise de rendez-vous dans des centres de vaccination se fera par téléphone et via internet à partir du 15 janvier 2021 ;
  • des patients vulnérables à très haut risque à partir du 18 janvier 2021 qui devront avoir une prescription médicale de leur médecin traitant pour bénéficier de la vaccination sans critère d’âge.

Textes de référence

Vaccination contre le Covid-19 : comment prendre rendez-vous pour les plus de 75 ans ?

Publié le 15 janvier 2021 – Direction de l’information légale et administrative (Premier ministre)

Illustration 1
Crédits : © M.Dörr & M.Frommherz – stock.adobe.com

Gratuite, la vaccination des personnes âgées de plus de 75 ans vivant à leur domicile débute à partir de lundi 18 janvier 2021 dans des centres de vaccination. Par téléphone ou en ligne, comment prendre rendez-vous ? Service-Public.fr vous explique.

Cette campagne se déroule progressivement dans des centres de vaccination. Sur place, un questionnaire très simple visant à vérifier que la vaccination peut se dérouler normalement et dans de bonnes conditions sera à remplir. Il sera possible de voir un médecin, puisqu’il y aura toujours un médecin présent sur le centre de vaccination. Il s’agit d’une injection intramusculaire, dans l’épaule le plus souvent. À l’issue de l’injection, il faut rester environ quinze minutes sur place par mesure de sécurité avant de pouvoir rentrer à son domicile. Le vaccin vous protégera contre les formes graves du Covid-19 entre trois et six semaines après la première injection.

  À noter : Les personnes isolées sont invitées à se rapprocher de leur mairie pour trouver des solutions adaptées pour les transports.

Sur internet

Les personnes de plus de 75 ans, ou leurs proches, peuvent prendre les deux rendez-vous pour les deux injections sur Santé.fr dans le centre de leur choix.

Par téléphone

Vous pouvez prendre-rendez vous en appelant :

  • le numéro vert 0800 009 110 ouvert 7 jours sur 7 de 6h à 22h qui vous oriente directement vers les plateformes téléphoniques du centre de vaccination choisi ;
  • le centre de vaccination près de chez vous dont vous aurez trouvé les coordonnées téléphoniques sur le site Santé.fr qui propose une liste complète des centres ouverts dans chaque département.

  À noter : Votre mairie, votre pharmacien, votre médecin ou encore la presse locale peuvent également vous renseigner sur les centres de vaccination ouverts près de chez vous.

  Rappel : Le jour du rendez-vous, il faut se présenter avec sa carte d’identité et sa carte vitale (ou une attestation de droits).

Les modalités

La vaccination est gratuite. Les vaccins sont achetés par l’Agence nationale de santé publique qui assure leur mise à disposition à titre gratuit. En effet, un décret du 31 décembre 2020 prévoit pour tous la prise en charge intégrale des consultations pré-vaccinales et de vaccination, ainsi que des frais d’injection du vaccin. Les non assurés sociaux bénéficient d’une dispense d’avance de frais.

La vaccination n’est pas obligatoire. Elle repose sur une décision partagée entre le patient et son médecin. Ainsi, le consentement du patient doit être recueilli au préalable et tracé dans son dossier médical. Le consentement écrit n’est pas exigé pour se faire vacciner. Ce qui est exigé, c’est que la personne qui se fait vacciner ait reçu une information claire, loyale, appropriée et ne s’oppose pas à être vaccinée.

  À savoir : Vous avez des questions sur la stratégie de vaccination, sur les vaccins, sur leur approvisionnement et leur surveillance ? Rendez-vous sur la Foire aux questions du ministère des Solidarités et de la Santé .

Textes de référence

Et aussi

Pour en savoir plus


Combien de temps faut-il pour élaborer un vaccin?

Photo: Données: Potkins’s Vaccines et FDA

Dans le contexte actuel, le développement suit un paradigme complètement différent. D’abord, les phases d’essais cliniques s’enchaînent à une vitesse inédite. Ensuite, les compagnies pharmaceutiques consacrent tous leurs efforts pour trouver un vaccin contre la COVID-19, tandis qu’elles se penchent habituellement sur plusieurs maladies en parallèle. Des usines sont préparées pour la production industrielle des milliards de doses nécessaires, même si on ne sait pas encore quel type de vaccin va fonctionner. Du côté de la recherche universitaire, les cordons de la bourse des subventions se sont déliés et permettent aux scientifiques d’engager plus d’assistants et d’acheter du meilleur matériel. Pour sa part, Santé Canada a déjà indiqué qu’il s’efforçait d’accélérer les demandes d’essais cliniques pour les vaccins candidats contre la COVID-19. On peut également parier que les organismes régulateurs vont tout faire pour rapidement boucler l’homologation finale. En temps normal, cette étape peut parfois être très longue: il a fallu 11 ans pour que la FDA approuve le vaccin contre la varicelle, aux États-Unis.

Vaccin contre le coronavirus : sprinter un marathon

PAR ALEXIS RIOPEL ET ANTOINE BÉLAND

Le coup de départ a été donné le 10 janvier, quand des chercheurs chinois et australiens ont publié en ligne le génome du mystérieux virus surgissant à Wuhan. Le fil d’arrivée, c’est le début de la distribution à grande échelle d’un vaccin contre le SRAS-CoV-2. D’ici là, tous espèrent voir une équipe courir ce marathon à la vitesse d’un sprinteur. Le Devoir vous propose un aperçu visuel de cette course historique.

L’élaboration d’un vaccin s’échelonne habituellement sur 10 à 15 ans. Le vaccin développé le plus rapidement, celui contre Ebola, a exigé cinq ans d’efforts. Pour mettre un terme à la pandémie de COVID-19, un échéancier encore plus rapide, de l’ordre de 18 mois, est envisagé.

Voyons d’abord quelles sont les étapes du développement traditionnel d’un vaccin. Les durées indiquées le sont à titre indicatif seulement.

Recherche universitaire et études précliniques

D’abord, les scientifiques déterminent la séquence génétique du virus. Ils tentent de comprendre quels anticorps sont efficaces pour s’en prémunir. Ils conçoivent une ébauche de vaccin, qu’ils testent sur des animaux.

Études cliniques

Ensuite, les chercheurs passent aux essais cliniques sur des humains.

Phase I / On administre le vaccin candidat à quelques dizaines de volontaires en bonne santé afin de s’assurer qu’il n’est pas dangereux. On détermine la dose idéale, qui déclenche une bonne réaction immunitaire sans produire d’effets secondaires.

Phase II / On tente de confirmer la sécurité du vaccin en le donnant à quelques centaines de volontaires représentatifs de la population qu’on veut protéger. Les volontaires appartiennent à différents groupes d’âge et leur état de santé varie.

Phase III / On évalue finalement l’efficacité du vaccin pour protéger de la maladie infectieuse en l’administrant à des milliers de personnes. Cette phase se déroule dans le contexte « naturel » de la maladie.

Fabrication

En parallèle au développement, la compagnie doit préparer une usine pour le vaccin. Puisque ces installations coûtent des centaines de millions de dollars, les investisseurs attendent habituellement que les essais cliniques soient bien avancés avant d’accorder leur financement.

Homologation

Finalement, les organismes régulateurs, comme Santé Canada ou la FDA aux États-Unis, révisent les études avant d’homologuer le vaccin. Ils peuvent demander des travaux supplémentaires en cas de doutes. Le processus peut être long : il a fallu 11 ans pour que la FDA approuve le vaccin contre la varicelle.

Réaliste ?

Ainsi, la durée de 18 mois souvent évoquée par les gouvernements apparaît assez audacieuse.

« Quand on parle d’un à deux ans, il faut savoir que c’est extrêmement rapide pour le développement d’un vaccin », souligne le virologue Alain Lamarre, de l’Institut national de la recherche scientifique.

Durée variable

Plusieurs facteurs entrent en ligne de compte lorsqu’il s’agit de développer un vaccin : le financement, bien sûr, ainsi que l’évolution des connaissances scientifiques, mais aussi le type de maladie et ses répercussions à court et long terme sur la santé publique.

Certains virus sont toujours orphelins de vaccins, même des décennies après qu’ils aient été identifiés. L’absence d’un vaccin contre le VIH est un des exemples les plus utilisés pour illustrer les difficulté de la démarche.Recherche universitaire2 ansÉtudes précliniques2,5 ansÉtudes cliniques de phase I6 moisÉtudes cliniques de phase II2 ansÉtudes cliniques de phase III1 anFabrication6 ansHomologation1 an015 ans18 moisObjectif de la créationd’un vaccin contre la COVID-1915 ansVaricelle30 ansInfluenza30 ansVirus du papillome humain16 ansRotavirus16 ansVaccins pédiatriques combinés12 ansEbola5 ansVaccin contre la COVID-1918 mois

Comment accélérer la cadence?

Ce cheminement linéaire permet de résoudre les questions scientifiques, une par une, sans prendre de risques financiers inutiles. Car les coûts pour développer un nouveau vaccin sont immenses : une entreprise qui investit 100 millions par année en R et D peut s’attendre à obtenir une approbation tous les 6 à 8 ans.

« Pour la COVID-19, financer le développement n’est pas un problème », note cependant le philanthrope Bill Gates sur son blogue. Pour leur part, les scientifiques comptent sur d’abondantes études sur les deux autres coronavirus émergents du XXIe siècle (voir l’encadré plus bas). Ils peuvent accélérer la recherche préclinique grâce au financement abondant dont ils disposent présentement, explique le virologue Marc-André Langlois, de l’Université d’Ottawa. « On peut payer plus de salaires, acheter davantage d’équipement, automatiser des processus », dit-il.

Une fois en phase clinique, les chercheurs peuvent assez rapidement vérifier qu’un vaccin candidat est sécuritaire. Toutefois, il est plus difficile d’accélérer la phase visant à confirmer son efficacité. « On ne peut pas exposer quelqu’un volontairement à une maladie mortelle, ce n’est pas acceptable au point de vue éthique », explique M. Langlois.

Finalement, les compagnies pharmaceutiques espèrent gagner du temps en bout de parcours sur le plan de l’homologation. « On s’attend à ce que le processus d’accréditation par les agences réglementaires soit grandement accéléré », souligne Alain Lamarre.

Recherche d’un vaccin

En date du 22 mai, l’Organisation mondiale de la santé répertorie 124 vaccins candidats contre la COVID-19.

Phase clinique

Une poignée d’entre eux sont actuellement à l’étape des tests sur des humains. On compte parmi ceux-ci le vaccin à base d’ARN de l’entreprise américaine Moderna, considéré comme particulièrement prometteur, pour lequel des essais cliniques de phase II avec 600 participants doivent commencer sous peu.

Il y a aussi le vaccin de type « vecteur viral non répliquant » de la compagnie chinoise CanSino. Celle-ci est la première dans le monde à avoir commencé des essais cliniques de phase II. Le Conseil national de recherches du Canada a signé une entente afin de pouvoir fabriquer et tester ce vaccin en sol canadien.

Phase préclinique

Cependant, l’immense majorité des équipes en sont encore aux études précliniques. Si elles obtiennent un candidat vaccin prometteur, nombre d’entre elles devront s’associer avec de plus gros joueurs pour passer aux étapes suivantes.

En 2014, cinq compagnies pharmaceutiques (GlaxoSmithKline, Merck, Novartis, Pfizer, Sanofi) contrôlaient près de 90 % du marché des vaccins.

Types

Globalement, les équipes à pied d’œuvre misent sur des types de vaccins variés afin de réussir à élaborer un vaccin efficace. « C’est un peu comme du shotgun : on tire un peu partout, et avec un peu de chance, il devrait y avoir une technologie qui va mieux fonctionner que les autres », illustre le spécialiste en immunologie André Darveau, également vice-recteur de l’Université Laval.

Voyons les sept grandes classes de vaccins parmi lesquels on peut classer les candidats actuels.

Virus inactivé / Même morts, certains virus peuvent entraîner une réponse immunitaire protectrice. Pour produire ces vaccins, on inactive le pathogène avec de la chaleur, de la radiation ou des produits chimiques.

Virus atténué / En introduisant le virus dans un hôte étranger, comme un œuf de poule fécondé, il acquiert certaines mutations qui le rendent inoffensif pour l’humain, mais qui procurent tout de même la réponse immunitaire adéquate.

Particules pseudo-virales / Ces particules sont très semblables au virus ciblé, mais ne possèdent pas la capacité de se reproduire à l’intérieur du corps humain. Elles peuvent être synthétisées ou bien exister naturellement.

Sous-unités du virus / On injecte seulement une partie du virus chez la personne à protéger. Pour cela, il faut en extraire l’antigène, c’est-à-dire la protéine qui déclenche la production d’anticorps par le système immunitaire. C’est souvent la protéine au bout des aiguillons du coronavirus qui remplit ce rôle.

Vecteur viral non répliquant / Il est également possible d’intégrer l’antigène dans un autre agent. Pour cela, on modifie génétiquement un virus inactivé que l’on connaît bien, comme un adénovirus, afin que celui-ci développe l’antigène.

Vaccin à ADN / Plutôt que d’administrer une forme affaiblie du virus lui-même, on injecte chez le patient la séquence d’ADN de l’antigène. Le corps le produit alors lui-même, ce qui stimule ensuite la création d’anticorps protecteurs.

Vaccin à ARN / On injecte cette fois-ci une séquence d’ARN de l’antigène. Ce type de matériel génétique est déjà prêt à être transcrit par la cellule pour en faire une protéine.

Cette dernière technologie n’a jamais été approuvée pour un vaccin pour l’humain, mais elle suscite actuellement beaucoup d’espoir. Du fait de sa simplicité, il serait possible de faire un grand nombre de vaccins à ARN très rapidement.

Au Canada

Quatorze équipes engagées dans la course sont des universités canadiennes ou des entreprises qui ont leur siège social au pays.

On compte notamment parmi elles Medicago, basée à Québec, qui développe un vaccin composé de particules pseudo-virales fabriquées par des plantes. Après des résultats encourageants sur des souris, elle doit débuter des essais cliniques cet été.

Autres pays

Ailleurs dans le monde, d’autres équipes franchissent de nouvelles étapes chaque semaine. Aux États-Unis, Inovio et Pfizer ont récemment commencé à faire des tests chez des cobayes humains. Au Royaume-Uni, des chercheurs de l’Université d’Oxford sont également à l’étape des essais cliniques.Au Canada14 équipesAutres pays110 équipes

Bref, les coureurs sont lancés. S’il est impossible d’affirmer à coup sûr que les efforts pour élaborer un vaccin contre le SRAS-CoV-2 seront couronnés de succès, la plupart des experts se montrent optimistes.

Après l’atteinte du fil d’arrivée, bien du travail restera sur la planche avant que le virus soit entièrement contrôlé partout sur Terre. « On n’aura pas besoin de juste mille doses, ou un million de doses, mais de milliards de doses », rappelle André Darveau.

Pourquoi n’a-t-on pas développé de vaccin contre le SRAS ou le MERS?

Après l’émergence du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), en 2002, des scientifiques se sont attelées à élaborer un vaccin contre ce nouveau coronavirus. La plupart des tentatives visaient à stimuler la réponse immunitaire contre la protéine de surface du SRAS-CoV-1, qu’on retrouve à l’extrémité des aiguillons formant sa couronne microscopique.

Certains projets de vaccins contre le SRAS-CoV-1 se sont révélés assez prometteurs pour atteindre l’étape des essais cliniques de phase I chez l’humain. Toutefois, aucun n’a abouti — et aucun cas de SRAS n’a été rapporté depuis 2004.

Selon André Darveau, c’est surtout parce que l’urgence ne se faisait plus sentir que le développement d’un vaccin contre le SRAS-CoV-1 a échoué. « On regarde ça maintenant, et on se dit que si on avait poursuivi ces efforts-là, ça nous aurait servi à mieux comprendre comment ce type de virus se multiplie », observe-t-il.

Aucun vaccin n’existe non plus contre le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS), apparu en 2012. Testés sur des souris et des singes, des vaccins candidats ont déclenché la production d’anticorps spécifiques au virus, mais qui ne prévenaient pas l’infection. Plusieurs foyers d’éclosion se sont déclenchés au fil des années, mais sans que le virus prenne une ampleur inquiétante. Cumulativement, on recense un peu plus de 2500 cas et près de 900 décès.

