Callas triturée, Nicole Delépine humiliée, Gazoducs percés, la Secte dans tous ses états…

30/10/2022 (2022-10-30)

Par Lucien SA Oulahbib

Les Résistants, les vrais, ceux qui dès 1940 étaient au maquis sans attendre l’ordre de Moscou défendaient les frontières de l’art de vivre à la française et non pas à la façon nazie ou soviétique. Oublié, ce temps glorieux, pour la poignée de bureaucrates retraités qui sont venus à Callas dernièrement oser se comparer à ces braves de 1940 en préférant s’entêter à participer frénétiquement, le mépris aux lèvres, à des expériences d’injections de populations étrangères qui n’en demandaient pas tant et qui n’auront en plus ensuite qu’une seule idée en tête, celle de rejoindre la grande ville et non pas de fusionner avec un village étranger, sa campagne et surtout son histoire…

Narcissisme des vainqueurs qui se drapent honteusement du combat « antifa », alors que la plupart de ces soutiens aux expérimentateurs ourdis de la Secte globaliste n’ont jamais été inquiétés, eux, dans leur soutien effectif aux assassins des millions de morts du communisme dont ils sont en fait et toujours les porte-voix odieux.

Il est en effet tout à fait honteux de croire qu’en dissolvant ainsi, et de fait, les frontières, en détruisant ainsi et sciemment un « être ensemble », même menu, en saignant de la sorte un peuple, sa culture au cœur même des petites contrées de l’âme française, alors que tant de personnes du cru là-bas attendent des logements et du travail, on combattrait donc « le » fascisme. On participe plutôt en réalité à la normalisation accélérée d’une doctrine idéaliste dite transhumaniste, réduisant la citoyenneté à un décor, un paysage dans lequel on plante qui l’on veut, dans une certaine jouissance de jardinier écervelé, prenant ainsi les hommes pour des tournesols que l’on pourrait alors à sa guise replanter ici ou là, et ensuite admirer, voire — pourquoi pas ? — en peindre à l’ancienne les courbures… Mais attention aux plus jeunes qui viendront y coller leur main vous rappelant que pour eux il faut, d’abord, éliminer les producteurs, humains, de… CO2…

Et tous ces écervelés, jeunes ou vieux, ont la dent dure, surtout lorsqu’ils savent au fond que peu importe s’ils se trompent ou sont dans le mauvais camp puisque l’essentiel consiste à conquérir de la surface symbolique monnayable. C’est à ce prix, et ce n’est pas nouveau  : lorsqu’on lit en effet par exemple la prose de ces hauts fonctionnaires qui s’étaient réfugiés à Vichy en 1940 et faisaient également la navette entre Bordeaux puis Paris après l’armistice de 1940, il est bien plus question de lutte de places, lutte d’influences, alliances et désaccords entre Lilliputiens voguant de coucheries en dîners luxueux que de réelles luttes politiques se hissant à hauteur de vue tels ceux partant à Londres. Cela grouillait de m’as-tu-vu s’auréolant de quelques glorioles, dans les salons, en 14-18, ou dans les Colonies, mais sans plus, de la piétaille à retraite dorée et Légion d’honneur en veux-tu en voilà. Rien de nouveau sous le soleil…

Les autres, eux, les vrais, vont s’organiser là où l’on se bat réellement pour défendre les frontières de la France, c’est-à-dire sa culture sa civilisation. De même aujourd’hui lorsqu’une poignée de gens courageux comme Nicole Delépine se sont levés pour défendre des traitements précoces trouvés à « l’arrache », mais trouvés quand même contre le virus trafiqué on ne sait trop encore comment et surtout dans quel but au sein du P4 de Wuhan (échappé in/volontairement ?), traitements donnés aux malades sur la base d’expérimentions de plus en plus vérifiées par les équipes de Raoult (plus de 300 malades au départ, 40 000 à l’arrivée…) et celle de Perronne à Garches (et aussi en Afrique en Asie) et aussi nombre des médecins utilisant un des traitements (« Je ne pouvais pas les laisser mourir » de Jean-Jacques Erbstein, « laissez les médecins prescrire » de Violaine Guérin), tous ces gens, ces battants courageux intrépides se sont lancés dans la « guerre contre le virus » sur des bases réelles vérifiables quotidiennement dans les services, et non pas sur la base abstraite de réfutations biaisées comme celles parues dans le Lancet et jamais pourtant remises en cause par ces mêmes Autorités qui osent maintenant condamner Nicole Delépine dans un combat d’arrière-garde avec un langage si biaisé, mais alambiqué pour faire « objectif » ; alors que l’on voit bien là qu’il ne s’agit pas seulement de rappel à la « discipline », mais d’un projet scientiste totalitaire déjà dans son esprit : faire plier tous ceux qui ne veulent pas « croire », tous ceux qui s’appuient plutôt sur des pratiques vérifiées que des injections douteuses, puisqu’en science il s’agissait, du moins autrefois, de démontrer, de vérifier, et, en pratique médicinale, de traiter avec des molécules que l’on sait polyvalentes, mais peu dangereuses….

Mais tout ceci, cet esprit pionnier et rigoureux, a été perdu désormais…

Car, en effet, et alors que tous les indices affluent désormais pour prouver définitivement que ces injections sont bien plus nocives que bénéfiques et qu’il y avait des traitements — que l’on s’est cependant empressé de disqualifier afin de faire ces affaires de plus en plus sordides avec ces stimulants immunitaires artificiels qui ne durent que quelques mois et avec effets secondaires carabinés pour de plus en plus de monde, comment encore prendre au sérieux ces Lilliputiens, là aussi, paradant dans ces « chambres disciplinaires », médecins aussi efficaces que ceux de Molière et cousins en réalité du docteur Knock ?… Comment peuvent-ils encore pérorer alors que tout montre le caractère inopérant de cette « médecine », et que dans le monde entier, sauf en France, l’on réintègre, en coulisses, les soignants, en leur faisant même des excuses dans certains endroits ?…

Reste maintenant ce dernier entêtement d’un monde anglo-saxon à l’abandon, succombant à ses succubes. Plus dure sera la chute après avoir triomphé du nazisme et du communisme, tant l’hubris de la victoire se transforme en furie [façon Médée détruisant ses propres enfants], au nom de la « Terre », au nom d’un transhumanisme se prétendant divin, ou l’acrasie à l’état pur, mettant en cause les lois humaines fondamentales aussi bien que celles de la vie, voire de l’univers en prétendant contrôler vents et marées [éoliennes plutôt que nucléaire], allant jusqu’à empêcher plus prosaïquement qu’enfin une réelle entente se fasse sur le continent de l’Eurasie alors que depuis des décennies, comme le relate Dostoïevski dans son Journal, les élites européennes ont méprisé tout ce qui venait de cette Russie orthodoxe qui les concurrençait cependant dans les arts et lettres, la musique [moins la peinture] et s’élevaient de plus en plus en mathématiques, psychologie, et physique [Sakharov comme l’un des derniers géants de la physique quantique et de l’astrophysique surtout] malgré les errements d’un idéalisme de la « matière » qui a failli tout emporter et qui aujourd’hui trône dans les plus hautes sphères à l’Ouest réitérant les mêmes expériences sur « l’homme nouveau » à fabriquer…

Et devant cette aboulie exponentielle anglo-saxonne et aussi germanique, la France, au lieu de la freiner, l’accélère. Il est encore temps de dire stop.

image_pdfPDF A4image_printImprimer

⚠ Les points de vue exprimés dans l’article ne sont pas nécessairement partagés par les (autres) auteurs et contributeurs du site Nouveau Monde.

Un commentaire

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *