Auteur/autrice : Nicolas Bonnal

La vaccination de force est autorisée par la Loi au Québec

Au cours de l’état d’urgence sanitaire, malgré toute disposition contraire, le gouvernement ou le ministre, s’il a été habilité, peut, sans délai et sans formalité, pour protéger la santé de la population:
1° ordonner la vaccination obligatoire de toute la population ou d’une certaine partie de celle-ci contre la variole ou contre une autre maladie contagieuse menaçant gravement la santé de la population et, s’il y a lieu, dresser une liste de personnes ou de groupes devant être prioritairement vaccinés;
2° ordonner la fermeture des établissements d’enseignement ou de tout autre lieu de rassemblement;

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Tyrannie humanitaire : René Guénon et la monstruosité occidentale

La civilisation occidentale devient totalement dégoûtante aux yeux du monde et des antisystèmes. Elle déraille sur le plan spirituel, économique, écologique, culturel, sexuel. Elle est toujours plus folle et belliqueuse, humanitaire et missionnaire, arrogante et psychopathe. Problème : elle a souvent été comme ça pendant son histoire. (…)

« La civilisation occidentale moderne apparaît dans l’histoire comme une véritable anomalie : parmi toutes celles qui nous sont connues plus ou moins complètement, cette civilisation est la seule qui se soit développée dans un sens purement matériel, et ce développement monstrueux, dont le début coïncide avec ce qu’on est convenu d’appeler la Renaissance, a été accompagné, comme il devait l’être fatalement, d’une régression intellectuelle correspondante… »

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L’arnaque Apollo et le déclin technique

« Le programme Apollo a été l’un des programmes les plus ambitieux de l’histoire et a été mené de 1961 jusqu’en 1975. Il aurait permis officiellement l’envoi pour la première fois de l’histoire connue d’hommes sur la surface lunaire.
À en croire l’histoire officielle, ce programme a abouti le 21 juillet 1969 : deux hommes, Neil Armstrong et Buzz Aldrin, marchaient sur la surface lunaire, tandis qu’un autre les attendait sur un module orbital autour de la lune.
Ainsi, l’homme parvint à se poser sur la lune vingt-quatre ans après l’explosion des premières bombes atomiques marquant la fin de la seconde guerre mondiale de 1939-1945.
Ceci est ce que l’on enseigne dans toutes les écoles de la planète.
Qu’en est-il réellement ? »

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René Guénon et notre civilisation hallucinatoire

Il est évident que nous vivons sous hypnose : abrutissement médiatique/pédagogique, journaux, actus en bandeaux, « tout m’afflige et me nuit, et conspire à me nuire. » Mais cette hypnose est ancienne et explique aussi bien l’ère d’un Cromwell que celle d’un Robespierre ou d’un Luther-Calvin. L’occident est malade depuis plus longtemps que la télé… O Gutenberg…

Dans Orient et Occident, Guénon dénonce le caractère fictif de la notion de civilisation ; puis son caractère hallucinatoire à notre civilisation ; enfin son racisme et son intolérance permanents (sus aux jaunes ou aux musulmans, dont les pays — voyez le classement des pays par meurtre sur Wikipédia — sont les moins violents au monde). Problème : cette anti-civilisation dont les conservateurs se repaissent, est la fois destructrice et suicidaire. Exemple : on détruit des dizaines de pays ou des styles de vie pour se faire plus vite remplacer physiquement (puisque métaphysiquement nous sommes déjà zombis)…

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Crimée et châtiment : Dostoïevski et la russophobie éternelle

Certaines et certains croient que la Russie est impopulaire du fait de l’acharnement américain. Rien n’est plus faux : l’Europe a toujours voulu plus ou moins la guerre (France, Allemagne, Autriche, Angleterre), ou victime à l’Est de l’Empire russe ou du communisme, et cela ne s’efface pas comme ça.

Un qui avait tout compris est Dostoïevski.

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La Russie doit combler le fossé en matière de marquage de bétail !

Seul Moscou peut empêcher la domination de Washington sur l’ensemble du spectre du marquage.

Pour vaincre le mondialisme, Moscou adopte à contrecœur, mais de manière responsable, l’agenda mondialiste.

