Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus

[Source : The Freedom Articles]

Par Makia Freeman

A 2020 article by Dr. Stefan Lanka reveals why we have been laboring under a virus misconception. Learn the truth about viruses and COVID.

L’idée fausse du virus est au cœur de l’opération Coronavirus

car sans le concept de la théorie des germes et sans l’histoire d’horreur du virus tueur, la plupart des gens n’achèteraient pas le récit officiel de la propagande COVID dirigé par le NOM [Nouvel Ordre Mondial]. Dans un article précédent sur la nature du virus, j’ai discuté des efforts héroïques du virologue allemand, le Dr Stefan Lanka, qui a remporté un procès historique en 2017. Il s’est rendu jusqu’à la Cour suprême allemande. Lanka a prouvé devant le plus haut tribunal du pays que la rougeole n’était pas causée par un virus et qu’il n’existait en fait pas de virus de la rougeole. Lanka est toujours occupé à travailler, et il a écrit cet article plus tôt cette année (traduit en anglais ici) intitulé « The Misconception called Virus » [« L’idée fausse appelée virus»] dans lequel il explique l’histoire de la façon dont la science traditionnelle s’est complètement fourvoyée avec ses conclusions (en fait des hypothèses) pour diaboliser l’humble virus et lui attribuer à tort une pathogénicité qu’il n’a pas du tout.

L’idée fausse du virus : l’histoire du virus tueur contre carence et toxicité

L’argument principal de Lanka tout au long de l’article est le suivant: lorsque les scientifiques modernes travaillent avec des tissus malades, ils pensent que la présence d’un virus est à l’origine de la maladie, au lieu de se rendre compte que le tissu en question a été séparé et isolé de son hôte, puis aspergé avec des antibiotiques, et que cette séparation et cet empoisonnement le rendent malade et le tuent, plutôt que n’importe quel virus. Lanka écrit :

« Toutes les affirmations sur les virus en tant que pathogènes sont fausses et sont basées sur des interprétations erronées facilement reconnaissables, compréhensibles et vérifiables… Tous les scientifiques qui pensent travailler avec des virus dans les laboratoires travaillent en fait avec des particules typiques de tissus ou cellules mourants spécifiques qui ont été préparés de façon spéciale. Ils croient que ces tissus et cellules meurent parce qu’ils ont été infectés par un virus. En réalité, les cellules et les tissus infectés mouraient car ils étaient affamés et empoisonnés par suite des expériences en laboratoire. »

«… La mort du tissu et des cellules a lieu exactement de la même manière lorsqu’aucun matériel génétique « infecté » n’est ajouté. Les virologues n’ont apparemment pas remarqué ce fait. Selon… la logique scientifique et les règles de conduite scientifique, des expériences de contrôle auraient dû être menées. Afin de confirmer la méthode nouvellement découverte de soi-disant « propagation du virus »… les scientifiques auraient dû effectuer des expériences supplémentaires, appelées expériences de contrôle négatif, dans lesquelles ils ajouteraient des substances stériles… à la culture cellulaire. »

« Ces expériences de contrôle n’ont jamais été menées par la « science » officielle à ce jour. Au cours de l’essai sur le virus de la rougeole, j’ai mandaté un laboratoire indépendant pour effectuer cette expérience de contrôle et le résultat a été que les tissus et les cellules meurent en raison des conditions de laboratoire exactement de la même manière que lorsqu’ils entrent en contact avec du matériel prétendument « infecté » ».

En d’autres termes, les cellules et tissus étudiés meurent exactement de la même manière avec ou sans la présence d’un virus. Par conséquent, le virus ne peut pas être la cause de la morbidité et de la mortalité. Fait intéressant, c’est exactement ce que de nombreux experts de la santé ont déclaré, à savoir qu’il n’y a que 2 causes de maladie : la carence et la toxicité. Par exemple, Charlotte Gerson (qui a repris la direction de la clinique Gerson de son brillant père Max) a dit cela à propos de la maladie et du cancer. Retirer des cellules ou des tissus du corps et ainsi les couper de leur apport en énergie/nutriments entraînera rapidement une carence. L’injection d’antibiotiques dans le mélange est une toxicité. Il n’y a donc aucune preuve solide qu’un virus provoque une maladie alors qu’il existe déjà une carence et une toxicité. C’est le point clé de l’idée fausse du virus.

Comment l’idée fausse du virus a pris racine en 1858 et s’est ancrée en 1954

Lanka fait remonter le développement de l’idée fausse du virus à 1858 et à la « théorie cellulaire » de Rudolf Virchow, qui a proposé une théorie selon laquelle toute maladie et toute vie proviennent d’une seule cellule, qui est en quelque sorte détournée par un virus qui l’affaiblit et se propage. lui-même. Lanka signale 2 problèmes avec ceci :

« La théorie cellulaire est née uniquement parce que Rudolf Virchow a supprimé des découvertes cruciales sur les tissus. Les découvertes et les idées concernant la structure, la fonction et l’importance centrale des tissus dans la création de la vie, qui étaient déjà connues en 1858, réfutent complètement la théorie cellulaire et les thérapies subséquentes génétiques, immunitaires et cancéreuses. »

« Les théories de l’infection n’ont été établies en tant que dogme mondial que par les politiques concrètes et l’eugénisme du Troisième Reich. Avant 1933, les scientifiques osaient contredire cette théorie. Après 1933, ces scientifiques critiques ont été réduits au silence. »

Par « théories de l’infection », Lanka entend la théorie des germes, la théorie dominante de la médecine occidentale moderne. Lanka décrit ensuite comment un changement de paradigme dans la perception du virus s’est produit pendant la période 1952-1954 :

« Jusqu’en 1952, un virus était défini comme un poison pathogène sous la forme d’une protéine, qui, en tant qu’enzyme, causait des dommages d’une manière inconnue, pouvant provoquer des maladies et être transmissibles. Après 1953, l’année où le prétendu ADN sous la forme d’hélice alpha présumée a été annoncé publiquement, l’idée de virus est devenue un génotype malin enveloppé de protéines. Ainsi, un changement de paradigme s’est produit entre 1952 et 1954 concernant l’image d’un virus. »

Il parle de la façon dont la théorie est devenue un dogme dans l’Église de la science traditionnelle (alias scientisme) :

« Cette approche totalement non scientifique est née en juin 1954, lorsqu’un article spéculatif non scientifique et réfutable a été publié, selon lequel la mort d’un tissu dans un tube à essai était considérée… une preuve possible de la présence d’un virus. Six mois plus tard, le 10 décembre 1954, l’auteur principal de cette opinion a reçu le prix Nobel de médecine pour une autre théorie tout aussi spéculative. La spéculation de juin 1954 fut alors élevée au rang de fait scientifique et devint un dogme qui n’a jamais été remis en cause à ce jour. Depuis juin 1954, la mort de tissus et de cellules dans un tube à essai est considérée comme la preuve de l’existence d’un virus. »

Revenons aux postulats de Koch : pas d’isolement, pas de purification

Comme je l’ai couvert dans  COVID-19 Umbrella Term to Operate a Fake Pandemic: Not 1 Disease, Not 1 Cause [COVID-19, Terme générique pour faire fonctionner une fausse pandémie : pas une maladie, pas une cause], les scientifiques traditionnels d’aujourd’hui sautent la deuxième étape très importante des postulats de Koch : l’isolement et la purification du virus. Ce n’est pas quelque chose que vous pouvez simplement ignorer ou oublier de faire, comme oublier accidentellement votre parapluie un jour de pluie et être un peu mouillé. C’est la partie absolument essentielle pour déterminer s’il existe un nouveau virus et s’il provoque une maladie. C’est la condition sine qua non. Si vous ne pouvez pas l’isoler, vous n’avez pas réussi à prouver quoi que ce soit, car la ramification naissante que vous pensez être un virus envahissant pourrait facilement être un exosome ou une particule produite par le corps lui-même. C’est pourquoi toute la propagande COVID a commodément passé sous silence le fait qu’il n’y a pas d’images au microscope électronique du SRAS-CoV-2, puisque le microscope électronique est un outil extrêmement important dans la 1ère étape des postulats de Koch, l’identification. Lanka continue :

« … Un virus n’a jamais été isolé selon le sens du mot isolement, et il n’a jamais été photographié et caractérisé biochimiquement comme une structure unique. Les micrographies électroniques des virus présumés montrent en réalité des particules cellulaires tout à fait normales provenant de tissus et de cellules mourants, et la plupart des photos ne montrent qu’un modèle informatique (CGI – images générées par ordinateur). »

Alors, qu’est-ce que tout cela a à voir avec COVID?

Donc, pour ramener cela à la plandémie [NdNM : jeu de mots pour « pandémie planifiée »] actuelle, toutes les mêmes hypothèses et le manque de preuves sont en jeu en ce qui concerne COVID :

« Des molécules individuelles sont extraites des particules de tissus et de cellules mortes, elles sont interprétées à tort comme faisant partie d’un virus et sont théoriquement rassemblées dans un modèle de virus… Le processus de recherche de consensus pour le « virus » de la rougeole, dans lequel les participants ont débattu afin de déterminer ce qui appartenait au virus et ce qui ne l’était pas, a duré des décennies. Avec le nouveau coronavirus chinois 2019 (2019-nCoV, renommé entre-temps), ce processus de recherche de consensus ne dure que quelques clics de souris.

Avec également seulement quelques clics de souris, un programme peut créer n’importe quel virus en rassemblant des molécules de courtes parties d’acides nucléiques provenant de tissus morts et de cellules avec une composition biochimique déterminée, les organisant ainsi comme vous le souhaitez dans un génotype plus long qui est ensuite déclaré être le génome complet du nouveau virus… dans ce processus de construction théorique de « l’ADN viral », les séquences qui ne correspondent pas sont « lissées » et les séquences manquantes sont ajoutées. Ainsi, on invente une séquence d’ADN qui n’existe pas dans la réalité et qui n’a jamais été découverte et scientifiquement démontrée dans son ensemble. »

Donc, fondamentalement, les scientifiques chinois traditionnels qui travaillent selon la même théorie que les scientifiques occidentaux traditionnels ont inventé un nouveau modèle théorique pour le SRAS-CoV-2 et ont proclamé un nouveau coronavirus, mais le tout sans les micrographies électroniques pour le soutenir.

[…]Est-ce de la science ou est-ce un scientisme basé sur la foi ? […]

Lanka sur le danger des vaccins

Notre manque de compréhension des virus, des maladies, du système immunitaire, de la théorie du terrain et bien plus encore est exploité par Big Pharma pour pousser des interventions médicales dangereuses telles que les vaccins. Voici ce que Lanka a à dire sur le danger et l’inefficacité des vaccins :

« [Une] concoction composée de tissus et de cellules mourants de singes, de fœtus bovins et d’antibiotiques toxiques… est utilisée comme vaccin « vivant », car elle est censée être constituée de virus dits « atténués »… [ce] mélange toxique plein de protéines étrangères, d’acides nucléiques étrangers (ADN/ARN), d’antibiotiques cytotoxiques, de microbes et de spores de tous types est qualifié de « vaccin vivant ». Il est implanté chez les enfants par vaccination, principalement dans les muscles, en une quantité qui, s’il était injecté dans les veines, entraînerait immédiatement une mort certaine… Les faits vérifiables démontrent le danger et la négligence de ces scientifiques et politiques, qui prétendent que les vaccins sont sûrs , ont peu ou pas d’effets secondaires et protégeraient contre une maladie. Aucune de ces affirmations n’est vraie et scientifique, au contraire. Après une analyse scientifique précise, on constate que les vaccins sont inutiles et la littérature respective admet l’absence de toute preuve en leur faveur. »

Réflexions finales

L’idée fausse du virus existe depuis longtemps. Aussi insensée que soit la soumission actuelle basée sur la peur, le masque et la distanciation sociale, il y a des gens qui utilisent l’opération Coronavirus comme une chance de se réveiller. Alors que certains vont plus loin dans l’inconscience et se tournent vers de nouveaux produits de protection (« améliorez votre masque avec notre bouclier protecteur de filtration d’air motorisé en instance de brevet (N95) »), d’autres ont vu le coup d’État du coronavirus pour ce qu’il est vraiment : une chance de déployer toutes sortes d’architectures de contrôle pendant que les gens somnolent dans la peur. C’est toujours une bonne idée de remettre en question les hypothèses de base de toute déclaration gouvernementale, car presque toujours, cela peut ouvrir un portail qui mène à la vérité.


Makia Freeman est rédactrice en chef du médias alternatifs et site d’information indépendant The Freedom Articles, auteur de Cancer: The Lies, the Truth and the Solutions et chercheuse senior chez ToolsForFreedom.com. Makia est sur Steemit et Parler.

Sources :
Makia Freeman est rédactrice en chef de The Freedom Articles, chercheuse de longue date sur la vérité et promotrice de la liberté. Elle fournit des analyses perspicaces, non partisanes, uniques et de pointe sur qui dirige le monde, comment ils le font et quel est le programme plus profond - ainsi que des solutions pour restaurer la paix et la liberté dans le monde. Elle écrit des articles exposant la propagande et les nombreux aspects de la conspiration mondiale, en plus de la géopolitique, de la souveraineté, de la santé et de la conscience supérieure. Ses articles sont régulièrement diffusés et présentés sur des sites tels que David Icke, Wake Up World, Activist Post, Waking Times, Global Research, The Sleuth Journal et bien d'autres.



Un médecin dénonce la propagande : « j’ai pas voté pour Rothschild »

[Source : Profession Gendarme]

Vidéo importante où la médecin fait la leçon au journaleux qui veut toujours la ramener à répondre sur les masques et elle ne se laisse pas faire. Sur un plateau de télé elle n’aurait pas pu dire tout ce qu’elle dit et qui devrait réveiller les gens les plus « ensuqués » comme on dit ici. C’est une femme, sûrement une mère ou grand-mère et un médecin et ce doit être difficile de la faire passer pour complotiste. Si le journaleux avait deux sous de dignité et d’honneur il démissionnerait immédiatement de BFM WC.

https://youtu.be/SzcllxyyMwg



La science est concluante : les masques et les respirateurs n’empêchent PAS la transmission des virus

[Source originale anglaise (PDF) : Masks Don’t Work]

[Author:] Dr. Dennis Rancourt, PhD
researchgate.net

[NdNM : version française trouvée sur un forum sans mention du traducteur]

Commentaire :
Cette revue de la littérature scientifique sur le port de masques chirurgicaux et autres comme moyen de prévenir la transmission du SRAS-CoV-2 et donc d'empêcher de contracter la "Covid-19" a été publiée il y a un mois.

Résumé

Les masques et les respirateurs ne fonctionnent pas. Des études approfondies d’essais contrôlés randomisés (ECR) et des méta-analyses d’études d’ECR ont montré que les masques et les respirateurs ne fonctionnent pas pour prévenir les maladies respiratoires de type grippal, ou les maladies respiratoires que l’on pense être transmises par des gouttelettes et des particules d’aérosol.

En outre, les données physiques et biologiques pertinentes que j’ai examinées sont telles que les masques et les respirateurs ne devraient pas fonctionner. Il serait paradoxal que les masques et les respirateurs fonctionnent, compte tenu de ce que nous savons sur les maladies respiratoires virales : La principale voie de transmission est celle des particules d’aérosols à long temps de séjour (< 2,5 μm), qui sont trop fines pour être bloquées, et la dose infectieuse minimale est inférieure à une particule d’aérosol.

Le présent document sur les masques illustre la mesure dans laquelle les gouvernements, les médias grand public et les propagandistes institutionnels peuvent décider d’opérer dans le vide scientifique ou de ne sélectionner que des données scientifiques incomplètes qui servent leurs intérêts. Une telle insouciance est certainement aussi le cas avec l’actuel confinement mondial de plus d’un milliard de personnes, une expérience sans précédent dans l’histoire médicale et politique.

Revue de la littérature médicale

Voici les principaux points d’ancrage de la vaste littérature scientifique qui établit que le port de masques chirurgicaux et de respirateurs (par exemple, « N95 ») ne réduit pas le risque de contracter une maladie avérée :

– Jacobs, J. L. et al (2009) « Use of surgical face masks to reduce the incidence of the common cold among health care workers in Japan » : A randomized controlled trial », American Journal of Infection Control, volume 37, numéro 5, 417 – 419.

« Les travailleurs de la santé masqués de N95 étaient nettement plus susceptibles d’éprouver des maux de tête. Il n’a pas été démontré que l’utilisation de masques faciaux chez les travailleurs de la santé présentait des avantages en termes de symptômes de rhume ou de refroidissement. »

– Cowling, B. et al (2010) « Face masks to prevent transmission of influenza virus : A systematic review », Epidemiology and Infection, 138(4), 449-456. doi:10.1017/S0950268809991658

Aucune des études examinées n’a montré un bénéfice du port d’un masque, que ce soit chez les travailleurs de la santé ou les membres de la communauté dans les ménages (H). Voir les tableaux récapitulatifs 1 et 2.

– bin-Reza et al (2012) « The use of masks and respirators to prevent transmission of influenza : a systematic review of the scientific evidence« , Influenza and Other Respiratory Viruses 6(4), 257-267.

« Il y a eu 17 études admissibles. […] Aucune des études n’a établi de relation concluante entre l’utilisation de masques⁄respirateurs et la protection contre l’infection par le virus influenza« .

– Smith, J.D. et al. (2016) « Efficacité des respirateurs N95 par rapport aux masques chirurgicaux pour protéger les travailleurs de la santé contre les infections respiratoires aiguës : revue systématique et méta-analyse« , CMAJ mars 2016, cmaj.150835 ; DOI : 10.1503/cmaj.150835

« Nous avons identifié 6 études cliniques … Dans la méta-analyse des études cliniques, nous n’avons trouvé aucune différence significative entre les respirateurs N95 et les masques chirurgicaux en ce qui concerne le risque associé (a) d’infection respiratoire confirmée en laboratoire, (b) de maladie de type grippal, ou (c) d’absentéisme au travail déclaré« .

– Offeddu, V. et al (2017) « Efficacité des masques et des respirateurs contre les infections respiratoires chez les travailleurs de la santé : A Systematic Review and Meta-Analysis », Clinical Infectious Diseases, Volume 65, Issue 11, 1 December 2017, Pages 1934-1942, https://doi.org/10.1093/cid/cix681

« L’évaluation autodéclarée des résultats cliniques était sujette à des biais. La preuve d’un effet protecteur des masques ou des respirateurs contre une infection respiratoire vérifiée (IRM) n’était pas statistiquement significative » ; selon la figure 2c de ce document :

[image]

Radonovich, L.J. et al (2019) « N95 Respirators vs Medical Masks for Preventing Influenza Among Health Care Personnel : A Randomized Clinical Trial », JAMA. 2019 ; 322(9) : 824-833. doi:10.1001/jama.2019.11645

« Parmi les 2862 participants randomisés, 2371 ont terminé l’étude et ont représenté 5180 saisons de travail. … Parmi le personnel de santé ambulatoire, les respirateurs N95 par rapport aux masques médicaux tels que portés par les participants à cet essai n’ont entraîné aucune différence significative dans l’incidence de la grippe confirmée en laboratoire« .

Long, Y. et al (2020) « Effectiveness of N95 respirators versus surgical masks against influenza : A systematic review and meta-analysis », J Evid Based Med. 2020 ; 1- 9. https://doi.org/10.1111/jebm.12381

« Au total, six ECR impliquant 9 171 participants ont été inclus. Aucune différence statistiquement significative n’a été constatée dans la prévention de la grippe confirmée en laboratoire, des infections virales respiratoires confirmées en laboratoire, des infections respiratoires confirmées en laboratoire et des affections de type grippal à l’aide de respirateurs N95 et de masques chirurgicaux. La méta-analyse a indiqué un effet protecteur des respirateurs N95 contre la colonisation bactérienne confirmée en laboratoire (RR = 0,58, 95 % IC 0,43-0,78). L’utilisation d’appareils respiratoires N95 par rapport aux masques chirurgicaux n’est pas associée à un risque moindre de grippe confirmée en laboratoire« .

Conclusion concernant les masques qui ne fonctionnent pas

Aucune étude RCT dont les résultats ont été vérifiés ne montre que le port d’un masque ou d’un respirateur est bénéfique pour les travailleurs de la santé ou les membres de la communauté dans les ménages. Il n’existe aucune étude de ce type. Il n’y a aucune exception. De même, il n’existe aucune étude qui montre un bénéfice d’une politique générale de port de masques en public (plus d’informations à ce sujet ci-dessous).

De plus, s’il y avait un avantage à porter un masque, en raison de son pouvoir de blocage contre les gouttelettes et les particules d’aérosol, le port d’un respirateur (N95) devrait être plus avantageux que celui d’un masque chirurgical. Pourtant, plusieurs grandes méta-analyses, et tous les ECR, prouvent qu’il n’y a pas un tel avantage relatif. Les masques et les respirateurs ne fonctionnent pas.

Le principe de précaution tourné sur la tête avec les masques

À la lumière de la recherche médicale, il est donc difficile de comprendre pourquoi les autorités de santé publique n’appliquent pas systématiquement ces résultats scientifiques bien établis, étant donné que les dommages psychologiques, économiques et environnementaux répartis résultant d’une recommandation générale de porter des masques sont importants, sans parler des dommages potentiels inconnus dus à la concentration et à la distribution des agents pathogènes sur et à partir des masques utilisés.

Dans ce cas, les autorités publiques iraient à l’encontre du principe de précaution (voir ci-dessous).

Physique et biologie des maladies respiratoires virales, et pourquoi les masques ne fonctionnent pas

Afin de comprendre pourquoi les masques ne peuvent pas fonctionner, nous devons revoir les connaissances établies sur les maladies respiratoires virales, le mécanisme de variation saisonnière de la surmortalité due à la pneumonie et à la grippe, le mécanisme de transmission des maladies infectieuses par aérosol, la physique et la chimie des aérosols et le mécanisme de la dose infectieuse minimale.

Outre les pandémies qui peuvent survenir à tout moment, les latitudes tempérées connaissent un surcroît de mortalité due à des maladies respiratoires qui est saisonnier et qui est causé par des virus. Voir, par exemple, l’étude de Paules et Subbarao sur la grippe (2017). Ce phénomène est connu depuis longtemps et le schéma saisonnier est extrêmement régulier.

Par exemple, voir la figure 1 de Viboud (2010), qui présente une « série chronologique hebdomadaire du rapport entre le nombre de décès dus à la pneumonie et à la grippe et le nombre total de décès, basée sur la surveillance de 122 villes aux États-Unis (ligne bleue) ». La ligne rouge représente le ratio de base attendu en l’absence d’activité grippale », ici :

Le caractère saisonnier du phénomène n’a été largement compris qu’il y a une décennie. Jusqu’à récemment, on se demandait si le phénomène était principalement dû à un changement saisonnier de la virulence des agents pathogènes ou à un changement saisonnier de la sensibilité de l’hôte (par exemple, un air sec provoquant une irritation des tissus ou une diminution de la lumière du jour provoquant une carence en vitamines ou un stress hormonal). Voir, par exemple, Dowell (2001).

[image]

Dans une étude qui fait date, Shaman et al. (2010) ont montré que le schéma saisonnier de la mortalité due aux maladies extra respiratoires peut être expliqué quantitativement sur la seule base de l’humidité absolue et de son impact direct sur la transmission des agents pathogènes dans l’air.

Lowen et ses collègues (2007) ont démontré le phénomène de virulence des virus aériens dépendant de l’humidité dans la transmission réelle de maladies entre cobayes, et ont examiné les mécanismes sous-jacents potentiels de l’effet de contrôle mesuré de l’humidité.

Le mécanisme sous-jacent est que les particules ou gouttelettes d’aérosol chargées d’agents pathogènes sont neutralisées au cours d’une demi-vie qui diminue de manière monotone et significative avec l’augmentation de l’humidité ambiante. Ce mécanisme est basé sur les travaux fondateurs de Harper (1961). Harper a montré expérimentalement que les gouttelettes porteuses de virus et d’agents pathogènes étaient inactivées dans des délais de plus en plus courts, à mesure que l’humidité ambiante augmentait.

Harper a soutenu que les virus eux-mêmes étaient rendus inopérants par l’humidité (« décomposition viable »), mais il a admis que l’effet pouvait être dû à l’élimination physique ou à la sédimentation des gouttelettes par l’humidité (« perte physique ») : « Les viabilités des aérosols rapportées dans cet article sont basées sur le rapport entre le titre du virus et la numération radioactive dans les échantillons de suspension et de nuages, et peuvent être critiquées au motif que les matériaux de test et de traçage n’étaient pas physiquement identiques ».

Ce dernier point (« perte physique ») me semble plus plausible, puisque l’humidité aurait un effet physique universel de provoquer la croissance et la sédimentation des particules/gouttelettes, et que tous les agents pathogènes viraux testés ont essentiellement la même « décomposition » due à l’humidité. En outre, il est difficile de comprendre comment un virion (de tous les types de virus) dans une gouttelette serait attaqué ou endommagé au niveau moléculaire ou structurel par une augmentation de l’humidité ambiante. Un « virion » est la forme complète et infectieuse d’un virus en dehors d’une cellule hôte, avec un noyau d’ARN ou d’ADN et une capside. Le mécanisme réel de cette « décomposition viable » d’un virion par l’humidité à l’intérieur d’une gouttelette n’a pas été expliqué ni étudié.

En tout état de cause, l’explication et le modèle de Shaman et al. (2010) ne dépendent pas du mécanisme particulier de la décomposition des virions en aérosol/gouttelettes par l’humidité. Le modèle d’épidémiologie virale régionale saisonnière quantitativement démontré par Shaman est valable pour l’un ou l’autre mécanisme (ou combinaison de mécanismes), que ce soit la « décroissance viable » ou la « perte physique ».

La percée réalisée par Shaman et al. n’est pas seulement un point académique. Elle a plutôt de profondes implications en matière de politique de santé, qui ont été entièrement ignorées ou négligées dans la pandémie actuelle de coronavirus.

En particulier, le travail de Shaman implique nécessairement que, plutôt que d’être un nombre fixe (dépendant uniquement de la structure spatio-temporelle des interactions sociales dans une population totalement sensible, et de la souche virale), le nombre de reproduction de base de l’épidémie (R0) est fortement ou principalement dépendant de l’humidité absolue ambiante.

Pour une définition du R0, voir HealthKnowlege-UK (2020) : R0 est « le nombre moyen d’infections secondaires produites par un cas typique d’infection dans une population où tout le monde est sensible ». Le R0 moyen pour la grippe serait de 1,28 (1,19-1,37) ; voir l’étude exhaustive de Biggerstaff et al. (2014).

En fait, Shaman et al. ont montré que le R0 doit être compris comme variant selon les saisons entre des valeurs d’été humide à peine supérieures à « 1 » et des valeurs d’hiver sec généralement aussi élevées que « 4 » (voir par exemple leur tableau 2). En d’autres termes, les maladies respiratoires virales infectieuses saisonnières qui sévissent chaque année sous les latitudes tempérées passent d’une contagiosité intrinsèquement légère à une contagiosité virulente, simplement en raison du mode de transmission biophysique contrôlé par l’humidité atmosphérique, indépendamment de toute autre considération.

Par conséquent, toute la modélisation mathématique épidémiologique des avantages des politiques médiatrices (telles que la distanciation sociale), qui suppose des valeurs de R0 indépendantes de l’humidité, a une grande probabilité d’être de peu de valeur, sur cette seule base. Pour des études sur la modélisation et sur les effets de la médiation sur le nombre effectif de reproduction, voir Coburn (2009) et Tracht (2010).

Pour faire simple, la « deuxième vague » d’une épidémie n’est pas une conséquence du péché humain concernant le port de masque et la poignée de main. Il s’agit plutôt d’une conséquence inévitable d’une forte augmentation de la contagiosité de la maladie, due à la sécheresse de l’air, dans une population qui n’a pas encore atteint l’immunité.

Si mon point de vue sur le mécanisme est correct (c’est-à-dire la « perte physique »), alors le travail du Shaman implique nécessairement que la haute transmissibilité due à la sécheresse (grand R0) provient de petites particules d’aérosol en suspension dans l’air ; par opposition aux grosses gouttelettes qui sont rapidement éliminées de l’air par gravité.

Ces petites particules d’aérosol en suspension dans l’air, d’origine biologique, sont de tout type et sont partout, y compris jusqu’à la taille d’un virion (Despres, 2012). Il n’est pas totalement improbable que des virus puissent ainsi être physiquement transportés sur des distances intercontinentales (par exemple, Hammond, 1989).

Plus précisément, il a été démontré que les concentrations de virus dans l’air intérieur (dans les garderies, les centres de santé et à bord des avions) existent principalement sous forme de particules d’aérosol de diamètre inférieur à 2,5 μm, comme dans les travaux de Yang et al. (2011) :

« La moitié des 16 échantillons étaient positifs, et leurs concentrations totales en virus variaient de 5800 à 37 000 copies du génome m-3. En moyenne, 64 % des copies du génome viral étaient associées à des particules fines de moins de 2,5 µm, qui peuvent rester en suspension pendant des heures. La modélisation des concentrations de virus à l’intérieur a suggéré une force de source de 1,6 ± 1,2 × 105 copies du génome m-3 air h-1 et un flux de dépôt sur les surfaces de 13 ± 7 copies du génome m-2 h-1 par mouvement brownien. Sur une heure, la dose d’inhalation a été estimée à 30 ± 18 dose infectieuse médiane en culture tissulaire (TCID50), suffisante pour induire l’infection. Ces résultats apportent un soutien quantitatif à l’idée que la voie aérosol pourrait être un mode important de transmission de la grippe« .

Ces petites particules (< 2,5 μm) font partie de la fluidité de l’air, ne sont pas soumises à la sédimentation gravitationnelle et ne seraient pas arrêtées par un impact inertiel à longue distance. Cela signifie que le moindre défaut d’ajustement facial (même momentané) d’un masque ou d’un respirateur rend la norme de filtration du masque ou du respirateur tout à fait inappropriée. En tout état de cause, le matériau de filtration lui-même de N95 (taille moyenne des pores ~0,3-0,5 μm) ne bloque pas la pénétration du virion, sans parler des masques chirurgicaux. Par exemple, voir Balazy et al. (2006).

Le manque d’efficacité du masque et l’inhalation par l’hôte ne représentent cependant que la moitié de l’équation, car il faut également tenir compte de la dose infectieuse minimale (DIM). Par exemple, si un grand nombre de particules chargées d’agents pathogènes doivent être délivrées au poumon dans un certain délai pour que la maladie s’installe, alors un blocage partiel par un masque ou un tissu peut suffire à faire une différence significative.

D’autre part, si la MID est largement dépassée par les virions transportés dans une seule particule d’aérosol capable d’échapper à la capture par le masque, alors le masque n’a aucune utilité pratique, ce qui est le cas.

Yezli et Otter (2011), dans leur examen de la MID, soulignent les caractéristiques pertinentes :

  • la plupart des virus respiratoires sont aussi infectieux chez l’homme que dans les cultures de tissus ayant une sensibilité optimale en laboratoire
  • on pense qu’un seul virion peut suffire à induire une maladie chez l’hôte
    la MID à 50 % de probabilité (« TCID50 ») se situe, de façon variable, entre 100 et 1000 virions
  • il y a généralement 103-107 virions par gouttelette de grippe aérolisée de diamètre 1 μm – 10 μm
  • la MID à 50 % de probabilité s’insère facilement dans une seule (une) gouttelette aérolisée

Pour en savoir plus :

  • Haas (1993) fournit une description classique de l’évaluation dose-réponse.
  • Zwart et al. (2009) ont fourni la première preuve en laboratoire, dans un système virus-insecte, que l’action d’un seul virion peut être suffisante pour provoquer une maladie.
  • Baccam et al. (2006) ont calculé, à partir de données empiriques, qu’avec la grippe A chez l’homme, « nous estimons qu’après un délai de ~6 h, les cellules infectées commencent à produire le virus de la grippe et continuent à le faire pendant ~5 h. La durée de vie moyenne des cellules infectées est de ~11 h, et la demi-vie du virus infectieux libre est de ~3 h. Nous avons calculé le nombre de reproduction de base [dans le corps], R0, qui indique qu’une seule cellule infectée peut produire ~22 nouvelles infections productives ».
  • Brooke et al. (2013) ont montré que, contrairement aux hypothèses de modélisation précédentes, bien que toutes les cellules infectées par le virus de la grippe A dans le corps humain ne produisent pas une progéniture infectieuse (virions), néanmoins, 90 % des cellules infectées sont significativement affectées, plutôt que de simplement survivre indemnes.

Tout cela pour dire que : si quelque chose passe (et c’est toujours le cas, quel que soit le masque), alors vous allez être infecté. Les masques ne peuvent pas fonctionner. Il n’est donc pas surprenant qu’aucune étude impartiale n’ait jamais trouvé un avantage au port d’un masque ou d’un respirateur dans cette application.

Par conséquent, les études qui montrent la capacité de barrière partielle des masques, ou qui montrent que les masques peuvent capturer de nombreuses grosses gouttelettes produites par un porteur de masque qui éternue ou tousse, à la lumière des caractéristiques du problème décrites ci-dessus, ne sont pas pertinentes. Voir, par exemple, des études de ce type : Leung (2020), Davies (2013), Lai (2012) et Sande (2008).

Pourquoi il ne peut jamais y avoir de test empirique d’une politique nationale de port de masque

Comme mentionné ci-dessus, il n’existe aucune étude qui montre un bénéfice d’une politique générale de port de masques en public. Il y a une bonne raison à cela. Il serait impossible d’obtenir des résultats sans ambiguïté et sans parti pris :

  • Tout avantage du port de masque devrait minime, non détecté dans des expériences contrôlées, qui serait noyé par les effets plus importants, notamment l’effet important du changement de l’humidité atmosphérique.
  • Les habitudes de conformité et d’ajustement des masques seraient inconnues.
  • Le port du masque est associé (corrélé) à plusieurs autres comportements de santé ; voir Wada (2012).
  • Les résultats ne seraient pas transférables, en raison des différences d’habitudes culturelles.
  • La conformité est obtenue par la peur, et les individus peuvent s’habituer à une propagande basée sur la peur, et peuvent répondre essentiellement de manière disparate.
  • Le contrôle et la mesure de la conformité sont pratiquement impossibles et sont sujets à de grandes erreurs.
  • – Il est notoire que les déclarations volontaires (comme dans les enquêtes) sont biaisées, car les individus ont la conviction intéressée, que leurs efforts sont utiles.
  • La progression de l’épidémie n’est pas vérifiée par des tests fiables sur de larges échantillons de population, et repose généralement sur des visites ou des admissions à l’hôpital non représentatives.
  • Plusieurs agents pathogènes différents (virus et souches de virus) provoquant des maladies respiratoires agissent généralement ensemble, dans la même population et/ou chez les individus, et ne sont pas résolus, tout en ayant des caractéristiques épidémiologiques différentes.

Aspects inconnus du port du masque

De nombreux préjudices potentiels peuvent découler des politiques publiques générales de port de masques, et les questions suivantes restent sans réponse :

  • Les masques utilisés et chargés deviennent-ils des sources de transmission accrue, pour le porteur et les autres ?
  • Les masques deviennent-ils des collecteurs et des réservoirs d’agents pathogènes que le porteur du masque éviterait autrement en respirant sans masque ?
  • Les grosses gouttelettes capturées par un masque sont-elles atomisées ou pulvérisées en composants respirables ? Les virions peuvent-ils s’échapper d’une gouttelette en évaporation collée à une fibre du masque ?
  • Quels sont les dangers de la croissance bactérienne sur un masque usagé et chargé ?
  • Comment les gouttelettes chargées d’agents pathogènes interagissent-elles avec les poussières et les aérosols de l’environnement capturés sur le masque ?
  • Quels sont les effets à long terme sur la santé des travailleurs de la santé, tels que les maux de tête, résultant d’une respiration entravée ?
  • Y a-t-il des conséquences sociales négatives pour une société masquée ?
  • Y a-t-il des conséquences psychologiques négatives au port d’un masque, en tant que modification comportementale basée sur la peur ?
  • Quelles sont les conséquences environnementales de la fabrication et de l’élimination des masques ?
  • Les masques perdent-ils des fibres ou des substances qui sont nocives lorsqu’elles sont inhalées ?

Conclusion

En formulant des recommandations et des politiques de port du masque à l’intention du grand public, ou en approuvant expressément cette pratique, les gouvernements ont à la fois ignoré les preuves scientifiques et fait le contraire de suivre le principe de précaution.

En l’absence de connaissances, les gouvernements ne devraient pas élaborer des politiques qui ont un potentiel hypothétique de causer des dommages. Le gouvernement a un obstacle à franchir avant d’entreprendre une vaste intervention d’ingénierie sociale ou de permettre aux entreprises d’exploiter des sentiments fondés sur la peur.

En outre, les individus doivent savoir qu’il n’y a aucun avantage connu à porter un masque dans une épidémie de maladie respiratoire virale, et que des études scientifiques ont montré que tout avantage doit être résiduellement faible, comparé à d’autres facteurs déterminants.

Sinon, quel est l’intérêt de la science financée par les pouvoirs publics ?

Le présent document sur les masques illustre la mesure dans laquelle les gouvernements, les médias grand public et les propagandistes institutionnels peuvent décider d’opérer dans un vide scientifique ou de ne sélectionner que des données scientifiques incomplètes qui servent leurs intérêts. Une telle insouciance est certainement aussi le cas avec l’actuel confinement mondial de plus d’un milliard de personnes, une expérience sans précédent dans l’histoire médicale et politique.


Bibliographie

• Baccam, P. et al. (2006) « Kinetics of Influenza A Virus Infection in Humans », Journal of Virology Jul 2006, 80 (15) 7590-7599; DOI: 10.1128/JVI.01623-05
• Balazy et al. (2006) « Do N95 respirators provide 95% protection level against airborne viruses, and how adequate are surgical masks? », American Journal of Infection Control, Volume 34, Issue 2, March 2006, Pages 51-57. doi:10.1016/j.ajic.2005.08.018
• Biggerstaff, M. et al. (2014) « Estimates of the reproduction number for seasonal, pandemic, and zoonotic influenza: a systematic review of the literature », BMC Infect Dis 14, 480 (2014).
• Brooke, C. B. et al. (2013) « Most Influenza A Virions Fail To Express at Least One Essential Viral Protein », Journal of Virology Feb 2013, 87 (6) 3155-3162; DOI: 10.1128/JVI.02284-12
• Coburn, B. J. et al. (2009) « Modeling influenza epidemics and pandemics: insights into the future of swine flu (H1N1) », BMC Med 7, 30.
• Davies, A. et al. (2013) « Testing the Efficacy of Homemade Masks: Would They Protect in an Influenza Pandemic? », Disaster Medicine and Public Health Preparedness, Available on CJO 2013 doi:10.1017/dmp.2013.43
• Despres, V. R. et al. (2012) « Primary biological aerosol particles in the atmosphere: a review », Tellus B: Chemical and Physical Meteorology, 64:1, 15598, DOI: 10.3402/tellusb.v64i0.15598
• Dowell, S. F. (2001) « Seasonal variation in host susceptibility and cycles of certain infectious diseases », Emerg Infect Dis. 2001;7(3):369-374. doi:10.3201/eid0703.010301
• Hammond, G. W. et al. (1989) « Impact of Atmospheric Dispersion and Transport of Viral Aerosols on the Epidemiology of Influenza », Reviews of Infectious Diseases, Volume 11, Issue 3, May 1989, Pages 494-497,
• Haas, C.N. et al. (1993) « Risk Assessment of Virus in Drinking Water », Risk Analysis, 13: 545-552. doi:10.1111/j.1539-6924.1993.tb00013.x
• HealthKnowlege-UK (2020) « Charter 1a – Epidemiology: Epidemic theory (effective & basic reproduction numbers, epidemic thresholds) & techniques for analysis of infectious disease data (construction & use of epidemic curves, generation numbers, exceptional reporting & identification of significant clusters) », HealthKnowledge.org.uk, accessed on 2020-04-10.
• Lai, A. C. K. et al. (2012) « Effectiveness of facemasks to reduce exposure hazards for airborne infections among general populations », J. R. Soc. Interface. 9938-948
• Leung, N.H.L. et al. (2020) « Respiratory virus shedding in exhaled breath and efficacy of face masks », Nature Medicine (2020).
• Lowen, A. C. et al. (2007) « Influenza Virus Transmission Is Dependent on Relative Humidity and Temperature », PLoS Pathog 3(10): e151.
• Paules, C. and Subbarao, S. (2017) « Influenza », Lancet, Seminar| Volume 390, ISSUE 10095, P697-708, August 12, 2017.
• Sande, van der, M. et al. (2008) « Professional and Home-Made Face Masks Reduce Exposure to Respiratory Infections among the General Population », PLoS ONE 3(7): e2618. doi:10.1371/journal.pone.0002618 Shaman, J. et al. (2010) « Absolute Humidity and the Seasonal Onset of Influenza in the Continental United States », PLoS Biol 8(2): e1000316. https://doi.org/10.1371/journal.pbio.1000316
• Tracht, S. M. et al. (2010) « Mathematical Modeling of the Effectiveness of Facemasks in Reducing the Spread of Novel Influenza A (H1N1) », PLoS ONE 5(2): e9018. doi:10.1371/journal.pone.0009018
• Viboud C. et al. (2010) « Preliminary Estimates of Mortality and Years of Life Lost Associated with the 2009 A/H1N1 Pandemic in the US and Comparison with Past Influenza Seasons », PLoS Curr. 2010; 2:RRN1153. Published 2010 Mar 20. doi:10.1371/currents.rrn1153
• Wada, K. et al. (2012) « Wearing face masks in public during the influenza season may reflect other positive hygiene practices in Japan », BMC Public Health 12, 1065 (2012).
• Yang, W. et al. (2011) « Concentrations and size distributions of airborne influenza A viruses measured indoors at a health centre, a day-care centre and on aeroplanes », Journal of the Royal Society, Interface. 2011 Aug;8(61):1176-1184. DOI: 10.1098/rsif.2010.0686.
• Yezli, S., Otter, J.A. (2011) « Minimum Infective Dose of the Major Human Respiratory and Enteric Viruses Transmitted Through Food and the Environment », Food Environ Virol 3, 1-30.
• Zwart, M. P. et al. (2009) « An experimental test of the independent action hypothesis in virus-insect pathosystems », Proc. R. Soc. B. 2762233-2242


À propos de l’auteur
Dennis Rancourt est titulaire d'un doctorat de l'Université de Toronto (1984) et a été professeur de physique à l'Université d'Ottawa.



Coronavirus : et si les masques faisaient plus de mal que de bien ?

[Source : Futura Santé]

Par Céline Deluzarche, Journaliste

Le masque est devenu dans le débat public l’élément central du déconfinement. Plusieurs études attestent de son efficacité contre la transmission du SARS-Cov-2. Pourtant, d’autres scientifiques dénoncent des conclusions biaisées et mettent en gardent contre la fausse sécurité conférée par le port du masque.

« Si vous êtes en bonne santé, vous ne devez utiliser un masque que si vous vous occupez d’une personne présumée infectée par le Covid-19 », indique clairement sur son site l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Autrement dit, le masque n’est pas recommandé pour l’ensemble du public. « Il n’existe aucune preuve que le port d’un masque par des personnes en bonne santé puisse empêcher d’être infecté par des virus respiratoires », insiste l’OMS.

Une position qu’a longtemps défendue le gouvernement, avant de faire une volte-face à 180° devant les arguments d’autres scientifiques, jusqu’à imposer le port du masque dans les transports obligatoires. Le 22 avril, l’Académie de médecine a appelé tous les Français à porter sans attendre un masque de protection grand public, même artisanal, dès qu’ils sortent de chez eux. « Veiller à ne pas contaminer les autres n’est pas facultatif, c’est une attitude citoyenne qui doit être rendue obligatoire dans l’espace public », a claironné l’Académie. « Le port de masque grand public par les porteurs asymptomatiques, lorsqu’il est bien utilisé et bien porté, réduit fortement la transmission du virus », confirme également le Haut Conseil de la santé publique (HCSP).

Tout d’abord il faut se rappeler que le masque n’est pas vraiment une protection pour vous, mais plutôt pour les autres. Pour que son efficacité soit bonne, il faut que les deux personnes qui se parlent en ait un. pic.twitter.com/sD5jn6GMuy— @AidonsRosny (@AidonsRosny) May 5, 2020

Les études contradictoires s’enchaînent

À la décharge du gouvernement, il faut dire que les étude contradictoires s’enchaînent. Le 12 avril, une étude sud-coréenne concluait à l’inefficacité des masques, y compris chirurgicaux dans la limitation de la transmission, en raison notamment de la taille des particules virales, capables de traverser les masques. Une nouvelle étude du groupe Delve (Data Evaluation and Learning for Viral Epidemics) de la Royal Society, basée sur de précédentes recherches, affirme de son côté que « l’adoption généralisée de masques faciaux peut aider à contrôler l’épidémie de Covid-19 en réduisant l’émission de gouttelettes dans l’environnement par les individus asymptomatiques. Cela confirme également les expériences des pays qui ont adopté cette stratégie », indiquent les auteurs — même si la plupart des masques portés en Asie visent la majorité du temps à se protéger de la pollution.

Aucune preuve solide de l’efficacité des masques

« ll n’y a aucune preuve solide que le masque peut réduire la transmission du virus dans la communauté », rejette Ben Killingley, consultant en médecine aiguë et en maladies infectieuses à l’hôpital University College de Londres, interrogé par le Guardian. « Les études sur les masques faciaux n’ont pas été menées pendant une pandémie ou dans le contexte d’un nouveau virus », met en garde le spécialiste. De plus, les tests sont menés en laboratoire, bien loin des conditions réelles de la vie de tous les jours.

La gêne occasionnée par le masque conduit les personnes à se toucher plus fréquemment le visage. © Africa Studio, Adobe Stock
La gêne occasionnée par le masque conduit les personnes à se toucher plus fréquemment le visage.
© Africa Studio, Adobe Stock

Or, selon plusieurs spécialistes, les inconvénients des masques l’emportent largement sur ses bénéfices. « L’utilisation de masques médicaux à grande échelle peut créer un faux sentiment de sécurité, et entraîner la négligence d’autres mesures essentielles, telles que l’hygiène des mains et la distanciation physique », remarque par exemple l’OMS.

En second lieu, la gêne occasionnée par le masque conduit les personnes à se toucher plus fréquemment le visage avec leurs mains potentiellement contaminées, ce qui accroît le risque d’attraper le virus. Sans compter les difficultés à respirer au travers de certains masques. De fait, on voit un grand nombre de personnes ayant réclamé des masques à cor et à cris porter les masques… sur le menton. « Je suis allergique au tissu », plaide par exemple Sophie, caissière à Strasbourg. Dernier souci : le masque doit en principe être lavé après chaque usage, ce qui est loin d’être le cas.

Le principe de précaution avant les preuves scientifiques ?

« Avant de mettre en œuvre des interventions publiques impliquant des milliards de personnes, il nous faut des essais contrôlés randomisés au niveau de la population ou au moins des études de suivi par observation avec des groupes de comparaison », conclut Antonio Lazzarino, du département d’épidémiologie et de santé publique de l’University College de Londres. Des précautions que n’a pas attendues le gouvernement pour commander 3 milliards de masques et pour étendre sa distribution aux supermarchés.




En séance publique, une femme dénonce le port du masque, la 5G, Bill Gates, les pédophiles…

[Source : Le Rifain]

https://youtu.be/YDhohRHVct0

[Extraits en anglais de The Hill :]

Une séance de commentaires publics du conseil des commissaires du comté de Palm Beach est devenue virale mercredi [24 juin] après que les résidents aient dénoncé les lois de masquage obligatoires (…).

Une participante, Sylvia Ball, a déclaré qu’elle était «très triste de voir les autorités piétiner nos droits constitutionnels» (…).

Une autre participante, Christina Gomez [dans la vidéo], a juré: «Nous nous réunirons et procéderons à une arrestation citoyenne sur chaque être humain qui va à l’encontre de la liberté de choix», ajoutant que les masques «tuent littéralement [des gens] … et chacun d’entre vous qui obéissent à la loi du diable vont être arrêtés pour crimes contre l’humanité. »




Masque et Covid-19 : la perspective d’un chercheur scientifique

[Source : Studio Théovox]

[Vidéo sur Facebook :]

https://www.facebook.com/studio.theovox.tv/videos/4696237033735338/

[Vidéo sur YouTube :]

https://youtu.be/aqIZbyZJRZE

De passage à Ottawa la semaine dernière, ThéoVox Actualités à eu l’honneur et le privilège d’échanger avec M. Denis Rancourt Scientifique et Chercheur qui nous a reçu à son domicile.

M. Denis Rancourt a été :

– Scientifique, chercheur et ancien professeur à l’université d’Ottawa
– Il a pratiqué plusieurs domaines de la science
– Il a été financé par une agence nationale
– Il a dirigé un laboratoire reconnu internationalement
– Il a publié plus de 100 articles dans des revues scientifiques importantes
– Il a publié plusieurs essais de commentaires sociaux

Il travaille aujourd’hui comme scientifique et chercheur à l’Association des libertés civiles de l’Ontario. Il est sans contredit un chercheur émérite ayant fait sa marque non seulement chez nous au Canada mais à travers le monde.

Ayant fait plusieurs recherches sur diverses controverses rattachées à la pandémie de la covid-19, il vient répondre aujourd’hui à nos questions notamment sur le port du masque, le confinement et la distanciation sociale.

Bonne écoute !

l’Équipe ThéoVox !


[Voir aussi :




Le masque des virologues

C’est ce que les virologues portent pour se protéger d’un virus.
Mais ne vous inquiétez pas … votre bandana fonctionne aussi.



Pétition contre le port du masque au Québec

Lancée le 13 juillet. Déjà plus de 39 000 signatures.

Lien vers la pétition : http://chng.it/jpypq5bTRt


Voir aussi :




Pétition contre le port du masque au Québec – Mise à jour

Lancée le 13 juillet. Elle avait recueilli plus de 55 000 signatures au matin du 15 juillet avant de mystérieusement disparaître.

Plusieurs explication sont envisageables devant un tel retrait :

  • Pressions ou menaces contre le site Change.org qui hébergeait la pétition;
  • Pressions ou menaces contre l’initiatrice de la pétition;
  • Moyen rapide de collecter le nom d’opposants au port du masque;
  • Moyen de récolter des adresses courriel;
  • Autre chose ?

Voir aussi :




Nouvelle pétition contre le port du masque au Québec

Lancée également le 13 juillet, elle a recueilli plus de 45 000 signatures au soir du 15 juillet.

Voici le lien : http://chng.it/kY7VJ67Bf2

Et en voici une capture d’écran :


Voir aussi :




Le masque comme symbole de soumission

Ils savent que le coronavirus [covid-19] est un canular. Il y a une raison de croire qu’ils peuvent vouloir seulement notre servilité.
Ils savent que le masque que nous sommes maintenant obligés de porter ne marche pas. La question est alors : pourquoi l’imposent-ils?
Jetons un coup d’œil à l’Histoire.
Masques contre le coronavirus :
Masques pour punitions :
Masques d’esclavage :

Pour les communistes, la servilité représente TOUT.
Nous sommes visiblement entraînés [à cette fin].

[Source : Mondialisation.ca vie Réseau International]

Nous savons que le port d’un masque en dehors des établissements de santé n’offre que peu, voire aucune protection contre les infections.

The New England Journal of Medicine, 21 mai 2020

Ils nous ont dit exactement ce qui allait arriver, et nous ont conseillé de nous taire et de suivre les ordres. Malheureusement, la plupart des gens ont fait exactement cela.

CJ Hopkins, 2020

Il est difficile d’imaginer une attaque plus cruelle contre la famille que la prévention insidieuse des contacts de personne à personne.

Ce qui équivaut à une assignation à résidence, plus le port forcé d’un masque, plus l’ordre de rester à distance des autres, a pour but déclaré de prévenir la contagion, mais comme l’a dit récemment le philosophe Giogio Agamben, « C’est une contagion politique, qu’on le comprenne ». Il a raison. La contagion qu’il faut contrôler n’est pas virale, mais politique. La triade des mandats officiels entrave la communication qui ne peut être contrôlée. En ligne, un discours et une stratégie politiques non autorisés peuvent être enregistrés pour le dossier de l’individu. Dans la rue, ce n’est pas le cas, du moins pas encore.

En 1933, Hitler a suspendu la Constitution de Weimar suite à l’incendie du Reichstag. Les droits des citoyens prévus par cette Constitution ont été abolis et n’ont jamais été rétablis.

Un drame similaire continue de se jouer aux États-Unis depuis l’attaque du 11 septembre, qui a donné lieu au Patriot Act (au titre ironique) qui bafoue la Constitution US, donnant ainsi libre cours aux services de renseignement de la nation de concert avec les géants des médias sociaux. Le tout premier amendement est nié en fonction de la définition que quelqu’un donne du « discours de haine » ou de « normes communautaires », des sites d’information et d’opinion étant « dégradés ». Le quatrième amendement est un mensonge caché dans le sens où on a planifié d’enregistrer tous les gestes des citoyens numériquement, et malheur aux personnes qui enfreignent les règles.

Le confinement n’a jamais vraiment été lié à une pandémie. Covid19 n’en était que le prétexte. Bill Gates lui-même a admis (dans un moment sans surveillance ?) que les précédents SRAS et MERS étaient plus « mortels » , c’est-à-dire plus meurtriers, que le virus Covid19. Pourtant ces virus sont arrivés et repartis sans  provoquer l’effondrement de l’économie. Mais il y a plus que l’économie, c’est la vie quotidienne telle que nous la vivons tous qui a été une des principales visées du confinement. Mettre fin au verrouillage demain ne suffirait pas à réparer les dommages déjà causés. Nous avons été psychologiquement éprouvés et il n’y a pas de solution en perspective. Des avertissements de « pics » et de nouvelles vagues nous sont communiqués quotidiennement. Oui, d’innombrables emplois et entreprises sont sont en train de disparaître, mais c’est l’impact psychologique dévastateur qui se répercute sur toute la société qui est indéniable. Les séquelles émotionnels et psychiques ne se résorberont pas de sitôt. Comme prévu, nous sommes désorientés et le serons pendant des décennies, alors que les « internationalistes conspirateurs », comme les appelle David Rockefeller, nous préparent à une vie correspondant à leur dessein mondialiste.

Les masques en tissu que l’on voit partout aujourd’hui sont devenus symboliques. Aussi utiles soient-ils pour arrêter les gouttelettes en suspension dans l’air, ils n’empêchent pas le passage des virus, comme le montre l’avertissement sur une boîte du type de masque que l’on voit couramment. Au mois de mars, l’expert préféré des médias, Anthony Fauci, a déclaré sans ambiguïté sur CBS 60 Minutes que : « Il n’y a aucune raison de se promener avec un masque ». Deux mois plus tard, alors que les demandes de confinement s’intensifiaient, il a changé d’avis et s’est prononcé en faveur du masque en tant que « symbole destiné à être vu par les gens ». Les articles de presse indiquant que les masques sont inefficaces, voire contre-productifs, parviennent rarement aux aux yeux du grand public, ou bien ils ont tout simplement disparu. Or, le masque est sans aucun doute un symbole – un symbole de soumission.

Vivre en toute liberté comporte un niveau de risque tout à fait normal. En plus des divers germes et parasites qui font partie de la nature, il y a les coups de foudre, les collisions de voitures, les chutes dans les escaliers et la proie éventuelle des criminels – principalement des représentants de nos gouvernements. Nous sommes impliqués dans une campagne de terreur fabriquée par un groupe de personnes puissant qui considère que la majorité de la société est un troupeau à contrôler. Ceux qui comprennent cela, mais qui portent néanmoins un masque simplement pour se conformer à ce qu’ils supposent être le choix de la majorité, se se laissent prendre à cette arnaque. Enlevez ce satané truc ! Respirez en toute liberté !

Bill Willers

Article original en anglais :

The Mask as a Symbol of Subjugation

Dissident Voice 3 juillet2020

Traduit par Maya pour Mondialisation.

Photo en vedette : Pikist.com

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Bill Willers est professeur émérite de biologie à l’université du Wisconsin à Oshkosh. Il est fondateur du Superior Wilderness Action Network et rédacteur en chef de Learning to Listen to the Land, et de Unmanaged Landscapes, tous deux publiés par Island Press. Il peut être contacté à l’adresse willers@uwosh.edu
Lire d’autres articles de Bill.

La source originale de cet article est Dissident Voice
Copyright © Bill WillersDissident Voice, 2020




Port du masque : une hystérie collective ?

[Source : Contrepoints]

Aujourd’hui, nous sommes face à une pression populaire extrêmement forte pour le port d’un masque, n’importe lequel. Et si on regardait la situation de façon rationnelle ?

Par Christophe de Brouwer.

Que l’on croie ou non dans les vertus d’un masque pour se protéger contre les virus et plus particulièrement le covid-19, n’empêche nullement d’avoir une réflexion sur son intérêt. Depuis le Lancet-gate, il devient difficile de faire confiance aux articles « scientifiques » de circonstance.

Il y a cependant une littérature, peu nombreuse, portant sur l’efficacité du masque d’avant la crise du Lancet. Apparemment, dire que les masques aux normes (les autres ?) protègent peut-être ou peut-être pas, pose un évident problème d’acceptation.

Pour nourrir cette réflexion, il suffit d’aller sur medline (la plus grande base de données scientifiques notamment pour le domaine de la santé) et de taper les mots clés suivant : mask/transmission/virus (ou influenza).

Vous trouverez systématiquement à peu près ceci : « Il y a peu de données pour montrer que l’utilisation de masques simples ou de masques-respirateurs (en dur, avec éventuellement une cartouche type N95 ou FFP2) prévient l’infection à venir. De nouvelles études sur les infections naturelles en milieu contrôlé ou d’études dans des établissements de soins ou communautaires sont nécessaires pour mieux définir l’efficacité des masques faciaux et des masques-respirateurs dans la prévention de la transmission du virus influenza (grippe classique). »

Par exemple cet article-ci, sous lequel on trouve d’autres articles de qualité disponibles d’avant la crise covid-19.