« En l’absence d’un fardeau plus lourd sur les populations humaines, il semble improbable qu’un vaccin [contre le MERS] pour les humains soit viable économiquement un jour », écrivaient en 2016 deux experts dans l’International Journal of Infectious Diseases. Des efforts étaient toutefois considérés pour développer un vaccin pour les chameaux, qui constituent le réservoir principal du virus dans la péninsule arabique et en Afrique.

Textes par Alexis Riopel. Visualisations de données et développement par Antoine Béland. Design par Cédric Gagnon.


Principe de précaution

Définition du principe de précaution

Le principe de précaution repose sur le recours à la gestion publique des situations de risque potentiellement graves et/ou irréversibles pour la santé, notamment lorsqu’il existe des incertitudes importantes concernant l’impact sur la population.


Controverse au sujet des soi-disant « vaccins » contre la covid-19. Ces vaccins sont-ils suffisamment sûrs ?

(Note : au Québec “Covid-19” est féminin, en tant que maladie, alors qu’en France le terme est plutôt utilisé au masculin, ce qui introduit une confusion avec le virus SRAS-CoV-2 qui en serait la cause).

  1. On constate que plusieurs phases n’ont pas été respectées.
  2. Ce ne sont pas des vaccins. (voir Prétendus “vaccins” Covid-19 à ARNm — Dr David Martin : Ne croyez pas ce qu’on vous dit ! et Les thérapies géniques à ARN messager ne sont pas des « vaccins » et peuvent modifier le génome humain.)
  3. Déjà un nombre de décès important. (Les moteurs de recherche tendent à censurer tout article qui mentionne des décès suite à la technologie à ARNm contre la covid-19).

Enquête: la base de données européenne des rapports d’effets indésirables indique que le vaccin Pfizer pourrait avoir causé 438 décès à ce jour en Europe

La base de données Eudravigilance permet de faire des recherches sur les effets secondaires suite aux vaccinations pour les deux vaccins actuellement autorisés en Europe. Celui de Pfizer depuis le 21 décembre 2020 et celui de Moderna depuis le 6 janvier 2021. Nous allons nous intéresser plus particulièrement au vaccin de Pfizer qui a déjà été largement utilisé sur le continent.

 Avec un plus d’un mois de recul, on commence à avoir un aperçu des effets secondaires de ce vaccin. Au 23 janvier, 16 479 personnes ont déclaré des effets secondaires. Première chose, qui frappe lorsque l’on commence les recherches est que cela concerne principalement les 18-64 ans (+ de 80%). 1089 personnes entre 65-85 (6,6%) et 818 chez les plus de 85 ans (5%).  

Cela concerne aussi très majoritairement les femmes (76,1%).

L’Italie rapporte 35% des cas, le Royaume-Uni 17% et l’Espagne 10% (la France, connue pour sa faible remontée des effets indésirables médicamenteux de façon générle ne représente que 3% des cas).


Les effets indésirables les plus souvent rapportés concernent des problèmes généraux (température, douleur, malaise, etc..), le système nerveux, musculo-squelettique et gastro-intestinal.


On trouve de nombreux effets indésirables considérés comme sérieux. Cela représente selon les cas 1/3 (système nerveux), parfois la moitié (maladies cardiaques) et jusqu’au 2/3 des réactions (système immunitaire et infections).


Le système cardiovasculaire semble bien mis à mal avec 911 rapports (concernant une fois encore plutôt les personnes jeunes) et ayant provoqué pas moins de 63 décès dont 22 arrêts cardiaques.

173 décès dus à « troubles généraux » (la liste est longue et inclue la mort subite dans 34 cas)

Le pire c’est que 42 personnes sont mortes des suites de maladies pulmonaires du type dyspnée, insuffisance respiratoire aiguë, œdème ou embolie pulmonaire.


14 Covidés et 7 pneumonie: 34 infections en tout.


Eudravigilance n’a pas rendu les choses simples pour connaitre le bilan des morts suite à la vaccination. J’ai du retranscrire les chiffres sur Excel un par un dans chaque catégorie pour pouvoir avoir un bilan: 438 décès en un mois.
6786 cas sont considérés comme non résolus et 959 comme ayant des séquelles.

Aux Etats-Unis, le situation ne semble guère mieux.

Ce témoignage d’un infirmier américain confirme que ce vaccin tue. 
« James rapporte qu’en 2020, très peu de résidents de la maison de soins infirmiers où il travaille sont tombés malades du COVID, et aucun d’entre eux n’est décédé pendant toute l’année 2020.
Cependant, peu de temps après avoir administré les injections expérimentales d’ARNm de Pfizer, 14 sont décédés dans les deux semaines, et il rapporte que de nombreux autres sont sur le point de mourir.
Il précise très clairement qu’il s’agissait de patients qu’il connaissait et qu’il soignait (il est aussi un «pasteur laïc»), et qu’après avoir reçu une injection d’ARNm, les résidents qui avaient l’habitude de marcher seuls ne peuvent plus marcher. Les résidents qui avaient l’habitude d’avoir une conversation intelligente avec lui ne pouvaient plus parler.
Et maintenant, ils meurent. « Ils tombent comme des mouches. »
https://rumble.com/embed/vaoc61/?pub=4
Le système VAERS du CDC qui permet d’accéder librement à la base de données des effets indésirables indique que 181 personnes sont décédées dans les jours qui suivent la vaccination dont 44 le jour même et 40 le jour suivant (29 supplémentaires au bout de 2 jours). Donc 113 personnes sont décédés dans les 48H suivant la vaccination. A noter que les décès ne concernent pas que des personnes âgées. Ce rapport rapporte le cas d’un bébé mort né. Deux jours après la vaccination, le bébé bougeait moins et au troisième jour, il était en arrêt cardiaque.
Contrairement au site européen, il est possible de faire des recherches précises avec des informations sur chaque décès. On constate par exemple que certaines personnes sont mortes moins de 2H après l’injection:

Ou que d’autres développent une détresse respiratoire (entraînant la mort) dans les 24H comme dans la base de données européenne.

Le vaccin n’a pas l’air de réussir aux patients testés positifs au COVID. Cette personne en a fait les frais:

De tels chiffres ne plaident clairement pas en faveur d’une généralisation de la vaccination contre le COVID, en particulier pour les moins de 65 ans qui semblent plus touchés par les effets secondaires.
Une généralisation de la complémentation en vitamine C et vitamine D en prévention et l’utilisation d’ivermectine et d’artemisia (en curatif) seraient des mesures bien plus cohérentes pour faire reculer l’épidémie et surtout celle-ci ne risquent pas de nuire aux personnes en bonne santé contrairement à ce vaccin expérimental.

Publié par Fawkes News


Se pose maintenant la question fondamentale, comment un trisomique peut-il avoir un discernement suffisant pour juger de la pertinence de se faire vacciner ?

La réponse à cette question est évidente, c’est impossible, donc si on vaccine un trisomique, c’est obligatoirement une vaccination forcée. Si le trisomique décède, le premier ministre, les membres du gouvernement, peuvent êtres poursuivis pour acte volontaire.


La vaccination des trisomiques vient de débuter

La vaccination a commencé pour les personnes atteintes de trisomie 21, plus vulnérables face au Covid-19 (francetvinfo.fr)

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/les-personnes-atteintes-de-trisomie-21-plus-vulnerables-face-au-covid-19-la-vaccination-a-commence-pour-eux-aussi_4268359.html

https://youtu.be/FB3-RmgaBUc
Georgia Pouliquen

Les documents allemands, résumé d’Aktion T4

Programme eugéniste consistant à euthanasier les personnes souffrantes, physiquement handicapées ou mentalement déficientes, l’Aktion T4 a été officiellement lancé par Hitler en 1939, et bien qu’il ait été officiellement abandonné en 1941, l’extermination méthodique des handicapés s’est poursuivie dans le plus grand secret jusqu’à la défaite de l’Allemagne en 1945.

En octobre 1939, Adolf Hitler autorise son médecin personnel ainsi que le chef de la Chancellerie à euthanasier toutes les personnes considérées comme inaptes à vivre. Pour lui donner l’apparence d’une mesure de guerre, il antidate son ordonnance au 1er septembre 1939, jour marquant le début de la Seconde Guerre mondiale.


Remarque générale

Fermé à tous les débats contradictoires, prenant des décisions unilatérales, sans concertation avec des scientifiques indépendants, l’exécutif s’enferme dans la démagogie. Prenons n’importe lequel de ces nuisibles, traînons-le dans un tribunal, il se dégonflera comme une baudruche.
Cela ne vous rappelle rien ?


Conclusion

Mesdames et messieurs les avocats, les procureurs, et les juges, à vos marques. Nous ne laisserons pas souiller la France, le pays des Droits de l’homme, par des actes aussi ignobles.

Nous vous signalons au passage que toutes les mesures prises depuis le début de la crise du coronavirus sont illégales puisque Macron et son gouvernement s’appuient pour prendre les décisions sur un Conseil Scientifique dont plusieurs membres ont touché de l’argent de l’industrie pharmaceutique. Le fisc peut le prouver très facilement.


Annexe : Conflits d’intérêts

Les documents officiels français : Légifrance

LOI n° 2013-907 du 11 octobre 2013 relative à la transparence de la vie publique (1)

Chapitre Ier : La prévention des conflits d’intérêts et la transparence dans la vie publique (Articles 1 à 24)

Article 1

Modifié par LOI n°2016-1691 du 9 décembre 2016 – art. 29 (V)

Les membres du Gouvernement, les personnes titulaires d’un mandat électif local ainsi que celles chargées d’une mission de service public exercent leurs fonctions avec dignité, probité et intégrité et veillent à prévenir ou à faire cesser immédiatement tout conflit d’intérêts. Les membres des autorités administratives indépendantes et des autorités publiques indépendantes exercent également leurs fonctions avec impartialité.

Section 1 : Obligations d’abstention (Articles 2 à 3)

Article 2

Modifié par LOI n°2017-1339 du 15 septembre 2017 – art. 6


De plus, en raison de ce qui précède, nous (démocrates, républicains, ou affiliés ou non à des courants politiques divers) attendons que les médias dénoncent ce crime contre les trisomiques qui est un crime contre l’humanité. Tous les médias qui ne le feront pas immédiatement seront considéré comme des complices.

Alain Nicolaï et Joseph Stroberg




Les Français manipulés — Des arguments pour les avocats, des preuves pour les juges

Par Alain Nicolaï et Joseph Stroberg

Rappel :

L’Assemblée nationale face à ses responsabilités

[Article publié à l’origine sur le site de Michelle d’Astier de la Vigerie, puis repris sur de nombreux sites, dont http://www.profession-gendarme.com.]

L’Assemblée nationale est l’institution française qui forme, avec le Sénat, le Parlement de la Cinquième République. Son rôle est de débattre, de proposer, d’amender et de voter les lois, et de contrôler l’action du Gouvernement.

À la différence du Sénat, elle a le pouvoir de forcer la démission du gouvernement par le vote d’une motion de censure. Elle siège au palais Bourbon à Paris. (Wikipéda)

En octobre 2019 un virus inconnu apparait subitement à Wuhan, puis touche, quasiment l’ensemble de la planète dont la France en février 2020. Le gouvernement français prend des mesures en urgence pour limiter la prolifération de l’épidémie dans notre pays. Certaines de ces dispositions semblent temporaires.

L’Assemblée Nationale est fermée.

À la fin du confinement les parlementaires retournent au Palais Bourbon. Les citoyens qui ont élus ces députés pour les représenter pensent alors que ceux-ci vont reprendre normalement leur travail pour recadrer les mesures prises par le gouvernement dans l’urgence, et qui ne sont pas en phase avec la Constitution, comme la privation de libertés instaurés par le confinement. Mais ce n’est pas le cas. Aussi le gouvernement décide sans aucun débat de reconfiner le 31 octobre 2020 alors que le 11 octobre 2020, un des hauts responsables de l’OMS, le Dr David Nabarro, candidat présenté par le gouvernement britannique pour le poste de Directeur général de l’OMS en 2017, a fait l’annonce que le confinement entier d’une population est nuisible.

À voir. Nicole Delépine :

CONFINEMENT MEURTRIER: TOUT CE QUE L’ON NE VOUS A PAS DIT, ABERRATION HUMAINE, SANITAIRE, ÉCONOMIQUE

Et cet article :

Coronavirus : L’OMS déconseille aux dirigeants de recourir, de nouveau, au confinement

Tout aussi grave, l’affaire Raoult.

La France est le seul pays au monde à avoir interdit formellement l’hydroxychloroquine le 27 mai 2020 à la suite d’un article de la revue médicale The Lancet publié quelques jours avant. « L’hydroxychloroquine n’est plus autorisée contre le Covid-19. A la suite d’un avis défavorable du Haut Conseil de la santé publique, le gouvernement a abrogé les dispositions dérogatoires autorisant la prescription de l’hydroxychloroquine contre le Covid-19 à l’hôpital en France, hors essais cliniques. « Que ce soit en ville ou à l’hôpital, cette molécule ne doit pas être prescrite pour les patients atteints de Covid-19 », a réagi le ministère de la santé dans un communiqué. » Journal Le Monde du 27 mai 2020.

Suite aux protestations d’une partie de la communauté scientifique mondiale ayant démontré que l’article de The Lancet était une falsification grossière écrite par des « scientifiques » à la solde de laboratoires privées, l’hydroxychloroquine a été de nouveau autorisé ultérieurement en France mais sans publicité. Cependant les Français peuvent regretter amèrement une telle prévention contre ce traitement comme le démontre par exemple ce.

Constat, après la réouverture de l’Assemblée nationale il n’y pas eu de débats sérieux sur ce sujet en ce lieu, conséquence l’hydroxychloroquine a de nouveau été interdite en France par le gouvernement le 23 octobre 2020 sur un avis de l’Agence du médicament.

Nous apprenons que le Pr Didier Raoult va porter plainte contre l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament pour « mise en danger de la vie d’autrui » par l’intermédiaire du très efficace Maitre Fabrice Di Vizio, avocat des médecins libéraux, dont la plainte pour « abstention volontaire » est à l’origine des perquisitions du jeudi 15 octobre 2020.

« Les gendarmes de l’OCLAESP (Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique) et les policiers de l’OCLCIFF (Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales) ont coordonné jeudi 15 octobre, sur huit lieux simultanés et sur dix sites de perquisitions, la première opération de police de l’enquête orchestrée par la commission d’instruction de la CJR (Cour de Justice de la République).

Plus de 100 policiers, gendarmes et enquêteurs ont été mobilisés pour cette grande action de justice et de vérité contre mensonges et impunité. Accompagnés de spécialistes en informatique, ils ont aspiré toutes les données des téléphones portables sur les logiciels cryptés, les informations sur ordinateurs et les boîtes mails des ministres Agnès Buzyn, Olivier Véran, Edouard Philippe, et l’ancienne porte parole Sibeth Ndiaye. Mais aussi du directeur général de la Santé, Jérôme Salomon puis la directrice générale de Santé publique France, Geneviève Chêne. » Source Lucien Cavelier.

Lucien Cavelier est un des trois soignants qui est à l’origine de la création de ce collectif de médecins appelé C19 qui avait annoncé le jeudi 19 mars son intention de porter plainte contre l’ancienne ministre de la santé, A. Buzyn, et le premier ministre, E. Philippe, devant la Cour de Justice de la République, estimant que ces derniers « avaient conscience du péril et disposaient des moyens d’action, qu’ils ont toutefois choisi de ne pas exercer ». Leur initiative est appuyée par une pétition en ligne écrite le 21 mars qui avait déjà recueilli 500 000 signatures en trois semaines.

Conclusion :

« À la fin, qu’est-ce qu’on va suggérer ? Que tout le monde reste enfermé toute sa vie parce qu’il y a des virus dehors ? Mais vous êtes tous fous. Vous êtes devenus tous cinglés. » (Didier Raoult)

Nos députés portent une énorme responsabilité sur l’évolution de la crise de 2020. Ils semblent comme anesthésiés, et même fascinés, par les forces obscures qui les empêchent de voir clair, à l’exception de quelques-uns, qui, à l’image de Martine Wonner essaye de les faire réagir.

https://youtu.be/JeliScgfETY
Intervention brillante de Martine Wonner à l’Assemblée Nationale.

“Ainsi commence le fascisme. Il ne dit jamais son nom, il rampe, il flotte, quand il montre le bout de son nez, on dit : C’est lui ? Vous croyez ? Il ne faut rien exagérer ! Et puis un jour on le prend dans la gueule et il est trop tard pour l’expulser.” 

Françoise Giroud.