Il n’y a aucun moyen d’arrêter le « progrès » technologique promu par Davos, le G20, le FMI, la Banque mondiale, l’ONU et l’OMS. C’est pourquoi Moscou doit collaborer étroitement avec toutes ces organisations mondialistes afin de maintenir la parité mondialiste avec l’Occident collectif, faute de quoi la Russie ne sera pas en mesure de se protéger des mondialistes. Pensez-y.

Nous sommes tous dans le même bateau, et même si le bateau coule et que Moscou perce à contrecœur des trous dans la coque du bateau, cela ne signifie pas nécessairement que le gouvernement russe est d’accord avec l’agenda du naufrage. Au contraire.

Vous venez de lire un résumé de l’essai de 5 000 mots de Lucien Cerise expliquant pourquoi Moscou est prudemment et intelligemment en phase quasi parfaite avec la Grande Réinitialisation : parce que Moscou résiste en fait à la Grande Réinitialisation.

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James Fenimore Cooper et la critique de la presse américaine

La critique des USA a été longtemps considérée comme l’apanage de xénophobes ou de réactionnaires (elle est même criminalisée en ces temps d’agonie impériale et occidentale). En réalité elle a toujours existé dans les milieux intellectuels américains — dont les représentants les plus brillants, de Poe à Auster en passant par la génération perdue, ont toujours été en lutte contre une matrice monstrueuse faite de ploutocratie humanitaire, de racisme stratégique, de tartuferie puritaine et de militarisme impérial.

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La bataille de France : un officier parachutiste brise le silence et livre sa vision d’une guerre asymétrique

Dans le sillage des tribunes de militaires et de policiers publiées récemment au sujet d’une guerre en France, un officier parachutiste se présentant comme commandant a pris la parole sur le fil Telegram de Gallia Daily pour livrer sa vision et ses réflexions sur l’état du pays et ce qui l’attend.

L’interview est longue, mais éminemment intéressante et éclairante pour qui cherche à comprendre la perception opérationnelle du chaos qui se propage sur notre territoire et ce qui se joue aujourd’hui dans notre pays.

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Éloge des oiseaux

Par une matinée de printemps, Amelius, philosophe solitaire, se tenait entouré de ses livres, à l’ombre de sa maison de campagne, et lisait. Touché du chant des oiseaux qui volaient à l’entour, il se mit à les écouter et à méditer, puis abandonna sa lecture. Enfin, il prit sa plume et, sur place, écrivit ce qui suit.

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Mise à mort volontaire de la classe moyenne en France ou comment faire disparaître un pays à petit feu

La paupérisation de la France se porte à merveille, la classe moyenne est mise à mort, tout est mis en œuvre pour affaiblir la société et tourner la page de l’histoire d’un pays. La classe moyenne, colonne vertébrale de la France, n’a plus ni le temps ni la force de se poser des questions : elle doit tenter de survivre. Les associations tirent l’alarme, les chiffres de l’inflation s’envolent, les gens restreignent leur nourriture et leur chauffage. Nous devenons un pays à l’abandon. Ne pensez pas que cela soit un hasard ou une erreur, c’est le fruit des politiques néolibérales antinationales menées depuis des années en toute connaissance de cause afin de permettre l’avènement de la globalisation. Et cela concerne tous les pays développés d’Europe.

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Comment la caste organise la pénurie d’énergies fossiles

Au fond, l’essentiel de notre époque, de la géopolitique, des relations internationales, des conflits ouverts ou non, s’explique par les questions d’énergies, mâtinées de psychologie sociale expérimentale mobilisée par les gouvernements pour « tenir » leur peuple. Le COVID et sa gestion autoritaire mondialisée a servi à la dernière. La transition énergétique au pas de course que l’Accord de Paris nous impose s’explique par les premières, mais se sert de la seconde. En ce moment même, l’Agence Internationale de l’Énergie (IEA) mène une belle opération de psychologie sociale (les fameux « nudges ») pour faciliter cette fameuse transition énergétique, qui va consister à appauvrir des milliards de citoyens ordinaires à travers le monde pour enrichir quelques « profiteurs de guerre ». Un article du Financial Times de ce jour permet d’identifier l’un des mécanismes de cette opération qui passera notamment par l’organisation de pénuries dans les énergies fossiles, pour justifier la transition climatique.