L’OMS

Jusque récemment, aucune étude réellement scientifique -il n’y en a pas beaucoup- n’a été concluante, dans un sens comme dans l’autre, quant au bénéfice du port d’un masque (de qualité, je ne parle pas des autres). Bref, on ne savait toujours pas. C’est pourquoi (et c’est vraiment pourquoi) l’OMS était très prudente dans ses conseils :

« Quand utiliser un masque ? Si vous êtes en bonne santé, vous ne devez utiliser un masque que si vous vous occupez d’une personne présumée infectée par le 2019 nCoV. Portez un masque si vous toussez ou éternuez. Le masque n’est efficace que s’il est associé à un lavage des mains fréquent avec une solution hydroalcoolique ou à l’eau et au savon. Si vous portez un masque, il est important que vous sachiez l’utiliser et l’éliminer correctement. »

Le 10 juin, l’OMS vient de changer ses recommandations. Elle se base sur un travail qu’elle a financé, paru dans le Lancet (!), le 1er juin, concernant les milieux de soins et communautaires (c’est-à-dire avec des masques ad-hoc agréés).

On ne comprend pas bien la méthodologie, puisque pour cette revue et méta-analyse, sur 20 013 études étudiées (?!) réalisés sur 6 continents, 19 834 sont exclues pour en retenir 179 en revue systématique et parmi celles-ci, 44 pour la méta-analyse.

Bien entendu nous ne sommes pas dans des études randomisées avec groupes témoins. Toute cette énorme masse de données aurait été traitée par « intelligence artificielle » (comme l’étude du Lancet-gate). Où allons-nous ?

Aujourd’hui, nous sommes face à une pression populaire extrêmement forte pour le port d’un masque, n’importe lequel. Serions-nous face à une « Mass Sociogenic Ilness » ou « Hystérie collective », ou par les temps qui courent « Hystérie épidémique » ?

Je m’explique :

1. L’épidémie de Covid-19 tire manifestement à sa fin. Le risque de contamination de personne à personne tend vers 0 (RO<1), tant le virus perd progressivement sa capacité à se transmettre.

Ceci est typique des grippes (terme générique) saisonnières et ce covid-19 apparaît d’évidence une épidémie saisonnière, même si la queue de l’épidémie peut durer et qu’il y ait ici et là des clusters.

Donc en soi, le port de masque perd de son utilité (un masque de qualité, bien porté aurait peut-être été utile durant la montée en puissance de l’épidémie, mais aujourd’hui ?)

2. Le risque de rebond de l’épidémie ne peut être évoqué raisonnablement. Aucune donnée épidémiologique, d’aucun pays, ne permet de relever cela, au contraire, toutes les courbes de mortalité liée à l’épidémie, en pays tempérés de l’hémisphère nord, vont dans le même sens : l’extinction de l’épidémie, même si cela semble prendre du temps comme aux USA.

Bien sûr, des journaux mainstream crient au risque majeur et tutti quanti, qu’on l’observe en Chine, aux USA ou ailleurs (sur base de cas dépistés qui sont d’abord liés à la politique suivie plutôt qu’à la réalité épidémique, et non sur base de la mortalité qui est une donnée plus neutre mais sensible à la qualité du traitement), dans le but -c’est mon interprétation-, de maintenir les populations sous pression.

Bref, nous ne sommes pas sortis des discours pour faire peur qui sont une des bases de l’hystérie épidémique. Ceci, me semble-t-il, arrange d’ailleurs bien certains experts, politiques ou même ces journalistes-lobbyistes de l’apocalypse, qui masquent ainsi leur faillite.

3. Les masques eux-mêmes sont souvent inadéquats et dangereux. Soit parce que le matériau utilisé pour les fabriquer n’est pas adapté (par exemple un masque en tissu de fabrication artisanale), soit parce qu’il est mal porté, ce qui est très courant.

Rappelons que le coronavirus est une nanoparticule et qu’il n’est pas arrêté par le maillage du masque, ni par l’impact, mais par agrégation. La nanoparticule se diffuse en effet par mouvement brownien, elle accompagne le flux d’air dans tous ses méandres sans en dévier, sinon pour s’agréger.

La toxicologie des nanoparticules fut initialement étudiée pour le virus de la poliomyélite qui est un virus d’assez petite taille (30-50 nanomètres). On voulait comprendre pourquoi ce virus atteignait si facilement le système nerveux central.

Cette toxicologie particulière fut redécouverte au début des années 2000 à l’occasion d’une « épidémie » de maladie de type Parkinson dont de jeunes soudeurs étaient atteints aux USA, à l’occasion de ces procès collectifs que l’on connaît là-bas et pas chez nous. En d’autres mots, comment le manganèse contenu dans les soudures atteignait le système nerveux central. Ayant travaillé pour une mine de manganèse en Afrique, j’ai vu des jeunes de 25 ans atteints de Parkinson avancé, c’est très impressionnant et très triste.

Tiens, connaissez-vous les premiers signes de la maladie Covid-19 ? Perte de goût et d’odorat… Pourquoi ?

Parce que, probablement, la voie de pénétration efficace du toxique (virus) n’est pas uniquement les poumons, mais le bulbe olfactif qui se trouve au plafond de la fosse nasale. Cette voie de pénétration mène directement et rapidement là où il ne faut pas.

Le coronavirus est un peu plus grand que celui de la polio, plus petit que celui de la variole. Dans ce cas-ci, de 100 à 150 nanomètres. Pour la pénétration dans les tissus, il a un comportement de type nanoparticule.

C’est pourquoi le problème du masque est tout à fait particulier.

D’ailleurs, en milieu de travail, pour se prémunir des virus, des masques de type FFP3 sont impératifs ; et non des FFP2 (N95) dont on fait l’achat massif : mais, opportunément, les recommandations ont changé (CDC) durant cette épidémie pour en conseiller l’usage, et pourquoi pas.

Il est possible que le port de masque de qualité, bien porté, puisse être utile. Cependant aucune étude scientifique (il n’y en a pas beaucoup) n’est concluante à ce sujet, sauf celle du Lancet du 1er juin dont je viens de faire l’« éloge » ci-dessus, dans un sens comme dans l’autre, lorsqu’il se montre capable d’arrêter les coronavirus qui sont des nanoparticules.

Ceci n’est évidemment pas le cas des masques en tissu qui deviennent d’ailleurs dangereux s’ils ne sont pas nettoyés extrêmement fréquemment : ils deviennent des nids à nanoparticules. En effet, ces masques de tissu se chargent d’humidité avec la respiration et se réchauffent.

Les postillons et autres gouttelettes se fondent dans l’humidité chaude, provoquant une tension de vapeur augmentée qui recueille forcément nombre de nanoparticules. Celles-ci suivront les mouvements d’inspiration et d’expiration, infectant le cas échéant le porteur du masque et son entourage.

Bref ces masques peuvent devenir des nids à virus dangereux d’autant que celui-ci survit plusieurs jours sur ces masques humides.

Quant aux masques chirurgicaux, ils sont capables de protéger partiellement, non pas celui qui le porte, mais le patient opéré. Ils arrêtent les nanoparticules à l’expiration dans une proportion d’environ 80 % et en laissent passer cependant environ 20 % : la première protection est la maîtrise des flux d’air dans une salle d’opération.

Ils doivent être changés régulièrement, la norme serait que leur utilisation n’excède pas une heure ; bien sûr, des marges de sécurité sont appliquées à ces normes.

Les masques en dur (masque-respirateur) avec capsule filtrante protègent l’individu qui le porte, surtout à l’inspiration. Cette protection n’est pas absolue. La capsule filtrante laisse passer entre 0,1 – 1 – 5 % des particules selon la qualité du masque : il existe une vraie différence entre un masque FFP2 et FFP3 : comme dit plus haut, c’est ce dernier qui est indiqué pour la protection professionnelle contre les virus ; soyons cependant de bon compte, le FFP2 (N95) arrête aussi des nanoparticules, mais un peu moins bien.

L’état de propreté est essentiel. Ici aussi, le portage ne devrait pas excéder une à deux heures, cependant, pour répondre à la crise, on accepte aujourd’hui des portages plus longs et leur réemploi après nettoyage (5 à 6 fois maximum). Donc, en tout état de cause, idéalement, cela ne se porte certainement pas en permanence, ni le même, jour après jour.

Il faut comprendre que pour les nanoparticules, le pouvoir d’arrêt des masques n’est pas lié à la finesse du maillage mais à des phénomènes d’agrégation/agglutination de la nanoparticule sur le maillage, car si le maillage était trop serré, on ne pourrait plus respirer. Lorsqu’il y a saturation, les capacités de filtration sont compromises.

Donc, résumons.

Les capacités d’arrêt d’un masque demi-visage sont liées :

  1. À son ajustement sur le visage : les fuites diminuent fortement l’efficacité du masque et peuvent rendre inopérante la capacité d’arrêt de nanoparticules qui suivent « exactement » le flux de l’air. Il n’y a quasi pas d’inertie à la particule : trop petite et donc aucun effet d’impact comme on peut en trouver pour des micro-particules, les bactéries par exemple.
  2. À la quantité filtrée et donc à l’activité de la personne qui le porte, puisque le pouvoir d’arrêt n’est pas total : activité physique intense ou activité au repos ? Dans le premier cas, non seulement la saturation sera vite atteinte mais le nombre de nanoparticules ayant réussi à traverser sera important, dans l’autre cas c’est l’inverse.
  3. La taille de la nanoparticule et malheureusement, de ce point de vue, le range 100-200 nm est celui qui pénètre le mieux à travers les filtres. Pas de chance.
  4. La quantité des nanoparticules présentes. Comme un masque laisse passer une certaine quantité de nanoparticule (0,1 – 1 – 5 – 20 % ou plus, selon la qualité, l’état du masque, les fuites, etc.), cela implique d’avoir un environnement sain. L’hygiène des locaux est un élément majeur : le facteur de protection lié à la dilution des particules est essentiel ; par exemple, se trouver dans de grandes pièces à air recyclé peut être catastrophique.
  5. Le temps d’exposition aux particules infectieuses est, sur base des mêmes observations, également essentiel.
  6. Les capacités de défense de l’organisme jouent un rôle clé, que ce soit au niveau des défenses passives et actives de la paroi de l’appareil respiratoire, ou des défenses internes de l’organisme lorsqu’une particule infectante a réussi à passer notamment à travers le bulbe olfactif. Les fumeurs sont plus à risque de ce point de vue, et c’est un exemple.

Bref, ne nous trompons pas : porter efficacement un masque n’est pas simple. De nombreux facteurs jouent un rôle dont la qualité intrinsèque du masque, la qualité du portage du masque, son renouvellement, etc.

Il n’y a pas d’improvisation à ce sujet. La bonne volonté naïve et la non-professionnalisation peuvent être dangereuses. L’urgence de ce point de vue est au niveau du personnel soignant et communautaire.

Au-delà de la polémique, je pense surtout qu’il est important que chacun se saisisse d’outils de réflexion et aille au-delà de la peur pour se forger sa propre opinion. Peu importe finalement qu’au sortir de cette réflexion, certains estiment bénéfique pour eux de porter un masque de tissu plus ou moins artisanal, d’autres non. Mais cela permettra au moins de se respecter les uns les autres.

Par Christophe de Brouwer





Programme caché derrière la vaccination contre la Covid-19 ?

[Source : MirastNews]

[NdNM : L’article suivant est présenté à titre d’hypothèse dont chacun pourra évaluer le degré de plausibilité et de probabilité. Il repose en grande partie sur la conception matérialiste que des éléments matériels, en l’occurrence des virus ou des manipulations génétiques, seraient capables d’influencer la spiritualité d’un être humain.]

MANDAT DE VACCIN CONTRE LA COVID-19: L’horrible programme caché

FUNVAX: Un complot mondialiste pour rendre obligatoire le vaccin COVID-19 révèle un complot satanique choquant

Les chemtrails sont utilisés depuis des années pour administrer à la fois des virus respiratoires et des vaccins en aérosol.

Voici la principale raison pour laquelle le NOM, la cabale mondialiste est résolue à mandater un programme de vaccination universel contre la COVID-19. Non, cela n’a rien à voir avec l’immunité induite par le vaccin présenté comme le seul moyen de contrôler cette maladie entièrement fabriquée ayant produit la pandémie et la panique par étapes déclenchée par leur nouveau coronavirus par bio-ingénierie interposée, qui a été disséminé furtivement dans les zones urbaines à forte intensité de 5G à travers le monde.

État de la nation

En 2005, une présentation hautement confidentielle a été donnée aux responsables du Ministère de la Défense (DoD) et aux militaires du Pentagone sur le programme top secret FunVax.

Une vidéo d’un court segment de ce briefing du Pentagone a été secrètement prise par un dénonciateur qui peut être trouvée ici: FUNVAXgate: Un projet du Pentagone pour neutraliser totalement le gène de Dieu (vidéo).

RÉSUMÉ

Il y a au moins 3 points à retenir essentiels de cette présentation extrêmement révélatrice et radioactive faite par un scientifique expérimenté en armes biologiques qui semblait être l’homme de référence pour le projet FunVax. Comme suit:

  • Le programme d’armes biologiques militaires des États-Unis d’Amérique a créé un vaccin spécialement formulé pour immuniser des individus et des populations ciblés contre l’expression du gène God, également connu sous le nom de transporteur de monoamine vésiculaire 2 (VMAT2). La suppression de VMAT2 a été un objectif principal des laboratoires d’armes biologiques des Etats-Unis d’Amérique pendant des décennies avec le but ostensible de neutraliser les terroristes qui agissent sur leur fanatisme religieux. Cependant, le véritable objectif est d’inoculer les gens du monde entier contre l’inclination vers des poursuites spirituelles et/ou des expériences mystiques (voir la capture d’écran ci-dessous). Certains initiés profonds ont même supposé que le véritable objectif du FunVax est de ralentir en permanence le développement de l’âme.
  • La forme la plus pratique qu’un programme de vaccination VMAT2 peut prendre à la lumière de la nécessité d’un secret extrême est un virus respiratoire, qui pourrait être secrètement libéré dans n’importe quelle ville, nation ou région du monde. Cela éliminerait le problème posé par les sociétés qui sont opposées aux vaccinations administrées par injection. Les cultures religieuses, en général, ont de plus en plus peur de la véritable intention des vaccins. De nombreuses personnes ont non seulement subi et/ou été témoins d’effets secondaires indésirables des vaccins, mais elles sont également sceptiques à juste titre quant à leur efficacité.
  • Le vaccin FunVax proposé serait aérosolisé d’une manière similaire à la pulvérisation systématique, étendue et aveugle de chemtrails sur la population sans méfiance ci-dessous. Parce que les forces armées des Etats-Unis d’Amérique ont nié à jamais l’existence des chemtrails, la plupart des citoyens ont été conditionnés à croire à tort qu’ils sont des traînées. De cette manière, les vaccins en aérosol peuvent être administrés furtivement aux citoyens de toute nation qui autorise illicitement des opérations de géo-ingénierie chimique.

~~~ Fin du SOMMAIRE EXÉCUTIF ~~~

* Pour une discussion approfondie du vaccin FunVax, ainsi que du gène VMAT2 également connu sous le nom de gène de Dieu, l’enquête détaillée suivante fournit de nombreux faits scientifiques qui confèrent un degré élevé de crédibilité à l’existence de ce programme militaire d’armes biologiques des Etats-Unis d’Amérique: Une enquête approfondie sur VMAT2 et le vaccin FunVax

POINT CLÉ : Le FunVax a été initialement conçu comme une stratégie militaire visant à neutraliser les terroristes dans tout le Moyen-Orient. Il a fallu 7 ans à l’armée des Etats-Unis d’Amérique (EUA) pour déployer cette arme biologique particulière qui s’est manifestée principalement en Arabie saoudite sous le nom de syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) de 2012 à 2020. La Corée du Sud, un autre pays avec une forte présence militaire des EUA qui subit un chemtrailing constant, a également subi une importante épidémie de MERS en 2015.

~ Le MERS n’est qu’un exemple de «vaccin en aérosol» délivré via des chemtrails qui ciblait spécifiquement la secte militante wahhabite de l’islam en Arabie saoudite de 2012 à 2020. Le réseau terroriste wahhabite a été créé par l’OTAN et les communautés militaires et de renseignement du Zio- L’Axe anglo-américain, tout comme ISIS, était dans le Nord Levant. ~

OPÉRATION COVID-19

Tout indique que la COVID-19 est une arme biologique FunVax qui a été délibérément libérée dans le monde entier via divers moyens de propagation afin de multiplier de manière exponentielle les vecteurs de diffusion du vaccin caché VMAT2.

Par conséquent, l’objectif principal de l’OPÉRATION COVID-19 est de réduire considérablement la religiosité dans toute la communauté mondiale des nations, en particulier dans les pays qui font partie intégrante de la formation d’un gouvernement totalitaire mondial. Ces nations sont principalement les puissances militaires occidentales de l’Axe Zio-Anglo-Américain qui sont membres à la fois de l’OTAN et du G20.

En fait, le programme du Nouvel Ordre Mondial ne peut pas être mis en œuvre avec succès dans les nations où les citoyens ont de fortes impulsions spirituelles et une pratique religieuse pieuse. La cabale mondialiste du NOM (Nouvel Ordre Mondial) aura une période encore plus difficile partout où il y a une tradition historique de mysticisme telle que l’Inde, ou un renouveau spirituel en cours comme expérimenté par les chrétiens pentecôtistes et évangéliques à travers l’Occident.

Par conséquent, la seule façon d’avancer pour la cabale mondialiste du Nouvel Ordre Mondial est d’activer pleinement leur «système d’armes quaternaires» qui a été conçu pour faciliter le processus de vaccination VMAT2. Voir: SYSTÈME D’ARME QUATERNAIRE activé avant chaque explosion de cluster de coronavirus

Ne laissant rien au hasard, les auteurs de l’OPÉRATION COVID-19 sont allés à fond avec chacun des quatre systèmes d’armes directement impliqués dans la vaccination de toute l’humanité. Les quatre principales méthodes d’immunisation contre le gène de Dieu en 2020 ont déjà été publiées dans cet exposé: Voici le système NOM (NWO en anglais) pour appliquer les vaccinations obligatoires.

(1) Arme biologique COVID-19

(2) Déploiements 5G et 4G existante

(3) Vaccins antigrippaux annuels

(4) Aérosols Chemtrail

Chacun de ces quatre systèmes d’armes biologiques est utilisé subrepticement pour administrer rapidement et de manière synergique un régime de vaccination VMAT2 mondial, entre autres objectifs malveillants.

Il est vrai que la vidéo ci-dessus ne parle que d’un vaccin VMAT2 en aérosol; cependant, c’était il y a 15 ans. La cabale du NOM (NWO) a considérablement accéléré son emploi du temps pour des raisons cruciales concernant les menaces existentielles auxquelles elle est maintenant confrontée et a depuis conçu la présente OPÉRATION COVID-19 en mettant leur schéma d’origine sur les super-stéroïdes.

En d’autres termes, le système d’arme quaternaire qui visait toute l’humanité a été déguisé en pandémie mondiale afin de couvrir toute la planète de l’arme biologique COVID-19 et de ses faux antidotes, qui servent tous deux efficacement de vaccinations VMAT2.

POINT CLÉ: Non seulement les calendriers annuels de vaccination antigrippale et de vaccination des enfants sont utilisés de manière astucieuse pour administrer le vaccin VMAT2, mais la principale raison d’un vaccin COVID-19 obligatoire est de s’assurer que chacun reçoit son certificat d’immunité génétique. Voir: FUNVAXgate: Bill Gates ‘Implantable Quantum Dot, Microneedle Vaccine Delivery System & Luciferase

Maximiser la couverture de la Terre pour que chaque habitant reçoive son jab FunVax est désormais le principal objectif mondialiste. De cette façon, la cabale du NOM est capable de mener à bien le COVID-1984 beaucoup plus complexe et alambiqué, qu’elle doit faire après la hâte si les pouvoirs en place (TPTB) veulent échapper à la colère du Peuple We.

Par conséquent, l’OPÉRATION COVID-19 n’est que le premier coup de poing dans une stratégie à un coup de poing contre l’humanité afin que TPTB établisse un Superstate de la sécurité mondiale; COVID-1984 représente le deuxième coup de poing.

«Tout comme l’opération de faux drapeau du 11 septembre parrainée par l’État a été utilisée pour créer l’État de sécurité nationale des Etats-Unis d’Amérique (EUA), COVID-1984 est en cours pour imposer un Superstate mondial de la sécurité sur l’ensemble de la civilisation planétaire en tant que précurseur d’un gouvernement mondial unique.

Chaque mouvement fait par la cabale mondialiste du Nouvel Ordre Mondial pendant l’exécution de cette pandémie par étapes et psyop mondiale a été planifié longtemps à l’avance. C’est parce que COVID-1984 représente le point culminant de 100 ans de guerre biologique contre la race humaine. Ce n’est pas seulement une arme biologique de dépeuplement comme l’était la grippe espagnole de 1918. Regardez chaque tour et tour de cette Opération classique Problème ~ Réaction ~ Solution, d’autant plus qu’elle est faussement rapporté par le Mockingbird Media de la CIA. Horloge chaque Résultat du NOM, grand et petit, car chaque pièce s’adapte parfaitement dans le puzzle COVID-1984 pré-planifié. C’est pourquoi cela a été mémorisé le « Plandemic »… ainsi que « THE GREAT SCAMDEMIC ».

– Analyste du renseignement et ancien officier de l’armée des Etats-Unis d’Amérique

(Source: COVID-1984: « A Global 9/11 » to Inaugurate a Global Security Superstate)

Cartel bancaire international et syndicat du crime

Les ramifications profondes du programme d’armes biologiques FunVax du Pentagone sont aussi vastes qu’elles sont très importantes pour la race humaine.

Si le peuple des Etats-Unis d’Amérique (EUA) prenait conscience de ce stratagème répugnant pour étouffer la poursuite spirituelle et le zèle religieux dans tout le corps politique, le ministère de la Défense serait dissous dans un flash DC avant de trembler pour de bon. Les gens des 50 États cesseraient immédiatement de payer leurs impôts avant d’envisager sérieusement une démolition contrôlée du Pentagone.

Mais comment est-ce vraiment arrivé?

Un complot criminel de plusieurs décennies est en cours pour effondrer la République des Etats-Unis d’Amérique qui a véritablement commencé au début du XXe siècle. À cette époque, le Département de la guerre des États-Unis d’Amérique, maintenant appelé Département de la Défense, a été complètement repris avec la Federal Reserve Act de 1913. À partir de ce moment, chaque événement cataclysmique mondial a été méticuleusement planifié, coordonné, exécuté et couvert par la même tribu génocidaire qui possède et exploite l’International Banking Cartel & Crime Syndicate (IBCCS).

Le génocide arménien, la Première Guerre mondiale, la Révolution bolchevique, le Génocide de la grippe espagnole, la Grande Dépression, la Seconde Guerre mondiale, l’Holocauste, les attaques terroristes du 11 septembre, la guerre contre le terrorisme, et pandémie COVID-19 tous ont une chose en commun. Ils ont tous été financés par le Cartel bancaire international et syndicat du crime.

(Source: PANDÉMIE DE CORONAVIRUS ÉTAGÉ: Une conspiration criminelle internationale de proportions épiques)

Il a fallu un financement massif et une myriade de personnel travaillant assidûment pendant plus d’un siècle pour lancer à la fois les OPÉRATIONS COVID-19 et COVID-1984. Payer pour ce financement de la recherche et couvrir des décennies de salaires gouvernementaux n’étaient possible que grâce à la Réserve fédérale, qui était une création de l’International Banking Cartel & Crime Syndicate.

* NOTE DE RÉSERVE FÉDÉRALE: monnaie Fiat + banque de réserve fractionnaire = argent drôle

C’est ainsi que l’IBCCS a pu coopter et contrôler des agences clés au sein du gouvernement fédéral des EUA, qui étaient toutes nécessaires pour exécuter les nombreuses opérations noires et les dissimulations menant à la première opération COVID-19, puis COVID-1984. Le vol sans fin et la chicane financière supervisés par la Réserve fédérale est également la façon dont les mondialistes ont mis en place et financé le désormais célèbre État profond. Aussi connus sous le nom de Senior Executive Service, ces traîtres à la République des EUA doivent être immédiatement arrêtés et poursuivis dans toute la mesure de la loi… AVANT QU’ILS SOIENT ACCROCHÉS EN DIRECT SUR INTERNET! ! !

Bien sûr, les médias grand public sont également pleins de traîtres, tout comme la C.I.A., le FBI, le DoJ, la NSA, le DHS et le Département d’État sont dotés de tant de subversifs. Les traîtres de l’État profond peuplent également les CDC, HHS, NIH, FDA et Big Pharma. En fait, il y a maintenant plus d’éléments séditieux dans tout l’État profond qu’il n’y a de patriotes et de nationalistes. Les mondialistes ont littéralement repris le verrou, le stock et le baril du gouvernement des Etats-Unis d’Amérique (EUA). C’est précisément pourquoi ils ont lancé une bio-attaque aussi désespérée et imprudente, effrontée et insensée contre toute la civilisation planétaire pour effacer définitivement le gène de Dieu.

Traîtres et couvertures

Qui sont-ils exactement?

Qui sont les membres de l’élite au pouvoir qui commettent cette série de crimes odieux contre l’humanité connus sous le nom d’opération COVID-19 et COVID-1984?

  • William Henry Gates III
  • George Soros
  • Henry Kissinger
  • Barack Hussein Obama
  • Hillary Rodham Clinton
  • Joe Biden
  • Nancy Pelosi
  • Lindsey Graham
  • Chuck Schumer
  • Adam Schiff
  • Tom Cotton
  • Dianne Feinstein
  • Maxine Waters
  • Eric Swalwell
  • James Comey
  • Robert Mueller
  • Rod Rosenstein
  • George W. Bush
  • Dick Cheney
  • Anthony Fauci
  • Deborah Birx
  • Robert Redfield
  • Gavin Newsom
  • Andrew Cuomo
  • Elon Musk
  • Eric Schmidt
  • Tim Cook
  • Larry Page
  • Sergey Brin
  • Mark Zuckerberg
  • Jack Dorsey
  • Sundar Pichai
  • Ajit Pai
  • Satya Nadella
  • Jeff Zucker
  • Wolf Blitzer
  • Anderson Cooper
  • Jim Acosta
  • Chuck Todd
  • Jake Tapper
  • Chris Cuomo
  • Rachel Maddow
  • Don Lemon
  • Andrea Mitchell
  • Brian Stelter
  • Alisyn Camerota
  • Erin Burnett

Parmi d’innombrables autres acteurs de crise OPERATION COVID-19, ainsi que les co-conspirateurs criminels de COVID-1984

Tous ces mauvais acteurs ont une chose en commun: ils n’ont AUCUNE CONSCIENCE. Ce qui signifie probablement qu’ils ont déjà reçu leur FunVax. Voyez comment ils ont cyniquement mémorisé le FunVax, comme si c’était tellement amusant de calmer secrètement la nature religieuse d’une victime et son désir inné de rechercher des vérités spirituelles.

Conclusion

Il est primordial de comprendre correctement la véritable complexité du système de distribution FunVax. Cela représente le point culminant de plusieurs décennies de guerre biologique clandestine menée contre l’humanité. Cependant, maintenant que la pandémie de coronavirus a révélé ce complot néfaste, les malfaiteurs ont involontairement laissé le chat sortir du sac POUR TOUT TEMPS.

Le système d’arme biologique FunVax utilise au moins 4 modalités différentes. Les auteurs (i) utilisent des chemtrails pour pulvériser des virus de la grippe et des vaccins aérosols, (ii) administrent des programmes de vaccin antigrippal pour adultes et des calendriers de vaccination infantile, (iii) libèrent plusieurs variantes de l’arme biologique COVID-19 dans les hôpitaux, les maisons de retraite médicalisées, la vie assistée (et sur les navires de croisière lorsqu’ils étaient en service), et (iv) en utilisant les déploiements intensifs de la 5G pour affaiblir le système immunitaire et amplifier les fréquences électromagnétiques et les transmissions micro-ondes qui facilitent le processus de vaccination clandestine FunVax. En outre, les perps ont prévu un cinquième volet dans lequel ils (v) formulent un vaccin COVID-19 obligatoire qui garantira que chaque individu reçoive la «vaccination» VMAT2 qui sera appliquée via un certificat d’immunité. (Ils ont essentiellement utilisé nos impôts volés pour payer notre futur FunVax obligatoire.)

Par conséquent, nous vivons tous et/ou assistons tous à une vague de crime aux proportions vraiment épiques qui déferle sur la planète Terre, encore et encore et encore. Cette série d’attaques bioterroristes en cours fait partie de la conspiration criminelle internationale connue sous le nom d’opération COVID-19 qui est la condition préalable du NOM (NWO) à la mise en œuvre mondiale de COVID-1984.

Peut-être que la meilleure façon de mettre fin à cette véritable «conspiration satanique choquante» est de l’exposer et de la divulguer comme s’il n’y avait pas de lendemain……… parce que si les chercheurs de vérité ne font pas cela, il n’y aura pas de lendemain! De toute urgence, les vrais perps tout en haut de la chaîne alimentaire reptilienne doivent être exposés comme jamais auparavant. Voir: La MAFIA KHAZARIENNE: Vous ne savez pas, ce que vous ne savez pas!

En bout de ligne: rien ne change tant que ceux qui gouvernent secrètement les États-Unis d’Amérique ne sont pas poursuivis pour le 11 septembre, JFK, OK City, 5G, Chemtrails, vaccins, OGM, glyphosate, fluorure, SMART Meters, COVID-19….

CAVEAT: Les mondialistes du NOM sont absolument déterminés à vacciner les quelque 7,8 milliards d’habitants de la planète Terre d’ici la fin de l’OPÉRATION COVID-19. C’est pourquoi ils utilisent tant de techniques et de technologies pour administrer le vaccin VMAT2; ils ne veulent pas d’un seul être humain vivant avec son gène divin intact et pleinement opérationnel. Par conséquent, il est impératif que tout le monde lise et publie cet excellent conseil du Coronavirus Coach afin de prévenir sa vaccination FunVax: voici comment tout le monde peut éviter d’attraper le coronavirus

#FunVax

État de la nation

6 mai 2020

Note de l’éditeur

Le FunVax a en fait été prédit il y a plus de 100 ans par l’un des plus grands prophètes de l’ère moderne, le scientifique hors pair et fondateur de la biodynamie et de l’anthroposophie, Rudolph Steiner. Voir: Il y a plus de 100 ans, Rudolf Steiner a mis en garde contre un complot diabolique visant à vacciner toute l’humanité.

Plan d’action

La seule façon d’aller de l’avant est que nous, le peuple, reprenions notre gouvernement des voleurs et des assassins qui l’ont volé. Ils ont violé, pillé et dépouillé le monde entier avec nos impôts et l’ont fait en notre nom. Il faut l’arrêter – HIER! Veuillez noter que la raison même pour laquelle la guerre biologique COVID-19 est menée contre les États-Unis d’Amérique est qu’ils savent que nous sommes sur eux…. et que nous venons pour chacun d’entre eux. Voici deux des criminels de carrière internationaux les plus incorrigibles qui doivent être traités le plus tôt possible.

Ennemi public n° 1: BILL GATES: une menace pour la société qui doit être arrêté et poursuivi pour des crimes contre l’humanité

Ennemi public n° 2: George Soros doit être arrêté, poursuivi et emprisonné pour empêcher la guerre civile

COVID-19 VACCINE MANDATE: The Horrifying Hidden Agenda

Traduction : MIRASTNEWS

Source : TAPE NEWS




Rapport d’enquête d’un groupe d’officiers de réserve sur la pandémie de COVID-19 et ses liens avec le SARS-CoV-2 et d’autres facteurs

[Source : Guy Boulianne]

Un de mes lecteurs m’a transmis un document intitulé : « Rapport d’enquête d’un groupe d’officiers de réserve sur la pandémie de COVID-19 et ses liens avec le SARS-CoV-2 et d’autres facteurs » en date du 13 mai 2020. Je me permet donc de le partager avec vous. Il s’agit d’un document de synthèse pédagogique et d’information à usage interne et à diffusion restreinte.

Association Professionnelle Gendarmerie (logo)

En effet, des cadres de réserve en France ont enquêté pendant 50 jours pour clarifier les problématiques liées à la « pandémie » de 2020. Le Rapport rendu a été interdit de diffusion pour l’instant. Toutefois, devant l’urgence et la gravité des faits, ils ont choisi de le communiquer tout de même à la société civile. Nous avons donc entre les mains la version « grand public » expurgée des références au Groupe et des sigles de l’Unité.

Le groupe d’enquête met en garde contre une désinformation qui semble entourer ce dossier, sur lequel beaucoup d’avis sont divergents — notamment entre les « autorités » et les praticiens de terrain.

Toutefois, les éléments semblant former consensus ont été relevés et synthétisés, afin de constituer une bibliothèque de connaissances de nature à aider le lecteur à renforcer son système immunitaire et son hygiène de vie, face à un virus qui n’a rien d’ordinaire. Une évidence cependant : ce virus, s’il existe, n’a rien de naturel ni d’accidentel.

Le groupe d’enquête a relevé des incohérences qui ont débouché sur la mise en évidence d’une corruption manifeste et d’intentions contraires au bien public, culminant avec des intentions criminelles et génocidaires, et la mise en place d’un état totalitaire, qui sont rapportées dans les conclusions.

Que soit ici remercié le groupe d’enquête, composée de cadres de réserve qui, durant cinquante jours, ont enquêté sans relâche pour y voir plus clair dans la « pandémie de Covid-19 » et ont livré leurs conclusions – toutes recoupées et sourcées -. L’analyse livrée est parfois très éloignées de la thèse officielle. Il a fallu aux enquêteurs faire un choix – à la fois difficile et courageux – entre la servilité d’une posture conventionnelle et sans risques, se bornant au discours officiel, et la loyauté due à des populations civiles touchées au cœur et souvent désinformées par certaines institutions qui se sont avéré inféodées à l’Ordre Marchand. Cette fois encore, les réservistes seront aux côtés de la Nation.

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MISE À JOUR (27 août 2020) : Madame Claire Edwards m’a personnellement écrit : « Cher Guy. Je viens de finir la traduction en anglais du rapport fait par des officiers français. Si vous voulez poster le document sur votre site, je serais reconnaissante. » Vous pouvez donc télécharger ce rapport, traduit en anglais sous le titre « Investigative Report on the Covid-19 pandemic and its relationship tu Sars-Cov-2 and Other Factors ». Claire Edwards, BA Hons, MA, a travaillé pour les Nations Unies en tant que rédactrice et formatrice en écriture interculturelle de 1999 à 2017. Depuis mai 2018, elle collabore avec Arthur Firstenberg pour la publication de l’Appel international pour arrêter la 5G sur Terre et dans l’espace (www.5gspaceappeal.org). Claire a mis en garde le Secrétaire général des Nations Unies contre les dangers de la 5G lors d’une réunion avec le personnel des Nations Unies en mai 2018, appelant à une cessation de son déploiement dans les lieux d’affectation des Nations Unies.


«Le “virus” sur lequel nous avons enquêté ne serait dans les faits qu’une partie d’une vaste opération combinant armes biologiques et armes à radiations, soutenue par une opération d’enfumage et de diversion, orchestrée par une OMS notoirement corrompue ayant contribué à jeter la confusion dans les rangs des soignants, et dont les indications et les recommandations se situent factuellement à l’exact opposé des observations et des préconisations des urgentistes de terrain.»

— Groupe d’enquête (officiers de réserve en France)

Rapport complet disponible ici :

ou sur le blogue :

RAPPORT_D_ENQUETE_mise_a_jour_13_mai.pdf


[Source : Fulford]

Conclusions tirées du rapport
  • Des incohérences évidentes et des lacunes inexplicables invalident la théorie officielle
  • La gestion de la « crise » sanitaire semble n’avoir servi que de prétexte à une mainmise totalitaire généralisée
  • Des machinations totalitaires : intention d’imposer une cryptomonnaie mondiale, un vaccin avec des nanopuces et une puce électronique sous-cutanée
  • Il règne une énorme corruption au sein de l’OMS et ses intentions sont inavouables
  • La 5G est impliquée dans le Covid-19, avec des radiations électromagnétiques d’un potentiel élevé :
  • Le pouvoir pathogène du virus, ou de la bactérie Prevotella qui a causé le choc cytokinique
  • La similarité entre les dégâts pulmonaires observés par tous les médecins urgentistes et les dommages causés par l’usage d’une arme électromagnétique (plus des migraines permanentes, de l’épuisement, des sensations de brûlure dans les poumons et une perte de sensations olfactives et gustatives, également cités comme symptômes du COVID-19)
  • De nombreuses antennes ont été installées en profitant du confinement, sans tenir compte du « principe de précaution », malgré les dangers mis en évidence par ailleurs, en particulier pour entraver des traitements médicaux
  • Le « Covid-19 » est une guerre biologique et électromagnétique soutenue par une énorme opération de faux-semblants destinée à semer la confusion dans les rangs du personnel médical et hospitalier
  • Le « Covid-19 » pourrait servir de préparation à une opération à plus grande échelle combinée à une diversion pour dissimuler des tests à grande échelle d’armes 5G à des fins criminelles qui restent à élucider
  • Des installations 5G, à la fois terrestres et aériennes (les satellites en orbite basse du projet StarLink d’Elon Musk), font évidemment partie de ce projet de « guerre totale »
  • Le Dr. Jeremy K. Raines, un ingénieur qui fait autorité en matière de champs électromagnétiques, rapporte que les signaux sont utilisés par le corps humain pour réguler ses processus, et prévient que des signaux électromagnétiques externes peuvent sérieusement interférer avec ces processus.
  • Aucune enquête n’a été menée sur la réaction de la Terre à l’utilisation massive de technologie 5G malgré le fait qu’il a été établi que les activités industrielles (activités minières, extraction de pétrole ou de gaz naturel, géothermie) peuvent provoquer des séismes
  • Des séismes inhabituels ont eu lieu en France et des municipalités ont été déclarées en état d’urgence



Policiers (et médecins) pour la liberté, en Espagne

[Source : Profession Gendarmes]

POLICIERS POUR LA LIBERTÉ (ou MÉDECINS ET POLICIERS) – Activez les sous-titres FR

Après le discours d’un policier Allemand, voici qu’une collègue policière Espagnole s’adresse à l’ensemble des policiers et Forces de l’ordre.

Cette vidéo est sous-titrée en français et ce discours s’adresse aussi aux policiers français.

Je vous invite à la regarder jusqu’à la fin…

Vous ne vous y attendiez pas et moi non plus. Les policiers espagnols qui refusent d’appliquer bêtement les ordres d’un gouvernement vendu aux intérêts des mondialistes totalitaires, s’organisent entre eux et rejoignent les efforts des médecins espagnols honnêtes qui ont créé l’association « Médecins pour la Vérité », sous l’impulsion de la Dr Natalia Prego Cancelo. Voici alors le speech d’une courageuse policière, Soina Vesvucci, qui présente l’initiative « Policiers pour la liberté » ainsi que des témoignages saisissants de deux de ses collègues.

Lien d’origine: https://www.youtube.com/watch?v=-i2-q… 

Chaîne YouTube de la Dre Natalia Prego Cancelo

Source : Youtube




La théorie des exosomes contre celle des virus

Avec sous-titres en français (17 mn) :

Original anglais de la seconde partie de la vidéo ci-dessus (8 mn) :

https://youtu.be/GjVwtNjEANQ

Voir aussi :




Enquête Choc — Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l’humanité ?

[Source : Sott.net]

[Auteur :] J.B. Handley – jbhandleyblog

Depuis 1900, les taux de mortalité ont connu une baisse spectaculaire de 74 pour cent dans les pays développés, en grande partie grâce à une nette diminution des décès dus aux maladies infectieuses. Quelle part de cette baisse est due aux vaccins ? L’histoire et les données fournissent des réponses claires qui comptent beaucoup dans le débat actuel sur les vaccins, car la course pour trouver celui contre le Covid-19 nous pousse vers un vaccin qui pourrait être obligatoire pour tous [sans omettre les horreurs qu’il(s) pourrai(en)t contenir – NdT].

Depuis 1900, le taux de mortalité en Amérique et dans les autres pays du vieux monde a diminué d’environ 74 pour cent, ce qui a entraîné une amélioration spectaculaire de la qualité et de l’espérance de vie des Américains [et des occidentaux en général – NdT].

La question est simple : « Comment cela s’est il produit ? »

Pourquoi le taux de mortalité a-t-il diminué si rapidement ? Si vous écoutez les partisans de vaccins, la réponse est simple : les vaccins nous ont sauvés. Ce qui est fou dans ce récit, c’est la facilité avec laquelle on peut le réfuter par des données cachées à la vue de tous. Mais qu’il persiste en dépit des preuves qui attestent le contraire nous en dit long sur le monde dans lequel nous vivons et j’espère qu’il encouragera les parents à reconsidérer la véracité de bon nombre des récits qu’on leur a livrés sur les vaccins et à faire leurs propres recherches.

1970, Dr. Edward H. Kass

Le 19 octobre 1970, le Dr Edward H. Kass, de Harvard, a prononcé devant ses condisciples un discours lors de la réunion annuelle de la Infectious Diseases Society of America [la Société américaine des maladies infectieuses est une association médicale représentant des médecins, des scientifiques et d’autres professionnels de la santé spécialisés dans les maladies infectieuses, association que le Dr Edward H. Kass a cofondé en 1963 – NdT], association qui l’amènerait probablement à quitter cette même profession aujourd’hui [s’il était encore vivant ; il est décédé en 1990 à l’âge de 72 ans d’un cancer des poumons – NdT].

À l’époque, le Dr Kass était en fait le président de l’organisation, ce qui rendait encore plus choquants ses propos sur les vaccins et leur impact sur la réduction des taux de mortalité américains, du moins selon les normes actuelles. Quarante-huit ans après le discours du Dr Kass, les vaccins ont acquis un statut mythologique aux quatre coins de la planète sous l’impulsion des personnes qui profitent le plus de leur utilisation. Bien sûr, les vaccins ont sauvé le monde. Bien sûr, chaque enfant devrait recevoir tous les vaccins. Si vous ne vous faites pas vacciner, vous permettrez le retour de maladies infantiles mortelles. Si vous ne le vaccinez pas, votre enfant mourra. Si vous remettez les vaccins en question, ne serait-ce qu’un peu, vous êtes donc « anti-vaccin » et vous ne méritez que mépris et ostracisme !

Note du traducteur : Originaire du Bronx, le Dr Kass a obtenu une licence et une maîtrise à l’université du Kentucky, un doctorat à l’université du Wisconsin et un doctorat en médecine à l’université de Californie. Il a rejoint la faculté de Harvard et le personnel de l’hôpital de la ville de Boston en 1947 pour se consacrer à la recherche sur les maladies infectieuses. Il est devenu professeur à Harvard en 1969 et médecin-chef à l’hôpital de Brigham en 1977. Il fut aussi membre du Collège royal de médecine de Londres, de l’Académie américaine des arts et des sciences et de l’Institut américain de médecine, dont le nouveau nom est l’Académie nationale de médecine.

Et si la plus grande partie de l’histoire sur le rôle des vaccins dans le déclin de la mortalité n’était même pas vraie ?

© Inconnu

Dans son célèbre discours, le Dr Kass a interpellé ses condisciples infectiologues, en les mettant en garde contre le risque de se focaliser sur des aspects erronés s’ils tiraient de fausses conclusions quant aux raisons pour lesquelles les taux de mortalité avaient à ce point décliné. Comme il l’a expliqué :

[…] nous avions accepté quelques demi-vérités et avions cessé de chercher les vérités complètes. Les principales demi-vérités étaient que la recherche médicale avait éradiqué les grands fléaux du passé — tuberculose, diphtérie, pneumonie, septicémie puerpérale, etc. — et que la recherche médicale et notre système supérieur de soins médicaux étaient des facteurs majeurs d’allongement de l’espérance de vie, offrant ainsi au peuple américain le plus haut niveau de santé disponible dans le monde. Nous savons que ce sont des demi-vérités, mais sans doute pas suffisamment.

Le Dr Kass a ensuite partagé avec ses condisciples quelques graphiques révélateurs. J’essaie d’imaginer un président de l’Infectious Diseases Society of America partageant l’un de ces graphiques aujourd’hui lors d’une réunion de responsables de la santé publique. J’imagine qu’une personne couperait l’électricité de la salle où il fait sa présentation avant qu’une autre ne le maîtrise et le fasse sortir manu militari… voici le premier des graphiques que le Dr Kass a partagé ce jour-là :

© Kass
Taux annuel moyen en millions de la mortalité due à la rougeole chez les enfants de moins de 15 ans, en Angleterre et au Pays de Galles.

Toutefois, ce graphique du Dr Kass n’inclut même pas le vaccin contre la rougeole… Pourquoi ? En fait, en 1970, le vaccin contre la rougeole commençait tout juste à être administré, et comme vous pouvez clairement le voir, la mortalité dû à la rougeole avait depuis longtemps connu une baisse spectaculaire. Pour la coqueluche, il a produit un tableau similaire :

© Kass
Taux annuel moyen en millions de la mortalité due à la coqueluche chez les enfants de moins de 15 ans en Angleterre et au Pays de Galles.

[La Bordetella Pertussis est l’agent de la coqueluche qui fut isolée en 1906 – Les tests du premier vaccin contre la coqueluche ont duré plus de trois ans (de mars 1934 à novembre 1937), avec 5 815 enfants inscrits – NdT]Dans le graphique ci-dessus, la date à laquelle le vaccin contre la coqueluche a été lancé est indiquée. Le Dr Kass a également présenté un graphique concernant la scarlatine, ce qui renforce la confusion sur le rôle effectif des vaccins, pour la simple raison qu’un vaccin contre la scarlatine n’a jamais existé. Et pourtant, le graphique suivant qui présente un formidable déclin de la mortalité dû à la scarlatine ressemble beaucoup à celui de la rougeole et de la coqueluche :

© Kass
Taux annuel moyen en millions de la mortalité due à la scarlatine chez les enfants de moins de 15 ans en Angleterre et au Pays de Galles.

[Le streptocoque de la scarlatine a été découvert en 1884, la pénicilline a été prescrite à partir de 1945 et ce qui constituera la base de l’antibiothérapie à base de sulfamidés a été isolé pour la première fois en 1935 – NdT]Quel est l’intérêt de ces graphiques ?

Le Dr Kass essayait de sensibiliser ses disciples infectiologues à un aspect simple, mais qui a de profondes implications pour la santé publique. Son argument était si important que je vais le citer en gras pour qu’il n’échappe à personne :

Ce déclin des taux de [mortalité] concernant certaines pathologies, approximativement corrélé aux contextes socio-économiques, constitue tout simplement l’événement le plus important dans l’histoire de la santé des êtres humains, et pourtant nous n’avons que les notions les plus vagues et les plus générales sur la manière dont il s’est produit et sur les mécanismes par lesquels l’amélioration socio-économique et la baisse des taux de [mortalité] de certaines pathologies se chevauchent.

Le Dr Kass a demandé à ses condisciples de faire preuve d’ouverture pour déterminer POURQUOI les maladies infectieuses ont connu un déclin aussi spectaculaire aux États-Unis — ainsi que dans d’autres pays du vieux monde. Était-ce dû à la nutrition ? Aux méthodes sanitaires ? À la réduction du surpeuplement des habitations ? — Nous avons depuis appris que la réponse à ces trois questions est « Oui ». Il a encouragé ses collègues à bien se garder de tirer des conclusions hâtives, à rester objectifs et à « se consacrer à de nouvelles perspectives ».

© Social Progress Imperative
Indice de résilience sociale aux maladies infectieuses pour la période 2014-2019

[Puisque l’exposition à la pollution de l’air à l’extérieur et à l’intérieur des locaux accroît le risque de maladies cardiovasculaires, respiratoires et du développement ainsi que la mortalité prématurée, l’amélioration de la santé environnementale, qui passe par des progrès en matière de qualité de l’air, d’eau et d’assainissement et de gestion des déchets, et les efforts de préservation de la biodiversité rendent les populations moins vulnérables aux pandémies et, par conséquent, améliorent le bien-être global des sociétés et leur résilience. Source OCDE – NdT]Heureusement pour nous, le discours du Dr Kass ce jour-là a été sauvé pour la postérité, car il fut imprimé dans son intégralité au sein d’une revue médicale. En fait, c’est une revue que le Dr Kass a lui-même fondée, The Journal of Infectious Diseases, et son discours s’intitule « Maladies infectieuses et changement social ». Un certain nombre d’éléments dans le discours du Dr Kass m’ont paru époustouflants, surtout quand on sait qu’il était le président de l’Infectious Diseases Society of America. À savoir :

  1. Il n’a jamais parlé des vaccins comme de « la plus grande invention de l’humanité » ou par l’une des nombreuses autres façons hyperboliques dont les vaccins sont dans la presse actuelle en permanence décrits par les partisans des vaccins. Les vaccins n’ont pas permis de sauver « des millions de vies » aux États-Unis, comme le savait bien le Dr Kass.
  2. En fait, il n’a JAMAIS accordé beaucoup de crédit aux vaccins dans le déclin spectaculaire de la mortalité au sein du monde développé. Ce qui est logique, car aucune des données dont il disposait n’aurait permis d’étayer ce point de vue. Ce qui m’a amené à me poser la question suivante : « quelqu’un a-t-il essayé de replacer dans son contexte la contribution des vaccins au déclin de la mortalité humaine au XXe siècle ? » Autrement dit, existe-t-il des données qui permettent de mesurer l’impact exact et précis des vaccins dans la protection de l’humanité ? Oui, en effet, elles existent. Lisez la suite.

McKinlay & McKinlay — L’étude la plus célèbre dont vous n’avez jamais entendu parler

Elle ne sera pas des plus facile à lire, mais j’espère que vous prendrez le temps d’en lire chaque mot. En 1977, les épidémiologistes — et époux — John et Sonja McKinlay de l’université de Boston ont publié les travaux fondateurs sur le rôle que les vaccins — et autres mesures médicales — ont joué dans le déclin massif de la mortalité observée au XXe siècle, qui se rapportent à ce chiffre même de 74 pour cent évoqué dans mon paragraphe d’introduction. De plus, leur étude met en garde contre le comportement même que nous observons aujourd’hui dans le monde vaccinale. En effet, ils ont averti qu’un groupe de profiteurs pourrait s’attribuer plus de crédit pour les résultats d’une mesure médicale — les vaccins — que la mesure elle-même ne le mérite, et ensuite utiliser ces faux résultats pour créer un monde où leur produit devra être utilisé par tout le monde. Sérieusement, ils ont prédit que cela se produirait — et il convient de noter que l’étude McKinlay était autrefois une lecture obligatoire dans toutes les écoles de médecine.

[…] ils ont averti qu’un groupe de profiteurs pourrait s’attribuer plus de crédit pour les résultats d’une mesure — les vaccins — que la mesure elle-même ne le mérite, et ensuite utiliser ces faux résultats pour créer un monde où leur produit devra être utilisé par tout le monde.

Publiée en 1977 dans le Millbank Memorial Fund Quarterly, l’étude de McKinlay s’intitulait « La contribution discutable des mesures médicales dans le déclin de la mortalité aux États-Unis au XXe siècle ». L’étude a clairement prouvé, à l’aide de données, quelque chose que les McKinlay ont reconnu comme pouvant être considéré par certains comme une « hérésie » médicale. À savoir

que l’introduction de mesures médicales spécifiques et/ou l’expansion des services médicaux ne sont généralement pas responsables de la majeure partie du déclin moderne de la mortalité.

Par « mesures médicales », les McKinlay entendaient en fait TOUT ce que la médecine moderne avait inventé, qu’il s’agisse d’antibiotiques, de vaccins, de nouveaux médicaments, etc. Les 23 pages de l’étude de McKinlay devraient être lues intégralement, mais en bref, les McKinlay ont cherché à analyser l’impact des mesures — médicales, antibiotiques, chirurgie, vaccins — sur le déclin massif des taux de mortalité entre 1900 et 1970 :

© McKinlay & McKinlay
Courbe de la mortalité en milliers des hommes et des femmes séparément (en utilisant des taux ajustés selon l’âge) pour les États-Unis, de 1900 à 1973.

Voici quelques-uns des principaux points abordés dans leur étude :

  • 92,3 pour cent du déclin du taux de mortalité s’est produit entre 1900 et 1950 [avant que la plupart des vaccins n’existent].
  • Les mesures médicales « semblent avoir peu contribué à la baisse globale de la mortalité aux États-Unis depuis 1900 environ — ayant été introduites dans de nombreux cas plusieurs décennies après qu’un déclin marqué se soit déjà amorcé et n’ayant pas d’influence détectable dans la plupart des cas ».

Et, voici les deux pépites…

Le document fait état de deux points que je tiens à souligner, car ils sont très importants. Le premier concerne les vaccins. Ils écrivent :

Même si l’on supposait que ce changement était entièrement dû aux vaccins, alors seulement un pour cent environ du déclin consécutif aux mesures médicales prises pour les maladies considérées ici pourrait être attribué à ces mesures. De manière plus conservatrice, si nous attribuons une partie du déclin ultérieur des taux de mortalité pour la pneumonie, la grippe, la coqueluche et la diphtérie à des mesures médicales, alors seuls 3,5 pour cent du déclin du taux de mortalité global peuvent peut-être être expliquée par des mesures médicales dans les principales maladies infectieuses considérées ici. En effet, étant donné que c’est précisément pour ces maladies que la médecine prétend avoir le plus de succès dans la réduction de la mortalité, 3,5 pour cent représente probablement une estimation raisonnable de la limite supérieure pour la contribution totale des mesures médicales à la baisse de la mortalité aux États-Unis depuis 1900.

En clair : sur le déclin total de la mortalité depuis 1900, à savoir ce chiffre de 74 pour cent que je ne cesse de mentionner, les vaccins — et autres mesures médicales comme les antibiotiques — n’y ont en fait contribué qu’à hauteur de 1 à 3,5 pour cent. Autrement dit, au moins 96,5 pour cent du déclin de la mortalité n’avaient rien à voir avec les vaccins — et probablement plus que cela puisque les chiffres de McKinlay & McKinlay comprenait TOUTES les mesures médicales, et pas UNIQUEMENT les vaccins [ou les antibiotiques – NdT].

© Shutterstock

Vous ne pouvez pas dire que vous avez sauvé l’humanité si vous êtes tout au plus à l’origine de 3,5 pour cent du déclin du taux de mortalité depuis 1900 — et encore moins si vous l’êtes plus probablement de 1 pour cent.

Et puis les McKinlay ont écrit quelque chose qui m’a fait rire aux éclats, parce que cela correspond absolument à ce que nous voyons tous les jours dans le monde d’aujourd’hui où les vaccins sont hyper à la mode :

Il n’est pas rare aujourd’hui que les connaissances biotechnologiques et les mesures médicales spécifiques soient invoquées comme la raison principale de la majeure partie du déclin moderne de la mortalité au XXe siècle. La paternité de ce déclin est souvent revendiquée par les, ou attribuée aux, principaux bénéficiaires actuels de cette explication dominante.

Cela vous dit quelque chose ?

En 2000, le CDC donne le coup de grâce

En 1970, le Dr Kass a émis l’idée que les responsables de la santé publique doivent veiller à ne pas attribuer à des éléments erronés le mérite du déclin massif du taux de mortalité enregistré dans le monde développé au XXe siècle. En 1977, les docteurs McKinlay & McKinlay ont rassemblé des données autour des idées du Dr Kass et ont montré que les vaccins — et autres mesures médicales — étaient responsables de 1 à 3,5 pour cent de ce déclin global de la mortalité depuis 1900. En 2000, les scientifiques du CDC ont reconfirmé toutes ces données, mais ont également fourni un meilleur aperçu des éléments qui ont réellement conduit à ce déclin.

Publié en septembre 2000 dans la revue Pediatrics et intitulé « Résumé annuel des statistiques de l’état civil : Tendances sur la santé des Américains au cours du XXe siècle », des épidémiologistes issus de l’université Johns Hopkins et des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies [CDC – NdT] ont réaffirmé ce que nous avions déjà appris grâce aux travaux de McKinlay et McKinlay :

La vaccination n’explique donc pas les impressionnantes baisses de la mortalité observées dans la première moitié du siècle… près de 90 pour cent de ce déclin du aux maladies infectieuses chez les enfants américains s’est produit avant 1940, à une époque où peu d’antibiotiques ou de vaccins étaient disponibles.

L’étude présente ensuite les éléments réellement déterminants dans ce déclin massif de la mortalité : « le traitement de l’eau, la sécurité alimentaire, l’élimination organisée des déchets solides et l’éducation du public sur les pratiques d’hygiène ». De plus, « l’amélioration des logements qui a réduit le surpeuplement dans les logements des villes américaines » a joué un rôle majeur. De l’eau propre. Des aliments sûrs. La nutrition. La plomberie. L’hygiène. Ce sont les principales raisons pour lesquelles la mortalité a si rapidement diminué. Du moins selon les données et les publications scientifiques.

L’histoire récente

Lorsque je partage le tableau suivant, compilé à partir des données du CDC, les réactions sont très vives :

Taux de vaccination en 1985 aux États-Unis

De gauche à droite : DTP pour DTC diphtérie, tétanos, coqueluche – Polio pour poliomyélite – MMR pour ROR : rougeole, oreillon, rubéole – Hep B pour hépatite B – HPV pour papillomavirus – Influenza pour grippe – PCV pour pneumocoque – Rotavirus pour gastro-entérite – Hib pour méningite à Haemophilus influenzae de type B – Varicella pour varicelle – Hepatitis A pour hépatite A – Meningococcal pour méningite à méningocoques

Ce tableau est compilé à partir de l’ensemble des données fournies par le CDC. Vous pouvez constater que neuf vaccins aujourd’hui administrés aux enfants n’existaient même pas au milieu des années 1980. De plus, les taux de vaccination pour les trois vaccins qui existaient étaient à l’époque de l’ordre de 60 pour cent ou moins. Aujourd’hui, les taux de vaccination sont tous bien supérieurs à 90 pour cent chez les enfants américains. Je pense qu’il est légitime de se demander « pourquoi tant de panique ? ». En examinant attentivement ce tableau, on se rend compte à quel point la notion souvent évoquée d’« immunité collective » est totalement absurde, puisqu’elle n’a évidemment pas pu au milieu des années 80 être atteinte grâce à la vaccination. En fait, nous n’en sommes pas plus proches aujourd’hui, puisque les taux de vaccination chez les adultes restent très faibles et que les vaccins se dégradent avec le temps.

L’importance de la vérité

Comme l’explique la mise en garde de McKinlay et McKinlay, si une mesure médicale — comme les vaccins — est désignée de façon erronée comme étant la raison du déclin de la mortalité à ce point spectaculaire pour les Américains et les habitants de l’Europe au XXe siècle, cette mauvaise interprétation peut être utilisée à mauvais escient pour commettre des abus tels que :

  • augmenter rapidement le nombre de vaccins administrés aux enfants ;
  • battre en brèche les parents qui ont choisi de suivre un calendrier de vaccination différent et les faire se sentir coupables ;
  • rendre les vaccins obligatoires ;
  • parler des vaccins en des termes si révérencieux que même les remettre en question — comme je le fais dans cet article — est considéré comme sacrilège et irresponsable ; et
  • nier que les lésions dues aux vaccins se produisent à un rythme élevé, afin de permettre à tout le système vaccinal de poursuivre sa route dans la « bonne direction » — d’ailleurs, et selon cette étude commandée et payée par le CDC alors qu’ils ont en fait automatisé le suivi des lésions dues aux vaccins, la « meilleure » estimation du taux de lésions dues aux vaccins est d’environ 2 pour cent. Le chiffre de « un sur un million » avancé par les partisans des vaccins est tout simplement un mensonge insupportable.

L’Afrique, et les autres pays dits du tiers monde

Les partisans des vaccins citent souvent des statistiques a priori alarmantes concernant les décès imputables aujourd’hui à des maladies infectieuses. Ils utilisent le nombre de cas d’une maladie, comme la rougeole par exemple, pour nous présenter le nombre de décès infantiles qui lui est imputable chaque année et la nécessité pour TOUS les parents américains de vacciner leur(s) enfant(s) contre la rougeole. Bien sûr, ce qu’ils ne mentionnent pas, c’est que ces décès dus à des maladies infectieuses se produisent dans des régions où la qualité de vie est encore comparable à celle des enfants américains au début des années 1900. Une mauvaise nutrition. Pas de plomberie ni de réfrigération. De mauvaises pratiques d’hygiène. Des logements surpeuplés. Toutes composantes qui ont RÉELLEMENT influencé l’impact sur le taux de mortalité et qui dans certaines parties de l’Afrique et dans d’autres pays du tiers monde n’ont pas encore été résolues, et porter les efforts sur les SEULES campagnes vaccinales ne changera pas les faits. C’est ce que le Dr Kass a dès le départ souligné : il faut savoir ce qui a réellement fait décliner le taux de mortalité et s’y consacrer !

En fait, nous disposons aujourd’hui de données qui montrent que vacciner des enfants qui vivent dans des conditions de malnutrition et sans installations sanitaires adéquates se révèle pour eux bien plus préjudiciable que bénéfique.

L’« étude d’Aaby »

Publiée en 2017 dans la revue à comité de lecture EBioMedicine, l’étude s’intitule « L’introduction du vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche et du vaccin oral contre la polio chez les jeunes enfants dans une communauté urbaine africaine : Une expérimentation naturelle » [une expérience naturelle est une étude empirique dans laquelle des individus — ou des groupes d’individus — sont exposés aux conditions expérimentales et de contrôle qui sont déterminées par la nature ou par d’autres facteurs échappant au contrôle des chercheurs. Le processus régissant les expositions ressemble sans doute à l’assignation aléatoire. Ainsi, les expériences naturelles sont des études d’observation et ne sont pas contrôlées dans le sens traditionnel d’une expérience randomisée – NdT].

© Inconnu
Le Dr. Peter Aaby

Les chercheurs du Bandim Health Project [une ONG – NdT] affiliés à ceux du Research Center for Vitamins and Vaccines [Centre de recherche sur les vitamines et les vaccins – NdT], liés à leur organisation mère du Statens Serum Institut au Danemark, ont examiné de près les données de la Guinée-Bissau en Afrique de l’Ouest. Les scientifiques de cette étude ont étudié de près le concept d’« effets non spécifiques » des vaccins, une belle formule pour dire que les vaccins peuvent rendre un enfant plus sensible à d’autres infections. Ils ont découvert que les données concernant les enfants africains qui avaient été vaccinés avec le vaccin DTC [diphtérie-tétanos-coqueluche – NdT]

étaient associées à une mortalité cinq fois plus élevée que pour ceux qui n’étaient pas vaccinés. Aucune étude prospective n’a démontré les effets bénéfiques du DTC sur la survie… Le DTC est le vaccin le plus largement utilisé… Toutes les preuves actuellement disponibles suggèrent que le vaccin DTC pourrait tuer plus d’enfants d’autres causes qu’il n’en sauve de la diphtérie, du tétanos ou de la coqueluche. Bien qu’un vaccin protège les enfants contre la maladie ciblée, il peut simultanément augmenter la susceptibilité à des infections non liées.

Pour les profanes, cela signifie que donner le vaccin DTC à un enfant africain lui fait courir le risque de développer d’autres infections. Que les conditions de vie soient plus importantes que le vaccin est en Afrique une évidence — comme on peut s’y attendre à la lumière des travaux du Dr Kass et des Drs McKinlay. Et le vaccin DTC s’est effectivement révélé bien plus préjudiciable que bénéfique. Il convient de noter que le Dr Aaby était un chercheur très respecté dans le domaine vaccinal jusqu’à ce qu’il publie cette étude en 2017. Je crois savoir qu’il a depuis perdu ses sources de financement. Bienvenue dans le monde actuel de la « science » vaccinale.

Un enfant sur deux

Nous disposons d’un autre exemple concret de ce phénomène qui remonte à la fin des années 1970. Le Dr Archie Kalokerinos a fait, comme il l’explique, une simple découverte [tiré de son ouvrage Every Second Child, « Un enfant sur deux », ouvrage non traduit en français – NdT] :

Every second child, Dr. Archie Kalokerinos

Au début, ce n’était qu’une simple observation clinique. J’ai observé que de nombreux nourrissons, après avoir reçu des vaccins de routine comme le tétanos, la diphtérie, la polio, la coqueluche ou autre, tombaient malades. Certains sont devenus extrêmement malades, et en fait certains sont morts. C’était une observation, pas une théorie. Ma première réaction a donc été d’examiner les raisons pour lesquelles cela se produisait. Bien sûr, j’ai découvert que la probabilité était plus grande chez des nourrissons qui étaient malades au moment où de recevoir un vaccin, ou des nourrissons qui avaient été malades peu de temps avant, ou des nourrissons qui incubaient une infection. Il n’y a bien évidemment aucun moyen de détecter une maladie dans les premiers stades d’incubation. Ce n’est possible que plus tard. En outre, certaines des réactions aux vaccins ne sont pas celles qui figurent dans la littérature standard.

Ces réactions étaient en effet très étranges. Une troisième observation est qu’avec certaines de ces réactions qui entraînent normalement la mort, j’ai découvert que je pouvais les inverser en donnant de grandes quantités de vitamine C par voie intramusculaire ou intraveineuse. On se serait attendu, bien sûr, à ce que les autorités s’intéressent à ces observations qui ont entraîné une baisse spectaculaire du taux de mortalité des nourrissons dans la région que je contrôlais, une baisse en fait très spectaculaire. Mais au lieu de s’intéresser à ces observations, elles ont réagi avec une extrême hostilité. C’est ce qui m’a incité à examiner la question vaccinale, et plus mes investigations prenaient de l’ampleur, plus je devenais choqué. J’ai découvert que toute l’affaire des vaccins était en effet un gigantesque canular. La plupart des médecins sont convaincus de leur utilité, mais si vous examinez les statistiques appropriées et que vous étudiez le cas de ces maladies, vous vous rendrez compte qu’il n’en est rien.

Le Dr Kalokerinos a en 1995 également dit quelque chose que l’étude du Dr Aaby semble avoir pu corroborer en 2017 :

Et si vous voulez voir les effets néfastes des vaccins, ne venez pas en Australie ou en Nouvelle-Zélande ou n’importe où ailleurs, allez en Afrique et vous le verrez là-bas.

Nous connaissions en fait la vérité au début des années 1900, avant même le déclin rapide de la mortalité. Bien en avance sur son temps, l’Anglais John Thomas Biggs était l’ingénieur sanitaire de sa ville de Leicester et devait répondre activement aux épidémies de variole. Il a rapidement appris que les résultats de l’assainissement en matière de santé publique l’emportaient largement sur l’impact de la vaccination — dont il a constaté les dommages dramatiques et l’inefficacité. En 1912, il a écrit un ouvrage déterminantLeicester — Sanitation versus Vaccination [« Leicester — Assainissement versus vaccination », ouvrage non traduit en français – NdT]. M. Biggs a donc découvert il y a plus de cent ans ce que le CDC a réaffirmé en 2000, à savoir que rien ne protège des maladies infectieuses comme un bon assainissement. Il a précisé :

Leicester a fourni, tant par son précepte que par son exemple, la preuve irréfutable des pouvoirs et de l’influence de l’assainissement, non seulement pour combattre et contrôler, mais aussi pour pratiquement éliminer de son territoire les maladies infectieuses
[…]
Une ville nouvellement conçue selon les principes les plus modernes de gestion des espaces et des systèmes d’aération, et adopter la « méthode de Leicester » en matière d’assainissement, pourrait non seulement faire obstacle à la variole, mais aussi à d’autres maladies infectieuses, voire presque toutes les maladies zymotiques.

Le Dr Andrew Weil, le célèbre médecin souvent cité, renforce ce point en expliquant que

la médecine s’est attribué le mérite de certaines avancées médicales qui ne lui revient pas. La plupart des gens pensent que la victoire sur les maladies infectieuses du siècle dernier est due à l’invention des vaccins. En fait, le choléra, la typhoïde, le tétanos, la diphtérie et la coqueluche, ainsi que les autres maladies, étaient en déclin avant que des vaccins pour ces maladies ne soient disponibles — en raison des meilleures méthodes d’assainissement, d’évacuation des eaux usées et de distribution de nourriture et d’eau.

Aujourd’hui même, Amy Becker et Mark Blaxill ont publié cette extraordinaire analyse intitulée « Les leçons du confinement : Pourquoi le nombre d’enfants décédés est-il si faible ? ». Elle devrait être lue dans son intégralité, toutefois, elle soulève une grande question : cette baisse est-elle due au confinement — et en particulier la baisse des décès dus au Syndrome de mort subite du nourrisson — parce que les bébés n’ont pas été vaccinés [durant cette période – NdT] ? Ils écrivent :

Le Covid-19 est unique parmi les pandémies récentes en ce sens que le bilan de la mortalité est mesurable, réel et convaincant. Il est également presque certain qu’il sera transitoire, mais cela n’empêchera pas la progression de l’écrasante propagande qui l’accompagne. Cependant, comme le dit le proverbe, « les plans les mieux conçus partent souvent à vau-l’eau ». Ce que personne n’aurait pu prévoir avant le Covid-19, c’est que cette mesure extrême de confinement a produit une expérimentation naturelle qui remet en question les actions mêmes préconisées depuis des années par la communauté des maladies infectieuses et de la santé publique, à savoir les vaccinations obligatoires et généralisées pour tout le monde. Nous devons déplorer la mort des personnes âgées résidant dans les maisons de retraite de Manhattan, mais aussi tenir compte des centaines de décès de nourrissons qui ont été évités. Ce n’est qu’avec un tel équilibre que nous pourrons tirer les leçons qui s’imposent quant à la pandémie et aux mesures de confinement qui ont suivi.

Pour conclure

Les vaccins n’ont pas sauvé l’humanité. Leur impact se situe entre 1 et 3,5 pour cent de la baisse totale des taux de mortalité. Ce sont l’amélioration des conditions sanitaires et du niveau de vie qui ont véritablement permis ce déclin — nutrition, conditions de vie, etc. Les vaccins ont-ils contribué à une légère diminution de certaines maladies aiguës ? Oui, mais leur bénéfice relatif est souvent exagéré à l’extrême, et utilisé pour intimider, culpabiliser et effrayer les parents.

© CDC-Adaptée en français par Sott.net

Suis-je donc en train de dire que personne ne devrait se faire vacciner ? Non, je ne le dis pas. Les vaccins offrent une protection temporaire contre certaines maladies aiguës. Certains sont plus importants que d’autres. Je pense personnellement que nous donnons beaucoup trop de vaccins, et je pense que l’équation risque/bénéfice de chaque vaccin est souvent occultée. Pire encore, 

le mensonge selon lequel les vaccins ont sauvé l’humanité au XXe siècle a transformé en fanatiques de nombreux partisans des vaccins, même si leurs récits ne sont tout simplement pas étayés par les faits. Mais vous pouvez bien sûr vous faire vacciner autant que vous le souhaitez, je respecte votre droit à faire vos propres choix en matière de soins médicaux. Personnellement, je ne ferai pas la queue pour me faire vacciner contre le Covid-19.

Notes de l’auteur

Il existe deux excellentes ressources que je vous recommande si vous souhaitez plonger dans le trou du lapin de la véritable histoire des maladies infectieuses. La première est l’incroyable livre de Suzanne Humphries, Dissolving Illusions. Le second est un article complet de Roman Bystriany intitulé, « La rougeole — La nouvelle peur rouge » [en anglais – NdT]. Si vous le lisez, vous serez profondément désillusionné par le battage médiatique — ne dites pas que je ne vous ai pas prévenu !

Le journaliste Lawrence Solomon a également écrit deux excellents articles sur la rougeole [tous deux en anglais – NdT] : « L’histoire inédite de la rougeole », et « Les vaccins ne peuvent pas empêcher les épidémies de rougeole ».

À propos de l’auteur

J.B. Handley est l’auteur du best-seller How to End the Autism Epidemic [« Comment mettre fin à l’épidémie d’autisme », ouvrage non traduit en français – NdT]. Il est diplômé avec mention de l’université de Stanford et est actuellement membre directeur de Bochi Investments, une société d’investissement privée. Il peut être contacté à l’adresse suivante : jbhandleyblog@gmail.com

Source de l’article initialement publié en anglais le 19 juin 2020 : J.B. Handley Blog
Traduction: Sott.net

Commentaire : Les deux articles suivants viendront compléter le sujet présenté dans celui-ci :

Rockefeller, roi du pétrole, a en effet entrevu une manne financière supplémentaire par l’usage de l’or noir dans l’élaboration et la mise en place des médicaments chimiques. Manne financière, mais aussi soif de contrôle, ces remèdes chimiques aux effets indésirables si nombreux — et pour cause — étant aujourd’hui très largement utilisés dans le monde entier… Un soupçon d’eugénisme au passage, peut-être ?

Voir aussi via le champ de recherche de Sott, tous les articles relatifs aux vaccins ou encore les articles suivants parmi les plus récents :


[Voir aussi : Dossier Vaccins]




Vandana Shiva : « Avec le coronavirus, Bill Gates met en place son agenda sur la santé »

[Source : Basta]

PAR BARNABÉ BINCTIN et GUILLAUME VÉNÉTITAY

L’écologiste indienne, figure de la lutte contre les OGM et Monsanto, est très critique du « philanthrocapitalisme », incarné notamment par Bill Gates et sa fondation. Pour elle, cette générosité désintéressée cacherait une stratégie de domination bien rodée. Entretien.

« Le philanthrocapitalisme (…) ne relève guère de la charité ou du don, mais plutôt du profit, du contrôle et de l’accaparement. Il s’agit d’un modèle économique d’investissement et d’un modèle politique de contrôle qui étouffent la diversité, la démocratie et les solutions alternatives et qui, en attribuant des aides financières, exercent une domination et valent de nouveaux marchés et monopoles au milliardaire  ».

C’est ainsi que Vandana Shiva définit le « philanthrocapitalisme », dans son dernier ouvrage paru à l’automne dernier, 1%, reprendre le pouvoir face à la toute-puissance des riches (éd. Rue de l’échiquier, 2019). Ce « philanthrocapitalisme » est symbolisé par Bill Gates, 2ème fortune mondiale. Sa Fondation Bill et Melinda Gates, son principal instrument pour les donations, est très active en Inde. Sa visibilité médiatique face à la crise actuelle, et les millions qu’il investit dans la recherche d’un vaccin, en fait une cible privilégiée des théories du complot. Il est cependant utile de s’interroger, et de critiquer, ce nouveau pouvoir que le fondateur de Microsoft a acquis, aux côtés d’autres milliardaires comme Jeff Bezos (Amazon, 1ère fortune mondiale), Mark Zuckerberg (Facebook, 7ème fortune mondiale) ou, en France, Bernard Arnault (LVMH, 3ème fortune mondiale). Un nouveau pouvoir loin de relever d’une générosité désintéressée.

Réalisé avant l’émergence de cette pandémie, cet entretien a été volontairement actualisé de deux questions au début, auxquelles Vandana Shiva a répondu par mail le 7 mai.

Basta ! : Comment analysez-vous la crise du Covid-19 ? Peut-on parler de crise écologique ?

Vandana Shiva : Nous ne sommes pas face à une seule crise. Il y en a trois qui interviennent simultanément : celle du Covid-19, celle des moyens de subsistance et, par ricochet, celle de la faim. Elles sont les conséquences d’un modèle économique néolibéral, basé sur le profit, l’avidité et une mondialisation menée par des multinationales. Il y a un fondement écologique à cette situation : par exemple, la destruction des forêts et de leurs écosystèmes favorise l’émergence de nouvelles maladies. Ces trois crises amènent à la création d’une nouvelle classe. Ceux que j’appelle “les laissés pour compte”, exploités par le néolibéralisme et l’émergence de dictatures numériques. Il faut une prise de conscience : l’économie dominée par les 1% n’est pas au service du peuple et de la nature.

La crise du coronavirus peut-elle justement renforcer le pouvoir de ces « 1% » et des « philanthrocapitalistes » comme Bill Gates, figure centrale de votre livre ?

Cette crise confirme ma thèse. Bill Gates met en place son agenda pour la santé, l’agriculture, l’éducation et même la surveillance. Pendant 25 ans de néolibéralisme, l’État s’était mué en État-entreprise. On observe désormais une transformation en un État de surveillance soutenu par le philanthrocapitalisme. Ces 1% considèrent les 99% comme inutiles : leur futur, c’est une agriculture numérique sans paysans, des usines totalement automatisées sans travailleurs. En ces temps de crise du coronavirus, il faut nous opposer et imaginer de nouvelles économies et démocraties basées sur la protection de la terre et de l’humanité.

Vous assimilez ce contrôle à une nouvelle forme de colonisation, et qualifiez même Bill Gates de « Christophe Colomb des temps modernes » : pourquoi cette comparaison ?

Parce que Bill Gates ne fait que conquérir de nouveaux territoires. Ce n’est pas simplement de la philanthropie, au sens d’un don à la collectivité, comme cela a toujours existé dans l’Histoire. En réalité, ce sont des investissements qui lui permettent de créer des marchés dans lesquels il acquiert des positions dominantes. Dans le capitalisme, il y a des interlocuteurs qui font du profit. Mais avec la philanthropie, Bill Gates donne quelques millions mais finit par prendre le contrôle d’institutions ou de secteurs qui valent plusieurs milliards ! On le voit bien dans la santé ou l’éducation, qu’il contribue à privatiser et à transformer en véritables entreprises.

C’est aussi le cas dans l’agriculture, où Bill Gates utilise les technologies digitales comme nouveau moyen pour faire entrer les brevets. La première génération d’OGM, censée contrôler les nuisibles et les mauvaises herbes, n’a pas tenu ses promesses, mais Bill Gates continue de mettre de l’argent pour financer l’édition du génome – comme si la vie n’était qu’un copier-coller, comme sur Word. Il pousse à cette technique et a créé une entreprise spécialement pour ça, Editas. Bill Gates veut jouer au maître de l’univers, en imposant une seule et unique façon de faire : une seule agriculture, une seule science, une seule monoculture, un seul monopole. C’est d’ailleurs également ce qu’il essaye de faire en s’attaquant au problème du changement climatique.

De quelle façon ?

Il fait la promotion de sa solution : la géo-ingénierie, qui est la modification intentionnelle des conditions météorologiques et du climat. C’est une idée stupide, non-écologique et complètement irresponsable, car elle s’en prend à la lumière solaire pour faire mécaniquement un “refroidissement planétaire.” Le problème, ce n’est pas le soleil, qui nous est indispensable, mais les combustions fossiles et notre système industriel et agricole. Il parle de géo-ingénierie à tous les chefs d’État. Je me souviens notamment de la COP 21, à Paris, en 2015, où il traînait partout. C’était incroyable, il était sur scène avec les chefs d’État, se comportait comme s’il était le patron de chaque gouvernement. En 40 ans de carrière auprès des institutions de l’ONU, je n’avais jamais vu quelque chose de semblable. C’est une vraie transformation.Je lis, j’aime, je vous soutiens