En résumé, pour bien mettre les points sur les i :

  • Toutes les mesures prises depuis le début du premier confinement sont anticonstitutionnelles.
  • Presque toutes les principales institutions françaises sont en léthargie : Assemblée Nationale, Sénat, Conseil Constitutionnel, Conseil d’État, Autorité judiciaire…
  • Dans ce pays la justice est d’une lenteur extrême. Un exemple : la plainte du collectif de médecins appelé C19 qui a été déposée en mars 2020 ; les plaignants sont convoqués chez le juge en janvier 2021.
  • La France est le seul pays au monde à avoir interdit l’hydroxychloroquine.
  • Le samedi 10 octobre 2020, le Dr David Nabarro, arrivé en 2018 en deuxième position lors de l’élection à la présidence de l’OMS derrière le sulfureux Tedros Adhanom Ghebreyesus (candidat de Bill Gates et de la finance), a déconseillé le confinement entier d’une population. Que s’est-il passé fin octobre 2020 en France ?
    Précisions complémentaires :

Mais il y a mieux. Le Saviez-vous ?

Le conseil mondial de l’OMS dicte très officiellement la conduite sanitaire des pays signataires dont la France

http://www.francesoir.fr/le-conseil-mondial-de-loms-dicte-tres-officiellement-la-conduite-sanitaire-des-pays-signataires-dont

  • Marc van Ranst (actuellement membre du Comité scientifique coronavirus qui donne des avis aux autorités de la santé en Belgique) a fait une conférence en janvier 2019 devant des membres du Royal Institute of International Affairs — plus souvent appelé Chatham House qui est l’un des think tanks (groupe de réflexion) les plus influents au monde — pour expliquer comment il a géré en 2009 l’épidémie de la « grippe mexicaine » en Belgique. Vous allez voir, c’est très instructif !
https://youtu.be/3OAQ4QTv_3M
Les bons conseils de Marc van Ranst en cas de pandémie
  • l’Ordre des Médecins est dans le collimateur de la Cours des Comptes, notamment pour conflit d’intéret :

Un rapport accablant pour l’Ordre des médecins (infodujour.fr)

  • Le Quotidien du Médecin a publié une très bonne nouvelle le 10 décembre 2020 :
https://blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr/2020/12/10/le-traitement-du-covi-19-existe-2-ivermectine-efficace-a-100/
https://blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr/2020/
12/10/le-traitement-du-covi-19-existe-2-ivermectine-efficace-a-100/

.

  • La Bosnie-Herzégovine vient de donner une leçon à la France, le soit disant pays des Droits de l’homme.

Cour constitutionnelle de Bosnie-Herzégovine : la mesure de restriction de mouvement et de port de masques est une violation des droits humains fondamentaux — Affaire AP-3683/20

La mortalité en France selon les données officielles de l’Insee (Institut national de la statistique et des études économiques). Analyse de Décoder l’éco.

Cela fait maintenant 1 an que l’on entend parler quotidiennement du coronavirus. Cela fait bientôt 9 mois que toute la vie politique et économique vit au rythme des décisions prises uniquement pour répondre à la peur de ce virus. Depuis le début de la crise, de nombreuses voix dénoncent l’excessivité des mesures prises au regard des épidémies que l’on vit chaque année. Toutes ces voix sont désormais cataloguées dans le camp bien pratique des complotistes. Autrefois, l’inquisition faisait taire tous ceux qui osaient contredire le clergé. Aujourd’hui la société entière organise la censure de ceux qui sortent du discours bien établi. Dans cette vidéo, on va voir que depuis mars dernier, on ne constate absolument aucune surmortalité pour les moins de 50 ans. Je vous montrerai où aller chercher toutes les données des décès en France et comment faire les calculs pour que vous puissiez le faire vous-même si vous voulez et vérifier que je n’invente absolument rien. J’exploite uniquement des données de l’état civil français. On verra ensuite les effets du coronavirus sur la mortalité des plus âgés et je ferai la comparaison avec la grippe pour que vous puissiez faire vos conclusions. La mienne est simple : au regard des chiffres officiels des décès, il n’y a absolument aucune raison objective de mettre en place un confinement généralisé ou même d’imposer à toute la population n’importe quelle règle. On peut en revanche comprendre l’intérêt d’avertir les Français des risques et en particulier les plus âgés pour qu’ils puissent faire leur choix et prendre les précautions qu’ils souhaitent. Mais même dans ce cas, il faut se poser la question de pourquoi ce n’était pas fait avant, puisque quand on regarde les chiffres, on se rend compte que des épidémies mortelles, on en a tous les ans, tous les hivers.

Décoder l’éco

Et le meilleur pour la fin : la trahison de Macron envers son peuple

Discours d’ouverture du sommet « Finance en commun » prononcé par Emmanuel Macron le 12 novembre 2020 :


En Droit, les preuves ne peuvent en aucun cas être considérés comme de la diffamation.

« Respecter la vérité, quelles qu’en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison du droit que le public a de connaître la vérité. »

Extrait de la Charte de Munich sur les droits et les devoirs du journaliste

Nouveau Monde (Alain Nicolaï et Joseph Stroberg) 




Le Choc en Retour II ou Macron en Place sur son siège… éjectable.

[Auteur : Alain Nicolaï]

[Avec la participation de Nouveau Monde]

[Voir : Le Choc en Retour sur Nice-Provence Info]


Alain Nicolaï est l’auteur de Le Livre des Sept Sceaux (Le Retour à l’Évidence). Il a publié dans nos colonnes Décomposition 322 (3 + 2 + 2 = 7) (en date du 16 juillet 2020) et le 24 août 2020 Le Choc en Retour ou la décomposition de la mondialisation.


En métaphysique, un chat est un chat.

« Qui connaît les noms connaît les choses. »

Cratyle, Platon, citation de la page 8 du Livre des Sept Sceaux — Le Retour à l’Évidence.

« Rien n’est plus dangereux que la confusion des concepts. En particulier de ceux qui visent à désigner ce à quoi on s’oppose. En général, une telle confusion est un préalable au désordre des esprits et à la violence des actes. »

Jacques Attali, Le Soir du 6 avril 2018.

Première séquence : la métaphysique

Remarque : Vous avez peur de ne pas comprendre, rassurez-vous, vous allez vite comprendre

Métaphysique, étymologie (XIIIe siècle) : mot savant emprunté au latin scolastique metaphysica, tiré des premiers mots du traité de métaphysique d’Aristote, méta ta phusika « après les choses de la nature », qui fait suite à son traité sur la nature. Le sens de « réflexion philosophique qui va au-delà de la nature et qui cherche à rendre compte par une théorie générale des principes fondamentaux de l’être » apparait dès l’origine
[source : Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Baumgartner et Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 495].

Métaphysique : analyse systématique de la réalité afin de connaître sa nature profonde. Sa méthode est basée sur l’algèbre de Boole :

0 – 1 = Fermé – Ouvert = Non – Oui = Faux – Vrai.

L’algèbre de Boole est la base de la logique combinatoire et de la logique séquentielle. Elle est la base ses systèmes informatisés.

Métaphysique : son point de départ et d’arrivée est la connaissance absolue par la mise sous les yeux des lecteurs des choses significatives, des faits significatifs…

La seule métaphysique valable est donc celle qui apporte des preuves irréfutables qui peuvent être vérifiées par tous les sujets de ce monde. Elle met sous les yeux du public ce que tout un chacun doit savoir. Elle explique la réalité et dévoile ce qui est caché, mais elle prend en compte la réflexion de Ludwig Wittgenstein :

« Ce dont on ne peut parler, il faut le taire. »

(Tractacus logico-philosophicus,
Ludwig Wittgenstein, Tel Gallimard, Paris, 1961, page 107).

Deuxième séquence : la démocratie

Remarque : N’oubliez jamais que le citoyen détient un énorme pouvoir qu’il faut savoir utiliser à bon escient.

Démocratie, étymologie (XIVe siècle), du grec démokratia « gouvernement exercé par le peuple »
[Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Emmanuèle Baumgartner et Philippe Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 230].

Troisième séquence : la république

Remarque : Au point de vue de la société, avec la paix, la république est un de nos biens le plus précieux.

République, étymologie (XVIe siècle), emprunté au latin res publica « la chose publique, l’État, l’administration de l’État », est d’abord employée au sens de « État, communauté, société organisée » puis se spécialise à partir du XVII s au sens de « État dont la forme de gouvernement est fondée sur la souveraineté des citoyens.
[Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Emmanuèle Baumgartner et Philippe Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 682].

Il en découle impérativement que le Président d’une véritable République doit être au service de ses concitoyens.

La devise de la République française « Liberté –Égalité – Fraternité » a pour origine la Révolution française. Elle donne le modèle de ce qu’est une véritable république dans l’absolu. Cette devise a été reprise sous diverses formes à travers le monde.

Il est bien évident que pour l’humanité son approche ne peut-être que relative.

À ce jour, toutes les républiques se rapprochent plus ou moins de cet idéal, mais malheureusement nombreuses sont les républiques bananières, celles-ci ne sont que des leurres pour les gogos.

Quatrième séquence : Macron en Place sur son siège… éjectable.

Les trois premières séquences de ce texte ont été publiées le 24 août 2020, et depuis cette date, Macron est intervenu à tout bout de champs pour bien montrer à tous, que c’est bien lui le « chef de guerre » contre la pandémie. Selon lui, Il ne fait que suivre les préconisations de son Conseil Scientifique. L’ennui, c’est qu’il est prouvé que nombre des membres de ce Conseil ont des liens financiers avec l’industrie pharmaceutique (cf. Top 13 du classement des revenus récents versés par l’industrie pharmaceutique et Crise sanitaire : le retour des accusations de conflit d’intérêts). C’est pour cette raison que le Pr Didier Raoult, qui en faisait parti, n’a pas voulu y participer.

Le premier confinement fut décidé dans l’urgence sans que les décisions prises alors, furent approuvées par la suite par le Parlement (http://www.profession-gendarme.com/lassemblee-nationale-face-a-ses-responsabilites).

Cet été, il fallait suivre toutes les consignes du gouvernement, car d’après lui une énorme deuxième vague, pire que la première, allait arriver à l’automne. Puis il fut recommandé de se faire tester au moyen des tests PCR. Ces tests ont ainsi fait grimper artificiellement la courbe des positifs covid, faisant ainsi monter un peu plus la peur dans la population. Artificiellement, car ce test inventé en 2014 ne détecte pas le virus du covid : il signale simplement que les sujets testés ont dans leur organisme des bactéries ou des virus. (FranceSoir : La grande supercherie des tests PCR, 90 % des cas positifs ne sont pas malades ni contagieux) Ce sujet a été l’objet d’un article publié tardivement par Paris Match à la fin novembre (Covid-19 : les tests PCR contestés)

Dans son discours du 28 octobre qui annonçait le deuxième confinement, Macron disait :

« Le Conseil Scientifique a évalué les conséquences d’une telle option (Ne rien faire). Elles sont implacables : à très court terme cela signifie le tri entre les patients à l’hôpital. Et d’ici quelques mois c’est au moins 400 000 morts supplémentaires à déplorer. »

Puis, le 14 novembre (voir Loi 14 novembre 2020 prolongation état urgence sanitaire 16 février 2021 | Vie publique.fr), l’Assemblée Nationale fut bâillonnée, et dans la foulée l’état d’urgence fut prolongé jusqu’au 1 avril 2021. Le pouvoir trouva alors le moyen de fonder un Comité de Défense restreint, composé en parti de militaires, pour soit disant mieux gérer la situation.

Devant la baisse incontestable des contaminations il fut décidé en haut lieu de diminuer un peu la pression. À la date où est rédigé cet article, le 1er décembre 2020, rien ne justifie plus le confinement et la privation de nos libertés. Il faut, ici, insister lourdement sur ce fait : la liberté est le premier fondement de notre République.  (Covid-19 : maladie mortelle, mais à quel point ?)

Cependant, il est fort à parier que maintenant Macron et ses sbires attendent tranquillement le début de l’année prochaine pour nous donner le coup de grâce, quand fatalement arrivera la grippe saisonnière qui bloque chaque année, au moins depuis 2015, notre système hospitalier (https://www.youtube.com/watch?v=oywOkAWwKWE). Ceci est dû en grande partie aux 70000 suppressions de lits qui ont été faite depuis Sarkozy (« Expliquez-nous »: qui a détruit le système de santé en France?)

Mais si notre jeune président est très prolixe devant les téléspectateurs et les citoyens pour prendre la posture du bon samaritain, en se faisant passer pour celui qui privilégie votre santé, il se garde bien de vous dire en face ce qui se trame en coulisses.

Attention, asseyez-vous, vous risquez de vous trouver mal !

Avez-vous entendu parler du Discours d’ouverture du sommet « Finance en commun (FICS) » que Macron a prononcé le 12 novembre 2020 ? Ce discours est à mettre en relation avec « The Great Reset » annoncé par le Forum Economique Mondial (Le Forum de Davos) et son président et fondateur Klaus Schwab (voir La Grande Réinitialisation, Couverture du Times, Le projet diabolique du Forum économique mondial et D’ici 2030, nous n’aurons rien et nous en serons heureux)

https://twitter.com/robinmonotti/status/1325552744623640576

Voici l’intégralité du discours de Macron. Que ceux qui ont des oreilles pour entendre, entendent. Ils comprendront très facilement que Macron est en train de nous vendre à la finance.

Télécharger DISCOURS D’OUVERTURE DU SOMMET « FINANCE EN COMMUN (FICS) »PDF 314 Ko

Mesdames et messieurs,

Je suis très heureux de participer aujourd’hui, même par ce truchement d’une visioconférence, à la première réunion jamais organisée réunissant toutes les banques publiques de développement du monde et tous leurs partenaires.

Parce que nous avons tous compris qu’il nous faut changer en profondeur et reconstruire, c’est une initiative forte et utile. J’en félicite les organisateurs et tous les partenaires du Sommet Finance en commun. En particulier la Fédération mondiale des institutions financières de développement (WFDFI). Les banques multilatérales partenaires. Et l’International Development Finance Club (IDFC) que préside l’Agence Française de Développement, à l’origine de ce Sommet.

Nous venons, avec plusieurs autres chefs d’Etat, avec le Secrétaire Général des Nations Unies, la Directrice Générale du Fonds Monétaire Internationale, la Présidente de la Commission européenne, de débattre et de dégager les principes d’une action internationale renouvelée et renforcée pour dépasser cette crise, et changer ce qui doit l’être dans nos façons de produire, de consommer et de coopérer, pour que les liens sociaux et l’environnement soient préservés, protégés, reconstruits.

Dans la continuité de cet échange sur les principes qui doivent refonder le multilatéralisme, nous avons tenu à participer au Sommet Finance en Commun, pour passer à l’action en mobilisant le plus fortement possible nos banques publiques.

Ce sommet est une preuve. Une preuve que notre transformation est possible. En vous réunissant aujourd’hui, en faisant émerger une coalition inédite par son ampleur, sa diversité et son rôle de plateforme entre tous les acteurs financiers, vous venez nous rappeler qu’il est possible de construire des réponses communes, cohérentes, concertées, aux grands défis globaux. Votre présence à tous l’atteste : un consensus profond existe sur l’urgence de combattre le dérèglement climatique et sur la nécessité de construire un monde plus juste, équitable et durable. Mais aussi sur la nécessaire complémentarité de ces agendas. Nous ne pouvons plus parler désormais de trajectoires de développement sans prendre en compte les impacts du changement climatique. Nous ne pouvons plus agir pour le climat sans prendre en compte les inégalités sociales.  

Il y a quelques jours, les Etats unis sont sortis officiellement de l’accord de Paris sur le climat. Le résultat des élections ouvre la voie à un retour au premier jour. Nous l’avons souhaité, dès les premières heures vous le savez, nous nous sommes battus pour cela, et c’est la preuve qu’il fallait tenir bon face à tous les vents mauvais. Je me souviens des One Planet Summit, du G7 de Biarritz, du sommet Action Climat de New York en septembre 2019, et de tant d’autres réunions internationales organisées depuis trois ans pour sauver notre capacité d’action collective. Nous y sommes parvenus.

Il y a quelques semaines la Chine a confirmé sa disposition à avancer conformément aux engagements pris. L’Union européenne prendra dans les jours et semaines à venir des décisions structurantes pour elle-même. Le 12 décembre, jour du cinquième anniversaire de l’accord de Paris, sera le temps de la clarification. Des engagements tenus et à venir.

Soyons collectivement au rendez-vous. Maintenant. Plus que jamais. Make our planet great again est une possibilité. Pas seulement dans les mots. Dans la réalité.

Ici, il ne s’agit plus de rechercher un accord international – nous l’avons trouvé il y a cinq ans déjà avec l’accord de Paris sur le climat, celui de New York sur les Objectifs de Développement Durable et à Addis Abeba sur le financement du développement. Non, il s’agit de passer à l’acte, de passer à l’échelle et d’entrainer avec nous tous les acteurs de bonne volonté.

Je suis donc heureux de voir qu’aujourd’hui, à ce moment très précis de notre vie internationale, vous venez vers nous avec la volonté de « financer en commun » nos politiques et notre transformation. Avec la capacité d’agir à tous les niveaux, multilatéral, international, régional, national et local, puisqu’il existe des banques publiques de développement dans chacun des pays du monde. Avec la volonté de répondre en même temps, dans chacun des projets que vous financez, aux enjeux environnementaux et sociaux. Et avec l’ambition de démultiplier les 2 300 milliards de dollars que vous investissez déjà chaque année, en agissant comme des plateformes dans chacun des pays, comme le G20 l’a appelé de ses vœux.

Ce que vous êtes en train de créer, c’est une nouvelle infrastructure financière publique globale, qui n’avait jamais été conçue à cette échelle et dont nous avons tellement besoin, aux côtés des budgets des gouvernements et des outils des banques centrales. Une nouvelle infrastructure capable de relancer l’investissement public, de façon contra-cyclique pendant les crises, et d’accélérer la mobilisation de la finance privée au service de l’Accord de Paris et des ODD. Une architecture capable de mobiliser l’épargne partout où elle se trouve dans le monde et de l’orienter plus efficacement là où sont les opportunités d’investissement les plus prometteuses, au Sud, en particulier. Une architecture capable de stimuler les investissements de développement durable.

Je vous invite à faire entendre votre voix plus fortement, distinctement dans les débats internationaux. Une voix concrète, constructive, entrant en dialogue avec celles, tout aussi essentielles, des collectivités locales, des financiers privés, des entreprises, de la société civile, des philanthropes.

J’y suis particulièrement sensible car les banques publiques de développement ont joué un rôle majeur dans l’histoire économique de la France. Et elles sont aujourd’hui aux avant-postes face à la crise de la COVID19 et pour la transformation que j’ai engagée depuis plus de trois ans.

C’est en France qu’est née en 1816 la plus ancienne banque publique de développement du monde, devenue le groupe Caisse des Dépôts et Consignations. Et dans la crise que nous traversons, ce groupe s’est immédiatement mis au service de la relance et consacre une part importante de ses fonds propres, à hauteur de 26 Mds € pour que la reprise économique soit la plus rapide, la plus responsable, la plus durable possible, dans de nombreux domaines comme le logement ou le soutien aux entreprises et à l’économie, le renforcement de la cohésion sociale et bien sûr de la transition écologique et énergétique. Avec la Banque des Territoires et Bpifrance, ce sont plus de 40 Mds d’euros consacrés à la lutte contre le changement climatique d’ici à 2024, en changeant d’échelle sur de nombreux sujets qui permettront de réduire nos émissions de CO2. Il n’y a donc aucune fatalité, et ce groupe aide un écosystème d’innovation en matière de développement durable pour qu’il se structure, et pour avancer aussi en matière de prêts et de fonds propres.

C’est au service de la France et de l’Afrique qu’est née également, à Londres en 1941 fondée par le Général de Gaulle pour être la Caisse de la France libre, la plus ancienne banque publique internationale du monde : le groupe Agence Française de Développement. Au service du climat, de la biodiversité et des ODD, en Afrique, dans le monde émergent et dans nos outremers, ce groupe œuvre pour un monde en commun, et atteint 14 Md€ de financement annuel en 2019. L’AFD ira plus loin dans l’appui aux politiques publiques de nos partenaires avec l’entrée d’Expertise France dans le groupe AFD. Je remercie aussi l’AFD d’aider à faire de Paris une capitale des solutions pour le développement durable, avec toutes les institutions internationales qui y résident, et avec notre Place financière, à la pointe du combat pour la finance verte et durable.

Je veux enfin souligner le rôle important des banques publiques de développement dans la nouvelle étape de la construction de l’Union Européenne. Je sais que la BEI, la BERD, la Banque de développement du Conseil de l’Europe et les banques publiques de différents Etats d’Europe ont participé très activement à vos travaux. Elles sont engagées avec force pour soutenir le Green New Deal européen et dans la coopération internationale, en particulier avec l’Afrique. Avec nos partenaires européens, nous allons transformer, renforcer la BEI pour en faire une véritable « Banque européenne du climat », renforcer la force de frappe des banques européennes de développement en structurant un système d’action plus lisible, plus articulé, plus coordonné.  

Vous l’avez compris, nos banques publiques proposent aujourd’hui, de contribuer à engager une nouvelle étape du développement de nos sociétés. Faite de respect, de coopération internationale, d’engagement de chacun de nos Etats, le local, le national, le régional, du productif au social. Nos banques nous proposent au fond de relier, de réconcilier, comme jamais, les échelles d’espace, de temps, et la cohérence d’une action pour aider au développement durable. En insistant sur notre devoir de solidarité et le souci des plus pauvres, dans le monde comme dans chacune de nos sociétés.

Alors je souhaite vraiment longue vie au mouvement « finance en commun », que vous lancez tous aujourd’hui. J’accueille très positivement la force de vos engagements collectifs et ferai en sorte que vos travaux soient reconnus et encouragés au plan international, à l’occasion des grands sommets de 2021 sur la biodiversité, le climat, le financement des économies africaines, l’égalité femme-homme et sur la sécurité alimentaire. Je souhaite en tout cas que vos travaux puissent nous éclairer au G7, au G20, et puissent surtout changer concrètement la vie de toutes celles et ceux à qui elles se destinent. Changer la vie de chacun, permettre de la rendre meilleure, c’est notre objectif à tous.

Je vous remercie.

12 NOVEMBRE 2020 – SEUL LE PRONONCÉ FAIT FOI
DISCOURS D’OUVERTURE DU SOMMET « FINANCE EN COMMUN (FICS) »

Avec la mise en lumière de ce discours révélateur, il est bien évident que notre jeune président, de prince charmant, se transforme instantanément en Machiavel perfide. 

Nous ne pouvons que constater que nous avons à notre tête un authentique entrepreneur de démolition. 

Quand vous le verrez en face, pensez à sa duplicité.

 

Ici commence la traque des fascistes

 

Alain Nicolaï

avec la participation de Nouveau Monde

Par delà les lignes politiques partisanes, nous disons, nous les démocrates, nous les républicains, que cette crise est l’occasion unique de réformer entièrement nos sociétés, car elle met en Lumière la séparation franche entre la subjectivité et l’objectivité, entre les personnes qui ont l’esprit scientifique et celles qui ne l’ont pas (dont la plupart des hommes politiques). Elle révèle les failles de notre système prétendument démocratique. Elle montre à tous la voracité de certains prédateurs…

 




L’Assemblée nationale face à ses responsabilités

[Source : Michelle d’Astier de la Vigerie]

[Auteur :] Alain Nicolai

L’Assemblée nationale est l’institution française qui forme, avec le Sénat, le Parlement de la Cinquième République. Son rôle est de débattre, de proposer, d’amender et de voter les lois, et de contrôler l’action du Gouvernement.

À la différence du Sénat, elle a le pouvoir de forcer la démission du gouvernement par le vote d’une motion de censure. Elle siège au palais Bourbon à Paris. (Wikipéda)

En octobre 2019 un virus inconnu apparait subitement à Wuhan, puis touche, quasiment l’ensemble de la planète dont la France en février 2020. Le gouvernement français prend des mesures en urgence pour limiter la prolifération de l’épidémie dans notre pays. Certaines de ces dispositions semblent temporaires.

L’Assemblée Nationale est fermée.

À la fin du confinement les parlementaires retournent au Palais Bourbon. Les citoyens qui ont élus ces députés pour les représenter pensent alors que ceux-ci vont reprendre normalement leur travail pour recadrer les mesures prises par le gouvernement dans l’urgence, et qui ne sont pas en phase avec la Constitution, comme la privation de libertés instaurés par le confinement. Mais ce n’est pas le cas. Aussi le gouvernement décide sans aucun débat de reconfiner le 31 octobre 2020 alors que le 11 octobre 2020, un des hauts responsables de l’OMS, le Dr David Nabarro, candidat présenté par le gouvernement britannique pour le poste de Directeur général de l’OMS en 2017, a fait l’annonce que le confinement entier d’une population est nuisible.

à écouter. Nicole Delépine :

CONFINEMENT MEURTRIER: TOUT CE QUE L’ON NE VOUS A PAS DIT, ABERRATION HUMAINE, SANITAIRE, ÉCONOMIQUE

et cet article:

Tout aussi grave, l’affaire Raoult.

La France est le seul pays au monde à avoir interdit formellement l’hydroxychloroquine le 27 mai 2020 à la suite d’un article de la revue médicale The Lancet publié quelques jours avant. « L’hydroxychloroquine n’est plus autorisée contre le Covid-19. A la suite d’un avis défavorable du Haut Conseil de la santé publique, le gouvernement a abrogé les dispositions dérogatoires autorisant la prescription de l’hydroxychloroquine contre le Covid-19 à l’hôpital en France, hors essais cliniques. « Que ce soit en ville ou à l’hôpital, cette molécule ne doit pas être prescrite pour les patients atteints de Covid-19 », a réagi le ministère de la santé dans un communiqué. » Journal Le Monde du 27 mai 2020.

Suite aux protestations d’une partie de la communauté scientifique mondiale ayant démontré que l’article de The Lancet était une falsification grossière écrite par des « scientifiques » à la solde de laboratoires privées, l’hydroxychloroquine a été de nouveau autorisé ultérieurement en France mais sans publicité. Cependant les français peuvent regretter amèrement une telle prévention contre ce traitement comme le démontre par exemple ce.

Constat, après la réouverture de l’Assemblée nationale il n’y pas eu de débats sérieux sur ce sujet en ce lieu, conséquence l’hydroxychloroquine a de nouveau été interdite en France par le gouvernement le 23 octobre 2020 sur un avis de l’Agence du médicament.

Nous apprenons que le Pr Didier Raoult va porter plainte contre l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament pour « mise en danger de la vie d’autrui » par l’intermédiaire du très efficace Maitre Fabrice Di Vizio, avocat des médecins libéraux, dont la plainte pour « abstention volontaire » est à l’origine des perquisitions du jeudi 15 octobre 2020.

« Les gendarmes de l’OCLAESP (Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique) et les policiers de l’OCLCIFF (Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales) ont coordonné jeudi 15 octobre, sur huit lieux simultanés et sur dix sites de perquisitions, la première opération de police de l’enquête orchestrée par la commission d’instruction de la CJR (Cour de Justice de la République).

Plus de 100 policiers, gendarmes et enquêteurs ont été mobilisés pour cette grande action de justice et de vérité contre mensonges et impunité. Accompagnés de spécialistes en informatique, ils ont aspiré toutes les données des téléphones portables sur les logiciels cryptés, les informations sur ordinateurs et les boîtes mails des ministres Agnès Buzyn, Olivier Véran, Edouard Philippe, et l’ancienne porte parole Sibeth Ndiaye. Mais aussi du directeur général de la Santé, Jérôme Salomon puis la directrice générale de Santé publique France, Geneviève Chêne. » Source Lucien Cavelier.

Lucien Cavelier est un des trois soignants qui est à l’origine de la création de ce collectif de médecins appelé C19 qui avait annoncé le jeudi 19 mars son intention de porter plainte contre l’ancienne ministre de la santé, A. Buzyn, et le premier ministre, E. Philippe, devant la Cour de Justice de la République, estimant que ces derniers « avaient conscience du péril et disposaient des moyens d’action, qu’ils ont toutefois choisi de ne pas exercer ». Leur initiative est appuyée par une pétition en ligne écrite le 21 mars qui avait déjà recueilli 500 000 signatures en trois semaines.

Conclusion :

« À la fin, qu’est-ce qu’on va suggérer ? Que tout le monde reste enfermé toute sa vie parce qu’il y a des virus dehors ? Mais vous êtes tous fous. Vous êtes devenus tous cinglés. » (Didier Raoult)

Nos députés portent une énorme responsabilité sur l’évolution de la crise de 2020. Ils semblent comme anesthésiés, et même fascinés, par les forces obscures qui les empêchent de voir clair, à l’exception de quelques-uns, qui, à l’image de Martine Wonner essaye de les faire réagir.

Intervention brillante de Martine Wonner à l’Assemblée Nationale. 

“Ainsi commence le fascisme. Il ne dit jamais son nom, il rampe, il flotte, quand il montre le bout de son nez, on dit : C’est lui ? Vous croyez ? Il ne faut rien exagérer ! Et puis un jour on le prend dans la gueule et il est trop tard pour l’expulser.” Françoise Giroud.




La mondialisation… en marche — 9 alertes rouges

[Source et auteur :] Alain Nicolaï
[Cf : L’Assemblée nationale face à ses responsabilités]

[Avec la participation de Nouveau Monde]

Neuf alertes rouges pour vous faire bien comprendre que leur « Monde d’après » sera bien pire que le monde d’hier.

Alerte rouge n° 1 : La haute finance.

Préambule :

À l’origine, la monnaie était créée et gérée par les États, au fil du temps des intérêts privés ont réussi, à force de manigances et de coups tordus, à déposséder les États de la création monétaire. Par exemple, la FED, Federal Reserve System [Système de Réserve Fédérale], la Réserve fédérale est la banque centrale des États-Unis, est un organisme privé.

« Il y a tant de présidents (américains) qui ont lancé des avertissements à répétition contre le pouvoir de l’argent ! Tant de sessions au Congrès et d’affaires juridiques qui ont incontestablement démontré le caractère privé de la Réserve Fédérale ! »

Hongbing Song, La guerre des monnaies, Le Retour aux Sources, Paris, 2013, page 123.

Ce système propulsé par le FMI, c’est étendu pratiquement à l’ensemble de la planète, actuellement de très rares États sont encore maîtres de leurs monnaies comme la Corée du Nord et Cuba.

« Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’une nation et je n’aurai pas à me soucier de ceux qui font les lois. »

Mayer Amschel Rothschild (1743–1812)

« Je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées entières dressées. »

Thomas Jefferson, président des États-Unis de 1801 à 1809.

« Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement, qui contrôlent la situation, puisque “la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit”. […] L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain. »

Napoléon Bonaparte 

« Je suis un homme des plus malheureux. J’ai inconsciemment ruiné mon pays. Une grande nation industrielle est contrôlée par son système de crédit. Notre système de crédit est concentré dans le privé. La croissance de notre nation, en conséquence, ainsi que toutes nos activités sont entre les mains de quelques hommes. Nous en sommes venus à être un des gouvernements les plus mal dirigés du monde civilisé, un des plus contrôlés et dominés, non pas par la conviction et le vote de la majorité, mais par l’opinion et la force d’un petit groupe d’hommes dominants. »

Woodrow Wilson, président des États-Unis de 1913 à 1921.

Alerte rouge n° 2 : Le capital et le capitalisme

« Au demeurant, la survie de l’entreprise n’est pas un objectif de l’économie de marché : celle-ci cherche en effet à assurer la maximisation de la rentabilité du capital, ce qui passe par la réallocation (sic) permanente dans les secteurs les plus rentables, fut-ce au prix de la destruction des entreprises qui, à un moment donné, l’utilisent. Leur survie n’est donc pas de l’intérêt du capitalisme et elles ne survivent qu’aussi longtemps qu’elles permettent à ceux qui y investissent de faire le maximum de plus-values et de profits : et leur loyauté ne résiste pas à une chute de l’espérance de gains. L’entreprise est ainsi, pour l’actionnaire, comme une sorte de prostituée dont le mépris qu’elle inspire à son client augmente avec le plaisir qu’elle lui procure. »

Jacques AttaliSurvivre aux crises Fayard, Paris, 2009, page 207.

Qu’en conclure ?

1) À la lecture de ce texte, on comprend facilement que le sort des travailleurs, et donc de leurs familles, est le cadet de leurs soucis. Plus surprenants, l’entreprise et donc les entrepreneurs sont aussi jetés sans état d’âme avec l’eau du bain !