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Alexandre Douguine : « Le satanisme revient à faire primer la matière sur l’esprit »

« Le président (Poutine) a déclaré que l’Occident était une « civilisation satanique » dans le discours qu’il a prononcé lors de l’admission de nouveaux sujets au sein de la Fédération de Russie. Nous devrions prendre cela au sérieux et essayer de comprendre ce qui se cache derrière cette formulation, d’autant plus qu’elle a été répétée par la suite par de nombreuses personnalités politiques et publiques de haut rang. »

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Michel Debré et la fin peu brillante de la France sous le général de Gaulle (citations)

« Nous allons vers l’intégration dans l’Europe, c’est-à-dire en fin de compte la fin de la France, et je crains aussi que les divisions de l’Occident et l’incapacité américaine ne conduisent notre civilisation au déclin décisif. Je parle d’abord des forces qui poussent à l’intégration européenne : tous ceux qui sont hostiles à l’État, tous ceux qui ne comprennent pas la nécessité d’une pensée et d’une action indépendantes, se précipitent vers la supranationalité parce qu’ils savent, au fond d’eux-mêmes, que la supranationalité, c’est le protectorat américain. »

« Des pans entiers de l’enseignement s’effondrent : il n’y a plus d’enseignement de l’architecture ; l’enseignement de la médecine est dans un désordre effroyable ; l’enseignement de l’histoire et de bien d’autres disciplines devient d’un ridicule achevé. »

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ADIEU PARIS, HIDALGO M’A TUÉ !

L’actuelle municipalité a facilité, par incurie et idéologie, la dégradation de l’environnement urbain, le laisser-aller, la crasse, les projets vaseux.

Il y a en réalité deux Paris très différents. D’abord, un Paris encore un peu préservé (5e, 6e, 7e, 8e, 16e, une partie du 17e). Dans ces arrondissements, l’espace public est généralement entretenu. Et un deuxième Paris où la municipalité de madame Hidalgo a visiblement baissé les bras ou s’est lancée dans des expérimentations hasardeuses et coûteuses, souvent abandonnées un peu plus tard.

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Benjamin (lecteur british) revient de Grande-Bretagne et nous dépeint une dystopie orwellienne

… la situation se déglingue à toute berzingue. L’Angleterre a 10 ans de retard sur la catastrophe américaine (et les froncés sans doute 10 de plus par rapport aux roastbeef). 

Les masses : obèses (les gros sont devenus la norme), tatouées (des proportions étonnantes), perdues (le QI des jeunes est certainement passé sous la barre des 100), alcooliques (les pintes défilent à vive allure dans les pubs – je parlais à un jeune type qui en était à sa treizième… jeunes comme vieux sont en état d’ébriété semi-permanente).

Les malades : entre obésité et maladies mentales, il est maintenant clair que la population a été empoisonnée à grande échelle (nourriture, alcool, médocs, piquouses…). À ce point qu’il est difficile d’apercevoir un anglais en bonne santé (j’exclue Londres que j’ai évité). Au moins conservent-ils l’amour réel des chiens ce qui leur permet de se désintoxiquer 2 fois par jour. 

Les riches …

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La tiers-mondisation des Français

Vers le mois d’avril, des articles de la presse main Stream signalaient que 42 % des Français les plus précaires avaient supprimé un repas, je vous mets deux liens ci-dessous pour vous en rendre compte. Hier, à la radio, j’ai entendu dire que plus de 25 % de la population saute au moins un repas par jour. Cette progression illustre bien la précarisation de l’ensemble de la population… Bientôt, tous précaires !

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Flaubert et la catastrophe française de 1870

Flaubert a compris le désastre impérial de Napoléon III, désastre métaphysique et moral avant tout.
En 1853 il écrivait déjà à Louise Colet cette sentence définitive sur notre modernité désastreuse et notre présent permanent :
« (17)89 a démoli la royauté et la noblesse, (18)48 la bourgeoisie et (18)51 le peuple. Il n’y a plus rien, qu’une tourbe canaille et imbécile. Nous sommes tous enfoncés au même niveau dans une médiocrité commune. »

Ceci dit, on a pu descendre plus bas, notamment en 1870, en 1940, en 1968, ou sous le binôme Macron-Hollande. Comme dit un ami nommé Sylvain, et prof d’informatique dans une fac privée américaine (essayez, cela ouvre l’esprit) : « en France quand on touche le fond on creuse encore ».