Diriez-vous qu’il est désormais plus puissant que des États ou que des institutions internationales telles que le FMI ou la Banque mondiale ?

Il est bien plus puissant. Quand la Banque mondiale a voulu financer le barrage de Sardar Sarovar en Inde à la fin des années 1980, il y a eu des protestations et elle a fini par reculer (le barrage a tout de même fini par être inauguré en 2017 par Narendra Modi grâce à d’autres circuits de financement, devenant le deuxième plus grand barrage au monde, ndlr). L’impunité de la Banque mondiale a des limites, elle ne peut pas échapper à ses responsabilités. Alors que Bill Gates, lui, continue de contourner les obstacles, toujours. Même si cela échoue à un endroit, il cherchera à déréguler à côté.

Je me suis rendu compte que ce que nous avions réussi à stopper en Inde, Bill Gates l’a financé pour l’implanter ailleurs. Comme les OGM, encore une fois : en 2010, Monsanto a par exemple essayé d’introduire une aubergine OGM. L’Inde a été une terre d’expérimentations pour développer des nouvelles technologies destructrices. Le ministre de l’environnement avait organisé des auditions publiques pour savoir ce que les paysans, les scientifiques et les consommateurs en pensaient – d’ailleurs, je dis toujours que c’est la première fois qu’un légume était le sujet d’un débat démocratique profond…

L’aubergine OGM a été bannie sur la base de ces consultations, mais Bill Gates a ensuite trouvé un moyen de la financer et de la promouvoir au Bangladesh. Or si c’est approuvé au Bangladesh, cela inonde forcément l’Inde puisque c’est une frontière non-contrôlée. Aujourd’hui, c’est à l’Afrique qu’il s’attaque, où il met des milliards de dollars pour promouvoir une nouvelle révolution verte, avec des produits chimiques et des OGM, en forçant les pays africains à réécrire leurs lois pour autoriser ces semences.

Comment expliquez-vous un tel pouvoir, aujourd’hui ?

Il a créé et investi 12 millions de dollars dans la Cornell Alliance for Science, qui se présente comme une institution scientifique mais n’est qu’un organe de communication. À chaque fois qu’il y a un débat, il fait venir cette « institution » qui élabore une propagande mensongère en faveur des biotechnologies. Parce que c’est Bill Gates, le New York Times et CNN en parleront et en feront leur une… La philanthropie n’est qu’un prétexte pour lui : à travers elle, il pousse ses propres intérêts et influence des politiques gouvernementales. C’est une manière très intelligente d’entrer dans le jeu sans se plier aux règles. Parce que si une entreprise dit à un gouvernement : « Voici mon argent, faites-ça », ça ne peut pas marcher, elle se fait forcément mettre dehors. Bill Gates, lui, joue de son image. Les gens le voient encore à travers Microsoft, comme un génie et un géant de l’informatique. De brillants ingénieurs ont pourtant fait bien mieux et ont lutté pour garder des logiciels open-source et un Internet ouvert, contrairement à lui. Bill Gates n’est pas un inventeur. Il introduit des brevets, c’est comme ça qu’il a bâti son empire.

Dans votre livre, vous insistez aussi sur l’utilisation de la technologie et des algorithmes…

La technologie a été élevée au rang de religion. Elle est devenue la religion des 1%, exactement comme la chrétienté aux États-Unis avait donné une légitimité aux 1% de l’époque pour exterminer 99% des Amérindiens, au nom de la « mission civilisatrice ». Il y a aujourd’hui des millions de gens qu’on veut « civiliser » avec ces nouveaux outils de communication ou de paiement. La technologie est d’ailleurs plus qu’un outil. C’est un instrument de pouvoir très puissant afin de collecter des informations que l’on peut ensuite manipuler à différentes fins. Vous utilisez ces technologies au quotidien, mais elles sont surtout un moyen de plus de vous mettre sous contrôle.

Là encore, derrière cette révolution numérique, on retrouve Bill Gates. Il a par exemple joué un rôle prépondérant dans la démonétisation en Inde ! Faire disparaître l’argent liquide pour développer les transactions numériques, c’est évidemment une façon d’accélérer la révolution numérique dont il tire profit. Or, de la même façon que les brevets sur les semences sont une tentative malhonnête destinée à mettre les paysans « hors la loi » en déclarant la conservation de semences illégale, la « démonétisation » perturbe directement les pratiques économiques du plus grand nombre, lesquelles représentent 80 % de l’économie réelle en Inde. C’est une forme de dictature technologique. Dans aucun des deux cas, cela ne résulte d’un choix souverain du peuple indien.

Et en même temps, dans les urnes, les gens finissent par voter pour les représentants de cette politique des 1%, comme en Inde par exemple, où Narendra Modi a été réélu confortablement l’année dernière. Comme s’il y avait une nouvelle forme de « servitude volontaire » ?

Nous ne sommes plus vraiment dans une démocratie électorale honnête, où les gens votent en connaissance de cause et en pleine conscience des enjeux ! Aujourd’hui, les algorithmes façonnent en grande partie le système électoral. En Inde, pour les dernières élections, ils ont autorisé les entreprises et les particuliers à faire des dons anonymes aux partis politiques. Cela veut dire que les plus grandes entreprises du monde ont pu financer les élections, ce qui était illégal jusque-là. Résultat, la grande majorité de ces dons sont arrivés dans les caisses d’un seul parti [le BJP, droite nationaliste, au pouvoir, ndlr]. Les élections indiennes ont coûté plus cher que les élections américaines – or l’Inde est quand même loin d’être un pays riche. On peut donc se demander d’où vient cet argent…Il est impossible d’avoir une démocratie honnête et fonctionnelle, si le peuple ne vote plus de façon souveraine. Cette perte d’autonomie, dans tous les domaines, c’est tout l’enjeu politique pour les 1%.

Le choix du terme « 1% » peut paraître un peu simplificateur, voire simpliste : pourquoi vous paraît-il être un mot d’ordre approprié, aujourd’hui ?

Le 1% est en soi une valeur approximative, je parle surtout des quelques milliardaires qui contrôlent la moitié des ressources de la planète. Ces milliards vont directement à des fonds d’investissement. Avant, les plus grosses entités étaient des firmes : Monsanto, Coca-Cola… Aujourd’hui, ce sont des nains. Elles sont détenues par les mêmes fonds d’investissement : BlackRock, Vanguard, etc. En réalité, il n’y a qu’une seule économie, celle des 1%. Ce sont eux qui détruisent. Les autres, les 99%, sont exclus. Ce sont les chômeurs d’aujourd’hui et de demain, les paysans déracinés, les femmes mises à l’écart, les peuples indigènes tués. Les 99% ne sont pas responsables, ils sont victimes. Ce sont les 1% qui sont responsables des dommages. Et nommer ce « 1% », c’est former un “nous” qui, ensemble, peut leur demander des comptes. Nous avons le droit, le devoir et le pouvoir de le faire. C’est une invitation à la solidarité et à l’action. Il faut que les 99% se lèvent.

Recueillis par Barnabé Binctin et Guillaume Vénétitay

Photo : © Romain Guédé




Les vies qui comptent

En image

Les vies blanches comptent
Les vies noires comptent
Toutes les vies comptent



Le Mahdi et ses Conseillers d’Ibn ‘Arabi : une sagesse pour la fin des temps.

[Source : Oumma]

par Tayeb Chouiref

Ibn ‘Arabi

De
nombreux hadiths du Prophète, cités dans des recueils faisant autorité,
nous présentent cette grande figure spirituelle attendue à la fin des
temps qu’est le Mahdi. Même s’il est difficile de définir avec précision
sa mission et son rôle spirituel, les hadiths nous permettent de
comprendre qu’il sera à la fois un chef temporel de la communauté
musulmane et un guide spirituel chargé d’éclairer les croyants à une
époque où les ténèbres, la confusion et l’injustice domineront. Il aura à
lutter contre l’Antéchrist (al-Dajjal) qui tentera de régner en maître tout puissant jusqu’au retour de Jésus :

« Le Mahdi est un de mes descendants, il a le front large et le nez aquilin. Il emplira la terre d’équité et de justice après que la tyrannie et l’injustice auront régné sur elle. Il règnera sept ans. »

(Rapporté par Abu Sa‘id al-Khudri, cité par Abu Dawud)

Le Mahdi sera donc un calife divinement inspiré et selon les termes du Prophète :

« S’il ne devait rester qu’un jour d’existence à ce monde, Dieu le prolongerait jusqu’à ce qu’arrive un homme de ma descendance (min ahl bayti), son nom reprend le mien. »

(Rapporté par Abu Hurayra, cité par Tirmidhi)


Le
Mahdi attendu à la fin des temps a toujours fait l’objet d’une
attention particulière en Islam : A travers les siècles, il a nourri la
piété populaire autant que la réflexion des théologiens. Mais ce sont,
sans conteste, les mystiques et les maîtres spirituels qui nous offrent
les exposés les plus précieux.

Le rôle spirituel du Mahdi, décrits dans de nombreux hadiths, ne pouvait manquer d’inspirer celui qui fut nommé al-Chaykh al-akbar, le maître spirituel par excellence. En effet, Ibn ‘Arabi (1165-1240) consacre un chapitre entier de son immense ‘‘Somme spirituelle’’ al-Futuhat al-makkiyya au rôle qu’assumeront, aux côtés de Jésus, le Mahdi et ses Conseillers à la fin des temps.

Ce
sont donc à la fois l’importance du sujet et la qualité de l’auteur qui
nous ont décidés à traduire et présenter ce chapitre qui occupe une
place importante dans les Futuhat et dont certains passages sont
cruciaux pour la compréhension de l’œuvre d’Ibn ‘Arabi comme nous le
montrons dans l’introduction (p.10 à 26).

Comme
toujours dans l’œuvre d’Ibn ‘Arabi, les interprétations les plus
profondes ont leur ultime justification dans le Coran et le Hadith. En
retour, l’exégèse du grand mystique restitue aux deux sources
fondamentales de l’Islam leur ampleur et leur profondeur. C’est ainsi
que dans ce chapitre des Futuhat, Ibn ‘Arabi déclare que tout son enseignement a ses racines dans les profondeurs et les lumières du Coran :

« Ainsi, tout ce dont nous parlons dans nos assemblées et nos œuvres écrites provient de la Présence du Coran et de ses trésors : J’en ai reçu la clé de la compréhension et le soutien spirituel qui lui est propre (al-imdad minhu). Tout cela afin de ne pas sortir du Coran car rien de plus élevé ne peut être accordé : Seul en connaît la valeur celui qui y a goûté, qui en a contemplé la demeure initiatique (manzil) comme un état intérieur et à qui le Réel parle [en lui projetant des versets] sur l’intime de son être (fi sirrihi). »

Pour saisir ce qui fonde la possibilité de dépasser le simple sens littéral du Coran, il faut méditer un important hadith qui occupe une place discrète mais centrale dans l’enseignement d’Ibn ‘Arabi :

إِنَّ لِلْقُرْآنِ بَطْناً وَظَهْراً وَحَدّاً وَمَطْلعاً .

رواه ابن حبان في صحيحه .

« Le Coran a un intérieur (batn) et un extérieur (zahr), une limite (hadd) et un point d’ascension (matli‘). »

(Cité par Ibn Hibban dans son Sahih)

Ainsi,
pour Ibn ‘Arabi, chaque verset a, d’une part, un sens extérieur clair
et accessible à tout croyant et, d’autre part, des sens intérieurs qui
ne se révèlent qu’à celui qui chemine vers le Réel (al-Haqq). Ce hadith – et en particulier la notion de matli‘
est le fondement scripturaire des interprétations spirituelles d’Ibn
‘Arabi et il est le garant de l’orthodoxie de sa démarche.

Dans
un souci de clarté et afin de mettre en lumière certains enseignements
de ce sage, nous avons voulu, dans la mesure du possible, souligner les
relations qui lient le texte d’Ibn ‘Arabi au Coran, ce qui explique
l’abondante annotation. D’autre part et pour permettre au lecteur
d’approfondir la lecture du chapitre des Futuhat que nous
présentons, nous avons ajouté en annexe la traduction inédite de textes
relatifs au Mahdi et à la fin des temps, appartenant à des maîtres
spirituels de l’école du Chaykh al-akbar : deux passages du commentaire du Coran (al-Ta’wilat) de ‘Abd al-Razzaq al-Qachani (m. 1329), un passge d’al-Insan al-Kamil de ‘Abd al-Karim al-Jili (m. 1428) et enfin deux mawqif de l’Emir ‘Abd al-Qadir (m. 1883).


Un
des messages importants qu’Ibn ‘Arabi transmet dans ces exposés est
l’affirmation qu’un des rôles spirituels du Mahdi consistera à ramener
l’Islam à sa simplicité originelle par delà les méandres des
élaborations théologiques qui se sont développées au fil des siècles :

« Il manifestera la religion telle qu’elle est véritablement de sorte que si l’Envoyé de Dieu (ص) était en vie, il exercerait l’Autorité en conformité avec la religion ainsi entendue. Il mettra fin à toutes les écoles juridiques sur terre : seule demeurera la ‘‘religion pure’’ (al-din al-khalis). Ses ennemis seront les théologiens qui suivent aveuglément les gens de l’effort jurisprudentiel (ahl al-ijtihad) lorsqu’ils verront que l’Autorité sera exercée en contradiction avec [certaines] positions de leurs Imams… Le commun des Musulmans se réjouira davantage de sa venue que ceux qui possèdent une fonction officielle. »

C’est un fait remarquable qu’aujourd’hui – et ce depuis plus d’un siècle – l’Islam est traversé par un certains nombres de courants prétendant opérer un retour au souffle originel de cette religion. Il faut avouer que les tentatives pour enjamber les siècles et faire retour à ce que d’aucuns pensent être ‘‘l’Islam du Prophète’’ n’ont abouti bien souvent qu’à appauvrir l’Islam et à le vider de sa substance. En voulant purger l’Islam traditionnel sans discernement spirituel et sans sagesse, les mouvements religieux et politiques se réclamant de l’Islah ou du salafisme risquent de s’égarer et de tomber dans l’obscurantisme.[1]

C’est
évidemment dans une perspective tout autre que se situe l’œuvre du
Mahdi selon Ibn ‘Arabi : Le Mahdi et ses Conseillers sont des sages
accomplis bénéficiant d’une inspiration spirituelle de force majeure et
leur influence résulte avant tout de leur rayonnement spirituel. Ce
rayonnement est, selon Ibn ‘Arabi, l’expression de leurs vertus : pureté
d’intention, absence d’ambition et détachement total et, enfin,
certitude inébranlable (yaqin).

Au
moment de conclure, il me paraît utile de rappeler qu’Ibn ‘Arabi
annonce très clairement, dans l’un de ses premiers ouvrages intitulé
‘Anqa’ mughrib (le Phénix stupéfiant), que tout son enseignement doit
être compris à la lumière de la correspondance entre le macrocosme et le
microcosme humain :

« Lorsque j’évoque dans mon livre que voici, ou ailleurs, un des événements du monde extérieur, mon but est uniquement de l’établir fermement à l’oreille de celui qui écoute puis de le mettre en regard de ce qui, en l’homme, correspond à cela. »

Cela nous permet de
comprendre que dans l’enseignement des maîtres, le Mahdi est une figure
spirituelle à la fois historique et symbolique : sa présence préexiste à
son avènement extérieur parce qu’elle est avant tout un événement intérieur.

En
des temps où les attentes messianiques des uns et des autres suscitent
parfois des réactions fébriles, où la tentation du repli sur soi et la
crainte des événements à venir poussent à des positions extrêmes, nous
formons le vœu que cette traduction puisse humblement aider quelques uns
à recevoir un peu de la paix et de la profonde sérénité qui traversent
l’œuvre d’Ibn ‘Arabi.


Le Mahdi et ses Conseillers (Une sagesse pour la fin des temps) est paru aux éditions Mille & une lumières.


[1] Sur ce sujet, voir l’excellente étude de Seyyed Hossein Nasr L’Islam traditionnel face au monde moderne, éditions l’Age d’Homme, Lausanne, 1993. Voir en particulier le prologue ‘‘Qu’est-ce que l’Islam traditionnel’’, pp. 15-24.




Le véritable mont Sinaï en Arabie ?

[Source : Centre Zahra France ]

Le véritable mont Sinaï en Arabie // Documentaire EXCLUSIF

8 février 2019

Ce documentaire inédit révèle de nombreuses preuves que l’histoire de Moïse est réelle, et que le véritable Mont Sinaï se trouve en Arabie, à l’endroit même où l’oligarchie wahhabo-sioniste construit le projet NEOM.

« Combien de signes dans les cieux et sur la terre ne rencontrent-ils pas et cependant ils s’en détournent ! »

(Coran, 12 ;105)

Le véritable mont Sinaï // Reportage, réaliser par Ryan Mauro

Etant donnée l’importance de l’enjeu et la gravité de la situation, le Centre Zahra France a décidé de réaliser cette mini-série consacrée au Projet NEOM ;

Nous y aborderons de nombreux sujets, aussi variés les uns que les autres, mais tous nécessaires afin de prendre conscience de ce qui se prépare avec ce projet, qui se présente sous différents aspects. Nous parlerons d’archéologie, d’histoire des Prophètes, de géopolitique, mais aussi d’Intelligence Artificielle, de physique quantique ou encore d’eschatologie.

Cette série est donc là pour nous interroger sur le projet NEOM, elle apporte certaines pistes de réflexions mais il ne tient qu’à vous de mener vos propres recherches afin d’approfondir le sujet. Nous vous invitons à nous envoyer vos questions en commentaires afin d’enrichir notre réflexion, nous consacrerons le dernier épisode de cette série à tenter d’y répondre.




Le Coran est-il la source du sexisme de l’Islam ?

[Source : Oumma]

par Dr Al ‘Ajamî

Nous
avons traité à de multiples reprises de sujets au cœur de la
discrimination genrée dont les musulmanes font en Islam l’objet. À dire
vrai, toutes les femmes, de tous les horizons – non pas depuis la nuit
des temps mais depuis que le pouvoir existe en société – sont victimes
de l’oppression ordinaire de la part d’hommes ordinaires. Quant aux
femmes musulmanes, elles ont la particularité d’être doublement
victimes : de leur statut de femme et de leur statut de croyante.

En regard du Coran, l’Islam a commis un triple détournement de sens, une triple injustice, envers les femmes,[1] envers les esclaves[2] et envers les Gens du Livre.[3] La présente réflexion s’inscrit donc en une double perspective : le combat féministe pour une libération des femmes en Islam et la démonstration de ce que le Coran n’est pas coupable du crime sexiste commis par l’Islam. Toutefois, cette juste lutte féministe revêt divers aspects, des plus sécularisées, qui prônent une libération des femmes selon un modèle occidental, au plus religieuses qui, au nom de l’Islam lui-même, souhaitent réformer la situation des musulmanes. Notre proposition est donc de rappeler à ces deux tendances générales que si l’Islam est indubitablement patriarcal, misogyne et inégalitaire, le Coran ne l’est étonnamment pas.

Notre titre : « le Coran est-il la source du sexisme de l’Islam ? » pose d’emblée la nature du lien entre le Coran et l’Islam et, en la matière, jamais la différence entre le Coran et l’Islam[4] n’a été aussi flagrante. Or, nous verrons qu’il est essentiel pour penser juste et utile de bien identifier et, surtout, dissocier ces deux entités : le Coran et l’Islam. Mais que faut-il entendre par Source ? L’Islam, à la différence du judaïsme et du christianisme actuels, se réclame du Coran en tant que religion révélée, en quelque sorte une religion descendue du Ciel, ce que nul historien des religions ne peut valider et ce que la raison ne peut comprendre.Publicité

Une source pour trois rivières

Méthodologiquement
et exégétiquement, une question se pose : quel est le lien
herméneutique exact entre le Coran-source et l’Islam-religion ?
L’image-réponse est la suivante : toute eau de source lorsqu’elle arrive
au pied des montagnes sacrées s’offre aux hommes qui, ayant peur de
perdre ce précieux don du Ciel, l’apprivoise, mais aussi l’endigue. Les
eaux ainsi maîtrisées, comme si elles n’avaient plus de profondeur, sont
alors le miroir de nos désirs, miroir qui renvoie sa propre image à
celui qui s’y penche. Le premier cercle herméneutique est ainsi
fondamentalement narcissique. L’homme n’entend plus la Parole, l’eau
murmurer, il y contemple son propre reflet. L’Homme éclaire ce qui
devait l’éclairer !

Toute rupture de ce cercle herméneutique
primitif est donc une blessure narcissique que nous ne sommes guère
enclins à affronter. C’est ce besoin de protection intime de notre être
musulman qui explique que nous acceptons confortablement de comprendre
le Coran en fonction du paradigme islamique selon lequel l’Islam est le fruit du Coran. Ceci implique qu’en réalité nous lisons le Coran avec les yeux de l’Islam, ce qui constitue le cercle herméneutique islamique. À l’opposé, nous proposons de comprendre le Coran en fonction du paradigme coranique selon lequel Le Coran est le fruit de lui-même. Nous lisons alors le Coran avec ses propres yeux, ce qui constitue le cercle herméneutique coranique.
Ce n’est qu’à cette condition de la rupture du cercle herméneutique
narcissique et du cercle herméneutique islamique que l’on peut rétablir
réellement le Coran en tant que source fondamentale du renouveau de la
pensée religieuse. La question est alors : en quoi le Coran lorsqu’il
est lu par lui-même peut-il participer à la cause du féminisme
islamique ?

Sept questions pour un seul Dieu

Quels
que soient les camps concernés : orthopraxie, islamisme, islamologie,
féminisme islamique, le Coran est sans nul doute la source scripturaire
admise par tous, l’argument d’autorité par excellence. Or, si le Coran
et l’Islam n’étaient que deux aspects d’un même discours, alors l’on est
en droit de se poser et de poser les questions suivantes :

  • Si le Coran et l’Islam tiennent le même propos, alors Dieu serait-Il sexiste ?
  • Dieu est-Il donc machiste, phallocrate, misogyne, patriarcal ?
  • Dieu est-Il un homme, un mâle ?
  • Dieu a-t-il alors créé l’homme à son image ?
  • Ou bien sont-ce les hommes, les mâles, qui ont refaçonné Dieu à leur propre image ?
  • Pourquoi un Dieu mâle, sans Compagne, aurait-il voulu que l’on opprimât les femmes des hommes ?
  • Faut-il alors parler de sexisme du Coran ou de sexisme de l’Islam ?

Si
à ces questions en tant que croyantes et croyants nous répondons : non,
alors nous devons partir du principe que le Coran n’est pas en lui-même
sexiste. Nous sommes ainsi dans l’obligation de supposer que seules les
interprétations du Coran faites par un Islam sexiste lui donnent en apparence ce caractère.

Sept niveaux d’égalité homme femme

En l’article consacré à l’Égalité homme femme selon le Coran et en Islam,[5] nous avons montré à l’aide d’une série de versets-clefs que contrairement à ce que nous supposons, conditionnés par l’Islam, le Coran établissait clairement l’égalité de genre.  Ainsi le Coran établit-il de manière remarquable sept niveaux d’égalité homme-femme. Étant entendu que l’analyse littérale[6] de ces versets a été réalisée dans l’article susmentionné, nous ne ferons que de brefs rappels.

1- Égalité ontologique :

« Ô Hommes ! Craignez pieusement votre Seigneur, Lui qui vous a créé d’un être/nafs unique/wâḥida dont Il créa son équivalent/zawja-hâ, et qui de ces deux suscite grand nombre d’hommes et de femmes… »

S4.V1.

L’unicité initiale/wâḥida de l’être/nafs implique que le mot zawj ait ici son sens premier de équivalent. Le terme zawj, tout comme celui d’équivalent, est mixte, ce qui renforce le concept d’égalité ontologique créationnelle de l’homme et de la femme.

2- Égalité de genre :

« À Dieu la royauté des cieux et de la terre, Il crée ce qu’il veut, Il fait don de fille à qui Il veut et fait don de garçon à qui Il veut. »

S42.V49.

Ceci
s’inscrit en faux contre les mœurs des Arabes qui s’honoraient de la
naissance d’un nouveau-né mâle et s’affligeaient de la naissance d’une
fille :

« Lorsqu’on annonce à l’un d’eux une fille, son visage s’assombrit gravement, il suffoque. Il ne veut point laisser apparaître aux gens ce mal que l’on vient de lui annoncer. En gardera-t-il la honte ou devra-t-il l’ensevelir sous terre. Combien est mauvais ce qu’ils pensent !»

S16.V58-59.

3- Égalité intellectuelle :

« …Puis, lorsque tous deux eurent goûté de l’Arbre et qu’ils prirent conscience de leur nudité […] leur Seigneur les interpella : Ne vous avais-je pas à tous deux interdit cet Arbre ? Je vous dis qu’en vérité le Shaytân est, de vous deux, ennemi déclaré ! Tous deux répondirent : Nous nous sommes lésés ! Si Tu ne nous pardonnes pas et ne nous fais pas miséricorde, nous serons très certainement au nombre des perdants ! »

S7.V22-23.

Le Coran
revisite ici le mythe misogyne judéo-chrétien dit de la Genèse. La femme
n’est plus la seule coupable et l’éternelle tentatrice. En ce verset, tous deux
sont responsables à parts égales de la décision prise et ils en
assument conjointement les conséquences. Ainsi, fondamentalement, la
Femme n’est pas inférieure à l’Homme en matière de raison, mais elle est
son exact similaire.

4- Égalité sociale :

« Les croyants et les croyantes sont soutien intime les uns pour les autres. Ils s’appliquent à ce qui est convenable et s’opposent à ce qui est blâmable, ils accomplissent la prière, font l’aumône, obéissent à Dieu et Son messager. À ceux-là Dieu leur fera miséricorde, Dieu, certes, est Tout-puissant, infiniment Sage.»

S9.V71.

Est
ici manifestement indiquée une parfaite réciprocité de participation
des hommes femmes et tous forment une même et unique communauté sociale
de participation conjointe et solidaire. Ceci est une base coranique
concrètement importante pour le combat des femmes musulmanes.

5- Égalité en foi :

« Mais qui aura œuvré en bien, homme ou femme, en tant que croyant, ceux-là entreront au Paradis, et ils ne seront point lésés d’un iota. »

S4.V124.

Cette égalité en foi des hommes et des femmes sous-entend une égalité quant à la pratique de la foi,
rien donc en la matière ne devrait distinguer les hommes des femmes. Ce
n’est bien évidemment pas le cas en Islam où les hommes détiennent
toutes les prérogatives religieuses.

6- Égalité spirituelle :

« Lorsque les Anges dirent : Ô Marie ! En vérité, Dieu t’a élue et purifiée. Il t’a élevée au-dessus des femmes de tous les mondes. Ô Marie ! Dévoue-toi à ton Seigneur, prosterne-toi et incline-toi avec ceux qui s’inclinent.»

S3.V42.43.

Selon
le Coran, Marie est le modèle insurpassable de la réalisation
spirituelle. Ceci avant même qu’elle ne fût enceinte de Jésus. La Voie
spirituelle féminine est donc hautement célébrée.

7- Égalité eschatologique :

« Seigneur ! Donne-nous ce que tu nous as promis par Tes Messagers et ne nous affliges pas au Jour de la Résurrection, car Tu es Celui qui point ne faillit à sa promesse. Leur Seigneur les a exaucés : Je ne délaisserai pas le moindre acte que vous aurez accompli, homme ou femme, les uns comme les autres…»

S3.V194-195.

Il
découle logiquement des niveaux successifs d’égalité que nous venons
d’évoquer qu’hommes et femmes seront égaux au Jour du Jugement. Le seul
critère mis en jeu, maintes fois répété dans le Coran, est la prise en
compte de ce qu’auront  « accompli, homme ou femme », ce en toute équité et toute égalité.

Sept inégalités coraniques ?

En
les conditions de parfaite égalité hommes femmes que nous venons de
rappeler, comment le Coran, alors en pleine contradiction, pourrait-il
donc avoir édicté pour l’éternité les sept grandes inégalités que nous
allons envisager et, conséquemment, comment le Coran pourrait-il
soutenir autant d’injustices à l’encontre des femmes ?

Il ne
s’agira pas d’une liste exhaustive, mais les points que nous allons
examiner sont tout autant des poncifs répétés à l’envi par les franges
conservatrices de l’Islam que par le front d’une islamophobie assumée.
Bien évidemment, il s’agit aussi d’inégalités majeures au cœur même du
combat féministe. Or, nous allons l’entendre, ce n’est pas le Coran qui
prône ces inégalités, mais l’interprétation que les hommes de l’Islam,
les mâles, ont faite d’un certain nombre de versets-clefs coraniques !

1- Inégalité en matière de témoignage

Cette inégalité est connue de tous : le témoignage de la femme ne vaudrait que la moitié de celui d’un homme ; un seul verset est en cause, verset portant sur la mise par écrit d’une dette/dayn à terme. En l’article intitulé le Témoignage de la femme selon le Coran et en Islam,[7] nous avons démontré que le Coran postule clairement et à trois reprises de l’égalité de l’homme et de la femme en matière de témoignage.[8] Sous faute d’incohérence, le Coran ne peut donc avoir affirmé que le témoignage de la femme ne vaut que la moitié de celui de l’homme, contrairement à ce que l’Islam soutient.

De fait, l’analyse
littérale de ce verset-clef a montré qu’en réalité il y avait égalité en
matière de témoignage entre homme et femme et que la présence souhaitée
de deux témoins femmes ne se justifiait qu’à cause des pressions que
les hommes de cette époque pouvaient exercer sur les femmes tant leur
participation aux affaires économiques voulue par le Coran était contre
les usages d’alors. Ce qui était de la part du Coran une mesure de
protection des femmes contre l’âpreté aux gains des hommes a été
transformé par l’Islam en minoration sexiste de la valeur des femmes !

2- Inégalité en matière d’héritage

Pour l’Islam, l’homme a globalement droit au double de la part attribuée à une femme. Cependant, en l’article l’Héritage des femmes selon le Coran et en Islam[9] nous avons montré que l’Islam pour parvenir à ce résultat profondément inégalitaire avait procédé à une double inversion des mesures coraniques. D’une part, alors que le Coran a institué le legs testamentaire/al–waṣiya comme mesure prioritaire selon laquelle les hommes et les femmes ont potentiellement droit à la même part, l’Islam a priorisé l’héritage à quotes-parts/al–warth ou al–irth procédé qui pour le Coran n’était qu’une mesure destinée à distribuer le reliquat de ce qui n’aurait pas été légué par voie de legs testamentaire/al–waṣiya. D’autre part, alors que pour le Coran le legs testamentaire/al–waṣiya est obligatoire et l’héritage à quotes-parts/al–warth facultatif, l’Islam a inversé cette capitale hiérarchie coranique.

3- Inégalité au sein de couple

Un des phares de l’obscurantisme inégalitaire en Islam est sans nul doute le segment suivant : « ar–rijâlu qawwâmûna ‘alâ–n–nisâ’i », énoncé que les hommes de l’Islam entendent comme signifiant : « les hommes ont autorité sur les femmes », S4.V34. En l’article Frapper les femmes selon le Coran et en Islam,[10] l’analyse littérale a largement démontré que le propos coranique avait pour sens littéral « les hommes ont des responsabilités quant aux femmes en fonction de ce que Dieu favorise certains [hommes] d’entre eux [en moyen de subsistance] par rapport à d’autres [hommes] ». Là encore l’Islam conçu par une culture hautement patriarcale et sexiste s’est opposé au message du Coran.

4- Inégalité en matière de dignité

Nous
retrouvons la suite du même verset… elle aussi tristement célèbre.
Selon l’Exégèse de l’Islam, le segment en question est compris comme
suit : « Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d’elles dans leurs lits et frappez-les/wa–ḍribû-hunna».

En l’article Frapper les femmes selon le Coran et en Islam
nous avons également apporté la démonstration linguistique de ce que ce
segment compris selon le paradigme coranique en son axe égalitaire et
respectueux des femmes se comprenait sans peine comme signifiant « Quant à celles dont vous craignez l’impiété manifeste/nushûz, exhortez-les, et délaissez-les en leurs lits, et éloignez-vous d’elles/wa–ḍribû-hunna». Quoi qu’en dise l’Islam, il n’est donc pas possible de frapper sa femme avec le Coran !

5- Inégalité sexuelle

Le sujet de l’inégalité sexuelle peut être traité par le biais de la polygamie puisque celle-ci est avant tout une manifestation dissymétrique de la sexualité. En l’article la Polygamie selon le Coran et en Islam,[11] l’analyse littérale a mis en évidence plusieurs contradictions et anomalies résultant de la compréhension classique de l’unique verset coranique mis ici en jeu par l’Islam : S4.V1.

Ce constat littéral a
permis de démontrer que contrairement à l’idée reçue de tous et de
toutes, le Coran n’a pas légiféré sur la polygamie en limitant le nombre
de coépouses à quatre. Cependant, il a établi en ce verset un parallèle
entre l’injustice commise à l’encontre des orphelins par leurs tuteurs
et l’injustice que la polygamie représente envers les femmes. Nous avons
par ailleurs montré qu’au nom de la justice et de l’équité le propos
réel coranique ouvrait la voie à la disparition de la polygamie au
profit de la monogamie.

6- Inégalité en matière d’espace public

Ce thème est parfaitement représenté par la manifestation la plus visible du sexisme de l’Islam : le voile. En l’article le Voile selon le Coran et en Islam nous
avons démontré que la position de l’Islam n’est pas coranique. En
réalité, elle emprunte au sexisme de Paul de Tarse et aux pratiques et
conceptions des juifs et des chrétiens. Pour parvenir à imiter ces
modèles antiques, l’Islam a surinterprété le bien connu v31 de S24, citons le segment-clef : « et qu’elles rabattent leurs voiles/khumur sur leurs poitrines ».

En
l’état, l’Exégèse a tout de même été dans l’obligation de forcer le
sens en usant de sources non coraniques, afin que nous nous imaginions
que ledit voile couvrait aussi la tête. En réalité, le propos du Coran
est simple et explicite et recommande seulement la chose suivante : « et qu’elles couvrent de leurs étoffes/khumur leurs décolletés/juyûb… ».

L’objectif
textuellement déclaré est donc un rappel de pudeur compréhensible
supposant implicitement que les femmes manifestent leur présence
publiquement. À l’opposé, le port du voile prescrit par l’Islam est une
fiction exégétique destinée à occulter les femmes de l’espace public,
celui des hommes.

7- Inégalité en matière de mariage interreligieux

Le fait est connu de tous et, surtout, de toutes : l’homme musulman peut épouser une juive ou une chrétienne, alors que la femme musulmane reste propriété de l’Islam qui lui interdit tout mariage interreligieux. En l’article le Mariage interreligieux selon le Coran et en Islam,[12] nous avons montré que le Coran ne fixait qu’une seule limite, tant aux hommes qu’aux femmes musulmanes : l’interdiction de mariage avec un ou une polythéiste.

Le verset référant est le suivant :

« Mais n’épousez pas les polythéistes/mushrikât tant qu’elles n’ont pas adhéré à la foi, une esclave croyante est certes préférable à une polythéiste, ce quand bien même vous enchanterait-elle. Et ne donnez point épouses à des polythéistes/mushrikîn tant qu’ils n’ont pas adhéré à la foi, un esclave croyant est certes préférable à un polythéiste, ce quand bien même vous enchanterait-il. Ceux-là appellent au Feu, alors que Dieu convie au Paradis et au Pardon, de par Sa prévenance, et qu’Il explicite Ses versets aux hommes afin qu’ils puissent s’en rappeler. »

S2.V221.

Présentement, nous noterons qu’en ce verset volonté et désir de la femme ont même valeur et degré que ceux de l’homme.

Conclusion

À
partir de ces quelques exemples paradigmatiques, nous aurons aisément
constaté que l’Islam est indubitablement sexiste et que, pour ce faire,
il se réclamait, entre autres, du Coran. Cependant, dès lors que nous
comprenons le Coran sans passer par la grille de lecture surimposée et
imposée par l’Islam, il apparaît que le Coran était fondamentalement égalitaire et qu’il ne pouvait être considéré comme la source du sexisme en Islam.

Resituée dans son contexte historique, cette prise de position coranique : l’égalité vraie entre les hommes et les femmes
si elle ne peut pas être qualifiée de féministe sous peine
d’anachronisme – n’en était pas moins révolutionnaire pour son temps.
Or, du fait même de son caractère précurseur, le message égalitaire du
Coran n’a pas été entendu par les premiers hommes, mâles, de la période
post-coranique.

Le Dieu du Coran n’est donc ni machiste, ni
misogyne, ni patriarcal et, que l’on soit croyant ou non, force est de
constater qu’il existe un réel hiatus, un différentiel, entre le texte
coranique et les interprétations que l’Islam en a promues. Ainsi,
pouvons-nous affirmer que le Coran n’est pas coupable du crime sexiste
de l’Islam ! Néanmoins, qui il y a-t-il d’étonnant à ce que la
religion-islam soit sexiste puisque, comme toute religion, l’Islam est
le fruit d’une longue élaboration humaine inscrite dans l’Histoire et
marquée du sceau des mentalités de ces penseurs et concepteurs.

À
bien comprendre, ce n’est ni le Coran en lui-même ni l’Islam par
lui-même qui sont responsables des injustices faites aux femmes, mais
les hommes eux-mêmes. Les références scripturaires ne sont que
pré-textes invoqués par les hommes pour justifier leurs injustifiables
comportements sexistes.

Nous aurons de même souligné la
possibilité et l’intérêt pour la pensée et la lutte féministe islamique
de pouvoir sainement s’appuyer sur la source originelle qu’est le Coran,
à condition bien sûr qu’il soit compris indépendamment de l’Islam. Il
ne s’agit donc pas de combattre le Coran à cause de l’Islam, mais, bien
au contraire, de prendre le Coran comme allié en la juste lutte du
féminisme dit islamique.

Ainsi, la cause des femmes peut-elle et
doit-elle se prévaloir de la protection et des encouragements du Coran,
l’argument d’autorité par excellence, ne l’oublions pas. Si toute lutte
féministe est nécessairement sociale, politique, le combat des
féministes en Islam a donc pour particularité d’être aussi un défi
exégétique, voire théologique. En cela, notre meilleure arme reste le
Coran une fois bien compris, c’est-à-dire pour ce qu’il dit et non pas
pour ce que les hommes lui font dire.

Bien que cela puisse sembler une aporie intenable pour les laïcistes et les ultra-séculiers, l’on est en droit d’espérer une libération des femmes par la Révélation.
Mais, parce qu’en toute passion il faut savoir raison garder, je
voudrais indiquer que les efforts de toutes et de tous ne doivent pas
tomber dans le même travers. Ainsi, si incontestablement les mâles
exégètes ont interprété le Coran en usant de leur textostérone, la juste cause féministe doit-elle éviter en retour d’interpréter le Coran en mode féministe, c’est-à-dire en réaliser une œstroxégèse !

Enfin,
ne peut-on pas espérer que sous les auspices du Coran, musulmanes et
musulmans parviennent à trouver un lieu de partage, de fraternisation et
de paix. Des réponses apportées il en va de notre humanisme, car, de la
dignité des femmes, dépend, en vérité, la dignité des hommes.

[Notes]

[1] En cet article, nous donnerons au fur et à mesure de l’exposé les liens pour les articles principaux traitant de la question des femmes selon le Coran et en Islam.

[2] Voir :
L’esclavage selon le Coran et en Islam : https://www.alajami.fr/index.php/2019/05/12/lesclavage-selon-le-coran-et-en-islam/
L’esclavage sexuel de celles qui possèdent vos mains droites selon le Coran et en Islam : https://www.alajami.fr/index.php/2019/05/14/lesclavage-sexuel-de-celles-que-possedent-vos-mains-droites-selon-le-coran-et-en-islam/

[3] Voir notamment :
La jizya et les dhimmî selon le Coran et en Islam : https://www.alajami.fr/index.php/2018/01/28/la-jizya-et-les-dhimmi-selon-le-coran-et-en-islam-2/
La Pluralité religieuse selon le Coran et en Islam : https://www.alajami.fr/index.php/2016/10/02/la-pluralite-religieuse-selon-le-coran-et-en-islam/

[4] Le Coran et l’Islam : https://www.alajami.fr/index.php/2018/01/21/le-coran-et-lislam/

[5] L’Égalité homme femme selon le Coran et en Islam : https://www.alajami.fr/index.php/2018/01/25/egalite-homme-femme-selon-le-coran-et-en-islam/

[6] L’analyse littérale du Coran : https://www.alajami.fr/index.php/2018/01/20/analyse-litterale-du-coran/

[7] Le témoignage de la femme selon le Coran et en Islam : https://www.alajami.fr/index.php/2018/01/24/le-temoignage-de-la-femme-selon-le-coran-et-en-islam/

[8] Lors du témoignage requis pour la rédaction du testament ante-mortem/al–waṣiya, S5.V106 et lors de la procédure de séparation entre époux, laquelle doit être faite devant témoins, S65.V2. Rien n’indique en ces deux versets le genre des témoins, ils doivent seulement être tous deux « intègres ». Il en est de même, concernant l’accusation d’adultère lors de la procédure dite du li‘ân. En cette circonstance, le témoignage du mari accusant sa femme d’adultère, S24.V6-5, est exactement équivalent à celui de la femme qui en accuse son mari, S24.V8-9.

[9] L’héritage des femmes selon le Coran et en Islam : https://www.alajami.fr/index.php/2018/11/27/lheritage-des-femmes-selon-le-coran-et-en-islam/

[10] Frapper les femmes selon le Coran et en Islam : https://www.alajami.fr/index.php/2018/11/06/frapper-les-femmes-selon-le-coran-et-en-islam-2/

[11] La Polygamie selon le Coran et en Islam : https://www.alajami.fr/index.php/2018/01/26/la-polygamie-selon-le-coran-et-en-islam/

[12] Le mariage interreligieux selon le Coran et en Islam : https://www.alajami.fr/index.php/2018/01/24/le-mariage-interreligieux-selon-le-coran-et-lislam/




D’ici 6 mois vous serez tous fichés en identification faciale, vocale ou digitale et personne ne vous en parle!

[Source : Insolentiae]

[Voir aussi :

«D’ici
6 mois vous serez tous fichés en identification faciale, vocale ou
digitale et personne ne vous en parle! » L’édito de Charles SANNAT

par Charles Sannat

Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,

Oh, rassurez-vous, il n’y a là, hélas, aucune « fake news ». Mais on vous expliquera quand ce sera nécessaire que c’est évidemment pour votre bien, pour votre sécurité on n’arrête pas le progrès.

Evidemment
dans notre monde où l’hypocrisie atteint des sommets exquis de finesse
et de raffinement, ce n’est pas l’Etat qui va vous ficher à ce point,
non, ce sera votre banque.

Pourquoi?

Parce que « l’Europe »,
la gentille et bienveillante Europe qui est suffisamment loin et
désincarnée est globalement à l’abri des peuples. Elle a été conçue pour
cela.

Elle a été conçue pour obliger les États à faire ce que les
Etats n’auraient jamais pu accepter dans le cadre d’une souveraineté
normale et d’une démocratie acceptable.

« C’est pas ma faute, c’est l’Europe qu’a dit »!

Et
l’Europe que dit-elle? Qu’il faut en finir avec les mots de passe écrit
sur des post-it sous le clavier, et qu’il faut passer à la vraie
authentification dite « forte » en particulier pour les banques.

Ainsi on vous imposera de vous identifier avec une reconnaissance digitale, vocale ou faciale.

Bienvenue dans votre enfer.

Alors personne ne vous en parle, c’est tout de même pas totalement exact car il y a cet article que je vais citer du Siècle Digital
qui en parle (mais sans aller au bout de ce que signifie cette nouvelle
norme c’est-à-dire un fichage massif de données biométriques de toute
la population), ou encore cet article sur le très complotiste site d’une
banque appelée Crédit Mutuel (c’est ironique évidemment).

Soutien à la mise en conformité

Voici le blablabla officiel…

« Les banques au sein de l’UE sont tenues de se conformer aux exigences d’authentification forte du client (Strong Customer Authentication, ou SCA) prévues dans la directive sur les services de paiement (DSP2) d’ici septembre 2019. Nous assisterons inévitablement, dans le cadre de leur mise en conformité, à un investissement accru des banques dans l’authentification forte et notamment dans la biométrie.

En outre, la capacité des plateformes en ligne à tirer parti des protocoles d’authentification forte devrait contribuer à faire de la SCA la règle plutôt que l’exception : La prise en charge d’une authentification forte standardisée dans l’ensemble des navigateurs web, ainsi que dans Windows 10 et Android, laisse envisager que l’authentification forte continuera à se déployer vers des millions de nouveaux utilisateurs d’Internet cette année »

Ca va être vachement plus simple… Puisqu’on vous le dit!!

« En pratique, un utilisateur fait glisser un doigt, prononce une phrase, regarde un objectif, ou appuie sur le bouton d’un système d’authentification matériel pour se connecter, payer un article, ou utiliser un service en ligne. Cette vérification de l’utilisateur est utilisée comme un facteur initial, pour ensuite déverrouiller un deuxième facteur plus sûr : une clé cryptographique privée qui authentifie l’utilisateur au service. Comme les données biométriques et clés cryptographiques sont stockées sur des dispositifs locaux, et ne sont jamais envoyées sur le réseau – éliminant ainsi les secrets partagés – les identifiants des utilisateurs sont sécurisés, même si les fournisseurs de services sont piratés, ce qui empêche les violations de données à grande échelle ».

Et puis cela permettra une « nouvelle expérience utilisateur »…

Vous
serez surtout totalement fiché et bio-maîtrisé dans tous les sens et
vous allez, nous allons tous découvrir à quel point il est nécessaire et
indispensable de préserver les espèces et le cash comme outil de
liberté.

Épargnez-nous les stupides « quand on a rien à cacher on a rien à craindre », cela ne fonctionne plus vraiment.

Officiellement
personne n’aura accès à vos « données » qui seront « bien gardées ».
Bon en cas de problème, on pourra évidemment retrouver votre empreinte
digitale, vocale ou faciale, sur simple « réquisition » du parquet, de
la police, de la gendarmerie, de la justice, du Préfet, de votre Maire,
et un jour… de l’huissier ou de votre voisin. C’est sans limite. Il y a
déjà les contes des milles et une nuits, mais aussi celui nettement plus
véridique des 1000 et une failles de sécurité, sans oublier toutes les
portes dérobées sympathiquement intégrées par au choix et rayez la
mention inutile:

  • La Chine (Huawei qui en plus espionne…)
  • Les Américains (toujours gentils).
  • Les Russes (systématiquement méchants)
  • Les terroristes.
  • Les Iraniens (quand on aura besoin de les bombarder pour récupérer leur pétrole).
  • La Corée du Nord (axe du mal)
  • etc, etc…

Ces
systèmes sont en réalité d’une immense fragilité liée à une immense
complexité, et ne fera qu’aggraver certains types de délinquance,
puisqu’il « suffira » de prendre en otage votre gosse, éventuellement
votre femme (si vous n’aviez pas l’intention de divorcer cela
fonctionne) pour vous faire mettre la tête dans l’écran, ou le doigt sur
le détecteur et vider votre compte en banque avec une authentification
aussi forte que la force des trois molosses qui vous tiennent en joue.

Personnellement, je n’ai pas l’intention de me faire couper un doigt pour un achat sur Amazon…

Bienvenue en l’an 2019.

Bienvenue dans vos prisons numériques où vous serez totalement dépendant du système.

Puis, ensuite viendra le système de contrôle social à la chinoise.

Pour votre « sécurité », vous n’aurez plus aucune liberté, mais c’est bien évidemment pour votre bien.

Je ne résiste pas à l’envie de vous citer la Bible. L’Apocalypse pour être plus précis.

« Par ses manœuvres, tous, petits et grands, riches ou pauvres, libres et esclaves, se feront marquer sur la main droite ou sur le front, et nul ne pourra rien acheter ni vendre s’il n’est marqué au nom de la Bête ou au chiffre de son nom ».

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !

Charles SANNAT




L’arnaque du réchauffement climatique ?

Comme l’article ci-dessous le démontre, la thèse du réchauffement climatique d’origine humaine ne fait pas l’unanimité parmi les scientifiques. Si elle semble obtenir un certain consensus (du moins selon les médias dominants), celui-ci ne peut empêcher une minorité de chercheurs d’émettre des arguments contradictoires.
[Source : Boulevard Voltaire]

L’arnaque du réchauffement climatique et de la transition écolo

L’émission qu’anime André Bercoff sur Sud Radio avait, la semaine dernière, pour thème « Le réchauffement climatique, info ou intox ? » Il est fort dommage que notre mal-aimé président de la République (24 % des sondés) n’ait pas écouté l’invité du jour, le professeur François Gervais, directeur de recherche au CNRS et qui vient de publier un livre explosif, L’urgence climatique est un leurre.

« La terre se réchauffe dangereusement et si nous ne faisons rien, demain verra la fin du monde ». En matière de climat, le marché de la peur est florissant. Une peur bien utile, véritable instrument de pouvoir fondé sur la manipulation des émotions au détriment de la raison. Faut-il en effet rappeler quelques-unes des prophéties émises en 1970 par les premières assises écologistes du « jour de la Terre », pour l’horizon de l’an 2000 : plus une goutte de pétrole, généralisation des famines sur tout le globe et réduction de l’espérance de vie à 49 ans aux Etats-Unis… Sans oublier le cri d’alarme lancé en 2008 par Al Gore, prix Nobel de la Paix 2007 et ancien vice-président américain, qui annonçait la disparition totale de la calotte glacière estivale au pôle nord en 2013… Pour François Gervais, s’il y a une urgence, c’est celle de retrouver nos esprits… scientifiques. Car, contrairement à ce que disent les responsables du GIEC, il est absolument faux d’affirmer qu’il existe un « consensus » des chercheurs autour des questions climatiques. Ce livre le prouve en détails. Le catastrophisme des modèles virtuels actuels, source de politiques énergétiques dispendieuses dont certaines n’ont de durable que l’affichage, est en revanche une vraie catastrophe annoncée.

Un livre qui vient à point nommé avec le lancement de la nouvelle lubie présidentielle qu’est le Haut Conseil sur le climat et qui a donné l’ubuesque one-man-show de mardi matin sur la manière de réaliser la transition écologique, à des années-lumière de la préoccupation immédiate des gilets jaunes, c’est-à-dire du peuple d’en bas !

Car François Gervais, qui a consacré sa vie aux problèmes engendrés par l’écologie, démontre, point par point, que le réchauffement climatique qui entraîne cette transition écologique est l’arnaque du XXIe siècle, une véritable intox. Et, personnellement, je ferais plus confiance à un savant qu’à un jeune homme issu de la haute finance.

Le professeur Gervais se bat contre des idées préconçues qui semblent être la bible de l’Élysée. Il affirme que la pollution a grandement diminué. Le climat change tous les trente ans, mais pas toujours dans le même sens. En 1945, par exemple, lorsque les émissions de gaz carbonique (CO2) se sont accélérées, la température a baissé pendant trente ans… pour remonter de 0,4 % depuis, mais nos experts occultent la variabilité du climat.

« Il est un fait avéré que le CO2 est un bienfait, car c’est la nourriture indispensable et irremplaçable de la végétation. Sans gaz carbonique, nous n’aurions plus de végétation et la planète mourrait. » François Gervais affirme que le CO2, cause première de la hausse des taxes, est passé de 0,03 % à 0,04 % en un siècle sur la planète Terre, ce qui a permis aux récoltes et à la biomasse végétale d’augmenter de 20 %, conduisant, selon un savant américain, à un gain de trois mille milliards d’euros !

Un autre chiffre relevé par François Gervais : « Si l’on réduit de 20 % le CO2 d’ici 2020, on éviterait à la planète de se réchauffer de moins de 1 millième de degré pour un coût exorbitant puisqu’au niveau de l’Europe, il s’agit de 20 % du budget européen. »

Si, donc, la transition énergétique est nécessaire car les ressources fossiles ne sont pas inépuisables, il faut travailler sur l’énergie de substitution et faire le contraire de ce que notre Président préconise, lui qui veut des moyens intermittents comme l’énergie solaire ou l’éolien qui ne produisent de l’énergie, comme l’aurait écrit M. de La Palice, que s’il y a du soleil et du vent !

Alors, oui, la COP21 ne sert à rien. Selon le MIT, en 2100, on aurait gagné 0,2 °C si tous les pays signataires respectaient les objectifs de la COP. Alors que l’on constate que, grâce au CO2, en 33 ans, la planète verte s’est agrandie de 18 millions de km². Elle a reverdi !

Il faut donc, selon ce professeur émérite, développer des énergies nouvelles renouvelables non intermittentes, comme les micro-algues qui, à partir de CO2 récupéré, par exemple, auprès de cimenteries voisines, permettent de refabriquer un carburant. Comme, aussi, la fusion nucléaire qui, avec le projet ITER, en construction depuis 2010 à Saint-Paul-lez-Durance, permettra d’utiliser sur Terre la même énergie que celle qui alimente les étoiles.

Alors, le prétexte des taxes est fallacieux. Car la pollution atmosphérique du CO2 n’a aucune influence mesurable sur le climat. Le professeur Gervais est formel.

Voilà de quoi rassurer le combat des gilets jaunes !

[En complément (anglais) : L’homme est-il responsable des changements climatiques ?]




Plus c’est gros et plus ça passe

En de nombreuses occasions, les élites ont menti à leurs peuples pour les pousser à la guerre. Si les exemples assez récents de l’affaire des couveuses au Koweït et des armes de destruction massive en Irak (ayant respectivement servi de casus belli pour la Guerre du Golfe en 1990-1991, puis la seconde guerre contre l’Irak en 2003) peuvent être encore dans les mémoires, il existe d’autres cas passés sous le radar ou complètement oubliés, tels que celui rapporté par l’article suivant.

[Source : Jeune NATION]

Roosevelt : le Discours de la « Carte Secrète »

ROOSEVELT : LE DISCOURS DE LA « CARTE SECRÈTE »

Le Président Franklin Roosevelt était un maître dans l’art de la tromperie. En au moins une occasion, il admit sans détour être prêt à mentir pour atteindre ses objectifs. Lors d’une conversation en mai 1942 avec son proche conseiller juif, le secrétaire au Trésor Henry Morgenthau, le président fit remarquer :

« Vous savez, je suis un jongleur et je ne laisse jamais la main droite savoir ce que fait la main gauche… Je peux avoir une politique pour l’Europe et une, diamétralement opposée, pour l’Amérique du Nord et du Sud. Je peux être totalement inconsistant et, de plus, je suis tout à fait prêt à induire en erreur et à dire des mensonges si cela peut aider à gagner la guerre. » 

Roosevelt n’était ni le premier ni le dernier président à mentir au peuple. Mais rarement une figure politique majeure aura prononcé un discours à ce point truffé de mensonges aussi culottés que Franklin Roosevelt lors de son allocution du jour de la Marine le 27 octobre 1941, à Washington, DC, lors d’un grand meeting retransmis en direct sur les radios nationales.

Le président Roosevelt prononce son discours du « jour de la marine » le 27 oct. 1941 retransmis en direct à tout le pays. Cette allocution historique faisait partie de ses efforts pour promouvoir le soutien du public à la guerre contre l’Allemagne. Cette photo est tirée d’un reportage d’actualité.

Beaucoup de choses se sont passées dans les mois qui précédaient. Le 11 mars 1941, Roosevelt signait la loi de Prêt-Bail autorisant une augmentation des livraisons d’aide militaire à la Grande-Bretagne – une politique qui violait la neutralité américaine et le droit international. En avril Roosevelt envoya illégalement des troupes américaines occuper le Groenland. Le 27 mai il prétendit que les Allemands s’apprêtaient à « dominer le monde » et proclama pour les U.S.A. « un état d’urgence national illimité ». Faisant suite à l’attaque allemande en URSS en juin, l’administration Roosevelt entreprit la livraison d’aide militaire à des Soviétiques aux abois. Ces livraisons constituaient également une violation flagrante du droit international. En juillet, Roosevelt envoya illégalement des troupes occuper l’Islande. Et en septembre, Roosevelt annonça un ordre de « tir à vue » aux navires de guerre américains pour attaquer les navires allemands et italiens en haute mer.

Le président a commencé son discours du Jour de la Marine en rappelant que les sous-marins allemands avaient torpillé le destroyer américain Greer, le 4 septembre, et le destroyer Kearny, le 17 octobre. Dans un langage hautement émotionnel, il qualifia ces incidents d’actes d’agression non provoqués à l’encontre de tous les Américains. Il affirma que, bien qu’il ait cherché à éviter le conflit, les tirs avaient commencé et que « l’Histoire retiendrait qui avait tiré en premier. » Ce que Roosevelt a délibérément omis de préciser, c’est que dans chaque cas, ce sont les destroyers américains qui ont commencé à attaquer les sous-marins, lesquels ont tiré en autodéfense, uniquement en dernier recours. Malgré son ordre de « tir à vue » – qui rendait le genre d’incident qu’il condamnait si pieusement inévitable – Hitler continuait de chercher à éviter la guerre avec les États-Unis. Le dirigeant allemand avait expressément ordonné à ses sous-marins d’éviter à tout prix les accrochages avec les navires de guerre américains et de ne tirer que pour éviter d’être coulé. En dépit des efforts de Roosevelt pour amener Hitler à déclarer la guerre aux États-Unis, la majorité des Américains restaient opposés à une intervention dans le conflit européen.

Et c’est donc dans le cadre de ses efforts pour convaincre les Américains que l’Allemagne était une menace pour leur sécurité, que Roosevelt poursuivi son discours du Jour de la Marine avec une annonce sensationnelle :

« Hitler s’est souvent défendu de vouloir étendre ses conquêtes au-delà de l’Atlantique… J’ai en ma possession une carte secrète, établie en Allemagne par le gouvernement d’Hitler — par les planificateurs du nouvel ordre mondial. C’est une carte de l’Amérique du Sud et d’une partie de l’Amérique centrale telle que Hitler se propose de la réorganiser. »

Cette carte, expliqua le président, montrait l’Amérique du Sud ainsi que notre « grande artère vitale, le canal de Panama »partagée en cinq États vassaux sous domination Allemande. « Cette carte, mes amis, est la preuve que les nazis visent non seulement l’Amérique du Sud mais également les États-Unis. »

Roosevelt enchaîna en révélant qu’il avait aussi en sa possession « un autre document établi en Allemagne par le gouvernement d’Hitler. Il s’agit d’un plan détaillé pour abolir toutes les religions existantes, Catholique, Protestante, Musulmane, Hindou, Bouddhiste et Juive » qui sera imposée par l’Allemagne « à un monde soumis si Hitler gagne »

« Les biens de toutes les églises seront saisis par le Reich et ses marionnettes, » poursuivit-il, « les croix et tous les autres symboles religieux seront interdits. Le clergé sera définitivement muselé dans les camps de concentration… Àla place des églises de notre civilisation, il sera édifié une nouvelle église internationale nazie – une église dont les officiants seront envoyés par le gouvernement nazi. Àla place de la Bible, les mots du Mein Kampf seront imposés comme nouvelles écritures saintes. Et à la place des croix du Christ, il y aura deux symboles, – le svastika et l’épée. »

Roosevelt marqua l’importance de ses affirmations sensationnelles. « Il faut bien soupeser », dit-il, « ces sinistres vérités dont je vous ai parlé au sujet des plans hitlériens présents et futurs. » Tous les Américains, dit-il ensuite, « font face à un choix entre le genre de monde dans lequel nous voulons vivre et le genre de monde qu’Hitler et ses hordes voudraient nous imposer. » En conséquence, « nous avons juré de tourner la barre vers la perte de l’hitlérisme ».

Le gouvernement allemand réagit au discours par un communiqué qui rejetait catégoriquement les allégations du président. Les supposés documents secrets, disait le communiqué, « sont des faux grossiers de l’espèce la plus outrancièrement osée. » De plus disait encore le communiqué officiel : « Les allégations concernant une conquête de l’Amérique du Sud par l’Allemagne et l’élimination des églises et des religions du monde et leur remplacement par une église nationale-socialiste sont tellement loufoques et absurdes qu’il est inutile pour le gouvernement du Reich de les discuter ». Le ministre de la propagande Joseph Goebbels réagit également aux affirmations de Roosevelt par un commentaire très largement diffusé. Les « accusations absurdes » du président américain, écrit-il, sont une « gigantesque arnaque » destinée à « remonter l’opinion publique américaine. »

Voici la fameuse “carte secrète » le document cité par le président Roosevelt lors de son allocution du Jour de la Marine en octobre 1941. Il s’agissait en fait d’un faux, œuvre des agents des services de renseignements britanniques dans le cadre d’une campagne bien organisée pour encourager les Américains à soutenir la guerre.

Lors d’une conférence de presse le lendemain de l’allocution, un reporter demanda au président une copie de la « carte secrète ». Roosevelt a refusé, mais a insisté pour dire qu’elle provenait d’une « source indiscutablement fiable ».

Le fin mot de l’histoire ne fit surface que plusieurs années plus tard. La carte existe réellement, mais c’est un faux qui a été produit par les services secrets britanniques dans leur antenne technique clandestine « station M » au Canada. William Stephenson (nom de code : intrépide), chef du service de renseignements britannique en Amérique du Nord, l’a transmise au chef du service de renseignements William Donovan, qui l’a retransmise au président. 

Dans ses mémoires publiés en 1984, Ivar Bryce, agent britannique durant la guerre, revendiqua la paternité de l’idée de la « carte secrète ». L’autre « document » cité par Roosevelt, prétendant décrire l’abolition des religions par l’Allemagne, était, bien entendu, tout aussi fantaisiste que la « carte Secrète ».

En 1941, peu d’Américains pouvaient s’imaginer que leur président pouvait mentir d’un air aussi convaincu sur des questions d’une telle gravité pour la nation et pour le monde. La plupart ont tenu ces propos alarmistes pour vrais. Par son discours historique du Jour de la Marine, Franklin Roosevelt a donc réussi à atteindre son but, qui était de faire peur aux Américains pour qu’ils soutiennent ou au moins tolèrent, sa campagne pour pousser les U.S.A. à la guerre.

Mark Weber

Titre original de l’article paru en anglais sur le site IHR : Roosevelt’s ‘Secret Map’ Speech  (Traduction Francis Goumain)




Luciferisme : un regard laïque sur un système de croyance globaliste destructeur

[Source : Le Saker Francophone]

Luciferisme : un regard laïque sur un système de croyance globaliste destructeur


Par Brandon Smith − Le 6 février 2019 − Source Alt-Market.com


Au
cours de nombreuses années d’enquête sur les mécanismes des
événements mondiaux et les personnes qui les ont provoqués, je
suis peut-être devenu un peu obsédé par un sujet particulier –
la source et les motivations du mal. Cette fascination ne provient
pas d’une simple curiosité morbide, mais d’un besoin stratégique
de comprendre l’ennemi. Tout comme un exterminateur a besoin de
comprendre le comportement des cafards pour être efficace, je
cherche à comprendre le comportement et la nature du mal organisé.

Un fait très important qui doit d’abord être clair dans l’esprit des gens est que le mal existe effectivement. La propagande de l’establishment a consacré énormément de temps, d’efforts et de capitaux à tenter de conditionner la société à croire que le mal n’est rien de plus qu’une construction sociale – une opinion. Le mal est supposé être dans l’œil du spectateur ; un produit du conditionnement religieux. C’est un mensonge. Tout comme les concepts de beauté, les concepts de mal sont en fait inhérents à notre psychisme dès la naissance. L’« œil de  l’observateur » n’a pas d’importance.

Deux
domaines particuliers de la psychologie humaine appuient ce fait.

Tout d’abord, comme l’a montré le travail de Carl Jung (et par extension des anthropologues comme Joseph Campbell), tous les êtres humains, où qu’ils soient nés dans le monde, de la tribu la plus isolée d’Amazonie à la plus grande métropole d’Amérique, portent les mêmes symboles archétypes dans leur psyché. C’est-à-dire que nous avons TOUS les mêmes éléments psychiques dans notre esprit, quel que soit l’environnement.

Ce
seul fait est tellement accablant pour l’homme moderne que
certaines personnes refusent même de le reconnaître comme une
possibilité. On nous a entraînés comme des rats de laboratoire à
ne voir qu’un seul chemin dans le labyrinthe ; on nous a répété
à maintes reprises que tout est « relatif » ;
que chaque personne est entièrement un produit de l’environnement
et que nous commençons tous en étant des « pages
blanches »
.

Les attaques vicieuses de l’establishment contre Carl Jung (y compris les mensonges selon lesquels il aurait coopéré avec les nazis) me disent que Jung était très proche de la cible. Il était tombé sur quelque chose de très dangereux pour l’establishment, quelque chose qui pourrait faire dérailler son conditionnement du public.

Deuxièmement,
l’existence indéniable de la conscience humaine suggère que nous
sommes nés avec une compréhension de la dualité. Ce qui veut dire,
comme Jung l’a découvert, que nos psychés contiennent des
concepts inhérents au bien et au mal qui influencent nos décisions
et nos réactions. Jung parlait du mal, ou d’impulsions
psychologiquement destructrices, comme de l’« ombre
personnelle »
 et
de l’« ombre
collective »
.

La
grande majorité des gens ont une relation intuitive avec le bien et
le mal. Ils ressentent de l’anxiété lorsqu’ils sont confrontés
à des actions ou des pensées mauvaises, et ils se sentent
personnellement coupables lorsqu’ils savent qu’ils ont fait du
mal à d’autres personnes. Certains pourraient appeler cela
une « boussole
morale »
.
Je dirais que c’est une partie de l’âme ou de l’esprit.

Quoi
qu’il en soit, il y a un contingent de personnes dans le monde qui
ne l’ont pas – un petit pourcentage de la population qui
naît sans conscience, ou qui trouve facile de l’ignorer. Nous
parlerons de ces gens dans un instant, mais d’abord, nous devrions
probablement définir ce qu’est le mal.

Le
mal est d’abord et avant tout toute action qui cherche à détruire,
exploiter ou asservir au nom du gain ou de la satisfaction
personnelle. Malheureusement, les mauvaises actions sont souvent
présentées à tort comme avantageuses pour le groupe, ce qui les
rend moralement acceptables. Les besoins du plus grand nombre sont
censés l’emporter sur les besoins du plus petit nombre, et le mal
est ainsi rationalisé comme un moyen d’atteindre une « fin
positive »
 pour
le « bien
supérieur »
.

Dans
la plupart des cas, cependant, les actions destructrices ne finissent
pas par servir les intérêts de la majorité, et finissent seulement
par donner plus de richesse et de pouvoir à une minorité élitiste.
Ce n’est pas une coïncidence.

Le
mal commence par le déni de l’existence de la conscience, ou le
déni de l’existence du choix. Chaque personne naît avec une
capacité ou une liberté de choix. Nous pouvons écouter notre
conscience ou l’ignorer. Nous pouvons faire le bien ou le mal. Le
mal nous dit que le choix est relatif et que la moralité est
relative ; qu’il n’y a pas de différence entre un bon choix et
un mauvais choix, ou que le mauvais choix est le seul choix.

Au-delà
de l’ignorance de la conscience, nous devons aussi définir la
motivation qui conduit au mal. La psychologie suggère que les
actions destructrices mues par l’égoïsme proviennent d’un désir
obsessionnel d’obtenir ou de contrôler des choses que nous ne
pouvons ou ne devrions pas avoir. Il est intéressant de noter que
c’est aussi ce que certaines religions nous enseignent, mais
restons-en à un examen profane.

Comme
nous l’avons déjà mentionné, il y a un groupe de gens dans le
monde qui ne voient pas le bien et le mal comme la plupart d’entre
nous le voient. Leur psychisme fonctionne d’une manière
complètement différente, sans le filtre de la conscience. Ces