2) On comprend aussi facilement que ces gens-là n’ont aucun respect pour le travail. Ils n’ont de considération que pour la rente et les profits.

3) La dernière phrase est d’un cynisme absolu, elle révèle abruptement la mentalité égoïste de certains capitalistes. Par respect pour l’espèce humaine, on ose cependant croire que cet état d’esprit est exceptionnel !

« Le moteur du capitalisme financier apparaît plus clairement que jamais : la cupidité. »

« Les marchés, étant globaux sans que l’état de droit le soit, prennent peu à peu le pas sur l’état de droit de chaque nation et sur la démocratie supposée le fonder. »

« Nul ne peut évidemment croire que le capitalisme financier se moralisera tout seul. À l’heure actuelle, il est prêt à tout, ou presque, pour que les contribuables aient assez peur de leur propre avenir pour accepter sans trop rechigner de financer ses erreurs. Mais, sitôt qu’il le pourra, il recouvrera sa superbe et recommencera à se développer dans son intérêt propre, en poussant les autres à s’endetter pour son seul bénéfice. »

« Depuis que le capitalisme a pris le pouvoir, la crise semble même être son état naturel. »

Jacques AttaliLa crise, et après ? Fayard, Paris, 2008.

« Les pouvoirs n’aiment terroriser les peuples que lorsqu’ils disposent aussi d’un moyen de les rassurer. »

Jacques Attali, Au-delà de nulle part. LGF — Livre de Poche, Paris, 1999.

Alerte rouge n° 3 : Les médias et le pouvoir.

4 agences de presse influencent toute la population mondiale. www.réseauinternational.net

« Les agences de presse sont rarement le point de mire du public. Pourtant, elles sont parmi les catégories de médias les plus influentes et en même temps parmi les moins connues. Ce sont des institutions clés avec une importance substantielle pour chaque système de médias. Elles sont le centre nerveux invisible qui relie toutes les parties de ce système. »

(Wolfang Vyslozil, ancien gérant d’APA)

C’est l’un des aspects les plus importants de notre système médiatique, et pourtant presque inconnu du public ; la plus grande partie des nouvelles internationales dans tous les médias principaux provient de quatre agences de presse seulement : New York, Londres, Paris et Berlin. La position de monopole de ces agences a plusieurs conséquences : elles déterminent le choix des reportages, elles décident de quoi on parle et de quoi on ne parle pas, et il est évident que les reportages sont très uniformes et ils sont souvent simplement copiés. (www.réseauinternational.net)

Rappel :

« Les riches achètent les médias pour donner de l’information bien choisie aux pauvres » ce qui dit autrement veut dire qu’on nous cache beaucoup de choses.

Bourdieu

Encore une manipulation de Macron : faire payer les Français pour la dette de la presse, Les médias officiels vous enfument, Macron veut nous faire payer l’addition. (Résistance verte)

Dans son édito du Trimestriel d’informations Tous contribuables de septembre — novembre 2020, son directeur Eudes Beaufreton résume parfaitement la situation actuelle :

« Car avec la crise du covid, l’État a réussi ce tour de force extraordinaire (avec l’aide des médias dominants) de nous faire croire que sans son intervention à tout bout de champ, nous allions tous mourir. »

Le Viol des foules par la propagande politique, Serge Tchakhotine, Tel Gallimard, Paris, Présentation par l’éditeur. Quatrième de couverture.

Censuré en 1939 par le ministère français des Affaires étrangères, détruit en 1940 par les Allemands, ce livre a été finalement réédité au début des années 1950 dans sa version actuelle augmentée et actualisée. C’est un traité classique de psychologie sociale qui cherche à démonter comme à comprendre les mécanismes auxquels obéissent les foules, les masses et, plus généralement, la formation de la volonté politique et l’action politique. Quatre impulsions affectives primaires sont mises en œuvre par la manipulation propagandiste et idéologique : l’agressivité, l’intérêt matériel immédiat, l’attirance sexuelle au sens large, la recherche de la sécurité et de la norme. Cette psychologie sociale discute, bien sûr, Freud, mais aussi Jung, Tarde et Pavlov. C’est bien évidemment sur le terrain historique de l’affrontement entre propagande nazie et résistance social-démocrate que l’auteur se situe dans un premier temps pour analyser les raisons du fulgurant succès de Hitler et celles de l’échec de la démocratie. Mais il étend ses investigations au-delà de ces événements, et traite aussi de la propagande soviétique, de l’affrontement idéologique de la guerre froide, du pacifisme, bref des formes générales de la propagande, de sa réussite ou de son échec, ainsi que des moyens d’y résister, ce qui conduit l’auteur, savant biologiste, à parler ici en sociologue et, surtout, en pédagogue.

Alerte rouge n° 4 : La politique politicienne.

« La politique ne consiste pas à faire taire les problèmes, mais à faire taire ceux qui les posent. » « Quand vous êtes embêtés, embrouillez tout. »

Henri Queuille, membre du parti radical-socialiste, plusieurs fois ministre sous la Troisième République française.

Un bel exemple de politicards qui a fait des émules… En premier et essentiellement, ce genre de chenilles républicaines ne fondent leurs causes que sur leurs intérêts personnels. Ils cherchent le pouvoir, non pas pour aider honnêtement leurs semblables, mais pour les dominer et en tirer, seul, ou avec d’autres, des avantages et/ou des profits.

« La majorité des hommes politiques, à en croire les éléments dont nous disposons, ne s’intéressent pas à la vérité, mais au pouvoir et au maintien de ce pouvoir. Pour maintenir ce pouvoir, il est essentiel que les gens demeurent dans l’ignorance, qu’ils vivent dans l’ignorance de la vérité, jusqu’à la vérité de leur propre vie. Ce qui nous entoure est donc un vaste tissu de mensonges, dont nous nous nourrissons. »

Harold Pinter, prix Nobel de littérature en 2005.

« Des tireurs de ficelles aux sociétés plus au moins secrètes, des organisations de parti aux comités, tous ont une action sournoise d’accaparement des institutions et d’emprise sur les fonctionnaires ; ils choisissent les candidats, font les élections, domestiquent et corrompent les élus, pour aboutir à ce que le monde de l’argent et le monde de la politique tendent, de plus en plus, à ne faire qu’un. »

André Tardieu, Ancien Président du Conseil, 1936.

La Théatrocratie de Platon

La mise en scène du pouvoir politique est la façon dont ses détenteurs donnent à voir la nature de ce pouvoir aux yeux de ceux qu’ils gouvernent, de leurs pairs ou leurs rivaux.

Il semble qu’assez vite le principe de l’affichage symbolique des différences se transforme en un exercice psychologique du pouvoir, et l’autorité des hommes et femmes qui détiennent le pouvoir politique va être non seulement affichée, mais également dramatisée et mise en scène au travers d’une symbolique stéréotypée ou non.

En fonction des sociétés, de la conjoncture historique, ces mises en scène ont été destinées à impressionner, rassurer, mystifier, terrifier, ou simplement berner les spectateurs.

La mise en scène peut donc avoir une fonction heuristique, illustrant les différentes responsabilités du pouvoir aux yeux des sujets, promouvoir l’éthos de la personne publique ou au contraire jouer un rôle de désinformation analogue à celui de la propagande en insistant sur le pathos. Certaines mises en scène peuvent même être classées dans l’arsenal de propagande du pouvoir.

Ce souci de jouer sur l’apparence, à l’aide de techniques proches de celles du théâtre et du spectacle en général, existe dans de nombreux domaines du pouvoir, et dans toutes les formes de pouvoir politique. (Préambule de l’article de Wikipédia sur la Théocratie)

Alerte rouge n° 5 : Le Nouvel Ordre Mondial.

Nous avons vu dans un précédent article, que la société secrète des Skull & Bones, issue de l’Université de Yale, « dont les membres les plus actifs de l’organisation viennent d’un noyau d’environ 20 à 30 familles, attachées à la défense de leur héritage et de leur lignée. » (Skull and Bones, l’élite de l’Empire) n’hésite pas à signer leurs interventions dans la crise du covid-19.

Par ailleurs, il faut savoir que des réunions soi-disant informelles, avec des participants triés sur le volet, se tiennent régulièrement depuis des années, comme celles du groupe Bildeberg, de la Trilatérale, ou du Forum de Davos… sans que la grande presse s’en occupe particulièrement. Le groupe Bilderberg, Conférence de Bilderberg ou Club Bilderberg, créé en 1954 est un rassemblement annuel d’environ cent trente personnes, composé en majorité de personnalités de la diplomatie, des affaires, de la politique et des médias. Les fondateurs et promoteurs étaient le prince Bernhard des Pays-Bas (qui était le président de la réunion jusqu’en 1976) et le conseiller politique polonais Józef Retinger. La Trilatérale (ou Commission trilatérale) est une organisation privée créée en 1973 à l’initiative des principaux dirigeants du groupe Bilderberg et du Council on Foreign Relations, parmi lesquels Henry Kissinger, Zbigniew Brzezinsk et David Rockefeller. Le Forum de Davos ou Forum Économique Mondial est plus connu… Suite à la crise du covid-19, ce dernier, et sans aucun doute les précédents, veulent nous imposer des décisions prises dans notre dos… comme le montre clairement le site du Forum Économique Mondial (Davos) qui propose unilatéralement leurs soi-disant solutions pour leur « Monde d’après », en annonçant un « Great Reset », une « grande réinitialisation », c’est-à-dire un nouveau système mondial basé sur leurs seules décisions prisent en dehors du système démocratique.

En fait, la crise du covid-19, et la crise économique qui en découle, ne leur sert que de prétexte pour camoufler la faillite du système monétaire actuel. Elle leur permettra de justifier la création à plus ou moins long terme d’un gouvernement mondial et l’édification d’un nouveau système monétaire basé sur une monnaie (dématérialisé ?) entièrement sous leur contrôle. En résumé, les citoyens verront les pouvoirs s’éloigner encore plus d’eux, ils n’auront plus aucune prise sur les décisions les concernant, ils deviendront les jouets de forces obscures… et pour finir, pour le mieux, ils seront plumés.

Valérie Bugault le dit clairement :

« J’ajoute que la fin du dollar en tant que monnaie internationale est la condition sine qua non pour qu’advienne une monnaie mondiale viable, du moins selon les critères de fonctionnement économiques et monétaires imposés par les banquiers internationaux. Or, la fin du dollar comme monnaie mondiale suppose la fin de l’hégémonie de l’empire américain. Dès lors, il devient facile de comprendre que certains membres décisionnaires de cet empire se sont violemment opposés, et s’opposent encore violemment, à ce projet qui aboutira à une disparition de leur situation dominante. Cette partie des dirigeants américains qui se rebellent peut être qualifiée de patriote, il s’agit des gens qui étaient ouvertement impliqués dans la domination du monde par les Américains eux-mêmes. À l’opposé, ces derniers ont pour pires ennemis internes les globalistes apatrides, dont la tête se situe à la City of London, et qui œuvrent en sous-main pour l’avènement d’un gouvernement mondial, lequel suppose la disparition de l’empire US. »

Extrait de l’article Géopolitique du coronavirus I – entretien avec Valérie Bugault 
Stratégika. 15 avril 2020.

De plus, en consultant le site du Forum Économique Mondial (Forum de Davos) vous pourrez constater qu’après avoir pendant des décennies pollué la planète, ils veulent maintenant nous faire croire qu’ils se sont transformés en écologistes vertueux, ils prennent vraiment les gens pour des imbéciles…

Un exemple flagrant est le décret passé en douce début juillet 2020 par le gouvernement Macron sur les milieux aquatiques. Il fera sans doute comprendre définitivement aux écolos et aux amoureux de la nature que ce gouvernement se moque d’eux. Un décret scélérat autorise la destruction des moulins, canaux, étangs et plans d’eau sur simple formalité, sans étude d’impact ni enquête publique ! (hydrauxois)

Alerte rouge n° 6 : L’OMS, Bill Gates et le mauvais usage du pouvoir et de l’argent.

« Pour mettre en place un gouvernement mondial, il est nécessaire de retirer des esprits leur individualisme, leur loyauté aux traditions familiales, leur patriotisme national, et leurs dogmes religieux. »

Dr George Brock Chisholm, premier Directeur général de l’OMS, de 1948 à 1953.

OMS — Fonds privés… (L’OMS dans les griffes des lobbyistes ?). Le problème majeur de l’OMS est qu’elle est depuis plusieurs années financée en grande partie par des entreprises (notamment des laboratoires pharmaceutiques) et des donateurs privés (dont la fondation Bill et Mélinda Gates, son plus grand « donateur », qui prône la vaccination à outrance tous azimuts (BILL GATES : L’INCROYABLE ARNAQUE DERRIÈRE SA FONDATION)

C’est pour cela, sans aucun doute, que Tedros Adhanom Ghebreyesus, qui n’a aucun diplôme en médecine, a été nommé Directeur général de l’Organisation Mondiale de la Santé en 2017 malgré les très lourdes casseroles qu’ils traînent derrière lui. (Les crimes de Tedros Adhanom, directeur général de l’OMS)

« C’est une expérience éternelle que tout homme qui a du pouvoir est porté à en abuser. »

Montesquieu — Du pouvoir.

Alerte rouge n° 7 : La crise protéiforme du Covid-19 en France et dans le monde, symptôme d’un monde en perdition.

1) Depuis plusieurs siècles, on sait que la méthode la plus efficace pour stopper une épidémie est la quarantaine. Quarantaine (XIIs) dérivé de quarante d’abord au sens de « espace de quarante jours », au XVIIs, âge de quarante ans » et « « isolement de quarante jours » (pour éviter la contagion). Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Baumgartner et Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 655.

2) De nombreux pays dans le monde ont utilisé ce processus avec un franc succès. Ils ont testé les malades et les ont immédiatement isolés de la population, cassant ainsi la chaîne de propagation du virus.

3) Le point sur les différents tests (Journal des femmes).

4) Les tests PCR n’isolent pas et ne détectent pas le covid-19 comme tel, ils montrent simplement que les testés ont toute une série de virus et de bactéries dans leur corps, ceci n’ont peut-être aucun rapport avec le covid-19. Cependant, quand l’individu est déclaré positif (après un délai de plusieurs jours), il est déclaré systématiquement positif au covid-19. (Il y a des directives pour surestimer considérablement le nombre de décès dans tous les pays)
Article FranceSoir : La grande supercherie des tests PCR, 90 % des cas positifs ne sont pas malades ni contagieux.
[Voir aussi : Le directeur scientifique de Pfizer déclare que la « deuxième vague » a été truquée lors de tests covid faussement positifs, « la pandémie est terminée ».]

5) Des tests nettement plus précis et rapides (30 min) existent, ils furent utilisés depuis le début de la crise par plusieurs pays, au début en Asie, Japon, Corée du Sud, Hong-kong… puis en Europe, Luxembourg, Allemagne, Autriche… ils permirent de détecter rapidement les positifs et de les isoler pour éviter la contagion. (ASIE – ÉPIDÉMIE: Sortir du confinement par les tests sérologiques d’immunité au Covid 19)

6) Un Conseil Scientifique dont plusieurs membres ont des liens avec des intérêts privés, des entreprises pharmaceutiques. Cette collusion a été dénoncée par le Pr Raoul lors de son audition par le Parlement, le 24 juin 2020. Didier Raoult explique, par ce constat, alors qu’il en est membre, son refus d’y siéger. Malgré cette dénonciation faite il y a plusieurs mois déjà aux yeux de tous, ce Conseil Scientifique continue de fonctionner en l’état comme si de rien n’était, en donnant son avis au gouvernement qui le suit.

7) Vous voulez voir quelle est la nature des liens avec des intérêts privés ? Il est bien évident que ceux qui profitent de cette manne ne peuvent pas avoir de jugements objectifs. Ils ne peuvent pas être impartiaux. (Top 13 du classement des revenus récents versés par l’industrie pharmaceutique et Crise sanitaire : le retour des accusations de conflit d’intérêt)

8) Le gouvernement français, s’appuyant sur les recommandations du conseil scientifique, décide le confinement de l’ensemble de la population. Avant le confinement le port du masque est déconseillé, après le confinement il est imposé !!!

9) En nombre de décès, les pays ayant confiné, comparés avec ceux qui ont testé avec des tests fiables et rapides et n’ont pas confiné l’ensemble de la population (CONFINEMENT MEURTRIER: TOUT CE QUE L’ON NE VOUS A PAS DIT, ABERRATION HUMAINE, SANITAIRE, ÉCONOMIQUE)

10) En France, les effets pervers du confinement. Conclusion de l’article Évaluation de la virulence du SRAS-CoV-2 en France… à partir de la mortalité toutes causes confondues de 1946 à 2020 — Denis G. Rancourt, Ontario Civil Liberties Association, Marine Baudin et Jérémie Mercier, Mercier Production.