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Don de Bernard Arnault : merci not’ maît’, vous êtes trop bon

Nous devrions être fiers. Nous français, nous avons l’homme le plus riche du monde en la personne de Bernard Arnault. C’est ce que nous racontent les gazettes qui pensent amuser le bon peuple en relayant avec gourmandise les classements de la presse spécialisée américaine. Vous n’entendrez jamais quiconque le qualifier « d’oligarque », vilaine expression réservée à la Russie et à l’Ukraine. Pas de ça chez nous ! En France ce sont des « capitaines d’industrie », et même un ruffian du calibre de Bernard Tapie n’a jamais subi cette insulte. Comme les autres oligarques, ses confrères qui dominent l’économie française, sa fortune est le fruit du fonctionnement du capitalisme français d’aujourd’hui, complaisance de l’État et de la haute fonction publique. De ce point de vue, la trajectoire de Bernard Arnault est une caricature.

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Ernst Jünger ou le roi de la belle santé spirituelle et naturelle contre le totalitarisme médical étatique et moderne

« Quant à la santé, le modèle que chacun en porte en lui-même, c’est son corps intangible, créé au-delà du temps et de ses vicissitudes, qui transparaît dans l’enveloppe physique et dont l’efficace n’est pas moins sensible dans la guérison. Toute guérison met en jeu des vertus créatrices. »

« Le malade, non le médecin, est souverain, dispensateur d’une guérison qu’il tire de résidences inexpugnables. Il n’est perdu que si c’est lui qui perd l’accès de ces sources. L’homme semble souvent, dans son agonie, égaré, en quête de quelque objet. Il trouvera l’issue, en ce monde ou dans l’autre. On a déjà vu guérir bien des malades condamnés par les médecins, mais jamais celui qui s’est laissé aller. »

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Comment le fonds d’investissement Blackrock a déclenché la crise énergétique mondiale

« Adhésion au programme de développement durable des Nations Unies à l’horizon 2030 ». Désinvestissement colossal dans le secteur pétrolier et gazier mondial qui pèse des milliers de milliards de dollars.

La plupart des gens sont déconcertés par ce qui constitue une crise énergétique mondiale, avec des prix du pétrole, du gaz et du charbon qui montent simultanément et forcent même la fermeture de grandes usines industrielles telles que celles de la chimie, de l’aluminium ou de l’acier. L’administration Biden et l’UE ont insisté sur le fait que tout cela était dû aux actions militaires de Poutine et de la Russie en Ukraine. Ce n’est pas le cas. La crise énergétique est une stratégie planifiée de longue date par les milieux économiques et politiques occidentaux pour démanteler les économies industrielles au nom d’un agenda vert dystopique. Cela trouve ses racines dans la période bien antérieure à février 2022, lorsque la Russie a lancé son action militaire en Ukraine.

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9/11 : Origines et développement du néolibéralisme

Le néolibéralisme a commencé le 11 septembre. Mais ce n’est pas le 11 septembre 2001, date à laquelle ont été commis les attentats contre les tours jumelles de New York, causant des milliers de morts dans cette ville et, immédiatement après, des centaines de milliers d’autres dans le reste du monde, avec la pléthore des guerres « justifiées » par l’Empire, victime de ces attentats. Non : le libéralisme a commencé exactement trois décennies plus tôt : le 11 septembre 1973. Cette terrible date inaugurale a également eu lieu dans les Amériques, mais dans l’hémisphère sud : au Chili.

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En Ukraine, c’est une guerre d’usure

« Cet été, les forces armées ukrainiennes devaient entrer en Crimée, c’était la propagande, objectif maximal de la contre-offensive. Mais ils n’avaient rien à voir avec une véritable planification. Les attentes réelles se résumaient au fait que l’offensive devait rapidement détériorer la position stratégique des troupes russes et créer les conditions de négociations avec la Russie pour mettre fin au conflit armé en position de force. Ce point de vue était partagé non seulement par les dirigeants ukrainiens, mais aussi par les Américains, dont la position était décisive dans cette affaire. On supposait que les troupes russes recevraient un coup qui aggraverait leur situation et que la Russie serait alors obligée de négocier. Apparemment, la percée du corridor terrestre vers la Crimée était considérée comme la tâche la plus importante. Les objectifs de l’offensive semblent avoir été considérés comme tout à fait réalistes tant par les militaires que par les politiciens : ils s’attendaient apparemment à ce qu’un résultat mesurable soit obtenu quelques semaines après le début de l’offensive. Et tout ce qui s’est passé par la suite a été une surprise désagréable et une déception tant pour l’Ukraine que pour les États-Unis. »

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