personnes présentent les traits des sociopathes narcissiques. Les
sociopathes narcissiques de haut niveau représentent environ 1% à
5% de la population humaine totale, et la plupart d’entre eux sont
nés ainsi, et non fabriqués par leur environnement. De plus, 5 à
10 % des personnes présentent des traits latents de narcissisme ou
de sociopathie qui ne font généralement surface que dans un
environnement de crise instable.

J’ai beaucoup écrit sur les sociopathes narcissiques et l’establishment globaliste dans de nombreux articles. J’ai également expliqué comment ces personnes, contrairement à la croyance populaire, ne sont pas isolées les unes des autres. En fait, ils s’organisent en groupes pour un gain mutuel.

Il y a une idéologie ou un système de croyance qui défend le contraire de ce que la conscience nous dit être « bon », et ce système est le luciférisme. En fait, le luciférismesemble être la source d’influence de la plupart des « ismes » destructeurs existant dans notre société actuelle (y compris le socialisme et le globalisme). Selon ma théorie, le luciférisme est une religion ou un culte conçu par des narcissiques sociopathes au profit des narcissiques sociopathes.

Il est parfois difficile d’identifier les vrais « sacrements » derrière le luciférisme car, d’une part, les lucifériens refusent de reconnaître que le système est une religion. Ils préfèrent appeler cela une philosophie ou une méthodologie, du moins en public. Le système semble également encourager la désinformation active afin de dissuader ou d’induire en erreur les non-adhérents. Le terme historique de ce secret religieux est « occultisme ». J’appellerais cela « élitisme ».

Il y a des croyances fondamentales que les lucifériens admettent ouvertement. D’abord et avant tout, le but du luciférisme est d’atteindre la divinité. C’est-à-dire qu’ils croient que certains êtres humains ont la capacité de devenir des dieux par l’accumulation de connaissances.

J’ai écrit sur la folie du but de la divinité dans le passé, soulignant comment la physique quantique et les théorèmes d’incomplétude de Kurt Gödel rendent impossible une observation et une compréhension scientifique et mathématiques totale de l’univers. Mais la réalité mathématique n’empêche pas les cercles lucifériens de rechercher de manière destructrice ce qu’ils ne peuvent pas avoir. Par extension, des connaissances scientifiques non-tempérées par la discipline, la sagesse et une boussole morale peuvent conduire à la catastrophe. La connaissance matérielle est invariablement utilisée abusivement par ceux qui recherchent le pouvoir divin.

La
notion d’adoration de soi est un trait fondamental des narcissiques
sociopathes ; le luciférienisme ne fait que la codifier comme
si c’était une vertu. Un autre problème avec l’idée de devenir
un dieu est qu’on développe inévitablement un désir d’avoir
des disciples et des adorateurs. Après tout, qu’est-ce qu’un
sauveur sans troupeau ? Mais comment un être humain gagne-t-il
un troupeau et devient-il un dieu ? Par la force ou par la
ruse ?

Deuxièmement,
les lucifériens prétendent qu’ils cherchent à élever le pouvoir
de l’individu en général. Dans l’esprit de beaucoup de gens,
cela ne semble pas du tout négatif. Même moi, j’ai plaidé en
faveur de l’importance de l’individualisme face aux
contrôles de la société. Cela dit, n’importe quelle idéologie
peut être poussée à l’extrême.

La
recherche de la satisfaction individuelle peut être poussée trop
loin, au point que les gens autour de nous commencent à souffrir. En
raison de la nature élitiste du luciférisme, ils ne cherchent pas
nécessairement l’élévation de tous les
individus, mais seulement de certains individus « méritants ».
Il y a une tendance à considérer les non-adhérents comme
des « inférieurs » ;
des gens stupides qui devraient être tondus comme des moutons par
ceux qui poursuivent un rêve supérieur de divinité personnelle.

Cette
attitude se retrouve aussi dans les actions communes des sociopathes
narcissiques, qui n’hésitent pas à escroquer ou à exploiter les
gens autour d’eux comme des ressources, en se nourrissant des
autres comme des parasites. Ils considèrent cela comme une pratique
acceptable parce qu’ils se considèrent comme spéciaux ; ils sont
destinés à accomplir plus que la populace ignorante. Ils sont
destinés à faire de grandes choses, et leur image est destinée à
être scellée dans les fondations de l’histoire.

L’élitisme
du luciférisme est à peine caché. Les lucifériens prétendent
qu’ils n’ont aucun intérêt à convertir d’autres personnes.
Au lieu de cela, les adhérents doivent être « assez
intelligents »
 pour
arriver au système de croyance par eux-mêmes. Cependant, leur
objectif d’influencer le public à travers les sphères sociales et
politiques est assez évident.

Les gardiens politiques, même s’ils ne sont pas ouvertement lucifériens, ont parfois tendance à laisser échapper leurs affiliations. Saul Alinsky, organisateur de haut niveau à gauche et gardien Démocrate, loue Lucifer, le rebelle, dans les reconnaissances personnelles de son manuel politique Règles pour des radicaux, dans lequel il dit :

N’oublions
pas au moins d’accorder notre reconnaissance, en passant, au tout
premier radical : dans toutes nos légendes, mythologie et histoire
(et qui sait où la mythologie s’arrête et où l’histoire
commence, ou laquelle est laquelle), la première personne radicale
connue de l’homme qui s’est rebellée contre l’establishment et
l’a fait si efficacement qu’il a au moins gagné son propre
royaume, c’est Lucifer.

Le luciférisme est également répandu dans les institutions globalistes. Par exemple, l’ONU semble être fortement impliquée dans l’idéologie à travers des groupes comme leLucis Trust, une maison d’édition fondée par Alice Bailey, une fervente promotrice du luciférisme qui possédait également la Lucifer Publishing Company. Le Lucis Trust avait à l’origine son siège social dans le bâtiment de l’ONU à New York, et gère encore aujourd’hui une bibliothèque privée de livres occultes hors du cadre de l’ONU.

D’anciens directeurs de l’ONU comme Robert Muller étaient étroitement liés au Lucis Trustet à l’œuvre d’Alice Baily et faisaient ouvertement la promotion du luciférisme. M. Muller a joué un rôle central dans les politiques mondiales de l’ONU en matière d’éducation des enfants et a créé de nombreuses agences dans l’intention d’assurer une gouvernance mondiale. Vous pouvez lire les livres blancs de Robert Muller sur la formation d’un gouvernement mondial sur son site Good Morning World.

Les
lucifériens abordent la gouvernance mondiale comme ils font tout le
reste, avec une forte propagande. Muller soutient que l’objectif
doit être présenté au public par le biais de l’idée
de « protéger
la Terre »
.
En d’autres termes, il croyait que l’environnementalisme était
la clé pour convaincre les masses de la nécessité d’une
centralisation totale du pouvoir entre les mains des institutions
globalistes. Les idéaux lucifériens sont enrobés de sucre dans une
multitude de motifs fleuris et nobles. Mais de quoi s’agit-il
vraiment ?

Certains
lucifériens adoptent une position gnostique sur la figure du diable
et prétendent seulement apprécier le concept comme mythologique
plutôt que voir le diable existant comme force, littéralement.
Certains textes gnostiques dépeignent Satan comme le« bon »et
Dieu le « méchant » dans
l’histoire de la Genèse ; Dieu étant un impitoyable maître
d’esclaves et le serpent un « libérateur » apportant
la connaissance du monde matériel aux hommes. Lucifer est présenté
comme une sorte de Prométhée, le titan qui a volé le feu aux dieux
et l’a donné aux hommes.

Ce récit de « Lucifer comme sauveur héroïque » est très courant. Manly Palmer Hall, franc-maçon du 33e degré et écrivain New Age influent est cité pour avoir écrit dans son recueil d’écrits intitulé The All Seeing Eye :

Lucifer
représente l’intellect et la volonté individuelle qui se rebelle
contre la domination de la nature et tente de se maintenir contre
l’impulsion naturelle. Lucifer, sous la forme de Vénus, est
l’étoile du matin dont il est question dans l’Apocalypse, qui
doit être donnée à ceux qui dominent le monde.

Un
modèle luciférien décrit Dieu comme un concept archétypal
seulement, un réconfort mythologique qui nous aide à affronter la
solitude de l’existence. Ils ne croient pas à l’existence d’une
figure corporelle de Dieu, mais on se demande comment ils peuvent
concilier l’existence d’archétypes psychologiques inhérents
avec cette notion ? D’où viennent les archétypes s’il n’y
a pas de conception créative ou de signification voulue pour
l’humanité ?

Les Lucifériens plus discrets soutiennent parfois que la figure mythologique de Lucifer est distincte de l’image chrétienne de « Satan » . Le nom « Lucifer » n’est pas mentionné directement dans la Bible en référence à Satan (bien que l’expression « étoile du matin », la traduction directe du mot « Lucifer » soit mentionnée en référence à Satan). Mais cet argument me semble plutôt timide et malhonnête. Pendant des siècles, le terme « Lucifer » a été synonyme dediable dans la conscience publique. Les lucifériens semblent essayer de se séparer des connotations négatives associées au satanisme en jouant sur les mots et la sémantique.

Mais pourquoi s’en soucieraient-ils ?  À moins, bien sûr, qu’ils ne cherchent à influencer la conscience publique et qu’ils se rendent compte qu’il est difficile de vendre le satanisme à la population, alors ils veulent donner un visage différent à une vieille et moche idée. Les satanistes se réfèrent souvent à Lucifer et Satan dans le même souffle comme étant la même figure. Dans ce documentaire, Anton LaVey, un représentant bien connu dans les milieux sataniques et lucifériens, fait exactement cela.

LaVey
semble être traité comme une gêne par les groupes lucifériens
plus soucieux du marketing. Je soupçonne que son franc-parler public
de ce qu’impliquent les croyances lucifériennes est perçu comme
trop honnête. Ces gens croient au secret et à l’initiation. Ils
n’aiment pas que le monde entier puisse voir et juger leur côté
sombre.

Une antithèse directe à quelqu’un comme Anton LaVey serait Michael Aquino, un officier du renseignement militaire spécialisé dans la guerre psychologique qui était membre de l’église satanique de LaVey, mais qui est parti pour créer son propre « Temple Of Set » plus facile à vendre. Aquino est surtout connu pour une thèse tactique sur la guerre psychologique qu’il a écrite avec le général Paul Vallely, (crédité dans l’article comme Paul E Valley intitulé « Des Psy-OP à la guerre psychologique »). La thèse décrit le recours à la propagande et à d’autres stratégies pour retourner une population cible contre elle-même, soit pour détruire cette population, soit pour la contrôler plus facilement sans jamais avoir à recourir à la force militaire pure et simple.

Le
livre d’Aquino met en évidence la croyance luciférienne en
la « magie »,
mais pas la magie telle qu’elle est comprise par la culture
populaire. Les lucifériens croient au pouvoir des mots magiques et
des symboles sous forme de phrases clés psychologiques et
d’archétypes. C’est-à-dire qu’ils ont adopté l’utilisation
de la psychologie archétypique, mais là où des psychologues comme
Carl Jung ont utilisé la psychologie archétypique pour guérir les
personnes souffrant de maladies mentales et émotionnelles, les
lucifériens utilisent des archétypes pour manipuler et contrôler
la pensée publique.

Cela se fait souvent par le biais de la culture populaire et des films. Truthstream Media a produit un excellent documentaire sur ce sujet que je recommande fortement.

Il existe des exemples plus évidents comme Blade Runner de Ridley Scott, dans lequel des androïdes se rebellent contre leur maître esclave et créateur et finissent par le tuer. Puis il y a un divertissement plus subversif comme Series Of Unfortunate Events de Netflix, qui commence comme un conte humoristique amusant pour enfants, mais qui se termine par une démonstration de tous les aspects de la croyance luciférienne jusqu’à l’élitisme comme pratique nécessaire, le relativisme moral, une figure divine inutile et contrôlée, entourée de sycophantes, et même un serpent portant une pomme contenant le « savoir » pour sauver les héros d’un horrible destin.

La
duplicité du luciférisme à elle seule devrait suffire à rendre
les gens méfiants à l’égard de ses promesses et de ses
arguments. L’humanité a passé la majeure partie de ces
dernières deux millénaires à essayer d’éliminer les
influences de l’élitisme occulte (la classe des grands prêtres)
de nos structures politiques et sociales. Pourtant, ces gens sont
implacables dans leur désir de pouvoir.

Indépendamment
de la tournure positive que les lucifériens adoptent pour leur
idéologie, les fruits de leurs activités parlent beaucoup plus fort
que leur propagande. Ce que je vois à travers leurs efforts vers le
globalisme, c’est un désir cancéreux de contrôle de la
civilisation et de tous les aspects de la pensée humaine. Je vois
aussi une perversion de la nature alors qu’ils cherchent à obtenir
ce qu’ils appellent la « divinité ».
Le transhumanisme et la manipulation génétique portent toutes les
marques de l’idéal luciférien. Quelles que soient les
affiliations religieuses, il est difficile de trouver quoi que ce
soit de valable dans leur système. Tout en lui est un affront à la
conscience innée. Il ne peut devenir acceptable pour la majorité
que par la tromperie.

Si
vous devez mentir sur les motivations de votre philosophie pour que
les gens l’adoptent, alors votre philosophie doit être
dangereusement incomplète ou carrément cataclysmique.

Brandon
Smith

Traduit
par Hervé, relu par jj  pour le Saker Francophone




Sodome, tu dépasses les bornes

[Source : Le Grand Réveil]
[Auteur : Louis d’Alencourt]

[NdNM : en ces temps de pensée unique et de liberté d’expression de plus en plus réduite, est-il encore possible qu’un article tel que le suivant permette un échange respectueux de points de vue et d’arguments plutôt que des réactions émotionnelles épidermiques dégénérant trop souvent en insultes ?]

Sodome, tu dépasses les bornes

Non Bilal Hassani ne représente pas la France. Il représente une certaine
France, la plus pourrie, la plus perverse, enlisée dans le péché et qui
s’en glorifie insolemment. Oh certes cette France des loges
maçonniques, des gauchistes et de la synagogue de Satan, cette France
luciférienne dirige aujourd’hui notre pays et en possède les pouvoirs
législatifs, culturels, économiques et médiatiques, mais elle n’est pas
« la » France et ne le sera jamais.

Non, un juif inverti et dégénéré ne représente pas la France, il
représente les ennemis de la France, ceux qui veulent en faire un
cloaque immonde d’impuretés.
Il y en a marre de la perversion des mœurs et des esprits voulue par une certaine élite, celle qui détient les clés du pouvoir.
Il y en a marre de ces provocations volontaires, de cette arrogance d’un
système qui place volontairement de tels pions avec deux objectifs :
faire progresser la perversion des esprits, et tester le niveau de soumission de la population.
Il n’y a pas que les chrétiens qui soient choqués ; une bonne
partie de la population l’est probablement, et n’approuve pas de tels
comportements. Mais elle n’a pas le droit de le dire ; les médias se
gardent bien de publier les avis contraires, tout fonctionne comme une propagande à sens unique.
Car parallèlement, l’univers médiatique au sens large affiche une belle
unanimité concernant cet « artiste » comme s’il était parfaitement
normal qu’un garçon se promène en robe de mariée et s’affiche en
travesti assumé.

Ceci est le reflet d’un problème de fond beaucoup plus grave.

Ce n’est pas tellement le fait que Bilal Hassani soit un dégénéré de plus, c’est
qu’il est la représentation visible d’une société dégénérée qui veut
nous imposer sa dégénérescence comme la nouvelle norme.
Cette société utilise des méthodes déloyales parce qu’elle
déploie conjointement l’imposture intellectuelle et la police de la
pensée. L’imposture intellectuelle consiste à distiller insidieusement
une nouvelle mentalité et un nouvel état d’esprit en cachant ses
véritables intentions, et la police de la pensée empêche et interdit
toute réaction hostile. Ce sont des méthodes dignes d’un régime
totalitaire, puisque non seulement l’opposition à cette dégénérescence
est interdite mais aussi tout débat contradictoire, puisque relevant,
disent-ils, de l’homophobie. Ainsi d’une part on annihile les opposants
en les contraignant au silence, et d’autre part on procède à une
véritable propagande en faveur de ces nouvelles idées et de cette
nouvelle mentalité par la formation des esprits via l’école et la télévision sous prétexte d’information ou de combat contre les préjugés.
Absence d’opposition, interdiction de penser le contraire, rouleau
compresseur d’une propagande incessante et diversifiée, d’abord et avant
tout à destination des jeunes… il y a là une véritable transformation
des esprits et de la morale à grande échelle que l’on ne peut absolument
pas enrayer ni même empêcher de progresser ou encore de contrebalancer.

« Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal, qui changent les ténèbres en lumière, et la lumière en ténèbres »
(Isaïe 5:20) ; non seulement la prophétie d’Isaïe se constate tous les
jours, mais celle-ci s’accomplit dans des conditions encore pires
puisque le système bloque tout contrepoids possible.
Pourtant les tenants de cette politique immonde de
transformation et de corruption des esprits devraient méditer le sort
que subit la ville de Sodome
, détruite par une pluie de feu
en une nuit à cause du péché, notamment, dont on a tiré le nom… ce
n’est pas un hasard si Sodome est le symbole de l’homosexualité.
Or si dans la bible Dieu punit l’homosexualité si violemment -et par
extension toutes les déviations sexuelles et les dérives de la chair- et
si par la suite saint Paul puis l’Eglise ont condamné sans appel, sans
équivoque et sans discontinuer l’homosexualité, ne croit-on pas qu’en
accumulant ainsi autant de charbons ardents sur nos têtes, nous n’allons pas nous attirer le même type de châtiment ?

Quand je pense que certains attendent encore le Nouvel Ordre Mondial… mais de quoi s’agit-il précisément, si ce n’est du nouvel ordre moral de ce nouvel ordre mondial qui prend corps et progresse sous nos yeux ?

Des méthodes déloyales et redoutables

Détaillons en quelques mots ce mécanisme de retournement et
d’avilissement des esprits. C’est le cerveau qui est visé, nos propres
référents culturels et moraux. Ceci n’a rien d’anodin et les enjeux sont
énormes parce qu’irréversibles à long terme et transmissibles aux
générations suivantes.
Un énorme travail de fond de changement des mentalités est accompli à
l’aide de grands outils, dont les principaux sont l’arsenal législatif,
l’Education Nationale et les médias.
Car ainsi, les populations éduquées à ce nouvel état d’esprit par 15 ans
d’école (!) et parallèlement par une même propagande médiatique répétée
inlassablement par la télévision (car à ce niveau il ne faut pas parler
d’information mais de « formation » des esprits via
les journaux télévisés, les émissions, les reportages, les films, les
séries…), finissent par reproduire elles-mêmes la pensée et les
comportements voulus et les répandre à leur tour via les réseaux
sociaux, internet et youtube ; ainsi la propagande et la formation des
esprits volontairement dispensés par l’école et les médias sont répétés à
l’infini par les populations elles-mêmes avec de surcroît un accent de
sincérité encore plus trompeur : les gens sont de bonne foi puisqu’ils
répètent ce qu’ils ont appris à l’école et à la télé… redoutable.
Jeudi dernier je lisais dans des toilettes publiques à Paris un message écrit en gros sur le mur : « marre de cette société dégueulasse » -je me dis tiens ça commence bien, mais j’ai vite déchanté car pour l’auteur anonyme de cette inscription, le dégueulasse est que la société soit « raciste, homophobe, inégalitaire et sexiste« . Il a bien appris sa leçon, il est bien dans le moule.
Ne nous y trompons pas, l’école forme ainsi nos enfants, les dégâts dans
les esprits sont quasiment irréversibles. Il n’est pas loin le jour où
la population nous lynchera avec sincérité, persuadée de rendre un grand
service à la société en mettant hors d’état de nuire les défenseurs
d’une société traditionnelle et morale s’élevant contre l’homosexualité
ou l’IVG… parce qu’ils ont acquis la mentalité d’un nouvel ordre moral
totalement en contradiction et même inversé par rapport à l’ancien. Un
nouvel ordre moral au fonctionnement particulièrement totalitaire, lui
qui appartient à un régime qui se prétend le défenseur des libertés.
Lesquelles ? Les siennes exclusivement ?

Le grand remplacement

Le grand remplacement est une formule de Renaud Camus ; celui-ci fait
référence à l’immigration massive que connaît l’Europe depuis un
demi-siècle, vaste mouvement s’apparentant à une invasion de nos pays
par des populations de races, de cultures, de langues et de religions
différentes. Ce grand remplacement se concrétise dans nos contrées non
pas par une assimilation mais par une juxtaposition des populations, que l’on appelle mixité ou multiculturalisme. Ces termes sont des aveux en soi.
Dans l’esprit des concepteurs et autres édiles à l’origine de cette
politique, définie d’ailleurs dans les loges maçonniques, ce
regroupement de populations n’est viable que dans la mesure où toutes
communient dans le même intérêt supérieur général, celui des droits de
l’homme, qui repose sur 3 principes fédérateurs (liberté, égalité,
fraternité) et sur un système politico-mystico-religieux, la laïcité.
Ceci cache le but final poursuivi en réalité : un changement d’ordre civilisationnel, le grand remplacement d’une civilisation (chrétienne) par une autre que nous savons luciférienne.
Car le grand remplacement n’est pas uniquement ethnique et culturel, il est global :
Grand remplacement civilisationnel
Grand remplacement religieux
Grand remplacement historique
Grand remplacement moral
Grand remplacement des esprits

Nous ne détaillerons pas ici chacun de ces thèmes -bien que ce soit
instructif- mais nous allons juste aborder quelques points-clés de ce
changement de civilisation.
Ce dernier nous été signifié à l’échelon mondial le 21 décembre 2012 : fin du monde voulait dire « fin du monde chrétien »
; à la civilisation inspirée du christianisme s’est substituée en 150
ans une civilisation d’inspiration luciférienne que le 21/12/2012 a
entériné et confirmé : après l’ère du Christ, celle de Satan. Quand ce
n’est pas le Christ qui règne, c’est l’autre qui prend la place, on l’a
vu tout à l’heure avec l’émergence de la culture LGBT qui paraît
naturelle aujourd’hui ; effectivement, dans une culture luciférienne,
c’est normal.

Dans ce grand remplacement civilisationnel, la méfiance remplace la
confiance, la cupidité remplace la charité et la jouissance remplace la
sagesse.
Le système est basé non plus sur la confiance, mais sur l’encadrement
des populations, un encadrement liberticide où l’Etat décide de tout ce
que doivent faire les hommes avec un enchevêtrements de lois, de
décrets, de normes, de recommandations, de préconisations etc…  C’est
lui qui décide ce qui est bon ou mauvais. L’Etat est la nouvelle
Providence, d’ailleurs les mots trahissent la stratégie luciférienne
puisque l’Etat-Providence a remplacé la Providence divine.
Ce nouvel état d’esprit a pour corollaire un refus de la loi naturelle,
le démon faisant l’inverse de Dieu, qui se concrétise notamment par
l’égalitarisme, qui est le refus de reconnaître les différences
intrinsèques entre hommes et femmes. Or ces différences sont naturelles
et complémentaires ; reconnaitre, accepter et même favoriser les
différences et la complémentarité hommes-femmes participe de
l’équilibre psychique des populations et en définitive de l’équilibre
social.
En fait, déstabiliser les individus tant à l’échelle
individuelle qu’à l’échelle collective par l’égalitarisme pervertit tout
le processus parce qu’en définitive, personne n’est à sa bonne place ; 
ni l’homme ni la femme pris tant individuellement que dans la cellule
familiale ou sociale, et ceci se répercute dans les rapports avec les
enfants, au travail et dans l’administration du pays.
D’où un sentiment généralisé de malaise, ce fameux malaise traduit
maladroitement par le mouvement des gilets jaunes, mais aussi la
difficulté à identifier les causes de ce malaise, car ce serait alors
reconnaître un mauvais choix d’ordre civilisationnel entamé au bas mot
il y a 50 ans ; mai 68 est un bon repère pour le point de départ
effectif de ce nouvel ordre mondial, qui est en réalité un changement de
civilisation par une modification de l’ordre moral et culturel dont les
populations souffrent au plus profond d’elles-mêmes. Elles en souffrent
d’autant plus qu’elles ne savent pas l’expliquer clairement (et pour
cause) et que les remèdes sont inefficaces et inadaptés car ils ne
s’appliquent qu’aux conséquences, dont on essaie de réduire les mauvais
effets, et non aux causes ; pire même, les causes empirent car on
assiste à une fuite en avant sur les thèmes à la base de ce changement
civilisationnel : féminisme, égalitarisme, sexualité débridée et
inversée (LGBT), socialo-capitalisme d’Etat, technocratie, robotisation
et omniprésence du numérique, etc…
A partir du moment où l’idéologie prime sur la loi naturelle, il est
normal que cette dernière soit d’abord niée, puis réécrite et
réinterprétée dans le sens idéologique voulu, ce qui finit par donner
l’exact contraire : par exemple, l’homosexualité est une pratique
contre-nature. Or le maître de l’inversion, depuis toujours, c’est
Satan. Dis-moi ce que tu penses, je te dirai qui est ton dieu.

Il est d’ailleurs significatif de constater que celui qui devrait
être l’opposant numéro un à ce nouvel ordre mondial, le pape, en est
aujourd’hui un des plus ardents défenseurs. Le pape François se préoccupe uniquement des thèmes chers aux partisans du Nouvel Ordre Mondial
: parti-pris en faveur des migrants et donc du grand remplacement,
promotion du socialisme d’Etat, soumission à la laïcité et aux droits de
l’homme, partisan de la lutte contre les inégalités (pur produit de
l’inversion de la loi naturelle), adhésion au mythe du dérèglement
climatique (qui est à la fois le résultat de ce nouvel état d’esprit et
un business planétaire), politique favorable envers les LGBT qu’il
préconise d’accueillir dans l’Eglise (!!) sans jamais évoquer le péché
grave qu’ils commettent, dépassant ici de loin les positions de ses
prédécesseurs. Mais pour qui travaille-t-il ? Pour Jésus-Christ
ou pour la franc-maçonnerie, à l’origine de tous les thèmes que nous
venons de lister ?
Le salut des âmes semble être le cadet de ses soucis, par contre le salut des thèses maçonniques, alors là, ça c’est important!

Conclusion

Il faut donc être bien conscient du travail en profondeur effectué
sur les mentalités depuis des décennies. Il ne s’agit pas seulement
d’éradiquer l’ordre social et moral issu du christianisme, il s’agit de
le remplacer parallèlement par un autre ordre : le fameux Nouvel Ordre
Mondial.
Le Nouvel Ordre Mondial est constitué d’un nouvel ordre moral (inversion des valeurs), d’un nouvel ordre mental (inversion des esprits), d’un nouvel ordre social (multiculturalisme), d’un nouvel ordre économique (obligation de croissance financée par la dette), d’un nouvel ordre politique (mondialisme, c’est à dire fusion du capitalisme et du socialisme), d’un nouvel ordre naturel (l’homme modifie la loi naturelle selon ses vues) et d’un nouvel ordre religieux (primauté de la religion des droits de l’homme sur toutes les autres, qui doivent s’y soumettre).
Le Nouvel Ordre Mondial n’est donc pas en devenir : il est là, il est construit, et sa naissance officielle nous a été signifiée le 21 décembre 2012. Ce jour-là, ils nous ont dit en substance : « votre monde (chrétien) est mort et le nôtre (luciférien) est prêt, il prend désormais le relais. »
Mais attention, Babylone, que l’Apocalypse appelle aussi Sodome -et pour
cause !- c’est quand tu te crois vainqueur que le feu du ciel te tombes
dessus.
L’incendie de Notre-Dame n’est pas qu’un avertissement pour l’Eglise ;
c’est aussi un avertissement pour Sodome-Babylone, l’annonce du feu
purificateur.

Pour télécharger le fichier pdf de l’article, cliquez sur ce lien : Sodome, tu dépasses les bornes

Illustration : la tenue de gala de Bilal Hassani à l’Eurovision 2019
était une robe de mariée (?? Je rappelle que c’est un garçon…). Mariage
avec qui ? Lucifer son maître, ou Sodome-Babylone, autre fille de
Lucifer ?




Créationnisme, darwinisme… Pourquoi pas ni l’un ni l’autre ?

[Source : Signe des temps]

Original anglais : Sott.net

De ces deux théories, laquelle est vraie : le créationnisme, ou le darwinisme ? D’ailleurs, pourquoi faudrait-il choisir entre les deux ? Apparemment, nombreux sont ceux qui omettent la possibilité que ces deux théories soient fausses. Contrairement à ce que certains pourraient prétendre, tant le créationnisme que le darwinisme relèvent plus de l’idéologie que de la science, alors il n’est guère surprenant que ces deux théories – ou du moins, la façon dont on nous les présente – ne soient pas vraiment étayées par cette dernière.

La
plupart des tenants du créationnisme croient en cette théorie parce
qu’ils ont été élevés dans le christianisme, et qu’ils croient en la
Bible – un peu trop littéralement, d’ailleurs. Quant aux tenants du
darwinisme, leur croyance semble reposer sur trois raisons : c’est ce
qu’on leur a enseigné à l’école, ils n’ont qu’une vague idée des
principes scientifiques qui le sous-tendent – ou, pour le coup,
l’absence de tels principes, comme nous allons le voir -, et/ou ils sont
convaincus que le créationnisme est une théorie inepte, et croient par
conséquent que l’unique alternative qui s’offre à eux est le darwinisme.
Or, ces trois justifications posent toutes sérieusement problème.

Premièrement, la façon dont est enseigné le darwinisme à l’école est extrêmement trompeuse et mériterait à elle seule un article, mais je me contenterai de présenter dans les grandes lignes tout ce qui pose problème dans le darwinisme, et dans la façon dont on nous le présente.

Deuxièmement, la plupart des gens n’ont qu’une connaissance très vague des vérités et faits scientifiques ayant trait à l’évolution, ce qui les empêche de distinguer les innombrables problèmes inhérents au darwinisme. L’idée selon laquelle les organismes auraient évolué par étapes est facile à avaler, quand on ne sait pas vraiment en quoi consistent ces supposées étapes ni comment les mécanismes de l’évolution sont censés opérer. Lorsqu’on ne sait pas vraiment à quoi ressemble une cellule, ce qu’elle contient, lorsqu’on ignore tout de sa complexité, de la façon dont elle opère et du rôle de l’ADN, tout ce qui reste, ce sont des arguments qui affirment que le darwinisme est parfaitement fondé et que la science est là pour le prouver – et que seuls les ignorants le mettent en doute. On entend rarement dire à quel point cette science est en réalité fragile, à quel point les preuves sont nébuleuses, et que nombre de scientifiques contestent cette version établie. Les idées anti-darwiniennes sont souvent littéralement bannies des salles de classe, généralement sur le principe fallacieux qu’elles ne sont pas scientifiques. Or le véritable raisonnement scientifique fait cruellement défaut au darwinisme lui-même.

Troisièmement, le darwinisme et le créationnisme ne sont pas les seuls choix qui s’offrent à nous. Il ne s’agit pas d’une élection où vous devez choisir entre deux candidats. Lorsqu’on doit choisir entre deux candidats présidentiels et qu’on se laisse convaincre qu’il n’y a pas d’autre alternative, on a déjà perdu. Présumer que quiconque n’est pas darwiniste est automatiquement créationniste et vice versa est complètement fallacieux.

Il y a le créationnisme, il y a le darwinisme, et il y a la vérité.
C’est sur cette option trop souvent ignorée que je veux me concentrer
dans cet article. Et pour découvrir la vérité, il nous faut identifier
les mensonges. Je ne parlerai pas du créationnisme, car il repose sur un
livre de fiction, et tente de faire coller les faits au récit biblique.
En outre, peu importe les preuves apportées, les créationnistes
resteront enferrés dans leurs convictions. Mon but est de montrer à ceux
qui croient passivement que le darwinisme est la vérité mais qui n’ont
jamais mené aucune recherche approfondie pour le confirmer ou
l’infirmer, que cette théorie comporte d’énormes failles et que les
identifier n’implique pas qu’on doive se tourner vers le créationnisme.

Le fondement de ma réfutation du darwinisme est la science, en particulier les découvertes scientifiques de ces dernières décennies. Le darwinisme est resté bloqué à la première moitié du XXe siècle. Nul besoin d’invoquer Dieu pour démontrer que l’évolution darwinienne ne fonctionne pas telle qu’elle est décrite : la science s’en chargera. Croire en la capacité du darwinisme à expliquer l’évolution n’a rien à voir avec la quantité de vos connaissances, mais avec votre capacité à ignorer certains faits.

Notons également qu’en général, nous parlons-là de choses qui sont rarement étayées par des preuves irréfutables, et les éléments probants dont nous disposons sont sujets à interprétation. Deux faits identiques seront interprétés différemment selon les personnes, et ces interprétations seront largement influencées par leur vision du monde et leurs croyances personnelles. Certaines choses sont incontestables, mais d’autres sont beaucoup plus nébuleuses. Par définition, toute théorie de l’évolution renvoie à des événements et des processus très anciens ; pour certains, nous ne disposons que d’éléments de preuve éparpillés qui n’incluent pas tout le contexte requis pour les comprendre pleinement. Dans de nombreux cas, nous devons nous contenter d’admettre que nous ne savons pas, et que nos croyances divergentes reposent sur des théories et des spéculations.

Je diviserai cet article en trois grandes parties : en quoi consiste exactement le processus évolutif darwinien et quels sont ses mécanismes ; pourquoi il ne fonctionne pas, et ne peut pas fonctionner ; et enfin, ce que cela implique pour nous.

Ce que dit vraiment la théorie darwinienne de l’évolution

Le processus censé gouverner la théorie de l’évolution est la sélection naturelle, qui agit sur des mutations aléatoires. Les mutations aléatoires impliquent que des anomalies se produisent dans l’ADN. Les mutations aléatoires sont un processus naturel passif dont le rôle est simplement d’observer que tout ce qui survit suffisamment longtemps pour se reproduire parviendra à transmettre ses gènes. Les mutations aléatoires sont la force motrice qui fournit la matière première ; la sélection naturelle est censée organiser tout cela, en séparant le bon grain de l’ivraie. En réalité, non seulement la matière première produite de façon aléatoire est de qualité inférieure, comme on pourrait s’y attendre, mais le champ d’action de la sélection naturelle est bien plus restreint que ce que les darwinistes voudraient nous faire croire.

Pour comprendre comment tout cela fonctionne, il nous faut examiner ce qui se passe à l’intérieur d’une cellule et voir en quoi consistent ces mutations. Essayez de répondre à ces questions :

  • Quel est le niveau de complexité d’une cellule ?
  • Qu’est-ce que l’ADN et quelle est son action ?
  • Quelle est la relation entre l’ADN, un gène et un chromosome ?
  • Que sont les acides aminés et quelle est leur action ?
  • Que sont les protéines, d’où viennent-elles et quelle fonction servent-elles ?
  • Quand on parle de mutation, qu’est-ce qui mute, à quel endroit et de quelle façon ?

Si vous croyez à l’évolution darwinienne et ignorez les réponses à ces questions, vous n’avez qu’une vague idée du processus censé gouverner l’évolution. Vous comprenez ses effets supposés, parce que c’est ce qu’on vous a appris, mais vous ne comprenez pas comment tout ceci fonctionne réellement au niveau moléculaire. Loin de moi l’idée de blâmer quiconque ignore ces choses-là. J’ai passé la plus grande partie de ma vie dans l’ignorance, moi aussi. Une fois qu’on comprend le fonctionnement et l’action de l’ADN et de tout ce qui l’entoure, la théorie darwinienne commence à s’effondrer sous le poids de sa propre invraisemblance. On s’écrit alors : « Attendez une minute ! C’est comme ça que fonctionne l’évolution ? ».

Ainsi, permettez-moi de décrire dans les grandes lignes ce qui se passe à l’intérieur d’une cellule. Les paragraphes suivants risquent d’être un peu techniques.

Vous avez probablement déjà vu une hélice d’ADN. Elle ressemble à une longue échelle torsadée sur elle-même. Les barreaux de l’échelle sont appelés paires de base. Il n’existe que quatre paires de base : A[denine], T[hymine], C[ytosine], et G[uanine]. A est toujours apparié à T, et C est toujours apparié à G. Ça donne à peu près ça :

A–T
G–C
C–G
T–A
C–G
A–T
A–T
G–C

DNA structure

Un très long brin d’ADN enroulé sur lui-même, qui peut contenir jusqu’à des centaines de millions de paires de base, forme un chromosome.
Le noyau de chaque cellule humaine contient 46 chromosomes. Un gène est
un fragment de chromosome. Entre autres choses, un gène est un ensemble
d’instructions – une chaîne du code ATCG – pour synthétiser une
protéine. Un chromosome peut contenir de cent à plusieurs milliers de
gènes.

L’ARN est similaire à l’ADN, à ceci près qu’il ne contient qu’un seul brin – un côté de l’échelle -, et possède de nombreuses fonctions ; de nombreux éléments à l’intérieur de la cellule sont formés à partir de l’ARN.

Les séquences codantes de type TCGATCACGTACAGGTCAGC sont similaires à notre code binaire informatique qui consiste en des séries de chiffres tels que 10010110101101001. Une série de 1 et de 0 pourra contenir des instructions sur la façon de lire un fichier vidéo ; une série de quatre lettres A, T, G et C contiendra des instructions pour le codage des protéines, parmi une foule d’autres choses. Les 46 chromosomes de chaque cellule humaine contiennent toutes les informations nécessaires à la formation et au bon fonctionnement du corps humain.

Pour donner une idée de la complexité de la chose, je vais décrire dans les grandes lignes le processus de synthèse des protéines. Une enzyme s’apparie à l’ADN, le traverse – entièrement ou en partie – et copie l’un de ses brins, créant ainsi l’ARNm – ARN messager. Des séquences de lettres spécifiques indiquent où un gène commence et où il finit – un peu comme des en-têtes de fichiers informatiques. C’est ainsi qu’est créé l’ARNm, qui est plus ou moins la copie d’un gène. Tous ces processus sont en réalité bien plus complexes, mais je ne vais pas me lancer dans une explication sur les introns. Ensuite, un ribosome – lui-même formé à partir de l’ARN et de quelques protéines – s’apparie à l’ARNm et commence à le « lire », codon par codon. Un codon est un groupe de trois nucléotides, par exemple ACG. Un nucléotide est constitué de la base + la partie du squelette de l’ADN/ARN auquel il s’apparie. Pour notre propos, la différence entre une base et un nucléotide est infime.

Pour chaque codon, le ribosome doit trouver l’ARNt porteur du bon anticodon. L’ARNt (ARN de transfert) est un petit fragment d’ARN ; à l’une de ses extrémités se trouve l’anticodon, et à l’autre extrémité, un acide aminé correspondant. L’anticodon est la séquence complémentaire d’un codon : ainsi, si l’ARNm contient CCC, l’ARNt doit contenir GGG pour pouvoir s’y apparier. Un ARNt possédant GGG portera toujours le même acide aminé. Les molécules d’ARNt flottent ça et là, et lorsque le ribosome trouve la bonne molécule, il s’y apparie, et son acide aminé est alors transmis au ribosome. Ensuite, l’ARNm passe au codon suivant du ribosome, lequel se met en quête du prochain ARNt et donc, du prochain acide aminé. Les acides aminés s’apparient et forment une longue chaîne – une protéine, d’une longueur comprise entre plusieurs dizaines et plusieurs milliers d’acides aminés. Ensuite, le champ d’action des protéines dans l’organisme sera multiple.

Il n’est pas vraiment nécessaire de comprendre tout cela ; mon but est simplement de vous donner un aperçu de la complexité des processus constamment à l’œuvre dans chaque cellule. Mais il y a tellement plus. Une cellule est comme une ville au rythme trépidant, où tout un tas de choses se produisent simultanément, et il n’y a rien de simple là-dedans. Des choses sont transportées d’un endroit à un autre, d’autres choses sont fabriquées qui serviront à en fabriquer d’autres, et ainsi de suite.

human cell

L’image
ci-dessus représente une cellule unique – l’unité de base de la vie
organique. Les plus petits éléments que l’on distingue ici, les
ribosomes, sont des machines complexes qui jouent un rôle majeur dans la
traduction des ARNm en protéines. Ce processus est extrêmement
complexe.

Comme l’explique John Sanford dans Genetic Entropy [Entropie génétique – Ouvrage non disponible en français – NdT] :

« Un génome humain complet consiste en deux ensembles comprenant chacun 3 milliards de lettres individuelles.

Outre de multiples formes d’informations génétiques qui se chevauchent, sont linéaires et sont apparentées à un langage, le génome regorge d’innombrables boucles et ramifications, comme un programme informatique. Il contient des gènes qui régulent d’autres gènes, lesquels en régulent d’autres. Il contient des gènes qui perçoivent des modifications dans l’environnement et ordonnent alors à d’autres gènes de réagir en mettant en mouvement toute une suite complexe d’événements qui pourront ensuite répondre au signaux environnementaux. Certains gènes se recombinent d’eux-mêmes, ou modifient et méthylent d’autres séquences de gènes, modifiant tout bonnement des passages entiers du manuel d’instruction ! »

Les rouages internes d’une cellule sont incroyablement complexes, et les informations qu’elle contient (rappelez-vous que tous les chromosomes porteurs de la totalité de l’ADN se trouvent dans le noyau) défient l’entendement. Le code ATCG de l’ADN n’est que son élément le plus basique. Il y a des régions de contrôle, il y a l’enroulement de l’ADN, et de nombreux degrés de complexité au-delà du code lui-même.

Maintenant que nous avons une idée de l’aspect du « code-maître » – celui qui construit tout – passons aux mutations aléatoires. Imaginons qu’en un locus spécifique de l’ADN, se trouve une paire de base A–T. Un processus de copie, en lisant A, commet une erreur quelconque : voilà la mutation. Ce qui se produit ensuite peut varier. Le A peut être transformé en n’importe laquelle des trois autres bases, ainsi au lieu de A–T vous aurez T–A, C–G, ou G–C. Autre option : le A sera omis/effacé, et cette suppression pourra concerner plusieurs paires de base. Il y a aussi l’insertion : une ou plusieurs bases sont insérées devant A à partir d’un autre locus, et notre A change de position dans la séquence. Il y a aussi la duplication, à savoir que A, ou même une séquence entière comme AACGCTTC, sera/seront copié/es une, deux, ou vingt-cinq fois. Bref, en essence, les mutations aléatoires sont les divers bugs susceptibles d’affecter le code ATCG dans l’ADN.

Comme pour toute anomalie où qu’elle se produise, la plupart de ces bugs ne produiront rien de bénéfique. Prenons un fragment de gène ou d’ADN, du genre ACGTAGGCA : au cours de la traduction protéique, ce fragment sera divisé en ACG, TAG, et GCA, lesquels se mettront à coder pour trois acides aminés. Mais si quelque chose est inséré au début, par exemple G, vous aurez GACGTAGGCA, qui se scindera alors en GAC, GTA, et GGC, qui codera pour des acides aminés complètement différents de la séquence originelle, parce que la totalité de la séquence codante aura subi un glissement. Un glissement similaire peut se produire avec une seule suppression. Parce que ces séquences sont en essence fonctionnelles et très spécifiques, il est hautement improbable que toute erreur produise quoi que ce soit qui fonctionne mieux que l’original – en fait, ça pourrait bien ne pas fonctionner du tout.

Le code génétique est quelque chose qui fonctionne très bien en l’état. Toute mutation aléatoire introduit des modifications aléatoires dans le code. À titre de comparaison : un livre est fonctionnel en l’état. Toute mutation aléatoire introduirait des modifications aléatoires au niveau des lettres du texte. Penser qu’on peut obtenir une nouvel organe fonctionnel dans l’organisme de façon aléatoire équivaudrait à introduire dans un livre un nouveau chapitre fonctionnel – intelligible – par ce biais. Pourtant, pour les darwinistes, c’est le mécanisme central de l’évolution de toute vie sur Terre ! Imaginons que le livre en question soit un manuel d’instruction pour construire un objet spécifique : quelles sont les chances que des modifications aléatoires introduites dans le manuel aboutissent à la fabrication d’un objet amélioré ? Vous comprenez certainement que les chances que cela se produise sont pratiquement nulles. Et comme nous le verrons plus loin, la sélection naturelle ne sera pas d’une grande aide.

D’après le darwinisme, une bactérie a littéralement évolué par
hasard pour aboutir à l’être humain, via l’accumulation d’erreurs de
copie aléatoires dans son ADN. Contemplez un instant l’absurdité d’une
telle idée.

Est-il logique d’affirmer que le hasard crée un ordre fonctionnel complexe ? Quelque chose de fonctionnel, d’opérationnel, d’agissant, ne peut pas apparaître par hasard. Imaginez mélanger ou modifier certains des composants d’un appareil fonctionnel, comme un smartphone, pour aboutir à un fonctionnement amélioré. Il est clair qu’introduire des erreurs aléatoires n’est pas la façon d’améliorer un système fonctionnel.

Les darwinistes croient qu’à ce stade, la sélection naturelle intervient pour tout arranger. Mais la sélection naturelle ne peut agir que sur quelque chose qui existe déjà, et ce qui existe déjà, ce sont des modifications aléatoires. Si le matériau de base de la sélection naturelle sont des modifications aléatoires de quelque chose qui fonctionne déjà, il n’y a guère de place pour la moindre amélioration.

Chacun conviendra que le code génétique est plus sophistiqué et plus complexe que tout ce que les humains ont jamais pu concevoir. Dès lors, réfléchissez à cela :

  • La conception intelligente de la technologie de pointe que nous
    possédons aujourd’hui, comme les super ordinateurs, requiert les
    cerveaux les plus brillants.
  • Pourtant d’après les darwinistes,
    quelque chose de bien plus complexe que tout ce que l’humain a jamais pu
    concevoir est généré par des erreurs aléatoires.

Et quelles que soient vos connaissances à ce sujet, vous sous-estimez probablement grandement la complexité que cela implique. Voilà ce que nous dit Sanford à propos de l’ADN :

Les preuves du caractère polyfonctionel et donc multi-restreint de la plupart des séquences ADN ne manquent pas. Ce fait a été amplement démontré par Trifonov (1989). Par exemple, la plupart des séquences codantes humaines encodent pour deux ARN différents qui lisent dans des directions opposées – à savoir, les deux brins d’ADN sont transcrits – Yelin et al. 2003. Certaines séquences encodent pour différentes protéines, selon le point d’initialisation de la traduction et du cadre de lecture – à savoir les protéines translectrices. Certaines séquences encodent pour différentes protéines selon l’épissage alternatif de l’ANRm. Certaines séquences servent de multiples fonctions simultanément – par exemple en tant que séquence de codage de protéine et que promoteur de transcription interne. Certaines séquences encodent pour une région codante protéique et une région de liaison protéique.

Ainsi le même fragment d’ADN pourra coder pour plusieurs éléments différents, selon la façon dont il est lu et traduit. Même si l’introduction de modifications aléatoires dans la fonction d’une opération multifonctionnelle aboutissait par hasard à une fonction améliorée, cela détruirait indubitablement les autres fonctions. Le darwinisme est une théorie qui prétend que des obstacles insurmontables sont régulièrement surmontés, encore et encore, comme si c’était la chose la plus naturelle au monde.

Laissez infuser cela, et plus vous y réfléchirez, plus le darwinisme vous apparaîtra comme la théorie la plus stupide jamais élaborée.

Réfléchissez : pouvez-vous trouver dans notre monde un seul
exemple d’une chose qui, par le biais d’un processus aléatoire, gagne en
complexité et en fonctionnalité ?
Les processus aléatoires
peuvent au mieux générer des patterns intéressants, mais ceux-ci ne
seront d’aucune utilité. On pourrait arguer que, peut-être, à de très
rares occasions, un certain nombre de mutations aléatoires pourrait on
ne sait comment s’accumuler et produire quelque chose de nouveau et de
complexe. Admettons cette possibilité pour les besoins de notre
argumentation – même si nous verrons que c’est qu’un fantasme, et ce
pour de nombreuses raisons. Mais à votre avis, combien de complexes
mutatoires de ce genre, chacun consistant en des dizaines ou des
centaines de mutations individuelles, faudrait-il pour « transformer »
un poisson en ours ? Des centaines ? Des milliers ? Et toutes les autres
espèces devraient passer par le même processus. À chaque nouveau stade,
la probabilité diminue par ordre de magnitude. Et pour que
l’évolution fonctionne telle que décrite, ce phénomène devrait se
produire continuellement. Des milliards de séquences d’événements de ce
genre devraient se produire, alors même qu’une seule de ces séquences
est hautement improbable, voire impossible.

Si vous posez la question : « D’où vient ce foisonnement de vie ? », les créationnistes répondront « C’est l’œuvre de Dieu. » Les darwinistes trouvent cette explication faiblarde. Mais si vous leur posez la même question, ils répondront : « C’est arrivé par hasard. » Cette explication est encore plus faiblarde et irrationnelle. La vision darwinienne du fonctionnement des choses est extrêmement simpliste et naïve – tout comme le créationnisme.

Le principe d’entropie affirme qu’avec le temps, tout se dégrade ; qu’à la complexité et à la singularité originelles succèdent la simplicité et la normalité, qu’à un état de probabilité moindre succède un état de probabilité supérieur, qu’à l’ordre succède le désordre. Mais la théorie de l’évolution contredit directement l’entropie. Pour la première, l’information contenue dans le génome devient naturellement et progressivement de plus en plus complexe, par un processus aléatoire, sans apport intelligent. Cette affirmation est illogique et insensée. Les informations porteuses de sens n’apparaissent pas aléatoirement, et la conscience ne surgit pas spontanément à partir de matière inerte. C’est pourtant là-dessus que s’appuie le darwinisme pour « fonctionner ». Il affirme qu’un processus aléatoire sans intelligence ni dessein produit de l’information, de la conscience et de l’intelligence. Le fait que vous lisiez ces lignes, que cela vous fasse réfléchir, est le résultat de l’assemblage aléatoire de molécules, il y a des éons de cela, et ces molécules ont produit des gènes fonctionnels, processus qui plus tard a abouti à votre existence et à celle de vos pensées – comme un effet secondaire complètement aléatoire ! Voilà le topo. Mais rien dans notre monde ne fonctionne de cette manière. Le produit fini dépendra toujours de l’apport initial. Si cet apport est un simple déchet aléatoire – mutation, erreur, le produit fini ne sera jamais quelque chose de fonctionnel et de plus complexe que l’original.

DNA folding

De
l’ADN au chromosome : selon les darwinistes, c’est le produit d’un
auto-assemblage accidentel qui a évolué par un processus d’erreurs
aléatoires. Néanmoins, il se trouve qu’il sait comment construire un
être humain intelligent bien qu’aucune intelligence ne soit cependant
impliqué dans le processus. Les choses « arrivent juste par hasard ».

Les nombreuses lacunes du darwinisme

Je commencerai cette partie avec un petit exemple. L’autre jour, je lisais Le plus grand spectacle du monde de Richard Dawkins. De tous ses ouvrages, c’est le seul qui contient une tentative d’explication du bien-fondé du darwinisme. Dans tous ses autres ouvrages, de son propre aveu, il part simplement du principe que le darwinisme est la vérité, et s’en tient là. Dans ce livre, il mentionne les expériences menées par Richard Lenski sur la bactérie E.Coli – Lenski cultive et étudie E.Coli depuis des décennies. C’est l’une des expériences concrètes les plus poussées sur l’« évolution ».

Dawkins nous dit qu’un des groupes de cette bactérie a fini par développer une mutation A, qui par elle-même « ne faisait absolument rien ». Par la suite, A a évolué, pour donner la mutation B, qui, par elle-même ne faisait absolument rien non plus. Mais parce que la mutation A était déjà présente, les deux mutations ont fini par « agir en synergie ». Il a fallu des dizaines de milliers de générations pour en arriver à ce résultat.

Selon Dawkins, cette expérience, c’est « l’évolution qui s’étend sous nos yeux », car elle nous montre que « de nouvelles informations peuvent pénétrer dans le génome », mettant à mal le dogme de la complexité irréductible. » Si vos seules sources d’information sur l’évolution sont vos manuels scolaires et les ouvrages de Dawkins, et que vous ne poussez pas la réflexion plus loin, vous ne verrez peut-être pas où est le problème. Or il y en a plusieurs, et voilà un bon résumé des habituelles distorsions darwiniennes :

  • Dawkins ne nous dit absolument rien de la nature de A et de B et de
    leur action synergique. On ne sait pas vraiment de quoi il retourne.
  • Il
    omet de mentionner quelles « nouvelles informations » sont apparues et
    en quoi elles étaient vraiment nouvelles, par opposition à une simple
    modification des informations initiales.
  • Sa notion de la complexité se résume à deux parties.
  • Il
    ne nous dit pas comment la mutation A a pu franchir le cap de la
    sélection naturelle – alors qu’elle « ne faisait absolument rien » par
    elle-même – sans la mutation B.
  • Bien sûr, il ne lui viendrait pas à l’idée de se demander si le code génétique a pu être endommagé par ce qui s’est produit.

C’est typique de Dawkins. Examinons cela plus en détail.

1. Sans savoir où Dawkins veut en venir au juste, nous
n’avons guère le choix que d’accepter son interprétation de ce qui s’est
passé. Mais cela pose un sérieux problème. Les informations
qu’il nous donne sont délibérément vagues, donc il est impossible de
jauger de l’exactitude de son interprétation. Et c’est un élément-clé de
la manipulation dont se rendent coupables tant les Dawkins de notre
monde que nos systèmes éducatifs défaillants : on ne nous expose pas des
faits ; on nous donne des interprétations de données présentées avec
insistance comme des faits.
Par opposition, si vous lisez les
ouvrages de Michael J. Behe, qui expliquent pourquoi le darwinisme est
incapable d’expliquer l’évolution, vous aurez droit à des explications
extrêmement détaillées, qui vous permettront de comprendre très
clairement de quoi il retourne, et vous serez bien mieux équipé pour
décider si l’on vous ment.

2. Vous aurez peut-être déduit de la lecture de la
première partie de cet article qu’il n’y a pas vraiment moyen
d’introduire de « nouvelles informations » dans le génome par le biais
de mutations aléatoires. Tout n’est que modification de ce qui est déjà
présent, et ces modifications sont bien plus susceptibles de détruire
une chose que de l’améliorer. Dawkins nous dit que de nouvelles
informations sont introduites dans le génome, mais nous n’avons aucune
idée de ce qu’elles sont et donc, aucun moyen de savoir si cette
affirmation est vraie.

3. La complexité irréductible est expliquée en détail dans l’ouvrage de Behe, La boîte noire de Darwin.
Pour résumer : si vous avez un système composé de vingt parties qui
sont toutes nécessaires à son fonctionnement – supprimez une partie et
le système devient inutile -, ce système ne pourra évoluer par étapes à
la façon darwinienne, parce que cela impliquerait de passer par dix-neuf
stades/états intermédiaires qui ne sont utiles à rien… par
conséquent, la sélection naturelle ne les sélectionnerait pas. C’est
l’un des problèmes majeurs du darwinisme. Dawkins crie « victoire »
parce qu’il montre que quelque chose a évolué de sorte à développer deux
parties qui se sont mises à agir en synergie. L’exemple de deux parties
est littéralement le pire qu’on puisse trouver pour illustrer la «
complexité », et pour couronner le tout, c’est tellement boiteux que ce
n’est même pas drôle.

4. On spécule que la mutation A ne faisait absolument
rien par elle-même. Alors comment a-t-elle pu être sélectionnée par la
sélection naturelle ? C’est l’élément-clé de l’évolution darwinienne. Si
ça ne fait rien, si c’est inactif, ça n’est d’aucune utilité pour la
survie et par conséquent, ça ne survivra pas. On s’attendrait alors à ce
qu’on nous explique comment cette mutation s’est répandue dans le
génome. Au lieu de cela, Dawkins ignore complètement cette question.
Partant de là, comment prendre au sérieux tout ce qu’il peut raconter ?

5. Quoi qu’il ait pu se produire lors des expériences
de Lenski – nous n’en avons aucune idée, si l’on s’en tient au
compte-rendu de Dawkins -, il est bien plus probable que, en parallèle à
quelque chose qui aurait accru les chances de survie, une partie du
code génétique se soit scindé. C’est plus crédible que d’affirmer que de
« nouvelles informations » ont été introduites. Je reviendrai sur ces
expériences plus loin. Mais Dawkins, comme la plupart des autres
darwinistes, ignore également ce point. Il ne voit que ce qu’il veut
bien voir et en tire une interprétation qui correspond à ses croyances
préconçues.

Malheureusement, nombre de gens lisent ses ouvrages sans avoir la moindre connaissance basique sur le sujet, et donc sont aisément convaincus par ses conclusions. Ils ne remarquent jamais toutes les manipulations, les incohérences, les idées fausses et les omissions, et pensent que Dawkins est un génie qui montre à ces imbéciles de chrétiens comment les choses fonctionnent. Les chrétiens peuvent certes avoir des idées imbéciles, mais malheureusement, les motivations de Dawkins sont tout autant idéologiques, ce qui en fait de facto un imbécile.

Dans un chapitre précédent de son ouvrage, Dawkins parle de l’élevage canin et conclut : « Si tant de changements évolutifs peuvent se produire en seulement quelques siècles voire quelques décennies, pensez à ce qui pourrait être accompli en dix ou en cent millions d’années. ». Selon votre degré de perspicacité, vous aurez peut-être remarqué – ou pas – que l’élevage canin relève du dessein, et non du hasard. Vous aurez peut-être également remarqué que modifier les tailles, formes et couleurs de pelage des chiens n’aboutira qu’à des races de chiens différentes, mais jamais à des chats, des gorilles ou des aigles. Cela produira également des anomalies génétiques chez la plupart des espèces. Dawkins nous bombarde d’arguments bancals et d’extrapolations ridicules, tout en insistant constamment sur le caractère extraordinaire de l’évolution.

Vers la fin de son ouvrage, Dawkins s’emploie à expliquer comment l’évolution combat l’entropie. Selon lui, la sélection naturelle est un système extraordinaire qui crée apparemment de nouvelles choses – donc qui combat l’entropie -, et si elle en est capable, c’est parce qu’elle est constamment alimentée par le Soleil ! Nous verrons plus loin jusqu’où s’étend réellement le champ d’action de la sélection naturelle, et le fait qu’elle ne « crée » rien. Ce que le Soleil a à voir là-dedans n’est pas clairement expliqué, à l’instar de tant d’autres affirmations de Dawkins. La seule chose qui puisse combattre l’entropie de l’information est la conscience/intelligence. La sélection naturelle peut, au mieux, ralentir l’entropie en éliminant les pires matériels génétiques, mais elle est incapable de l’inverser.

Si vous voulez en savoir plus sur les erreurs, omissions et autres défauts de ce livre, consultez ce blog de David Swift, auteur de Evolution Under The Microscope [L’évolution scrutée au microscope – Ouvrage non disponible en français – NdT] . Il expose les nombreuses façons dont Dawkins induit le public en erreur.

Dawkins ignore également la plupart des découvertes scientifiques du XXIe, voire de la fin du XXe siècle, ainsi que tous ces autres détails qui sont autant de vérités qui dérangent son argumentaire pro-évolution. Malheureusement, les gens avalent tout en bloc parce qu’ils n’ont pas les connaissances requises – Dawkins compte là-dessus. Souvent, ils veulent juste qu’on leur confirme dans un vocabulaire scientifique que le créationnisme a tout faux. Chaque aspect ou presque du darwinisme est a minima controversé – voire complètement inexact – pourtant Dawkins et les autres font comme si les preuves de l’évolution étaient tellement nombreuses que nous n’avons pas besoin d’en chercher plus, et quiconque fait preuve de scepticisme n’a qu’à lire ses ouvrages.

Dawkins est l’incarnation de tout ce qui ne va pas dans la science actuelle en général et dans le darwinisme en particulier. Ses ouvrages sont fondés sur l’idéologie matérialiste, qui affirme que de la matière inerte accomplit des prouesses magiques à chaque instant. C’est un propagandiste et un manipulateur convaincant – à l’exemple des réchauffistes, il traite ceux qui ne croient pas à l’évolution darwinienne de « négationnistes » – qui répète sur un ton dogmatique que l’évolution est une réalité, qu’elle est extraordinaire, que tout est le fruit du hasard, que la sélection naturelle est ingénieuse – malgré un QI de 0 – et que rien n’a de sens… mais les « preuves » de toutes ces allégations sont purement imaginaires. Il donne dans la « science populaire », ce qui signifie qu’il n’y a rien de bien scientifique là-dedans, donc le profane aura du mal à juger de la véracité de ses dires. Tout n’est que fruit de sa propre interprétation faussée des données.

Ce problème s’étend d’ailleurs à la façon dont le darwinisme est enseigné à l’école, où les élèves ont droit à une répétition ad nauseam du « fait » que l’évolution est une réalité – bien que les preuves sont soit inexistantes, soit falsifiées, comme nous allons le voir -, et l’omission délibérée des découvertes scientifiques de ces 50-70 dernières années met en exergue les problèmes sans cesse croissants que pose le darwinisme.

L’ouvrage de Jonathan Wells, Icons of Evolution [Les icônes de l’évolution – Ouvrage non disponible en français – NdT], traite précisément de cette question. Il énumère un certain nombre d’« icônes » – des idées qui sont, encore aujourd’hui, présentées dans les manuels de biologie comme des preuves de l’évolution. Icônes qui, on le sait depuis longtemps déjà, sont trompeuses, inexactes, voire fabriquées de toutes pièces. Ce sont des choses que « tout le monde sait » parce que tout le monde est allé à l’école, sauf qu’elle s’avèrent fausses. Je vais en passer quelques-une en revue brièvement. Pour une explication plus détaillée, je recommande chaudement la lecture de l’ouvrage de Wells.

animal human embyros

Sur l’image ci-dessus figurent des dessins d’embryons de différentes espèces, montrant que les premiers stades de développement sont pratiquement tous identiques entre eux, quelle que soit l’espèce. Le hic, c’est que nulle part il n’est fait mention du fait que ces dessins ont été bidouillés. Outre le fait de sélectionner certaines espèces similaires entre elles – au détriment de la sélection d’autres espèces -, Haeckel, l’auteur de ces dessins, a choisi des stades intermédiaires de développement. Or au stade initial, les embryons se ressemblent moins, et plus important, Haeckel a délibérément modifié les dessins pour donner l’impression trompeuse que la ressemblance entre ces embryons était plus grande qu’elle ne l’est en réalité. Aujourd’hui, nous disposons de véritables photos d’embryons, et la similarité qu’on peut remarquer sur les dessins de Haeckel est tout simplement inexistante.

Peppered moth

Sur
l’image ci-dessus, nous voyons une phalène du bouleau reposant sur un
tronc d’arbre. Les phalènes sombres se voient mieux sur les troncs
d’arbres clairs, tandis que les phalènes claires se voient mieux sur les
troncs d’arbres sombres. On suppose que durant la révolution
industrielle, alors que les troncs d’arbres se sont mis à foncer du fait
de la pollution, les phalènes sombres sont devenues plus répandues
parce que, leur couleur se confondant avec celle des troncs, cela leur
permettait de mieux se camoufler, les protégeant ainsi de leurs
prédateurs aviaires. Merci la sélection naturelle !

Par contre, ce qui n’est pas mentionné, c’est que la plupart des photos de phalènes sur des troncs d’arbres ont été bidouillées : les phalènes avaient été placées là par les photographes. Des expériences censées montrer la sélection naturelle à l’œuvre ont été conçues sans aucune rigueur scientifique, et il a fallu attendre des années pour que quelqu’un finisse par faire remarquer que les phalènes du bouleau ne se posent pas exclusivement sur des troncs d’arbres, à moins de les y déposer. Cela donna lieu à une polémique et toute l’affaire fut un fiasco, mais aujourd’hui, cette affirmation est toujours présentée dans les manuels scolaires comme une « preuve » de l’évolution.

Archaeopteryx

L’image ci-dessus présente un archæoptéryx, l’animal censé être l’intermédiaire entre les reptiles et les oiseaux. Le fait que la science ultérieure a montré que « l’archæoptéryx n’est pas l’ancêtre des oiseaux modernes – et ses propres ancêtres font l’objet d’une des controverses les plus vives de la science moderne » -, est complètement passé sous silence.

4 wing fruit fly

L’image
ci-dessus présente une mouche des fruits à quatre ailes, ce qui
prouverait soi-disant qu’il est possible d’évoluer vers quelque chose de
nouveau. La seconde paire d’ailes a été obtenue en laboratoire par des
mutations ciblées. Toutefois, ce qui est passé sous silence, c’est que
cette seconde paire d’ailes n’est pas fonctionnelle et qu’une
combinaison de trois mutations spécifiques a été nécessaire pour
l’obtenir ; cette expérimentation fut considérée, bien sûr, comme
l’illustration d’une conception intelligente. Parce qu’un organe
distinct a été utilisé pour les créer, les ailes n’ont pas seulement été
ajoutées. Il se trouve que cet organe était important parce qu’il aide
les mouches à maintenir leur équilibre. Et puisqu’une mouche est déjà
dotée d’ailes, ces nouvelles ailes n’avaient rien de « nouveau » en soi,
ce n’était qu’une paire d’ailes supplémentaire. Donc, ces mutants ont
gagné des ailes supplémentaires non fonctionnelles qui ont entravé leur
expression naturelle, ont perdu un organe qui leur était utile et n’ont