“La politique nationale soudainement appliquée de quarantaine forcée et le stress psychologique qu’elle a généré chez les personnes âgées fragiles ont certainement contribué de manière importante à la diminution de l’efficacité de la réponse du système immunitaire à une maladie respiratoire virale (Comas-Herrera, Zalakaín, et al., 2020) et c’est aujourd’hui l’explication la plus probable de la majeure partie du pic de mortalité massif et étroit qui s’est produit en mars-avril 2020 en France. Le même mécanisme fonctionnerait dans n’importe quel cadre (établissement, foyer de groupe, maison, hôpital) où les personnes vulnérables sur le plan de la santé sont isolées et sensibles au stress psychologique.” (Comment le stress rend malade).

11) La France est le seul pays au monde à avoir interdit l’hydroxychloroquine le 27 mai 2020 à la suite d’un article de la revue médicale The Lancet publié quelques jours avant. “L’hydroxychloroquine n’est plus autorisée contre le Covid-19. À la suite d’un avis défavorable du Haut Conseil de la santé publique, le gouvernement a abrogé les dispositions dérogatoires autorisant la prescription de l’hydroxychloroquine contre le Covid-19 à l’hôpital en France, hors essais cliniques. « Que ce soit en ville ou à l’hôpital, cette molécule ne doit pas être prescrite pour les patients atteints de Covid-19 », a réagi le Ministère de la Santé dans un communiqué.” Journal Le Monde du 27 mai 2020. Suite aux protestations d’une partie de la communauté scientifique mondiale ayant démontré que l’article de The Lancet était une falsification grossière écrite par des « scientifiques » à la solde de laboratoires privés, l’hydroxychloroquine a été de nouveau autorisée ultérieurement en France, mais sans publicité. Cependant, les Français peuvent regretter amèrement une telle prévention contre ce traitement. (Tout comme l’Allemagne , le petit Luxembourg a été sauvé par l’hydroxychloroquine)

12) Tous les médecins savent qu’en cas d’épidémie le terrain est primordial. Un sujet ayant de faibles défenses immunitaires aura nettement plus de prédispositions à attraper un mauvais virus. Cela tombe sous le sens, en cas d’épidémie, il est indispensable pour la population de renforcer ses défenses immunitaires. Pour cela il faut prendre des compléments alimentaires, des vitamines par exemple, des probiotiques, pratiquer une ou des activités physiques modérées, bien dormir et… se déstresser. Pourtant en France lors de cette épidémie, et encore de nos jours, une chose ahurissante c’est produite, le gouvernement nous a bombardé incessamment de messages officiels du Ministère des Solidarités et de la Santé nous recommandant, la distanciation, le port du masque (avec retard à l’allumage)… mais jamais, au grand jamais, nous n’avons reçu de sa part, avec autant d’acharnement, le message pourtant fondamental, et même vital, que nous devons impérativement renforcer nos défenses immunitaires !!!

La mise à jour de cette omission plus que suspecte est d’une portée considérable, à l’évidence, ce gouvernement privilégie la contrainte abrupte, l’infantilisation, la peur…, au détriment du bon sens.

13) Cet aspect essentiel de la prévention n’ayant pas manifestement été pris suffisamment en compte par les autorités sanitaires françaises et les responsables politiques, on peut se demander si en droit juridique ils ne peuvent pas être attaqués pour « Abstention volontaire ». L’article 223-6 du Code pénal (article 63-1 de l’ancien Code pénal) condamne l’abstention volontaire de porter assistance à une personne ou des personnes en périls.

14) Rappel : Dans l’article précédent Le Choc en Retour nous avons présenté le livre du Pr Perronne Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? Ce qui dit autrement veut dire : ils ont commis toutes les erreurs possibles. (https://www.alternativesante.fr/coronavirus/y-a-t-il-une-erreur-qu-ils-n-ont-pas-commise)

15) Antoine Hubert : La gestion de la crise du covid est délirante, par Chantale de Senger. L’administrateur délégué d’Aevis Victoria, Antoine Hubert, déplore la gestion actuelle de la crise du Covid-19. (https://www.bilan.ch/economie/antoine-hubert-la-gestion-de-la-crise-du-covid-est-delirante ou “Il faut arrêter d’écouter les médias français. La France est probablement le pays d’Europe qui a le plus mal géré cette crise” selon A. Hubert)

16) Le seuil épidémique a été modifié en juillet 2020 par les autorités sanitaires françaises sans que la population en soit avertie. (FranceSoir) Une preuve irréfutable d’une manipulation à grande échelle.

17) En termes d’importance et de décès, l’épidémie du covid-19 n’arrive qu’en dixième position des épidémies depuis 1945. Alors pourquoi un tel battage ? [NdNM : En fait, il ne semble y avoir eu que la Grippe asiatique
et la Grippe de Hong Kong à atteindre un niveau comparable ou supérieur à la mortalité attribuée à la covid-19, si l’on fait abstraction des maladies endémiques ou épidémiques comme le sida, la tuberculose, le paludisme, etc.. Voir Mortalité dans le monde]

https://www.youtube.com/watch?v=baRauK8yV04

18) On a la méchante impression que tout est fait pour bidouiller les chiffres. (Chronique Covid N°29 – « Santé Publique France a-t-elle manipulé les chiffres d’incidence pour faire croire à une aggravation de la pandémie dans plusieurs gros départements ? » et le point 6 dans Message d’alerte international de professionnels de santé aux gouvernements et aux citoyens du monde)

https://youtu.be/JeliScgfETY
Excellente intervention de Martine Wonner à l’Assemblée Nationale

19) À ce stade, au niveau des rapports de l’État et des citoyens, on se demande où est passé le vrai débat démocratique. Peut-on encore avoir encore dans ce pays, et dans d’autres, un vrai débat contradictoire, où l’avis de ceux qui n’ont pas le pouvoir est pris en compte, afin de comprendre ce qu’il en est réellement dans la réalité ? Ne sommes-nous pas tombés directement dans un système qui impose de force sa vision des choses, sans s’occuper de l’objectivité ?

20) Laurent Toubiana, Chercheur épidémiologiste à l’INSERM et directeur de l’Institut de recherche pour la valorisation des données de santé (IRSAN), étudie l’évolution de la Covid-19 en France depuis début mars. Son analyse est sans appel : l’épidémie est terminée ! Il l’affirme par un article publié le 15 septembre 2020 (lien). Nous sommes curieux de voir combien de temps mettra le gouvernement pour prendre en compte cette bonne nouvelle… (« J’affirme que l’épidémie est terminée » : entretien exclusif avec un épidémiologiste en colère)

21) La fin de l’épidémie en France est confirmée par les propos des Drs Nicole et Gérard Delepine lors d’une émission du 17 septembre 2020 de LCI. À la fin, André Bercoff, nous surprend en nous disant qu’à cette date, à Amsterdam tout le monde circule sans masque.

22) Décompte morbide faux présenté le week-end du 20 septembre 2020 aux journaux télévisés de 20 h et démenti 3 h 30 plus tard quand les gens dormaient. (https://qactus.fr/2020/10/03/q-infos-excellentissime-toussaint-detruit-le-gouvernement-en-7-minutes/)

23) Le 2 octobre 2020 L’épidémie est terminée en Europe.

24) Comme à Wuhan. (D’après Philippe Klein, médecin français à Wuhan : « L’épidémie est terminée en Chine, la vie a repris son cours »).

25) À l’évidence nous sommes en présence d’un gouvernement partial et mal conseillé par des intérêts privés. Ce gouvernement, qui fait principalement de la communication, est, à l’évidence, pour le moins, d’une insigne incompétence. Toute une série de mesures basées sur aucun fondement scientifique le prouve abondamment, citons un seul exemple, dans une liste qui est longue comme le bras : l’interdiction d’achat d’alcool à partir de 20 h. Ce qui signifie qu’un client peut acheter le contenu d’un caddy de vodka à 19 h 59, mais pas une bouteille à 20 h. Conséquence de toutes ces aberrations scientifiquement injustifiables, les citoyens sont les vrais cocus de cette crise. Une preuve de plus ci-dessous, avec la promotion du vaccin anti-covid qui ne servira à rien compte tenu des mutations du virus.

26) Raoult explique qu’il existe déjà sept mutants de la Covid et vous ne devez pas le savoir ; car c’est toute la stratégie de vaccination qui est en cause — YouTube le censure…, par Patrice Gibertie.

“Les virus mutent, cela ne fait aucun doute, c’est d’ailleurs pour cette raison que le vaccin de la grippe doit être mis à jour chaque année.

La vidéo où s’exprimaient hier Laurence Camoin, Professeur d’Hématologie, et Didier Raoult a été censurée un temps par YouTube. Pourquoi ? 

De « grandes personnalités du monde scientifique » qui se répandent sur les réseaux sociaux en messages de haine irrépressible (après être allées jusqu’à déblatérer sur Didier Raoult dans le New York Times) sont probablement à l’origine de signalements multiples.

Vous ne devez rien savoir des différentes mutations du virus, et des facteurs thrombotiques sur lesquels agit l’hydroxychloroquine, médicament utilisé de façon de plus en plus massive dans le monde. « Il n’y a pas un seul virus. Nous, on a détecté sept mutants qui ont circulé », a indiqué le chercheur marseillais. Selon lui, « ce n’est probablement pas une mauvaise nouvelle ».

“Depuis juillet, depuis l’apparition de ce deuxième acte, les génomes que nous avons ne sont pas les mêmes que ceux que nous avions avant […] Il n’y a pas un seul virus. Nous, on a détecté sept mutants qui ont circulé […] Les mutations que nous voyons sont associées avec la dégradation des organismes [du virus, NDLR]. Quand ça se passe, c’est que ça va mal pour la bestiole”, a affirmé Didier Raoult à Radio Classique…………………..

Le gouvernement français, d’autres états, la Commission Européenne, l’OMS… après avoir dédouané l’industrie pharmaceutique en cas de problèmes résultant de la vaccination (Le Figaro) continuent imperturbablement à prôner la vaccination de masse…

27) L’État allemand, comme l’État français, a profité du confinement pour installer dans notre dos des antennes pour la 5G qui est au demeurant, d’après de nombreux scientifiques, très nocive. (Expansion rapide de la 5G pendant le confinement : coïncidence ou calcul ?)

28) Le 11 octobre 2020, un des hauts responsables de l’OMS, le Dr David Nabarro, candidat présenté par le gouvernement britannique pour le poste de Directeur général de l’OMS en 2017, a fait l’annonce que le confinement entier d’une population est nuisible. Qui en France vous l’a fait savoir ? Certainement pas le gouvernement ! (Coronavirus : L’OMS déconseille aux dirigeants de recourir de nouveau au confinement et Strategika)

29) Une  décision inacceptable : le port du masque est obligatoire dans les écoles à partir de six ans. (Ils osent imposer le masque aux enfants de 6 ans !)

30) Pour couronner le tout, nous apprenons par l’intermédiaire d’avocats que la mise en place des mesures sanitaires prises en France lors de la crise du covid-19 est anticonstitutionnelle. !!!!  Elles ont été prises en dehors du cadre juridique légal défini par la Constitution, prouvant incontestablement de la sorte que le gouvernement français en ne respectant pas le processus légal défini par la Constitution a agi en dehors de La Loi. (https://youtu.be/SVNUhN20igY)

Toutes les mesures prises par le gouvernement depuis le début de la crise sont anticonstitutionnelles

Valérie Bugault, Avocate

31) Se pose alors une question, ne serait-on pas face à une gigantesque manipulation aux services d’intérêts privés ? Une manipulation qui nous ramène aux heures les plus sombres de l’Histoire, et qui fera passer l’anticyclone des Açores qui avait repoussé le nuage de Tchernobyl, ou, la soi-disant présence d’armes de destructions massives en Irak, qui avait motivé la seconde guerre du Golfe, pour des mensonges d’enfants de chœur.(Covid-19: Le jeu des chiffres: La « deuxième vague » est basée sur des statistiques « fake »)

Alerte rouge n° 8 : La stratégie du choc

La stratégie du chocmontée d’un capitalisme du désastre, Naomi Klein, Actes Sud, Arles, 2010.

Présentation de l’Éditeur. Quatrième de couverture.

Qu’y a-t-il de commun entre le coup d’État de Pinochet au Chili en 1973, le massacre de la place Tiananmen en 1989, l’effondrement de l’Union soviétique, le naufrage de l’épopée Solidarnosc en Pologne, les difficultés rencontrées par Mandela dans l’Afrique du Sud post-apartheid, les attentats du 11 septembre, la guerre en Irak, le tsunami qui dévasta les côtes du Sri Lanka en 2004, le cyclone Katrina, l’année suivante, la pratique de la torture partout et en tous lieux — Abou Ghraïb ou Guantanamo — aujourd’hui ?

Tous ces moments de notre histoire récente, répond Naomi Klein, ont partie liée avec l’avènement d’un « capitalisme du désastre ».

Approfondissant la réflexion militante entamée avec son best-seller No Logo, Naomi Klein dénonce, dans La stratégie du choc, l’existence d’opérations concertées dans le but d’assurer la prise de contrôle de la planète par les tenants d’un ultralibéralisme tout-puissant. Ce dernier met sciemment à contribution crises et désastres pour substituer aux valeurs démocratiques, auxquelles les sociétés aspirent, la seule loi du marché et la barbarie de la spéculation.

Remarquablement conduite et documentée, cette histoire secrète du libre marché, qui dessine une nouvelle éthique de l’investigation journalistique, s’affirme comme une lecture indispensable pour réévaluer les enjeux des temps présent et à venir, vis-à-vis desquels les citoyens du monde portent, ensemble, une responsabilité impossible à déléguer.

« Au lendemain de la Grande Dépression, Keynes proposa l’instauration d’une économie mixte et réglementée, c’est-à-dire la révolution de la politique gouvernementale qui instaura le New Deal et ses diverses incarnations aux quatre coins du monde. C’est ce système de compromis, de freins et de contrepoids que la contre-révolution lancée par Milton Friedman visait à démanteler, un pays après l’autre. Vu sous cet angle, le capitalisme prôné par l’École de Chicago a effectivement un point commun avec d’autres idéologies dangereuses : la recherche d’une pureté inaccessible, d’une table rase à partir de laquelle bâtir une société modèle entièrement revue et corrigée.

C’est du reste cette volonté de création totale, de puissance divine, qui explique l’attrait qu’exercent les crises et les catastrophes sur les idéologues néolibéraux. Seule l’apocalypse est à la hauteur de leurs ambitions. »

Page 37. 

Alerte rouge n° 9 : La mort de la démocratie.

« Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens. » 

Jean-Claude Junker, 28/01/2015.

Jean-Claude Junker, ancien président de la Commission Européenne, retranscrit dans Der Spiegel en décembre 1999 :

« Nous prenons une décision, nous la mettons sur la table et nous attendons pour voir ce qui se passe, si elle ne provoque pas de rejet, parce que la plupart des gens ne comprennent rien à ce qui a été décidé, nous poursuivons, pas à pas, jusqu’au point de non-retour ».

Qu’en conclure ?

1) Si un président d’un organisme démocratique se permet de prononcer de telles affirmations sans être sanctionné par ceux qui l’ont élu, cela signifie qu’au moins la majorité des membres de cette institution ne les trouve pas choquantes et les partage.

2) Compter sur l’ignorance de la population pour prendre des décisions ne peut pas être considéré comme un principe de gouvernement honnête.

3) Devant de tels propos et l’absence de réactions des députés européens, il ne faut pas qu’ils s’étonnent de l’écœurement d’une grande partie de la population pour le monde politique. Sans compter qu’ils ont le culot de se faire passer pour des démocrates respectueux de leurs électeurs alors, qu’en fait, consciemment ou inconsciemment, la plupart sont fascinés par le pouvoir, ce qui, dans les cas extrêmes, aboutit au fascisme.