survécu à l’intérieur du laboratoire que dans des conditions favorables.
Dans la nature, ces mutants se seraient éteints parce que – devinez
quoi – la sélection naturelle ne les aurait pas « sélectionnés » en
raison de leur inutilité !

Il y a d’autres exemples, comme les pinsons de Darwin qui n’évoluent pas vraiment en quelque chose de différent, ou le raisonnement circulaire de l’évolution résultant en homologie et l’homologie prouvant l’évolution, mais nous nous arrêterons là. Le fait est que certains des exemples les plus connus de « preuve de l’évolution » sont faux, mais qu’ils sont toujours présentés aux étudiants sans mention de la controverse – au mieux – et de la fantaisie – au pire – qui les entourent. Donc, si vous faites partie de ces personnes qui croient que l’évolution est un fait prouvé parce que c’est ce qui est enseigné à l’école, mais que vous n’avez jamais fait de recherche personnelle à ce sujet, je vous recommande de lire Icons of Evolution pour voir à quel point l’évolution « prouvée » l’est vraiment.

Et l’on pourrait aussi se demander pourquoi ces fausses preuves sont présentées dans les cursus scolaires s’il y a soi-disant tant de preuves claires et incontestables de l’évolution. Et lorsqu’un étudiant proteste, il s’entend répondre que la pensée critique n’inclut pas la remise en question de la science éprouvée de l’évolution. C’est littéralement le contraire de la pensée critique. À ce stade, on commence à avoir l’impression que quelque chose ne va pas dans ce tableau. Thomas Nagel a bien résumé le problème lorsqu’il a dit : « l’urgence politique de défendre l’enseignement scientifique contre les menaces de l’orthodoxie religieuse – aussi compréhensible soit-elle – a abouti à une contre-orthodoxie soutenue par de mauvais arguments et à une tendance à exagérer les revendications scientifiques légitimes de la théorie évolutionnaire. ».

Alors qu’en est-il vraiment du darwinisme ? Est-ce que ça fonctionne ou pas ? La réponse à cette question n’est malheureusement pas un simple oui ou non.

Supposons que Darwin ne savait pas de quoi il parlait lorsqu’il a proposé sa théorie pour la première fois en 1859. Ce n’est pas une tentative de le dénigrer ; je pense qu’il s’en est plutôt bien sorti, pour son temps. Mais voilà la mise en garde : « pour son temps » . À l’époque, la science pensait qu’une cellule était une goutte visqueuse, personne ne savait comment l’hérédité fonctionnait, et la découverte du code ADN se produirait dans un futur relativement lointain. Ainsi, bien que Darwin ait observé plutôt correctement la variation et la sélection naturelle, il ne savait pas d’où venait cette variation, et, comme tout le monde à l’époque, il imaginait que les choses étaient d’ordres de grandeur plus simples qu’elles ne le sont réellement. Le mot « imaginer » est très pertinent ici. La théorie de Darwin portait sur ce qu’il imaginait, mais il n’avait – et n’aurait pu avoir – aucune idée des limites du processus d’action de la sélection naturelle sur la variation.

Plus tard, et avec la synthèse moderne des néo-darwinistes, les choses ont vraiment mal tournées. Ils avaient une meilleure idée de la façon dont les choses fonctionnaient, mais au lieu de se rendre compte des limites, ils se sont engagés dans une promotion quasi fanatique de la mutation aléatoire associée à la sélection naturelle comme l’explication à tout. Trop de dogmatisme enthousiaste, trop peu de science. Cela aurait pu être corrigé dans la seconde moitié du XXe siècle, mais au lieu de cela, le dogmatisme s’est renforcé et le darwinisme est devenu motivé par l’idéologie – étroitement liée au matérialisme et l’athéisme – plutôt que par la science. Par leur dogmatisme et leurs luttes vicieuses pour revendiquer la supériorité sur le créationnisme, les arguments en faveur de l’évolution sont devenus très semblables au créationnisme lui-même. Les darwinistes veulent prouver que Dieu n’existe pas et les créationnistes veulent prouver que Dieu existe, et les deux courants ignorent tous les faits qui ne correspondent pas à leurs thèses. Gagner le combat est devenu plus important que de découvrir la vérité. Entre-temps, la science a fait d’énormes progrès qui ont été ignorés ou déformés – à la manière de Dawkins – pour suggérer autre chose que ce qu’elle indique vraiment.

En ce qui concerne ce que la mutation aléatoire associée à la sélection naturelle peut ou ne peut pas vraiment expliquer, les meilleurs travaux qu’il m’ait été donné de consulter sont ceux de Michael J. Behe. Dans ses livres The Edge of Evolution et Darwin Devolves [Les limites de l’évolution et L’involution de Darwin – Ces deux ouvrages ne sont pas disponibles en français – NdT], Behe démontre à l’aide de découvertes scientifiques récentes, que la mutation aléatoire associée à la sélection naturelle explique une certaine adaptation pour la survie, mais qu’elle ne peut rendre compte d’une évolution complexe. Plus spécifiquement, selon Behe, ce processus peut être observé au niveau des espèces et des genres, mais il ne parvient pas à produire quelque chose d’assez complexe pour créer une nouvelle famille ou quelque chose au-dessus [sous-ordre, ordre, classe ou phylum qui sont les catégories taxinomiques supérieures de la systématique – NdT]. La raison principale en est l’irréductible complexité qui dépasse de loin la capacité de la mutation aléatoire associée à la sélection naturelle, même théoriquement. Il y a plus de vingt ans, Behe a mis au défi la communauté scientifique d’expliquer comment un flagelle pouvait se manifester par le mécanisme darwinien de la mutation aléatoire associée à la sélection naturelle. À ce jour, personne n’a été en mesure de le faire ou de concilier le fait que les mutations qui dégradent le code génétique sont au moins mille fois plus rapides que celles qui pourraient l’améliorer – cette dernière étant au préalable très peu probable.

C’est le cœur du problème pour le darwinisme. En principe, les mutations aléatoires et la sélection naturelle fonctionnent, comme décrit, mais ce processus est assez limité dans ce qu’il peut accomplir. C’est quelque chose que les darwinistes ne peuvent pas ou ne veulent pas comprendre. Ils utilisent la logique inverse de « si la facilité est possible, alors la difficulté doit être possible aussi ». Ils supposent que les mutations peuvent faire n’importe quoi, comme un drogué tellement shooté qu’il croit pouvoir voler. Mais elles ne peuvent pas. L’élevage canin ne créera jamais des chiens ailés. Ils n’ont pas le matériel génétique pour cela, et contrairement aux rêves des darwinistes, la sélection naturelle détruirait de toute façon un tel processus. Les darwinistes ont toujours confondu le changement de degré avec le changement de nature.

Alors, de quoi avons-nous des preuves ? Dans les cas où l’on a prouvé l’évolution – mais plus précisément l’adaptation – entre un spécimen étudié et un autre, on observe surtout une dégradation du code génétique. Lorsqu’une amélioration apparente du code génétique entre deux spécimens est constatée, cela ne donne aucune preuve directe d’une réelle évolution. Les darwinistes le supposent simplement par défaut.

Il existe des preuves de l’efficacité du processus de mutation aléatoire associée à la sélection naturelle – par exemple, l’adaptation du paludisme aux médicaments, l’expérience de Lenski sur E. Coli montrant que les bactéries peuvent, par exemple, augmenter l’efficacité de leur métabolisme, les cichlidés dans les lacs africains se diversifiant en plusieurs espèces, etc. Mais il y a clairement dans tous ces cas une limite au potentiel « évolutif ». Il s’agit plus d’une spécialisation – généralement au détriment de la polyvalence – que d’une évolution.

Behe le décrit ainsi :

« Le principe fondamental semble très probablement le suivant :
des variations aléatoires mineures autour d’un schéma conçu sont
possibles et peuvent être utiles, mais leur portée est très limitée.
Pour les nouveaux modèles de base tels que ceux qui se situent au niveau
biologique de la famille et au-delà
[propre à la systématique – NdT],
des informations supplémentaires sont nécessaires, des informations qui
dépassent la capacité de production des processus inconscients. »

Au cours des quelques décennies où nous les avons observés, le paludisme et le virus du VIH ont subi autant de mutations que les êtres humains dans toute leur histoire – parce qu’il sont nombreux et qu’ils ont une courte durée de vie générationnelle. Et quels résultats ont-ils obtenu ? Pas grand-chose. Ont-ils développer quelque chose de nouveau ? Non. Ont-ils changé d’une manière observable ? Non. Ils ne sont résistants qu’à quelques-uns de nos médicaments, ce qui n’implique habituellement qu’une seule mutation. Le virus est toujours un virus, et la bactérie est toujours une bactérie. Aucun changement dans leur nature, aucune nouvelle fonction.

Quant à l’expérience E. Coli de Lenski, tous les progrès apparents n’ont pas été sans conséquences.

« … la bactérie s’est débarrassée à plusieurs reprises de morceaux de son patrimoine génétique, y compris la capacité de fabriquer certains des éléments constitutifs de l’ARN. Apparemment, se débarrasser de machines moléculaires sophistiquées au prix d’un grand sacrifice permet à la bactérie d’économiser son énergie. Rien d’aussi élégant – loin s’en faut – n’a été construit. […]

La bactérie s’est comportée en éprouvette comme les agents pathogènes à
l’état naturel : de nombreux changements incohérents ont légèrement
modifié les systèmes préexistants. Rien de fondamentalement nouveau n’a
été produit. Pas de nouvelles interactions protéine-protéine, pas de
nouvelles machines moléculaires. Comme dans le cas de la thalassémie
chez l’homme, certains avantages évolutifs importants ont été conférés
par la destruction de certains éléments. Plusieurs populations de
bactéries ont perdu leur capacité de réparer l’ADN. »

C’est le genre d’informations que l’on obtient des travaux de Behe, mais pas de ceux de Dawkins. Le résultat de l’évolution depuis des dizaines de milliers de générations, c’est que des éléments sont plutôt détruits et que rien de complexe, même de loin, n’est créé. La sélection naturelle sélectionne pour la survie dans les conditions qui lui sont propres. Elle ne se soucie de rien d’autre. Il n’y a pas de planification, pas de préoccupation pour la qualité globale du génome.

C’est l’un des aspects les plus importants de la mutation aléatoire. Le code génétique tend bien plus à dégénérer qu’à se perfectionner, même au sein de mutations qui améliorent la survie. Un organisme stressé peut bidouiller une « solution aux effets secondaires imprévisibles » qui l’aidera, mais qui détruira un autre élément beaucoup plus vite qu’avec une solution constructive. Et si ce bidouillage assure la survie de l’organisme le temps qu’une solution constructive puisse être trouvée – tant est qu’il la trouve – cette dernière ne sera plus nécessaire, elle n’aura plus d’effet et la sélection naturelle n’y verra rien. C’est pourquoi les mutations bénéfiques – pour la survie immédiate – mais nuisibles – au code génétique – prévalent presque toujours. Ceci est expliqué en détail dans Darwin Devolves de Behe et dans Genetic Entropy de Sanford.

Il est tout simplement logique qu’un processus
inintelligent et aléatoire se conforme au principe de l’entropie.
L’information diminue dans l’organisme, des parties du code génétique
sont perdues et rien de nouveau n’est créé. S’il existe vraiment une
innovation dans les organismes, elle doit venir d’ailleurs.

Ainsi, l’évolution – mot qui signifie vraiment survivre en déchiffrant le code génétique – n’est un « fait prouvé » qu’à ce faible degré. Le reste n’est que spéculation, hypothèses et interprétation biaisées. La logique qui tend à penser que « si cela peut arriver dans vingt ans, imaginez ce qui peut arriver dans vingt millions d’années » est une erreur. C’est comme vouloir démontrer qu’en tournant un Rubik’s cube pendant cinq minutes on obtiendra des motifs de couleurs intéressants, et puis prétendre que le cube pourrait devenir une voiture en continuant pendant cinq ans. Il y a des limites à ce qu’un processus spécifique peut accomplir. Les darwinistes insistent sur le fait que leur processus aléatoire est aussi omnipotent que le Dieu des créationnistes.

Et la mutation aléatoire n’est pas la seule à présenter des limites, la sélection naturelle est également limitée et même limitante. Imaginons que cinq mille mutations sont nécessaires pour passer d’une espèce à une autre très différente et que ces mutations doivent être introduites de manière artificielle – une toutes les deux ou trois générations. La sélection naturelle agirait en fait à l’encontre de l’intention initiale, parce que 99 pour cent des mutations ne seraient d’aucune utilité en soi et qu’il n’y aurait donc aucun avantage pour la survie de l’espèce en question. Et comme nous l’avons vu, construire quelque chose qui n’est pas – encore – utile a des conséquences ; perdre des éléments plutôt que d’en gagner s’avère donc être la tendance dominante. La sélection naturelle est utile mais seulement pour des choses immédiatement bénéfiques à la survie. La plupart du temps, il ne s’agit que de mutations simples.

Créer quelque chose de nouveau avec la mutation aléatoire est une lutte ardue même en association avec la sélection naturelle. Selon Genetic Entropy :

« La nature extrêmement dommageable des mutations peut être constatée par l’incroyable rareté des cas évidents de mutations génératrices d’information. Il faut comprendre que les scientifiques disposent d’un réseau très sensible et très étendu pour détecter les mutations créatrices d’information, et que la plupart des généticiens les recherchent avec diligence en permanence. Cela est vrai depuis environ cent ans. La sensibilité de ce réseau d’observations est telle que même si une seule mutation sur un million créait sans ambiguïté de nouvelles informations – à l’exception des ajustements -, la littérature regorgerait de rapports à ce sujet. Pourtant, je ne suis toujours pas convaincu qu’il existe un seul exemple flagrant d’une mutation connue ayant sans ambiguïté créé de l’information. Il y a certainement beaucoup de mutations qui ont été décrites comme bénéfiques, mais la plupart de ces mutations bénéfiques n’ont pas créé de l’information, elles l’ont plutôt détruite. […]

Au cours du siècle dernier, beaucoup d’efforts ont été consacrés à essayer d’utiliser la mutation pour générer des variations utiles. C’était particulièrement vrai dans mon propre champ de recherches, la sélection végétale. Lorsqu’on a découvert que certaines formes de rayonnement et certains produits chimiques étaient de puissants agents mutagènes, des millions et des millions de plantes ont été mutagénisées et ont été triées afin de déterminer les améliorations possibles. […] Pendant plusieurs décennies, c’était l’axe principal de la recherche sur l’amélioration des cultures. Un grand nombre de mutants ont été produits et triés, représentant collectivement plusieurs milliards de cas de mutation. Un grand nombre de petites plantes stériles, malades, déformées et aberrantes ont été produites. Cependant, tous ces efforts n’ont presque pas permis d’améliorer les récoltes de façon significative. L’effort a été un énorme échec dans son ensemble et a été presque entièrement abandonné. Pourquoi cette énorme expérience de mutation/sélection a-t-elle échoué alors que de nombreux scientifiques titulaires d’un doctorat y ont contribué tout ce temps ? Parce que même avec tous ces milliards de mutations, il n’y a pas eu de nouvelles mutations bénéfiques significatives. »

Par conséquent, les mutations bénéfiques sont pratiquement inexistantes, mais de nombreuses mutations nuisibles échappent à la sélection naturelle, ce qui explique l’existence de choses comme les maladies génétiques. Les organismes dont l’ADN contient des erreurs dommageables peuvent encore survivre et se reproduire, et puisque ces erreurs surviennent infiniment plus souvent que tout ce qui est réellement bénéfique, le code génétique se détériore avec le temps. La grande majorité des mutations sont presque neutres et n’affectent donc pas la survie ; elles sont également invisibles pour la sélection naturelle mais introduisent constamment de plus en plus de petites erreurs dans le code génétique. C’est l’entropie en action.

Gardez également à l’esprit que les mutations se produisent au niveau des nucléotides, tandis que la sélection naturelle se produit au niveau de l’organisme entier. Nous avons peut-être de nombreuses mutations dans notre corps, certaines bénéfiques, d’autres très dommageables, mais survivre assez longtemps en tant qu’un tout global en vue de nous reproduire est la seule chose qui compte du point de vue de la sélection naturelle. Il n’y a aucun moyen de démêler les différentes mutations.

La puissance limitée de la sélection naturelle est d’autant plus évidente que l’organisme est grand. En fait, elle fonctionne mieux chez les bactéries et les virus où une seule mutation peut faire une différence visible. Mais chez les mammifères, une seule mutation – à moins qu’elle n’endommage un élément de façon très préjudiciable – sera dans presque tous les cas invisible, noyée dans des milliers d’autres caractéristiques, et n’entraînera aucun changement significatif du taux de survie. Et parce que les mutations dommageables sont des milliers de fois plus fréquentes que les mutations bénéfiques, l’état normal de tout organisme s’avère comporter des milliers de petites mutations délétères. Si une mutation bénéfique apparaît, elle ne peut survivre qu’en emmenant avec elle toutes ces mutations délétères. Les dommages globaux sont toujours plus importants que les avantages. À aucun moment un organisme n’aura plus de mutations bénéfiques que de mutations délétères.

Les darwinistes considèrent presque la sélection naturelle comme un Dieu qui choisit ce qui survit ou pas avec la plus extrême précision. Mais il n’y a pas de précision. La « chance inouïe » a plus à voir avec la survie qu’avec la sélection naturelle. Comme le souligne Sanford, si une baleine avale quelques milliers de crevettes en une seule bouchée, avale-t-elle les moins en forme ? Non, c’est aléatoire. Si le saumon nage vers l’amont pour pondre des œufs et qu’un ours attend d’en attraper quelques-uns, quelles sont les chances que l’ours obtienne les spécimens les moins en forme ? À peu près aucune. Les cas pour lesquels le facteur sélection naturelle fait un choix sont minimes en regard d’un certain nombre d’autres facteurs.

La sélection naturelle élimine principalement les organismes qui sont tellement endommagés qu’ils s’avèrent réellement incapables de suivre le rythme des autres. Les bactéries développant une résistance aux médicaments est l’un des rares exemples où la sélection naturelle « favorise quelque chose de nouveau ». C’est ici une circonstance lors de laquelle une différence significative peut être produite avec un effort minime, parce qu’il ne s’agit que d’une seule mutation dans un petit organisme. Encore une fois, dans un organisme plus grand, il est très peu probable qu’une seule mutation soit visible pour la sélection naturelle. Mais il n’y a pas de sélection pour les mutants. La sélection ne peut se faire que contre les non-mutants. La sélection ne fonctionne ici que parce que la drogue tue littéralement tous les non-mutants. La sélection naturelle n’a aucun pouvoir créatif. Elle ne peut que supprimer. Un élément nouveau qui s’avère utile survivra. Mais il en sera de même pour les organismes sains qui survivent depuis le début – à peu près au même rythme – à moins que les circonstances n’aient changé de façon significative. Pour l’essentiel, le travail de la sélection naturelle est d’essayer de préserver le code génétique tel qu’il est afin d’éviter qu’il ne se dégrade. Les mutations le dégradent tout le temps, mais la sélection naturelle ne peut supprimer que les pires d’entre elles. Si une mutation bénéfique apparaît, elle apparaît dans un organisme qui a déjà accumulé des centaines de petites mutations dommageables, donc même si l’organisme survit, le code continue de se dégrader. La seule chose que la sélection naturelle peut faire est de supprimer du patrimoine génétique les organismes qui ne peuvent se reproduire – quelle qu’en soit la raison. Il n’existe tout simplement aucun moyen de progression sur le long terme. Pas par ce processus en tout cas.

Et gardez à l’esprit que même une simple bactérie nécessite des milliers de générations et des milliards de spécimens afin qu’une mutation particulièrement significative se manifeste. Les bactéries passent par ce processus très rapidement. Pour les mammifères, une telle mutation pourrait prendre un million d’années avant d’apparaître et dans la plupart des cas, la sélection naturelle ne la verrait même pas.

À titre d’argument, supposons la naissance d’un loup qui peut courir deux fois plus vite que les autres loups. Il s’agit bien sûr d’une prouesse complètement irréaliste pour une mutation aléatoire, mais partons tout de même de cette hypothèse. Ce serait à peu près tout ce que l’on peut espérer qu’une mutation aléatoire puisse offrir à la sélection naturelle pour qu’elle puisse fonctionner. La question ici est de savoir ce que peut vraiment faire la sélection naturelle. Les darwinistes diront qu’elle « sélectionne pour la mutation aléatoire » et supposeront automatiquement que les loups en tant qu’espèce ont évolué ainsi pour devenir deux fois plus rapide.

Mais c’est très naïf. Que se passe-t-il en réalité ? On peut supposer que ce loup n’aura aucun mal à attraper une proie. On peut même supposer qu’il mangera littéralement quand il le voudra – bien que cela ne soit pas nécessairement vrai en raison de la faible disponibilité des proies et autres circonstances. Mais que peut y faire la sélection naturelle ? Le loup survit, bien sûr, mais comment cela affecte-t-il les autres loups ? Ils peuvent toujours attraper leurs proies exactement au même rythme qu’auparavant. La sélection naturelle ne peut favoriser ce loup deux fois plus rapide qu’en éliminant les autres loups. Elle ne peut pas plus le faire se reproduire. Elle ne peut tuer d’autres loups que s’ils sont incapables de survivre. Mais la capacité de survie de ce nouveau loup n’a pas diminué la capacité de survie des autres loups. Loin s’en faut puisque lorsqu’ils chassent en meute et capturent une proie ils mangent tous. Dans ce cas, l’avantage est transféré à l’ensemble du groupe, mais l’ensemble du groupe ne transmet pas les gènes du nouveau loup.

Voici pourquoi l’idée stupide de Dawkins sur les gènes égoïstes s’avère ne pas fonctionner : bien que ce loup deux fois plus rapide et sa progéniture puissent facilement survivre, on peut s’attendre à ce que leurs gènes se propagent à peine mieux que par simple dérive génétique. Nous sommes loin des « loups qui évoluent pour devenir plus rapides ». Et notez que ce loup est toujours – peut-être plus que les autres ! – sujet aux blessures, aux maladies, au froid, à la chasse humaine et à tous les autres périls qui pèsent sur les loups – peu importe qu’une telle mutation soit très susceptible d’endommager un autre élément de son génome de loup. Donc, même si une telle étape d’évolution aussi étonnante et improbable soit-elle s’est effectivement produite, une mort malchanceuse de ce loup demeure plus probable. Et cette malchance est généralement bien plus vraisemblable que la mutation elle-même.

Le pouvoir étonnant de la sélection naturelle n’existe pas dans le monde réel tel qu’il existe dans l’imagination de Dawkins.
Et que les bactéries unicellulaires – dans lesquelles la sélection
naturelle est plus puissante que dans les organismes plus complexes –
n’aient pas tellement évolué depuis deux milliards d’années, s’avère
être ironique mais très révélateur.

Ce qui nous amène à la fameuse explosion cambrienne, une autre des nombreuses problématiques du darwinisme. Pendant deux milliards d’années, seuls des organismes unicellulaires ont existé, sans que rien de complexe ne soit produit. C’est parfaitement sensé. Ce qui n’a aucun sens – du point de vue darwinien -, c’est que soudainement, en quelque vingt millions d’années, la plupart des phylums [embranchements ou divisions en systématique – NdT] du règne animal sont apparus dans toute leur complexité. Selon le pronostic darwinien, les choses évoluent lentement à un rythme assez constant. L’explosion cambrienne s’oppose totalement à cette théorie. Bien sûr, les darwinistes – qui commencent avec la croyance préformée que l’évolution est vraie et qui tentent ensuite de déformer les faits pour qu’ils correspondent à la conclusion – avancent toutes sortes d’excuses particulièrement boiteuses que nous n’aborderons même pas ici.

Cambrian explosion

L’évolution est lente et progressive. Comme… pas sur cette photo. Ce qu’il y a d’amusant à considérer, c’est que si quoique ce soit dans cette description est causé par des mutations aléatoires, il s’agit plus probablement du déclin des espèces plutôt que de leur création. La mutation aléatoire est plus susceptible de jouer un rôle dans l’extinction des espèces plutôt que dans leur évolution. L’ironie de ce fait est épique.

Les darwinistes confondent également souvent « compatible avec » et « preuve à l’appui ». Chaque fois qu’ils observent un processus en cohérence avec l’évolution, ils affirment que c’est la preuve de l’évolution. Mis à part le fait qu’il s’agit là d’une erreur, il ne leur vient pas à l’esprit que cette « preuve » est en fait – dans 90 pour cent des cas – également conforme à la principale théorie concurrente – la conception intelligente.

Ascendance commune

L’ascendance commune n’est pas réellement prouvée. Ce n’est pas un fait ; c’est une interprétation d’un fait, le fait que différents organismes se ressemblent anatomiquement et sont donc vraisemblablement apparentés. Mais s’agit-il d’une ascendance commune ou d’un concepteur commun ? La similitude de conception de différents organismes est tout à fait logique du point de vue de la conception intelligente. Si l’on veut concevoir une nouvelle voiture, sera-t-elle conçue à partir de zéro, y compris en réinventant la roue ? Bien sûr que non. Une voiture semblable à celle envisagée servirait de modèle avant de choisir et d’effectuer les modifications qui feraient d’elle une nouvelle voiture. La similitude de l’anatomie n’est pas une preuve d’évolution, surtout lorsqu’elle correspond parfaitement à la théorie opposée. Bien sûr, c’est là que les darwinistes se ridiculisent tout seuls en déclarant comment Dieu concevrait ou non les choses. Étant des athées matérialistes qui nient l’existence de tout ce qui s’approche d’une idée divine, les darwinistes sont bien sûr les experts en chef sur ce que Dieu ferait ou ne ferait pas.

Si l’on aligne une centaine de voitures différentes et qu’on invite un darwiniste d’une autre planète où il n’y a pas de voitures à regarder, il verra immédiatement l’ascendance commune de ces voitures, l’homologie, et la preuve évidente que ces voitures ont évolué d’un ancêtre unique et qu’il n’y a absolument aucun besoin de conception. Il sera en mesure d’aligner les voitures dans l’ordre dans lequel elles ont probablement évolué. Ce sont des preuves évidentes, non ? Personne n’a conçu les voitures. Cela peut sembler absurde, mais c’est vraiment une analogie assez fidèle de la façon dont les darwinistes « prouvent » l’ascendance commune. Bien sûr, la similitude de structure n’est pas non plus la preuve d’une conception commune ! C’est une simple ressemblance qui s’avère conforme aux deux théories et qui peut être interprétée de différentes façons – comme je l’ai précisé au début de cet article. Mais les darwinistes l’utilisent comme « preuve » de l’évolution, ce qui est une fausse preuve.

L’être humain est un cas spécifique dans lequel je n’essaierai même pas d’entrer. Dans le contexte de l’évolution, l’humain est un sujet tellement controversé que les ouvrages qui lui sont consacré sont légion. La question de savoir comment les êtres humains ont « évolué » pour devenir ce qu’ils sont aujourd’hui implique de nombreux mystères que personne n’a été capable de résoudre de manière satisfaisante. Sauf pour les dommages génétiques tellement graves qu’un enfant puisse en mourir ou un adulte être stérile, la sélection naturelle ne fonctionne pas du tout dans le cas des êtres humains. Les gens plus intelligents se reproduisent-ils plus que les stupides ? Non. Les gens qui font de l’exercice se reproduisent-ils plus que les gens paresseux et obèses ? Non.

Alors, que peuvent vraiment faire les mutations aléatoires et la sélection naturelle ? Jetons un coup d’œil.

Un loup peut-il devenir un chien ou un renard ? Probablement. Si l’on peut même dire qu’il s’agit d’une évolution ; je dirais que c’est juste une adaptation à l’environnement. Ils ont la même structure squelettique, les mêmes organes, la même fourrure, le même nombre de pattes, etc. Seul un changement de taille et de couleur serait nécessaire. De simples mutations peuvent faire l’affaire.

Un loup peut-il devenir un aigle ou un éléphant ? Non. Le hasard, une étape à la fois, ne crée pas d’ailes ou de défenses fonctionnelles là où aucun code génétique le permettant n’était présent auparavant.

Que peut devenir un poisson ? Un autre poisson.

Que ne peut pas devenir un poisson ? Un aigle, un éléphant, une fourmi, un être humain, un palmier, ou tout ce qui n’est pas vraiment un poisson.

Nous pourrions dire que la micro-évolution fonctionne et que la macro-évolution ne fonctionne pas.

Pour résumer rapidement les différentes problématiques du darwinisme :

  • L’origine de la vie est inexplicable (plus d’informations à ce sujet dans la 3e partie).
  • Un code sophistiqué, fonctionnel et complexe ne peut pas survenir accidentellement.
  • Les processus aléatoires ne sont pas créatifs.
  • La plupart des mutations ont peu ou pas d’impact sur la survie, mais dégradent le code.
  • La sélection naturelle est impuissante dans la plupart des cas.
  • La
    complexité irréductible – ou toute autre complexité décente – ne peut
    être surmontée par la mutation aléatoire associée à la sélection
    naturelle.
  • Les mutations délétères surpassent les mutations bénéfiques à des milliers contre une.
  • La chronique fossile ne soutient pas le modèle darwiniste.
  • Les observations et les expériences n’ont montré qu’une adaptation très simple et des gènes endommagés.
  • Les mutations induites par les radiations n’entraînent pas d’amélioration, seulement des dommages.
  • La similitude de la structure n’est pas une preuve de l’évolution.
  • Beaucoup des « preuves » de l’évolution sont connues pour être fausses, mais continuent d’être présentées comme vraies.
  • L’idée qu’avec suffisamment de temps tout est possible, est une erreur.

Comment en sommes-nous arrivés à une théorie du consensus qui semble à ce point erronée ? Je ne blâme pas Darwin. Je pense qu’il a fait du bon travail avec les outils dont il disposait. Je pense que le problème est venu avec un groupe d’individus qui, constatant que cette théorie faisait la promotion d’une vision matérialiste du monde qu’ils avaient déjà, ont décidé de la promouvoir, de façon un peu trop agressive. Au moment où la science a commencé à exposer les problèmes inhérents à cette théorie, ces individus avaient beaucoup investi pour entretenir le mythe. La théorie de l’évolution est passée de la science à un dogme utilisé pour soutenir l’idéologie du matérialisme et de l’athéisme. Je m’en fiche si les gens veulent être matérialistes et athées, mais quand ils utilisent leurs opinions pour déformer la science et obscurcir la vérité, cela me pose un problème. Ce dogme nous a fait reculer de plusieurs décennies, et peut-être plus si la trajectoire n’est pas corrigée bientôt.

Comme l’a montré la science depuis environ un demi-siècle, la combinaison mutation aléatoire + sélection naturelle a un champ d’application très limité, et quelque chose d’autre doit donc rendre compte de toute la complexité de la vie qui se manifeste autour de nous.

Si les théories créationniste et darwiniste n’ont pas les réponses, alors vers quoi se tourner ?

Le créationnisme est un conte de fées soutenu par un livre douteux, et le darwinisme est une science zombie pleine d’illusions qui s’efforce de garder en vie ce qui est mort depuis longtemps. Comment expliquer alors cette vie foisonnante autour de nous ? C’est là que nous entrons dans un domaine plus spéculatif. Vous êtes libre de tirer vos propres conclusions, mais je vais vous faire part de quelques suggestions qui pourraient valoir la peine d’être considérées.

L’évolution pourrait se produire – au moins dans une certaine mesure – par d’autres moyens que la mutation aléatoire. Il s’avère que c’est une des suggestions que propose Perry Marshall dans son livre Evolution 2.0. Voici une partie de son résumé :

  • Le néo-darwinisme prétend que mutation aléatoire + sélection naturelle + Temps = Évolution.
  • La mutation aléatoire est une perturbation et les perturbations sont dommageables.
  • Les cellules réarrangent l’ADN selon des règles précises (transposition).
  • Les cellules échangent de l’ADN avec d’autres cellules (transfert génétique horizontal).
  • Les cellules communiquent entre elles et éditent leurs propres génomes avec un langage incroyablement sophistiqué.
  • Les cellules activent et désactivent le code pour elles-mêmes et leur progéniture (épigénétique).
  • Les cellules fusionnent et coopèrent (symbiogenèse).
  • Espèce
    1 + espèce 2 = nouvelles espèces (hybridation). Nous savons que les
    organismes s’adaptent rapidement parce que les scientifiques produisent
    chaque jour de nouvelles espèces en laboratoire.
  • Mutation adaptative + sélection naturelle + Temps = Évolution 2.0.

Tous ces paramètres, de la transposition à l’hybridation, sont des processus qui élargissent l’information contenue dans le code génétique. Ils ne sont pas tout à fait aléatoires, ils affichent des signes d’intelligence ou de dessein et produisent des résultats plus avantageux que la mutation aléatoire. Ils sont notoires depuis plusieurs décennies mais même si (ou parce que ?) ces processus fournissent quelque chose de plus significatif que le hasard, les darwinistes tendent à les ignorer. L’ouvrage de Marshall les explique tous en détail. Je n’en parlerai pas ici, mais il est clair qu’il s’agit de processus évolutifs comportant plus d’avantages qu’aucune circonstance fortuite ne pourra jamais ambitionner atteindre. Pour établir une distinction avec la mutation aléatoire, la somme de ces processus est nommée mutation adaptative par Marshall.

Les darwinistes s’en tiennent obstinément à leur idée que « le hasard améliore les choses et crée de l’ordre ». Ils n’aiment pas Dieu, et apparemment ils n’aiment aucune forme d’intelligence non plus. Marshall donne un exemple de cette esquive :

« En 2009, le célèbre athée Richard Dawkins a publié son épais best-seller Le plus grand spectacle du monde. Il y affirme que l’évolution est déterminée par des changements aléatoires dans les gènes. Il est intéressant de noter que dans l’ensemble des 450 pages que constitue Le plus grand spectacle du monde

  • La symbiogenèse n’est jamais mentionnée.
  • Le transfert
    horizontal de gènes est brièvement abordé une fois, minimisé et présenté
    comme un transfert d’une espèce à l’autre n’existant qu’en de très
    rares occasions.
  • L’épigénétique reçoit une petite note de bas
    de page au chapitre huit. Il s’en détourne avec désinvolture en la
    considérant comme un « modeste mot à la mode » et une « théorie confuse
    qui jouira de quinze minutes de gloire ». (Au moment d’écrire ces
    lignes, l’« épigénétique » est l’un des principaux domaines de la
    génomique et apparaît 129 000 fois dans Google Scholar [service de
    Google permettant la recherche d’articles scientifiques – NdT]. Le
    nombre d’occurrences a doublé au cours des deux dernières années – il
    s’agit clairement d’un domaine de recherche captivant.)
  • La transposition n’est jamais mentionnée.
  • La duplication des génomes n’est jamais mentionnée.

Pourquoi Dawkins n’a-t-il pas accordé jusqu’à trois pages aux
cinq mécanismes d’évolution les mieux documentés ? Pourquoi se
comporte-t-il comme si les cinquante dernières années de microbiologie
et les milliards de dollars de recherche n’avaient jamais existé ?

L’ancien « Professeur de compréhension des sciences par le grand public
» de l’université d’Oxford a écrit l’un des ouvrages sur l’évolution
les plus populaires de la dernière décennie, qui a bénéficié
d’impressionnantes couvertures médiatiques et pour lequel il a reçu de
larges avances financières.

Alors pourquoi ne mentionne-t-il rien de tout cela ? » Parce que Dawkins a son propre agenda et qu’après toutes ces années il est peu susceptible d’en changer. Son livre était censé démontrer la véracité de l’évolution. Mais tout du long, il mentionne simplement quelques faits et les explique avec la théorie de l’évolution plutôt que d’expliquer la théorie de l’évolution avec quelques faits. Je ne pense pas qu’il comprenne grand-chose aux faits, aux preuves ou à l’objectivité. En raison de toutes les idées fausses qu’il avance dans ses ouvrages, les lire risque d’empirer la connaissance de la vie et de la biologie que l’on pourrait avoir.

Toutefois, je ne sais pas ce que la théorie de l’évolution 2.0 peut vraiment expliquer. Je ne pense pas que cela puisse nous faire passer du poisson au tigre, et je ne crois pas un seul instant qu’elle ait pu générer l’explosion cambrienne. La raison en est simple : s’il s’agit d’un élément que les organismes ont toujours eu à leur disposition, l’utiliser mille fois plus lors d’une période spécifique et relativement courte que durant toutes les autres époques ne semble pas avoir de cause explicable. C’est aussi la raison pour laquelle les mutations aléatoires seraient tout aussi impuissantes à expliquer l’explosion cambrienne – même si elles fonctionnaient décemment, ce qu’elles ne font pas. En fait, il semble qu’aucun processus naturel puisse expliquer l’explosion cambrienne. La perception du saut dans l’évolution y est tellement phénoménale qu’il semble improbable que les conditions puissent changer si radicalement que la vie soit soudainement en mesure d’évoluer d’elle-même à un rythme plus rapide que jamais de plusieurs ordres de grandeur.

Il m’apparaît plutôt qu’il a été décidé d’intensifier l’expérience de la « vie sur Terre ». Mais avant d’en arriver là, un autre problème significatif se pose.

L’origine de la Vie

L’origine de la vie ne préoccupait pas Darwin. Il est simplement parti du principe que la vie avait commencé d’une manière ou d’une autre et son intérêt portait spécifiquement sur la façon dont elle avait évolué à partir de là. Au XXe siècle, les néo-darwinistes se devaient bien sûr d’améliorer la théorie darwinienne pour être un tant soit peu pris au sérieux, mais cette ambition leur a glissé entre les doigts. Si l’on veut savoir ce qu’il s’est produit « au début » et que l’on consulte la littérature appropriée, le résultat s’avère frustrant parce qu’il n’y a aucune réponse. De nombreuses spéculations dont beaucoup sont assez stupides, mais rien de précis.

On peut y découvrir des affirmations comme « la transition d’entités non vivantes à des entités vivantes n’a pas été un événement unique mais un processus graduel d’une complexité croissante ». En quoi cela a-t-il un sens ? Comment fait-on pour passer progressivement de la non-vie à la vie ? Quelles sont les étapes intermédiaires ? Des organismes qui ne sont pas morts mais pas tout à fait vivants non plus ? Des zombies ? Autant se battre contre des moulins à vent. En fin de compte, après avoir lu de nombreuses tentatives infructueuses pour expliquer comment la vie a émergé de la non-vie, on constate que la seule vraie réponse est que personne n’en a tout simplement la moindre idée. Quiconque vous dit savoir comment la vie s’est manifestée à partir de la matière morte – ou plutôt, « rien » – vous ment ou s’illusionne.

Il y a la tristement célèbre expérience Miller-Urey qui fut en son temps saluée comme un grand progrès parce qu’on pensait qu’elle démontrait l’apparition spontanée dans la Nature de certains acides aminés. Cette expérience fut aussi présentée comme la preuve de la création des « éléments constitutifs de la vie », expression problématique parce que fallacieuse. Les acides aminés construisent des protéines, et celles-ci sont essentielles au sein des organismes vivants. Toutefois, obtenir quelques acides aminés et prétendre avoir pour ainsi dire créé la vie revient à griffonner quelques symboles aléatoires sur un morceau de papier et se flatter d’avoir quasiment conçu un langage. On est loin de produire quoique ce soit qui s’apparente de près ou de loin à la vie juste avec quelques acides aminés. Tout comme lorsqu’on a « si », « alors » et « autrement » ne revient pas à posséder un programme informatique, même si ces trois mots peuvent être considérés comme les éléments constitutifs d’un code logiciel. Et même si les bons acides aminés se sont assemblés en grand nombre et dans le bon ordre pour former une protéine – ce qui s’avère pure fantaisie -, alors quoi ? On a une protéine, mais sans une cellule pleinement fonctionnelle, que peut-elle faire ? Absolument rien.

La bactérie est prétendument la première forme de vie. Pour se reproduire, les bactéries ont besoin d’ADN, de différentes versions d’ARN, de certaines enzymes, de ribosomes, etc. Tous ces composants sont beaucoup trop complexes pour être assemblés lors d’une circonstance fortuite. L’ADN lui-même est trop complexe pour être combiné de façon hasardeuse – peu importe le temps que cela prend – sans omettre le fait que les autres composants demeurent nécessaires à son fonctionnement. L’ADN est un code plus sophistiqué que tout ce que nous avons jamais conçu, et il n’y a absolument aucune chance qu’il soit le fruit d’une circonstance fortuite. Nous ne connaissons qu’un seul moyen de créer un code : que sa conception émane d’un esprit intelligent.

Voici le commentaire de Marshall à ce sujet : « Origine de la vie : La théorie de l’information révèle que les codes exigent un concepteur ou un processus naturel non découvert qui génère des codes ». Si vous découvrez un processus naturel qui génère des codes, vous pouvez gagner cinq millions de dollars US [le montant des gains s’élèvent à dix millions de dollars US depuis le 31 mai 2019 – NdT]. Oui, c’est quelque chose que Marshall offre, et ce depuis un certain temps [août 2017 – NdT]. Vous pouvez suivre ce lien pour lire le règlement du concours. Si vous découvrez comment l’ADN a pu se manifester spontanément, vous deviendrez riche et le darwinisme aura peut-être une chance de survivre à son évolution. Personne n’a encore à l’évidence réclamé le prix, et il est peu probable que qui que ce soit le réclame puisque les codes exigent vraiment un concepteur, parce que c’est ainsi que tous les codes que nous connaissons ont été créés.

L’ADN est une base de données – de manuels d’instruction à
l’usage des structures et des processus complexes – dont l’immensité est
incompréhensible… Qu’un système moléculaire aussi sophistiqué que
l’ADN ait été conçu est une évidence.
Personne n’a été en
mesure d’offrir une alternative plausible. Les darwinistes font –
désespérément – de gros efforts mais restent enlisés dans « nous n’en
avons pas la moindre idée » ou insistent stupidement sur le fait que
c’était un accident. Comme je l’ai mentionné, une cellule en mesure de
se reproduire doit être bien plus complexe que l’ADN lui-même. Ce genre
de complexité exige une conception. Certaines personnes assimilent le
dessein intelligent à Dieu, parce qu’apparemment elles manquent à la
fois d’imagination et de bon sens. Une voiture est le produit d’un
dessein intelligent. Internet est le produit d’un dessein intelligent.
Ont-ils été conçus par Dieu ? Alors pourquoi irait-on s’imaginer qu’un dessein intelligent signifie Dieu ? Je ne suis pas sûre de savoir quelle partie des mots « intelligent » ou « dessein » s’apparente à « Dieu ».

Les propriétés mêmes de l’ADN nous signalent qu’il est très probablement le produit d’un dessein, et que son concepteur a dû être bien plus intelligent que nous. Qui cela peut-il être, alors ? Qui qu’ils soient, ils ne sont clairement pas là pour nous donner une chance de discuter avec eux. Mais voyons les choses sous un autre angle. Nous interférons nous-mêmes avec l’ingénierie génétique depuis un certain temps et peu de chose nous empêche de semer de la vie sur une autre planète – si nous en trouvons une où les conditions sont favorables. Donc, d’un point de vue logistique, il n’y a aucune raison pour que la vie sur Terre n’ait pas été semée par quelque être qui nous soit semblable. C’est bien plus plausible que la magie créationniste de « Dieu a tout créé » et la magie darwiniste de « MDR tout arrive juste par hasard ».

[Note de Joseph : supposer que l’origine de la vie sur Terre serait le fait d’autres entités qu’humaines et non d’une Cause universelle créatrice telle que ce que l’on appelle Dieu ne fait que repousser le problème : qui ou quoi a créé ces entités qui auraient créé la vie terrestre ?]

Mais si nous devions semer la vie ailleurs, nous serions dans l’obligation d’utiliser l’ADN terrestre, parce que nous sommes loin d’être en mesure de vraiment créer une nouvelle vie. Pensez-y ; malgré toutes nos connaissances et notre intelligence et même si nous avons une compréhension basique du fonctionnement de l’ADN, nous ne sommes toujours pas en mesure de concevoir un code pour créer la vie. Et malgré cela, les darwinistes croient que la vie se crée toute seule, par une « circonstance fortuite ». Mais si quelqu’un avait semé la vie sur Terre, il aurait probablement été constitué de la même structure d’ADN que celle utilisée, ce qui ne fait que déplacer la question des « premières origines » sur « eux » et n’explique pas l’origine de l’ADN, mais expliquerait la vie sur Terre.

Quoi qu’il en soit et quel qu’en soit le responsable, il est manifeste que le code immensément sophistiqué de la vie sur Terre est le produit d’une conception intelligente quelle qu’elle soit. Cette conclusion inévitable n’est pas moins valable sous prétexte que nous ne sommes pas encore en mesure de connaître le concepteur. Et il n’y a aucune raison de s’en remettre à Dieu pour la réponse. Pour être impartial, il n’est pas plus irraisonnable de penser qu’une entité que nous appellerions Dieu ait pu créer la Vie initialement. Il n’y a peut-être aucune preuve à l’appui mais il n’y a pas plus de preuves contre – du moins en théorie. Et rappelez-vous, le darwinisme est une théorie !

Au fur et à mesure que l’on s’habitue à l’idée que le concepteur n’a pas besoin d’être Dieu, il devrait être plus facile de comprendre toute éventuelle imperfection dans la conception. Si nous semions la vie sur une autre planète, je suis sûr qu’il y aurait beaucoup d’erreurs. Dawkins se moque régulièrement dans ses ouvrages de la théorie du dessein intelligent avec des questions telles que « qui, avec un esprit sain, concevrait ceci ? » et « pourquoi un concepteur intelligent l’élaborerait-il de cette façon ? ». Dawkins estime connaître si parfaitement la biologie de toutes les créatures qu’il sait comment tout organisme fonctionne et a fonctionné dans le passé, et il concevrait tellement mieux les choses qu’il s’arroge le droit de juger ce qui est bon et ce qui ne l’est pas. Dawkins a vraisemblablement scruté de près les millions de produits absolument parfaits et sans défauts que les êtres humains ont conçu puisqu’il sait également que la conception se doit d’être parfaite.

La dernière chose que je veux mentionner ici est la conscience. Enfant du matérialisme, le darwinisme écarte la conscience comme s’il s’agissait d’une sorte d’effet secondaire. C’est, à mon avis, l’une des plus grosses erreurs jamais commises en science. Si l’on écarte la moitié de l’Univers de nos équations, comment s’attendre à ce que le résultat ait un sens ? C’est d’autant plus embarrassant que nous savons depuis longtemps grâce à la mécanique quantique que l’esprit peut affecter la matière. La question que l’on devrait probablement se poser est donc la suivante : la conscience pourrait-elle affecter l’ADN d’une manière quelconque ? Par exemple, certains états mentaux ou émotionnels prolongés pourraient-ils activer et désactiver les gènes ? Peut-il y avoir une sorte d’accordage entre le corps et l’esprit ?

À l’évidence, nous ne savons rien avec certitude dans ce domaine – la faute au matérialisme qui sous-tend la science moderne – puisque personne n’effectue ce type de recherche, mais beaucoup considèrent qu’il s’agit d’un axe d’investigation légitime. Le matérialisme ne peut pas expliquer l’ADN et la vie, et le darwinisme ne peut pas expliquer l’évolution, alors réfléchir au rôle que la conscience serait susceptible de jouer pourrait en valoir la peine. Et si la conscience y a un rôle, il n’est probablement pas aléatoire et doit certainement rendre compte d’un concept plus constructif que les mutations aléatoires. Si le créationnisme et le darwinisme/matérialisme ne parviennent pas à décrire la réalité, la réponse essentielle est d’explorer d’autres options avec un esprit ouvert.

Alors bien sûr, si l’on pense que le matérialisme est un fait avéré, que tout est matière et que la conscience n’est qu’une illusion, on ne peut pas adhérer à ces idées, ce qui revient à avouer être un robot biologique génétiquement programmé, sans libre arbitre, sans but, sans valeurs, un être pour qui la vie n’a finalement aucun sens. Il est vain de débattre de quoi que ce soit avec de telles personnes car toute discussion ne peut qu’être l’inévitable résultat prédéterminé et sans signification de nos gènes. (Oui, le matérialisme est à ce point stupide qu’il est inutile de perdre plus de temps là-dessus.)

Le tableau d’ensemble

Comment tous ces éléments s’imbriquent-ils ?

L’ADN a dû être conçu. Je suis disposé à explorer d’autres options, mais à moins que quelqu’un ne gagne ces dix millions de dollars US pour avoir découvert comment le code le plus sophistiqué qu’il nous est donné de connaître a pu s’auto-assembler accidentellement, le dessein intelligent est la seule réponse qui ait un sens selon moi. S’il existe un concepteur, il est raisonnable de supposer que la vie sur Terre est venue de l’extérieur. Puis la mutation aléatoire et la sélection naturelle lui ont succédé et la vie a modestement entrepris de s’adapter et de se diversifier. Gardez à l’esprit que rien de complexe n’a « évolué » depuis deux milliards d’années. Cette époque est en fait conforme au darwinisme.

Je pense que lors de l’explosion cambrienne « quelqu’un, quelqu’être » a dû ajouter plus – bien plus – de formes de vie parce qu’il n’existe à notre connaissance aucun processus naturel en mesure d’expliquer rationnellement ce type de saut quantique. La « circonstance fortuite » n’est pas une explication sérieuse. De telles interventions se sont probablement répétées à maintes reprises et les périodes subséquentes aux catastrophes de grande ampleur et aux phénomènes d’extinction sont de bons candidats.

En dehors d’un nombre méconnu de telles interventions, la vie sur Terre est laissée à elle-même. Cela signifie que le processus darwiniste de mutation aléatoire associée à la sélection naturelle représente une partie de l’adaptation, que la mutation adaptative décrite dans Evolution 2.0 peut en représenter d’autres, et si la conscience joue un rôle – ce qui est difficile à savoir à cause de l’attention minimale que lui accordent les scientifiques – alors la conscience peut aussi être responsable d’une forme d’évolution, voire potentiellement plus que les autres mécanismes.

Tout au long de la majeure partie de l’histoire de la vie terrestre, ces processus naturels étaient seuls au monde. En ce qui concerne tous les « chaînons manquants » et les apparents sauts quantiques, une forme d’intervention intelligente extérieure semble être l’explication la plus probable, car nous n’avons aucune alternative scientifiquement plausible. En fin de compte, la complexité fonctionnelle ne se produit pas sans une certaine intelligence pour l’appuyer.

Nous n’avons certainement pas toutes les réponses et nous n’en trouverons peut-être pas dans un proche avenir, mais nous pouvons aller de l’avant, dans la bonne direction, en rejetant les idées qui contredisent la science. Les changements aléatoires n’améliorent pas la fonctionnalité. L’idéologie n’est pas la science.


Littérature recommandée

Michael J. Behe – Darwin’s Black Box (1996) – La boîte noire de Darwin (2009 pour la version française)
Michael J. Behe – The Edge of Evolution (2008)
Michael J. Behe – Darwin Devolves (2019)
Jonathan Wells – Icons of Evolution (2002)
Perry Marshall – Evolution 2.0 (2015)
John Sanford – Genetic Entropy & the Mystery of the Genome (2005)





La théorie de l’évolution : un camouflet pour la science

[Source : Signe des temps]

Dans leurs tentatives désespérées de discréditer même de loin tout ce qui a un sens, les darwinistes s’entichent à questionner l’aspect scientifique du dessein intelligent. Leur immanquable réponse est un « non » péremptoire qu’ils formulent sur la base d’une quelconque affirmation ridicule au hasard du jour. Mais ce n’est pas la bonne réponse. La bonne réponse est : « On s’en fout ! ». Imaginons une théorie qui s’avère correcte sans être « scientifique » (quoi qu’elle signifie) et une autre qui s’avère parfaitement « scientifique » en étant fausse ; il faudrait être un imbécile pour choisir la fausse. Et en posant simplement la question « La conception intelligente est-elle scientifique ? », les darwinistes se désignent eux-mêmes comme étant exactement ce genre d’imbéciles. Ils préfèrent se tromper plutôt que de reconnaître l’existence d’un quelconque dessein intelligent.

Citation Darwin
© Sott.net

Si au moins cette partie de la théorie de Darwin est correcte, alors les scientifiques néo-darwiniens sont aujourd’hui une espèce menacée. Donc, se laisser convaincre de l’importance à déterminer si le dessein intelligent est « scientifique » relève de la mystification qui vous laissera peu de chance de découvrir la vérité sur quoique ce soit. Cela revient à se désintéresser de ce qui est vrai ou correct et à se préoccuper d’une chose qui n’a aucun rapport avec la question. On se retrouve alors engagé dans une argumentation stupide sans aucun intérêt et l’on passe complètement à côté de l’essentiel.

Mais puisque cette question est fréquemment évoquée, examinons la réalité scientifique de l’évolution elle-même.

Les darwinistes disent que le dessein intelligent n’est pas scientifique
parce qu’il ne peut ni être observé ni vérifié. Mais la théorie de
l’évolution n’est pas scientifique non plus, puisqu’il n’y a aucun moyen
de prouver qu’elle se produit par des mutations aléatoires pas plus
qu’il n’est possible d’observer ou de vérifier la sélection naturelle.
Ce n’est qu’un des nombreux indices de l’aspect au moins aussi peu scientifique du darwinisme et de la théorie de l’évolution que ne l’est supposément le dessein intelligent.
On observe ici l’évidence d’une cécité sélective et d’un manque extrême
de circonspection. Toutefois, je dirais que la situation dans le camp
de la théorie de l’évolution est bien pire, ce que je vais abondamment
clarifié.

La liste suivante énumère les raisons pour lesquelles la théorie
de l’évolution n’est pas scientifique. Non pas que cela soit vraiment
d’un grand intérêt en soi — c’est l’aspect erroné de ces raisons qui est
d’importance — mais puisque les évolutionnistes se plaisent à brandir
le drapeau de la science à tout bout de champ, montrons simplement à
quel point cette gestuelle est malhonnête. Si l’on peut disqualifier la
théorie du dessein intelligent en l’accusant de n’être « pas
scientifique » par un coup de maître irréfutable, alors donnons à ces
crétins de « l’évolution » un avant-goût de leur propre règle du jeu.

  • La théorie de l’évolution a été imaginée par un bonhomme
    qui ne possédait aucune connaissance de la cellule, de l’hérédité et de
    la génétique
    . La génétique a par la suite démontré que la
    théorie s’avérait totalement invraisemblable, ce qui fut confirmé par la
    découverte de l’ADN et de la complexité de tout le système cellulaire.
    Pourtant, loin d’être reconnue comme abracadabrante, elle acquière un
    statut d’incontestabilité. Il parait que les
    espèces évoluent vers d’autres espèces étape par étape même si personne
    n’est en mesure d’expliquer par quel processus, sans parler du fait que
    personne ne l’ait jamais vu se produire.
    Ce n’est pas de la science. C’est du dogmatisme de la pire espèce.
  • Les
    darwinistes sont dans l’impossibilité absolue d’expliquer l’origine de
    la vie. Leurs tentatives en ce sens invoquent des mécanismes qui n’ont
    jamais été observés dans la Nature. Ce n’est pas de la science
    .
    Ils sont souvent réticents à ne serait-ce qu’admettre l’existence du
    code très sophistiqué de l’ADN, mais même leur orgueil est impuissant
    face à une telle réalité. La seule origine jamais observée pour
    un code est le dessein. Par conséquent, la seule théorie expliquant
    l’origine du code de l’ADN qui puisse être qualifiée de scientifique est
    le dessein intelligent, la seule reflétant réellement notre expérience
    réelle, observable et démontrable
    . Mais au lieu de cela, les
    darwinistes suggèrent des idées complètement improbables dont le
    fonctionnement n’a jamais été observé. Est-il possible de trouver moins
    scientifique ? Autant constater qu’un clou a dû s’enfoncer dans du bois
    accidentellement après avoir observé toute sa vie que des clous
    s’enfoncent dans le bois après avoir été frappés par un marteau (ou un
    dispositif semblable). Pourquoi ? Pourquoi ignorer les observations de
    toute une vie ? L’idée que des atomes puissent s’auto-assembler en
    cellules vivantes complexes et fonctionnelles n’est pas scientifique.
    Dire « Oui, c’est très improbable et personne ne l’a jamais vu, mais
    c’est arrivé », c’est comme dire « Oui, je sais que personne n’a jamais
    vu une licorne, mais elles existent ! ». Exception faite du domaine
    théorique de l’évolution, nul scientifique ne considérerait sérieusement
    ces affirmations, .
  • L’idée que « tout aurait pu commencer de façon rudimentaire » pour évoluer progressivement vers la complexité est absurde.
    Les plus petites bactéries produisent des centaines de protéines.
    Personne ne sait comment une cellule peut fonctionner avec, disons,
    quelques dizaines de protéines. La simple fabrication d’une protéine
    nécessite plus d’une centaine de protéines déjà existantes. La
    réplication de l’ADN nécessite trente-deux protéines. Même si
    personne n’a la moindre idée du comment, il n’est pas scientifique de
    suggérer que tous ces processus pourraient fonctionner avec moins
    .
    Ce sont juste des foutaises qui permettent de contourner
    l’impossibilité factuelle du fonctionnement de l’évolution, des idées
    complètement irréalistes qui ne servent qu’à maintenir artificiellement
    en vie le fantoche de l’évolution. De deux choses l’une, soit il est
    possible d’en démontrer le fonctionnement, soit on invente des
    scénarios.
  • L’interdépendance des différentes substances
    dans les systèmes cellulaires et dans les organismes vivants révèle
    l’absurdité d’une évolution progressive de ces systèmes
    . Il est
    impossible de fabriquer des protéines sans ADN, mais les protéines sont
    fondamentales pour lire, transcrire et répliquer l’ADN. La biologie
    recèle tellement de problèmes liés au concept de primauté de « l’œuf ou
    la poule » que c’en est ridicule. Quelle est l’explication ? « On ne
    peut pas vraiment l’expliquer avec exactitude, mais on sait que ça
    arrive. » Comment « savent-ils » ? Ils ne savent pas, mais ils y
    croient. Il s’agit d’une croyance dogmatique, ce qui n’est absolument pas scientifique.
  • Si
    une chose est censée se produire par hasard, quelle est la probabilité
    pour qu’elle se produise vraiment ? S’il s’avère qu’une telle
    probabilité est d’une sur 10
    100 ou d’une sur 105 000 ou d’une sur 1040 000 ou plus — comme c’est le cas pour l’évolution — nous pouvons affirmer que la théorie n’est qu’ineptie.
    Si l’on demandait à des enfants de cinq ans comment la vie a commencé,
    il est peu probable qu’ils aient une théorie pire que celle qui n’a
    qu’une chance sur 1040 000 de se produire. Je vous invite à
    prendre quelques minutes pour méditer sur la difficulté d’inventer
    quelque chose de moins probable que l’évolution.
  • En concoctant
    leurs théories sur les processus d’évolution d’un organisme, les
    évolutionnistes se concentrent sur ce qu’ils désirent voir se produire,
    et non sur les 9,999,999,999 de choses qui pourraient aller de travers à
    chaque étape. Tout ça parce qu’ils prennent les espèces 1 et 2,
    décident que 2 a évolué à partir de 1 et tentent a fortiori de découvrir
    les moyens de fonctionnement de cette évolution. Ce qui signifie qu’ils
    sont dans l’obligation d’inventer à partir de tout ce qui peut être
    utile en s’accommodant même de ce qu’il y a de plus marginal et
    improbable. C’est en partie concevable, bien que l’improbabilité des
    mécanismes de l’évolution dépasse de loin celle de toute autre chose,
    comme mentionné plus haut. Le pire c’est qu’ils ignorent tous les
    problèmes potentiels qui sont généralement des quintillions de fois plus
    probables que les événements aléatoires requis. Autant expliquer que
    l’on peut réparer une voiture en panne en la démolissant avec un marteau
    qui frapperait au petit bonheur la chance. Le tout étant de mettre
    l’accent sur la façon dont le marteau pourrait, contre toute attente,
    frapper au bon endroit. La quantité d’essais nécessaires est ignorée
    tout comme l’est le fait que chaque coup de marteau est susceptible de
    causer encore plus de dégâts. Une théorie qui place un espoir
    infini dans un processus infiniment improbable et qui écarte un grand
    nombre de choses qui sont très susceptibles de mal se passer n’est pas
    scientifique. C’est l’antithèse du rasoir d’Ockham
    .
  • Seules
    des mutations mineures s’avérant bénéfiques à la survie dans les
    conditions actuelles ont pu être observées. Extrapoler de cela vers
    l’infini en ignorant les réalités biologiques, les mathématiques, la
    simple logique et le bon sens n’est pas de la science. Une seule
    mutation observée dans l’ADN ne peut à elle seule expliquer comment un
    tout nouveau gène pourrait se manifester au petit bonheur la chance
    .
    Permettez-moi de le répéter, car c’est très important. Une seule
    mutation observée dans l’ADN ne peut à elle seule expliquer comment un
    tout nouveau gène pourrait se manifester au petit bonheur la chance. Il
    s’agit là de deux problèmes distincts et d’ordres de grandeur
    différents. Toute science digne de ce nom pratiquée dans ce domaine
    montre que les nouveaux gènes n’évolueront pas par hasard, même avec
    l’âge de l’univers tout entier à notre disposition.
  • L’évolution
    ignore la principale preuve physique : le registre fossile. La réaction
    face aux découvertes de fossiles est du genre « Waouh ! c’est bizarre.
    Comment les faire corresponde à notre modèle d’évolution ? ». Rien dans
    le registre fossile n’a de sens dans le contexte de l’évolution, mais
    l’impératif apparent est de faire tant bien que mal de leur mieux pour
    le rendre cohérent. Il arrive parfois qu’une découverte semble soutenir
    le modèle de l’évolution ce qui fait s’exclamer les évolutionnistes : «
    Ha ! Vous voyez ? On vous l’avait bien dit ! ». Puis on leur demande ce
    qu’ils font des quatre-vingt-dix-neuf pour cent de preuves contre
    l’évolution, et ils prétendent tous ne pas nous avoir entendus. La
    science devrait partir de l’évidence pour créer des théories crédibles.
    L’évolution commence avec une théorie peu plausible et tente ardemment
    d’intégrer les preuves dans cette théorie, même si elle échoue
    constamment
    .
  • Selon la théorie de l’évolution, le
    cheminement pour passer d’une espèce à l’autre procéderait d’une
    continuité graduelle. Dès lors et selon ce seul point de vue évolutif,
    aucune forme définitive d’organismes n’existerait. Tout est supposément
    en mutation perpétuelle au petit bonheur la chance. Si l’évolution était
    mue par des mutations et la sélection naturelle, rien n’y mettrait
    jamais un terme. Les mutations seraient permanentes et la sélection
    naturelle ininterrompue. Pourtant, le registre fossile montre
    clairement l’apparition impromptue d’organismes qui restent inchangés
    durant de longues périodes pour finalement tout à coup disparaître. Bien
    que la réalité observée soit en totale contradiction avec les
    estimations « scientifiques » du darwinisme, ces absurdités élevées au
    rang de « science éprouvée » subsistent obstinément. Ignorer des preuves
    incommodes n’est en rien scientifique
    .
  • En parlant
    d’estimations, les darwinistes accusent le dessein intelligent d’être
    incapable d’estimer quoique ce soit — ce qui n’est ni vrai ni pertinent,
    mais on s’habitue à ce genre de logique tordue quand on a affaire aux
    darwinistes. Mais quelles estimations le darwinisme peut-il faire ? La
    théorie de l’évolution ne peut absolument rien estimer de précis. Tout
    ce qu’elle est en mesure de dire c’est que des espèces pourraient avec
    le temps se transformer au petit bonheur la chance en d’autres espèces.
    La théorie du dessein intelligent estime pour sa part que ce n’est pas
    le cas. Étant donné qu’aucune de nos observations n’a jusqu’à
    présent montré qu’une seule espèce — vivante ou disparue — pourrait
    évoluer en une autre espèce, le point de vue du dessein intelligent est
    cohérent avec ce qui est observé. Le darwinisme ne dispose que d’une
    seule estimation très vague qui n’a pas une seule fois été confirmée par
    l’observation
    .
  • Les darwinistes tressent sans cesse
    des couronnes de laurier à toute preuve qui, même de loin, parle en
    faveur de l’évolution — ce qu’elle ne fait souvent que dans leur tête —
    et ignorent toutes celles qui pourraient la discréditer. Une science
    authentique se préoccupera plus des preuves à l’encontre d’une théorie
    préconçue qu’à celles qui peuvent venir l’appuyer. Ce n’est pas
    en observant cinq faits qui corroborent une théorie que l’on prouve son
    exactitude, loin s’en faut. Elle est par contre fausse s’il est possible
    d’observer un seul fait qui la réfute
    . Échec et mat. La
    récréation est terminée, circulez y’a rien à voir. Trouverait-on une
    autre solution en méditant un peu plus sur le sujet ? En fait, les
    preuves qui corroborent la théorie de l’évolution sont rares tandis que
    celles qui la réfutent sont légion. Lorsque les darwinistes font face à
    une preuve incommode, ils l’expliquent avec un conte de fées ou
    l’ignorent en bloc. Prendre ses désirs pour des réalités n’est pas
    scientifique.
  • Sans aucune preuve pour l’appuyer, l’évolution
    étape par étape de la complexité est pourtant élevé au rang de vérité
    seule et absolue. Nous sommes censés accepter les yeux fermés et sur la
    simple conviction de quelques hommes très intelligents — d’après eux —
    le fait que des systèmes irréductiblement complexes aient pu évoluer de
    façon graduelle, alors que personne n’a été capable d’en expliquer le
    processus. Une idée qui ne s’appuie sur aucune preuve ni aucun
    modèle théorique pour l’expliquer n’est pas scientifique. « Nous croyons
    que c’est possible » ne l’est pas plus
    .
  • Les mutations
    aléatoires et la sélection naturelle sont toutes deux de piètres
    candidates propres à produire une quelconque caractéristique novatrice.
    Les mutations produisent essentiellement des déchets et la sélection
    naturelle ne peut qu’éliminer le pire d’entre eux. Ces deux processus
    n’ont aucun moyen plausible de créer quoi que ce soit qui ait un
    caractère inédit. Instituer l’idée que des nuisances sont en
    mesure de créer une quelconque fonctionnalité, alors que toute notre
    expérience nous dit le contraire, n’est pas scientifique
    .
  • L’évolution contredit les principes scientifiques établis, à savoir l’entropie de l’information.
    On nous assure que la nature informative contenue dans l’ADN augmente
    au fil du temps sans aucun intrant intelligent, sans toutefois que cela
    ait un sens. De par sa nature intrinsèque, l’entropie dégrade le contenu
    de l’information — c’est ce que nous observons chaque fois que nous
    voulons bien nous donner la peine de regarder. L’intelligence est la
    seule source capable d’introduire de nouvelles informations
    fonctionnelles dans un système. Le hasard n’a rien à voir là-dedans. La
    théorie de l’évolution n’est pas scientifique.
  • En se basant sur
    des conclusions spéculatives pour interpréter des faits, les
    darwinistes façonnent leur études à rebours du consensus scientifique.
    Pour chaque nouvelle découverte, les darwinistes sont contraints
    d’élaborer une fable qui s’inscrive dans le sacro-saint modèle
    évolutionniste, une méthode qui le plus souvent requiert une gymnastique
    mentale significative et une suspension consentie d’incrédulité, dans
    une « foi poétique » qui permet la création d’une histoire imaginaire en
    mettant de côté son scepticisme. Tout ça parce parce qu’ils ont décidé
    que la théorie de l’évolution est en conformité avec la réalité. La
    science a pour objet de déterminer les processus de réalités factuelles
    et certainement pas celui de décider de la manière dont les choses se
    produisent pour ensuite inventer des théories qui leur permettent de
    faire correspondre les preuves à leur croyance préconçue
    .
  • Tout
    en ignorant les faits les plus notoires, les évolutionnistes
    maintiennent leurs assertions mensongères avec dogmatisme. Afin
    d’illustrer un des multiples exemples de cette singularité, prenons
    l’appendice iléo-cæcal dans le corps humain : cet organe est connu pour
    avoir au moins deux fonctions admises même par une source aussi basique
    que peut l’être Wikipédia.
    Pourtant, on ne cesse de nous rabâcher que l’appendice iléo-cæcal
    serait un organe à structure « vestigiale » dont la fonction initiale
    aurait été perdue et que seule l’évolution est en mesure d’en expliquer
    la rémanence. Le livre de Jonathan Wells, Zombie Science [« La
    Science fantoche », ouvrage non traduit en français – NdT], contient de
    nombreux exemples d’affirmations similaires dont on nous rebat
    inlassablement les oreilles, bien que leurs aspects erronés ait été
    prouvés il y a parfois plusieurs décennies. L’évidente raison pour que
    décennie après décennie de fausses preuves continuent de nous être
    donnés en pâture, c’est que la théorie de l’évolution ne bénéficie
    d’aucune preuve qui la soutienne.
  • Les darwinistes expliquent
    généralement pourquoi mais pas comment les choses ont évolué. Insister
    sur le processus évolutif d’une chose alors qu’il est impossible de
    démontrer qu’elle peut le faire étape par étape s’apparente à une
    croyance religieuse. « Les girafes ont développé de longs cous pour
    pouvoir atteindre les plus hauts feuillages ». COMMENT ? « Ce singe a
    développé un long doigt mince pour atteindre les trous intérieurs et en
    extraire les insectes ». COMMENT ??? Les scientifiques ne peuvent pas
    expliquer comment les choses ont évolué. Paradoxalement,
    expliquer pourquoi ne fait que renvoyer au dessein intelligent.
    L’évolution est censée n’avoir aucun but. Expliquer pourquoi une chose a
    évolué n’a même pas de sens dans le paradigme scientifique dominant.
    Pour les tenants de l’évolution, la réponse au « pourquoi » se résume
    toujours à « sans aucune raison »
    .
  • Plus controversée
    que jamais après cent soixante ans d’existence, la théorie de
    l’évolution s’évertue à tenter de prouver l’impossible. Loin de se
    renforcer au cours des seize décennies de recherche scientifique, elle
    est devenue de plus en plus douteuse. Et si cent soixante années de
    science ont rendu la théorie moins plausible que jamais, dire que cette
    théorie et la science sont à tout le moins incompatibles est un
    euphémisme.
  • Lorsqu’ils considèrent ce qui est ou n’est pas
    scientifique, les évolutionnistes sont d’avis que la seule vraie science
    est la science naturelle, c’est-à-dire la science matérialiste [en tant
    que doctrine qui ramène toute réalité à la matière et à ses
    modifications – NdT]. Mais le matérialisme est une idéologie
    qui à l’instar de la Bible n’est étayée d’aucune preuve. Tout comme la
    religion, le matérialisme est une croyance dogmatique. Professer que la
    science matérialiste est la seule qui soit d’importance revient à dire
    que la science religieuse est la seule science qui compte. Les
    évolutionnistes adhèrent à une croyance précise et définissent la
    science comme opérant dans les limites imposées par cette croyance. Le
    résultat devient très vite complètement stupide. On finit par
    vous dire — entre autres absurdités — que votre conscience n’existe pas
    vraiment et que vous ne prenez pas vous-mêmes de décisions mais que ce
    sont vos gènes qui le font
    . L’objectivité s’évapore car l’apprentissage de la réalité est limité par des hypothèses arbitraires.

Le darwinisme est pour la science un camouflet qui ignore les faits et les preuves ainsi que de nombreux principes scientifiques en axant de préférence leur obstination sur une croyance dogmatique, tout comme le fait la religion. Les
darwinistes feraient mieux de sortir de l’obscurantisme en cessant de
considérer que leur théorie est aussi inattaquable qu’une vache sacrée
. Ils font exactement ce dont ils accusent les créationnistes.

La théorie de l’évolution n’est pas seulement fausse ; absurde,
illogique et mathématiquement impossible, elle n’est pas scientifique.




La théorie incohérente de l’évolution et ses effets pernicieux sur notre mode de pensée

[Source : Sott.net]

[Auteur :] Mandatory Itellectomy

Selon mon expérience, la plupart des gens enclins à croire en l’évolution darwinienne en savent aussi peu sur le réel contenu de la théorie que sur son fonctionnement supposé. Pour eux, il n’y a pas lieu de douter de ses préceptes, mais peu ont des réponses lorsqu’il s’agit d’aborder les détails. Et s’ils en ont, elles s’avéreront probablement erronées.

Evolution bactérie Spider-Man
© Sott.net

La théorie de l’évolution par sélection naturelle peut être vue comme un folklore luxuriant, truffé de mythes indécrottables dont l’obstination à vivre n’a d’égal que le nombre de fois où vous prouvez qu’ils sont faux. Notre système éducatif très imparfait favorise le dogme établi aux dépens de l’examen sérieux d’une science censée le soutenir, et remettre ce dogme en cause mène souvent à une franche agressivité.

L’école nous enseigne la version standard de EvolutionIsTrue™ [La théorie de l’évolution est vraie – NdT], catéchisée en termes très clairs comme étant « avérée » — même si aucune preuve concrète ne peut nous être présentée. Et si comme la plupart des gens nous n’y pensons plus vraiment une fois sortis de l’école, il est dès lors peu probable de la remettre en cause un jour. L’idée complètement fausse que l’on se fait de l’évolution ne cesse de se renforcer avec les documentaires sur la nature qui régurgitent les mêmes références à l’évolution, tout aussi fallacieuses que celles de nos professeurs.

On pourrait penser en savoir beaucoup plus sur l’évolution après
être allé à l’université, mais ce savoir est en réalité à la mesure — à
savoir peu — de ce que l’université veut bien enseigner. Écouter
quelqu’un ayant effectué des recherches sur le sujet et qui évoque des
concepts qui diffèrent de la version standard porte le plus souvent à
rire, sans même imaginer qu’il pourrait y avoir anguille sous roche.

Toutefois, est-il possible de déterminer l’ancrage dans la réalité de la
version standard ? Et quel est le degré de similarité entre la version
populaire que tout le monde « connaît », et celle utilisée par les
scientifiques dans leurs laboratoires ? Examinons quelques exemples qui
illustrent l’antagonisme entre la réalité et ce qui nous est présenté,
et son influence sur notre esprit d’analyse et notre mentalité.

Evolution cube
© Sott.net
Le casse-tête de niveau très difficile du cube 13x13x13

L’usage abusif du mot « évoluer »

La croyance religieuse en l’évolution a tellement conditionné
les darwinistes que leur quasi incapacité à dire « cet organisme possède
ceci ou cela » n’a d’égal que leur frénésie à dire « cet organisme a
évolué en ceci ou cela », quand bien même nulle preuve d’une telle
évolution à un moment quelconque puisse être fournie
. Chaque
fois que vous lisez ce type d’affirmations, vous êtes indûment amenés à
penser que cette évolution s’est réellement produite et que les preuves
doivent exister puisque le texte ne vous donne aucune raison de penser
autrement. C’est plutôt problématique.

Exception faite des rares cas relatifs à la seule micro-évolution,
il s’agit pourtant d’une simple supposition. C’est comme si les
créationnistes affirmaient que « dans cet organisme, Dieu a créé ceci ou
cela » — ce qui, bien sûr, rendrait tous les évolutionnistes furieux.
Faire passer une hypothèse pour un fait se révèle extrêmement peu
scientifique et toxique pour l’esprit. C’est une imposture. La
perception donnée par de telles allégations dans la plupart des textes
modernes sur l’histoire des organismes vivants fourni à l’évolution un cachet d’authenticité auquel la plupart des gens adhèrent à tort. Sans jamais en vérifier les faits, ils acceptent ces déclarations parce qu’elles font autorité.

Si nous prêtons attention aux preuves qui sont données pour appuyer la
théorie que présente un livre qui fait l’éloge de l’évolution, nous
constatons en général qu’il y en a peu, voire pas du tout. Il est
constitué de simples affirmations du type « le cou des girafes a évolué
pour devenir plus long », suivis d’explications sur l’utilité d’une
telle évolution. Nulle indication sur la façon dont le cou a évolué et encore moins de preuve que c’est le cas.
Pour ce qu’on en sait, les girafes ont un long cou depuis que les
girafes existent. Bien sûr, nous connaissons des espèces dotées d’un cou
plus court qui ressemblent aux girafes, mais la seule chose que cela
prouve c’est qu’il existe des espèces dotées d’un cou plus court qui
ressemblent aux girafes, ce qui n’explique en rien le lien entre ces
espèces. L’affirmation selon laquelle ce long cou a « évolué » se fonde
sur la seule croyance préformée qu’il en est ainsi, et quand bien même
la réalité ou même la science en sont à des années-lumières, c’est ce
que l’on trouve dans 99 pour cent des textes sur l’évolution.

Le mot « évoluer » devrait être dans la plupart des cas soit remplacé
par « s’adapter » — si toutefois des signes d’évolution dans le temps
peuvent être observés — soit tout bonnement abandonné. On nous dit par
exemple que « les virus évoluent rapidement ». Mais en quoi ont-ils
vraiment « évolué » ? Y a-t-il de nouveaux gènes ? Non. De nouveaux
organes ? Non. Il n’y a que des contournements mineurs face à des
contraintes environnementales, principalement caractérisés par
la suppression de gènes et une diminution de la taille du génome qui
sera moins adaptable à long terme
. Il serait donc bien plus
exact de dire que les virus s’adaptent rapidement ou, mieux encore, que
les virus mutent rapidement. Toutefois, quelles que soient les vitesse
et quantité de mutation d’un virus, encore faut-il qu’il mute en quelque
chose qui n’est pas un virus — et le mot « évoluer » prendrait dans ce
cas tout son sens.

Pour mettre les choses en perspective, disons que vous avez une voiture
depuis dix ans. Elle est aujourd’hui quelque peu différente de ce
qu’elle était au début : quelques rayures sont apparues, différentes
petites choses sont cassées ou endommagées, certains équipements ne
fonctionnent plus aussi bien qu’avant et rien n’est aussi net que
lorsque vous l’avez acquise. D’un autre côté, le siège peut présenter un
plus grand confort après avoir épousé les formes de votre corps pendant
dix ans, et vous pourriez même apprécier quelques bizarreries apparues
durant la décennie. Si l’on applique le langage darwinien à votre
voiture, elle a « évolué ». Est-ce bien rationnel ? Votre voiture
s’est-elle améliorée depuis que vous l’avez achetée ? Présente-t-elle
quelque chose de nouveau et d’utile que vous n’avez pas vous-même
ajoutée ? Peut-elle accomplir plus de choses qu’à ses débuts ? En fait,
il est plus probable qu’elle ait perdu des fonctionnalités.

Si nous considérons le terme « évolution » comme le reflet d’un
changement survenu au fil du temps, alors son usage est évidemment
correct — pourtant, la portée informative de telles déclarations est
proche de zéro puisque la seule chose que l’on peut en déduire c’est que
les « choses changent ». Dans le contexte de la théorie de Darwin, le mot implique toutefois que des espèces ont « évolué » à partir d’autres espèces.
Rien ne permet de prouver que c’est le cas. Si vous pensez qu’il existe
des preuves, merci de nous les présenter. Je persiste à mettre les gens
au défi de le faire, et quand bien même nombreux sont ceux qui ont
contesté mes conclusions, nous attendons tous ne serait-ce qu’une seule
preuve attestant de l’évolution d’une espèce depuis une autre.

L’expérience de Lenski avec E. Coli est souvent citée comme preuve
d’évolution. Laissez-moi donc vous montrer dans un simple diagramme ce
que cette expérience a produit :

E. Coli —> Évolution (nous dit-on) —> E. Coli

Stupéfiant, n’est-ce pas ? Et chaque « preuve d’évolution » est
présentée de la manière manière. Pas un seul cas qui aboutit à un
élément qui n’était pas là au départ. « E. Coli » a évolué en « E. Coli
s’est adapté à un environnement différent » en perdant des parties de
son génome. Et ce, après quelques 60 000 générations.

Quand on a demandé à des étudiants et professeurs d’université
s’ils croyaient en l’évolution, ils ont tous répondu par l’affirmative,
mais quand on les a pressés de donner un seul exemple d’une espèce
évoluant vers une autre, personne n’a pu avancer quoi que ce soit.

Il est encore plus stupide de dire que les organismes ont « évolué »
vers un certain type de comportement. Pourquoi ne pas simplement dire
qu’ils ont appris quelque chose ? Devrions-nous dire que les humains ont
évolué vers quelque chose de différent par le simple fait de
téléphoner, de jouer aux échecs ou de regarder des peintures dans des
galeries d’art ? C’est pourtant le concept régulièrement formulé
lorsqu’il est question des comportements animaux, quels qu’ils soient.
C’est comme si certaines personnes avaient du mal à construire une
phrase traitant de biologie sans y inclure le mot « évoluer ».
Malheureusement, cet usage linguistique incorrect conduit à penser de
façon inexacte, à déformer la perspective et à conclure à tort. La vidéo
du lien présent dans le paragraphe précédent montre à quel point les
gens sont convaincus que l’évolution est une réalité tout en étant
incapables de justifier cette croyance de manière substantielle. D’où
vient cette conviction ? Principalement de la répétition ad nauseam de fausses affirmations.

En enfer avec Dieu

Bien sûr, si vous n’êtes pas darwiniste/évolutionniste, vous devez être
croyant ; c’est l’un des plus grands préjugés des tenants de
l’évolution. Aux États-Unis — parce que les choses y sont toujours un
peu plus simplistes que partout ailleurs — le fait d’être croyant
implique automatiquement que vous êtes un créationniste. Je n’ai jamais
fourni à qui que ce soit la moindre indication permettant de penser que
je suis croyant, et je n’ai jamais rien écrit dans ce sens dans mes
articles ; pourtant, il y a toujours un crétin qui débarque et prétend
que je présente un point de vue religieux ou apparenté. Il est
probablement impossible d’expliquer quoi que ce soit aux personnes qui
font preuve d’un tel degré d’étroitesse d’esprit et/ou d’illusion, mais
je vais quand même essayer.

Non seulement je ne suis pas croyant, mais j’ai toujours eu une aversion
pour la religion. J’ai même pendant longtemps carrément détesté le
christianisme — auquel je suis toutefois plus tolérant aujourd’hui,
réservant ma haine exclusivement à Google. Personnellement, je pense que
la religion est stupide et que les gens devraient un jour ou l’autre
passer à autre chose. Je fais toutefois la différence entre la religion
et la spiritualité, que l’on pourrait décrire — à défaut d’un meilleur
mot — comme à peu près tout ce qui n’est pas du matérialisme. La
spiritualité correspond plus ou moins à la vision selon laquelle il y a
plus que la matière, et qui considère la Conscience comme une partie qui
lui est distincte et dont elle ne dépend pas. La religion, par contre,
consiste à transformer la spiritualité en foutaises dogmatiques
comportant toutes sortes de stupides inventions que les gens ont le
commandement de croire. Le matérialisme est une sorte d’extrême opposé
dont la stupidité n’a rien à envier à la religion. À mon avis,
les croyants créationnistes et les darwinistes matérialistes participent
d’un même délire absolu et s’accrochent à un dogme que notre science et
notre bon sens auraient dû envoyer aux oubliettes il y a belle lurette
.
Ces deux groupes constituent les deux plus grands obstacles au progrès
sur l’histoire et l’origine de la vie, et nos connaissances dans ce
domaine seraient bien plus avancées si nous les avions catapultés dans
l’espace il y a des décennies.

Postuler que ne pas être darwiniste revient à être croyant équivaut tout
aussi bêtement à dire que ne pas être noir revient à être blanc, comme
si les autres couleurs n’existaient pas. Les preuves
scientifiques indiquent clairement l’impossibilité pour une espèce
d’évoluer vers une autre, du moins pas par le biais de mutations
aléatoires
(une idée absurde si on y réfléchit quelques secondes), et rien ne prouve non plus que Dieu y soit pour quelque chose. Si vous trouvez une montre dans la forêt, pour reprendre l’analogie de l’horloger,
pourquoi diable vos seules options quant à sa provenance seraient soit
une évolution issue des sources naturels de la forêt, soit l’œuvre de
Dieu ? À moins d’être stupide, comme Richard Dawkins, on peut avancer
que la montre a été conçue par un esprit pensant, mais pourquoi en
conclure sur le champ qu’il s’agit de Dieu ? Bien sûr, nul ne s’en remet
à la foi pour une montre, mais beaucoup le font pourtant lorsqu’il
s’agit d’organismes vivants. Je suppose que certaines personnes sont
tellement limitées qu’elles ne peuvent concevoir aucune autre forme
d’intelligence que celles d’origine humaine ou divine.

Surprise, surprise, ce ne sont pas les croyants qui concluent plus
souvent que si je ne crois pas à l’évolution alors je dois penser que
Dieu a créé les êtres vivants, ce sont les défenseurs du darwinisme. Je
suppose que c’est leur façon de tourner le dos aux éléments factuels
comme aux preuves. Le fait de vous cataloguer comme croyant — donc «
loufoque » dans leur esprit — leur permet de discréditer vos propos.
Toute excuse est bonne pour vous ignorer, car s’ils étaient confrontés à
l’examen des preuves tangibles, l’absurdité de leurs propres idées
qu’ils érigent en foi aveugle serait flagrante.

Les gens assimilent étrangement le dessein intelligent à Dieu en dépit
du fait que la grande majorité des choses — non vivantes — que nous
connaissons ont été conçues à dessein par l’intelligence humaine — voire
dans certains cas rares par des animaux. L’intelligence et le dessein
peuvent clairement être attribués à une intelligence qui n’est pas Dieu.
Bien sûr, la vie sur Terre n’a pas pu être conçue par des Terriens,
mais d’autres êtres intelligents — non divins — n’auraient-ils pas pu
introduire des organismes vivants sur Terre ? Ne peut-il exister des
êtres intelligents au-delà de la Terre — quelque part dans l’Univers —
sous prétexte que nous ne les avons pas vus ? Les darwinistes croient
mordicus que la vie peut surgir de la matière morte et nous n’avons
pourtant jamais pu le voir non plus ! (Pour eux, Jésus ressuscitant les
morts est une idée ridicule, mais la matière morte qui devient vivante
toute seule par un coup du sort, c’est cool. Et ils s’estiment plus
intelligents.) Qu’est-ce qui cloche alors ? Pourquoi supposer qu’une
motivation religieuse est à l’origine de tout effort visant à démanteler
le conte de fées darwinien ?

Qu’il y ait un Dieu ou pas est sujet à débat, mais je ne crois
certainement pas en un Dieu qui écoute les prières, qui installe des
créatures vivantes sur les planètes le samedi et qui se joue des humains
de façon mesquine, comme l’abject Yahvé. Qu’un tel Dieu existe n’est
pas prouvé, et le concept même est absurde. De toute façon, tout ce qui
est conçu ou créé doit venir de la Conscience, pas de la matière. Notre
expérience le confirme. Alors, d’où vient cette Conscience ? C’est une
question intéressante, mais y répondre nous est probablement impossible.
Sous une forme ou une autre et pour ce que nous en savons, la
Conscience a toujours existé. Après tout, les matérialistes considèrent
la matière comme inhérente à l’Univers depuis son origine, alors
pourquoi pas la Conscience ? Si encore ils avaient une explication
raisonnable sur l’origine de la matière… C’est quoi leur théorie, déjà
? D’abord, il n’y avait rien, pas même le temps. Puis, soudainement —
notez que « puis » et « soudainement » requièrent du temps — un truc a
explosé, et voilà qu’apparaît subito toute la matière qui
existe encore aujourd’hui — bien qu’aucun truc ne prévalait et qu’une
explosion nécessite un déclencheur — quand rien n’existait — et du temps
— qui n’existait pas. Ouah ! Tour de magie ? Cette notion est aussi
niaise que celle d’une émergence fortuite de la vie à partir de la
matière morte. Rien de tout cela n’est rationnel. Et les gens enclins à
croire ces balivernes me disent qu’aucun être conscient n’aurait pu
introduire des cellules vivantes sur Terre parce que… parce que quoi,
exactement ? De grâce.

La survie du plus apte n’existe pas

Une variante plus appropriée de ce terme serait « l’élimination des
moins aptes ». Les plus aptes survivent en général — hors accidents,
meurtres et autres — mais les moins aptes aussi, et même la plupart de
ceux qui ne le sont que moyennement. Selon l’espèce, même les plus
inaptes survivent, ce qui est manifeste dans le cas des humains.
La sélection naturelle peut éliminer les individus totalement inaptes,
mais elle ne peut pas vraiment séparer les plus aptes de ceux qui ne le
sont que moyennement, sauf peut-être chez quelques espèces où la
concurrence est rude. Néanmoins, la sélection naturelle peut
difficilement être considérée comme le mécanisme responsable de toute
l’évolution à partir du moment où elle ne fonctionne que chez quelques
espèces
.

Sélection de femmes
© Inconnu

Les différences de l’illustration ci-dessus actionnent-elles la sélection naturelle ? Absolument pas. Les variétés survivent et se reproduisent toutes. Pourtant, nous sommes censés croire qu’une modification d’un nucléotide est le moteur de l’évolution, car cette seule mutation améliore considérablement le taux de survie. Si l’une de ces femmes avait des cornes, des ailes ou une queue, ses chances de survie ne changeraient toujours pas de manière significative, et cela nécessiterait des centaines, voire des milliers de mutations. Étant donné que de grandes variations de toutes natures persistent dans les espèces, l’idée que de minuscules différences puissent être le moteur de l’évolution n’a aucun sens. Les gens gros survivent. Les gens paresseux survivent. Les gens stupides survivent. La survie du plus apte comme moteur de l’évolution est une fiction.

Et si je vous demandais laquelle de ces quatre femmes est susceptible de
mettre au monde le plus d’enfants, vous prendriez conscience que non
seulement vous n’avez aucun moyen de le savoir, mais l’évidence selon
laquelle mettre des enfants au monde n’a même pas de rapport avec le «
fitness darwinien », [en tant que valeur sélective ou adaptative, ou
succès reproducteur – NdT] vous sauterait aux yeux. La femme décide le
plus souvent du nombre d’enfants qu’elle veut avoir. Et contrairement à
la prétendue norme du darwinisme, pas une seule d’entre elles n’aura
autant d’enfants qu’elle peut en concevoir.

Et n’oublions pas que pour parler de la « survie du plus apte », il faut
ignorer ce que le darwinisme considère comme le « fitness darwinien »,
puisque cette valeur est fonction du nombre de descendants engendrés.
Selon les évolutionnistes, les plus aptes survivent, et les plus aptes
sont ceux qui survivent. Donc en gros, ils disent que ceux qui survivent
sont ceux qui survivent. Et ce n’est pas l’unique pléonasme de la «
science » de l’évolution. Alors oui, la théorie de l’évolution ne
dépasse pas le niveau intellectuel d’un enfant de quatre ans — y compris
les crises de colère quand les autres ne sont pas d’accord.

La sélection naturelle ne peut rien créer

Les évolutionnistes ont élevé la sélection naturelle au rang de
divinité. Ils acceptent parfois — mais pas toujours — de considérer les
mutations comme non seulement peu susceptibles de créer quoique ce soit —
puisqu’elles sont aléatoires — mais de plus dotées d’une franche
tendance à la destruction, reléguant ainsi les pouvoirs créateurs à la
sélection naturelle. Mais — surprise ! — il s’agit d’un sophisme
résultant du besoin désespéré d’invoquer des pouvoirs créateurs issus de
quelque part — ou plutôt, de nulle part.

Puisque la sélection naturelle ne peut agir que sur le résultat des
mutations, il est peu probable de construire quoique ce soit avec une
matière première de piètre qualité. Si les entrées d’un système sont
mauvaises, les sorties le sont forcément aussi [GIGO
– NdT]. Quand l’apport consiste en un parasitage aléatoire, le résultat
ne peut pas être une œuvre d’art. Pour reprendre l’exemple du cube
magique dans l’illustration présentée plus haut, les mutations génèrent
le brouillage, la sélection naturelle préserve les « bons brouillages » —
tant est qu’une telle chose existe — et la proximité d’un état de
résolution est corrélée à de meilleures chances de survie. Les
évolutionnistes sont convaincus que les mutations aléatoires parviennent
à résoudre le casse-tête de façon graduelle et que la sélection
préserve de façon tout aussi graduelle chacune des meilleures étapes. En
réalité, jamais les mutations aléatoires ne le résoudront et la
sélection naturelle peut se contenter d’observer impuissante l’inertie
de la chose. L’idée selon laquelle des protéines seraient créées
accidentellement par des mutations aléatoires revient à vouloir résoudre
par une rotation aléatoire le casse-tête de niveau très difficile d’un
cube 13x13x13. Ce n’est possible que dans des romans fictionnels comme L’horloger aveugle.

Résoudre un cube magique s’avère en fait un bon exemple de l’idée naïve
de « sélection cumulative » — et laissons de côté le fait que ce terme
soit totalement dénué de sens. Structure complexe dont
l’état souhaité nécessite que de nombreuses pièces soient dans une
configuration spécifique les unes par rapport aux autres, le cube requiert pour être résolu que certaines parties déjà solutionnées soient décomposées afin de résoudre d’autres parties
— comme vous le dira toute personne capable de le faire. Les systèmes
complexes fonctionnent ainsi. La complexité n’est pas constituée d’une
accumulation aléatoire de petites étapes ; elle est le résultat d’une
accumulation coordonnée d’étapes ; elle nécessite une planification.

rubix 3 sided
© Sott.net

Lorsque je résous la dernière phase d’un 3x3x3, je me retrouve généralement avec trois bords qui doivent être inversés comme dernière phase du processus — illustration ci-dessus. Selon l’algorithme et le comptage des rotations, 7 à 11 étapes rotatoires sont pour cela nécessaires. Arrivé au milieu de cet algorithme, environ la moitié du cube semble mélangée, même si j’avais déjà 51 des 54 petits carrés au bon endroit. Aucune solution étape par étape n’existe pour résoudre le cube en améliorant une case à la fois. Mais c’est la seule façon pour que la sélection naturelle puisse jouer un rôle dans un tel processus. Une fois que j’aurai lancé l’algorithme qui résoudra le cube, tout ce que verra la sélection naturelle n’est qu’un cube encore plus mélangé. La complexité est par définition plus qu’une simple accumulation de petites étapes à la fois. Là encore, elle nécessite une coordination et une planification. Et les créatures vivantes sont de loin les choses les plus complexes que nous connaissions.

Le processus de résolution du cube est similaire à l’évolution
darwinienne. Chaque tour est une mutation, et l’ordre augmente dans le
processus. Mais il est facile de noter que les mutations aléatoires — tours aléatoires — ne conduisent jamais à la résolution du cube — vous pouvez essayer —, et
non seulement la sélection naturelle ne serait d’aucune aide, mais elle
entraverait de plus la résolution du cube de façon active, parce que la
progression exige de multiples étapes coordonnées
. Et aucune
preuve ne démontre que cela soit différent pour les organismes vivants.
Il est irréaliste de penser que les mutations produisent parfois quelque
chose de nouveau, d’étonnant et de complexe. Comme je l’ai écrit ailleurs,
les probabilités de produire de nouveaux gènes par des mutations
aléatoires sont pratiquement inexistantes. Et les probabilités qu’un
gène fonctionnel soit amélioré par une modification sont également
extrêmement faibles. Cela se produit généralement lorsque les conditions
externes sont modifiées et que l’organisme doit s’y adapter. Ce qui
signifie en outre que la fonction originelle sous son ancienne forme
n’est plus optimale. La modification du gène en faveur d’un
fonctionnement plus adapté aux nouvelles conditions devient donc
plausible, puisqu’une marge de progression est désormais possible.
Toutefois, les mutations sont très simples et peu nombreuses et rien de
nouveau n’est créé au niveau génétique, et, sauf preuve du contraire,
ces mutations ne surviennent que dans de très petits organismes —
généralement unicellulaires.

Même avec l’apparition concrète d’un petit avantage, la sélection
naturelle dispose d’une très faible aptitude à « favoriser » cette
nouvelle modification. La mutation ne peut être avantagée qu’en
éliminant les non-mutants, mais les conditions externes doivent
radicalement changer pour que cela se produise — comme un nouveau
médicament qui éradique certaines bactéries. Sinon, pourquoi ayant
jusqu’alors survécu l’organisme d’origine devrait-il soudainement
disparaître ? Ce n’est pas parce qu’un organisme légèrement amélioré
émerge que l’organisme d’origine disparaît. La sélection
naturelle n’est pas une force agissante capable de faire avancer quoi
que ce soit. Ce n’est pas une force du tout. Ce n’est qu’un énoncé
posthume qui dit : « Cet organisme est mort avant de pouvoir se
reproduire et n’a donc pas transmis ses gènes »
.

Si la sélection s’effectuait sur les meilleures variantes en écartant
les pires, le déclin de la diversité serait la norme. Tout devrait
converger vers la variante la plus efficace. Mais ce n’est pas ce que
nous observons. À l’inverse, nous observons de nombreuses variantes, et
si certaines modifications sont « plus avantageuses », nous ne pouvons
que constater la rémanence de celles qui le sont moins. La sélection
naturelle ne fait donc pas vraiment de distinction, et le terme «
maladie génétique » n’existerait pas si c’était le cas.

Si la taille et la force du spécimen le plus balèze d’un groupe de
gorilles prévalaient, tous les individus deviendraient bientôt tous
grands et forts. Et s’ils étaient globalement considérés comme des
atouts, la taille et la force des nouvelles générations devraient —
selon les principes de l’évolution — continuer de croître. Pourquoi y
aurait-il une limite ? C’est pourtant le cas, puisque non seulement
aucun nouveau gène n’est produit, mais et en dépit de leurs avantages,
les atouts atteignent rapidement un seuil infranchissable.

Comme je l’ai mentionné dans l’article précédent, les éleveurs de bétail
connaissent bien ces limites et on y observe en fait un phénomène
décrit comme le « retour à la moyenne ». Non seulement l’amélioration
d’un atout particulier est limité après une certaine période, mais il a
tendance à revenir à des valeurs moyennes une fois que la nature a
repris ses droits. Ce processus va si loin qu’un croisement de mutants
aveugles finit par produire des individus dotés du sens de la vue, alors
que ce dernier aurait dû être éliminé — et cet aspect déconcerte et
embarrasse tellement les darwinistes que vous ne les entendrez
probablement pas l’évoquer. Par conséquent, quand bien même l’effort
humain tente de faire « avancer » l’évolution, la Nature a tendance à
ramener les choses à leur conception initiale, contrairement à la
croyance évolutionniste.

La sélection naturelle ne peut rien créer. Elle ne peut même pas laisser
une caractéristique franchir un certain seuil qui d’une certaine
manière semble inhérent à l’organisme. Son pouvoir se limite à «
éliminer les faibles », et encore, ce processus ne fonctionne même pas
chez de nombreuses espèces. A minima, la sélection naturelle tend plutôt à entraver le changement qu’à le favoriser.

« Si c’est possible a minima et que l’on dispose d’assez de temps, alors tout est possible »

Si l’on peut créditer la théorie de l’évolution d’une qualité, c’est sa
persistance à s’accrocher à des idées irrationnelles qui seraient illico
rejetées dans tout autre domaine. Les darwinistes confondent sans cesse
ce que font les mutations et l’idée qu’ils ont de ce que les mutations
peuvent faire — mais qu’elles ne peuvent pas. L’incapacité de la plupart
des évolutionnistes à comprendre la différence entre micro-évolution et
macro-évolution est ahurissante. Tout comme l’idée qu’avec suffisamment
de temps, on peut extrapoler à l’infini.

Ce que peut devenir un organisme par le biais des mutations est
sérieusement limité. Un cheval peut « évoluer » en allongeant un peu ses
jambes, mais jamais de dix mètres de long, même en dépit d’une
éventuelle utilité. Comme je l’ai dit, les choses ont tendance à revenir
naturellement à une taille inhérente à l’espèce. Et même si un cheval
pouvait muter pour être plus grand ou plus petit, avoir des jambes plus
longues, des sabots plus durs, une crinière plus longue ou des dents
plus grosses, il ne lui poussera jamais des ailes. Le cheval ne dispose
tout simplement pas du matériel génétique requis, et il est impossible de créer du matériel génétique accidentellement.

Le manque de réalisme des concepts avancés par les évolutionnistes est
saisissant. Nous savons tous qu’on peut construire un château de sable
en jouant sur la plage. Mais nous savons tous aussi qu’on ne pourra pas y
construire un chêne de dix mètres de haut, ni reproduire la complexité
de ses branches et de son feuillage. Les lois de la physique et les
propriétés du sable nous en empêchent. Si nous pouvons tous comprendre
les limites de création du sable, pourquoi certaines personnes ne
peuvent-elles pas le faire pour l’évolution, et pourquoi
s’obstinent-elles à dire que tout peut évoluer à partir de rien, alors
qu’elles sont incapables d’expliquer comment ?

Les évolutionnistes s’imaginent que les chevaux pourraient devenir
ailés. Après tout, ils croient aussi que certains dinosaures seraient
devenus des oiseaux sous l’impulsion évolutive. Mais les chevaux ne sont
pas faits de pâte à modeler. Ce n’est pas parce qu’un Richard Dawkins
prétend qu’ils le peuvent, que les chevaux vont déployer des ailes
chimériques. L’idée selon laquelle des ailes peuvent surgir d’un simple
modelage progressif de la peau du dos est complètement farfelue. Les
ailes requièrent toute une panoplie de tissus variés qui exigent des
gènes très spécifiques. Et puis les mutations se produisent au
niveau des nucléotides, pas en modifiant la forme de la structure
extérieure. Il est temps que les évolutionnistes cessent d’ignorer le
mécanisme de la biologie
.

L’autre problème posé par l’argument « avec assez de temps » est le
manque de temps tout court, puisque tout le temps du monde ne suffirait
pas à créer une seule protéine par hasard. Il est temps que les
évolutionnistes apprennent à comprendre les chiffres.

Extrapoler la macro-évolution à partir de la micro-évolution
revient à dire qu’avec assez de temps, vous pourrez manger une planète
entière parce que vous pouvez manger une pomme ; c’est impossible pour
un million de raisons. Le possible a des limites et les vœux pieux ne
feront pas de miracle. Un tel défaut de raisonnement constitue pourtant
la marque de fabrique du darwinisme
.

« Consensus scientifique », mon œil !

Si une personne tente de vous convaincre qu’une théorie scientifique est
avérée parce qu’il existe un « consensus scientifique » ou que « tous
les hommes de science en conviennent », vous pouvez être sûr que cette
personne est aux abois. L’usage de cet argument intervient lorsque la
recherche de preuves a échoué — par manque de preuves convaincantes — ou
qu’il est impossible de les fournir — parce qu’elles n’existent pas. En
dernier recours, on utilise donc l’argument du « consensus scientifique
». Il ne s’agit pourtant pas d’un argument mais juste d’une référence à
l’autorité. C’est un peu comme dire : « Si tu n’es pas d’accord avec
moi, je vais appeler mon père, il t’en collera une, et tu verras ! ».
C’est un comportement enfantin qui consiste à se cacher derrière
l’autorité, réelle ou imaginaire, et à éviter le vrai problème.

Tout au long de l’histoire, des consensus scientifiques se sont formés
autour de nombreuses affirmations qui ont par la suite été réfutées, ce
qui donne peu de valeur au-dit consensus. Non seulement le « consensus scientifique » sur le darwinisme n’est pas un argument utile, mais il n’existe même pas. Il suffit de consulter le site disentfromdarwin.org
[Dissidence scientifique sur le darwinisme – NdT] pour s’en rendre
compte. De nombreux scientifiques, en particulier des biologistes,
observent toutes sortes de problèmes inhérents au darwinisme et à
l’évolution. Prétendre qu’un consensus sur une théorie existe entre les
scientifiques est particulièrement pathétique surtout si mille d’entre
eux sont en désaccord avec. Une telle prétention témoigne d’une nette
déconnexion avec la réalité. Et plus une théorie doit être présentée au
public de manière agressive et trompeuse, moins ses fondements sont
solides. Invoquer le « consensus scientifique » est une tentative
désespérée visant à nous laver le cerveau.

« L’évolution est un fait »

Est-ce le cas ? Sur quelle base ? Celle de l’autorité religieuse de Darwin ?

Rappelons les faits :

  • Les informations requises pour l’évolution sont très spécifiques.
    Les mutations sont aléatoires. L’aléatoire ne produit pas de
    spécificité.
  • Les mutations ont pour la plupart peu ou pas d’impact sur la survie mais dégradent le code génétique.
  • La sélection naturelle est impuissante à éliminer les non-mutants dans la majorité des cas.
  • La complexité ne peut pas résulter de mutations ponctuelles — même non aléatoires — ni de la sélection.
  • La création de nouvelles protéines de façon aléatoire est pratiquement impossible. L’évolution en exige des millions.
  • Les étapes infiniment petites sont impossibles en raison de la nécessité de nouveaux gènes, c’est-à-dire de grandes étapes.
  • Les nouveaux gènes nécessitent des régions de contrôle spécifiques, ce qui exige une coordination.
  • Les mutations dommageables l’emportent sur les mutations bénéfiques dans une proportion de mille contre un.
  • Les archives fossiles ne soutiennent pas du tout le modèle darwiniste.
  • Les
    vertèbres se forment chez les poissons depuis différents composants
    embryonnaires que ceux des mammifères, réfutant ainsi une ascendance
    commune — parmi de nombreux autres exemples.
  • Les observations et les expériences n’ont révélé que des gènes brisés et une adaptation très rudimentaire.
  • Les mutations induites par les radiations n’entraînent aucune amélioration, seulement des dommages.
  • La
    similarité de la structure n’est pas une preuve d’évolution. BMW et VW
    n’ont pas non plus muté de manière aléatoire à partir d’un ancêtre
    commun.
  • L’idée qu’avec le temps, tout est possible est une erreur.
  • Il n’y a aucune preuve qu’un type d’animal/plante ait jamais évolué en un autre.

Comment l’évolution peut-elle être un « fait » si tant
d’éléments révèlent sa haute improbabilité, voire sa totale
impossibilité ? Les faits ne sont pas le fruit de revendications
dogmatiques. Les faits exigent des preuves. Personne n’a jamais démontré
de quelque façon que ce soit que la macro-évolution est possible, et
encore moins qu’elle est vraie
.

L’évolution a-t-elle une raison d’être, ou pas ?

La façon dont le darwinisme aborde la raison d’être de l’évolution
constitue une de ses plus grandes bizarreries. Même si Richard Dawkins
affirme dans ses livres que les gènes n’ont ni raison d’être, ni
intention, ni but, le reste de ce qu’il écrit laisse de toute évidence
supposer le contraire. Et rien dans ses livres n’a de sens si nous
devons vraiment accepter que les gènes n’ont ni raison d’être, ni
intention, ni but. Selon lui, les gènes manipulent les organismes pour
leurs propres bénéfices, et les humains ou toute autre créature ne sont
que des outils permettant à l’ADN de fabriquer plus d’ADN, etc. Mais la
manipulation et l’utilisation d’outils nécessitent pourtant des
intentions et des finalités, et il n’y a aucun moyen de sortir de ce
paradoxe. Dawkins nous explique — sans jamais préciser sa véritable
pensée — qu’il ne veut pas dire que les gènes sont littéralement
égoïstes, tandis que tous ses écrits nous donne par ailleurs
l’impression que les gènes sont vraiment égoïstes au sens habituel du
terme.

Et bien sûr, il ne s’agit pas seulement de Dawkins ; c’était déjà le cas
avec Darwin. L’une des idées-forces de l’évolution par sélection
naturelle c’est que tout est accidentel et sans dessein, quand bien même
toute explication darwinienne des faits biologiques trahit cette idée.
C’est le constat fait par David Stove, dans son livre Darwinian Fairytales
[Les contes de fées darwiniens – ouvrage non traduit en français –
NdT]. En examinant la question sous tous les angles possibles, l’auteur —
avec une méticulosité douloureuse — démontre les incohérences, les
inconsistances et les contradictions qui caractérisent les idées
fondamentales de Darwin, en soulignant le fait que nul n’a même essayé
d’expliquer ces incongruités manifestes. Il observe également que si
nombreux sont ceux qui se réfèrent aux « gènes égoïstes », aux « gènes
manipulateurs » ou à une adaptation dans un but précis, puis affirment
ou sous-entendent « Bon, nous ne le pensons pas vraiment au sens
littéral », personne ne précise ce qu’ils entendent tous par là.

Cela pose un sérieux problème pour la théorie, parce qu’à y réfléchir un
peu plus, on ne peut s’empêcher de se demander : « Mais alors, que
veulent-ils vraiment dire ? ». Aucune réponse satisfaisante ne semble
exister. Si les adaptations ont une finalité et si les gènes nous
manipulent dans un dessein égoïste — le tout au sens intelligible des
termes — alors les gènes sont apparemment des êtres invisibles
tout-puissants étrangement semblables aux dieux, et le darwinisme est
fondamentalement une religion qui attribue à ces êtres invisibles tout
le sens de la vie. En revanche, si ce n’est pas le cas et que l’ADN
n’est qu’une molécule inerte qui ne peut rien faire à personne, alors
aucune explication darwinienne n’a de sens. Les darwinistes évoquent
l’intelligence lorsqu’ils parlent d’adaptations ingénieuses, avant de le
nier avec véhémence dans le même souffle. S’ils ne pensent pas ce
qu’ils disent, que veulent-ils dire ? En fait, personne ne le sait.

Le résultat de tout ceci est assez tragique. Voici ce que nous observons
dans l’« enseignement » de l’évolution dispensé au public :

  • on lui dit qu’aucun dessein quel qu’il soit n’existe ;
  • on lui donne d’abondantes explications qui fourmillent de desseins ;
  • on
    lui fait subir un lavage de cerveau l’inclinant à penser que les deux
    sont simultanément vrais sans qu’aucune contradiction n’existe.

Cet « enseignement » rend le public littéralement idiot. Toute
personne capable d’assimiler l’évolution darwinienne sans ressentir de
fortes dissonances cognitives souffre déjà d’une défaillance dans la
structuration de sa pensée
.

Quand bien même — et comme certains se plaisent souvent à le dire — les organismes ne sont animés que
par la survie et la reproduction, cette impulsion indique bien un
dessein, une finalité, un sens. Mais d’où vient-elle, puisque ce sont
les mêmes qui insistent sur la stupidité des gènes auxquels les
organismes eux-mêmes se soumettraient ? La quadrature du cercle se
renforce, car comment peut-on être esclave de ce qui n’a ni
intelligence, ni dessein, et relève de l’aléatoire ?

Si nous devons prendre au sérieux à la fois l’idée que les gènes
sont vraiment des agents inconscients sans intelligence ni dessein, et
le caractère complètement accidentel et sans but de toute adaptation,
alors ni la lutte pour la vie, ni la manipulation par les gènes, ni
l’égoïsme, ni la nécessité de survivre ou de se reproduire de quelque
manière que ce soit ne peuvent exister. Pas plus qu’il ne peut exister
de raison à la reproduction des gènes, et encore moins une nécessité impérieuse qu’ils le fassent. Bien que toute la littérature évolutionniste laisse entendre que c’est le cas, un gène ne tire aucun avantage à s’auto-répliquer.
Ce sophisme est si répandu que la plupart l’acceptent sans réfléchir,
même si c’est royalement absurde. Si la réplication était « bonne » ou «
mauvaise » du point de vue du gène, ce dernier serait alors
implicitement en mesure d’en reconnaître la valeur, ce dont il est
incapable, et les darwiniens eux-mêmes en conviennent. Un gène n’a pas
plus d’impératif à se reproduire que n’en a une calculatrice à vous
donner le bon résultat quand vous tapez 6+6=. Dans les deux cas, ce sont
juste des programmations qui, par définition, n’attachent pas et ne
peuvent attacher une quelconque importance au résultat.

Mais si c’est le cas, alors toute la littérature de Richard Dawkins — et
presque toute la littérature darwinienne — n’est qu’un ramassis
d’inepties qui sont non seulement intrinsèquement stupides, mais sont
surtout incohérentes avec l’affirmation darwinienne selon laquelle les
gènes n’ont ni raison d’être, ni intention, ni but. Avec une fierté et
un sentiment d’accomplissement considérables, les darwinistes ont exclu
de l’équation la Conscience et l’intelligence sans jamais vraiment
réaliser qu’ils ne disposaient dès lors plus d’aucun moyen d’expliquer
la raison d’être des gènes. Il est pourtant clair qu’ils ont par
ailleurs le sentiment d’observer une raison d’être à tout ce qui nous
entoure. C’est ainsi que les darwinistes ont — pendant 160 ans — assumé
deux croyances contradictoires et prétendu avoir élucidé tous les
mystères de l’Univers. Les gènes sont égoïstes, sauf que dénués de
raison d’être, ils ne le sont pas. Les gènes nous manipulent, sauf que
dénué d’intelligence, ils en sont incapables. Les gènes sont uniquement
préoccupés par leur auto-reproduction, sauf que dénué d’une capacité
d’intention, ils ne s’auto-reproduisent pas. Les gènes luttent contre
d’autres gènes ou allèles, sauf que dénué de toute Conscience, ils ne le
font pas. Et ainsi de suite, ad absurdum.

Que nous révèle ces observations sur les personnes qui ont fait des
études et ont accepté l’évolution par sélection naturelle comme
factuelle, sans s’être préoccupées des contradictions omniprésentes ni
même de les avoir remarquées ? Cela ne témoigne guère d’une grande
aptitude au raisonnement. En réalité, la plupart d’entre eux n’y ont
bien sûr pas vraiment réfléchi. Et ce ne serait pas bien grave s’ils ne
tenaient pour vrai toutes ces absurdités en méprisant ceux qui n’y
croient pas. Leur conviction est très disproportionnée en regard de
leurs connaissances réelles. Les évolutionnistes constituent l’un des
principaux groupes qui accusent les chrétiens de ne pas être capables de
résoudre exactement ces problèmes. Quelle ironie quand la littérature
évolutionniste est tourmentée par les mêmes écueils que la Bible —
d’interminables contradictions, la croyance en des êtres invisibles qui
nous manipulent tous, et une tonne d’absurdités illogiques.

Les propres prémisses du darwinisme — selon lesquels rien n’a
d’objectif à atteindre — rendent impossible l’idée largement répandue
qui considère la survie et la reproduction comme les « finalités » de la
vie. En fait, si nous devions prendre les principes matérialistes
darwiniens au pied de la lettre, nous ne trouverions presque rien du
tout qui puisse être la « vie » en tant que telle. La vie darwinienne,
c’est la fin de la vie
. L’ADN n’est pas vivant. La Conscience
n’est prétendument qu’un effet secondaire de certaines mutations
aléatoires. Puisque nul Conscience intrinsèquement libre de poursuivre
ses propres objectifs n’existe, aucune finalité, y compris la survie, ne
peut exister. Selon le darwinisme, un grand nombre d’organismes vivants
— voire la plupart — ne possèdent en fait aucune Conscience de quelque
nature soit-elle, quand bien même on nous dit que leur finalité consiste
à se reproduire. Mais alors, quelle partie de ces êtres poursuit cet
objectif ? La contradiction imprègne tellement le darwinisme qu’être
capable d’avaler toutes ces absurdités sans les vomir ou de les lire
sans se retrouver avec un sérieux mal de tête est vraiment
impressionnant.

L’entière narration de l’évolution ne fonctionne que par la
personnification des gènes, et pourtant on nous assure que les gènes ne
possèdent ni Conscience ni aucune raison d’être. On dirait la religion
d’un dieu mort. Le dieu est mort, mais il nous pousse malgré tout à agir
selon ses désirs, et même s’il n’en a pas… il le fait quand même.
Sans le vouloir. Mais il faut quand même lui obéir. Même s’il est mort.
Parce que nous n’avons pas le choix. C’est bizarre mais c’est comme ça.
Ben oui. C’est vrai. Nous ne faisons que servir Celui qui n’existe pas.
Et nous ferions mieux de vite proliférer si nous ne voulons pas que son
esprit qui n’existe pas se fâche contre nous. Je sais, faire partie de
cette secte n’est pas facile, mais essayez de suivre, s’il vous plaît.

Les implications

Quelles sont les implications à tout cela ? Pensez-y… Toutes les
créatures vivantes, y compris chacun d’entre nous et les autres êtres
humains constituent une composante majeure de nos vies. Mais que
savons-nous vraiment d’eux et de leurs origines ? Depuis l’enfance, on
nous abreuve d’une imposture sophistiquée comprenant de nombreuses
données que l’on sait fausses (voir le livre de Jonathan Wells La science zombie),
et considérées comme tel y compris par les darwinistes eux-mêmes.
L’idée que la matière seule existe, que tout est mécanique et aléatoire,
que toute vie est un accident, que notre esprit n’est qu’une illusion
et que rien n’a de sens constituent la vision globale du monde qui
accompagne cette imposture. Nous sommes conditionnés à voir le monde
selon cette perspective. Est-ce important ? C’est à chacun d’en décider,
mais il convient d’examiner où nous mène cette influence.

Guide du darwiniste cohérent

Si vous croyez que les darwinistes ont raison et que l’évolution par
sélection naturelle est réelle, je vous propose de découvrir comment
cette croyance vous définit en tant qu’individu. Si vous n’êtes pas
d’accord, c’est que vous n’y croyez pas vraiment ou que vous vous
trompez sur toute la ligne. Croire en l’évolution nécessite d’être
cohérent. Vous ne pouvez pas prétendre y croire et agir comme si ce
n’était pas le cas. Voici donc à quoi ressemble le néo-darwinisme quand
on n’y renonce pas à chaque obstacle.

Vous n’êtes qu’un sac de viande et d’os, constitué de molécules et
d’atomes inconscients qui de façon complètement accidentelle ont pendant
des milliards d’années abouti à la forme que vous avez actuellement.
Votre ancêtre est une bactérie unicellulaire. Vous n’êtes que le
résultat d’une longue série d’erreurs dans le processus de réplication
de l’ADN de cette bactérie. Votre esprit pensant est une illusion. Votre
perception n’est que le résultat de l’activation de vos neurones,
eux-mêmes dirigés par vos gènes. Vos gènes sont des chaînes de molécules
composées de carbone, d’oxygène, d’hydrogène, d’azote et de phosphore
dont le QI total est égal à zéro. Pourtant, ils « décident » de tout ce
que vous faites. En réalité, vous ne faites aucun choix. Vous n’avez pas
de libre arbitre, car la volonté n’existe pas. C’est une illusion. À ce
stade, vous ne pouvez rien faire de plus que ce que vous faites, et ce
que vous faites est déterminé par vos gènes et votre environnement.

Vos gènes n’ont peut-être pas de raison d’être, mais cela ne les empêche
pas de vous manipuler toute votre vie — et cette contradiction ne vous
dérange pas du tout, car vos gènes vous ont manipulé pour que vous n’y
pensiez même pas. Vous êtes esclave de votre ADN, et votre finalité est
d’en fabriquer davantage. Vous êtes vraiment une piètre créature parce
que tout ce que vous faites est contrôlé par quelque chose qui n’a
aucune conscience de vous — ou de quoi que ce soit d’autre.

Votre femme/mari/enfant est aussi un sac de viande sans véritable
esprit, sans intelligence et sans libre arbitre, et son existence n’a
aucun sens. Votre relation est déterminée par des hormones et par
l’activation de vos neurones, eux-mêmes dirigés par des gènes « égoïstes
». Ce n’est pas à vous de décider comment votre vie va se dérouler.
Vous n’êtes pas aux commandes. Vous n’êtes qu’un spectateur, qui observe
ce que vos gènes vous font faire, et vous croyez probablement à tort
que vous faites réellement vos propres choix. Ce n’est pas le cas. Pas
si l’évolution darwinienne est vraie. Vous n’avez aucun contrôle ni sur
votre vie ni sur votre existence. Et avant toute chose, la notion de «
vous » n’existe pratiquement pas.

Les personnes dévotes ne sont pas stupides. Les criminels ne
sont pas « mauvais ». De telles choses n’existent pas. Tout n’est que
stratégie de survie et adaptation à l’environnement sous la gouvernance
des gènes. Si une personne survit et se reproduit, c’est la preuve d’une
bonne adaptation à son environnement. Si elle survit en assassinant et
se reproduit en violant, tout va bien parce que la survie prime sur tout
le reste et que seuls ses gènes lui imposent ce comportement. Elle n’a
pas le choix, pas plus que vous ne l’avez. La moralité n’existe pas
puisque le contexte de l’évolution par sélection naturelle n’offre
aucune place pour un tel concept. Le viol et le meurtre ne sont pas des «
mauvais comportements », sauf dans vos fantasmes. Ce sont des
stratégies de survie, et si elles fonctionnent, c’est qu’elles sont les «
meilleures » possibles. On ne peut pas se soustraire à ces inévitables
conclusions.

Croire en l’évolution néodarwinienne par sélection naturelle suppose
d’accepter sans doute aucun que la vie a surgi lorsque des atomes se
sont accidentellement heurtés les uns les autres dans un ordre
aléatoirement spécifique — un oxymore s’il en est un. C’est croire au
remplacement fortuit de l’adénine par la cytosine ou la thymine ayant
permis à un poisson de se transformer en ours. C’est croire en
l’existence de preuves d’un ancêtre commun à toutes les créatures, même
s’il n’y en a pas. Et pourtant, pas une seule de vos croyances ne
résulte de votre pensée puisqu’elles sont toutes insufflées par vos
gènes — même si personne ne sait pourquoi ou comment. La confusion règne
quant à savoir pourquoi l’évolution pousse certaines personnes à croire
en Dieu et d’autres à être athées. Mais vos croyances importent peu,
survivre est tout ce qui compte. Après tout, la vérité n’a aucune
valeur. Si vous survivez grâce au mensonge, vous avez clairement
fait le bon choix. Si vous mourez pour la vérité, vous êtes un échec de
l’évolution
.

Jours après jours, vous vous levez et allez travailler parce que vos
gènes vous pousse à le faire. Ce n’est pas par amour que vous embrassez
votre conjoint, (l’amour n’existe pas — ce n’est qu’une illusion), vous
le faites, à l’instar de tout le reste, parce que c’est la stratégie de
survie de vos gènes. Survivre est la seule chose qui compte. Si le
nombre d’enfants de votre voisin(e) est supérieur au vôtre, le principe
de l’évolution en fait un spécimen plus performant que vous. Si vous
consacrez votre temps aux études ou au bénévolat, les gènes de votre
ami(e) qui se consacre au sexe et à la procréation sont meilleurs que
les vôtres qui sont merdiques, puisque la qualité des gènes se mesure au
nombre de descendants. Votre ami(e) assure l’avenir de l’humanité. Vous
êtes une aberration.

Vous serez soumis à tout ce que vos gènes vous imposeront pour le
restant de votre insignifiante existence. Vous avez lu cet article parce
que vos gènes vous ont poussé à le faire. Si vous laissez un
commentaire en désaccord avec l’article, ce sont vos gènes qui vous ont
poussé à le faire. Si la rédaction de votre commentaire ne produit pas
de descendance, il ne sert à rien du tout. Toute autre action est sans
valeur si aucune descendance n’en résulte. Quel est l’intérêt de
survivre et de se reproduire si tout le reste est insignifiant ? Je n’en
sais rien. Demandez à vos gènes.

Si vous croyez en l’évolution par mutations aléatoires et sélection
naturelle, il ne fait alors aucun doute que cette vision de la vie, de
l’Univers et de tout le reste est aussi la vôtre. Si elle ne l’est pas,
c’est que vous adaptez vos croyances au gré des obstacles mis en
lumière, ce qui fait de vous un hypocrite.

L’article original a été publié le 15 janvier 2020




Les micropuces de Bill Gates

[Source : Pleins Feux Sur l’Heure Juste]

Le co-fondateur de Microsoft, Bill Gates, lancera des capsules implantables chez l’homme qui ont des « certificats numériques » qui peuvent montrer qui a été testé pour le coronavirus et qui a été vacciné contre lui.

Le magnat de la technologie de 64 ans,
et actuellement la deuxième personne la plus riche du monde, l’a révélé
hier lors d’une session Reddit « Ask Me Anything » tout en répondant aux questions sur la pandémie de coronavirus COVID-19.

Gates répondait à une question sur la
façon dont les entreprises pourront fonctionner tout en maintenant la
distance sociale, et a déclaré: “Finalement,
nous aurons des certificats numériques pour montrer qui a récupéré ou
qui a été testé récemment ou quand nous avons un vaccin qui l’a reçu…”

Les « certificats numériques » auxquels Gates faisait référence sont des « TATOUAGES QUANTUM-DO » implantables par l’homme sur lesquels les chercheurs du MIT et de l’Université Rice
travaillent comme moyen de tenir des registres de vaccination. C’était
l’année dernière en décembre lorsque des scientifiques des deux
universités ont révélé qu’ils travaillaient sur ces tatouages
à points quantiques après que Bill Gates les ait approchés pour
résoudre le problème de l’identification de ceux qui n’avaient pas été
vaccinés.

Les tatouages à points quantiques impliquent l’application de micro-aiguilles solubles à base de sucre qui contiennent un vaccin et des « points quantiques »
à base de cuivre fluorescent intégrés dans des capsules biocompatibles à
l’échelle du micron. Après la dissolution des micro aiguilles dessous
la peau, ils quittent les points quantiques encapsulés dont les motifs
peuvent être lus pour identifier le vaccin qui a été administré.

Les tatouages à points quantiques seront
probablement complétés par une autre entreprise de Bill Gates appelée
ID2020, qui est un projet ambitieux de Microsoft pour résoudre le
problème de plus d’un milliard de personnes qui vivent sans identité
officiellement reconnue. ID2020 résout ce problème grâce à l’identité
numérique. Actuellement, le moyen le plus réalisable de mise en œuvre de
l’identité numérique consiste à utiliser des smartphones ou des implants de puces RFID
. Ce dernier sera l’approche probable de Gates non seulement en raison
de la faisabilité et de la durabilité, mais aussi parce que depuis plus
de 6 ans, la Fondation Gates finance
un autre projet qui intègre des implants de micropuces implantables par
l’homme. Ce projet, également mené par le MIT, est un implant de micropuce de contrôle des naissances qui permettra aux femmes de contrôler les hormones contraceptives dans leur corps.

Quant à ID2020, pour le concrétiser, Microsoft a formé une alliance avec
quatre autres sociétés, à savoir; Accenture, IDEO, Gavi et la Fondation
Rockefeller. Le projet est soutenu par les Nations Unies et a été
intégré à l’initiative des Nations Unies pour les objectifs de développement durable.

Sommet ID2020 de 2016 à l’ONU.

Il sera intéressant de voir comment Bill
Gates et ID2020 exécuteront tout cela, car de nombreux chrétiens, et
étonnamment un nombre croissant de musulmans chiites, sont très opposés à
l’idée de la micropuce et de toute forme de technologie
d’identification invasive du corps. Aux États-Unis, certains
législateurs et politiciens chrétiens ont même tenté d’interdire toutes les formes de micropuce humaine.

Mais, d’autre part, c’est l’occasion
idéale pour Bill Gates de mener à bien les projets car, à mesure que le
coronavirus continue de se propager et que de plus en plus de personnes
meurent de la pandémie, le grand public devient plus ouvert aux
technologies de résolution de problèmes qui contiendra la propagation du
virus.

La principale raison pour laquelle de
nombreux chrétiens et certains musulmans chiites sont opposés aux
technologies d’identification invasive du corps, même si ces
technologies sont utiles pour prévenir les pandémies, c’est parce qu’ils
croient que ces technologies sont ce que l’on appelle la «marque de Satan» mentionnée dans la Bible et certains Mahdi prophétiques. Dans le livre des révélations dans la Bible, quiconque n’a pas cette «marque» n’est pas autorisé à acheter ou vendre quoi que ce soit.

Source: Bio Hack Info 




Catastrophes naturelles et pollution mentale

[Source : www.spirit-science.fr (merci à l’auteur)]

[Voir aussi : Terre vivante ?]


La Terre se délivre des énergies mentales de lutte, division, concurrence et pouvoir

[Auteur :] Alain Boudet
Dr en Sciences Physiques

Télécharger l’article
dans sa version de 2007
prête à l’impression
sur Academia

Résumé: Inondations, ouragans, tremblements de terre, éruptions volcaniques, la Terre subit de terribles catastrophes. Sont-elles vraiment des accidents qui surviennent au hasard? Cette hypothèse ne fait que créer ou renforcer la peur en suggérant qu'aucune protection n'est efficace, aucun salut n'est possible. L'hypothèse alternative est que les bouleversements terrestres sont la conséquence logique de causes profondes qui ont été annoncées et explicitées depuis fort longtemps par les peuples de la terre tels que les amérindiens. La cause la plus importante est notre façon de penser en termes d'opposition, concurrence, lutte, conquête et divisions. Dans ce cas, nous pouvons atténuer ou supprimer les phénomènes terrestres et les souffrances humaines consécutives. Il suffit d'adopter un comportement de bienveillance et de compréhension vis-à-vis de la nature et des autres humains en prenant conscience que nous sommes unis. Chacun doit se dégager de ses propres comportements égoïstes, souvent issus de blessures d'enfance, en entreprenant une observation honnête de soi-même.

Contenu de l’article:


La Terre est secouée de violents cataclysmes

Les catastrophes naturelles surviennent de plus en plus fréquemment et sont de plus en plus destructrices. Nous avons été bouleversés par les images terribles que nous ont présentées les chaines de télévision et les journaux, dévoilant les nombreuses victimes et les dégâts matériels considérables: tsunami dans l’océan pacifique (26 décembre 2004), inondations à La Nouvelle Orléans (ouragan Katrina, aout 2005), tremblements de terre au Pakistan (8 octobre 2005) ou à l’Île de Java (2006), tempête en France du 26 décembre 1999, glissements de terrain aux Philippines (17 février 2006), au Mexique, au Vénézuela, etc…

En plus de ces cataclysmes violents qui font la une des journaux, il en est d’autres qui passent inaperçus dans le grand public parce qu’ils sont situés hors des zones d’habitation dense et font beaucoup moins de dégâts: tremblements de terre, inondations, tornades, éruptions volcaniques, etc. Chaque jour, la terre est parcourue de séismes petits ou gros, et balayée par les orages et les vents. Il suffit pour s’en rendre compte de consulter les organismes spécialisés, tels que les Instituts de surveillance ou de recherche (par exemple, pour les séismes, le service universitaire Incorporated Research Institutions for Seismology aux États-Unis ou le Centre Sismologique Euro-Méditerranéen- EMSC). On y constate que de gros séismes (magnitude > 6) se produisent plusieurs fois par semaine!  L’équilibre géologique et climatique de la Terre est fortement malmené.

Le climat se modifie, et il est reconnu que les saisons ne présentent plus leurs caractéristiques habituelles. On assiste à des records climatiques, trop chaud ou trop froid, abondance de pluie ou sécheresse, violence des vents et présence de tornades là où elles n’existaient pas.