À propos de la crise du covid-19. Certains sont tellement imbus de leur personne, sont tellement sûrs de ne risquer rien et d’être aux dessus des Lois, qu’ils n’hésitent pas sur le site du Forum Économique Mondial 5fem) à étaler leur plan au grand jour en prônant « The Great Reset » (https://www.weforum.org/great-reset). La crise du covid-19 n’est pas une pandémie, c’est une « plandémie ». Elle a été planifiée longtemps à l’avance. La preuve ci-après. (lien disque, à la rubrique covid du FEM) Un travail aussi considérable, publié sur leur site ne peut pas se faire dans l’urgence. Le site du Forum Économique Mondial a publié ces textes sur son site dès le lendemain de la déclaration par l’OMS d’une pandémie mondiale !!!!!!! 

Pour confirmer cette impression, il nous semble nécessaire de porter à la connaissance des lecteurs, les deux articles suivants que les médias dominants se gardent bien de vous faire connaître : le premier nous alerte sur les manœuvres de la haute finance et le deuxième sur les menaces technologiques dues aux progrès d’une science sans conscience et pervertie !!!! Premier article : Le bon virus au bon moment (et LE PHARMA-DOLLAR) par Andréas Cecchi. Deuxième article : Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale machiavélique par Amar.

À ce stade, un faisceau d’informations et de preuves s’accumule pour nous faire comprendre que la mondialisation est en marche et qu’elle touche quasiment l’ensemble des pays à des degrés divers.

Quoiqu’il en soit, nous partageons entièrement le point de vue de Kenneth Roth qui est un procureur général américain et le directeur exécutif de Human Rigth Watch depuis 1993. « Le covid-19 pourrait devenir notre prochaine guerre contre le terrorisme. » Ci-dessous, début de l’Article de Serge Bussart dans le journal Le Temps.

“Les restrictions imposées pour combattre la crise sanitaire due au coronavirus inquiètent les défenseurs des droits fondamentaux. Elles pourraient durer bien au-delà de la fin de la pandémie. Directeur exécutif de Human Rights Watch, Kenneth Roth rappelle les effets encore durables de telles mesures aux États-Unis après les attentats du 11 septembre 2001.

Le Covid-19 est-il l’occasion rêvée pour les autocrates en puissance de renforcer leur pouvoir ? Certains scientifiques voient une corrélation entre une plus forte prévalence de maladies au sein d’une population et un surcroît de politiques autoritaires.

Guantanamo toujours ouverte

Le prolongement des confinements, l’engagement de l’armée et de la police pour les faire respecter, la suspension apparemment temporaire des parlements au profit du pouvoir exécutif sont des mesures sans doute nécessaires. Mais leurs effets à long terme inquiètent. Des mesures d’exception sont nécessaires face à l’urgence sanitaire de la pandémie de SARS-CoV-2. Montesquieu ne disait-il pas : « Il y a des cas où il faut mettre, pour un moment, un voile sur la liberté comme on cache les statues des dieux. » Selon les défenseurs des droits fondamentaux toutefois, nombre de libertés qui sont au cœur des démocraties, liberté d’expression, d’association, de manifestation, de la presse, etc. sont en danger. Ils tirent la sonnette d’alarme.

Directeur exécutif de Human Rights Watch (HRW), Kenneth Roth le dit sans ambages :

“Il y a un vrai danger que la pandémie de Covid-19 devienne notre nouvelle guerre contre le terrorisme, une excuse pour divers gouvernements pour saper les droits fondamentaux en exploitant les peurs des gens.”

Le New-Yorkais a pu observer ce phénomène :

“Une fois que les gouvernements ont acquis de nouveaux pouvoirs, il est difficile pour les citoyens d’exiger de retrouver leurs droits, analyse-t-il. Prenez les attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis. Certaines des mesures d’exception prises par le gouvernement américain sont toujours en place. La prison de Guantanamo est toujours ouverte. Les assassinats ciblés sont toujours pratiqués et la surveillance de masse continue.”

Le Patriot Act américain a laissé des traces.

Dans le contexte du Printemps arabe, en 2011, les peuples ont pu s’exprimer l’espace de quelques mois, mais lorsque la répression s’est mise en route, il a été écrasé. “Or aujourd’hui, le Printemps arabe a vécu. Mais, poursuit Kenneth Roth, les mesures d’exception sont toujours là. L’Égypte est un État policier, la Syrie mène une guerre désastreuse.”

Abus de l’état d’urgence en France

Les organisations de défense des droits humains ont dénoncé à l’époque les abus de l’état d’urgence en France au lendemain des attentats terroristes de novembre 2015. Les dispositions d’exception prises à cette période appartiennent désormais au droit commun. Quand le président Emmanuel Macron déclare que “nous sommes en guerre” contre le coronavirus, la métaphore est forte et susceptible de sensibiliser un public au vrai danger de la pandémie. Mais un tel vocabulaire guerrier pourrait justifier des mesures répressives “et transformer une crise sanitaire en crise sécuritaire”, prévient Florian Bieber dans Foreign Policy.

Face au Covid-19, la Chine a limité comme peu d’autres les libertés individuelles en usant du bâton autoritaire. Les démocraties limitent elles aussi ces libertés au nom du combat justifié contre la pandémie. Tout est question de proportionnalité. Ces jours-ci (avril 2020), la Corée du Sud est montrée en exemple pour son dépistage systématique qui a permis de contenir la propagation du Covid-19.

Séoul “a transmis des informations détaillées et très claires sur le mouvement de personnes à tout individu qui aurait pu avoir des contacts avec eux”, nuance toutefois le directeur de HRW.

Le Covid-19 est un prétexte tout trouvé pour renforcer de façon massive la surveillance digitale des citoyens…”

La mort de la démocratie

Il devient de plus de plus évident que la démocratie française est en voie d’extinction. Sa disparition ne se produit pas sous la forme de l’instauration d’une dictature sanglante: élimination physique des opposants, interdictions des partis, suppression du droit de vote et de la liberté de presse. Mais ce n’est guère mieux: elle meurt de l’indifférence. Les Français votent de moins en moins. Aux six législatives partielles de dimanche, la participation connaissait un nouvel effondrement. L’abstention dépasse 79 % dans la 1re circonscription du Haut-Rhin, 82 % dans la 5e de Seine-Maritime et dans la 3e de Maine-et-Loire, 84 % dans la 1re de la Réunion, 83,4 % dans les Yvelines et atteint même 87 % dans la 9e circonscription du Val-de-Marne. Dans ce contexte, le parti présidentiel LREM se ridiculise: aucun de ses candidats n’atteint le niveau pour se présenter au second tour. L’un d’eux réalise à peine 3%! Certains se rassurent à l’idée que seule l’élection présidentielle intéresse les Français. Ils se voilent la face, refusent de voir la réalité. Qu’est-ce qu’une démocratie sans partis politiques, sans projets ni débat d’idées, avec des médias largement formatés, sans parlement, sans députés, sans électeurs, sans peuple? Dans l’avenir tel qu’il s’esquisse, il ne restera in fine en guise de paysage politique qu’un petit pitre élyséen élu avec l’adhésion initiale de 10% des électeurs*, un pantin bavard, gesticulant du matin au soir, au-dessus des cendres de feue, la démocratie, pour donner l’illusion du mouvement.  Mais qui aura l’indécence ou la stupidité de qualifier un tel système de démocratie?

Maxime Tandonnet

Conclusion sur la crise covid-19.

En octobre 2019 un virus inconnu apparaît subitement à Wuhan, puis touche quasiment l’ensemble de la planète, dont la France en février 2020. Le gouvernement français prend des mesures pour limiter la prolifération de l’épidémie dans notre pays. Cependant, face aux trop nombreuses décisions non scientifiques, apparemment incohérentes et absurdes, prises par les pouvoirs publics, auquel s’additionne le suspect feu roulant de la puissance médiatique qui assènent ses « vérités » sans créer de véritables débats, petit à petit, des citoyens, peut-être plus lucides, ou moins naïfs, sont amenés à s’interroger sur la vraie nature de cette crise… Nous avons limité sciemment à trente et un points notre séquence sur le coronavirus, comprenant qu’une fois lancée leur opération de manipulation, celle-ci deviendra permanente tant qu’ils n’auront pas atteint leur objectif… ou qu’ils soient arrêtés par les citoyens les plus conscients.

Quoiqu’il en soit, à la lecture de tout ce qui précède, et plus particulièrement de ce qui est annoncé comme imminent sur le site du gang du Forum Économique Mondial, on peut se rendre compte que la mafia du Nouvel Ordre Mondial est prête à tout pour en finir définitivement avec la démocratie et nos républiques.

Ce qui est prévisible, c’est qu’en France ceux qui jouent constamment sur la peur, nous donneront le coup de grâce quand la grippe saisonnière fera son apparition et saturera comme chaque année les hôpitaux. (lien hôpitaux Delepine) À moins que les perquisitions en cours ou la Commission d’Enquête Sénatoriale composée d’hommes politiques intègres nous en débarrassent avant. 

Aussi, nous les citoyens de bases, nous les travailleurs, nous les abstentionnistes, nous les véritables Gilets Jaunes de la Victoire…, nous qui voulons simplement vivre en paix, une vie libre, dans une République la plus exemplaire que possible, nous vous disons qu’en tant que citoyens conscients de vos manipulations grossières nous ne tomberons jamais dans votre piège diabolique.

En conséquence, nous, en tant qu’authentiques républicains, en tant qu’authentiques démocrates, sachant que la crise du covid-19 a forcément complètement bouleversé le paysage politique français, nous vous attendons pacifiquement avec nos bulletins de vote aux prochaines échéances électorales.

Conclusion générale.

« La crétinisation des mieux éduqués est extraordinaire. »

« La vraie fracture n’est aujourd’hui plus sociale, mais éducative. »

Emanuel Todd. Libération du 6 septembre 2017.

C’est bien ce que révèle la crise du covid-19. Ne nous voilons pas la face devant ces vérités énoncées par ce sociologue reconnu.  Les gogos de tous les milieux sociaux se font enfumer, certains ont même contribués, de bonne foi, à l’établissement de ce régime d’asservissement. Cela  ne vous rappelle t-il pas  les heures les plus sombre de notre histoire.    

« Ainsi commence le fascisme. Il ne dit jamais son nom, il rampe, il flotte, quand il montre le bout de son nez, on dit : C’est lui ? Vous croyez ? Il ne faut rien exagérer ! Et puis un jour on le prend dans la gueule et il est trop tard pour l’expulser. »

Françoise Giroud.  

Surtout ne vous voilez pas la face, depuis le 5 novembre 2020 nous sommes en dictature

Voir aussi :

Médias : on nous cache tout :

Pétition qui porte notamment sur Un collectif de médecins et de scientifiques qui alerte sur les dangers du nouveau confinement, sur le problème de la saturation des hôpitaux par manque de lits et sur la saisonnalité de l’accès aux urgences.

https://www.euromomo.eu/graphs-and-maps :

La réalité des chiffres sur le Covid-19 d’après des sources officielles européennes. (La comparaison des statistiques européennes prouve combien nous nous plantons…).


Diffusion libre de droits 




Le Choc en Retour

[Source : Nice-Provence Info]

[NDLR] : Notre illustration à la une : allégorie révolutionnaire montrant Voltaire et Rousseau sous l’œil de Dieu (1794)

Alain Nicolaï - Le livre des sept sceaux
Alain Nicolaï est l’auteur de Le Livre des Sept Sceaux (Le Retour à l’Évidence). Il a publié dans nos colonnes Décomposition 322 (3 + 2 + 2 = 7) (en date du 16 juillet 2020). Aujourd’hui il nous propose un texte : Le Choc en Retour ou la décomposition de la mondialisation

En métaphysique, un chat est un chat

« Qui connaît les noms, connaît les choses. »

Cratyle, Platon, citation de la page 8 du Livre des Sept Sceaux ‑Le Retour à l’Évidence.

« Rien n’est plus dangereux que la confusion des concepts. En particulier de ceux qui visent à désigner ce à quoi on s’oppose. En général, une telle confusion est un préalable au désordre des esprits et à la violence des actes. »

Jacques Attali, Le Soir du 6 avril 2018.

Première séquence : la métaphysique

Remarque : Vous avez peur de ne pas comprendre, rassurez-vous, vous allez vite comprendre

Métaphysique, étymologie (XIIIe siècle) : mot savant emprunté au latin scolastique metaphysica, tiré des premiers mots du traité de métaphysique d’Aristoteméta ta phusika « après les choses de la nature », qui fait suite à son traité sur la nature. Le sens de « réflexion philosophique qui va au-delà de la nature et qui cherche à rendre compte par une théorie générale des principes fondamentaux de l’être » apparait dès l’origine
[source : Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Baumgartner et Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 495].

Métaphysique : analyse systématique de la réalité afin de connaître sa nature profonde. Sa méthode est basée sur l’algèbre de Boole :
0 – 1 = Fermé – Ouvert = Non – Oui = Faux – Vrai.
L’algèbre de Boole est la base de la logique combinatoire et de la logique séquentielle. Elle est la base ses systèmes informatisés.

Métaphysique : son point de départ et d’arrivée est la connaissance absolue par la mise sous les yeux des lecteurs des choses significatives, des faits significatifs…

La seule métaphysique valable est donc celle qui apporte des preuves irréfutables qui peuvent être vérifiées par tous les sujets de ce monde. Elle met sous les yeux du public ce que tout un chacun doit savoir. Elle explique la réalité et dévoile ce qui est caché, mais elle prend en compte la réflexion de Ludwig Wittgenstein : « Ce dont on ne peut parler, il faut le taire. » (Tractacus logico-philosophicus, Ludwig Wittgenstein Tel Gallimard, Paris, 1961, page 107).

Deuxième séquence : la démocratie

Remarque : N’oubliez jamais que le citoyen détient un énorme pouvoir qu’il faut savoir utiliser à bon escient.

Démocratie, étymologie (XIVe siècle), du grec démokratia « gouvernement exercé par le peuple »
[Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Emmanuèle Baumgartner et Philippe Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 230].

Troisième séquence : la république

Remarque : Au point de vue de la société, avec la paix, la république est un de nos biens le plus précieux.

République, étymologie (XVIe siècle), emprunté au latin res publica « la chose publique, l’État, l’administration de l’État », est d’abord employée au sens de « État, communauté, société organisée » puis se spécialise à partir du XVII s au sens de « État dont la forme de gouvernement est fondée sur la souveraineté des citoyens. 
[Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Emmanuèle Baumgartner et Philippe Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 682].

Il en découle impérativement que le Président d’une véritable République doit être au service de ses concitoyens. 

La devise de la République française « Liberté –Égalité – Fraternité » a pour origine la Révolution française. Elle donne le modèle de ce qu’est une véritable république dans l’absolu. Cette devise a été reprise sous diverses formes à travers le monde.

Il est bien évident que pour l’humanité son approche ne peut-être que relative.

À ce jour, toutes les républiques se rapprochent plus ou moins de cet idéal, mais malheureusement nombreuses sont les républiques bananières, celles-ci ne sont que des leurres pour les gogos.

Quatrième séquence : le Nouvel Ordre Mondial

Remarque : Ne vous voilez pas la face, pendant que vous dormez, d’autres travaillent à votre perte.

Le nouveau gouvernement du Monde [Georges Corm, La Découverte /Poche, Paris, 2013].

Georges Corm - Le nouveau gouvernement du monde

Présentation de l’éditeur : « Une analyse mordante des sources intellectuelles du pouvoir mondialisé et du néolibéralisme “mystique” qui a envahi les cours de millions d’étudiants en économie et gestion, futurs cadres militants de ce pouvoir et de leur capacité à bloquer les changements.
Alors que la crise de 2007–2009 a révélé à tous les méfaits de la mondialisation et de la spéculation financière, rien ne change, malgré les dénonciations qui se multiplient de tous bords. Pour comprendre les racines de cette inertie mortifère des décideurs économiques et politiques mondiaux, l’auteur explore dans ce livre les mécanismes permettant la reproduction de cette “civilisation des affaires en déclin” (Robert Heilbroner). Il analyse notamment les sources intellectuelles de ce pouvoir mondialisé : le néolibéralisme se nourrit d’un idéalisme simpliste qui rappelle l’esprit doctrinaire du socialisme “scientifique”. Cette économie-fiction néolibérale décalque inversé de l’économie-fiction marxiste, a envahi les cours de millions d’étudiants, futurs cadres du pouvoir mondialisé. S’appuyant notamment sur son expérience de consultant international, Georges Corm propose une critique mordante de la structure et du fonctionnement de ce pouvoir et de ses horizons culturels.
Il plaide ici pour une “démondialisation” raisonnée des esprits et des systèmes économiques dans un monde ouvert, pour une économie solidaire et humaine par le rétablissement des cohérences spatiales, la fin des dogmatismes et la réhabilitation des valeurs d’éthique et d’équité dans l’enseignement de l’économie
. »

Cette présentation fait prendre conscience de l’étendue du problème étant donné que, de nos jours, l’argent est la valeur suprême. Les élites au Pouvoir n’ont pas de mal à drainer les meilleurs de nos étudiants qui ne sont pas au courant de leur but final occulté.