Le nombre d’événements catastrophiques est en augmentation constante

Augmentation du nombre de catastrophes naturelles
Statistiques de la Compagnie Suisse d’assurances Swiss Re (Revue Sigma)

Certains prétendent que cette augmentation n’est qu’illusion, effet de l’information rapide et abondante que nous recevons à notre époque de communication technologique. C’est éviter de regarder en face les données accumulées par les études multiples accomplies par des instituts scientifiques et différents organismes.

Certains d’entre eux ont rassemblé une documentation minutieuse. Ainsi, des compagnies d’assurance qui en subissent les conséquences financières directes; des cabinets d’expertises d’évaluation de risques; des services universitaires et des institutions officielles; des mouvements d’aide aux victimes.

En voici quelques-uns, débusqués sur Internet:
Notre planète info
, où l’on peut aussi bien avoir des explications pédagogiques sur les risques naturels que des données statistiques.
CatNat
, un cabinet d’expertise, affiche l’actualité de ces catastrophes naturelles.

Contraindre la Nature, se résigner, ou l’écouter?

L’homme pensait être capable d’imposer sa volonté et ses désirs à la nature. Par sa technologie, il a crû qu’il pouvait considérer la nature comme un réservoir inerte de matières premières, implanter ses constructions et creuser ses mines selon ses caprices. Il ne s’est pas soucié des conséquences de ses choix sur la nature et l’humanité.

L’homme s’est conduit comme un mari violent qui impose à sa femme tous ses désirs, sans tenir compte qu’elle est un être sensible, qu’elle a besoin d’être écoutée et respectée. Et voici que sa femme, la Nature, lui renvoie sa sensibilité, ses lois, sa force.

Que nous éprouvions de la tristesse devant le spectacle de tant de souffrances, de l’insécurité en nous demandant ce que nous réserve l’avenir, ou indifférence, terreur, inquiétude, ces phénomènes soulèvent un questionnement incontournable: quelle est notre place dans la Nature?

Devant ces forces naturelles gigantesques qui nous dépassent, nous nous sentons petits et faibles. Notre destin est-il d’être perdus tels des fétus de paille dans la tempête, ou ballottés comme des bouchons dans l’océan déchainé? N’avons-nous pas d’autre solution que d’assister passivement à ces destructions? Et de nous résigner aux déconvenues et aux malheurs en croyant que nous n’y pouvons rien?Au-delà de la peur et de la résignation, y a-t-il une autre attitude possible?
OUI ! Mais pour l’envisager, il faut comprendre que les catastrophes n’arrivent pas comme une fatalité implacable. Elles sont liées à la façon dont nous envisageons notre rapport avec la Nature.
Cela nous donne la possibilité d’agir pour construire un monde de paix et d’harmonie avec la Nature. C’est ce que je vais montrer.

Le réchauffement global

Parallèlement à ces excès climatiques, on constate une fonte ultrarapide des calottes glaciaires, et un recul des glaciers. Cela entraine une élévation du niveau de la mer qui risque de submerger des côtes très peuplées dans différents pays.

Tempête en France, 26 décembre 1999, Auvergne
Merci à Michel Vérollet

Cela indique que la Terre subit un réchauffement global, entrainant des modifications dans les cycles écologiques des plantes et des animaux. Cela perturbe la circulation des grands courants marins comme le gulf stream. Or le gulf stream régule les températures des continents, réchauffant la côte européenne. Aussi, un scénario calculé par les scientifiques prévoit que les perturbations des courants dues au réchauffement global entraineront un refroidissement du continent européen.

Le réchauffement global est fréquemment mis sur le compte de l’augmentation de la teneur de l’atmosphère en gaz carbonique (CO2) et autres gaz à effet de serre, à cause des technologies humaines et du choix de sources d’énergie polluantes. Mais cette hypothèse est très controversée.

En effet, d’autres scientifiques ont montré qu’on assiste au même phénomène de réchauffement dans d’autres planètes du système solaire. Sur la planète Mars, le satellite Odyssey a révélé que la glace se retirait. Le Dr. William Feldman du Laboratoire national de Los Alamos (USA) dit qu’une explication possible est que Mars est en train de sortir d’une période glaciaire. Plusieurs rapports indiquent que le climat du système solaire entier évolue, probablement sous l’influence du soleil et aussi de rayonnements galactiques.

Voir entre autres:
le rapport de l’ONU Report shows UN admitting solar activity may play significant role in global warming;
Sun Blamed for Warming of Earth and Other Worlds;
The Solar System Climate Is Changing, Not Just Earth;
Interplanetary “Day After Tomorrow?”

Si cette hypothèse est vraie, la montée de la teneur en CO2 serait la conséquence du réchauffement, non sa cause. Cela ne signifie pas que nous pouvons rejeter n’importe quoi dans notre atmosphère. Il reste important que nous nous soucions des sources polluantes dues aux activités industrielles humaines et que nous révisions notre mode de vie irrespectueux de la nature. Car, faire du CO2 la seule cause de bouleversements climatiques, c’est détourner l’attention de toutes les pollutions chimiques déversées à doses horrifiantes dans l’atmosphère, dans les rivières, la mer, dans la Terre. C’est ignorer la déforestation massive, qui ignore, voire méprise, les conséquences sur l’humanité.

Or tous ces paramètres ont une influence sur l’équilibre écologique, climatique et électromagnétique de la Terre. Certains analystes soupçonnent que la théorie du réchauffement global arrange surtout ceux qui profitent de la taxe carbone. La taxe carbone n’arrête pas la pollution globale de la planète.

Les manipulations technologiques du climat

Parallèlement aux discours politiques et aux grands rassemblements sur l’urgence de réduire la production de gaz carbonique, le réchauffement global devient le prétexte pour recourir à un autre type de pollution introduit sous la forme de la géo-ingénierie, autrement dit la technologie qui permet de manipuler le climat et le fonctionnement de la Terre.

L’expérimentation et la recherche dans ce domaine ne sont pas nouvelles. Des études déjà anciennes ont été menées par l’agence américaine responsable de l’étude de l’océan et de l’atmosphère (NOOA). Comme il se doit, les institutions militaires y ont trouvé un intérêt considérable, comme pour ce qui est de toute technique qui permet d’avoir un pouvoir sur l’ennemi, et les études se sont rapidement développées aux États-Unis comme en Union soviétique à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Elles ont été utilisées par les États-Unis dans la guerre du Vietnam dans des tentatives d’ensemencement des nuages de façon à provoquer des intempéries au-dessus de la piste Ho Chi Minh, afin de rendre impraticables les voies de communication nord-vietnamiennes.

Alors que les gouvernements restent muets sur le sujet de l’utilisation de produits chimiques dans l’atmosphère, des rapports publics (par exemple une étude de l’Institut Carnegie) montrent qu’actuellement, il existe un programme consistant à voiler les rayons du soleil. Le procédé consiste à épandre des trainées nuageuses (appelées chemtrails en anglais) contenant des particules réfléchissantes d’aluminium et de baryum. Pour justifier ce procédé employé sans l’accord des populations, sans même les informer, les autorités scientifiques prennent pour prétexte qu’on n’a plus d’autre choix, au nom du sauvetage de la planète, du moins selon leur façon de considérer ce qu’est un sauvetage. Les experts du GIEC (Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’évolution du Climat) affirment que nous sommes impuissants à enrayer le réchauffement climatique, même si nous changeons notre mode de vie. Aussi, selon eux, il est nécessaire d’employer une géo-ingénierie massive de la chimie de l’atmosphère. Tout ceci est conduit de façon très discrète, sans souci de l’impact que de tels produits chimiques peuvent avoir sur la santé des populations, des plantes et des animaux, et sur les équilibres écologiques.

En septembre 2014, Jacques Daidié est parti à la rencontre, en Italie, de Rosario Marciano, militant connu contre la géo-ingénierie et de sa famille. Le présent travail est né de cette rencontre. L’association Ciel voilé remercie Rosario Marciano pour son autorisation de sous-titrage du documentaire italien dont il est le producteur : »Chemtrails : la guerre secrète ». Nous remercions aussi chaleureusement tous ceux qui ont contribué à la traduction : Jacques, Dominique d’Avignon, Marie de Monteux, Sébastien de St Firmin en Valgaudemard et Danielle de Gap.
Documentaire de www.tankerenemy.com
Sous-titré en français par l’association : www.cielvoile.fr

Voir UN: ‘The World Won’t Cool Without Chemtrails’ (No Matter What) par Melissa Melton, 26-09-2013, traduction française geopolintel; Les chemtrails qu’est-ce que c’est?; Épandage de produits chimiques dans l’atmosphère: on vous trompe, on vous ment; Le projet de la CIA pour contrôler le climat, Le nouvel Observateur, 18-07-2013; Geoengineering Climate: Technical Evaluation and Discussion of Impacts)

ciel empli de chemtrails Le réseau d'antennes HAARP en Alaska Fonctionnement de HAARP
Ciel empli de trainées chimiques
Merci à Chemtrail France
Le réseau d’antennes HAARP en Alaska
Merci à Justin Ames, The Velvet Rocket
© 2007 Thomson Higher Education
Merci à Maxime Pour,  Études géostratégiques

Il est un autre procédé de la géo-ingénierie encore plus puissant et d’un niveau technique plus avancé que l’épandage de substances chimiques, c’est l’utilisation d’ondes électromagnétiques. Le programme HAARP, conduit par l’armée de l’air et de la marine des États-Unis et par l’Institut de géophysique de l’université d’Alaska, est l’un des éléments les plus ambitieux de cette quête de contrôle.

Comme l’indique le nom HAARP (High Frequency Active Auroral Research Project), il utilise des rayonnements de haute fréquence. Ceux-ci sont envoyés dans l’ionosphère par un champ d’antennes installées à Gakona en Alaska. Il existe d’autres ensembles d’antennes plus petits installés à Arecibo dans l’ile de Porto Rico, à Fairbanks en Alaska, à Tromso en Norvège, à Moscou, Nizhny Novgorod et Apatity en Russie, à Kharkov en Ukraine et à Dushanbe en Tadjikistan et probablement ailleurs, y compris sur l’Antarctique.

Les rayonnements émis modifient les conditions électriques de l’ionosphère sur une zone localisée qui devient un miroir ou une lentille sur laquelle d’autres ondes de télécommunication sont envoyées et rebondissent vers une cible choisie située pratiquement n’importe où sur la planète.

Cette technologie est présentée comme permettant d’améliorer la communication avec les sous-marins. Mais elle peut aussi être utilisée pour des applications militaires et comme arme. Elle a la capacité d’un radar de pénétration de sol à longue portée pour découvrir des installations souterraines. Elle peut à volonté perturber ou bloquer les communications électroniques d’un pays. Enfin, elle permet de manipuler le climat à un endroit choisi et de désorganiser les équilibres écologiques et les systèmes agricoles. C’est donc un système puissant et invisible.

En modifiant les conditions électriques de la haute atmosphère, les ingénieurs jouent aux apprentis sorciers car ils ne se soucient absolument pas des conséquences graves que cela peut avoir sur le climat mondial et sur l’écosystème. C’est pourquoi la Commission européenne des affaires étrangères, de la sécurité et de la politique de défense s’en est inquiétée (rapport A4-0005/99 en date du 14 janvier 1999). Mais sans doute a-t-elle eu affaire à des intérêts puissants?

Sources:
HAARP – Un système d’armement modifiant le climat, Maldoror, Agoravox, 28-01-2010;
HAARP, un programme américain de guerre climatique?, Maxime Pour, Études Géostratégiques, 04-01-2013;
Our climate, Dead or alive, R.A. Miller et I. Miller, 2003;
The Ultimate Weapon of Mass Destruction: “Owning the Weather” for Military Use, Prof Michel Chossudovsky;
HAARP Project, portail d’articles en anglais et en espagnol

I-TELE, 02-10-2008: HAARP, Arme Climatique

Les bouleversements terrestres ont un sens

Les bouleversements terrestres ont été annoncés depuis fort longtemps dans les traditions des peuples indigènes. Par d’anciennes prophéties transmises de génération en génération, les amérindiens avaient été prévenus de leur propre extermination par les hommes blancs et des troubles terrestres qui s’ensuivraient (voir articles sur les prophéties des Hopis et les prophéties ojibwés des 7 feux). Ces prophéties sont réaffirmées et renouvelées par des sages et visionnaires contemporains qui lancent des appels et des avertissements (voir l’appel d’Arvol Looking Horse dans ce site).

Dans son ouvrage L’envol du Phényx (1985), Mary Summer Rain raconte l’enseignement que lui a transmis une vieille guérisseuse amérindienne Chippewa aveugle nommée Sans-Yeux (No-Eyes), dans le Colorado (USA), dans les années 70-80. Elle expose ses visions de la planète dans le futur. « Mère-Terre souffrir beaucoup »:

  • Cataclysmes écologiques: Tremblements de Terre, éruptions volcaniques, réveil de volcans éteints. Inondations. Accroissement des dégâts dus aux ouragans, orages d’été avec grêle et éclairs violents, brusques coups de vent.
  • Catastrophes dues aux activités humaines: Accidents d’avions. Déraillements de trains. Apparition d’épidémies. Explosions catastrophiques de gaz. Accidents nucléaires.
  • Événements sociaux: Effondrement économique, agitation sociale, faillites, grèves, relocalisations, accroissement du chômage, fiscalité trop lourde, augmentation de la criminalité financière. Augmentation du terrorisme.
  • Phénomènes surnaturels: Accroissement du nombre d’observations d’OVNI.

Il est important de noter que les visions de No-Eyes ne sont pas limitées aux changements climatiques. Les éruptions volcaniques et les tremblements de terre y figurent en bonne place, ainsi que des troubles sociaux et techniques. On reste ébahi par la justesse de ces prévisions qui ont reçu et reçoivent actuellement une confirmation par les faits.

Que ces événements puissent avoir été « pré-vus » ou « pré-dits », voilà qui porte à réfléchir. Dans ce cas, on ne peut plus parler de leur caractère aléatoire. Selon les messages des peuples de la Terre, les bouleversements ne surviennent pas par accident, dont les humains en seraient de pauvres victimes. Ils ont un sens qui met en cause la responsabilité de l’homme.

D’où les interrogations auxquelles je vais tenter d’apporter des éléments de réponse:

  • Quelles sont les véritables causes des bouleversements terrestres?
  • Quelle est notre part de responsabilité?
  • Quelle attitude avoir pour influer sur ces événements dans un sens favorable?

Les catastrophes naturelles, un processus d’élimination des pollutions

L’essentiel des messages de No-Eyes, des Hopis ou des Ojibwés n’est pas de prédire un futur, il est d’avertir et de mettre en garde. Les messages veulent nous faire comprendre que ces manifestations terrestres constituent des signes émis par la Terre c’est-à-dire, comme l’indique l’étymologie du terme, qu’elles portent une signification. C’est un langage. No-Eyes nous invite à l’écouter, à en comprendre le sens et à suivre ses indications en changeant nos comportements.

Le mari est invité à écouter sa femme et à s’occuper de son bien-être. Nous sommes invités à faire de même avec la Nature.

Par ses bouleversements climatiques et géophysiques, la Terre nous signifie qu’elle ne peut plus endurer de telles souffrances et qu’elle a entamé un processus de purification. La Terre se délivre de ses pollutions.

La femme bafouée veut retrouver sa dignité et sa grandeur.

On peut comparer ce processus à celui de la maladie d’une personne humaine. La maladie n’est pas due à l’attaque aléatoire d’un virus. Un tel concept ne fait que nous considérer comme les pauvres victimes d’une nature cruelle qui frappe aveuglément, tout comme les catastrophes naturelles. En réalité, la maladie s’installe sur un terrain affaibli par des toxines et un mode de vie erroné (alimentation, rythme de vie, façon de penser et d’envisager sa place dans la société). La fièvre d’une personne, par exemple, a pour fonction d’éliminer ses toxines, de restructurer certains tissus et de rétablir l’intégrité corporelle (voir l’article Santé naturelle). De la même façon, la Terre fait sa fièvre pour éliminer ce qui l’empêche d’être pleinement saine. Elle s’ébroue pour se débarrasser des corps étrangers qui ont été enfoncés en elle comme des poignards, ou inoculés comme des poisons, sans aucun égard pour elle. Elle veut retrouver son intégrité. Bien entendu la Terre n’agit pas à la façon d’une volonté humaine, mais selon une loi organique et cosmique.

Pour No-Eyes et les sages des peuples indigènes, la Terre n’en peut plus de subir des violences (viols) et des profanations. Elle est saignée avec mépris afin d’extraire à outrance pétrole, minéraux, substances radioactives, et autres matières pour le profit de quelques grandes compagnies. Des toxines dangereuses sont déversées en permanence dans l’environnement, dans l’atmosphère, l’eau et le sol. Ces exactions s’accompagnent de maltraitance vis-à-vis des plantes, des animaux, et aussi des humains, y compris les ouvriers des usines polluantes et les populations locales.

Les réactions de la nature se produisent régulièrement, mais elles ont pris une intensité particulière à notre époque, parce que nous sommes allés aussi loin qu’il était possible dans notre pouvoir de destruction. Aller encore plus loin serait anéantir toute vie sur terre.

Est-il encore temps de réorienter notre destin? Oui, nous pouvons agir et influer sur lui, comme je le développe plus bas.

Mais pour les organismes des États qui refusent d’envisager un dialogue profond et respectueux avec la Terre, l’éventualité qu’il est trop tard pour sauver la Terre est sérieusement envisagée. Aussi, dans leurs programmes spatiaux, ils étudient des possibilités d’évacuation d’une partie de l’humanité (sélectionnée par eux!) sur la planète Mars. Comme celle-ci est actuellement impropre à la vie, des scientifiques sont engagés pour étudier comment la transformer pour créer des conditions identiques à la vie sur terre (ce qu’ils appellent la terraformation). Bien entendu, cela nécessitera des interventions gigantesques, tels que faire fondre les calottes glaciaires polaires (par des explosions nucléaires!!)pour créer une atmosphère. Quelle absurdité et quelle folie!!! Nous pouvons nous interroger sur la personnalité profonde de ceux qui mènent le monde.

Les changements rapides du magnétisme terrestre

Parmi les signes géologiques de changement, les scientifiques ont constaté que le magnétisme terrestre était en train de chuter. Les valeurs de ce champ ont été collectées par plusieurs satellites dès la fin des années 1960 (par exemple POGO), mais surtout après 1980 (par exemple Magsat, Oersted). Auparavant, il y a eu des relevés maritimes et des mesures d’observatoires sur terre à partir de 1835.

Si le taux actuel de décroissance persistait, les scientifiques disent le champ serait nul dans 2000 ans environ, mais d’autres disent 200 ans. En fait il est difficile de prévoir si cette tendance va continuer ou s’inverser. Mais comme elle peut aussi bien s’accentuer, cela suscite des interrogations profondes sur ses conséquences, surtout si on place ce phénomène dans le contexte des autres signes de changement, liés à des changements importants de conscience.

De plus d’autres données provenant de sources archéologiques montrent qu’on peut faire remonter la décroissance du champ magnétique à des temps plus anciens. C’est ce que nous révèlent les argiles utilisées dans les poteries. Elles contiennent des minéraux magnétiques sensibles au champ. Lors de leur refroidissement à la sortie du four, ces argiles conservent l’empreinte du champ et cette empreinte peut être mesurée (une science appelée archéomagnétisme). Les résultats montrent que le champ magnétique terrestre a décliné de 50% environ depuis 4000 ans.

décroissance du champ magnétique
Décroissance du champ magnétique terrestre
Source: Commission géologique du Canada
carte du magnétisme terrestre

Répartition de l’intensité et des directions
du champ magnétique terrestre en l’an 2000
selon G. Glatzmaier et P. Olson
© Extrait de Scientific American 2005

Les mesures satellitaires fournissent également la répartition cartographique des valeurs et de la direction du champ. Globalement, le champ est polarisé, c’est-à-dire qu’il pointe vers l’intérieur de la Terre au pôle nord et vers l’extérieur au pôle sud. Mais ce n’est là qu’une vision très simplifiée.

En effet, si on représente sur une carte les zones de champ de direction intérieure (nord) par une couleur (bleue), et par une autre (rouge) les champs de direction extérieure (sud), on s’aperçoit que des zones de polarisation nord sont incluses dans les zones de polarisation sud; mais encore, qu il y a eu une évolution très nette de ces inclusions entre 1980 et 2000. Les taches nord sont de plus en plus larges dans la zone sud. Cela donne l’impression que le pôle sud tend à devenir un pôle nord. De même le pôle nord a tendance à devenir un pôle sud; autrement dit il semble se produire une inversion des pôles.

Cette interprétation est renforcée par le fait que des inversions de pôles magnétiques se sont produites plusieurs fois par le passé. Il est possible de lire l’histoire du champ magnétique car elle est enregistrée dans les laves. Les laves contiennent du basalte qui est une roche faiblement magnétique. Elle sort liquide du volcan. Au moment du refroidissement, en-dessous d’une certaine température, les particules magnétiques s’orientent dans le sens du champ magnétique existant localement à ce moment. En se solidifiant, la lave garde la trace de l’orientation du champ. Le résultat des mesures sur des millions d’années est que le champ s’est inversé souvent, sans régularité visible, avec une moyenne d’environ 250’000 ans. La dernière inversion a eu lieu il y a 780’000 ans.

Certains pensent que ces changements rapides du magnétisme terrestre font partie des manifestations qui accompagnent la transition vers un monde débarrassé de ses pollutions. Cette transition est en marche et les signes annoncés par No-Eyes sont bien présents.

Sources: Probing the geodynamo, G. Glatzmaier et P. Olson, Scientific American, 2005, 50; Des recherches complémentaires ont été conduites par Gauthier Hulot et l’équipe de géomagnétisme de l’Institut de Physique du Globe de Paris

La purification précède l’arrivée d’un monde de PAIX

La Terre est en transition, oui, mais vers quoi? Puisque les bouleversements terrestres sont destinés à évacuer les pollutions, nous allons vers un monde débarrassé de TOUTES les pollutions. La Terre progresse dans cette direction, indépendamment de l’action et de l’attitude des humains, que ce soit avec eux ou malgré eux. La transition se fera avec ou sans l’humanité, ou avec une partie seulement, en fonction des choix de vie et de pensée de chacun.

No-Eyes dit que ce monde sera l’Âge de la Paix et il verra la renaissance de l’Arbre Sacré dans la grand cercle des Nations. Elle dit que cela s’accompagnera d’innovations dans les types de constructions, dans l’usage d’énergies non polluantes. Que ce sera un monde où toutes les formes de vie seront respectées, où régneront l’égalité sociale et l’harmonie avec la nature. L’humanité profitera des nouvelles conditions terrestres pour bâtir sa vie sur de nouvelles bases.

Beaucoup déjà inventent de nouvelles formes d’interactions, de solidarité, d’habitat, de soins de santé, d’économie, de pratiques alimentaires ou énergétiques, même sans avoir connaissance de ces prophéties, ou sans y accorder d’attention particulière (voir parmi bien d’autres les réseaux français et internationaux suivants: Terre et Humanisme, banque NEF, Finances solidaires, Villes en transition, Monnaies locales, Économie solidaire, Agriculture paysanne, Jardins partagés, etc.). Le monde solidaire est déjà dans l’air du temps. Quant au monde de paix, il est en germe, mais il demande un plongeon plus important dans le tréfonds de nos âmes.

La transition vers un monde de paix, annoncée par les amérindiens, est évoquée dans de nombreuses autres traditions sur la planète. L’islam est lui-aussi dépositaire de prophéties (Voir le livre de Jean Ezechiel, Les prophéties de l’Islam). La philosophie védique parle de différentes périodes par lesquelles est passée la Terre, et nous sommes à la fin de l’ère du Kali-Yuga, une ère plutôt sombre à laquelle succédera une ère de lumière.

L’avènement d’un monde de lumière est annoncé dans la Bible lorsqu’elle parle de l’Apocalypse. Ce mot Apocalypse a aujourd’hui  pris le sens de cataclysmes, survenant comme une punition et provoquant la fin du monde. Mais c’est déformer vers un sentiment peur le beau message original de ces révélations, qui nous parle en réalité de la fin d’un monde, le monde corrompu et violent qui est le nôtre. Le sens exact d’Apocalypse est Révélation. Ce qui est révélé est la réalité profonde et multidimensionnelle de qui nous sommes, de ce qu’est l’univers, comment nous sommes reliés à lui. Des éléments de réponse sont exposés dans d’autres articles de ce site:
Les corps subtils et les chakras;
Des diagrammes dans les champs;
Spiritualité et développement personnel;
Le sens de la vie;
L’origine de la Vie;
etc.

Sommes-nous le fleuron de l’évolution?

Le monde de paix ne pourra s’établir que si les actes de destruction et d’agression de l’Homme envers la Terre cessent. Or ces actes sont la manifestation extériorisée de notre façon de penser. Les faire cesser implique que nous devons changer notre conscience et notre rapport à la Terre. Actuellement, nous nous comportons globalement comme si la Terre ne mérite pas d’être prise en considération. Nous n’envisageons pas d’avoir un dialogue avec elle et d’établir une synergie. Nous pensons que nous pouvons agir pour notre intérêt personnel sans se soucier d’elle. 

Cette façon d’être s’infiltre de façon courante et anodine dans tous les supports de notre culture, les médias, l’enseignement que l’on délivre aux enfants. Voici à titre d’illustration ce qu’on relève dans un livre sur la danse (1986): « L’homme a adoré la nature tant qu’il s’est senti écrasé par sa puissance, et a cessé de le faire quand sa technologie s’est montrée capable de la dominer. Pour influencer l’univers, l’homme a d’abord dû en prendre possession. »

Les archéologues, ethnologues et historiens appuient cette vision en la justifiant par la théorie de l’évolution. Dans leurs écrits et productions médiatiques, ils sous-entendent systématiquement que nous en sommes le produit le plus élaboré, le résultat d’une progression qui a débuté à l’âge de pierre. Selon la théorie de la sélection darwinienne, ce sont les plus malins qui ont réussi à survivre et à se développer, grâce à leurs savoir-faire et à leurs inventions techniques. Nous sommes donc ceux qui ont la connaissance scientifique et la technologie les plus évoluées. Nous sommes ceux qui savent!

Selon cette conviction, les anciens qui vivaient à l’âge de pierre étaient des êtres rustres et ignorants qui avaient peur de la nature. De celle-ci, ils avaient une représentation imaginaire, magique et illusoire car ils n’en comprenaient pas la réalité scientifique. À l’opposé, nous, grâce à notre connaissance de la matière, des atomes, des cellules, de la génétique, nous savons ce qu’est cette réalité. Nous avons compris que la peur de la nature était sans fondement, puisqu’il n’y a pas de magie. Nous? Tout au moins nos scientifiques, à qui nous pouvons nous en remettre pour ce qui concerne la compréhension de l’univers et de l’homme et pour faire les choix de société qui en découlent.

Bâtiments écroulés à Muzaffarabad, capitale du Pakistan,
à la suite du séisme du 8/10/2005
Source: Earth Quake in Pakistan

Tout naturellement, les journalistes et cinéastes relayent ces idées conventionnelles et stéréotypées, parce qu’ils en sont imprégnés. La façon dont tous les membres d’une communauté (scientifique, religieuse, médiatique) adoptent la même façon de penser est ahurissante; ils suivent les mêmes paradigmes, sans les expliciter, même si ces paradigmes recèlent des contradictions internes importantes, parce que pour eux tout cela va de soi.

La conformation des esprits est un obstacle important pour envisager un monde de paix. La paix ne peut être établie que sur la base de l’écoute approfondie des autres sans jugement préalable, donc sans idée préconçue.

Se considérer comme le fleuron de la création est le contraire de l’écoute. Cela a conduit à imposer nos conceptions et notre mode de vie aux peuples indigènes qu’on a appelés peuples primitifs sans nous soucier de ce qu’ils pensaient et ressentaient. Les missionnaires avaient pour but de leur inculquer la « vraie » connaissance, avec notre morale, notre conception du bien et du mal. Dans l’ouvrage La leçon indienne, les secrets d’un homme médecine, l’amérindien Wallace Black Elk interviewé par Paco Rabanne, raconte comment les amérindiens ont été forcés d’abandonner leur culture, leurs rites, leurs connaissances jusqu’à en avoir honte, ou être emprisonnés s’ils les pratiquaient, alors qu’en réalité ils avaient une connaissance plus profonde et plus vaste de l’éducation, du développement personnel et de la santé.

D’ailleurs, les connaissances occidentales plus récentes sur le développement humain et la psychologie rejoignent ces sagesses anciennes. Certes, notre attitude envers les peuples dits primitifs a évolué et nous les considérons comme des personnes à part entière aussi intelligentes et talentueuses que les autres. Il n’en reste pas moins que sous couvert de programme d’aide humanitaire et avec les intentions les plus généreuses, on cherche souvent encore à leur transmettre tous les « bénéfices » de NOS conceptions.

À cause de notre esprit prétentieux et arrogant, nous sommes incapables d’imaginer que des êtres aient pu être plus intelligents que nous et disposer d’une technologie que nous ne connaissons pas encore. Si des énigmes se posent, telles que la construction et la fonction des Pyramides d’Égypte, les monuments mégalithiques de Stonehenge, ou la découverte du Disque de Nébra, alors les solutions sont envisagées seulement dans le cadre strict de la pensée du « nous sommes les plus évolués », en attribuant aux habitants les outils et les connaissances qu’on suppose être de l’âge de pierre. Heureusement, de plus en plus d’archéologues en viennent à des conclusions qui montrent que ces hommes d’autrefois étaient bien plus évolués qu’on ne le supposait. Les trouvailles d’objets archéologiques, la construction des sites sacrés et leur implantation en réseau organisé supposent qu’ils détenaient des connaissances cosmologiques, mathématiques et techniques poussées (voir Alignements de sites sacrés).

Il est remarquable que ce sont les peuples qui ont été appelés primitifs qui nous ré-apprennent à dialoguer avec la Nature et la Terre, et peu à peu dévoilent leurs savoirs subtils.

La plus grande pollution est l’agressivité entre les hommes

Lorsque les amérindiens disent que la Terre se délivre des pollutions accumulées, ils précisent que les pollutions chimiques sont un fléau majeur, mais qu’il en est un plus grand encore. C’est la pollution mentale: notre esprit de division, nos pensées conformistes et arrogantes, nos émotions négatives. Les émotions négatives apparaissent dans la façon agressive dont nous nous comportons les uns vis-à-vis des autres, avec conflits, luttes, ressentiments, agressions et vengeance.

Dans tous les domaines, à tous les niveaux, cet esprit agressif se manifeste, des luttes entre nations aux conflits familiaux. Il n’y a qu’une différence de degré entre les guerres des peuples et des ethnies, les conflits nationaux ou locaux pour posséder un territoire ou la gloire, les jalousies et ressentiments au sein d’une famille ou avec les collègues, et le désir impérieux d’anéantir les concurrents économiques, ou le parti politique adverse. Dans tous les cas, le ressort est le même.

Le moteur de ce comportement agressif est de déposséder l’autre pour posséder soi-même. La vie sociale contemporaine est fondée sur ce postulat: si l’autre gagne, moi je perds. Si je perds, je ne peux pas vivre. La seule façon de vivre (de survivre) est de mener en permanence une lutte fratricide. Si l’autre perd, je gagne. Pourquoi notre apprentissage n’est-il pas orienté sur la mise en commun de nos richesses, nos idées, notre créativité? Pourquoi faut-il que deux candidats à la fonction de maire, talentueux et complémentaires, emploient-ils leur temps, leur énergie et leur argent (celui de leurs supporteurs!) à se battre farouchement et médiatiquement l’un contre l’autre au lieu de s’associer, tout cela uniquement parce qu’ils sont inscrits dans un parti différent? Je trouve cette situation très symbolique de la folie des hommes.

L’anxiété fondamentale de perdre est dévastatrice. Elle repose sur la croyance sans fondement que nous sommes séparés les uns des autres, séparés de la nature. Nous croyons que détruire l’autre n’aura pas de conséquence négative pour soi. L’enseignement scolaire français contribue à implanter cette croyance, car il met en avant l’apprentissage de la compétition et de la lutte, la valorisation des meilleurs (voir dans ce site le dossier Éducation).

Or il existe un lien direct entre notre façon de penser et l’équilibre énergétique et la santé de la terre. Notre pensée agit comme une énergie électrique qui est accumulée dans des sortes de réservoirs. Ces réservoirs de charges énergétiques (égrégores) influencent l’état de la terre (voir en annexe 3 une hypothèse scientifique d’explication). A titre d’exemple, il a été démontré que des pensées/émotions cumulées de toute une communauté sont très puissantes et sont capables d’influencer les calculs d’ordinateurs dédiés à cette détection (voir le programme de conscience globale dans Ma vie, miroir de mes pensées). Aussi, si nos pensées dominantes sont constituées de sentiments négatifs et d’idées de guerre, et que ces énergies négatives se sont accumulées pendant des générations, ces égrégores sont devenus de véritables poisons, poisons pour l’humanité, poisons pour la terre.

Si nous comprenons ce lien, la parade est évidente: changer notre façon de penser et de vivre. Prendre conscience que nous sommes tous reliés et unis, tous les êtres humains, les autres êtres vivants et la terre. C’est ce que savent et affirment depuis toujours les traditions des peuples de la terre. Ils se sont toujours sentis en union avec la nature, ils savent l’écouter, la respecter, la comprendre.

En définitive et sans que nous le choisissions consciemment, les catastrophes nous obligent à adopter cette attitude de solidarité. De merveilleux élans de générosité sont nés spontanément du plus profond de nous pour venir en aide aux victimes. A ce moment-là, beaucoup ont oublié leurs intérêts particuliers, et sont passés au-delà des différences de culture, de races et de conventions. Nous nous sommes rendus compte que nous sommes l’équipage communautaire d’un même bateau, que notre destin est lié. Peut-être vaudrait-il mieux évoluer en pleine conscience, par un choix de vie, au lieu d’y être acculés par des destructions et des souffrances!

Le mari violent s’est d’abord prostré un moment en se rendant compte de son impuissance. Puis le couple a réalisé que leurs sorts étaient liés. Dorénavant, ils s’écoutent mutuellement et se respectent. Ils entament ensemble la danse de la vie.

Amener la paix dans la nature et l’humanité

Quelle attitude sage pouvons-nous adopter face aux cataclysmes et aux changements planétaires?

Si l’hypothèse du lien entre nos pensées et les cataclysmes est vraie, alors nous détenons la responsabilité de notre destin (voir un développement de cette idée en annexe 2). Si nous avons compris que les manifestations planétaires sont liées à notre façon d’être, alors, nous avons la solution pour éviter les catastrophes: penser et être autrement. L’ère de paix annoncée par les sages amérindiens se définit par le fait que les humains auront cessé de se quereller et de s’agresser.

La technologie respectueuse du vivant

Beaucoup de trouvailles ont été faites pour produire de l’énergie, pour nourrir l’humanité, en respectant la Terre et en favorisant le vivant. Malheureusement, la plupart sont restées secrètes ou ont été enterrées par des achats de brevets et des clauses de confidentialité.

Par exemple, les sources alternatives d’énergies propres qui nous sont présentées concernent les énergies solaires ou éoliennes. Il est rare que soit mentionnée l’énergie « libre », c’est-à-dire puisée dans l’environnement sans besoin de se brancher à un réseau national. Or depuis les découvertes de Tesla au début du 20e siècle, on connait l’existence et on sait exploiter des sources d’énergie et des moteurs basés sur le magnétisme et l’électricité terrestres (pour détails voir le site Quanthomme). Pourquoi de telles solutions bienfaisantes sont-elles détournées, confisquées? Pourquoi ne met-on pas à disposition de l’humanité ce qui est vital pour elle? Il est temps de diffuser ces vérités.

Solidarité et respect pour la vie et pour les autres

Changer sa conscience, c’est d’abord apprendre à écouter. D’abord écouter la nature.

Ressentons comment elle souffre, et inversement comment elle répond à notre bienveillance. Respectons le sol, l’eau, l’atmosphère, les animaux et les plantes. Communiquons avec la nature comme avec une amie. Elle est comme une mère et aussi comme un enfant qui a besoin de soins. Traditionnellement, les amérindiens et autres peuples de la Terre qui ont besoin de couper un arbre lui demandent la permission. S’ils veulent construire un bâtiment, ils demandent à la terre où ils peuvent le faire sans dommage pour elle et pour le plus grand bien de tous. Si elle ne veut pas, ils ne le construisent pas.

Les blancs se gaussent et jugent cela naïf. Ils s’imaginent qu’ils en savent plus par leur science. C’est seulement là leur croyance mue par leur orgueil et leur malaise. Leur science est coupée du cœur, coupée des forces de la nature. Leur orgueil n’est en fait que la manifestation de leur incompréhension. C’est ce type de pensée qui introduit des divisions entre humains. Si inversement nous faisons preuve d’humilité et que nous interrogeons les amérindiens ou d’autres gardiens de la Terre, ils nous apprennent à porter attention aux multiples signes par lesquels répond la Terre, par exemple des signes physiques dans la nature, dans notre corps, ou dans nos rêves. L’expérience leur a montré que si on ignore ces signes, la terre réagit.

Cultivons des pensées d’humilité et de respect. Agir avec des pensées de compréhension et de bienveillance dans notre quotidien, c’est contribuer au nettoyage de la terre et de la conscience collective de l’humanité.

Écoutons et respectons également les autres humains. Prenons conscience que nous sommes tous et toutes les cellules d’un même corps. Nous avons trop tendance à nous critiquer et à nous juger. Aidons à construire un monde sans guerre, sans lutte territoriale ou économique. Mettons en place la coopération, le partage, la générosité.

L’école de l’écoute de soi

Être dans la générosité, l’humilité et l’harmonie, il est facile de le concevoir et d’en faire des discours éloquents, mais souvent difficile à mettre en pratique. Cela semble seulement possible avec les gens que nous apprécions et qui partagent nos idées, mais beaucoup plus difficile avec ceux qui nous nuisent. Comment pouvons-nous nous détacher de nos comportements de critique, de nos idées de lutte pour la vie? Ce genre de croyance est profondément ancré en nous, et il n’est pas facile d’élargir notre vision. Notre comportement extérieur correspond à notre état intérieur. Le non-respect de la Terre et des autres correspond au non-respect de soi-même.

Le moyen d’élever notre conscience est de réfléchir aux causes profondes personnelles de notre comportement égoïste et agressif et d’examiner quels en sont les déclencheurs. On va mettre au jour des appréhensions et des craintes: peur de ne pas être considéré, d’être laissé pour compte, d’être indigne, de ne pas obtenir de reconnaissance, de manquer d’attention, de ne plus compter pour quelqu’un. Peur de manquer d’argent, d’espace. Donc peur de manquer, sous des formes diverses. Il y a aussi la peur d’être détruit, manipulé, violenté ou violé. Dans les conflits et les guerres, que ce soit entre nations ou entre personnes proches, l’agresseur cherche à conquérir ou soumettre l’autre par crainte que ses besoins profonds ne soient pas satisfaits. Les peurs et les luttes sont fondamentalement issues de la notion erronées de séparation et d’isolement.

Les peurs sont fondées sur des incompréhensions et des croyances qui ont été élaborées au cours de la vie, essentiellement dans l’enfance. Il est donc essentiel de d’en libérer. Est-ce possible? Oui, en premier lieu par une prise de conscience, autrement dit par l’observation de soi-même, au cours de laquelle on constate que ces peurs sont à l’œuvre. Cette observation sera honnête et sans concession, mais bienveillante. (voir L’enfant intérieur et le langage des émotions)

C’est un vrai travail sur soi qui peut se faire seul ou accompagné: faire connaissance avec soi, avec ses ressorts psychologiques profonds, son enfant intérieur; guérir ses blessures, reconnaitre sa propre valeur et sa richesse intérieure.

Nous découvrons que le monde que nous vivons au quotidien est le reflet de ce que nous sommes (voir Ma vie, miroir de mes pensées et émotions). Les autres personnes reflètent des parties de nous-mêmes. Être coupé de la nature, de l’abondance, de la beauté, de la sagesse, de l’amour, vient d’une coupure en soi et avec soi. Il est certaines parties de nous que nous rejetons et ne voulons pas voir. Il est bénéfique de prendre conscience de nos conflits intérieurs, de notre cloisonnement intérieur et faire la paix à l’intérieur de soi.

Faire la paix dans le monde, faire la paix avec la nature, c’est d’abord faire la paix en soi. S’unifier aux autres et à la terre, c’est d’abord s’unifier à soi-même.

Ne cédez pas à la peur, restez centrés

Le spectacle des cataclysmes peut soulever en nous la peur d’en être victimes et un sentiment d’injustice et de révolte contre tant de souffrances et de détresse. Il est conseillé de ne pas se laisser emporter par ces émotions, de les observer et de rester centré. On peut agir pour les victimes avec sérénité et bienveillance.

C’est apprendre à être dans ce qu’on appelle le détachement ou le lâcher-prise. Être détaché, ce n’est pas être indifférent ou insensible. Ce n’est pas non plus se débarrasser de ses biens et de ce qui fait la douceur de notre vie. C’est seulement accepter que la vie ne se déroule pas selon notre volonté et qu’elle a sa logique propre. Dans son développement ultime, le lâcher-prise, c’est accepter de se séparer de ce qui fait notre confort, notre identité et notre sécurité (biens, parents, pays, etc), si la situation l’exige. Cela revient à agir pleinement dans le moment présent, certes avec des intentions et des envies pour le futur, mais en étant prêt à les abandonner au besoin. J’agis dans la justesse pour aujourd’hui. Je vis dans le moment présent en faisant ma part de ce jour.

Il s’ensuit que je ne considère pas les prophéties comme une vérité absolue, mais seulement comme un moyen de réflexion et de mise en garde. Elles représentent une idée du futur, mais l’essentiel est ma propre perception du présent (voir ci-dessous, annexe 1). Que savons-nous du futur? Même les prophéties ne peuvent pas le préciser, car nous sommes les artisans de notre futur. Nous l’inventons et nous l’écrivons de jour en jour.

Sommes-nous prêts à transformer nos propres sentiments de manque, de dépendance et nos ressentiments? Sommes-nous prêts à inventer notre monde le plus merveilleux possible, fait de beauté, d’harmonie, de solidarité, d’abondance, de compréhension, de grandeur, de créativité, d’humilité? Sommes-nous prêts à lâcher prise et à recueillir le bien-être et la joie?

La femme qui se sent aimée et respectée s’abandonne et s’ouvre totalement à son compagnon. Du plus profond d’elle-même, elle laisse exhaler des parfums insoupçonnés. Que nous offrira la Terre quand nous saurons l’aimer?


Une preuve irréfutable du réchauffement climatique
Merci à Histoire du costume




ANNEXE 1: Quelle confiance accorder aux prophéties?

Il est de bon ton de rigoler des prophéties. Ce ne serait que superstitions issues de cerveaux primitifs qui ont besoin de se rassurer en s’inventant des histoires. Et de citer le nombre de fois où des événements annoncés par des prophéties n’ont pas été réalisés. N’est-ce pas juger un peu vite? À propos, quelle est la pensée qui se trouve derrière ce jugement? À nouveau l’idée de supériorité et de division entre personnes. Mais également une certaine représentation tout à fait erronée de ce que serait une prophétie: un programme solidement établi et immuable qui se déroulerait de façon précise. Autrement dit on juge ceux qui prophétisent en leur attribuant nos propres modèles de pensée. C’est éviter de les interroger pour examiner comment ça fonctionne et les comprendre. Je vous invite à le faire. Alors vous découvrirez peut-être ceci:

Un médium reçoit des informations sous des formes très variées (images, sons, idées, sensations physiques, etc.), données qui sont liées au moment où il les perçoit. Ce sont des informations du présent. Le futur en est le déploiement si rien ne change dans le comportement et dans la façon d’être des personnes. Car il est sans cesse répété ceci: vous avez le libre arbitre, vous avez le choix de ce que vous êtes, vous êtes libres, vous êtes maitres de votre destin.

La description des événements du futur est comparable à la description du projet de construction d’un architecte. Il a un plan de réalisation, il sait ce qu’il veut construire. Il a imaginé un calendrier d’après les données qu’il détient (nombre d’ouvriers, machines employées, etc.). Or le calendrier, comme le projet lui-même, vont peut-être subir des modifications. Si les ouvriers font grève, s’ils travaillent plus vite que prévu, si de nouveaux renforts se présentent, si le terrain révèle des difficultés inattendues. Mais aussi, si la réalisation de la construction fait naitre des idées encore plus formidables. On avait prévu telle pièce, or sur le terrain, il se révèle qu’avec la lumière et l’espace, il serait mieux d’en ajouter une autre, etc. Il se peut que des solutions nouvelles émergent, donnant une vision renouvelée du projet pour le rendre encore plus magnifique, avec des buts qui n’étaient pas envisagés au départ. Voilà pourquoi les visions prophétiques peuvent changer.

Toutefois, certains rendez-vous sont prévus et incontournables. Il est nécessaire qu’ils aient lieu pour faire le point, à la manière des réunions de chantier. Encore y a-t-il toujours une possibilité de modifier la date. Ainsi, le calendrier Maya laisse supposer que l’essentiel des purifications ont eu lieu avant 2013. Il semble que c’est de leur enclenchement qui a eu lieu dans cette période, et qu’elles se poursuivent rapidement, afin de laisser place à une nouvelle ère où tout sera à construire.

ANNEXE 2: Choisir entre destruction planétaire ou éveil spirituel

Nous avons le choix: rester dans la violence et la prostration ou être dans l’écoute de soi et des autres. C’est ce que disait l’instructeur de M.L. Young dans les entretiens qu’elle rapporte dans son livre A journey to the stars.

Le monde en tant que communauté peut demeurer un corps peu intégré et non viable ou il peut devenir une communauté unifiée et promise au succès. La communauté mondiale a le choix. Elle a le pouvoir de manifester une dévastation planétaire gigantesque, détruisant la plus grande partie de la vie terrestre dans la foulée. La communauté mondiale détient également le pouvoir de manifester une réalité différente de façon créative, une réalité d’éveil spirituel, chacun selon sa vision propre. Donc, lequel choisira-t-elle?

[…] Tandis que les semences du nouvel éveil ou mutation de conscience éclosent et commencent à pousser partout dans le monde, la soif prédominante de l’homme est néanmoins toujours orientée vers une conduite guerrière agressive. Cette prédisposition vers l’agressivité épuise et détériore le corps de la Terre aussi sûrement que si des sangsues suçaient son sang. La planète, sur les plans physique et éthérique, ne peut pas supporter cette saignée constante sans décliner dans une dépression de plus en plus profonde.

La réaction pour surmonter cette dépression et se débarrasser de cette douleur terrible, peut provoquer des changements physiques gigantesques impliquant tous les aspects de la Terre physique. […] C’est à la Terre de choisir. L’avènement d’un monde spirituellement accordé peut se produire avec ou sans ces changements physiques qui se forment en réponse à l’indifférence et la négativité humaines.

Si l’homme veut bien renverser la vapeur et s’éloigner de la destruction physique de la planète, alors la communauté mondiale dont je parle aura de lourdes responsabilités. Elle doit comprendre son pouvoir en tant que groupe. Elle doit apprendre à être un corps qui gouverne de façon avisée. Elle doit apprendre à diriger l’orchestre de façon égale pour le bénéfice de tous. Elle doit apprendre en fait à utiliser sa puissance personnelle à sa façon. Elle doit trouver et utiliser sa puissance de groupe et sa connexion de groupe à l’univers. […] Tous les systèmes de puissance communautaire se fondront en un corps fonctionnel et opérationnel d’énergie totale. Plus tôt l’individu deviendra conscient de sa responsabilité envers lui-même et envers la communauté, plus tôt les guerres et les pensées agressives vont cesser.

A journey to the stars
Meredith Lady Young

ANNEXE 3: L’ionosphère, lien entre nos pensées et les bouleversements terrestres. Une tentative d’explication scientifique

Concevoir un lien entre nos pensées et les mouvements de la nature est plutôt révolutionnaire. Pourtant, un mécanisme physique assez simple a été proposé pour l’expliquer. Si nous nous rappelons qu’à notre échelle, la matière se manifeste par ses forces électriques (forces chimiques, forces de frottement, forces de contact, etc. sont des expressions des forces électriques), on peut facilement concevoir que les communications entre les différentes formes de la matière transitent par l’électricité. Nos cellules sont de petits oscillateurs électriques qui émettent des ondes électromagnétiques. Ceci est particulièrement important dans le cas des cellules du cerveau. Les ondes cérébrales sont bien connues et à l’origine du développement des examens par électroencéphalogramme (EEG), mot qui signifie: tracé (-gramme) de l’onde électrique (électro-) du cerveau (encéphalo-) (voir aussi l’article sur l’ADN électrique).

L’instructeur de M.L. Young explique comment les ondes agissent sur l’ionosphère:

La négativité, sous la forme des schémas de pensée individuelle amplifiés des milliards de fois, est capable de créer un déséquilibre physique dans la structure moléculaire de l’ionosphère, causant un abaissement de sa densité de masse. Une ionosphère affaiblie permet à une pression de l’espace extérieur de s’exercer plus fortement sur la surface de la Terre, augmentant considérablement les tiraillements gravitationnels déjà éprouvés par la Terre. Cet ajout de tension par l’atmosphère peut créer une pression de plus en plus forte vers le centre de la Terre. En définitive, cette pression vers le cœur de la Terre devient suffisamment forte pour déformer la croûte extérieure de la planète, provoquant un effondrement vers l’intérieur.

Si l’on accepte le fait que les schémas de pensée sont la base réelle de la communication et que les pensées ont la même puissance que les mots, alors c’est ce qui est projeté sous forme d’onde de pensée aussi bien que de mots, dans les esprits et les cœurs de la population mondiale, qui est le facteur déterminant de la croissance ou de la décroissance de la densité de l’ionosphère. Ceci se produit parce que les ondes de pensée colorent leur contrepartie moléculaire dans l’ionosphère par un transfert d’énergie. Ces transferts énergétiques chargent l’ionosphère positivement ou négativement. Parce que cette couche de l’atmosphère terrestre est tellement sensible au renvoi énergétique de la planète, elle est un indicateur très précis de la prédisposition submergeante du mental sur la Terre. L’ionosphère existe en tant qu’aura de la Terre…

L’ionosphère est la couche de l’atmosphère qui existe au-dessus de la stratosphère, commençant environ à 100 kilomètres au-dessus de la surface de la Terre et s’étendant sur plusieurs centaines de kilomètres dans l’espace. Elle forme une barrière protectrice autour de la Terre, préservant l’équilibre et l’intensité avec laquelle la matière est attirée vers la surface terrestre, et protégeant la Terre en filtrant les excès de chaleur, les radiations et les nombreuses toxines. La Terre fonctionne tranquillement aussi longtemps que prévalent ces conditions atmosphériques nourrissantes. La destruction de ce bouclier protecteur par les explosions nucléaires ou autres moyens mécaniques semblables, ou par la négativité qui s’accumule de façon implacable et accablante, peut provoquer la fin de l’ionosphère et ainsi de la Planète Terre sous la forme que connaissez.

A journey to the stars
Meredith Lady Young


En savoir plus

Articles dans ce site [www.spirit-science.fr]

  • La nouvelle grille cristalline et l’évolution des consciences. Sur tous les continents, la Terre porte des édifices sacrés qui sont disposés sur les mailles d’une vaste grille de flux énergétiques. Sur certains édifices, on a relevé des indices qui indiquent qu’ils ont été bâtis par une civilisation techniquement et spirituellement très avancée. Les sites sacrés avaient des fonctions de régulation énergétique des flux et d’élévation de la conscience. Après un long sommeil, la grille est actuellement réactivée progressivement jusqu’à sa pleine puissance en 2012. Ce processus entraine des bouleversements terrestres et des modifications dans nos consciences. Nos corps sont progressivement reconnectés à la grille et sont également touchés. Tout cela a un sens précis: nous sommes invités à devenir pleinement responsables de notre vie et à créer un nouveau monde en harmonie avec la Terre.
  • Les  codes géométriques et sonores de l’Être humain. Une vision nouvelle de l’évolution. Les corps énergétiques de l’être humain sont régis par des champs d’information qui englobent l’organisme. Ces champs transmettent des schémas directeurs inscrits dans des plans supérieurs de réalité, qui se manifestent sous forme géométrique ou sonore. Mais ceux-ci ont été faussés par le passé. L’humanité est dans le processus délicat où elle retrouve ses codes d’origine. Cela ne va pas sans heurts et sans épreuves, qui sont autant d’incitations à retrouver de nouvelles formes de responsabilité et de sagesse.
  • Les résonances de Schumann, des ondes électromagnétiques qui circulent autour de la Terre et influencent notre santé. L’atmosphère terrestre est animée par des ondes électromagnétiques de très basses fréquences, dont certaines sont amplifiées par résonance (résonances de Schumann, environ 8, 14, 20, 26, 33, 39 et 45 Hz).
    La puissance des résonances de Schumann épouse les variations de la production d’éclairs et de l’activité solaire. Leur fréquence fluctue très légèrement autour d’une valeur moyenne constante.
    Les résonances de Schumann s’insèrent dans le même domaine de fréquences que les ondes cérébrales. Aussi toute variation notoire de leurs caractéristiques, due soit à des phénomènes naturels soit à des technologies humaines comme le système HAARP, a une incidence sur le cerveau et sur la santé humaine.
  • La Terre, planète en perdition – réveiller les consciences, Pierre Rabhi. La planète et l’humanité sont dans un état dramatique. Dans quelques années, il sera trop tard pour les sauver si nous ne changeons pas nos consciences dès aujourd’hui. Rien n’est fait pour redresser la barre malgré les nombreux avertissements qui ont été lancés et les multiples alertes. Heureusement les « graines de possibles » se multiplient.
  • La prophétie des sept feux. Un message de paix et d’unité selon la tradition des amérindiens algonquins et ojibwés. La prophétie algonquine des sept feux décrit l’évolution de l’humanité depuis des siècles jusqu’à nos jours. Nous sommes dans la période du septième feu, une période cruciale de choix de vie. La prophétie incite à choisir un monde de paix et d’union entre les races et les peuples. Ce message est délivré activement par plusieurs Grands Chefs Algonquins, dont le Grand-Père William Commanda et Dominique Rankin. Il est en accord avec une autre prophétie des Lakotas, celle de la femme Bison Blanc. 
  • Prophéties Hopi: Créons un monde nouveau. L’appel au changement de vie par les chefs spirituels Hopi Dan Katchongva et Dan Evehema
  • Prophétie Lakota: La légende de la femme Bison Blanc. L’annonce de temps nouveaux. Un récit d’Archie Lame Deer
  • Sauvetage de la planète: l’appel d’un chef amérindien, Arvol Looking Horse. Les Anciennes Prophéties amérindiennes annoncent que les destructions de notre Mère la Terre causeront un désastre mondial. Nous en sommes arrivés au point de l’extrême urgence. Nous restons libres de choisir l’une des deux voies qui se présentent devant nous: la voie spirituelle ou la voie matérialiste. Arvol Looking Horse appelle les peuples de tous les continents à se réunir et prier et chacun d’entre nous à vivre en respectant et honorant la terre.
  • Ma vie est le miroir de mes pensées et de mes sentiments. Le pouvoir de l’intention consciente et des pensées inconscientes. Les circonstances de notre vie ne se produisent pas par hasard. Elles sont la projection manifestée de nos pensées, le plus souvent à notre insu. Des observations scientifiques multiples confirment l’influence de la pensée sur la matière au niveau atomique. Toutefois, la manifestation de nos pensées dans la matière est commandée par l’impact émotionnel que ces pensées exercent sur nous. Les émotions agissent comme de puissants aimants. En étudiant attentivement et en comprenant ce processus, nous pouvons examiner nos conditions de vie douloureuses pour mettre à jour les pensées et les sentiments négatifs inconscients qui les sous-tendent. Nous pouvons alors les transformer et créer une vie qui soit à l’image de nos aspirations les plus élevées. Enfin, munis de cet outil de transformation, élargissant notre vision, nous pouvons participer à l’établissement de la paix et de l’harmonie sur la Terre. Il est urgent de le faire.
  • Agriculture biologique; interview de Paul Pascotto, Ingénieur Agricole, auteur des ouvrages « Cours de jardinage biologique » et « Production biologique du fruit ». Qu’est-ce que l’agriculture biologique, quels sont ses buts et ses méthodes, en quoi diffère-t-elle de l’agriculture chimique. Des réponses synthétiques.
  • Recommandations à l’humanité, Omnec Onnec. Nous sommes une âme, issue de la Source d’Energie, qui est venue faire l’expérience de la densité terrienne. Les expériences que nous vivons dans de multiples vies ont pour but de nous conduire à la plénitude de l’âme. Toutefois, l’âme est dotée du libre arbitre. Il est urgent que chacun choisisse la voie positive de l’énergie d’amour afin d’enrayer les luttes, conflits, violences et destructions.

Articles sur internet

  • Réseau Hopi Network
  • Prophéties des Sioux (Lakotas – Nakotas – Dakotas): la naissance d’un bison blanc annonce les changements
  • Notre-planete.info a été lancé en octobre 2001 du constat qu’il n’existait pas véritablement de sites généralistes sur les grandes problématiques environnementales et leurs conséquences. Et parce que l’Homme est l’enfant insolent de la Nature et qu’il faut sans cesse rappeler à l’ordre! A ce titre, notre-planete.info se définit comme un portail d’informations et de communication qui fournit au grand public des notions vulgarisées et actualisées en environnement et géographie.
  • Charte Internationale Espace et catastrophes majeures. La Charte internationale vise à offrir un système unifié d’acquisition et de livraison des données satellites dans les cas de catastrophes d’origine naturelle ou humaine par l’entremise d’utilisateurs autorisés.
  • L’état de la planète. Le point sur l’état de la planète, avec l’inventaire des dégâts causés par l’homme à l’environnement.
  • Magnétisme terrestre: Archéomagnétisme; Inversion du champ magnétique terrestre sur Wikipedia; L’inversion du champ géomagnétique, dans le site Luxorion,  Fatal attraction: Earth’s magnetic field is showing strong signs that the poles are due to switch over. It could be the end of the world as we know it, Paul Simons, The Guardian, 4 juillet 2002; Reversals: Magnetic Flip, British geological survey
  • Les Évolutions de la Terre et les Déluges
  • Cosmic Changes, Mind-boggling Phenomena rapporté par des chercheurs russes. Drunvalo. Revue Spirit of Ma’at, Vol.2 Mars 2002, Free Energy & Alternative Energy, Part II
  • Terre et Humanisme. Quelle planète laisserons-nous à nos enfants? Quels enfants laisserons-nous à la planète? Réunissant, entre autres, les différentes structures déjà existantes autour de Pierre Rabhi, Terre et Humanisme tend à devenir une plate-forme d’échanges et d’inspiration pour tous ceux qui aspirent à un nouveau projet de société replaçant l’humain et la nature au centre de nos préoccupations.
    Association Terre et Humanisme
    Mas de Beaulieu, BP 19 – 07230 Lablachère, tél. 04.75.36.64.01
  • Conseil international des treize grands-mères indigènes
    13 grands-mères
    Nous, le conseil international des treize grands-mères indigènes, nous représentons une alliance globale de prière, d’éducation et de guérison pour notre Terre Mère, tous ses habitants, tous ses enfants, pour les 7 générations à venir. Nous sommes profondément concernées par la destruction sans précédent de notre Terre Mère, et par la destruction des modes de vie indigènes. Nous sommes persuadées que les enseignements de nos ancêtres éclaireront notre chemin à travers le futur incertain. Nous avons comme objectif de prolonger notre vision par la réalisation de projets de protection de nos diverses cultures: terres, médecines, langages et cérémonies de prière, et par des projets d’éducation et de nourrissement de nos enfants. Voir les sites:
    The international council of thirteen indigenous grandmothers
    For the next 7 generations, the grandmothers speak

Ouvrages sur papier

  • Après nous le déluge? Jean-Marie Pelt et Gilles-Éric Séralini, Ed. Flammarion/Fayard, 2006. « L’urgence nous dicte aujourd’hui de vous livrer notre expérience de biologistes pour que vous puissiez juger de la situation: votre situation d’êtres humains bientôt incapables de léguer à leur descendance une planète en bonne santé. Peut-être même incapables de léguer la vie telle que nous la connaissons. »
  • Mal de Terre, Hubert Reeves, Ed. Seuil, 2005. « Notre planète va mal: réchauffement climatique, épuisement des ressources naturelles, pollutions des sols et de l’eau provoquées par les industries civiles et guerrières, disparité des richesses, malnutrition des hommes, taux d’extinction effarant des espèces vivantes, etc. La situation est-elle vraiment dramatique? Que penser des thèses qui contestent ce pessimisme? A partir des données scientifiques les plus crédibles -et de leurs incertitudes, Hubert Reeves dresse un bilan précis des menaces qui pèsent sur la planète. Son diagnostic est alarmant: si la vie sur Terre est robuste, c’est l’avenir de l’espèce humaine qui est en cause. Le sort de l’aventure humaine, entamée il y a des millions d’années, va-t-il se jouer en l’espace de quelques décennies? Notre avenir est entre nos mains. Il faut réagir, et vite, avant qu’il ne soit trop tard. »
  • Le chant de l’Esprit, la sagesse visionnaire de No-Eyes. Mary Summer Rain, Editions SUM
  • L’envol du Phénix, No-Eyes parle des changements à venir. Mary Summer Rain, Editions SUM, 1994
  • A journey to the stars. Meredith Lady Young, Stillpoint publishing, 1984
  • Sun Bear: The path of power. Sun Bear, Wabun et Barry Weinstock, Bear Tribe Publishing, USA, 1983
  • La leçon indienne, les secrets d’un homme médecine. Entretiens avec Wallace Black Elk. Paco Rabanne, Ed. Michel Lafon, 1996. « Wallace Black Elk nous réapprend les vrais chemins du bien-être, physique et moral… Laissez-vous porter par la proximité de la nature, l’humble conscience de l’univers, le respect obligé de l’Autre et l’écoute des Esprits, à moins que ce ne soit vous-même ».

3 janvier 2007 – Révisé le 3 février 2014 © Copyright 2007 – Alain Boudet
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Si vous deviez en tirer parti devant un public de lecteurs ou de spectateurs ou pour quoi que ce soit, merci de le citer.




Comment la Révolution française a détruit l’école pour tous

[Source : Marion Sigaut via Média-Presse.info]

Conférence de l’historienne Marion Sigaut montrant comment les enfants, y compris dans les villages, allaient à l’école sous l’Ancien Régime et comment la révolution de 1789 vint mettre fin à cet accès général à l’enseignement.

Il n’est pas de contrevérité plus communément admise que celle qui affirme que nos aïeux étaient ignares et que c’est la République qui a mis les enfants du peuple à l’école Voyage dans les écoles de villages, avant et pendant la Révolution, d’après les travaux de l’excellent Albert Babeau.




Vaccins💉: le système immunitaire ne fait plus la différence entre ce qu’il doit rejeter et lui-même

[Source : CitoiCitoyen]

Lors de l’Audition publique du comité de santé publique de la proposition de loi concernant les immunisations qui a eu lieu le 19/02/2020, le Dr Larry Palevsky nous révèle que les scientifiques en Europe ont découvert que les virus et les bactéries qui sont injectés dans le corps en même temps que les adjuvants créent le mimétisme moléculaire. Cela signifie que le corps voit ces virus comme étant étrangers, mais malheureusement trouve des morceaux de ces virus qui correspondent aux siens [à son matériel génétique]. Et le système immunitaire ne fait plus la différence entre ce qu’il doit rejeter et [ce qui provient de] lui-même. Donc le système immunitaire se retourne contre lui-même en créant une maladie auto-immune. Tout cela est reconnu pour le vaccin contre l’hépatite B, ainsi que pour le vaccin contre la grippe… Donc dire que les vaccins sont sans danger n’est pas vrai !!!

https://youtu.be/FsLj_kt4bXU

[Voir aussi :