Le Nouvel Ordre Mondial est en substance la prise du Pouvoir au niveau mondial par certains financiers, par certains capitalistes, par certains riches, par certains technocrates qui se sont entendu en dehors de tous les principes démocratiques – en dehors de tous systèmes démocratiques – pour prendre le Pouvoir définitivement sur cette planète(1). Pour ce faire, ils utilisent les canaux des médias dominants qu’ils ont achetés ou infiltrés pour manipuler et surtout endormir les masses.

(1) Leur but final sous-jacent est simplement de se substituer aux États et aux Républiques.

Cinquième séquence : la mafia

Remarque : Un des pires ennemis des républiques.

Mafia (XIXe siècle), mot italien désignant une société secrète, issue du sicilien, mafia, « hardiesse, vantardise », d’origine obscure. Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Emmanuèle Baumgartner et Philippe Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 463.

Définition de la mafia : En Italie, la loi Rognoni-La Torre, promulguée en 1982 pour définir l’association mafieuse dans sa spécificité (article 416bis du code pénal), est une extension de l’article 416 définissant l’association criminelle. Le législateur postule que ce qui caractérise l’association mafieuse par rapport à la simple association criminelle sont ses méthodes et, notamment, trois d’entre elles : l’intimidation, l’omerta et la soumission. Dès lors, est désigné comme « mafieux » tout individu qui tire profit du pouvoir d’intimidation émanant du capital de violence inscrit dans son association – quand bien même cette violence n’est pas exercée de façon systématique –, qui protège son organisation par son silence et vit dans un rapport de soumission vis-à-vis de cette institution se superposant à l’État.

La mafia comme délit

La création, en 1982, du « délit d’association mafieuse » répond à la nécessité de fixer un phénomène social ambigu, objet d’une approche tantôt culturaliste (la mafia comme façon d’être, expression archétypale de l’être sicilien), tantôt criminologique (la mafia comme association de malfaiteurs sans rapports permanents entre eux). Or nous avons vu comment la difficulté de prouver le caractère durable du lien mafieux et de démontrer la conscience des associés quant au projet criminel de leur association rendait caduques les tentatives judiciaires d’imputer aux mafieux un délit associatif, tel que prévu par le Code Pénal. La loi Rognoni-La Torre, promulguée en 1982 pour définir l’association mafieuse dans sa spécificité (article 416bis du Code Pénal), est une extension de l’article 416 définissant l’association criminelle. Le législateur postule que ce qui caractérise l’association mafieuse par rapport à la simple association criminelle sont ses méthodes et, notamment, trois d’entre elles : l’intimidation, l’omerta et la soumission. Dès lors, est désigné comme « mafieux » tout individu qui tire profit du pouvoir d’intimidation émanant du capital de violence inscrit dans son association – quand bien même cette violence n’est pas exercée de façon systématique –, qui protège son organisation par son silence et vit dans un rapport de soumission vis-à-vis de cette institution se superposant à l’État.

Juger la mafia - Deborah Puccio-Den
Juger la mafia, Deborah Puccio-Den
(cliquer sur l’image pour accéder au document en ligne)

À ces délits, nous ajoutons la corruption.

Le Nouvel Ordre Mondial est donc une bien une mafia, qui en dehors de tous les principes républicains et de tous les principes démocratiques veut se substituer aux États pour mettre en place un gouvernement mondial aux mains d’une élite autoproclamée.

« Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au magazine Time, et aux autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque quarante ans. Il aurait été pour nous impossible de développer notre projet pour le monde si nous avions été exposés aux lumières de la publicité durant ces années. Mais le monde est aujourd’hui plus sophistiqué et préparé à l’entrée dans un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l’autodétermination nationale des siècles passés. »

David Rockefeller [Discours à la Commission Trilatérale en juin 1991 à Baden Baden, dans Matrix of Power : How the World Has Been Controlled by Powerful Men Without Your Knowledge, paru en 2000]

« Certains croient même que nous faisons partie d’une cabale secrète agissant contre les grands intérêts des États-Unis et ils représentent ma famille et moi comme des “internationalistes” ; ils vont jusqu’à prétendre que nous conspirons avec d’autres capitalistes dans le monde pour construire une structure politique et économique mondiale plus intégrée – un seul monde, si vous voulez. Si c’est ce dont on m’accuse, je plaide coupable et j’en suis fier. »

David Rockefeller [Mémoires, Éditions de Fallois, Paris, 2006, page 475]

« Nous sommes à la veille d’une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin, c’est d’une bonne crise majeure, et les nations vont accepter le Nouvel Ordre Mondial. »

David Rockefeller [« All We Need is the Right Crisis and the People Will Accept the New World Order. » – David Rockefeller, 1994, Dîner aux Nations Unies]

Sixième séquence : la science

Remarque : La science nous permet de connaître la réalité.

Science (XIe siècle) emprunté au latin scientia « connaissance, savoir, connaissance théorique », dérivé du participe présent sciens, scientis « qui sait, instruit, habile », de scire « savoir », d’abord employé au sens de « connaissance, savoir », et de « savoir-faire, aptitude acquise dans un domaine particulier » et à partir du XIIIe siècle, au sens du français moderne « corps de connaissances ayant un objet, une méthode propre, domaine organisé du savoir ». Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Baumgartner et Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 719.

Épistémologie : science, désigne strictement toute connaissance rationnelle obtenue, soit par démonstration, soit par observation (objective) et vérification expérimentale, Vocabulaire de la philosophie et des sciences humaines, L. M. Morfaux, Armand Colin, Paris, 1980, page 324.

Septième séquence : la preuve scientifique

Remarque : Démasquons irréfutablement les diffuseurs de fausses informations.

Preuve, de prouver. Prouver (XIIe siècle), du latin probare « éprouver, prouver, approuver » dérivé du latin probus, « de bonne qualité, honnête, vertueux ». Probus donnera le mot de probe employé en français au sens moral de « intègre, honnête ». Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Baumgartner et Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 630 et 634.

Connaissance et preuve vont de pair.

En ce qui concerne la crise du Covid-19, des deux dernières séquences il en découle qu’il est impératif de l’analyser dans toutes ses phases comme l’a fait en France le professeur Christian Perronne(1) c’est-à-dire de comprendre objectivement la chaîne des causes et des effets qui l’a engendrée. Il est essentiel de démasquer les diffuseurs de fausses informations.

Christian Perronne - Y-a-t-il une erreur qu'il n'ont pas commise

(1) Le Pr. Perronne balance sur « les magouilles et les attaques dégueulasses contre Raoult »
Christian Perronne est un médecin et professeur des universités-praticien hospitalier français, spécialisé dans le domaine des pathologies tropicales et des maladies infectieuses émergentes, et ancien président de la commission spécialisée Maladies transmissibles du Haut Conseil de la santé publique [source Wikipedia].

Huitième séquence : George Soros et la société ouverte

L’origine doctrinale de l’Open Society de George Soros.

Présentation de George Soros :

« Pour le grand public ; il est d’abord l’incarnation de ces puissants et inquiétants “marchés financiers”, maîtres du monde moderne. Soros est la face visible et toujours mystérieuse de la mondialisation qui est en train de nous avaler, et du trente-cinquième étage de son immeuble de Manhattan, à New-York, dominant les allés verdoyantes de Central Park, la salle des marchés du Quantum Fund a en effet des allures de cabine de pilotage interplanétaire. »

Préface du livre de George Soros, Le défi de l’argent, Plon, 1996, page 7.

George Soros - Défi argent - livre George Soros - Défi argent - Philosophe raté
Nuages dans le ciel bleu

Dans ce livre, George Soros nous explique doctement que son grand inspirateur est le « philosophe » Karl Popper auteur de l’inénarrable livre La société ouverte et ses ennemis (Éditions du Seuil, Paris 1979). Cet auteur, ayant étudié les nuages et leur formation, a eu une révélation : les nuages n’ont pas de frontières.

De cette observation fulgurante, il tire la conséquence que la libre circulation des biens et des personnes, c’est-à-dire la société ouverte à tous les vents, est le Bien, et que la société fermée — à l’image du bloc soviétique — est le Mal absolu.

Karl Popper - La société ouverte et ses ennemis (1) Karl Popper - La société ouverte et ses ennemis (2)
Karl Popper - La connaissance objective Quatrième de couverture de La connaissance objective par l’éditeur :
Voici un livre de philosophie à la fois classique et déconcertant. On y traite de la liberté et du déterminisme à l’aide de nuages et de bulles de savon. On y construit une théorie du langage à l’aide de miel et de toiles d’araignées. Fort de cinquante ans de discussions avec physiciens, biologistes et logiciens, Popper renouvelle l’approche des questions les plus traditionnelles de la philosophie avec pour fil conducteur de progrès de la science, replacé dans le cadre plus général d’une philosophie de l’émergence du nouveau. Rassemblant des textes rédigés pour la plupart entre 1965 et 1971, La connaissance objective est l’ouvrage le plus représentatif de la « dernière manière » de Popper. Il y révèle toutes les implications métaphysiques de son rationalisme critique et s’y risque à des conjectures audacieuses. Indispensable pour connaître les inflexions que prend alors la pensée de Popper, ce livre l’est aussi pour comprendre les débats de l’épistémologie contemporaine.
Commentaires :
Théorie pour le moins nébuleuse sur laquelle est fondée la doctrine de George Soros.
Il est difficile de faire plus fumeux.

Dans son livre autobiographique, George Soros nous explique également comment est née sa réputation : « En Grande Bretagne, certains me reprochent d’avoir fait chuter la livre en 1992, d’autres m’en félicitent. Ils ont tous tort, car lorsque j’ai joué la dévaluation de la monnaie britannique et des sommes considérables, je ne me préoccupais pas de l’intérêt public. Je me suis contenté de spéculer en respectant les règles pour le seul profit de mon fond d’investissement, de mes actionnaires et de moi-même. D’ailleurs, si l’on se comporte autrement, il est impossible de gérer un tel fond, et personne ne vous confira son argent ! » (pages 26 et 27). Page 26 on apprend toujours : « Après 1989, l’effondrement des systèmes de l’Est n’a pas conduit à l’établissement de véritables sociétés ouvertes, du moins dans la plupart des pays ex-communistes, ou triomphent des régimes autoritaires et nationalistes. J’avais rêvé que la révolution de 1989 ouvrirait la voie à une société ouverte universelle, comme celle de 1789 avait posé les bases de l’Etat moderne. Rien de tel ne s’est produit. » Par la suite il raconte la vie de sa famille et sa carrière. Un temps, il voulait devenir philosophe : « Vers 1962, j’ai écrit un traité philosophique, The Burden of Consciencious – Le poids de la Conscience – … » qu’il présente à son mentor Karl Popper, (page 49). On comprend bien vite cependant que sa grande obsession est la réalisation de la société ouverte. Pour cela il crée dès 1979 l’Open Society Foundation qui est un réseau de fondations qui déverse des millions (jusqu’à des milliards) dans de nombreux pays pour l’aider à atteindre son but, c’est-à-dire, en clair : l’avènement du règne définitif de la finance (bien que dans son ouvrage il en critique certains aspects) et du Nouvel Ordre Mondial.

Son livre, en fait, consiste en une interview de Soros par une personne anonyme.

À la question (page 178),
« Je ne comprends toujours pas comment la conscience de votre propre faillibilité mène à votre idée de société ouverte comme piliers des valeurs universelles »
Soros répond : « Ce n’est pas évident. Je peux exposer mon point de vue, qui me semble particulièrement convaincant, mais cela ne signifie pas que les autres vont le partager. Je dois reconnaître que d’une certaine façon je suis quelqu’un d’exceptionnel. Je ne parle pas de l’intelligence mais de l’argent. Peu de personnes en possèdent plus qu’elles n’en ont besoin. Être de celles-ci me place dans une situation à part, comme si j’étais exempté des lois de la gravité. Je peux me permettre de vivre selon ma fantaisie, et ma fantaisie c’est de promouvoir l’idée de la société ouverte. Mais là, je suis confronté à ma propre faillibilité (sic) – contrainte à laquelle je ne peux échapper. »
Avec une telle réponse, il n’est pas étonnant que ce chapitre s’intitule Le philosophe raté.

Conclusion : le Nouvel Ordre Mondial, le pire des virus

Pour que tout soit bien clair dans votre esprit.

Les partisans du Nouvel Ordre Mondial veulent laisser le peuple dans l’ignorance pour mieux le dominer. De nos jours la société du spectacle se double d’une société de la consommation pour que le peuple évite de penser aux causes multiples de son asservissement. Ces acteurs du Nouvel Ordre Mondial détiennent les médias : « Les riches achètent les médias pour donner de l’information bien choisie aux pauvres » (Bourdieu). Ce qui veut dire, en clair, que des informations capitales sont volontairement occultées et que les partisans du Nouvel Ordre Mondial manipulent honteusement les citoyens en les prenant pour des imbéciles.

L’asservissement des États et des républiques est un des buts des antidémocrates du Nouvel Ordre Mondial.

Forum Économique Mondial - George Soros

Le Forum Économique Mondial appelle à une « grande remise à zéro » du Système, The Great Reset(1), à la suite de la crise protéiforme du Covid-19.

D’une pandémie, beaucoup moins importante que l’épidémie de grippe de 1968–1969, les médias ont fait un monstre qui justifie tous les coups bas. Il faut bien comprendre que l’épidémie de grippe de 68 – 69, qui est passée quasiment inaperçue à l’époque, aurait fait, d’après une étude publiée en 2007, plus de 30 000 morts en France. Reportée à la démographie actuelle, l’estimation des décès est qu’elle aurait provoqué de nos jours entre 70 000 et 100 000 morts ! (Grippe de Hong Kong : la pandémie oubliée | LCP Le Mag – 26/06/2020)

Le confinement et le port du masque obligatoire ne sont qu’un avant-goût de ce qui vous attend dans le monde d’après concocté dans notre dos. Pourquoi un vaccin alors que de très nombreux scientifiques disent que ce virus mute(2) ? Même George Soros l’a proclamé dans la presse(3). Pourquoi vouloir développer les puces RFID ? Pourquoi Bill Gates finance-t-il la technologie des vaccins avec des implants de micropuces d’Intellectual Ventures ?

Enfin, pourquoi le Forum Économique Mondial (Forum de Davos) se permet-il d’annoncer unilatéralement sur son site son projet mondial pour la planète (son monde d’après) et The Great Reset, si ce n’est parce qu’il pense avoir pris définitivement le dessus sur le Peuple, la démocratie, les républiques et les États ; démontrant ainsi irréfutablement le mépris colossal du peuple par ces élites autoproclamées.

Leur « monde d’après » n’est qu’un gigantesque piège pour la population qui sera livrée pieds et poings liés au monde de la finance. Leur « monde d’après » marque, en fait, l’avènement du règne totalitaire de la finance, ce qui veut dire pour le Peuple : asservissement définitif.

Face à de telles menaces, les vrais républicains de tous les États ne peuvent pas rester inertes.
Face à de telles menaces, défendons notre république !
Face à de telles menaces, levons-nous !

Alain Nicolaï

(1) The Great Reset ou Le temps de la Grande remise à zéro d’après le Forum Économique Mondial, dont George Soros est un membre éminent.
(2) Le SARS-CoV‑2 mute, et alors ? [source Le Temps du 24 juillet 2020]
(3) « Mais nous sommes face à une cible mouvante, du fait que le virus lui-même évolue rapidement. La mise au point d’un vaccin prendra beaucoup de temps. » [source L’Écho du 17 mai 2020]


1 commentaire

par pastorelli

Article bien structuré et très « pédagogique ». Mais pourquoi faire démarrer l’Histoire de France et du monde à la république française ?
N’y aurait-il rien eu avant ? Il y aura quelque chose après.
C’est ce que nous montrent les événements actuels : nous vivons la fin d’un monde, mais d’un monde républicain.
C’est bien notre forme de gouvernement républicain qui est moribond. Alors jetons le ! Tournons la page !
Il y a eu d’autres choses avant la Révolution française. Il y a même eu d’autres républiques.
La fin d’un monde n’est pas la fin du monde.